Marine et Thibault

Dimanche 4 novembre 2001 7 04 /11 /Nov /2001 08:34

Laisse-moi mes chaussettes ! par Marine et Thibault

 

feet flag

Thémes abordées : Fétichisme du pied

Moi c’est Thibault. Qui suis-je ? Imaginez-moi comme vous le sentez ! Ni
trop beau ni trop moche, ni trop petit ni trop grand, ni trop gros ni trop
maigre, ni trop jeune ni trop vieux. Je travaille dans la publicité et
j’étais ce mardi en congé. Quant à ma charmante et coquine épouse, elle
était partie quinze jours aux Bahamas avec « sa sœur ». Donc ce jour là
j’étais libre comme l’air, tout pouvait arriver et donc…. Rideau, l’histoire
peut commencer !

Je ne vais jamais au café, enfin presque jamais, je n’aime pas l’ambiance
qui y règne… Quand je pense que certains y vivent presque ! Bon, chacun son
truc, on n’est pas là pour juger les gens ! Mais j’étais crevé, je voulais
absolument retrouver une édition du Manuel d’Erotologie Classique du sieur
Forberg et je m’étais farci les deux rives des quais de la Seine, pour ne
pas le trouver. J’avais par contre dégoté un petit opuscule illustré avec
des jolis dessins très suggestifs et un texte pas trop scabreux, quoique
fort coquin.

J’avais donc grand soif, et faisant fi de mes habitudes, je m’asseyais à la
terrasse d’un grand bistrot, sirotant lentement ma seconde grenadine après
avoir avalé cul sec la première. (J’adore commander des grenadines, c’est
mon côté gamin ! Si j’étais une femme je crois que j’aimerais m’amuser à
sucer des sucettes en pleine rue !)

Je tire quelques minutes de douce flemme, je feuillette mon petit opuscule,
puis j’y renonce, je suis sûr que sa lecture va m’exciter comme un fou, je
ne l’ouvrirais que chez moi et sa découverte s’accompagnera d’une joyeuse
(j’espère) masturbation solitaire ! J’adore me masturber ! Ne croyez pas que
je n’aime pas les femmes ! Car contrairement à ce que prétendent certains
andouilles on peut parfaitement aimer les deux !

Je regarde autour de moi, j’observe, je vais pour partir quand, voici un
couple qui se lève, et conséquemment dégage une partie de mon champ de
vision et là…

Et là….

Et là, d’où je suis placé j’ai une vue imprenable sur deux cuisses
entrouvertes sous une minijupe qui n’a d’autre rôle que de rendre excitante
la fille qui la porte. Celle-la, une ravissante blonde à lunettes, ignore en
ce moment précis que je suis en mesure de lui dire la couleur de sa petite
culotte, et ignore aussi bien évidemment que j’ai une trique pas possible à
la vue de ce qu’elle montre. J’ai déjà une main dans la poche et je caresse
doucement mon sexe dur et tendu à l’extrême. Que faire? Bouger de mon poste
d’observation c’était me priver du plaisir de mater mais ce n’est pas en
restant sur place que je pourrais tenter ma chance. Je prends la décision de
me lancer.

Je me mets en mouvement vers elle ne sachant comment nouer le contact. Mon
imper sur mon bras cachait ma bandaison plus que voyante sous le tissu du
pantalon. Arrivé devant elle je l’interpelle le plus naturellement et le
plus familièrement du monde :

- Salut Patou ! Mais qu’est ce que tu fous là ?

Du coup mon inconnue abandonne la lecture de son magazine et lève le regard
vers moi avec un air étonné, les yeux ronds.

- Ce doit être une erreur, Monsieur, nous ne nous connaissons pas !
- Oh, excusez-moi ! Je vous avais pris pour une ancienne collègue, la
ressemblance est frappante.
- C’était peut-être ma sœur nous nous ressemblons beaucoup !
- Elle s’appelle comment votre sœur !
- Agnès !
- Ah ! Agnès ? C’est peut-être bien ça ! Ça me dit quelque chose ! Voilà je
vous ais confondu avec Agnès !
- Alors pourquoi avez-vous dit « Patou » tout à l’heure ?

Piégé comme un con ! Je deviens rouge comme un kilo de tomates.

- Excusez-moi, je voulais trouver le moyen de vous aborder, il y a quelque
chose de magnétique en vous, mais bon, je ne vais pas vous importuner
davantage !
- Vous ne m’importunez pas !

Ouf, l’espoir renaît !

