Estonius

Samedi 17 octobre 2009 6 17 /10 /Oct /2009 07:54

Construire un pont

Par Estonius

 

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Je suis Ludovic, j'ai quarante ans et je suis cadre commercial dans une grosse entreprise de constructions métalliques.

 

L'action se passe à Minouville, petite ville du centre de la France, célèbre par son église du XIIe siècle.

 

Ah, ces réunions en province (on ne dit plus en province, d'ailleurs, on dit "en région", il paraît que c'est du dernier chic) ! Cela a pour moi été toujours une corvée. Le transport, les civilités, les paroles convenues, le repas obligatoire, les petits marchandages, les propos péremptoires, les mesquineries et les règlements de compte. Aujourd'hui on est 25 dans la salle ! Que voulez-vous qu'il ressorte d'une réunion à 25 ? Il existe pourtant des règles de tenue de réunions, on envoie même des gens en séminaire pour leur apprendre… et la règle essentielle c'est qu'il faut éviter la pléthore de participants… Mais non, la bienséance l'emporte sur l'efficacité… que voulez-vous, si on invite le représentant du conseil départemental, on est obligé de faire venir celui de la région… et tant pis s'il ne sont pas du même bord politique et que la confrontation entre eux va être inévitable…

 

Il est question de la construction d'un pont, mon entreprise a été sollicitée, mais on doit être trop cher, on nous a mis en concurrence avec une autre boite. J'essaie d'expliquer que notre projet est le seul qui soit fiable, le gars de la région me soutient, celui du département me contre… Et ça dure, et ça dure… on répète des arguments déjà dit vingt fois, on prend la parole pour dire exactement ce qu'un autre a déjà exposé, d'autres font de l'hors-sujet ou alors semblent sortir de leur rêve sans avoir tout suivi… Bref, n'étant pas mandaté pour baisser nos prix et la bataille semblant perdue, je prends la parole une dernière fois, mais me la fait couper immédiatement par celui qui aurait dû être le président de séance s'il avait su présider.

 

- Excusez-moi, monsieur, mais, il est presque 14 heures, je vous propose d'aller déjeuner, nous reprendrons à 16 heures. Nous avons réservé une table au…

 

Aller déjeuner à 25 ! N'importe quoi ! Et je ne vois pas ce que je reviendrais faire à 16 heures. D'autant que deux heures pour ripailler, aller et revenir ça ne semble pas très sérieux !

 

- C'est cela, allez vous empiffrer, moi je vous laisse, j'ai assez perdu de temps ici… Bougonnais-je.

 

Et je sors de la salle, indifférents aux protestations hypocrites…

 

- Quelle bande de cons !

 

Qui a dit ça ? Je me retourne, une participante, j'ai oublié sa fonction, elle n'a pas ouvert la bouche pendant toute la réunion. La quarantaine, lunettes, chignon, tailleur pantalon pied de poule, elle fait très business woman.

 

- Comme vous dites ! Répliquais-je, histoire de dire quelque chose d'intelligent.

- Je vais voir à quelle heure j'ai un train, je rentre ! Ajoute-t-elle.

- Pour Paris ?

- Amiens, mais je change à Paris.

- Je crois qu'il n'y a rien avant 19 heures…

- Super ! dit-elle dépitée.

- Je vous invite au restau, si vous voulez ! Ça nous fera toujours passer une bonne heure.

- Pas assez faim, je suis trop énervée. Je me contenterais d'un sandwich.

 

On est sur le parking en plein zone industrielle. Je me marre parce qu'autour de nous, il y a les 23 autres rigolos. Certains sont venus en taxi de la gare, d'autres se sont fait accompagner par des cadres de la boite, une minorité seulement a fait tout le trajet par ses propres moyens et il n'y a apparemment pas assez de voitures pour emmener tout ce petit monde au restaurant en un seul voyage… Quand c'est n'importe quoi, c'est n'importe quoi !

 

- On va à pied vers la ville ? Proposais-je fort hypocritement puisque je n'avais pas d'autres solutions.

- Allons-y.

