Estonius

Dimanche 24 juillet 2022 7 24 /07 /Juil /2022 08:00

Dépannage pervers par Estonius
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Bonjour

Je suis Vincent, bientôt 30 ans, je suis pour le moment célibataire, ma compagne ayant été voir ailleurs. Je suis hétéro mais pas à 100 % si vous voyez ce que je veux dire.

L’histoire commence un samedi matin quand on vint frapper à ma porte. J’ouvre, c’est le voisin du dessus, un blondinet dans les 25 ans.

– Excusez-moi, vous avez Internet en ce moment ? Parce que moi, je ne sais ce qui se passe…
– Je vais regarder, entrez cinq minutes.

J’ouvre mon ordi, je ne décèle aucun problème.

– Non, tout est normal ça doit venir de votre machine.
– J’y connais rien, je vais essayer d’appeler la hotline mais ça va être galère.
– Vous voulez que je regarde ?
– Ce serait gentil, mais je ne voudrais pas abuser.
– Allons-y !

On monte là-haut, il me présente sa mère que je croise souvent dans l’escalier sans que nos relations aillent au-delà des bonjour, bonsoir.

Belle brune, cheveux noirs assez court et frisotants, lunettes à grosse monture, sourire carnassier et une poitrine que je ne vous en parle même pas.

– Je m’appelle Hugo, me précise le blondinet.

Sa chambre est un vrai bordel, des bouquins des DVD, des disques, des revues, des canettes de bière vides, des cendriers non vidés et j’en passe…

Mon œil de fin renard est tout de même surpris de voir au milieu de tout ce bordel, une revue gay très hard. Ainsi le mec est homo, ça ne m’étonne qu’à moitié mais ce ne sont pas mes oignons.

Je vérifie les connexions de son ordi, m’aperçois que la prise RJ45 est déplacée, je la remets correctement, mais pas très facilement car elle est à moitié cassée. Et voilà que ça refonctionne. Son navigateur était paramétré pour s’ouvrir sur la dernière page web visitée. Or la dernière page visitée était celle d’un site gay très explicite.

– Ah vous me sauvez la vie ! Faites pas attention aux images, je surfais… un peu n’importe comment.

Ben voyons !

– Je suis content de vous avoir rendu service !
– Je vous offre une bière ?
– Volontiers, on peut peut-être se tutoyer, on a à peu près le même âge.
– Bien sûr !

Je sens que le mec est gêné d’avoir ainsi dévoilé sans le vouloir son homosexualité, je fais donc dans le rassurant :

– Moi aussi ça l’arrive d’aller sur des sites comme ça ! Lui confiais-je.
– Des sites gays ?
– Oui, entre autres. Y’a pas de mal à se faire du bien !

Hugo ne semble plus gêné, mais est visiblement en train de se demander comment peut évoluer la situation. Je décide de le provoquer un peu.

– C’est vrai que le mec sur l’écran il a une jolie bite !
– Oui, j’aime bien !
– Moi aussi j’aime bien les jolies bites, ça m’est même arrivé d’en sucer !
– Ah oui ?
– Ben quoi, faut pas mourir idiot.

Et Hugo se met à se tripoter la braguette, attendant manifestement une réaction de ma part.

– Et toi tu aimes sucer ? Relançais-je.
– Oui j’adore, Et j’aime bien qu’on me suce aussi.
– Tu aimerais que je te suce ?
– Pourquoi pas ?
– C’est vrai, on le fait ?

Le mec dégrafe son pantalon qui lui dégringole sur les chevilles. En dessous il a un string, un string de femme.

– J’aime bien porter ça ! Dit-il comme pour s’excuser avant de le baisser à son tour.

Il se branle un peu la bite afin de la raidir comme il convient et me l’exhibe.

– Alors t’en dit quoi ?
– Elle est très belle !

Un petite merveille ! Taille standard, très légèrement courbée, le gland décalotté luisant… un amour de queue !

– On ne sera pas dérangé ? Demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas !

Je m’agenouille, ouvre mes lèvres, et hop dans la bouche la bite à Hugo !

Humm, qu’est-ce qu’elle est bonne cette bite, je me régale d’autant que cela faisait plusieurs mois que je ne m’étais pas donné à ce genre de fantaisie.

Je lèche un peu partout, le gland, surtout le gland, je balaye la verge de haut en bas, puis de bas en haut, en même temps je lui caresse ses grosses couilles. Puis je me mets à pomper cette bite m’efforçant de la faire pénétrer au maximum dans ma bouche au point que ça me cogne dans l’intérieur des joues.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite ! Commentais-je en reprenant mon souffle !
– Tu suces trop bien ! Me répondit-il
– Tu me la mettrais dans le cul ? Demandais-je.
– Ça peut se faire ! Tu voudrais maintenant ?
– Ben oui, pourquoi pas ?
– J’ai pas de capotes ici, je vais demander à ma mère !

Ais-je bien entendu ?

– A ta mère ?
– Ben oui, quoi… bouges pas, je reviens.

Il remonte son pantalon et me laisse seul. J’attends qu’il revienne pour me mettre à l’aise… seulement voilà… quand il revient il n’est pas seul, il est avec sa mère… ça se complique !

– Ben alors Monsieur Vincent, qu’est-ce que j’apprends ? Que vous êtes un petit coquin ?
– Ben…
– Ne vous inquiétez pas, j’ai les idées larges… vous êtes gay ?
– Non, hétéro mais avec quelques penchants…
– Je vois… j’ai apporté les capotes ! Ça vous gêne si je regarde mon fils en train de vous enculer ?

Mais où suis-je tombé ?

– Euh, non…
– Alors allez-y les garçons, foutez-vous à poil et offrez-moi un joli petit spectacle.

Situation insolite, mais après tout pourquoi pas ? Je me débarrasse de mes vêtements

– Vous avez une bien belle bite, Monsieur Vincent ! me complimente la mère d’Hugo, me permettez-vous de la prendre en main ?
– Bien sûr madame !
– Vous pouvez m’appeler Louisette. Et d’ailleurs on a qu’à se tutoyer, au point où nous en sommes…

Estonius depLa Louisette m’a pris ma bite, la branlotte, se penche un peu, je sens qu’elle va me la sucer, ça ne rate pas. Oh putain quelle lague elle a, la Louisette ! Elle a dû en sucer des kilomètres !

– Tourne-toi Vincent que je vois tes fesses ! Oh le joli cul ! T’as vraiment un petit cul de pédé !
– Ah bon ?
– Ça te fait bander quand je te dis que tu as un cul de pédé ?
– Oui, ça m’excite ! J’aime bien les mots crus…
– Quel cochon, penche-toi un peu, je vais t’embrasser le trou du cul !

Et sa langue se met à frétiller autour de mon trou intime, une vrai diablesse, cette nana !

– Hum, il a bon goût ton cul, mais dis-moi, tu voudrais peut-être gouter au mien ?
– Avec plaisir !
– Je vais me donner un coup de lingette avant, je ne me suis pas bien essuyé tout à l’heure… A moins que tu t’en fiches.
– Pas besoin de lingette ! Répondis-je, présumant que la situation ne devait pas être si catastrophique..

Me voilà derrière elle, derrière son gros cul qu’elle écarte. Ça sent bon, ça sent le cul, pas le gel douche !

– Tu peux me mettre un doigt si tu veux !

Je veux bien, et allons-y pour le doigt, je le mouille, le fait entrer et bouger comme il se doit.

– Hum, c’est bon tout ça, mais maintenant je veux mon petit spectacle, allez en position et ouvre bien tes fesses, Vas-y Hugo, il est prêt !

La bite d’Hugo est contre mon anus et quémande l’entrée, on me tartine avec un peu de gel. Une bonne poussée et le gland entre !

Une autre poussée et ça entre complètement ! Me voilà rempli, il y avait un certain temps que je n’avais pas connu cette sensation, une petite gêne au début qui s’estompe rapidement devant les frissons de plaisirs provoquées par les va-et-vient de cette bonne bite..

– Ne jouis pas dans son cul, Hugo, je veux ma part ! Déclare Louisette.

De quoi, de quoi ? J’ai du mal entendre, il ne va tout de même pas enculer sa mère !

– Tu voudrais qu’on te prenne en sandwiche, Maman ? Répond le fiston.
– Bonne idée !
– Alors on va faire comme ça, prépare-toi, pendant ce temps-là je vais continuer à lui limer le cul.

Euh, je rappelle que j’étais simplement venu dépanner l’ordinateur du voisin… Comment vais-je me dépêtrer de cette situation que la morale réprouve ?

Masi quand j’ai vu la Louisette se déshabiller, je n’avais plus du tout envie de me poser des questions philosophiques. Quelle poitrine superbe ! Envie de la lui lécher, ça ne devrait pas tarder…

Hugo décule

– Couche-toi par terre, me dit-il, ma mère va s’empaler sur ta bite, tiens voilà une capote.

O.K. c’est Hugo le gentil organisateur, j’obéis docilement et Louisette vient s’empaler sur mon sexe raide comme la justice. Puis elle se penche de façon à rendre son cul accessible à son fils qui l’encule d’un coup d’un seul !

Voici une figure de style qui demande une certaine coordination, mais nous la trouvons vite.

Ça n’a pas duré bien longtemps, nous avions, Hugo et moi du trop-plein de sperme dans les couilles. Tacitement nous avons attendu que la dame jouisse (et cela n’a pas été très discret) pour nous lâcher.

Tout le monde se relève en sueur.

– Un Coca, une bière ? Me propose la dame,
– Je veux bien une bière !!
– Vous êtes fort sympathique, mais je veux juste faire une mise au point, me dit Louisette, qui revient au vouvoiement, c’est l’occasion qui a nous a fait partouzer ! N’imaginez pas que nous allons prendre des habitudes…
– Oui bien sûr ! Murmurais-je.
– Je dis ça pour moi, en ce qui concerne Hugo, il assez grand pour faire ce qu’il veut.
– Oui bien sûr !

Hugo n’a rien ajouté, mais quinze jours plus tard son ordinateur était de nouveau en panne…

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Samedi 26 mars 2022 6 26 /03 /Mars /2022 07:18

A la recherche d’Alice par Estonius
Massage3

 

Voilà un bout de temps que je n’avais rien écrit, voici donc une toute petite histoire plus ou moins inspiré de faits réels. Bonne lecture !

Me voilà rentré bien plus tôt que prévu, et la bite sous le bras. Déjà le fait qu’il n’y ait pas de lumière m’avait intrigué, puis en m’approchant je découvrais une affichette « établissement sous scellés, brigade de répression du proxénétisme ».

Proxénétisme ? N’importe quoi ! Ici on ne forçait personne, tout se passait dans la bonne humeur ! Quel est donc ce malade qui s’est livré à une dénonciation ? Qui sont ces flics qui au lieu d’emmerder des adultes consentants seraient mieux à leur place en enquêtant sur les véritables réseaux de traite des blanches ? J’ai la rage !

Mais de quoi s’agit-il ?

Je vais tout vous raconter, ça me calmera.

Je suis un habitué des salons de massage asiatiques. Ces instituts sont une vraie loterie, cela va su sublime au sordide.

Le massage est parfois nul, la finition (parce que tout le monde ou presque ne vient que pour ça) n’est parfois même pas proposé. Il n’est pas toujours permis de toucher la masseuse, laquelle opère parfois en tenue de ville !