- Permettez-vous que je m’installe alors, juste un moment !
- C’est cela juste un moment, vous êtes amusant vous…
- Heu !
- Dragueur d’occasion ? Mais vous avez perdu l’initiative, normalement à ce
stade vous devriez me demander si je ne veux pas un autre verre !
- J’allais vous le demander !
- Ben voyons !

Et patati et patata, toujours est-il que cette jeune personne qui répondait
au doux prénom d’Amandine se fait d’abord payer un autre verre, puis nous
discutons de choses et d’autres avant qu’elle ne me suggère de l’emmener au
restaurant. Tout cela se passe bien, Elle a beaucoup d’esprit et répond de
façon amusante à mes propos. Au cours du repas je réussis à obtenir un bref
baiser sur la bouche pendant lesquelles nos langues se frôlent à peine, mais
ce baiser contient une chose de très précieuse : l’espoir.

Je pense l’affaire empaquetée à la sortie du restaurant et alors que
j’allais poser la traditionnelle question de savoir où prendrions-nous le
dernier verre, elle me déclare :

- Avant de passer à ce genre de choses, profitons pleinement de notre soirée
!
- Ben qu’est ce que tu proposes ?
- Sors-moi en boîte !

Malédiction ! Ce truc ça veut dire trois heures de perdue ! Je lui dis que
je ne suis pas chaud, elle insiste et aura cet argument définitif :

- Ca n’en sera que meilleur tout à l’heure :

Je ne suis pas un très bon danseur, mais heureusement il a beaucoup de slow.
Pour le reste elle s’amuse avec un tas de gens, et j’ai de plus en plus
l’impression qu’elle se fiche de moi et qu’elle va s’embarquer un mec, me
plantant là comme une vieille chaussette. Une espèce de danse endiablée
vient de se terminer. Amandine roule un patin à son cavalier et ils se
dirigent tous les deux vers le bar. Dépité, dégoûté, humilié, je m’apprête à
partir, je l’aurais sans doute fait immédiatement si une voluptueuse blonde
en robe noire n’était pas passée près de moi. Son décolleté est si plongeant
que l’on aperçoit l’aréole de ses seins Un mec la suit et lui pelote
carrément le derrière. Ils se dirigent vers une des petites salles
adjacentes ou le dragage intensif est autorisé. Un certain nombre de voyeurs
les suivent, et je me serais volontiers joint à leur compagnie. Quand
surprise, voici Amanda qui revient, je ne comprends pas trop, quelque chose
n’aurait pas marché avec son zigoto ? Elle revient voir sa roue de secours !
Je décide de ne pas me montrer trop aimable :

- Je croyais que tu serais restée avec l’autre !
- Qu’est ce que tu veux que j’en fasse de ce mec, ils sont bons pour danser,
mais sinon ils croient que c’est arrivé, ce sont de vrais machos, pas
intéressant pour deux ronds, pas d’humour.
- Ah ?
- Et puis tu ne vas pas être jaloux ! On n’a rien commencé à ce que je sache
!
- Je sais, tant pis pour moi !
- Allez viens ! On commence ! Dit-elle soudain

Elle rit et se penchant vers moi me prend la bouche en un baiser voluptueux.
Puis elle s’excuse en se levant pour se rendre aux toilettes. Quand elle
revient, elle place devant moi sur la table sa petite culotte, accompagnant
son geste d’un sourire plus que prometteur. Je la prends et la respire avant
de la mettre dans ma poche. A partir de là je me sens autorisé à lui poser
la question habituelle:

- Chez toi ou chez moi ?

Elle me répond que son studio n’était pas loin et que si j’accepte de la
suivre…

Accepter de la suivre ? Mais c’est demander à un affamé s’il veut manger !
Le studio en question est une vraie bonbonnière dénotant un goût raffiné et
un certain standing. Elle me sert un verre avant de disparaître. Quand elle
revient, j’ai un coup au cœur, imaginez un canon en nuisette dont la
transparence permet de constater qu’elle ne se rase pas le triangle qu’elle
a très épais et très brun. Un régal pour mes yeux amateurs de la toison
féminine, devenue chose rare, hélas.

- Tu as vu le résultat ? Lui demandai-je en pointant mon index vers mon
bas-ventre

Je bande comme un fou, et c’est plus que visible. Elle s’approche et, se
mettant à genoux, elle pose sa joue sur la protubérance, preuve de mon
désir. Puis, en un lent mouvement, sa main caresse ma virilité à travers le
pantalon. Je lui prends le poignet pour arrêter son mouvement, je suis au
bord de l’explosion, ce qu’elle comprend car elle fait glisser le zip de ma
braguette, plonge sa main dans mon slip et extirpe tant bien que mal ma
verge tendue comme jamais. Elle entreprend alors de me déchausser, et…
entreprend de m’enlever mes chaussettes. Je proteste :

amandine- Laisse-moi mes chaussettes !
 

