Estonius

Samedi 10 juin 2000 6 10 /06 /Juin /2000 19:40

Les urinoirs de la gare 4
4 - Une partouse très bizarre

 

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      Thémes abordés : bisex féminine, bisex masculine, coprophilie, domination soft, feuille de rose, party, pluralité masculine, scato, spermophilie, uro.

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Les lecteurs qui n'ont rien contre les histoires gays reliront avec intérêt les chapitres 1, 2 et 3 de la série des Urinoirs, celle-ci sera plutôt bisexuelle, uro et scato… âmes sensibles s'abstenir 

 

Quand je vais au travail, je pars quand je suis prêt, il ne m'arrive pas souvent d'être prêt de très bonne heure, mais ça m'arrive. Et ce jour-là j'étais très en avance. L'envie me prend de me rendre aux urinoirs de la gare. Cela faisait un petit bout de temps que je n'y étais pas retourné, j'en connaissais maintenant les pièges et les habitudes, et avait constaté que les habitués du matin étaient en général beaucoup plus corrects et intéressants que ceux du soir. Malgré tout je n'étais jamais venu si tôt. 

A ma grande surprise il y a pas mal de monde et les six urinoirs sont occupés. La plupart des occupants du lieu sont à l'évidence des gens s'apprêtant à prendre le train, bien habillés et serviette posée sur le sol, c'est plutôt rassurant. L'ambiance est assez sereine, il n'y a pas ces regards furtifs incessants vers l'entrée comme à d'autres heures, provoqués par la crainte d'être reconnu, ou par celle de l'arrivée du personnel ou de la sécurité. 


Ça ne se libère pas vite, tout ce petit monde se masturbe dans son urinoir respectif. L'un des branleurs masturbe maintenant son voisin qui non seulement se laisse faire, mais se décale légèrement pour que ce soit plus facile. 


Du coup tout le monde peut voir, et il se forme un mini attroupement. Quelqu'un quitte son urinoir, la bite à l'air pour aller voir. Je me précipite à sa place et je sors ma queue que quelques mouvements de va-et-vient suffisent à faire bander. Je jette un coup d'œil sur ma gauche, bite quelconque et type peu engageant, voyons à droite maintenant… Voilà qui est beaucoup plus intéressant ! Une bonne bite bien longue terminée par un gland bien découvert, une merveille ! 


Le type est un barbu d'une quarantaine d'année. Je mate carrément attendant un geste de sa part, mais il est occupé à regarder ce qui se passe sur sa droite. J'attends un peu, espérant que cette attente ne sera pas veine et qu'il me permettra de le caresser. Ça y est ! Il tourne la tête, il regarde ma bite, un très bref échange de regard et il lâche son sexe, me laissant le champ libre, je la lui branle un petit peu, et je lui caresse le gland, les couilles et la verge. Cette bite est trop belle, il me la faut dans la bouche et pourquoi pas dans le cul. Je vais pour lui proposer de nous déplacer dans une cabine, quand soudain un type avec un sans-gêne incroyable s'interpose entre nos deux urinoirs. Surpris, je lâche la bite de mon voisin laissant ainsi la place à l'intrus, et je quitte ma place, dépité. 


J'attends un peu derrière. Puis très vite le barbu se reboutonne et sort des toilettes… Je suis déçu, je sors à mon tour, je traîne quelques minutes au kiosque à journaux, puis monte dans le métro pour me rendre à mon travail, et là je me plonge dans la lecture de mon journal, quand soudain…


- Excusez-moi ?


La surprise est de taille, le barbu est là devant moi


- Ça va ?


Manifestement il ne sait pas trop quoi dire.


- Faut toujours qu'il y ait des cornichons qui viennent perturber nos plans ! Reprend-il.

- Oui c'est dommage, j'aurais bien continué ! 

- Mais rien ne nous en empêche !

- En effet !

- Vous êtes homo ou bi ?

- Je suis hétéro, légèrement bi, en fait j'aime bien les bites !

- Super ! Je peux vous proposer quelque chose. Je suis le patron d'une petite activité d'import-export dans le coin. On est que trois, moi, une secrétaire et une employée, et elles sont très délurées, mais ça faisait partie des conditions d'embauches. Si vous voulez, on peut y aller tout de suite ?


J'ai peur que ça fasse un peu juste, mais son bureau est dans le même quartier que le mien. Je suis donc d'accord !


Chemin faisant, il me parle de sa secrétaire, une blonde sculpturale prénommée Carole, il m'apprend aussi qu'il existe des filières recrutant des secrétaires, voire des femmes de ménages à qui leurs patrons demandent en plus de leurs activités d'avoir un comportement sexuel explicite dans certains cas. Souvent ces filles se recrutent dans le milieu des peep-shows ou des théâtres érotiques. Bien évidemment tout cela donne lieu à des primes substantielles ! Il m'explique aussi qu'aujourd'hui vendredi, seule Carole sera là !


Première surprise en arrivant : ce n'est pas Carole qui nous ouvre la porte, mais une ravissante Antillaise. Notre barbu, appelons le Olivier, a l'air déçu !


- Carole n'est pas là ?

- Non sa fille est malade, elle viendra peut-être cet après-midi, et elle m'a demandé de la remplacer !

- Bon d'accord, voilà je te présente Viviane ma deuxième secrétaire.


On s'installe dans le bureau d'Olivier et Viviane nous prévient qu'elle va faire du café !


- Bon comme tu es pris par le temps on va se foutre à poil tout de suite.


J'imite donc Olivier et on se déshabille. Mais voici ce dernier qui me mate les fesses


- Tu en as un joli petit cul ! Tu aimes bien te faire enculer ?

- Si tu fais ça bien, pas de problème !


On s'assoie dans deux fauteuils proches l'un de l'autre en attendant le café, bien sûr mon regard est rivé sur sa bite, il se la tripote un peu, je fais de même avec la mienne et elles ne tardent pas à atteindre chacune une taille respectable. Ma main s'aventure sur sa queue et je reprends ma masturbation interrompue tout à l'heure. Olivier de son côté me rend la politesse et me branle également. C'est dans cette position insolite que nous retrouve Viviane avec le café.


- Ben alors ! On se donne du bon temps !

- Viviane, tu vas nous faire un petit strip-tease, quelque chose de très hot !

- Comme ça, le matin de bonne heure ? Bon mais je vais faire un petit pipi avant et je reviens !

- Non ! Ça fera partie du spectacle, tu feras dans un verre devant nous comme tu l'as déjà fait une fois !

- Ah bon ! Vous voulez du super hard ! Vous n'allez pas être déçus !

- Tu sais ce qu'il va me faire Pascal tout à l'heure ?

- Non ! Mais tu vas me le dire !

- Tu ne devines pas ?

- Il va te sucer la queue ?

- Tu devines tout, et puis… ?

- Je ne sais pas moi, tu vas peut-être lui sucer la sienne !

- Ce n'est en effet pas exclu, et ensuite… ?

- Ensuite vous allez vous enculer !

- Et ça va t'exciter de voir tout cela ?

- Bien sûr, mais pour l'instant c'est moi qui vais vous exciter !


Sur ce, elle commence sa séance, elle n'avait évidemment pas prévu de venir en tenue sexy, et se débarrasse assez vite de son pantalon, fait un peu traîner le déboutonnage de son chemisier et se retrouve ainsi très vite en soutien-gorge et culotte, malgré tout, les gestes sont précis, calculés, on sent le professionnalisme ! Elle libère d'abord sa culotte, se retourne pour dandiner des fesses, puis se recule jusqu'à mon fauteuil, où elle se débrouille pour me frôler la bite avec son postérieur. Je commence à être dans un état d'excitation assez explosif. Elle libère ensuite sa poitrine, un joli 95 bien ferme agrémenté de tétons très noirs et très durs. Elle se penche maintenant vers un petit meuble et tout en tortillant à nouveau des fesses, elle en sort une flûte de champagne. Je n'en crois pas mes yeux, elle pisse carrément dedans. Lorsqu'il est pratiquement rempli, elle s'amuse avec le verre, fait avec sa main le geste de le masturber, puis soudain elle trempe son index dedans, le porte à sa bouche et le lèche. A nouveau elle retrempe son doigt mais cette fois ci elle s'approche de moi et me le tend. Je suis comme dans un rêve et je lui lèche son index dégoulinant de pisse.