Et puis la différence n’est pas seulement d’un institut à l’autre mais parfois d’une masseuse à l’autre dans le même institut. La raison en est simple : afin de ne pas être accusés de proxénétisme, les gérants des salons interdisent formellement toutes prestations sexuelles (c’est d’ailleurs clairement affiché à la caisse et même dans les cabines). Tout écart en ce sens est censé être ignoré de la direction et laissé à la discrétion des masseuses qui font évidemment ce qu’elles veulent.

Je n’évoquerais pas non plus ces instituts où, la prestation étant terminée, ces demoiselles insistent bien lourdement pour que vous preniez une douche ! Et pourquoi donc ? Pour vous faire les poches, pardi !

Donc tout a commencé un soir d’hiver dans cette petite rue du 17ème arrondissement, où il y a plusieurs salons, j’entre dans celui-ci au hasard. Jolie femme à la caisse, je choisis une prestation basique de 60 minutes. Une autre jolie femme en blouse blanche vient me chercher. Et hop, nous voici en cabine (très étroite la cabine) dans laquelle je me déshabille.

– Moi Alice ! me dit-elle
– Moi, c’est Etienne.
– Si toi, petit billet, moi plus coquine.

En voilà une qui ne perd pas de temps, je sors 20 euros de mon larfeuille, ça a l’air de lui convenir. Du coup elle déboutonne sa blouse. Joli corps, jolie peau, jolis seins tous ronds, et belle foufoune plutôt poilue.

Et la voilà qui me masse. Assez énergiquement. Je me fous de savoir si c’est un vrai massage ou pas, tout cela n’est qu’un prétexte pour ce qui va venir après. Pour l’instant elle me masse les épaules, le dos, les bras, les mollets, les cuisses. De temps en temps elle me demande d’une voix très suave :

– Ça vaaaaa ?

La deuxième « a » formant une étrange mélopée.

Elle semble avoir complétement oublié mes fesses, ce n’est peut-être pas dans son programme ?

Si, ça y est, mais seulement au bout d’un quart d’heure. La voilà qui me les triture dans tous les sens et m’écarte les globes. Par un savant mouvement d’approche, je sens son pouce s’approcher de mon trou de balle.

– Ça vaaaaa ? Répète-t-elle en augmentant la pression.
– Oui, oui,
– Je masse ici ?
– Je veux bien, oui !

Dingue, me voilà avec son doigt dans mon cul, et cette diablesse le fait aller et venir. Que c’est bon ! Je m’abandonne à cette douce caresse. Mais les bonnes choses ont toujours une fin, elle me demande de me retourner. Bien sûr je bande comme un âne.

– Toi en forme ! Commente-t-elle.

Mais elle ne me touche pas la bite, me massant le torse, les épaules, les cuisses, les mollets… Elle revient sur le torse, s’attarde sur les tétons.

– Tu aimes, là ?
– Oui, pince-les.

Elle retire sa blouse, la voici intégralement nue, je lui demande si je peux la caresser. Elle veut bien, et je balade ma main sur ses douces cuisses et sur ses fesses légèrement rebondies.

– Comme ça ? Demande-t-elle en me pinçant légèrement les tétons.
– Plus fort ! Oui comme ça ! C’est bon.
– Toi un peu masokiste !
– Un petit peu ! Répondis-je en m’amusant de sa prononciation.
– Je peux donner fessée !
– Pas aujourd’hui, continue les tétons, j’aime bien.

Estonius322Après quelques minutes de ce traitement, et sans rien me demander, elle s’empare de ma bite et commence à me masturber. Je sens que je vais craquer. Effectivement elle me fait jouir en quelques instants.

Je vais pour me relever, mais elle me fait signe d’attendre. Alors délicatement, elle prend une lingette pour me nettoyer le zizi, puis si comme si cet épisode très hot n’avait été qu’un intermède, elle continue son massage jusqu’à ce que les 60 minutes soit écoulées.

– Toi content ?
– C’était très bien !
– Toi revenir ! Surtout demander Alice !

Et nous échangeâmes un chaste bisou sur le bord des lèvres .

Pas de problème !

Je revins une dizaine de jours après et je demandais donc Alice. La femme de la caisse me proposa une carte de fidélité, m’expliquant qu’au bout de 10 séances, la onzième serait gratuite, puis je fus invité à attendre Alice dans un petit salon d’attente.

La prestation fut quasiment identique à la première fois, la surprise était en moins mais l’efficacité était toujours là.

Quelques semaines passèrent, j’en étais à ma huitième séance et ce jour-là, je fus fort dépité quand la caissière m’informa qu’Alice n’était pas disponible ce jour.

– Suzy et Lana sont là, mais ne seront pas libre avant une heure, elles font un massage à quatre mains, et Lana a un rendez-vous tout de suite après, sinon aujourd’hui on a aussi Cheng, c’est un jeune homme.
– Un jeune homme ?
– Oui, il ne vient qu’une fois par semaine, le jeudi, Ça vous intéresse ?
– Non, je préfère une femme.
– Je vous bloque une séance avec Suzy dans une heure ?
– Je ne sais pas, Alice sera là demain ?
– Non, elle ne revient que dans 10 jours.
– Bon, je reviendrais peut-être demain !
– Vous voulez qu’on prenne rendez-vous ?
– Non, je ne suis pas sûr de venir.
– Demain nous aurons aussi Ava, c’est une lady boy ? Si ça vous intéresse, profitez-en, elle n’est pas là souvent, et elle est très demandée !

Une lady boy ? Depuis le temps que fantasme sur ces créatures androgynes. Je n’hésite même pas :

– D’accord, demain 16 heures ?
– Parfait !

Le lendemain, j’étais pile à l’heure. Ava est une grande perche de 1,80 m au visage très féminin encadré par de longs cheveux de jais.

Elle me fait un clin d’œil et m’invite à la suivre.

– Si tu veux que je sois coquine, tu me donnes un petit billet.

Exactement la même formalité qu’avec Alice, donc, sauf qu’Ava s’exprime mieux en français. Je lui donne donc 20 euros de pourboire. Et je me déshabille. Ava a ouvert sa blouse, Sa poitrine est glabre mais non transformée, elle a de jolis tétons très bruns. Je suis un peu déçu qu’elle ait gardé son string. Ne soyons pas timide, je lui demande :

– Tu n’enlèves pas ton string ?
– Tu veux voir ma queue ?
– Oui, j’aimerais bien !
– Tu aimes les queues ?
– Disons que c’est un fantasme !
– Je te la montrerai tout à l’heure !

Tout à l’heure, dans ce genre de prestation, ça peut tout aussi bien vouloir dire jamais ! Tant pis pour moi ! Bien sûr je pourrais lui glisser un billet supplémentaire, mais à ce jeu-là, on sait quand ça commence, mais jamais comment ça finit.

Je me laisse masser, le massage est très physique, il n’a rien d’érotique et mon esprit s’évade. Au bout d’un quart d’heure, il s’occupe de mes fesses. Est-ce que ça va devenir intéressant ?

Il commence par un bon malaxage qu’il fait durer un peu, j’attends, peut-être aurais-je droit à un doigt…

Puis au moment où je m’y attendais le moins, le voilà qui se couche pratiquement sur moi, il a son bas ventre contre mon cul et se livre à une série de frottements successifs entre mes fesses. La sensation est trouble et étrange car au fur et à mesure de l’action je sens sa bite qui se met à bander. Quant à la mienne, elle s’est joyeusement réveillée et ne tient plus en place.

Hélas, ce petit jeu ne dure pas, et Ava me demande de me retourner. Sa queue en érection déforme son string. Il regarde la mienne avec un sourire amusé et y porte la main.

– Il faut que je te calme ! Commente-t-il tout en me masturbant très doucement.

De son autre main, il fait sortir sa bite par le côté du string, un bel engin !

– Tu voudrais la sucer ?
– Oui !
– Tu aimes ça, sucer des bites ?
– Oui !

Je ne vais pas lui raconter ma vie, il (elle) n’a pas besoin de savoir que ça fait une éternité que je n’ai pas fait ce genre de choses.

– Ici, ce n’est pas possible ! Mais je peux te donner mon numéro de téléphone, tu viendras chez moi, ça t’intéresse ?
– Si le prix est raisonnable… Répondis-je tout en m’étonnant que la chose ne « soit pas possible ici. »

A tous les coups, il veut m’attirer pour une prestation plus longue, donc plus chère.

– Ne t’inquiète pas pour le prix ! On pourra se sucer tous les deux, et même faire des choses encore plus coquines. Ajoute Ava

– Hummm !
– T’aimerais que je t’enfonce ma bite dans ton cul !
– Je ne sais pas ! Je n’ai jamais essayé ! Disons que ça me tente !
– Tu ne seras pas déçu, il parait que j’encule très bien !

Et tout en me parlant, il accentue ses mouvements sur ma bite qui est prête à exploser.

– Laisse-toi aller ! Pense à ce qu’on va faire ensemble.

Je ferme les yeux. Il continue. Je sens que je vais venir. Ça y est ! La jouissance est fulgurante. Ava m’essuie avec des lingettes. Il réajuste son string, puis reprend son massage. Je me laisse faire, je plane à moitié.

Dès le lendemain, je téléphone à Ava et après avoir convenu du prix, rendez-vous fut pris à 18 heures dans un immeuble de l’Avenue de la Porte de Choisy en plein quartier chinois.

Ava m’ouvre avec un grand sourire, elle est en jeans et en tee-shirt.

– Je te présente Cheng, c’est mon boy-friend.
– Ah, bonjour !

Qu’est-ce qu’il vient faire ici celui-là ? J’espère qu’il va foutre le camp.

– Si tu veux, me dit Ava, Cheng peut participer, il est très doux, les poils rasés et il a une jolie bite.
– Non, non, juste tous les deux !
– Il va te montrer sa bite, ça ne t’engage à rien.

Cette tournure commence à m’agacer. Cheng extrait de son pantalon une bite à demi bandée. Je dois avouer que c’est tentant.

– Une autre fois ! Là on va rester tous les deux. Je n’aurais pas assez d’argent.
– Imagine, une bite dans le cul, une autre dans la bouche.
– Une prochaine fois !

Cheng se masturbe et sa queue a maintenant atteint une bonne vigueur. Heureusement que j’ai pris la précaution d’emporter que très peu d’argent liquide.

– Pour lui, je te fais demi-tarif !

Je me surprends à faire un rapide calcul mental, j’ai juste ce qu’il faut. Je me lance ou je me lance pas ? Je me lance en espérant que je ne serais pas déçu. On passe dans la chambre et on se déshabille tous les trois. Ava et Cheng sont côte à côte.

– Viens nous sucer !

Ben, oui, je suis là pour ça ! Et je commence par mettre en bouche celle d’Ava ! Quelle sensation, quand je pense que je me suis privé de ce plaisir pendant si longtemps. La texture est d’une douceur inimaginable, le goût en est légèrement salé. Quel régal ! J’essaie l’autre, celle de Cheng. Aussi douce, mais l’odeur est plus forte.