Elle stoppe son geste et joueuse, me répond :

- Si tu gardes tes chaussettes, je te vire !
- Dans ces conditions, je vais me laisser faire !

Elle le fait, puis, s’accroupissant, elle promène son sexe humide sur mes
orteils tout en me masturbant en douceur. C’est fabuleux. Elle fait tant et
si bien que l’un de mes gros orteils se trouve dans son intimité détrempée.
Je sens sa sécrétion chaude couler le long de mon pied; A nouveau je dois
arrêter le mouvement de sa main, ce qui provoque cette question

- Tu n’aimes pas ?

Je lui réponds que c’est trop bon et que d’ailleurs, je suis sur le point
d’éjaculer.

A ma grande stupéfaction elle me dit qu’elle souhaite me voir gicler tout en
se masturbant avec mes orteils mais en ajoutant que cela ne constituait
qu’un début dont elle avait besoin pour débuter une nuit d’amour. Nous
sommes nus, allongés sur un épais tapis devant un feu de cheminée. Sa vulve
absorbe mon gros orteil tandis que sa main me branle merveilleusement. Je ne
peux me retenir. Je jouis comme rarement, mes jets saccadés sont expulsés
avec force, s’élevant très haut avant de retomber sur elle et sur moi. C’est
alors que, continuant à me caresser la verge, elle émit des petits cris,
puis un véritable feulement avant de s’écrouler sur le côté non sans m’avoir
trempé le pied.

La suite vaut d’être narrée car c’est une merveilleuse amante. Mais ce sera
pour une autre fois… De vous conter cela me fait bander. Il va falloir
remédier à cela !

© Marine et Thibault Devillers 2001
Première publication sur Vassilia, le 04/11/2001

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Samedi 17 mars 2001 6 17 /03 /Mars /2001 17:49

Pearl et les 2 Américains par Marine et Thibault

 

bisou1719

Themes abordés : bisex féminine, party, spermophilie, uro. 


Bonjour, c’est Thibault (un tibo, deux tibos…) qui fera office de narrateur dans cette histoire très chaude, bien qu’elle ait été écrite à deux mains.

Ils sont cons les Américains, non seulement ils ont des machines à voter foireuses, mais du côté des idées reçues, ça y va !. En gros tous les français ont un béret sur la tête, passent leur temps à bouffer des baguettes de pains, et ont un portrait du général de Gaulle dans leur salle à manger.

Et je dois m’occuper de deux de ces grands escogriffes, Steve Wayne, et John McQuinn ! Ces messieurs sont envoyés par le cabinet Petersen & Petersen Consulting pour estimer la valeur de la boite dans laquelle j’ai l’honneur de travailler comme contrôleur de gestion.

Steve m’avait interpellé :

- Le problème avec les boites comme la votre, c’est que c’est du fifty-fifty, on peut très bien faire un rapport disant que ce n’est pas terrible, comme on peut en faire un indiquant qu’il s’agit d’une entreprise pleine de promesses.
- Certes mais quelles seront alors vos conclusions ?
- On ne sait pas encore, ça risque d’être très neutre, à moins que…
- Je vous écoute !
- A moins qu’un évènement extérieur nous influence dans un sens ou dans l’autre…
- ?

C’est ce qui s’appelle un appel à la corruption ! A moins que ce soit un piège ! Je prends le risque que ce n’en soit pas un ! Bon, réfléchissons ! On corrompt avec quoi ? La grosse enveloppe ! Mon budget  » divers  » ne me le permet pas ! Le big restaurant ! Ce sera insuffisant ! Alors le sexe ? Leur payer à chacun une escorte girl super canon, ce n’est pas « donné-donné » mais ça doit être plus dans mon budget.

C’est alors que Steve me lança !

- Nous repartons après demain pour les Etats Unis, il vous faudra faire vite !

La catastrophe ! Il ne me reste qu’une solution, ma propre épouse ! Elle était peu farouche et fort libérée, mais il me faudrait la convaincre ! Seulement juré, craché si elle n’était pas d’accord, je n’insisterai pas, et à ce moment là je mettrais toute mon énergie à dénoncer dans des livres, des articles, des émissions et des conférences l’attitude inadmissible de ces « consultings » à la manque. Evidement, si elle acceptait, les choses seraient plus simples.

Elle accepta !