- T'en veux encore ? Encore une petite fois ?

- Oui !


Elle recommence !


- J'ai encore envie, je peux te pisser directement dessus si tu veux !


J'approuve, je suis dans un état second. La voici qui retourne dans le petit meuble et qui en extrait une toile en plastique qu'elle dispose à terre. Je me couche dessus. Viviane se met debout au-dessus de moi et commence à me pisser sur la queue, puis elle remonte sur mon torse. Le reste va m'asperger le visage, dans un réflexe, je ferme les yeux et la bouche !


- Ouvre ta bouche, pédé !


J'obéis ! Et avale une gorgée de ce précieux liquide. Elle a terminé. Je veux alors lui lécher la chatte, mais elle refuse. C'est maintenant elle qui a pris la direction des opérations !


- Va le sucer maintenant !


Depuis le temps que j'attendais cela, je me précipite, lui sucer la belle queue d'Olivier est un vrai plaisir, j'essaye de l'engouffrer au plus profond de mon palais, mais elle est décidément trop longue, je me concentre donc sur son gland... Pendant ce temps-là Viviane me tripote les fesses, je sens quelque chose qui essaye de me pénétrer l'anus, effectivement elle tient un gode à la main, mais ne le pénétrera pas ce matin. Olivier vient de jouir dans ma bouche. Viviane s'empare alors de ma queue et la suce goulûment


- Tu me diras quand ça vient ! Je n'aime pas le sperme dans la bouche, mais tu pourras jouir sur mes nichons.


C'est exactement ce qui se passa 5 minutes plus tard. 


Il fallait maintenant que j'y aille ! Rendez-vous fut pris pour le lundi suivant vers 16 heures, et cette fois il y aurait Carole 


Lundi suivant


Olivier me téléphonera entre temps pour m'expliquer qu'il attendait un couple dont le mari était partouzeur, bisexuel et branché "uro". Et la femme une "sacrée cochonne". Il m'indiqua qu'il fallait tout faire pour que le type soit satisfait, ce dernier étant sur le point de signer un contrat…


C'est Carole qui vint m'ouvrir avec un sourire prometteur, cette sculpture devait mesurer 1,80 m et son tour de poitrine était impressionnant sous son chemisier blanc. Elle m'informa qu'Olivier avait été retardé par une démarche à l'extérieur et qu'il arriverait le plus tôt possible. Je m'installe dans un fauteuil, et Carole réapparaît, elle n'a pas changé sa tenue, mais son soutien-gorge a disparu d'en dessous le chemisier laissant apparaître derrière le voile deux magnifiques globes aux bouts déjà tendus par le désir !


- T'es un petit cochon, toi ! Viviane m'a tout raconté !

- Et oui !

- T'aime ça, sucer des bites ?

- Ben oui, quand elles sont belles !

- T'es un peu pédé alors ?

- Non, bi ! En fait, je préfère les femmes !

- Et je suis ton genre de femme ?

- Je n'ai pas de genre particulier, mais je te trouve tout à fait excitante !


- Tu boiras ma pisse tout à l'heure ?

- Bien sûr : avec plaisir !

- Et tu me nettoieras le trou du cul ?


Hum… terrain glissant (c'est le cas de le dire) Elle interprète mal mes hésitations et change de tactique 


- Et tu aimes qu'on te domine ?

- Parfois !

- Tu aimerais que je te domine, là maintenant ?


Mais l'arrivée du couple mit fin à cette curieuse conversation. Ils se présentent, la quarantaine, lui Jérôme, elle Martine, petite rousse à lunettes, très souriante. Le téléphone sonne et Carole revient en nous informant qu'Olivier en aurait décidément pour plus longtemps que prévu, mais que l'on pouvait commencer sans lui.


Carole fait asseoir les deux arrivants, Jérôme à ma gauche, et Martine à ma droite, elle met de la musique, puis commence à se trémousser, malaxant ses gros seins par-dessus son corsage. Le spectacle est très excitant. 


Soudain elle s'approche de moi et de Jérôme et place chacune de ses mains sur nos braguettes, elle parvint après quelques essais à les ouvrir, c'est maintenant à travers nos slips qu'elle tripote nos bites, mais elle n'ira pas plus loin :


- Allez sortez-moi tout cela !


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J'obtempère sans problème, Jérôme également, sa queue est moins belle que celle d'Olivier, mais elle reste néanmoins très correcte. Et tandis que Carole toujours en chemisier entreprend d'enlever le bas, une main se pose sur ma queue, j'attendais celle de Jérôme, mais surprise, c'est Martine. Elle se met à ma masturber très doucement du bout des ongles avec un savoir-faire que je n'aurais pas soupçonné. Du coup Jérôme se met complètement à poil. La main de Martine est repartie, elle s'occupe maintenant de son propre sexe. Carole n'a plus que son chemisier pour vêtement, sa chatte est complément rasée. Elle se dirige vers moi et me demande de me déshabiller à mon tour. Je le fais, bien sûr, puis elle me demande de m'allonger sur le sol ou elle a étalé la même toile plastique que Viviane la semaine dernière. Je sais qu'elle va me pisser dessus. Elle vise carrément mon visage, j'ouvre la bouche, elle s'accroupit pour que cela soit plus facile, je déguste son bon champagne tout chaud et très goûteux, puis s'arrête :


- A toi maintenant ! 


Jérôme connaîtra exactement le même sort, je reste debout un peu idiot ne sachant que faire ! Puis Carole se redresse :


- Tu en voudrais aussi, Martine ?

- Avec plaisir !

- Regarde ce que je vais faire !


Carole recueille un peu de l'urine qui dégouline le long de ses jambes, puis l'applique sur son chemisier juste à l'endroit où sont ses bouts de seins, le chemisier ne tarde pas à devenir transparent, et elle le retire enfin, puis elle remet à nouveau de la pisse sur ses seins et s'approche de Martine.


- Lèche !


Elle le fait ! 


- Tu lèches bien ! Alors c'est bon ?

- Oui !

- Alors t'en veux aussi ?


Elle fait un petit signe de la tête pour dire oui, et déjà Carole l'emmène au milieu de la pièce. C'est à ce moment-là que mon attention est attirée par un bruit insolite, presque imperceptible, j'écoute attentivement, ça vient d'en haut, et je comprends. Olivier n'est pas parti du tout, il est en train de filmer tout cela à l'aide d'une caméra qu'il télécommande à distance. Je trouve le procédé un peu moyen, mais je ne dis rien ! Carole est en train d'embrasser goulûment Martine sur la bouche, c'est assez marrant à voir vue la différence de taille ! Puis elle entreprend de la déshabiller. Un petit peu maigre la Martine, mais les seins sont mignons à croquer…J'ai envoyé une main baladeuse sur la bite de Jérôme qui l'a accepté et que je branle, mais il ne me rend pas la politesse, allez donc savoir pourquoi ? Carole fait ensuite coucher Martine sur la toile déjà pleine d'urine et lui pisse dessus. Cette dernière en avale une bonne rasade.


- Hum c'est délicieux ! Si tu as quelque chose de plus consistant à m'offrir, n'hésite pas !

- Patience ma belle ! On va jouer à autre chose alors !


Carole ouvre un tiroir, d'où elle sort un grand sac plastique, elle en retire trois godes, ils sont quasiment identiques du moins quant à la taille, plutôt standard. Elle se couche sur le sol, toujours recouvert de la toile pisseuse, relève les jambes, puis s'introduit le premier gode dans l'anus, et lui fait faire quelques allers et retours, puis le ressort, souillé de sa merde. Je ne vois pas où elle veut en venir. 


Elle prend le deuxième gode, je crois que c'est pour sa chatte, mais non c'est encore pour son cul, elle le gardera un peu plus longtemps puis le retire et le place à côté du premier. Le troisième gode subira le même traitement. 