Je suis dans un état d’excitation incroyable à ce point qu’à un moment je me demande si je ne vais pas éjaculer sans avoir rien fait. Je ne sais plus où donner de la bouche avec ces deux bites qui me narguent et me provoquent, je les lèche, je les suce, je les embrasse, je les engloutis, je vais partout du gland jusqu’aux testicules et quand j’ai fini, je recommence. Gloup.

Je ne sais combien de temps a duré cette fantaisie, mais j’en ai la tête qui tourne et la mâchoire douloureuse !

– Tu veux qu’on t’encule ? Me propose Ava.

La question aurait été posée à froid, j’aurais sans doute temporisé en prétextant que je ne me sentais peut-être pas encore prêt pour ça, mais là je n’hésite pas une seconde. On me fait mettre sur le lit et je me positionne en levrette.

– T’as un joli cul ! Me confie Ava.

On en apprend tous les jours !

Ava me trifouille le trou du cul avec le doigt, merveilleuse sensation, d’autant que ce doigt ne reste pas seul, je ne sais pas combien il m’en introduit, deux, trois, je n’ai pas apporté de rétroviseur ! Il finit par les retirer. Ça y est c’est le grand moment, je sens son gland contre mon trou du cul, je m’ouvre au maximum, ça un peu de mal à entrer, on fait plusieurs tentatives et hop, ça y est c’est entré ! Pas trop agréable au début, mais il y va doucement et bientôt la gêne et la douleur passent au second plan. Je suis en train de me faire enculer pour la première fois de ma vie, et j’en suis plutôt satisfait !

Pendant que Ava me laboure le trou du cul, Cheng m’a donné sa bite à sucer. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche, c’est quand même pas mal pour un hétéro !

Ava semble excitée par la situation et accélère la cadence provoquant dans mon cul une étrange et nouvelle sensation de plaisir et de bien-être.

Il m’a limé ainsi pendant près de dix minutes tandis que je suçais son copain. Au bout de ce temps les deux coquins intervertirent leur position, c’est-à-dire que Cheng m’enculait tandis que je suçais Ava. Ils s’excitèrent ainsi avec moi jusqu’à leur jouissance. Quant à moi je ne savais trop comment conclure, aussi commençais-je à me masturber quand Ava me fit comprendre, que cela ne la dérangerait pas d’avoir ma bite dans son cul ! Pas de problèmes, entre enculés on se comprend et on se doit être solidaires !.

Je quittais les lieux plutôt ravi, mais néanmoins avec un certain mal de cul.

Quelques jours plus tard je retrouvais Alice à l’institut. La prestation était toujours aussi agréable mais n’évoluait pas.

– Toi aller avec qui quand moi en vacances ?
– Ava !
– Ava avoir une bite !
– Je sais !
– Toi aimer les bites ?
– Ça change !
– Cheng ?
– Aussi, oui !
– Ah !

Et la foi suivante fut la dixième, ma carte de fidélité était donc remplie. La prochaine fois devait donc être gratuite.

Devait !

Parce que maintenant c’est fermé. Je suis dégouté, j’ai même pas faim, je ne sais pas quoi faire.

Et puis soudain l’idée ! J’ai le numéro d’Ava, je lui téléphone. Il (Elle) ne répond pas, je laisse un message en lui demandant de me rappeler. Puis je rentre à la maison et me plante devant la télé en regardant des conneries.

Huit jours plus tard, Ava ne m’avait toujours pas rappelé. Je compose le numéro sans y croire. Miracle : ça décroche :

– Ava ?
– Oui !
– C’est Etienne, vous vous souvenez de moi ?
– Pas du tout !
– J’étais venu chez vous pour un rendez-vous, et il y avait Cheng aussi.
– Vous voulez un rendez-vous ?
– Non, un renseignement, je cherche à retrouver Alice…
– Au téléphone, on ne sait jamais à qui on a affaire…
– Je peux passer vous voir ?
– Si vous voulez ! Mais je ne reçois que pour des rendez-vous pour des massages.

Pourquoi cet étrange changement de comportement, elle est peut-être bipolaire, la transsexuelle ?

Nous avons néanmoins pris rendez-vous et elle a insisté pour que je sois à l’heure.

Je fus donc ponctuel et Ava m’ouvrit en tee-shirt rouge et jeans. Seul son beau visage et ses cheveux longs trahissait son côté ambigu.

– Ah ! C’est vous ! Entrez, je reviens !

Elle est tout sourire, en fait elle n’a m’avait pas reconnu lorsque j’avais téléphoné.

Elle me laisse seul quelques courtes minutes, et quand elle revient elle s’est changée et s’est revêtue d’un kimono.

– Vous voulez boire quelque chose ?
– Non merci !

Et la voilà qu’il ouvre son kimono, elle porte sa main à sa bite et la fait rapidement bander. J’ai du mal à avaler ma salive.

– Ça te dit ?
– Je ne suis pas vraiment venu pour ça !
– Ça te dit ? Répété-t-il

J’essaie de me dominer ! En fait j’ai peur qu’elle profite de la situation et qu’elle ne me donne pas le renseignement que je suis venu chercher. Mais c’est vrai que sa bite me fascine.

– Je venais pour avoir les coordonnées d’Alice. Si tu me les donnes, d’accord, je te suce.

Elle s’en va dans un coin, trifouille dans ses affaires et me recopie quelque chose sur un bout de papier qu’elle me donne. J’espère que ce n’est pas bidon !

– Voilà, allez fais-moi mon petit cadeau et déshabille-toi. Je suis en forme, tu vas voir comme je vais bien enculer ton petit cul !

Un minute après j’avais sa bite dans la bouche !

Quel bonheur de sucer cette bite ! Elle un a aujourd’hui un vague arrière-gout de pipi, elle n’en est que meilleure Je joue des lèvres et de la langue, me régalant de toutes les parties de cette queue parfaite au gland magnifique.

– Tu suces bien ! Me dit Ava ! Mais ça pourrait être encore mieux, Je vais te montrer !

Il va me montrer quoi ?

Il sort alors de je ne sais où un godemiché très réaliste muni d’une ventouse et le colle sur la table, puis il sort sa langue et fait quelques mouvements à la base du gland.

– A toi !

Je fais comme il m’a montré, il me dit de ne pas aller trop vite, me corrige..

– Maintenant, suce !

Je m’applique tellement que sa bite est bientôt raide comme un bout de bois.

– Tu veux que je te la foute dans le cul.
– Oui, bien sûr !
– Mais avant j’ai envie que tu me suces la rondelle.

Il se tourne et me présente son cul dont il écarte les globes. J’avoue trouver cette rosette brune fort sympathique mais je ne m’attendais néanmoins pas, à ce genre de sollicitation.

J’approche mon visage et tente un premier coup de langue. Ça m’amuse et ça m’excite car je trouve la pratique extrêmement perverse d’autant que l’anus commence à s’entrouvrir très légèrement.

– Humm, j’adore ça me confie-t-il.

Mais il se retourne, me demande de me mettre en levrette et m’encule comme il se doit. Et pendant ce temps là je me branle comme un malade.

Je sors, un peu épuisé par cette prestation, je me pose dans un bistrot et m’empresse de composer le numéro de téléphone que m’a communiqué Ava.

Ça ne répond pas, je laisse un message… le répondeur n’est pas personnalisé.

Dix fois, quinze fois, je ne sais plus… ais-je tenté de joindre Alice et j’ai fini par laisser tomber.

Que s’est-il passé ? Je me suis d’abord persuadé qu’Ava m’avait refilé un numéro bidon, une façon comme une autre de me conserver comme client au détriment d’Alice ! Si c’est le cas, il peut toujours courir… Et puis je me suis dit ensuite qu’il y avait plein d’autres hypothèses .Peut-être ne répond-elle pas aux numéros qu’elle ne connait pas ? Peut-être a-t-elle changé de téléphone ? Peut-être a-t-elle été expulsée de France. Bref je ne saurais jamais.

Alors j’ai continué à fréquenter les instituts de massages avec des fortunes diverses, mais je ne fidélisais plus. Sans doute inconsciemment pensais-je retrouver Alice dans un autre salon ?

Et ce jour-là, je me dirige vers cet institut où je n’ai jamais mis les pieds.

– Un massage d’une heure, s’il vous plait !
– Bien sûr Monsieur, c’est Alice qui va vous masser.
– Alice ! M’exclamais-je.
– Vous la connaissez ? me demande la caissière.

Je ne sais pas ce que j’ai répondu, mais j’ai bien bafouillé.

Et voilà qu’arrive Alice ! Evidemment ce n’est pas la même ! C’est fou le nombre de masseuses qui se font appeler Alice !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 18:01

Les collants existent, d'ailleurs j'en ai vu ! par Estonius

Coup de gueule (du latin coupdegueulus)

Collants2

 

Le père Tiroir qui a su si bien décrypter le récit érotique disait à propos du collant : 

Collant : accessoire tellement vilipendé dans les récits érotiques qu'on se demande qui ose encore acheter ce genre de machin ?

Alors je me suis dit : ils vont s'arrêter, se rendre compte que dans la vrai vie (comme on dit) le collant existe !" Alors j'ai continué à lire des récits érotiques et un jour je suis tombé sur cet extrait :

 

- Je vois que sur le contrat , vous exigez que les vendeuses ne portent jamais de pantalon et que leur robes ou jupes ne dépassent jamais le genou. D'autre part les collants sont interdits, vous n'en vendez pas d'ailleurs.

- Les collants sont une hérésie, encore plus dans un établissement qui vend de la lingerie

- C'est bien mon avis !

(in "la guerre des classes aura-t-elle lieu ? Partie 9" par un auteur signant "Catherine", publié sur le site de Revebebe, (et retiré depuis)

 

Evidemment c 'est son droit le plus absolu à Monsieur Catherine de proclamer cela ! Mais c'est aussi le mien de d'hurler ! "Y'en a marre"

 

J'ai le droit de dire que j'appartiens à une génération qui lorsqu'elle fantasmait sur une fille qui se déshabillait , c'est son collant qu'elle en enlevait et pas autre choses ! J'ai aussi le droit de dire que le fantasme du collant existe et qu'il y a de nombreux sites aux Etats-Unis qui lui sont consacrés ! Ben oui !  Ça fait drôle de voir s'écrouler parfois quelques idées reçues

 

Allez on se calme !  Et sans rancune, le monde de l'érotisme est assez grand pour accueillir les amateurs de porte-jarretelles, ceux des auto fixant et ceux des collants. Laissons donc les exclusives et les invectives aux représentants de religions

 

En prime, voici un petit texte anonyme que j'ai corrigé, extrait des archives de Sophiexxxx où justement la vedette est un collant

 

Collants

 

CollantsDepuis que ma mère a divorcé, ce n'est plus la même femme, elle est devenue guillerette, enjouée, s'habille et se maquille mieux, mais sans être provocante. Bref elle est devenue une femme mature désirable. Elle ne s'est pas remise avec quelqu'un mais elle m'a confié avoir un copain qui vient la voir de temps en temps. Je ne la rencontre pas souvent, uniquement quand mon boulot m'amène en Bretagne, autrement dit deux ou trois fois par ans.

Ce jour-là, j'étais arrivé vers 16 heures, après avoir bien papoté, elle m'a dit qu'elle aimerais bien regarder son feuilleton à la télé. 