Ma femme s’appelle Pearl. Du moins pour les besoins de cette histoire, car en fait, elle s’appelle Marine, mais Pearl c’était son nom de scène quand elle faisait du strip-tease à Pigalle ! Pearl est assez grande, assez fine, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teint en blond, un joli petit sourire. Elle est un peu complexée par sa grande taille. Sexuellement elle n’est pas farouche, mais elle n’est pas obsédée non plus, et si sa pratique de la fellation en fait une quasi experte, elle ne goûte qu’assez modérément la sodomie, personne n’est parfait !

Pearl accepta donc après s’être renseigné sur à quoi ressemblaient ces étranges consultants, mais y émis toutefois une condition, il ne fallait pas que la séance s’éternise. Elle objecta par ailleurs que si une femme avec trois hommes constituait sans doute une association érotique très perverse, les possibilités restaient toutefois limitées, à moins que ces messieurs veuillent faire dans les voiles et les vapeurs. ! Faute de quoi, sans doute serait-il judicieux de dégotter une autre complice. ! Tout cela pour me proposer les services de notre charmante et pulpeuse voisine qui s’ennuyait ferme depuis que son mari s’en était aller vivre sur une péniche avec un marin d’eau douce hollandais.

La voisine se nomme Sandra, elle est un peu nunuche, mais cette fausse blonde à un corps de déesse, Du moins je le suppose, ne l’ayant jamais pratiqué. Bien que Pearl reste persuadée du contraire. Par contre Pearl a couché avec Sandra, et Pearl ne sait pas que je le sais. Pas simple cette situation, je vous l’accorde volontiers ! Cela faisant un peu fouillis il faudra un de ces jours que nous  » régularisions  » tout cela ! Mais ceci est une autre péripétie.

Il fut convenu afin de mettre un peu de forme dans cette affaire qu’un petit jeu servirait de prétexte, mais qu’il n’était surtout pas interdit à ces dames de faire semblant de perdre !

Pearl s’est habillée très sexy. Elle a revêtu une sorte de robe-blouse de couleur parme fermée devant par quatre boutons. Le bas du vêtement est frangé, le haut est échancré. Dans l’échancrure on voit le milieu et donc la rose d’un petit soutien gorge en imprimé semi transparent ou se combattent des motifs roses et blancs. Le slip assorti est de forme brésilienne. Elle n’a rien prévu d’autres et en tous les cas ni bas, ni porte-jarretelles, ayant horreur de ce genre d’accessoires.  » j’aime tellement me faire caresser les jambes « , dit-elle souvent,  » pourquoi donc les gainer sans raisons ?  » Sandra sonne, elle est un peu en avance, elle aussi à fait des efforts vestimentaires. En bas une toute petite jupette blanche ne descendant guère plus bas que la moitié des cuisses et dont la couleur immaculée contraste avec sa belle peau bronzée. En haut un petit boléro rouge à pois blancs, montant assez haut, mais laissant par contre apercevoir de façon incongrue la base de son soutien gorge bleue. Un petit foulard du même imprimé assorti attaché en bandeau dans ses longs cheveux parachève le tout.

Les deux femmes se complimentent mutuellement pour leur tenue. Puis, Pearl se mit à caresser langoureusement le petit ventre de notre voisine, en simulant de découvrir la subtile douceur de sa peau ambrée. Quelques secondes plus tard, je ne sais pas laquelle des deux se jeta sur l’autre, mais toujours est-il, qu’autant excitées par la situation à venir que par leur tenue inhabituelle, elles se lancèrent dans un baiser passionné associé à des pelotages de seins, de fesses et d’autres choses encore. La fièvre de l’érotisme les avait enveloppées tel un raz de marée de sensualité perverse. Sandra se baissa un moment pour fureter sous la robe de ma Pearl, qui se laissa faire un moment, puis se baissa à son tour, finit par poser son derrière sur la moquette, y entraînant la voisine, puis changea brusquement de position afin de se pouvoir se placer sur le sol en position de 69. J’avais devant mes yeux médusés le spectacle inespéré de deux ravissantes petites langues suçant avec gourmandise deux délicieuses petites chattes. Inutile de vous décrire, je pense l’état de mon devant de pantalon !

