Fils bâtard qu’un notaire respecté de Florence a eu avec une servante d’auberge, il a été élevé à la campagne par ses grands-parents paternels. Veillent sur lui sa grand-mère, sa belle-mère et sa mère.
Convaincu des qualités de son fils, son père l’emmène à Florence pour le former dans l’atelier du maître Verrocchio. Là, l’élève ne marque pas seulement ses contemporains par ses qualités intellectuelles et artistiques : il tranche aussi par son physique éblouissant. Haut de plus d’1,90. Le jeune Léonard de Vinci était un éphèbe au corps élancé, à la chevelure blond vénitien et aux yeux clairs. Bien plus qu’un physique, il apparaissait charmant, drôle, séducteur –sans parler de ses talents. Irrésistible donc, mais aussi scandaleux : il attirait bien des médisances et des jalousies.
Notons l’absence de femmes dans son entourage : le maître passe toute sa vie entouré d’hommes. Au cours de ses multiples pérégrinations, il est accompagné par une petite troupe de garçons, les élèves qui composent sa bottega, son atelier
.
Ses dessins témoignent du plaisir évident
qu’il prend à tracer les membres du corps masculin, un plaisir qu’on ne retrouve pas pour ceux de la femme. Les hommes qu’il représente sont souvent parés d’une ambiguïté androgyne. Son Saint
Jean-Baptiste, dont le sourire et le doigt tendu n’évoque guère la dévotion, a de quoi déconcerter.
Ces jeunes hommes prennent, en fin de journée, des parties de plaisir avec un modèle qui leur a plu, et cela n’a rien d’extraordinaire : les pratiques de ces ateliers d’artistes font école.
La discrétion de Léonard sur sa sexualité remonte précisément à un scandale qui a failli ruiner sa vie. Il a 24 ans et débute sa carrière d’artiste à Florence. Une nuit, quelqu’un glisse une dénonciation anonyme dans le tamburo, cette boîte qui recueille délations et calomnies du tout-venant. Le matin, l’accusation est lue par des officiers : quatre garçons sont accusés de sodomie en réunion. Parmi eux figure «Lionardo di ser Piero da Vinci». Un neveu de Laurent le Magnifique, alors à la tête de Florence, est également mis en cause.
La dénonciation est jugée suffisamment sérieuse pour qu’une enquête soit diligentée. Il existait un tribunal des « Officiers des sodomites » à Florence pour condamner l’homosexualité. L’accusation était gravissime car elle pouvait conduire au bûcher. Tout Florence se passionne pour ce fait divers qui impliquait un homme apparenté aux Médicis. Léonard comparaît le 8 avril 1476 après avoir passé quatre mois en prison. Un non-lieu est rendu. Mais sa sexualité reste étalée sur la place publique… On imagine la risée et la colère de son père, célèbre notaire, qui l’envoie hors de Florence.
Si rien ne permet d’étayer cette légende, aussi tenace
que celle voulant qu’elle ait passé en revue sa garde prétorienne en érection, le tempérament de feu de l’impératrice de toutes les Russies ne fait aucun doute. Selon les historiens, elle aurait
eu une bonne vingtaine d’amants recensés, dont Gregori Orlov et le fameux Grigori Potemkine, un officier de sa garde, qu’elle couvrit de présents. Lorsqu’il s’éloigna de son lit, Potemkine resta
son conseiller politique et lui fournit des amants. L’un d’eux, Zimski Kosakov, serait mort à 24 ans en sa compagnie après un abus d’aphrodisiaque.
L'idée qu'une belle
queue brûlante pourrait frôler (oh ! pas bien fort !) l'entrée de sa bouche lui laisse échapper une plainte. Le ventre lui brûle et palpite. Le frottement de ses cuisses l'une contre l'autre la
met hors d'elle.
Marguerite de Valois dite la Reine Margot (1553-1615),
En 1750 son « Discours sur les sciences
et les arts » il écrit que « l’homme naît naturellement bon et heureux », ce en quoi le père Rousseau s’est bien fout le doigt dans l’œil
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