 

Flute et zut et crotte de bique, me voilà obligé de regarder une niaiserie sans nom pendant près d'une heure, mais que voulez-vous, il faut parfois faire des concessions dans la vie.

 

Ouf, c'est fini, ma mère à l'air ravie

 

- Qu'est qu'il est beau, Gilles Kermayeur ! Me dit-elle en me parlant d'un des acteurs du feuilleton.

- Ah, tu trouves ?

- Oui, je me l'enverrais bien !

- Carrément !

- Ben oui, y'a pas de mal à se faire du bien, quand je pense que je suis restée coincée pendant plus de 25 ans !

- Mais tu as un copain !

- Certes, mais je ne vais pas le voir aujourd'hui ! C'est dommage il me fait mouiller Kermayeur.

 

Le terrain devenait glissant.

 

- Bon, on parle d'autre chose ?

- Pourquoi, je te choque ?

- Non pas du tout !

- Mais si je vois bien que tu es choqué

- Non, je te dis !

- Alors on s'embrasse.

 

O.K. on s'embrasse, mais c'est qu'elle me serre fort dans ses bras, je ne vais quand même pas lui faire l'affront de me dégager. 

 

- Laisse toi faire !

 

Ses lèvres sont sur les miennes. 

 

- Non ! Pas comme ça ! Protestais-je !

- Pourquoi on fait quelque chose de mal ?

- Ça ne se fait pas !

 

Mes lèvres se sont ouvertes, sa langue est entrée dans ma bouche, on s'est embrassée, je me suis laissé faire et on s'est roulé une véritable galoche.

 

- Touche mes cuisses ! Je suis encore plus mouillée.

- Mais tu es ma mère !

- Justement, c'est encore plus excitant.

- Euh… 

- Je ne suis pas une belle femme ?

- Oh ! si !

- Alors, touches, les tabous c'est fait pour être brisé.

 

J'ai mis la main sur ses cuisses, elle est en collants, complètement excité par la situation je la caresse à travers le tissu soyeux, ma main ose remonter jusqu'à l'endroit de sa chatte, après tout elle l'a voulu. Effectivement c'est mouillé ! Et moi je bande comme un âne. 

 

Ma mère me touche la braguette et en extrait mon sexe bien dur. Elle se penche pour… elle ne va pas faire ça ? Si, elle le fait, elle a ma bite dans sa bouche.

 

Elle me suce joliment un moment puis elle s'arrête, me propose que nous nous mettions à l'aise, je suis vite nu ne gardant que mes chaussettes, elle retire son haut et son soutien-gorge dégageant une poitrine superbe qui m'attire comme le miel pour une mouche, je lui tète ses tétons durcis d'excitation, je suis dans un autre monde.

 

Elle se recule, elle est belle comme ça à moitié nu, n'ayant gardé que son collant. Elle va fouiller dans un tiroir, en sort un préservatif et me le tend. Je ne vais quand même pas baiser ma propres mère ? Mais n'empêche que j'enfile la capote. Ma mère retire son collant en fait une boule et s'affale sur le canapé, jambes écartées 

 

Je me suis avancé, bite en avant et j'ai baisé ma mère, elle a hurlé très vite sa jouissance et j'ai continué à la limer jusqu'à ce que j'éjacule.

 

- Qu'est-ce que tu m'a fait faire ? Commentais-je

- Tu regrettes ?

- Non, pas du tout !

- Alors embrassons-nous.

 

On s'est ensuite calmé et nous avons papoté, puis j'ai profité du bon petit repas qu'elle nous avait préparé. Elle m'a proposé que nous dormions dans son lit. Pouvais-je refuser ? Nous avons refait l'amour en nous couchant.

 

Le lendemain matin alors que je préparais mes affaires pour repartir, j'aperçu son collant qu'elle avait laissé en boule sur un coin du canapé.

 

- Tu le veux ? Ça te fera un souvenir.

 

Je le portais à mes narines et me mis à rebander !

 

Fin

Estonius

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:06

Menottes dorées par Estonius

 

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Bonjour ! Je me prénomme Bertrand et je suis ingénieur en informatique, j’ai la quarantaine, marié à une femme adorable mais devenue sans surprise, je n’ai plus beaucoup de cheveux, un peu de bedaine, des lunettes, un vrai play-boy, quoi ! Mais on trouve ma compagnie agréable, ce que les gens ne savent pas c’est que je suis complètement obsédé sexuel et d’une curiosité insatiable en ce domaine, mais j’assume et suis très bien dans ma peau. Pour la présentation, ça ira ?

Aujourd’hui lundi, déplacement à l’autre bout de Paris, dans une boite d’import-export. Ce qu’on me demande d’effectuer devrait me prendre plusieurs jours… J’ai rendez-vous à 10 heures avec un responsable ! Quelle idée de donner des rendez-vous à une heure pareille ? Pour foutre une matinée en l’air c’est super ! Et en attendant je suis là, à la terrasse d’un bistrot en train de boire un café noisette très moyen.

 

Un regard circulaire : Joli nez ! On ne voit que ça ! La femme doit avoir une quarantaine d’années, brune, les cheveux mi-longs, et frisés, genre italienne, un tailleur beige dont la veste est ouverte sur un haut assez décolleté. La poitrine paraît prometteuse. Elle a l’air d’attendre quelqu’un. Un moment nos regards se croisent, mais gêné, je détourne la tête.

 

Ce n’est que quelques instants plus tard, me levant pour aller aux toilettes, et passant à sa proximité, que mon regard découvrait subrepticement la petite broche épinglée au revers de sa veste de tailleur. Ça ressemblait à des menottes ! Des menottes ! En voilà une drôle d’idée ! Quand même, ça me turlupine (sans jeu de mots). J’ai dû mal voir ! Au retour je regarde mieux. Confirmation, il s’agit bien d’une paire de menottes dorées. Je regagne ma place. A ce moment là, nos regards se croisèrent de nouveau, elle me fit un léger sourire, je répondis de même, mais est-ce par timidité, toujours est-il que je m’empressais de payer et de partir !

 

Je suis le roi des cons ! Qu’est ce qui m’empêchait de l’aborder ? Ça ne m’engageait à rien ! Elle cherchait peut-être un mec ? Et puis ces menottes, c’est quoi la signification ? Ça ne signifie peut-être rien du tout, mais si c’était un code ? Elle cherche peut-être à dominer un mec, ou alors le contraire, à se faire dominer ! J’aurais aimé savoir ? Si vraiment elle est en chasse, peut-être sera-t-elle là de nouveau demain ? Je viendrais voir !

 

Et c’est ainsi que le lendemain, avant dix heures je prétextais n’importe quoi pour sortir de chez mon client (de toute façon, je n’ai pas à me justifier) et me précipitait dans ce fameux bistrot…

 

Mais elle n’y était point, et le jour suivant non plus ! Evidemment, qu’est ce que j’imaginais ? Qu’elle attendait après moi ? Pas grave ! Le jeudi, mon intervention professionnelle était en bonne voie, il fut convenu que je ne reviendrais que le lundi suivant pour faire le point avec le même responsable… et toujours à 10 heures…

 

Alors évidemment je suis allé au café… et coup de bol : elle était là !

 

Je n’ai rien à perdre, si je ne tente pas ma chance aujourd’hui, ce ne sera jamais. On y va !

 

– Bonjour !

– Bonjour Monsieur ! Répond-elle avec un sourire enjôleur.

– Pardonnez mon audace, mais…

– Jouons carte sur table voulez-vous, nous nous sommes aperçus, il y a quelques jours, j’ai bien remarqué que je ne vous laissais pas indifférent. Il se trouve que c’est réciproque. Asseyez-vous quelques instants, ne restez pas debout comme une andouille ! Ajoute-t-elle avec le plus craquant des sourires.

 

Le genre de femme à « mener la barque » en somme.

 

– Je ne suis pas une professionnelle, remarquez que je n’ai rien contre, mais je n’ai pas de besoin d’argent. Ce que je cherche ce sont des hommes sympathiques qui acceptent des rencontres spéciales.

– Des rencontres spéciales ?

– Ne faites pas l’innocent, la dernière fois vous avez flashé sur ma broche. Elle est faite pour ça !

– D’accord, mais en fait je me demandais l’autre fois si vous étiez du genre soumise ou du genre dominante, j’ai bien l’impression que vous êtes plutôt dominante, non ?

– Détrompez-vous, je peux être les deux ! Et vous ?

– Plutôt soumis… mais c’est très léger.

– Je vois, vous ne dominez jamais. Vous n’avez jamais éprouvé de plaisir en donnant une fessée à une femme ?

– Le sadisme ce n’est pas mon truc !

– Répondez-moi franchement, vous n’aimeriez pas me donner la fessée ?

– Si on ne fait pas que ça, pourquoi pas ?

– Oh ! Non, nous ne ferions pas que ça ! Vous êtes libre aujourd’hui ?

 

Je réfléchis, mon rendez-vous ne va pas me prendre cent sept ans, mais l’usage voudrait que mon client me paie le restaurant. Je n’aurais qu’à décliner poliment en prétextant d’autres obligations.

 

– Je peux être libre, disons à midi et demi, si vous en êtes d’accord, je vous emmène déjeuner.

– Désolée, je ne mange pas le midi.

– Et bien votre heure sera la mienne !

– On va dire midi 45 devant la bouche de métro là-bas, cela vous laissera le temps de manger un sandwich, je m’en voudrais de vous avoir fais mourir de faim… Mais, vous avez cinq minutes, là tout de suite ?

– Juste cinq minutes !

– Vous voudriez peut-être me voir à poil ?

– Ecoutez, puisque vous me le proposez si gentiment.

 

Je suppose qu’elle va m’emmener aux toilettes, chic, chic, chic, on va peut-être faire un truc, là tout de suite, sans attendre ! Et puis je la vois farfouiller dans son sac à main ! Ma parole elle est en train de chercher la monnaie pour la cabine des toilettes ! En plus c’est elle qui paie l’entrée ! On aura tout vu ! Sauf que je me gourais complètement, ce qu’elle sort de son sac c’est son téléphone portable, elle me montre un premier cliché, elle est complètement nue, les bras suspendus au plafond, quelques marques de flagellation lui marquent le ventre et les cuisses et elle a des pinces aux seins. Belle femme, joli corps plutôt bien conservé, un peu potelé, mais ce n’est pas pour me déplaire. Décidément cette charmante personne m’intéresse de plus en plus. Une seconde photo la montre de dos, les fesses cambrées et cette fois, la flagellation a été plus importante, son cul est tout rouge, tout cela est bien excitant et je le lui dis.

 

– Je ne pourrais jamais vous frapper si fort.

– On ne m’a pas frappé fort, j’ai la peau qui marque très vite ! Mais de toute façon, j’aime ça… et après on inverse les rôles.

– Alors c’est non, je veux bien jouer, mais je ne suis pas maso à ce point.

– Je ne suis pas sadique, quand je domine, je sais m’adapter à ce que peut supporter mon soumis… c’est ce qui rend d’ailleurs la chose passionnante… et si excitante !

 

Du coup, j’hésite !

 

– Et puis reprend-elle, la domination, ce n’est pas que physique, il y a les mots, il y a les situations qui sont faites pour humilier, par jeu bien entendu, mais sans simulation.

– Vous pourriez préciser ?

– Vous n’avez jamais participé à une séance de domination.