Ce coup de folie fut, hélas interrompu par l’arrivée de nos américains, je les fais boire un petit peu, ils adorent le martini, allons-y pour le martini, et même qu’on va y ajouter du gin. Puis après quelques échanges de banalités, je suggère de jouer à un jeu de mon invention : La bataille rangée, ça se joue avec des cartes, mais contrairement à la bataille classique on peut jouer à plus de deux et étaler plusieurs cartes. Pour tricher dans un sens ou dans l’autre il suffit de ramasser les cartes du coup précédent dans un certain ordre (si ça intéresse quelqu’un, précision par e-mail sur simple demande l) Et évidemment pour corser la chose d’entrée on préférera y jouer avec des cartes pornos ! Chaque perdant d’un échange devra enlever une pièce de vêtement comme au strip poker !

Ils acceptent tous en rigolant, étant tous passablement éméchés. Comme il faut de la place, on s’assoit sur la moquette. Pearl à l’honneur de perdre la première, elle décide avec une fausse témérité et une audace feinte de retirer sa robe. Elle déboutonne donc, avec grâce, la pièce de vêtement gênante, découvrant son joli petit ventre et son nombril. Ce nombril, au grand étonnement de Américains était percé d’un anneau. Je regarde ma femme qui me lance un sourire moqueur. Elle est donc la première à montrer ses sous-vêtements, et devient l’objet de toutes les convoitises. Les yeux de mes abrutis d’invités sont rivés sur elle. Nous continuions ainsi le jeu jusqu’à ce que tous le monde soit en sous-vêtement. Moi, Steve et John avons peine à cacher nos érections respectives. D’ailleurs, le cercle de jeu s’étant rapproché, des frôlements non réglementaires se produisent. A ce moment, le jeu s’interrompt, le temps est suspendu quelques secondes, des regards en rencontrent d’autres.

Sandra et moi sommes l’un à côté de l’autre. Un imperceptible mouvement nous rapproche alors que déjà, la main de John se pose sur les hanches de Pearl. Les corps de Sandra et le mien se frappent, elle appuie sa poitrine sur la mienne, les yeux soudés au mien. Je pose doucement les mains sur sa taille, au même moment, nos lèvres se joignent, d’abord doucement, puis rapidement nos bouches s’ouvrent, je laisse glisser ma langue entre ses lèvres. Elle en fait autant. Mes mains remontent le long de son dos, hésitent une fraction de seconde à son soutien-gorge puis continue vers sa tignasse blonde. Alors que je lui glisse quelques baisers dans le cou, mes mains s’affairent à dégrafer l’inutile  » soutif « , révélant sa poitrine magnifique, des seins généreux, couronnés de mamelons roses très érigés. Je lui caresse la base des seins alors que je me penche pour mettre ma langue en contact avec sa peau douce. Elle frémit pendant que ma langue se rapproche de ses tétons gonflés d’excitation. Je mordille enfin à tour de rôle les petits fruits auréolant ses seins.

Elle décide alors de me faire découvrir les parties inférieures de son anatomie, ce qui n’est pas sans me réjouir. La main droite appuyée sur ma nuque, elle me guide vers l’élastique de sa culotte. J’attarde ma langue dans la région du nombril, pendant que mes mains massent doucement les fesses fermes de Sandra Elle semble apprécier mes attentions et sans prévenir, elle fait glisser sa petite culotte, exposant à mes yeux ravis sa toison châtaine aux reflets blonds. Mes doigts se glissent sporadiquement entre ses fesses, frôlant ses lèvres humides.

Elle m’assoit, pour me donner un meilleur accès à son centre de plaisir. Ma langue se fraie un chemin à travers son poil. Son corps entier est parcouru d’un frisson lorsque ma langue entre en contact avec ses lèvres légèrement entrouvertes. Elle écarte les cuisses pour faciliter l’entrée de ma langue. Je glisse celle-ci entre les lèvres chaudes et humectées de Sandra. À l’aide de mes doigts, je dégage le clitoris de son refuge devenu trop étroit. Je concentre mes efforts sur cet endroit précis, faisant claquer ma langue sur son bouton érigé. Sandra commence à respirer de manière plus irrégulièrement, elle pousse d’une main ma tête entre ses jambes et de l’autre se caresse les seins avec frénésie. Alors que ma langue excite toujours son clitoris, je décide de glisser un doigt dans sa fente, histoire d’explorer plus en profondeur. Je fais d’abord des petits cercles, palpant les parois de mon index. À l’intromission de ce doigt, Sandra pousse un petit cri étouffé, entre deux halètements saccadés. Ensuite, je commence un mouvement de va-et-vient, invitant mon majeur à joindre la traversée. Ce deuxième doigt se glisse plus difficilement, malgré la lubrification abondante. Sandra pousse un deuxième soupir, celui-là moins contenu. La langue fatiguée, je remonte suçoter les mamelons de la voisine, continuant mon manège digital. Elle se tortille légèrement pour m’embrasser avec une fougue sans retenu. Je sens le rythme de sa respiration augmenter.