Elle se relève prend les godes merdeux et nous les présente 


- Sucez-les !


A ma grande surprise, Jérôme s'empare d'un des godes et sans se poser plus de questions se met à le suçailler. Martine n'hésite pas une seconde et en prend un à son tour en se léchant les babines. Pour ma part j'hésite un peu.


- Tu as tort ! Me dis Carole. Je vais te préparer une belle punition !


Carole recueille à nouveau de l'urine sur le drap, puis fait venir Jérôme et lui en badigeonne le cul ! Je cherchais à deviner quelle serait la suite, quand elle me demande de venir à mon tour.


- Lèche-lui le cul !

- Ça va pas non ?

- Allez, un peu de courage, tu auras sa bite après, ça te plait les bites ?

- Oui mais pas les culs !

- Tu lèches juste un peu, je ne t'ai pas demandé de lui nettoyer le trou !


J'obéis, lèche ce cul plein de la pisse de Carole, c'est de façon complètement inconsciente que je m'approche de son trou, que je l'écarte afin d'y faire pénétrer ma langue, tout cela à un goût un peu acre, pas vraiment génial, mais la situation est tellement excitante. Je veux me racheter de mon hésitation de tout à l'heure, je lui lèche le trou du cul aussi profondément que ma langue le permet


- Donne-moi le gode, maintenant je vais le lécher ! Annonçais-je fièrement. 

- Hé, hé, je savais bien…


Finalement, ce n'est pas mauvais du tout, je lèche bien le truc, le rend tout propre.


- Alors elle est bonne ma merde ?

- Elle n'est pas mauvaise !

- Je dirais qu'elle est délicieuse, reprend Martine. Si tu pouvais nous faire une petite crotte.

- Je vais essayer !


Carole s'accroupit sur le drap, pousse et parvint à sortir un petit étron. Elle le ramasse et alors que je pensais qu'elle allait l'apporter à Martine, elle le lèche, nous balançant un regard vicieux, puis se le met entièrement dans la bouche. Elle le ressort, le faisant dépasser de ses lèvres, et s'approche de Martine qui l'attrape avec sa propre bouche et se met à le sucer comme un bonbon.


Je n'avais jamais vu une chose pareille, je bande comme un sapeur. Je ne suis pas prêt à aller jusque-là, mais j'aurais bien léché un autre gode.


- Qui veut me nettoyer le cul ? demande Carole

- Moi, moi ! M'exclamais-je.


Son fion dégage une odeur très caractéristique, mais je m'en fous, je lèche, je nettoie les taches brunes et fais avancer ma langue dans son rectum. Un régal !


Carole revient vers Jérôme :


- Tu veux jouir maintenant ?

- Oui !

- Et tu veux jouir comment ?

- Sucez-moi ! Toi et Pascal.


Ok on commence par le lécher en même temps, c'est agréable mais pas forcément pratique, Carole prend la direction des opérations et lui gobe la bite, la sortant de temps à autre de sa bouche pour me la faire goûter. Il éjaculera assez vite balançant son foutre sur les nichons de la belle qui s'en badigeonne avec avant que Martine vienne lui nettoyer tout ça.


Martine complètement déchaînée me roule un patin, sa bouche sent le sperme, c'est un peu spécial..


- Je veux que tu m'encule ! Me dit-elle.


On se met dans un coin, elle se positionne en levrette, bien cambré, tous ces trous bien visibles. Je lui lèche un peu le trou du cul pour lubrifier, je mets une capote et je la pénètre.


- Vas-y bourre moi bien le cul ! Traite-moi de tous les noms, j'aime bien !

- Tiens ! Salope, traînée, morue…

- Oh ! c'est bon ! j'adore ça me faire enculer par un pédé.


On est en pleine poésie. Madame jouit en hurlant comme une baleine, je me retire sans avoir pris mon pied


- Bon je me suis bien marré, mais maintenant faut que j'y aille ? Et Olivier il ne revient pas ? Demande Jérôme 

- Je vais essayer de le joindre sur son portable, en attendant vous pouvez vous servir de la douche ! Répond Carole.


Comment c'est fini parce que Môssieur a joui ? Et moi alors ? C'est quoi ce truc ? Mais que dire ? Apparemment Jérôme ne se servira de la salle de bain que pour s'essuyer, car le voici qui se rhabille, et comme Martine l'imite, j'en fais autant… Carole, qui elle est toujours toute nue, revient !


- Il sera là dans une demi-heure !


Quel baratineur cet Olivier mais à quel jeu joue-t-il ?


- Bon je l'appelle demain midi, c'est OK pour ce qu'il m'a proposé ! Annonce Jérôme.

- Monsieur Olivier demande si vous pouvez lui laisser Martine jusqu'à ce soir ? C'est à charge de revanche bien entendu ! 


La partouze étant terminée, Carole a curieusement laissé tomber le tutoiement.


- Mais pas de problème si Martine est d'accord !


Elle a l'air d'accord. Jérôme prend congé et me file sa carte, (qu'en ferais-je ?) il est aux anges ! Je vais pour partir à mon tour quand Carole intervient :


- Ne partez pas, Monsieur Olivier tient absolument à vous enculer à son retour ! 


Quelle poésie ! Le temps de boire un petit rafraîchissement, voici notre Olivier qui se pointe, il ne sait pas que je sais, il doit être excité comme un fou


- Monsieur Jérôme a dû partir, mais il était content de notre petit numéro, et il vous a laissé sa femme pour la journée. Annonce Carole.

- Voici un homme qui a du savoir-vivre ! Répond Olivier


Tout en parlant, il se débraguette, et sort sa queue toute raide. J'ignore pourquoi je suis tout excité ! Je prends ce sexe magnifique et l'introduit dans ma bouche, la fellation dure trop peu de temps malheureusement. Il se chausse le sexe d'un préservatif, baisse son pantalon, et me fait baisser le mien, et tandis que Martine suce les bouts de seins de Carole, Olivier pénètre son dard dans mon fondement, il entrera facilement malgré la belle taille de son sexe, puis commencera par imprimer des mouvements de va et vient, je suis saisi d'un plaisir trouble, indéfinissable, je voudrais que ça dure encore, mais il prend rapidement son plaisir. Il me demande si ça va mais s'éloigne sans attendre ma réponse. En ce qui me concerne, je n'avais pas encore joui, mais il faut croire que tout le monde s'en foutait. Je commence donc à me masturber pour bien leur faire comprendre que j'aimerais bien moi aussi prendre mon plaisir. Carole et Martine sont trop occupées pour venir me soulager et Olivier est parti à côté faire je ne sais quoi…


Puisque c'est comme ça, je décide d'aller me finir dans les chiottes. Mais il y a quelqu'un. C'est donc là qu'allait Olivier tout simplement ! La porte s'entrebâille, et surprise ! J'aperçois Viviane assise sur la cuvette, elle me fait signe de venir.


- Si tu veux, tu peux me pisser dessus, je suis tout excitée


Je comprends alors qu'elle devait être aux côtés d'Olivier pendant la partouze


- J'ai plus envie de jouir que de pisser ! Lui répondis-je en lui montrant ma queue toute raide !

- Force-toi à pisser et après je te ferais un cadeau !


Je ne peux pas refuser pareille proposition, rapidement elle enlève le haut et se retrouve à poil, je lui pisse au visage, elle ouvre la bouche de plaisir, et se branle en même temps. Ça y est, j'ai fini de pisser, je n'ai plus la moindre goutte, elle est tout aspergée, elle continue à se branler et prendra son plaisir en poussant d'étranges petits cris. 


- Merci ! 


Elle se tourne, pose ses pieds sur les rebords de la cuvette et se met à califourchon dessus de façon à me présenter ses fesses. Elle pousse. Son anus s'ouvre.


- Tu es arrivé au bon moment, j'ai envie de faire caca, tu vas être mon papier à cul !


Des sentiments contraires m'assaillent, je me dis qu'ils sont complètement fous dans cette baraque, mais l'excitation est trop forte, je regarde l'étron sortir de son anus et tomber avec un gros "floc" dans l'eau dormante de la cuvette, puis un autre, le troisième aura un peu plus de mal à venir. 