– Euh… si ! Une fois…

– Avec une pro ?

– Non, une femme que j’avais draguée, c’était son truc… Alors on a joué à la maîtresse et à l’esclave.

– Et elle vous a fait faire quoi ?

– Marcher à quatre pattes, sucer un gode…

– Ben vous voyez, vous comprenez vite, sauf que je ne me contenterais pas de vous faire sucer un gode, je vous proposerais, une vraie bite, celle de mon mari !

 

Alors là, moi, qui prétends avoir les idées larges, je me dégonfle complètement :

 

– O.K. Je crois que je vais vous laisser…

– C’est comme vous voulez, mais dans une heure vous aurez déjà regretté votre décision, au fait vous ne m’avez pas dit votre prénom ?

– Bertrand !

– Moi c’est Viviane ! Rapprochez votre siège et embrassez-moi Bertrand, je vous offre mes lèvres.

 

Ce n’est pas parce que je n’ai plus l’intention de la suivre que je vais refuser de l’embrasser. Le baiser est torride, profond, passionné. Je bande comme un dingue. Elle le sait car sa main s’aventure sur ma braguette et en tâte le renflement. Je me laisse faire.

 

– Nous ferons l’amour tous les deux, mais avant tu seras ma chose !

– Si on n’allait à l’hôtel que tous les deux ?

– Bertrand, pour me mériter ce sera comme je l’ai prévu. Je te ferais goûter les plaisirs de l’humiliation, je te ferais marcher à quatre pattes, tenu en laisse comme un chien. Je te ferai lécher mon cul merdeux, je te cracherai dessus, je te pisserai dessus, je t’insulterai… et toi tu supporteras tout ça parce que tu sauras que tout ça c’est aussi une promesse, la promesse de mon corps.

 

C’est ce qui s’appelle une belle envolée lyrique !

 

Elle ne m’a pas lâché la braguette tout en me prodiguant cette étrange tirade (sans doute réchauffée). Je suis dubitatif. Le « danger » dans la situation présente, c’est de raisonner davantage avec sa bite qu’avec son cerveau. Je note que dans cette énumération surréaliste, elle n’a pas évoqué la présence de son mari, le petit détail qui change tout et qui peut faire pencher la balance du côté qu’elle souhaite.

 

– J’hésite !

– Tu ne vas pas passer la matinée à hésiter.

 

Vivianne a ouvert ma braguette, trouvé le chemin de ma bite et la branle carrément à l’intérieur de mon caleçon.

 

– Il faut te décider maintenant, reprend-elle. C’est d’accord ou pas ?

 

J’approuve, d’un geste de la tête, conscient malgré tout de ne pas trop savoir dans quoi je m’embarque.

 

– Je te laisse fermer ta braguette ! Je sais les ouvrir, mais je ne sais pas les fermer ! Plaisante-t-elle.

– Bon à tout à l’heure, midi 45 comme prévu…

– Pourquoi pas tout de suite ?

 

Je lui explique que j’ai une obligation professionnelle.

 

– Téléphone, dis que tu as un empêchement, invente un truc !

– Mais pourquoi ne pas attendre cet après midi ?

– D’accord, on attend l’après-midi, ton excitation sera retombée et tu ne viendras pas. Seulement après tu vas le regretter, tu vas chercher à revenir ici pour me retrouver, mais ça ne marchera pas, il n’y aura pas de seconde chance !

– Je te promets d’être là à midi 45 !

– Je te veux tout se suite.

 

Je téléphone donc à mon client et décale le rendez-vous au lendemain. On prend le métro, ce n’est pas très loin, j’ai envie de lui poser plein de questions, mais pas folle, elle prend les devants et monopolise la parole. Elle m’explique qu’elle et son mari tiennent un commerce, qu’ils ferment le lundi, et qu’elle en profite pour « partir en chasse ».

 

Arrivé en bas de l’immeuble elle me fait part de son intention de passer un bref coup de fil, je m’éloigne un peu par discrétion.

 

On monte, elle ouvre avec ses clés, le mari n’est donc sans doute pas là, tout va bien.

 

On entre, effectivement pas d’homme en vue ! Ouf ! Elle me propose à boire, j’accepte un jus de fruits.

 

– On va faire ça en trois parties, la première : tu vas me donner la fessée, la seconde : je te domine, et la troisième : on baise, d’accord ?

– D’accord ! Ça me convient très bien.

– Alors on y va, tu te mets à poil et tu me claques les fesses, tu fais comme tu veux, tu peux me demander de me déshabiller, tu peux le faire toi-même, je peux aussi n’enlever que le bas, c’est toi qui décide.

– Alors je vais te déshabiller !

– Pas de problème, mais toi d’abord !

 

Je fais comme elle a dit, elle en profite pour me tripoter un peu la bite. Puis je m’approche d’elle et lui déboutonne son haut, le soutien-gorge est bien rempli, j’ose un chaste baiser sur la naissance des seins.

 

– Tss ! Tss ! Ce genre de chose c’est pour la troisième partie !

 

Bon, tant pis, j’enlève son chemisier, je dégrafe son soutien-gorge libérant deux magnifiques globes à la rotondité parfaite terminés par des aréoles brunes d’où surgissent des tétons arrogants. Je suis subjugué. Elle rigole.

 

– Et bien remets-toi ! Et souviens-toi qu’ils seront à toi tout à l’heure… si tu es sage… mais tu le seras, je connais les hommes !

 

Je fais descendre la petite jupe, il ne reste que le string et les bas auto-fixant. Je décide de lui laisser ces derniers et je retire le string, son pubis est rasé en « ticket de métro », c’est charmant.

 

– On fait comment ? Demandais-je.

– Ben par exemple, tu t’assois sur le canapé, je me couche sur tes genoux, et tu y vas !

 

Alors, allons-y, on fait comme ça ! Je m’autorise une légère caresse sur ses fesses.

 

– Tout à l’heure les caresses, tout à l’heure et autant que tu voudras, mais pour l’instant tu frappes !

 

Elle est chiante, je lève la main, je l’abats, premier coup, première trace rosâtre. Elle encaisse sans rien dire. Je continue, je me prends au jeu, bientôt son cul est écarlate, et j’en ai mal aux mains, elle pousse des petits cris qui ressemblent plus à des manifestations de plaisir masochiste qu’à des gémissements de douleur.

 

Un bruit, la porte s’ouvre, un mec en robe de chambre. Merde ! J’arrête tout !

 

– Continuez donc, cher monsieur, je faisais la sieste, je ne fais que passer. Mais j’adore voir ma femme se faire fesser par un inconnu, d’autant qu’elle le mérite bien, cette petite salope ! Je m’appelle Philippe.

– Et bien, continue, Bertrand, pourquoi tu t’arrêtes ?

 

Sortir la petite phrase « Je vais vous laisser », me rhabiller, puis fuir comme un lapin, les mots ne veulent pas sortir…

 

– Continue, Bertrand, souviens toi que je serais ta récompense. !

 

Je me mens à moi-même, me disant que je vais prétexter un mal de tête pour échapper à la deuxième partie (mais hélas aussi à la troisième), mais que pour l’instant je continue.

 

Je reprends mes fessées, j’attends qu’elle me dise d’arrêter. Philippe a ouvert sa robe de chambre et se branle ostensiblement, il a une jolie bite, bien droite, bien nervurée, avec un gland bien décalotté et luisant. Je suis infiniment troublé. Je rebande à nouveau, je ne sais plus où j’en suis. Je ne sais plus ce que je fais…

 

– Ça va aller ! Me dit Viviane quelques minutes plus tard, dans un souffle, mettant ainsi un terme à son supplice volontaire.

 

Elle se retire de mes genoux, s’affale à mes côtés et se met à se tripoter le clito avec frénésie. Trente secondes après elle jouissait comme une malade.

 

C’est le moment crucial, si je dois m’en aller c’est maintenant, je lorgne vers la chaise où sont entassées mes affaires. Je me lève sans rien dire.

 

Comment a-t-elle fait pour me barrer la route ?

 

– A genoux, chien !

 

Je ne suis pas obligé, (du moins j’espère !) mais ce corps, ces seins, ce visage, cette promesse… Alors je retarde encore le moment de la décision, me disant que je pourrais toujours arrêter ce cirque si jamais ça prend une tournure qui ne me convient pas… et pour le moment me voici à genoux comme un gamin puni.

 

Viviane m’attache un collier de chien muni d’une laisse autour de mon cou. Elle me gifle, plusieurs fois, oh, pas très fort, mais ce sont quand même des gifles, et c’est très humiliant, d’autant que le Philippe qui ne devait que passer s’incruste, il a retiré sa robe de chambre et continue à exhiber sa bite ! Mon dieu, sa bite, qu’est ce que j’ai à la lorgner sans arrêt ? Qu’est ce qu’elle est belle ! Viviane me crache au visage, puis me toise avec une arrogance parfaitement simulée :

 

– Dis-moi que tu n’es qu’un chien !

– Je ne suis qu’un chien !.

– Tu vas bien me lécher le trou du cul !.

 

Ce n’est pas un problème, même s’il ne sent pas vraiment la rose, je m’amuse à faire batifoler ma langue sur ce joli œillet brun qui finit par s’entrouvrir devant mes sollicitations, j’essaie, mais ce n’est pas évident de plonger ma langue plus avant.

 

– Bon assez joué avec mon cul, relève-toi !

 

Une nouvelle fois, elle me gifle, une nouvelle fois elle me crache au visage, une nouvelle fois l’humiliation de la situation me provoque un plaisir trouble. Elle m’accroche une pince à chaque sein me provoquant des cris de douleur. Pas vache, la Viviane les retire pour les placer de façon moins douloureuse, voila une attention qui m’encourage pour la suite.

 

Elle joue avec les pinces, j’adore ça quand c’est fait sans excès. Et l’autre andouille qui est toujours là avec sa bite qui me nargue, J’ai compris maintenant que le contact avec lui sera inévitable, et je suis désormais enclin à faire avec, d’une part parce que la séance de baise avec Viviane est sans doute à ce prix, et puis il y a autre chose d’indéfinissable qui me conduit à accepter de franchir ce pas.

 

Là tout de suite, si elle me demande de sucer la bite de Philippe, je sais que je vais le faire sans problème ! Qu’elle me le demande donc maintenant, tout à l’heure j’aurais peut-être changé d’avis ! Et puis j’y pense, il voudra peut-être aller plus loin que la fellation…. Et là encore, alors que Viviane n’en finit pas de me martyriser les seins, je me dis prêt à accepter. Ah, quand c’est la bite qui raisonne, que ne ferait-on pas ?

 

– Tu vas t’allonger sur le canapé, sur le ventre et tu vas bien cambrer tes fesses de pute.

 

Elle s’empare d’une badine et commence à me zébrer les fesses, elle a eu l’intelligence de comprendre que je ne suis pas un maso aguerri et elle frappe en conséquence. Ça chauffe quand même pas mal ! Un moment, elle me fait rectifier légèrement la position de façon à ce que mes avant bras viennent se poser sur l’accoudoir. De cette façon mon visage se trouve projeté en avant.