Nous nous étendons ensuite sur la moquette. Elle me fait pivoter afin que mon slip tendu au maximum se retrouve devant son visage. Je poursuis mon va-et-vient, plus rapidement encore, dans cette position nettement plus équitable pour nous deux. Elle baisse mon caleçon, et se recouche sur le dos, afin d’avoir mes testicules à portée de bouche. Ma langue étant reposée (il faut tout de même éviter les crampes), je repositionne celle-ci sur son clitoris. Elle accueille ce retour d’un râle aigu. Elle lèche mes bourses un moment puis, glisse lentement la langue sur mon pénis prêt à exploser. Sa langue s’enroule sur ma tige, atteignant bientôt mon gland. Elle embouche alors ma verge en entier, prouvant hors de tout doute son expérience dans le domaine. Mon ardeur augmente, sentant cette divine présence sur mon pénis. Elle fait aller sa bouche de plus en plus vite, je me sens sur le bord d’un orgasme. Je décide d’insérer un troisième et ultime doigt, pour la mener, elle aussi au plaisir ultime. La bouche occupée, je ne peux la prévenir de mon arrivée imminente. Alors, sa respiration, jusqu’alors très rapide, s’arrête un temps, ses muscles se contractent, ses cuisses viennent enserrer ma tête comme un étau. Elle lance alors un cri, dégageant ma verge de sa bouche. Je profite de son orgasme pour lancer le mien. Une saccade de sperme lui éclabousse le menton alors que son miel chaud s’écoule le long de mes lèvres. Nous soupirons au même moment, alors que je m’allonge près d’elle pour l’embrasser pendant que la chaleur lui consume encore l’intérieur. Elle accueille alors ma bouche !

Puis, elle se dégage de moi, m’informe avec malice qu’elle doit aller accomplir un besoin bien naturel. Je lui fais la suggestion que ce précieux nectar qui, venant d’elle ne peut être que merveilleux, serait le bienvenu dans ma bouche plutôt que d’aller se gâcher dans les tuyauteries citadines. Ce n’était pour moi qu’une boutade, ignorant si elle pratiquait ce genre de tocade. Mais elle accepta d’un sourire malicieux et accroupissant sa chatte sur ma bouche elle y fit s’écouler le long filet doré de son pipi, et j’avalais, satisfait, l’or de ses reins !

Notre union fut tellement forte, tellement intense que le monde extérieur avait, un temps cessé d’exister. Le plan ne se déroulait pas vraiment comme prévu car la logique aurait voulu que Sandra et Pearl s’occupent chacune d’un Américain.

Revenant à de triviales réalités, je regarde maintenant ma Pearl s’occuper seule des deux yankees. Elle suce le premier tandis que le deuxième lui lèche les fesses. Non, pas les fesses ! Le cul, il lui lubrifie l’anus. Ça m’embête, je sais que Pearl n’aime pas trop cela, mais je répugne à demander à Sandra de jouer la supplétive !

On entend alors Steve qui tout en continuant à se faire sucer dire avec un accent monstrueux :

- Je voudrais bien, vous prendre à rebours !
- En levrette ?
- Yes ! A rebours dans le petit trou !
- Non, non !

Il avait besoin de demander cela ? Encore les idées reçus des américains sur les françaises ! Une nouvelle fois l’envie de demander à Sandra de se sacrifier me tenaille mais je ne le fais pas. J’essaie de croiser les yeux de Pearl pour l’encourager, mais peine perdue nos regards ne se rencontrent pas

- Comment vous ne voulez pas que je vous prenne à rebours ? Insiste lourdement l’Américain !
- En principe j’aime pas ça, ce n’est pas que votre biroute soit exceptionnelle, mais j’ai la sodomie douloureuse.
- Ah ! Ah !
- On va jouer alors ?
- D’accord, mais à quoi ?
- Je vais jouer à l’attaque !
- C’est cela, c’est cela ! Donne-moi plutôt ta bite que je continue à te sucer, je vais te pomper à fond, ça va te calmer !

gr322

Pearl reprend donc sa fellation. Steve n’en peut plus, il devient congestionné. Et soudain alors que je crus qu’il allait jouir, le voici qui se libère de l’étreinte buccale de ma femme, qu’il se lève, la contourne, pousse son collègue toujours occupé à faire une langue-au-cul, se met un préservatif à la vitesse de la lumière et entreprend de présenter sa bite à l’entrée de l’anus de Pearl en criant :

 

- A l’attaque ! A l’attaque !