- Humm ! J'ai fait trois jolis boudins ! Vas-y lèche ! 


Je m'approche comme dans un songe de son trou et je lèche, c'est cette fois très, très acre, mais la situation m'excite ! En même temps que je lèche le joli trou plein de merde de l'antillaise, je me branle et je jouis enfin… 


Estonius © 2000 Réintégration de tous les passages scatos en 2008.

 

 

 

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Lundi 1 mai 2000 1 01 /05 /Mai /2000 19:34

Les urinoirs de la gare
3 - la partie
par Estonius

 

Gaystamp

 

Les lecteurs reliront avec intérêt les chapitres 1 et 2 de cette série d'étranges aventures

 

J'avais donc un rendez-vous fixe avec Claude et son épouse. Pour le reste je pouvais passer n'importe quand pour voir Pablo au "Barcelone" et il y avait la proposition de Jim. J'avais donc de quoi faire.

 

C'est comme cela d'un coup, ce lundi que je me décidais à accepter la proposition de Pablo et donc d'aller me faire enculer par ce dernier. Je pensais y aller directement, mais je me persuadais quelque part que le plaisir serait meilleur si je m'excitais un peu avant et je décidais donc d'aller préalablement faire un tour aux urinoirs voir un peu ce qu'il se passait ce jour-là.

 

Ce jour-là justement, beaucoup de monde, des urinoirs très occupés et des tas d'hommes attendant derrière. L'affaire s'éternisait, je me rendis compte que certains n'attendaient pas de façon passive. Des mains traînaient sur les braguettes, des fermetures éclair s'ouvraient, des queues s'en libéraient. Tout cela assez discrètement néanmoins. Quant aux cabines, elles étaient pleines bien évidemment. J'attendais, assez excité par l'ambiance qu'une main se pose sur ma braguette, j'aurais pu faire de même mais je me sentais encore trop nouveau dans ce milieu pour prendre ce genre d'initiative. La main finit par venir raidissant encore un peu plus ma bite toute bandée. Le type se posa carrément devant moi. Et entreprit de me défaire ma braguette. J'étais un peu gêné par le manque de discrétion mais entreprit néanmoins de me laisser faire, après tout, les gens qui venaient ici le faisait en toute connaissance de cause. Bientôt ma bite toute raide surgit de mon pantalon, et l'inconnu se mit à la masturber. Il se mit soudain à genoux et allait commencer à la sucer quand un mouvement de foule fit soudain se vider la salle. Il s'agissait de deux flics en képi. Je me retrouvais donc dehors dans ce grand couloir de correspondance. Le type qui voulait me sucer se retrouva à mes côtés :

 

- Dommage ! Me dit-il

- Oui, mais on peut se revoir !

- Je te paye un coup !

- O.K !

 

Je pensais à l'emmener au Barcelone, mais sans trop savoir pourquoi, j'y renonçais. Nous nous dirigeâmes vers un bistrot tout à fait classique

- On se prend une petite conso au bar et on va se finir dans les toilettes ?

 

J'acquiesçais volontiers, les consommations furent vites… consommées et nous descendîmes l'un après l'autre dans les toilettes de ce café. Il semblait connaître les lieux et sans préambule baissa son pantalon et son slip, j'en fis bien sûr autant, il s'accroupit devant moi et introduisit mon sexe à nouveau durci dans sa bouche. Il suçait très bien je sentais sa langue me caresser le gland par petits coups nerveux tandis que ses lèvres développaient un mouvement de succion très efficace. Quand il estima que ma verge fut assez tendue, il se releva, me tendit un préservatif, puis se retournant, me demanda de l'enculer. Préalablement je répétais les gestes appris avec Claude et lui léchais l'entrée de l'anus avec ma langue, regrettant de ne pas lui sucer aussi la bite, mais ce serait peut-être pour plus tard, je m'introduisis facilement dans son petit trou. Excité comme tout, quelques allers et retours suffirent à me faire atteindre l'éjaculation tandis que l'inconnu se pâmait de plaisir. Mon désir disparut aussi vite qu'il était venu et je refusais poliment la réciproque, mais acceptait de le branler afin qu'il jouisse à son tour.

 

- Tu branles bien, mais j'aimerais autre chose, ça ne t'ennuierait pas de me cravacher les fesses pendant que je m'astique

 

Non, ça ne me dérangeait pas, je défis la ceinture de mon pantalon, et commençais à le flageller, réalisant en même temps que cette pratique était assez bruyante.

 

- Bon allez ! Branle-moi ! Ça fait trop de bruit !

 

Mais le désir remontant, c'est dans ma bouche que je le terminais. De retour au bar, il me fit cette étrange proposition :

 

- T'aime ça aussi les coups sur les fesses ?

- Ça ne me déplait pas !

- J'ai eu l'occasion de rencontrer un grand bourgeois qui organise des parties entièrement masculines, je lui sers un peu de rabatteur, si ça t'intéresse ?

- Et on fait quoi ?

- On se branle, on se suce, on s'encule, un peu de SM aussi, mais c'est lui qui dirige tout. Je t'assure c'est génial

 

Je lui demandais des précisons.

- Il ne veut pas que je donne l'adresse, mais il y a une partie jeudi prochain…je peux t'emmener

 

Je lui donnai mon accord. Le jour fixé Charlie était au rendez-vous, j'avais plein de questions à lui poser, ce que j'ignorais c'est qu'il avait appelé un taxi, et que dans ces conditions les questions risquaient fort de demeurer en suspens.

Une fois sur place, nous devions prendre un escalier de service et finalement le maître des lieux nous accueillit d'une chaleureuse poignée de main.

 

- Voilà, nous attendons encore deux personnes et nous pourront commencer. Je vous laisse conduire notre nouvel invité dans la grande salle, Il y a un petit buffet à votre disposition et quelques films. Vous pouvez vous exciter bien sûr !

 

Dans la salle, il y avait déjà six hommes, et le spectacle était tout à fait charmant. Deux grandes télés diffusaient des films gays, le premier dans le genre traditionnel avec des gays californiens super musclés ne m'intéressait pas du tout, mais l'autre montrait des jeunes hommes ressemblant davantage au commun des mortels et leurs ébats ne me laissèrent pas longtemps indifférent. Pour faire bonne mesure, je me servis quelques bricoles au buffet, il n'y avait pas d'alcool que des jus de fruits, aussi quelqu'un du voir mon air dépité et me rassura en me précisant que le champagne arriverait plus tard. Mon interlocuteur avait comme tous les autres la bite sortie de la braguette, une fort jolie bite, ma foi ! Je m'empressais de sortir également la mienne, puisque cela semblait être la tradition des lieux, mais je ne pouvais néanmoins pas m'empêcher de reluquer la queue de mon voisin !

 

- Elle est magnifique !

- Je sais, elle est très douce au toucher, vas-y caresse-là !

 

Je ne me fis pas prier et commençais quelques mouvements de masturbation. Je l'aurais bien sucé, mais j'étais un peu gêné de ne pas bien connaître les habitudes de la maison… Sur ces entre faits arrivèrent deux autres hommes dont un grand noir à l'air jovial qui tout de go sortit de sa braguette une énorme bite. Le maître des lieux nous avisa :

 

- On va bientôt commencer, ne restez pas comme cela, mettez-vous à poil ce sera plus cool !

Toute l'assemblée entrepris donc de se déshabiller, Hervé, mon voisin de tout à l'heure avait l'air de se coller à moi, mais cela ne me gênait pas du tout.

 

- Dis donc, tu en as des gros bouts de seins !

- C'est à force de me les faire pincer !

- Je peux ?

- Bien sûr !

 

Et pendant qu'il me tripotait les tétons, je continuais à jouer avec sa belle bite, je jetais un coup d'œil circulaire autour de moi et m'aperçut qu'un peu plus loin, un type en suçait un autre. Puisque la pratique semblait autorisé ici, pourquoi me gêner, je me mis donc à genoux devant Hervé et je commençais par lui donner de petits bisous sur la verge, sur les couilles, puis sur le gland. Comme il ne protestait pas j'introduisis son sexe dans ma bouche et commençait une fellation en règle ! Mais je fus vite interrompu par l'arrivée d'Eric le maître des lieux, suivi d'Alain une sorte d'assistant, tous les deux étaient complètements nus, hormis une grande cape noire, ouverte et un peu ridicule.