 

Je crois avoir compris ce que va se passer maintenant, effectivement Philippe me présente sa bite à 50 cm de mon visage,

 

J’ai dû les étonner tous les deux quand j’ai ouvert une large bouche. Ça s’est donc fait spontanément sans ordre ni commentaire, j’ai la bite de Philippe dans la bouche, je la suce et je suis surpris par cette texture très douce et très agréable ainsi que par le goût très légèrement salé.

 

MD

 

Humm, qu’est ce c’est bon, je me régale, et dire que je m’étais privé de ce plaisir pendant des années, je crois bien que je vais me débrouiller pour rattraper le temps perdu !

 

Viviane a arrêté de me torturer les fesses, et se livre à une activité un peu plus intime. Elle m’a en effet introduit un doigt dans le cul et s’est mise à le remuer de façon frénétique, voilà qui me provoque un plaisir trouble. Je sais maintenant que Philippe va m’enculer. Jusqu’à présent seuls quelques rares godes ont visité mon cul, je ne m’en suis pas plains, ça devrait donc aller.

 

Mais pour l’instant je suce, ma langue et mes lèvres ne se rassasient pas de cette bonne bite dont je m’efforce de lécher chaque recoin, que je m’efforce de sucer du mieux possible en la faisant coulisser en cadence.

 

Il se retire.

 

– Il m’a sucé comme une vraie pute ! Commente Philippe.

– Tu n’es qu’un suceur de bite ! Tu n’as pas honte ? Ajoute Viviane avec malice.

– Ben non !

 

Ma réponse doit être inattendue, car ça les fait rigoler, moi, je ne vois pas ce qu’il y a de drôle, c’est vrai que je n’ai pas honte, je me demande qu’elle genre de réponse ils attendaient.

 

– Tu sais que tu vas te faire enculer, maintenant ? reprend Viviane.

– Oui !

– Ce sera la première fois ?

– Oui !

– Tu en a envie ?

– J’ai envie d’essayer, oui !

– Allez, mets-toi en levrette, petite pédale !

 

Je regarde si le Philippe pense à se mettre un préservatif, puis rassuré, j’attends l’assaut.

 

Il me tartine préalablement le cul avec du gel, il me demande de pousser, s’y reprend à plusieurs fois et finit par s’introduire.

 

– Si ça fait un peu mal au début, c’est normal ! A-t-il la gentillesse de m’informer.

 

Et c’est parti ! Sensation insolite d’avoir un corps étranger dont on a envie de se débarrasser. Mais c’est là, ça avance et ça recule dans mon conduit anal, ce n’est pas trop agréable, et puis ça doit frotter sur ma prostate, la sensation évolue au bout de quelques minutes, rapidement je me sens bien, je suis en train de me faire enculer, j’aime ça, je suis bien.

 

Il a dû me limer entre cinq et dix minutes avant d’éjaculer dans sa capote. Il décule, attrape sa robe de chambre qui trainait par terre et disparaît de la pièce. Pas vraiment convivial, pépère !

 

– T’as soif ? Me demande Viviane.

– Oui !

– Tu veux boire ma pisse ?

 

Si j’avais répondu non, elle aurait fait quoi ?

 

Elle attrape un seau à champagne au bas de son buffet :

 

– Regarde bien, fous-toi en plein la vue :

 

Elle se met le seau entre les cuisses, fléchit très légèrement les jambes et se met à pisser d’abondance. Voir son jet d’or jaillir de sa chatte en un long filet continue a le don de rendre à mon sexe sa raideur maximale, je commence d’ailleurs à avoir mal aux testicules à force de bander sans jouir ! Viviane nous fait un vrai déluge, remplissant la moitié du machin.

 

Elle sort deux coupes et les remplit de sa pisse, elle m’en tend une, on trinque, elle boit, je l’imite, ce n’est pour moi qu’une première que dans la façon de faire, ayant déjà eu l’occasion de pratiquer quelques jeux uro. Sa pisse est bonne, pas trop forte, et surtout la pratique est délicieusement perverse.

 

Elle me dégrafe le collier de chien. Je suppose qu’elle veut me signifier par ce geste que la partie « 2 » étant accomplie on va passer à la « 3 ». Une petite appréhension quand même, parfois les femmes sont tellement versatiles !

 

– Allez, viens dans la chambre !

 

On y va, on y va ! Le problème c’est que sur le lit il y a déjà Philippe, c’est quoi ce cirque ? On va faire une partouze ?

 

– Tu nous laisses un peu la chambre ? Lui demande Viviane.

 

Pourquoi « un peu » ? Mais il s’en va sans un mot.

 

– Je suis à toi, complètement à toi ! Me dit-elle. Tu peux me faire tout ce que tu veux… dans la limite du raisonnable, bien sûr !

 

C’est quoi « la limite du raisonnable » ? Viviane s’est couchée sur le dos, jambes écartées, je me faufile près d’elle et lui caresse (enfin) les seins.

 

– Depuis le temps que tu les attendais… commente-t-elle.

 

Je m’aventure sur les tétons et les titille un petit peu, elle ne proteste pas, je serre un peu, ça à l’air de lui plaire.

 

– Je peux, plus fort ?

– Pas de soucis, tu peux y aller, du moment que tu ne mes arrache pas…

 

Je pince donc plus fort !

 

– Aïe !

– Oh ! Excuse-moi !

– Non, non, continue, je ne t’ai pas demandé de t’arrêter.

– Mais je t’ai fait mal !

– T’occupe pas, tant que je ne te demande pas de t’arrêter, tu peux continuer.

 

Je continuais mais moins fort, je n’ai rien d’un sadique, même si elle me faisait comprendre qu’elle y trouvait son compte. Bientôt ma bouche remplaça mes mains et je me régalais de la douce texture de ces bourgeons exquis. Je bandais comme un taureau et lui offrais ma bite à sucer. Elle me prodigua alors une fellation d’anthologie que je fus obligé de stopper. J’avais alors le choix entre la pénétrer en sachant que l’affaire allait être très (trop) brève, ou bien me calmer en lui prodiguant de douces caresses. Ce fut donc les caresses sur sa peau de velours, et elle me confia qu’elle adorait être caressée. Curieuse femme, finalement beaucoup moins compliquée que ce qu’elle laissait paraître.

 

– Si tu pouvais te mettre en levrette, osais-je lui demander après plusieurs minutes.

 

Elle le fit, la vue de son cul me rendit fou…

 

– Dans ton petit trou, je peux ?

– Bien sûr, les capotes sont sur la table de nuit !

 

Quel con, j’allais oublier ! J’entrais dans son cul avec une facilité déconcertante, la limais cinq minutes avant de m’écrouler, comblé de jouissance. Elle se retourna après que j’eu déculé, je cherchais sa bouche, elle ne se déroba pas.

 

– T’es sympa, je ne regrette pas de t’avoir fait venir ! Me confia-t-elle, mais il faut que tu saches quelque chose !

 

Hummm ! Que je n’aime pas ce genre de précaution oratoire !

 

– Philippe a tout vu à travers un œilleton !

 

Ah ! Ce n’est que ça, me voilà rassuré !

 

– Ce n’est pas grave !

– Humm, ça m’a donné faim tout ça, il est 13 heures, tu veux rester manger avec nous ! Je vais faire une omelette.

– Volontiers !

 

Tiens, je croyais qu’elle ne mangeait pas le midi ?

 

– Tu n’a pas peur que Philippe te redemande de lui sucer la bite ?

– Ce ne sera pas une corvée !

 

Je ne me reconnaissais pas, j’étais bien, j’étais sans illusion, tomber amoureux de Viviane aurait été ridicule, et après cette rencontre nous n’avons pas cherché à nous revoir, elle avait pourtant pris ce jour là une petite place dans mon cœur, place qu’elle n’a jamais vraiment quittée.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:01

Madame Duval par Estonius

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Samedi matin

 

Je suis Eric Dalu, 40 ans, employé d’assurance et… ça y est : Je suis tout seul à la maison, ma femme a emmené hier soir les gosses dix jours à la mer. Je vais pouvoir m’organiser une petite semaine de célibataire bien pépère.

 

Cette nuit, je n’ai presque pas dormi, j’ai surfé sur Internet jusqu’à 4 heures du mat, et après j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Du coup, ce matin, je me suis passé un petit DVD que je n’ai pas l’occasion de voir souvent, il n’y a pas d’histoire, c’est juste une séance de domination.

 

La maitresse est splendide, visage de déesse, cheveux de feu et poitrine de rêve, elle domine deux mecs, les frappe, les humilie, les sodomise, elle leur pisse dessus, les oblige à se sucer la bite. Bref tous mes fantasmes ! Dommage que je ne comprenne pas toutes les paroles, c’est en anglais. J’ai regardé ça à poil, un gode dans le cul et des pinces aux seins, au bout d’un quart d’heure, je n’en pouvais plus, je me suis fait jouir.

 

Comment ça ? Je suis un pervers ?

 

Il est dix heures du matin, je pars en courses, je vais me faire à bouffer des bons petits trucs que je ne mange jamais avec ma femme…

 

A 11 heures en rentrant, mon cabas à la main, je croise dans l’escalier Madame Duval, ma voisine de palier Quand elle me voit, elle me gratifie d’un sourire format XXL

 

– Alors monsieur Dalu, votre petite famille vous a abandonné ?

– Eh oui !

– Vous serez content de les retrouver après !

– Ben oui !

 

Je n’ai vraiment pas envie de faire la conversation, Madame Duval vit seule, vieille fille, veuve ou divorcée, je n’en sais fichtre rien et je m’en fous.

 

– Bon j’y vais !

 

Je me retourne, sans trop savoir pourquoi. Elle s’est vêtue d’une jolie robe assez décolletée dans le dos et découvrant les épaules. Elle se retourne et m’adresse son sourire magique, un beau sourire que je lui rends volontiers. Elle doit bien avoir 50 ans, la mère Duval, mais elle est remarquablement conservée, pas du tout le genre mémère, elle a une certaine élégance naturelle que vient renforcer sa taille supérieure à la moyenne. Sa peau est légèrement mate, et ses cheveux sont blond vénitien. Je n’arrive pas à comprendre qu’avec le charme qu’elle a, elle n’arrive pas à (re)trouver un compagnon.

 

Chez moi, je range mes courses, et prends la résolution d’entreprendre d’entamer le programme de bricolage que m’a laissé ma chère et tendre, mais avant je me mets dans le fauteuil, et bouquine une petite bande dessinée prétendument coquine, mais qui finit par m’endormir.

 

On sonne à la porte. Un coup d’œil à la pendule, une heure est passée, il est midi. Je n’attends personne et ai horreur des casse-pieds, je vais quand même voir, j’ouvre, c’est madame Duval :

 

– Monsieur Dalu, j’ai une fuite d’eau dans ma cuisine, si vous pouviez venir voir ?

 

On y va ! Effectivement il y a une marre de flotte dans la cuisine que des vieux journaux tentent d’éponger. Elle a cherché d’où ça venait et a sorti d’un placard un impossible bric-à-brac de casseroles, de poêles et autres ustensiles qui encombrent toute la pièce. Je lui demande de rétablir l’arrivée d’eau, je repère facilement l’origine de la fuite sous une vis de raccordement, sans doute un joint.

 

– J’espère que c’est le joint, je vais en chercher, recoupez l’eau en attendant.