Pearl ne se dégage pas, mais ne fait aucun effort pour l’aider, le laissant se débrouiller, il essaie de forcer, n’y arrive pas, finit par débander, c’est encore pire, et il est obligé de se masturber un petit peu pour redonner de la vigueur à son membre, il réattaque, toujours sans y arriver, redébande de nouveau, se remasturbe et finit par jouir dans la capote !

- Pas de bol dira-t-il en français et en lui-même car il connaissait les deux langues.

John lui baragouine quelque chose d’incompréhensible en américain, tout en mâchouillant son chewing-gum. Manifestement, il se moque de son collègue. A son tour il se revêt d’un préservatif et imitant Steve il se rue vers l’anus de mon épouse en criant :

- Moi ! Je vais vous prendre à rebours ! A l’attaque, à l’attaque !

On frise le ridicule. Contrairement à son acolyte, il parvient à pénétrer, mais juste le gland, il n’arrive pas à aller plus loin, et croyant s’être mal introduit, et alors que Pearl commence à faire des « Aie Aie Aie » de douleur, il fera l’erreur de se retirer pour essayer d’entrer de nouveau, en vain mais la situation l’ayant assez excité, il jouira lui aussi dans sa capote à un demi centimètre du trou de ma compagne.

Moralité : L’attaque de Pearl à rebours à été une vraie catastrophe pour les Américains !

(que ceux qui n’ont rien compris consultent un livre d’histoire et se renseignent de ce qui s’est passé le 7 décembre 1941)
Première publication sur Vassilia, le 17/03/2001

 

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Samedi 17 mars 2001 6 17 /03 /Mars /2001 06:48

Sombre Dimanche ? par Marine et Thibault

 

bisou1719

Hello ! C’est Marine (deux qui la tiennent… comment cela je me répète ?)

La neige tombe aujourd’hui en ce mois de janvier du nouveau millénaire sur la région parisienne. Les flocons arrogants n’auront même pas le loisir de vivre quelques jours, voire même quelques heures sur l’herbe d’hiver. Non il fait trop humide et nos jolis cristaux blancs ne chutent que vers un anéantissement aussi liquide que brutal. Et moi cela me remplit de tristesse, et en plus le ciel est gris, et en plus c’est dimanche. Et ce dimanche, concours de circonstance oblige, il n’y a personne pour me tenir compagnie ! Je n’ai pas envie de lire, ni de regarder la télé, ni de surfer, ni de me balader. Je n’ai même pas envie de me caresser. Mais ça, ça peut venir ! Pour l’instant ma libido est aussi grise que la météo. Les mecs ont de la chance, ils se tapent une petite vidéo, ou alors une petite revue coquine et aussitôt le popol se redresse, prêt à l’emploi. Pratique ! Non ! Très peu pour moi, je préfère la réalité ou alors le rêve, mais foutaise de ces images sur papier glacé ou pixélisées sur un écran plus ou moins cathodique ! Non ! Voilà j’ai trouvé, je vais tapoter sur mon petit clavier et je vais saisir dans un petit fichier un petit truc dans lequel je vais raconter ce qui se passe les autres week-end !

D’accord ? Alors ouvrez le banc !

– Faut-il que je me décrive ?
– Oui ! Répond l’autre branleur dans le fond qui est arrivé en retard !

Je ne suis certes pas Paméla Anderson, mais pas non plus un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi longs teint en blond, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne !

Je me prénomme Marine ! Oui, je sais, je l’ai déjà dit au début ! Comme prénom idiot c’est pas mal ! Mais dans la réalité, il sert peu. Certains ont un pseudo sur le web, moi c’est le contraire dans la vie j’ai un surnom et mon vrai prénom me sert de pseudo (suivez-vous au fait ?). J’ai d’ailleurs un gros fantasme avec mon prénom : C’est de tourner un film avec six ou sept gars habillés en marins (évidemment) qui me prendraient en gang bang. Et puis à la fin, on se tiendrait tous comme à la farandole en chantant :

– C’est nous, les gars de la Marine eu…

Bon, on cause, on cause, mais ça nous éloigne de notre sujet, tout ça ! Vous avez lu mes autres aventures. Et vous avez pu constater que je ne suis pas vraiment lesbienne car pour moi, rien ne vaut une bonne queue qui vous défonce par tous les trous. Mais je dois avouer que de temps en temps, quand je n’ai pas trop le moral et que mon Thibault de mari est en déplacement, j’aime bien inviter quelques copines pour me laisser aller à quelques dérives sexuelles. Cela arrive une ou deux fois par mois et le plus souvent ça se passe chez moi, un samedi ou un dimanche après-midi. Ca commence toujours par une séance de vidéo, où l’on s’échauffe en matant ces couples qui partouzent, puis ensuite on « s’habille ». Je veux dire par-là qu’on se montre nos dernières acquisitions en matière de lingerie sexy. On s’échange les trucs, on prend la pose devant la glace, on joue un peu les putes parce que ça nous excite. C’est Virginie, ma copine rousse aux seins énormes, qui entre la première dans le feu de l’action en demandant sans aucune pudeur :

– Laquelle d’entre vous à envie de se faire lécher ?