 

- Bien, nous vous laisserons terminer cette soirée comme vous l'entendez, mais auparavant nous allons nous livrer à quelques attractions. Tout le monde est d'accord ?

 

Il n'y eut bien sûr aucune objection

 

- Vous allez tous vous mettre en ligne ici, et Alain et moi nous allons désigner la plus belle bite de l'assemblée, le vainqueur commencera par recevoir un prix de *** euros.

 

Puis se tournant vers Alain :

 

- Ca ne devrait pas être trop difficile de trouver le vainqueur ce soir ?

- Ah ! Ce n'est pas dit, il faut goûter, dès fois on a des surprises !

- Alors on y va !

 

Eric se plaça à l'extrémité gauche de la file, Alain à l'extrémité droite, et les deux personnages entreprirent de nous sucer brièvement les uns après les autres. Je trouvais la situation extrêmement excitante. Etant pratiquement au milieu de la file je subis les assauts d'Eric et d'Alain pratiquement dans la foulée, me laissant dans un état de pré jouissance fort trouble.

 

- Alors ce vainqueur ?

- Pour moi, c'est William ! Répondit Alain en désignant le grand noir !

- On est d'accord, William est vainqueur

 

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En disant cela Eric sortit de sa cape deux billets de *** euros qu'il tendit à William, qui ne sachant pas trop quoi en faire alla finalement les ranger dans la poche de sa veste accrochée un peu plus loin…

 

- Et maintenant tout le monde se tourne, nous allons désigner le plus beau cul de la soirée.

 

Chacun des deux larrons commença comme tout à l'heure à une extrémité, à peloter nos culs, à les embrasser, à y faire pénétrer un doigt. Bientôt ce fut mon tour.

 

- Regarde-moi cette merveille ! Un vrai cul de gonzesse, un chef d'œuvre. Quelle cambrure, et c'est tout doux !

 

Je ne m'attendais pas vraiment à ce genre de remarque et n'en éprouvais d'ailleurs aucune fierté. Ils étaient deux à m'ausculter les fesses à présent.

 

- Un petit peu étroit, peut-être ?

- Ca ne fait rien c'est le plus beau !

 

Puis s'adressant à l'assemblée :

 

- Le vainqueur est donc Pascal

 

Je reçus aussi mes 2 billets, et à l'instar de William alla les ranger.

 

- Je vous propose d'unir la plus belle bite avec le plus beau cul. William va donc enculer Pascal.

 

Je bredouillais quelques mots de protestation, précisant que je n'avais rien contre William, ni contre sa bite, mais quelque chose contre la grosseur de cette dernière, parce que relativement nouveau dans ce milieu… la situation amusa Eric qui se tourna cers Charlie.

 

- Dis donc, Charlie, tu aurais pu nous prévenir que tu nous amenais un puceau ?

 

Charlie essaya en vain de bredouiller quelques mots d'excuses.

 

- Non ça mérite une punition ! Viens ici on va t'attacher à cette croix et te punir comme il faut

 

Cette perspective n'avait pas l'air de contrarier l'ami Charlie qui se prêta de bonne grâce à cette petite comédie. On l'attacha à une croix de Saint-André, face contre croix, puis Eric qui s'était saisi d'un martinet commença à lui frapper les fesses. Les coups furent d'abord moyens, mais Charlie supportait bien, alors ils devinrent plus fort et atterrirent non seulement sur le cul, mais aussi sur le dos et sur les cuisses. Quand on le détacha sa bite était toute raide !

 

- Tu vas lui ouvrir le chemin, ça t'apprendra, et après William prendra le relais.

 

Je m'arc-boutais à une espèce de barre et écartais les jambes. Eric m'enduit le cul d'une sorte de gel et laissa la place à Charlie qui pénétra mon anus avec facilité. Il enculait très bien, pour une punition, il s'en sortait plutôt bien, mais Eric ne lui permit pas d'aller jusqu'au bout et William prit ensuite le relais

 

- Tu ne jouis pas dans son cul ! Tu te réserves pour le mien ! Quand tu sentiras que ça vient tu le laisses tomber et tu t'occupes de moi !

 

La bite de William ne passa pas sans douleur, mais il savait y faire. Après m'avoir pénétré, il accomplit des mouvements les plus lents possibles, puis accéléra insensiblement. La sensation était délicieuse. Soudain le rythme s'accéléra, il stoppa, attendit, puis décula, il changea alors de préservatif puis très vite pénétra Eric et déchargea !

 

- Messieurs je vous laisse, profitez du buffet et faites ce que vous voulez ! A minuit Alain viendra fermer, jusque-là la soirée est à vous ! Il y a ici une petite caméra, n'y touchez pas je crois que j'aurais un beau film à visionner demain, et rassurez-vous après je l'efface…

 

Puis se tournant vers moi en me donnant un petit carton.

 

- J'aimerais bien vous revoir, téléphonez-moi sur ce numéro de portable !

 

Il disparut avec son comparse, je ne cherchais pas trop à comprendre la raison d'une attitude aussi étrange. Hervé était à nouveau à côté de moi, sa bite toujours dressée. Je repris donc ma fellation interrompue. C'était vraiment un grand plaisir que de sucer une aussi bonne bite ! Le plus agréable quand on suce un sexe est quand la langue rencontre l'endroit où se termine le gland. Si l'homme est bien excité sa queue va sécréter quelques gouttes de liqueur séminale qui vont rendre le goût de la queue encore plus excitant. C'est justement ce qui était en train de se passer avec Hervé.

 

- Je t'enculerais bien pour finir !

 

Faut pas pousser, deux dans la soirée c'est déjà énorme, alors trois, mais j'acceptais quand même et je lui tendis mon cul dans lequel il jouit fort rapidement. Lui aussi me tendit un carton avec un numéro de téléphone, (A ce stade il faudra bientôt que je me rachète un carnet d'adresses) et disparu. Je n'avais pas joui et avais très envie. Mais comment ? Enculer quelqu'un n'est pas mon truc, me faire sucer ou branler, pourquoi pas ? Dans un coin un type suçait alternativement deux queues, je me plaçais en troisième position, mais manifestement cela n'intéressait pas le suceur.

 

Je résolus donc de me masturber moi-même en regardant la vidéo qui n'avait pas cessé. Une main secourable vint remplacer la mienne, je la laissais faire, puis l'homme s'accroupit devant moi et me suça, il suçait très bien, donnant des petits coups de langue nerveux, je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. Il tint à m'embrasser sur la bouche alors qu'il n'avait pas encore avalé mon sperme, je le laissais faire, par politesse, mais je reconnus que cela n'avait rien de désagréable. Je bus un dernier verre, ce qui me permit de constater qu'on avait effectivement apporté du champagne !

 

Avant de partir, je me rendis aux toilettes, un des participants avait eu la même idée que moi au même moment, je le laissais donc entrer avant moi et me mit en devoir d'attendre mon tour.

 

- Non rentre ! On ne va quand même pas se gêner maintenant

 

Le type se mit à pisser, et tout en le faisant, il se badigeonna la queue et les testicules avec son urine. Un certain trouble se manifesta au niveau de ma queue qui se remit à bander légèrement. Je pensais qu'il allait me proposer quelque chose, mais il resta muet. Je me mis à pisser à mon tour, et histoire de voir jusqu'où irait mon voisin j'imitais ses gestes, me barbouillant également la verge et les couilles d'urine. Cette fois sa timidité fut vaincu, il se pencha vers mon sexe pour me le lécher, mais ne parvint cependant pas à me faire bander correctement. Sur cette dernière scène fort trouble, je quittais les lieux à mon tour...