 

Je reviens quelques instants plus tard avec les joints et équipé de deux pinces, et m’apprête à opérer, le problème avec ses trucs là c’est qu’on ne sait jamais dans quel sens aller, je serre le raccord, et prépare mes forces, pour rien, ça se dévisse tout seul, je change de sens et resserre à fond. Je lui demande de remettre l’eau, il n’y plus de fuite. Inutile de changer le joint. J’ai du mal à comprendre. Depuis quand les raccordements se dévissent-ils tout seuls ?

 

– C’était pas vissé à fond, il n’y a plus de fuite !

– Oh ! Merci ! Merci ! Je me voyais déjà galérer en essayant de chercher un plombier en plein mois d’Août !

– Bon, je vous laisse !

– Pas question ! Il faut que je vous remercie, il est l’heure de l’apéritif de toute façon.

– Vite fait sur le pouce, alors ! Parce que j’ai un de ces boulots ! Mon épouse m’a laissé une liste de bricolage…

 

C’est archi faux, si je me débrouille bien, tout cela sera terminé en quelques heures, et après à moi la liberté. Madame Duval me sert un whisky et s’assied devant moi, croisant ses jambes ce qui a pour effet de faire remonter sa robe jusqu’à mi-cuisse. Son bronzage est parfait.

 

– Vous avez eu beau temps on dirait ! Déclarais-je histoire de dire quelque chose d’original.

– Vous avez vu un peu les jambes ! Répond-elle. Et je vous dis pas le reste !

 

J’ouvre des grands yeux approbateurs.

 

– Tout est bronzé comme ça ? Demandais-je, un peu conscient quand même de devenir indiscret.

– Tout !

– Vous faites du naturisme ?

– Oui, au Cap d’Agde, j’adore être à poil !

– J’aurais eu du plaisir à vous voir sur la plage.

– Coquin ! Je suis sûr que vous ne me croyez pas !

– Si ! Si ! Je vous crois ! Mais le croire est une chose…

– Le voir en est une autre, c’est cela ?

– Je n’aurais pas osé vous le dire !

– Je veux bien vous montrer mais juste deux secondes !

 

Jusqu’à présent la situation m’amusait, mais là ça risque de basculer, il me suffit de tout arrêter, mais je n’en ai pas envie, je la laisse faire. L’espace d’un instant elle fait surgir un sein de sa robe, un joli globe effectivement bien bronzé ! Il n’y a que deux solutions ou elle m’allume, ou elle me teste, on verra bien.

 

– Vous me croyez maintenant ?

– Je n’ai rien vu !

– Menteur !

– Vous ne voulez pas recommencer, juste un petit peu ?

– Vous n’êtes pas très sérieux pour un homme marié ! Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

– Sans doute, mais mettez-vous à ma place !

– C’est quoi le bricolage que vous avez à faire ?

 

Qu’est ce que ça peut lui foutre ? Et puis pourquoi ce brusque changement de conversation alors que ça dérapait bien ? A quoi joue-t-elle ?

 

– Rien de sensationnel, des tiroirs à recoller, un machin à décaper et à revernir, une porte à raboter et j’en passe !

 

La conversation est maintenant complètement banalisée. Elle a eu une mini pulsion exhibitionniste et c’est tout ! Qu’est ce que je m’imaginais ? Je finis mon apéro, souhaitant abréger.

 

– Bon, je vais vous laisser !

– Vous allez manger ?

– Je ne sais pas, je n’ai pas très faim, je vais juste grignoter, je mangerais mieux ce soir !

– Et vous aviez prévu autre chose, ce soir ?

 

Je ne vais pas lui dire ce que j’avais prévu, j’avais prévu un bon petit repas en solo, quelques DVD pornos, à moins que mon inspiration me pousse à aller faire un tour je ne sais où.

 

– Rien de spécial ? Mentis-je

– Et si je vous invitais ?

 

J’hésite ! Tout à l’heure elle m’a juste allumé, ou elle a envie d’aller plus loin ? Je crois que je vais accepter, mais par jeu j’ai envie de me faire prier.

 

– Non, merci, vous êtes gentille, mais non…

– Ma compagnie ne vous plait pas ?

– La question n’est pas là !

– Alors tant pis, mais avant que vous partiez, il faut que je vous parle d’un petit problème mitoyen, rien de grave, mais autant que vous sachiez…

 

Elle me montre le mur de sa salle à manger, celui qui est mitoyen avec mon appartement.

 

– Ici c’est ma salle à manger, je ne m’en sers pas souvent, je ne reçois pas grand monde, mais toutes les semaines, il faut bien que je fasse le ménage !

 

Qu’est ce qu’elle va me sortir ?

 

– Donc ce matin, je faisais le ménage, et j’ai entendu que vous vous passiez un film.

 

Je blêmis… heureusement que le machin était en anglais.

 

– Ça avait l’air d’être chaud, votre truc… Ah ! Oui, il faut que je vous dise, je comprends parfaitement l’anglais.

– Je suis désolé, il fallait frapper et me demander de baisser le son ! Répondis-je ayant conscience de dire n’importe quoi.

– Auriez-vous des fantasmes de soumission, cher voisin ?

– Heu, je vais peut-être vous laisser, Madame Duval !

– Parce que si c’est le cas, figurez-vous que moi j’aurais plutôt des fantasmes de domination. On pourrait peut-être faire quelque chose ensemble ?

 

Je suis mal, très mal. Ne pas rester là, surtout ne pas rester.

 

– J’y vais, Madame Duval…

– Eric !

 

Voilà qu’elle m’appelle par mon prénom à présent !

 

– Oui !

– J’ai encore quelque chose à vous dire !

 

Putain, qu’est ce que ça peut bien être ?

 

– Venez, je vais vous montrer autre chose ! reprend-elle.

 

Je la suis… dans sa chambre… Oh, là là !

 

– Si vous pouviez m’attrapez ce sac de voyage qui est en haut de l’armoire… Attention, il doit y avoir de la poussière…

 

Ouf ! Ce n’était que ça ! Je descends le machin.

 

– Attendez !

 

Attendez quoi ?

 

Elle revient avec un torchon humide, et fait le geste d’enlever la couche de poussière. Quelque chose cloche, je suis persuadé qu’il n’y avait aucune poussière. A quoi rime alors ce cinéma. Elle ouvre le sac, fouille dedans, et en extrait un superbe martinet !

 

– Il est beau, hein ? Me dit-elle.

 

Il n’est pas beau, il est bizarre, le manche tout noir représente un sexe masculin en érection, je suppose qu’il peut donc aussi servir de gode.

 

– Bon, je peux vous laisser, maintenant, madame Duval ?

– Eric !

– Oui ?

– Ne bouge pas !

 

Elle s’approche de moi, met la main sur mon torse, elle n’a pas de mal à trouver mon téton qui pointe sous mon fin tee-shirt d’été. Elle me le serre. C’est trop bon, je me laisse faire. Je bande. Attention à l’engrenage ! Et la voila qui se déshabille et m’exhibe ses gros nichons ! Comment voulez-vous que je résiste ?

 

Duval

 

– On va jouer ! A genoux, Eric !

 

J’obéis.

 

– Fais descendre mon pantalon !

 

J’obéis, elle me demande ensuite de lui caresser les cuisses, puis d’approcher mon nez de sa culotte.

 

– Alors ça sent bon ?

– Oui ! Répondis-je

– On dit : « oui, Madame Duval »

– Oui, Madame Duval.

– Mets-toi à poil, ça sera mieux.

 

Je me déshabille, résigné et excité. !

 

– Mais c’est que tu bandes ? Me dit-elle en me touchant la bite.

– Ben oui…

– C’est la situation qui t’excite ou c’est moi ?

– Les deux je pense.

– Remets-toi à genoux et descend ma culotte.

 

Je le fais, ses poils sont rasés en « maillot », mais ce qui reste est abondant.

 

– Renifle ! Je n’ai pas pu me laver ce matin, j’avais coupé l’eau. Tu renifles, c’est tout, tu auras le droit de lécher quand j’aurais fait pipi, par contre derrière tu peux y aller, ajouta-t-elle en se tournant, tu peux me lécher le trou de mon cul. Allez mieux que ça, je veux sentir ta langue.

 

C’est vrai que ça ne sent pas la rose, malgré tout cette odeur ne me laisse pas indifférent. Et puis il y a des traces un peu suspectes, Madame Duval ne saurait-elle pas s’essuyer correctement ?

 

– Je suis allergique au papier à cul, je me nettoie à l’eau quand je fais caca, mais là je n’avais pas d’eau.

 

Trop excité, je colle mon visage entre les deux délicieuses fesses, à la peau si douce, et m’appliqua à lécher la raie de haut en bas, peu gêné, je dois le dire, par les quelques traces suspectes.

 

– Alors il a quel goût mon cul ?

– Un peu fort !

– Mais ça te plait ?

– Oui !

– On dit « oui, Madame Duval »

– Oui, Madame Duval.

– Tu es un cochon, Eric. Allez, continue, je veux que tu rentres bien ta langue.

 

Je fais de mon mieux, son œillet s’ouvre légèrement.

 

– Ça te plait de lécher ma merde ?

– Oui madame Duval !

– Bon, relève-toi, et couche-toi sur le lit, je vais te rougir le cul.

 

C’est dingue, moi qui envisageait plus ou moins de me payer une petite séance de domination chez une professionnelle, voilà que je vais avoir droit à une partie gratuite.

 

– Pas trop fort !

– T’inquiètes, pas mon biquet, je ne suis pas une brute !

 

Les coups pleuvent ! J’aime bien qu’on me flagelle les fesses, je demande quand même :

 

– Ne me marquez pas !

– Ne t’inquiètes pas, je sais faire.

 

Je subis comme ça une cinquantaine de coups.

 

– Relève tes cuisses et tends bien ton cul, je vais t’enculer avec un gode.

 

Ben voyons !

 

– Suce-le avant, suce-le bien, comme si c’était une bite !

 

En voilà une idée ! Je suce le machin, ça ne me passionne absolument pas, sucer du plastique ne fait pas partie de mes fantasmes. Mais je sais que les dominatrices aiment bien faire sucer des godes à leur soumis.

 

– Tu préfèrerais que ce soit une vraie bite ?

 

Je fais l’erreur de ne pas répondre.

 

– Parce que si vraiment tu aimes les bites, je peux t’arranger ça ?

 

Je ne réponds toujours pas.

 

– Nous reprendrons cette conversation tout à l’heure, en attendant tourne-toi que je t’encule.

 

Je le fais. Elle me tartine le cul avec du gel.

 

– Tu n’as jamais essayé de demander à ta femme de te le faire

– Si, j’ai essayé, mais j’ai laissé tomber, elle est bloquée sur le sujet.

– Allez ouvre-toi bien, j’y vais !

– Vas-y, encule-moi !

– C’est ce que je fais !

– C’est bon, hein ?

– Ouiiiiiii

– T’as déjà essayé avec une vraie bite ?

 

Mais c’est qu’elle insiste.

 

– Oui une fois, mais ça ne l’a pas fait !

– Raconte !

– J’étais allé voir une maîtresse, une pro pour me faire dominer, il y avait déjà un mec qui était là attaché. Elle m’a d’abord godé, puis elle m’a ordonné d’aller le sucer. Je l’ai fait sans hésiter, ça n’avait pas été une corvée, et quand elle a demandé au mec de m’enculer, je n’ai pas protesté, mais il n’a jamais réussi à me pénétrer.