Comme elle le fait vraiment bien, elle n’a pas besoin de renouveler sa demande car on a toutes envie d’exploser sous sa langue. Je dois dire que j’ai de la chance car elle a une préférence très nette pour ma chatte impeccablement épilée. Virginie me fait allonger sur le canapé, jambes bien écartées, et après quelques petits coups de langue sur mes tétines, elle descend en direction de ma chatte qu’elle ouvre d’un autre coup de langue. Il n’en faut pas davantage pour qu’aussitôt tout mon corps se tende et qu’un cri s’échappe de mes lèvres.

– Ahhhhhhhhhhh !

Je soulève alors mes reins et sa langue s’enfonce davantage et me pénètre exactement comme une petite bite. Commence alors un travail savant qui m’amène très vite à mouiller. Bientôt, ma chambre résonne de bruits de langues, de gémissements et de petites phrases du genre :

– Aspire-moi le clito ! Inonde-moi bien avec ta salive !

Les orgasmes arrivent à la chaîne, mais moi je ne veux pas encore jouir… et cette salope de Virginie le sait bien Sa langue mouille lentement ma chatte qui s’ouvre à son maximum. Sans cesser de me lécher, elle me branle les seins, me presse les pointes qui n’en peuvent plus de durcir. C’en est trop, cette fois-ci je supplie :

 » Plus vite ! lèche-moi plus vite ! Je vais éclater !  »

Elle accélère sa langue et trois secondes plus tard, je hurle de plaisir. Ensuite, chaque bouche défile dans ma chatte jusqu’à ce que le n’en puisse plus.

La dernière fois, nous n’étions que trois, il y avait Prisca la belle antillaise aux fesses bien rebondies et puis bien entendu, Virginie. Ce jour là, elle a innové, j’étais sur le canapé les jambes écartées, et elle me léchait consciencieusement. Seulement j’avais une envie de pisser plutôt grave, je le lui dis :

– Arrête-toi ! Il faut que j’aille faire pipi !
– Pas question ! Me répondit-elle.
– Non ne déconne pas, Virginie ! J’ai trop envie, je risque de te pisser dessus !
– Mais, Marine ça ne me dérange pas du tout ! Au contraire, tu le sais bien ! Me répondit-elle
– T’est vraiment une petite salope, ma chérie ?
– Oui, ma chérie !

Alors je me lâche, et je libère mon jet d’urine qui atterrit tout droit dans le gosier de Virginie. Cette cochonne absorbe tout ce qu’elle peut et s’en pourlèche les babines. Mais j’en fait vraiment beaucoup ! Alors Prisca ma copine antillaise, qui observait la scène prend une carafe que j’avais préparé pour le thé et me la présente de façon à ce que je finisse de faire dedans…

Mais je sens comme une autre envie, un peu plus consistante…

– Je ferais bien un petit caca, ça intéresse quelqu’un ?
– Moi, moi ! Répondit Virgine.
– Alors en position !

J’ai fais ma petit crotte sur le visage de Virginie qui se marrait comme une bossue, J’ai ramassé l’étron et je l’ai léché un peu le trouvant très bon, les deux copines l’ont léché aussi, puis je l’ai jeté dans la carafe qui contenait déjà mon pipi.

 

Greta Heidi Inga31

Mais ne croyez par que les choses s’arrêtent là ! Je vais prendre dans une cachette secrète ma collection de godes et là, commence une partouze d’enfer, qui s’est terminée une demi-heure plus tard autour d’une tasse de thé avec des petits gâteaux que nous avions bien mérité ! Sauf que ce jour là, le thé avait une saveur et une couleur bien particulière !

 

Fin

Exercice de contrôle : L’auteur a-t-il mouillé sa petite culotte en écrivant ce texte ? Si oui racontez cette péripétie en quelques lignes et envoyez tout cela à mt_devillers@hotmail.fr

Marine et Thibault – Janvier 2001

 
Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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