 

à suivre

 

Edstonius - 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Lundi 10 avril 2000 1 10 /04 /Avr /2000 19:27

Les urinoirs de la Gare

 2 - un retour récompensé

par Estonius

 

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Immédiatement après mes aventures aux urinoirs de la gare (voir chapitre 1), j'ai eu une liaison avec une stagiaire qui m'a occupé pendant environ deux mois. Celle-ci est ensuite partie vers une autre destination, et j'eus quelques temps après la curiosité de revenir dans cet endroit fort spécial. C'est très excité que j'e m'y rendis. C'est un peu toujours le même scénario, il faut attendre qu'un urinoir se libère, puis on s'approche, un coup d'œil à droite, un coup d'œil à gauche le temps d'admirer toutes ces belles bites dressées en train d'être lentement masturbés, certaines sont magnifiques. Je me suis un peu enhardi, après mes premières expériences et tandis que je me branle la queue, je laisse parfois balader ma main vers l'urinoir voisin, certains laissent faire, d'autres ne souhaitent aucun contact, parfois c'est une main qui se pose sur ma bite. Mais tout ceci ne va pas bien loin.

 

J'espérais retrouver Berty ou à défaut Claude, mais je ne les vois nulle part. Je n'eus aucun contact ce soir-là, je finis de me branler en solitaire et me promis de revenir le lendemain.

 

Le lendemain, mes tentatives de contact n'allèrent pas bien loin non plus, et je m'aperçus que ce lieu avait lui aussi son envers du décor, des types complètements toqués, d'autres venus là uniquement pour avoir des rapports payants. C'est un peu désabusé que je partis ce jour-là sans avoir joui et ne sachant pas si je reviendrais.

 

Je revins pourtant à nouveau le lendemain, il n'y avait pas grand monde ce soir-là, un urinoir se libéra assez vite, je m'y installais et commençait par faire un petit pipi avant d'entamer ma masturbation, le mur en carrelage reflétait parfaitement les queues de mes voisins, celle de gauche était belle et bronzée, mais j'attendis quelques secondes le temps que la mienne prenne un volume convenable avant de mater carrément à côté. Le type à côté de moi, un asiatique recula imperceptiblement et arrêta de se masturber, je savais maintenant ce que voulais dire ce signe, c'était une invitation, je ne refusais pas et entrepris de le branler doucement

 

- Tu suce ? Demanda-t-il

- Bien sûr !

 

Il me proposa que nous nous enfermions dans une cabine. Il fallut attendre un peu, je n'avais pas réalisé jusqu'ici que les cabines étaient aussi un lieu où il se passait des choses étranges. Une d'entre-elles finit par se libérer, j'aurais aimé prendre mon temps, mais l'homme paraissait pressé de jouir, il baissa rapidement son pantalon et son slip, se rebranla un petit peu. Je lui expliquais que je voulais bien le sucer, mais que je ne souhaitais pas qu'il jouisse dans ma bouche, il accepta, et j'entamais donc une fellation très vite écourtée car la jouissance de l'homme monta très vite. Je le terminais à la main, sa bite ne tardant pas à libérer un jet de sperme qui se répandit sur le sol. Sans un mot, et sans se préoccuper à présent de moi, il ne trouva rien de mieux à faire que de se rhabiller et de sortir de la cabine, puis des toilettes, je m'apprêtais à faire de même quand, divine surprise, je découvris Claude. J'espérais que ce dernier me reconnaîtrait sans problème. Effectivement ce fut lui qui le premier m'adressa la parole.

 

- Il ne se passe pas grand-chose ce soir !

- Non en effet !

- On va boire un coup ?

- Bien sûr !

 

Nous nous dirigeâmes vers "le Barcelone", le même bistrot que la dernière fois. Chemin faisant il m'expliqua que Berty était parti en province, que lui aussi était déçu par l'ambiance des toilettes de la gare, que néanmoins il avait conclu quelques fois en allant au bar, le patron de l'établissement ne permettant l'accès à la remise qu'aux "couples" et encore pas à tous.

 

- J'ai une de ses envies de me faire enculer ! me dit Claude

 

Je faillis lui dire que moi aussi, mais me retint au dernier moment, prenant soudain conscience que nous étions tous deux plutôt passifs, ce qui ne simplifiait pas vraiment la situation. Nous fûmes accueillis à bras ouvert par Pablo le patron qui carrément embrassa Claude, puis s'adressant à moi avec un délicieux accent espagnol :

 

- Je te reconnais toi, tu étais venu une fois dans la remise avec lui !

- C'est bien d'être physionomiste !

- Ma qué ! Je me souviens de ton petit derrière, tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu dois aimer cela te faire enculer, hein !

 

Je ne pouvais décemment pas répondre que je n'avais jamais essayé et me contentait de lui faire un clin d'œil approbateur.

 

- On peut aller directement dans la remise demanda Claude

- Ah ! Petit problème, je suis en travaux, mais provisoirement j'ai privatisé la salle du haut, vous pouvez y aller, il y a déjà deux gars. Vous pouvez faire absolument ce que vous voulez comme dans la remise !

 

Nous montâmes donc l'escalier, qui n'était condamné que par une simple cordelette, au milieu de laquelle pendouillait une pancarte "accès privé, fermeture provisoire"

Il y avait 2 hommes dans la salle, qui ne faisaient rien de particulier, peut-être attendaient-ils d'autres personnes. Claude m'invita à s'asseoir à côté de lui (et non pas en face) et dès que nous fûmes assis, il attaqua ma braguette, je lui rendis bien sûr la pareille, et très vite nos bites se retrouvèrent à l'air ! Claude pour être plus à l'aise, baissa carrément son pantalon et son slip, je ne pus que l'imiter. A ce moment survint Pablo le patron avec des consommations que nous n'avions pourtant pas commandé, il posa deux verres sur la table, puis s'adressant à moi :

 

- Regarde c'est pour toi !

 

A ces mots il sortit sa bite, pratiquement déjà en érection, une merveille, bien droite, la peau légèrement ambrée, le gland tendu. Comme dans un rêve je m'emparais de l'engin et lui imprimait quelques mouvements masturbatoires !

 

- Suces !

 

Je n'attendais que cela, le contact de sa bite dans ma bouche était délicieux, la bite à une texture de peau très particulière qui en rend le contact avec la langue extrêmement agréable. Tandis que je suçais Pablo, Claude lui s'était penché sur ma propre pine et me suçait lui aussi. Quel moment délicieux, j'essayais de calquer le rythme de la fellation que je faisais à Pablo sur celle que Claude me faisait. La bite de Pablo avait maintenant acquise sa rigueur maximum et j'étais comme sur un nuage de plaisir et de volupté. Mais tout à coup je sens qu'il va se retirer, je pense que c'est pour jouir hors de ma bouche. Mais non ce n'est pas cela. Et soudain je réalise, il va m'enculer, effectivement il habille rapidement sa queue d'un préservatif.

 

- Maintenant tu vas me monter ton petit cul !

 

Je finis de me déshabiller, et je lui tourne les fesses, pendant ce temps-là Claude me suce toujours. Pablo me malaxe les fesses, il n'en peut plus.

 

- Quel joli cul ! Tu vas voir comme je vais bien te prendre !

 

Je m'aperçois que les mecs du fond se sont rapprochés. Ils assistent maintenant à la scène tout près de nous et se branlent, toutes ces queues finissent par me rendre fou ! A présent Pablo me lèche le trou du cul, je sens sa langue me travailler l'anus et y pénétrer. J'ai peur de jouir à cet instant et je fais signe à Claude de marquer une pause. Lequel Claude en profite pour faire une tentative d'approche vers l'un de nos deux spectateurs qui accepte bien volontiers, mais le deuxième ne veut pas être en reste et voilà donc Claude en train de sucer alternativement les deux jeunes hommes. Sur ces entre faits Pablo m'a maintenant introduit un doigt dans l'anus, le voilà en train de me farfouiller, faisant naître un plaisir trouble. Mais soudain une voix retentit :

 

- Pablo !

 

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Apparemment Pablo fut obligé de tout interrompre pour redescendre, me plantant là avec mon cul prêt à l'emploi. Jim, l'un des deux spectateurs en profite pour venir derrière moi :

 

- Je peux te prendre ?

- Oui mais avec une capote ! Je vais te sucer un peu avant

- No problème !