– Et tu n’as jamais eu envie de recommencer ?

– Disons que l’occasion ne s’est jamais représentée. C’est que ce n’est pas donné ces séances…

– O.K. ! C’est bon ce que je te fais ? C’est bon de sentir un bon gode dans ton cul d’enculé ?

– Mwouiiiiii !

 

Au bout de dix minutes, elle arrête ce cirque, j’ai le cul en chou-fleur, mais je suis bien, je bande et j’ai envie de jouir.

 

– Tu m’as bien excité mon salaud ! Maintenant tu vas me lécher. Non attends, approche-toi et ouvre bien la bouche je vais te faire boire ma pisse.

 

Je me positionne mon visage à quelques centimètres de sa chatte. Elle n’avait pas une grosse envie mais l’urine qu’elle m’offre est délicieuse et je m’en régale

 

Elle m’offre ensuite sa chatte béante et dégoulinante, je la lèche, je ne fais pas ça si souvent, ma femme n’appréciant pas trop. L’affaire ne dure pas très longtemps, elle est bientôt envahie de spasmes et se met à tressauter dans son fauteuil en finissant par gueuler comme une baleine.

 

Elle me regarde avec un curieux sourire, et moi je suis là, la bite toute raide. J’attends d’elle une initiative qui ne vient pas.

 

– On fais quoi, maintenant ? Osais-je.

– Mais ce que tu veux, mon chéri !

– Tu me suces ?

– Bien sûr, mais à une condition.

– Oui ?

– Tu es mon invité ce soir !

– On ne sera que tous les deux ?

– Ben, non justement ! J’ai envie de te regarder en train de te faire enculer

– Il faudrait que le mec me plaise !

 

Horreur, je viens de me rendre compte qu’au lieu de refuser, je ne fais que temporiser.

 

– C’est quelqu’un de très sympa. Je viendrais te chercher entre 19 et 20 heures. Tu verras, il a une très belle bite, tu vas aimer la sucer.

 

Parfait, si je veux y échapper, je n’aurais qu’à sortir à cette heure-là.

 

Je rentre chez moi, du coup, j’ai un petit creux et m’ouvre une boite de sardines.

 

Et puis je réalise : j’ai été tellement surpris par ses derniers propos m’annonçant la présence d’un autre homme de soir, que j’en ai oublié la pipe qu’elle m’avait promis.

 

Non, en fait non, elle m’avait promis une pipe si j’acceptais l’invitation, or je ne l’ai pas accepté formellement !

 

Je me suis lancé dans le bricolage afin de m’occuper l’esprit. Je ne vais pas me compliquer la vie, quand Madame Duval viendra me chercher, je verrai bien à qui j’ai affaire, si le mec ne me branche pas, je ne resterai pas, ça a le mérite d’être simple.

 

Je me dis que quand même si je tombe sur un mec cool, ce serait fabuleux. J’ai vraiment envie, très envie de sucer de la bite, et de me faire prendre.

 

Vers 16 heures j’ai un gros coup de pompe, et décide de me reposer une heure sur le canapé.

 

A 19 heures et quelques bananes, Madame Duval sonne à ma porte. Jolie robe noire, très décolletée, elle m’excite, elle m’excite…

 

– Je viens te chercher ! Toujours décidé ! Dit-elle

– On va voir, je ne promets rien.

 

Je m’attendais à voir un mec dans les quarante ans, ce n’est pas tout à fait ça, et d’abord au lieu d’une personne, j’en découvre trois.

 

Présentations : Lucas est un jeune homme, la vingtaine, très fin, jolie tronche, les traits très légèrement efféminés, des mèches blondes décolorées, des boucles d’oreille. Il me fait la bise en mettant la main au paquet. C’est ce qui s’appelle annoncer la couleur, mais je ne proteste pas. Muriel et René sont un couple de cinquantenaire. Lui barbichu grisonnant, un peu bedonnant à l’abord sympathique, elle fausse blonde sur le retour, très distinguée, joli sourire. On se fait des bisous de bienvenus. Je crois que je vais rester.

 

– Bon, placez-vous là, tous les quatre. Vous ne vous connaissez pas tous, mais ce n’est pas grave, j’ai prévu un petit buffet avec de quoi grignoter, mais on est là pour faire du sexe. Alors ce soir c’est moi la chef, c’est moi qui vous donnerais des ordres, vous serez mes petits esclaves, tout le monde est d’accord. ? des questions ? Non pas de questions, alors venez on va trinquer.

 

L’apéro fut ultra rapide puisqu’au bout d’un moment Madame Duval ordonnait : t

 

– Muriel tu va aller sucer Lucas.

 

L’intéressée ne se le fait pas dire deux fois et s’en va fouiller dans le pantalon du jeune éphèbe, lui sort sa bite et l’embouche goulûment.

 

– Ça te plait, toi de voir ta femme sucer des bites ? Demande Madame Duval à René.

– Oui bien sûr ! J’aime bien quand elle fait la salope.

– Mets toi à poil !

 

Le mec se déshabille, à poil il n’a rien de terrible mais la bite est jolie. Madame Duval s’adresse à moi :

 

– Tu vas le caresser, mais pour l’instant tu ne touche pas à sa queue !

 

Caresser un mec ? Voilà qui ne me branche pas du tout, mais bon, j’obéis, le type cherche ma bouche. Horreur ! Je me dégage un instant avant de me rendre compte que si je me défile, je ne suis pas près de lui sucer sa bite, je me laisse donc faire, ça ne m’a pas tué.

 

Madame Duval passe à côté de nous et me demande de pincer les tétons de René. No problème, je pince le monsieur. Et alors là c’est magique ! Sa bite se met à jouer les étendards. Bien droite, bien bandée, le gland décalotté et brillant, j’en ai l’eau à la bouche.

 

Qu’est-ce qu’elle attend pour me demander de le sucer ?

 

– Déshabille-toi ! M’ordonne-t-elle.

 

Après l’avoir fait, Madame Duval interpelle les trois invités et me montre du doigt :

 

– Regardez comme il a un beau petit cul ! Un cul qui mérite bien qu’on l’encule, vous pouvez venir le peloter et même lui mettre un doigt dans le cul, il n’a rien à dire, c’est un esclave.

 

J’aime pas trop ça ! On me tripote, un doigt m’entre dans le cul, je ne sais même pas à qui il appartient. Heureusement ce cirque ne dure pas très longtemps, et l’ordre attendu vient enfin !

 

– Suce la bite ! Suce la bite de René !

 

Je m’accroupis et embouche le braquemart bandé du quinquagénaire. Je me régale ! Qu’est ce qu’elle est bonne sa bite, je fais de grands aller et retours dans ma bouche, je fais virevolter ma langue contre son gland, je suis aux anges.

 

– L’une après l’autre ! Me dit Madame Duval

 

Je découvre alors Lucas à côté de René qui à son tour vient se faire sucer la bite ! C’est réellement la fête, je voulais sucer une bite, voilà que j’en ai deux à ma disposition. J’alterne les deux bites, celle de Lucas est un peu plus petite que celle de René et bande moins fort, mais je m’applique.

 

Madame Duval fait se retourner les deux hommes.

 

– Maintenant lèche-leur le trou du cul !

 

Voila qui me plait beaucoup moins, mais je ne me vois pas refuser, je lèche donc les culs de ces deux cochons.

 

– Mieux que ça ! Viens me dire Madame Duval, il fait que ta langue entre dans le trou du cul.

 

Elle est marrante, elle, c’est que je n’ai jamais fait ça, moi ! Je m’applique et m’aperçois que j’ai un troisième cul à lécher, celui de Muriel. Et son cul je l’aime bien.

 

Et puis vint l’ordre :

 

– Eric en levrette !

 

Ça y est, je vais passer à la casserole ! Je me positionne, prêt pour la suite.

 

– Tu sais ce qui va t’arriver, maintenant ? Me demande Madame Duval.

– Je m’en doute un peu !

– Certes, mais je veux l’entendre.

– Je vais me faire sodomiser !

– Je préfère un mot plus cru

– Je vais me faire enculer !

– Alors on y va !

 

C’est Lucas qui s’y colle ! Il vient derrière moi après s’être encapoté. Le souci c’est que je suis un peu serré.

 

Qu’à cela ne tienne, Muriel s’empare d’un gode sorti de je ne sais pas où et me l’introduit avec tact afin de rendre mon trou de balle béant. Trois minutes plus tard, Lucas pénétrait sa bite dans mon cul.

 

Bizarrement, ça me fait un peu mal, alors que le gode me faisait du bien. Je proteste mollement

 

– Ta gueule, enculé, dans une minute tu en redemanderas

 

Effectivement, une sensation de bien-être commence à m’envahir, je suis bien. René vient à la hauteur de mon visage pour que je lui suce la bite. Une queue dans la bouche et une autre dans le cul, je vous dis, c’est la fête.

 

Sur un signe de Madame Duval, les deux hommes échangent leur rôle, j’ai maintenant René derrière, il m’encule mieux, plus doucement, un vrai plaisir Lucas vient devant, et je le suce, mais pas très longtemps, Muriel le réclamant afin d’avaler son sperme. René accélère me provoquant d’intenses frétillements de plaisir. La cadence devient infernale et je devine alors qu’il vient de jouir.

 

Il se retire me laissant le cul béant.

 

– Alors, enculé, c’était bon ? Me demande Madame Duval.

– Super !

 

Madame Duval s’approche de Muriel et lui ordonne de lui lécher les seins ce que cette dernière accepte avec une bonne volonté qui fait plaisir à voir, puis notre hôtesse s’assoit dans un moelleux fauteuil, sa partenaire vient entre ses jambes la lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse.

 

Madame Duval est pantelante, Madame Duval transpire, c’est très beau une femme qui vient de jouir.

 

Elle reprend vite ses esprits :

 

– Maintenant tu vas enculer Muriel, cette grosse pute adore se faire prendre par des petits pédés suceurs de bites.

 

Je ne saurais refuser une telle proposition. Je prends la dame tandis que René ravi du spectacle se branlotte mollement.

 

Temps calme, tout le monde a joui, on se rafraîchit, on s’essuie, on s’allume des cigarettes, on boit un coup. René s’approche du buffet et se sert du saucisson, je fais pareil, je m’assois et René vient à mes côtés, tandis que Lucas a filé à l’anglaise.

 

Les doigts de René s’approchent de mes tétons et les asticotent, je me laisse faire, et recommence à bandouiller. Le problème c’est que j’ai envie de pisser. Je lui dis.

 

– Si tu veux me pisser dessus, te gênes pas ! Qu’il me répond.

 

Un peu surpris, mais en même temps amusé, je suis allé avec lui pour l’arroser dans les toilettes.

 

Quelle envie de pisser, mes amis ! Mais qu’est-ce que je fous là, sur MON canapé ?

 

Je vais aux toilettes, dans MES toilettes, il est 17 heures, je pisse d’abondance, j’ai rêvé tout ça !

 

Il ne me reste plus qu’à prendre une douche et à attendre, que Madame Duval vienne me chercher, la réalité sera-t-elle à la hauteur de mon rêve ? C’est que j’ai très envie de sucer de la bite, moi !

 

FIN

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