 

Chaque bite possède finalement un goût un peu différent, celle de Pablo était parfaitement clean et récurée, celle de Jim sent un peu la pisse, mais ça ne me dérange pas du tout, je trouve que c'est même bien plus authentique.

 

- Elle est bonne ma queue ?

- Elle sent un peu la pisse, mais elle est bonne !

- C'est express, c'est meilleur ! Rigole-t-il

-

Claude de son côté a cessé sa fellation et il est maintenant en train d'embrasser goulûment son partenaire sur la bouche. J'espère que je n'aurais pas à faire cela, n'en ayant absolument pas envie.

Jim se retire de ma bouche pour maintenant enfiler la capote, j'ai confiance, je me dis que ce n'est pas plus mal que ce soit lui qui me dépucelle, sa bite étant moins volumineuse que l'engin de Pablo. Après quelques préliminaires, il me fait courber en avant et je sens une poussée vers mon anus, ça fait un peu mal, mais j'essaie de supporter, il entre de plus en plus, je sens que je vais crier, il pénètre encore, je vais pour lui dire d'arrêter quand je perçois que Jim commence un léger mouvement de va-et-vient, je ressens un plaisir trouble et de plus en plus évident

 

- C'est bon !

 

A trois mètres de là, c'est maintenant Claude qui se fait enculer à son tour. Je sens que le va-et-vient ralentit, puis s'arrête, Jim vient de jouir, il se retire. Je me suis fait enculer et j'en suis fier. Les deux compères nous diront poliment au revoir, mais avant nous eûmes droit à cette étrange proposition :

 

- Ça vous dirait qu'on se revoit, et si ça vous intéresse, on pourrait s'arranger pour ma bite elle sente encore plus la pisse ! On pourrait se faire une petite partie uro. On est souvent là le mardi !

 

C'est avec enthousiasme que Claude accepta cette proposition et les deux larrons s'éclipsèrent alors me laissant seul avec ce dernier qui passant derrière moi, entreprit de me lécher l'anus.

 

- Il faut que je jouisse à présent ! Que je lui dis

- Je te suce à fonds ?

- Ok

 

Ce qui m'embête c'est que je vais être obligé de lui en faire autant après avoir joui.

 

- J'ai une autre idée, viens par terre, on va faire un soixante-neuf.

 

L'idée lui plut, nous voici sur le sol en train de nous sucer mutuellement, c'est lui le premier qui déchargea dans ma bouche, je ne tardais pas en en faire autant. On se relève, il s'approche de moi avec une infinie tendresse, c'est ce que je redoutais, mais je ne peux pas lui refuser cela, et donc pour la première fois de ma vie j'embrassais un homme sur la bouche, mais pas n'importe quelle bouche, une bouche remplie du goût du sperme, rien que ça faillit me faire rebander.

En descendant Pablo revenu derrière son bar nous interpella tous les deux mais je compris que quelque part le message s'adressait surtout à moi.

 

- Désolé pour tout à l'heure… un coup de fil urgent…Mais revenez quand vous voulez, même tout seul et cette fois, je vous enculerais bien comme il faut !

 

Que voilà une proposition bien alléchante, mais une troisième dans un tout autre genre m'attendait

 

- T'es quoi au juste, t'es homo ou t'es bi ? Me demanda Claude

- Bi !

- Je m'en doutais !

- Tu sais ma femme à un fantasme, c'est de me voir faire des trucs avec un autre homme, ça te dirait si j'organisais une petite rencontre, bien sûr tu pourras la baiser aussi si ça te dit

- Super pas de problèmes !

 

Nous échangeâmes nos numéros de téléphone et quelques jours après nous convenions d'un rendez-vous chez Claude, mais ce ne serait que dans un mois.

 

à suivre

 

Estonius - 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Dimanche 5 mars 2000 7 05 /03 /Mars /2000 19:19

Les Urinoirs de la Gare

1 - contact

Par Estonius

 

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J'adore les femmes. Je peux avoir une érection rien qu'en voyant un visage agréable. Je ne pourrais pas m'en passer. Les hommes ne m'attirent pas, j'ai bien comme beaucoup d'autres joué à touche quéquette pendant mon adolescence mais ça n'a jamais été bien loin. Pourtant….

 

…Au départ une envie de pisser, et je me dirige vers les toilettes de la gare. Il y a un monde fou là-dedans. Les toilettes sont grandes, et il doit bien y avoir une dizaine d'urinoirs de part et d'autre de la pièce. Plusieurs personnes semblent attendre, et effectivement je trouve que c'est long, observant sans le vouloir l'un des "pisseurs" je constate qu'en fait, il semble se masturber. Je me dis que quand même il exagère, mais je m'aperçois qu'un deuxième l'imite et d'autres sans doute...

 

Un urinoir se libère, j'y vais, et commence à pisser. Je ne sais quelle folie me pousse à regarder sur ma gauche, où un homme fort bien monté est en train d'astiquer sa bite avec une savante lenteur. Je ne peux m'empêcher de la regarder, de la trouver belle, je ne sais pas quoi faire, j'ai fini de pisser, mais je n'arrive pas à décoller, je jette un coup d'œil de l'autre côté et découvre une autre fort jolie quéquette, une noire cette fois, l'homme ne fait rien pour se cacher, ayant reculé un peu par rapport à la cuvette de façon, justement à ce qu'on le voit. Troublé, je range ma bite et me retire, je vais pour partir, et jette un regard circulaire autour de moi, vers le fond de la pièce, il y a un petit attroupement derrière les deux derniers urinoirs, je m'aperçois vite que l'un des deux se fait branler par l'autre. J'essaie de m'approcher plus mais je n'en ai pas la possibilité. C'est pratiquement sans réfléchir que je profite d'un urinoir qui vient de se libérer pour venir l'occuper, je mate les bites qui m'entourent, l'une d'elle ne me plait pas trop, mais l'autre est superbe, légèrement bronzé, bien raide, pleine de vie, comme dans un rêve, je sors ma bite et me met à la branler. Complètement excité, je ne tarde pas à éjaculer. Et je profite de ce moment de répit dans mon excitation pour m'éclipser.

 

Je me demandais après ce qui m'était arrivé. Le soir fort excité en me remémorant tout cela je fis l'amour à ma femme en fantasmant sur les bites que j'y avais vues. Ma nuit fut agitée, étais-je en train de devenir homo ? J'allais à pied à mon travail pour faire un test. Non pas de doute, les femmes attiraient mon regard autant qu'avant, et pas un seul homme n'était susceptible de me provoquer ne serait-ce que le quart de la moitié d'un fantasme. Bizarrement mes pulsions se résumaient donc aux bites.

 

J'avais dans la journée pris la résolution d'éviter ces toilettes, ne sachant où pourrait me conduire le trouble que m'avaient provoqué les organes de ses habitués.

 

Mais le soir, cette bonne décision avait quelque peu évolué, je me disais alors que je pourrais y retourner, une dernière fois, comme cela pour voir. Et j'y allais !

 

Il y avait nettement moins de monde que la veille, et si quelques personnes stationnaient en plein milieu, des urinoirs restaient vides. Je me dirigeais vers l'un de ceux-ci, et tout en pissant vérifiait que mes deux voisins étaient bien là pour se masturber. La bite de mon voisin de gauche était une pure merveille, il bandait très fort, on la sentait au bord de l'éjaculation, et le type se contentait de la caresser très doucement, je remarquais aussi qu'il avait sorti ses couilles de sa braguette. Ma bite était, elle aussi dans un bel état. Soudain très vite, il se passa quelque chose, mon voisin croisa mon regard, puis tout en lâchant sa queue, il me fit un petit geste de la tête, je compris qu'il m'invitait à prendre le relais (si j'ose dire), j'aurais pu hésiter, je ne fis pas et ma main se retrouva sur son sexe dont je caressais la peau douce. Je me demandais un moment s'il me rendrait la pareille. Non !

 

- Fais-moi jouir ! Murmurât-il

 

Ce ne fut pas long ! Moins d'une minute après avoir commencé à lui caresser la bite, elle crachait son sperme. L'homme s'essuya et cessa de s'occuper de ma présence. Je restais à mon poste, mon voisin de droite ne m'intéressant pas, j'attendais un instant que quelqu'un vienne sur ma gauche, mais en vain... Je pris la résolution d'aller faire un petit tour et de revenir plus tard, je remballais donc ma bite et me dirigeait vers la sortie.

 

Et là une surprise m'attendait, le type que j'avais branlé était en train de discuter avec une autre personne. Nos regards se croisèrent :

 

- T'as cinq minutes ? Je te paie un pot !

 

L'engrenage s'actionnait, j'acceptais, et nous nous dirigeâmes tous les trois vers un petit bistrot du coin à deux minutes de la gare. Je pus ainsi pendant quelques instants mieux cerner ce personnage qui se présenta sous le nom de Berty, grand, brun, la quarantaine, le visage émacié, genre artiste, je ne savais pas du tout d'où sortait le troisième personnage qui déclara s'appeler Claude, petit, rondouillard mais très jovial habillé d'un costume bleu marine sans grande fantaisie et chargé d'une serviette sans doute plein de documents ramenés de son travail...

 

Le café n'était pas très fréquenté malgré la proximité de la gare, mais devait fonctionner avec une clientèle d'habitués. Le patron avait l'air de fort bien connaître Berty, lequel d'emblée lui posa cette étrange question :

 

- La remise est libre ?

- Pas de problème, je vous sers une blanche de Bruges pour tout le monde ?

- Ok

 

Et voilà que nous pénétrons dans une arrière salle privée qui est en fait un bric à brac de caisses, de fût, de tables remisées et d'objets divers. J'ai vraiment l'impression d'être dans un rêve et je me demande ce que je fais là ! En tout cas, un drôle d'endroit pour aller boire un demi. Claude et Berty se mettent à l'aise, c'est à dire qu'ils mettent dans un coin, vestes, serviettes, pochettes et parapluies, puis Berty fait signe à Claude :

 

- Vas-y !

 

A ces mots, Claude visiblement fou d'excitation défait la fermeture éclair de la braguette de Berty, et lui sort la queue. Bon sang c'était ça le coup à boire, il veut jouir à nouveau ! Je ne comprends pas bien mon rôle dans cette affaire. J'envisage un moment de prétexter un léger malaise pour me tirer, mais non je reste. Claude s'active à branler la bonne bite de Berty. J'ai droit à ses commentaires :

 

- Quelle merveille ! J'ai rarement vu une bite aussi belle, et aussi bonne. J'adore sucer des belles bites. Tiens ! Commence si tu veux ?

 

Il me laisse la place, je ne m'attendais pas à cela, mais quelque part j'ai envie de la faire. Je me retrouve à genoux devant sa bite. J'hésite encore un peu mais à quoi bon, et la voilà dans ma bouche, Quelle sensation de douceur, le goût est un peu acre, le nettoyage de sa dernière jouissance n'a pas été parfait, Mais qu'importe, tandis qu'avec mes lèvres je donne des petits coups d'aller et retour, je suce le gland avec ma langue, c'est formidable, je suis aux anges, mais j'essaie d'en profiter un maximum, je sais que Claude va me la reprendre d'un moment à l'autre. Une voix m'interrompt :

 

- Et trois demis. Trois !

 

Ce n'est pas vrai ! Le patron est venu les apporter jusqu'ici !

 

- Vous gênez pas pour moi !

 

Et il repart, Claude me fait comprendre que c'est son tour. Je me relève dans un état second.

 

Claude engloutit la bite de Berty. Pour ma part je bande comme un cerf, et souhaitant faire preuve d'initiative, je sors ma queue et me met à me masturber sans essayer de deviner quelle sera la suite.

 

- Alors elle est bonne ma queue ?

- Délicieuse ! Dommage qu'elle ne sente pas un peu plus la pisse ! Répond Claude en cessant un instant sa fellation.

- Ça c'est pas un problème, tu veux que je te pisse dessus ?

- Ah ! Oui ! Répond l'autre complètement pâmé

- Allez à poil !

 

Claude se déshabille donc, et comme Berty en fait autant, je fais pareil.

 

- A genoux ! Petite salope !

- Oh oui ! Vas-y pisse-moi dessus !

- Ouvre bien la bouche !

 

Il le fait, le jet part, et atterrit dans la bouche de Claude qui déglutit avec joie, il lui asperge ensuite tous le corps notamment le sexe puis le fait se retourner pour lui arroser le derrière, ensuite il se badigeonne lui-même entièrement le pénis et les testicules avec son urine, puis il s'en étale sur les seins, à l'intérieur des cuisses, sur les fesses et près de l'anus.

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- Qu'est-ce qu'on dit ?

- Oh merci ! C'est délicieux !

 

Je songe sérieusement à partir, mais un je-ne-sais-quoi me retient encore.

 

- Bon suce-moi maintenant !

 

Claude va s'exécuter, mais Berty apporte une précision :

 

- Non la bite c'est pour lui ! Puis en me désignant : Toi tu me lèche le trou du cul.

 

Cette suggestion n'a pas l'air de contrarier Claude qui passe derrière et entreprend de farfouiller l'anus de son partenaire avec sa langue tandis qu'après un moment d'hésitation j'engloutis dans mon palais sa queue dégoulinante de pipi, mais je n'y fais pas attention, au contraire cela participe un peu plus à l'excitation du moment. Ma bite est prête à éclater, je me demande comment et quand je vais jouir.

 

- Allez ! On change !

 

Non, je ne veux pas ! Je vais pour refuser de me déplacer, mais peine perdue, c'est Berty qui effectue un demi-tour sur lui-même et qui me présente son derrière. Je lui lèche les fesses, évitant de m'approcher trop de l'anus, mais un mouvement inconscient m'y fait quand même m'en approcher et me voilà en train de lui fouiller la sortie de son petit trou avec une application surprenante.

 

- Bon assez les suceurs ! Maintenant je vais jouir dans un bon petit cul !

 

Il me tripote le mien

 

- T'as un vrai cul de tapette, toi, mais on se reverra, lui, je lui ai promis la totale !

- Tu me fouettes avant comme l'autre fois ?

- D'accord, et devant tout le monde ?

- Oui vas-y encule-moi ! Fouette-moi ! Fait moi mal.

 

Berty se dirige vers la porte, il passe une tête et dit quelque chose au patron qui se ramène avec trois clients. Il fait coucher Claude (ou du moins sa partie supérieure sur une table et va chercher sa ceinture de pantalon, et sans aucun préalable, il commence à lui cingler les fesses

 

- T'aimes ça ! hein ? Petite salope ?

- Oui ! Vas-y ! Plus fort !

 

Berty me demande alors de me positionner devant Claude pour qu'il me suce en même temps, mais la position n'est pas pratique, ce sera pour plus tard. Les fesses de Claude sont rapidement rouges, un rouge de plus en plus foncé.

 

- Ça va t'as ta dose ?

- Encore 10

- Alors compte !

- 1 2 3…

 

Sadiquement Berty lui en rajoute quatre autres et sans aucun préalable engloutit sa bite dans son trou du cul. Ça ne dure pas très longtemps, Claude gémit de douleur puis bientôt de plaisir tandis que Berty éjacule dans son anus.

 

- Super mais je suis crevé ! Dira Berty. Mais vous, vous n'avez pas joui !

 

Saisi d'une impulsion subite je me place à genoux devant Claude qui a du mal à tenir debout et engloutit sa bite. La sienne aussi est super bonne et je ne tarde pas à sentir le sperme chaud s'écouler dans mon palais, j'exécute quelques mouvements de masturbation pour jouir enfin et tandis que les voyeurs ressortent, nous dégustons enfin notre bière.

 

- Et toi tu aimes te faire enculer ?

- Je n'ai jamais essayé !

- Et tu voudrais essayer ?

- Pourquoi pas ?

 

Je le sens mijoter un truc

 

- Mais pas ce soir, je suis crevé, et il faut que je rentre !

 

On se rhabille, on quitte le bistrot en on se sépare.

 

A suivre

 

 

Estonius © 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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