 

On échange quelques banalités, elle se présente, se prénomme Carole, travaille aux Ponts et Chaussées, et je n'ai pas bien compris quel était son rôle dans cette réunion, mais à vrai dire je m'en fous. Elle est marante, très décontractée…

 

On arrive à une espèce d'embranchement, il y a une route qui mène directement à la ville et une autre qui prend un peu la tangente et qui coupe un petit bois un peu plus loin.

 

- Si on passait par là, on a le temps ? propose Carole.

- Moi je veux bien, mais ça m'étonnerais qu'on trouve un sandwich dans ce coin...

- Je mangerais mieux ce soir, mais c'est comme vous voulez, si vous avez faim on va tout droit.

- Non, non, je ferais comme vous, je me rattraperais ce soir.

 

On marche, on rigole, le courant passe vraiment bien entre nous. Aller plus loin ? Je pense avoir mes chances. J'y vais au culot :

 

- Si je n'étais pas un homme sérieux je crois que je vous draguerais ! Lui lançais-je à brûle-pourpoint.

- Ah ! C'est dommage, car si vous n'aviez pas été un homme sérieux je me serais peut-être laisser faire.

- Et bien je vais vous faire une confidence, je ne suis pas un homme sérieux.

- Moi aussi je vais vous faire une confidence, je m'en doutais.

 

A ce moment à nos visages sont très proches, l'instant d'après nos lèvres se collaient, nos langues se mélangeaient, j'ai rarement dragué aussi vite.

 

- Quelle fougue ? Me dit-elle

- La fougue, ça élimine le stress…

- D'accord éliminons, mais ne restons pas là.

 

On longe le bois, un petit chemin perpendiculaire à la route permet d'y entrer, nous l'empruntons. Je cherche un coin où on pourrait se détendre… et plus si affinités… Nous croisons deux hommes, pas très vieux, ils nous saluent, on répond, ils pilent, manifestement ils ont envie de faire la causette, pas nous, on s'éclipse. On marche encore, et 200 mètres plus loin, c'est un mec seul qui nous croise. Un mec entre deux âges, habillé sport et chic, il ne fait pas du tout vagabond des bois.

 

- Bonjour, je peux vous être utile ?

- Bonjour, non merci on se balade, Répondis-je.

- J'en ai une belle, et je suis très respectueux, vous savez… Reprend le type en nous indiquant sa braguette de son doigt.

- Bon, allez bon après-midi ! Coupais-je.

- Vous ne voulez pas la voir ? Ça ne vous engage à rien…

 

Il devient pénible l'animal, je cherche une formule assassine pour l'éconduire, mais voilà que Carole prend la parole.

 

- D'accord, montrez-nous ça !

 

Elle est folle !

 

Le mec n'hésite pas et sort sa bite de sa braguette. Elle n'a rien d'extraordinaire, de la bonne bite bien moyenne et bien standard, pas désagréable à regarder mais ce n'est pas non plus la huitième merveille du monde.

 

- Alors ? Ça vous tente ? Demande l'inconnu.

- Pas mal… j'en ai vu des plus belles, mais c'est vrai qu'elle n'est pas mal. Répond Carole. Qu'est-ce que vous en pensez-vous ? Me demande-t-elle.

- Euh…

 

En fait, elle se fiche de ma réponse, elle a pris la bite du mec dans la main et commence à la branler. Le type bande presque instantanément. Une belle bandaison, bien raide avec le bout tout violacé… Tout ça commence à me troubler.

 

- Elle est mieux comme ça ? Non ?

- Certes !

 

Carole attrape la ceinture de l'inconnu et la dégrafe, faisant ensuite dégringoler, pantalon et caleçon sur ses chevilles.

 

- J'aime bien quand les choses sont bien dégagées…

 

Elle s'agenouille et sans autre formalité commence à le sucer. Ce n'est pas vrai, je suis tombé sur la nymphomane de service. Je me demande comment je vais gérer la suite de cette affaire, quand elle me fait signe de m'approcher.

 

- Mettez-vous à l'aise, je vais vous sucer tous les deux !

 

Après tout, pourquoi pas ? Et quelques instants plus tard, sa bouche gourmande alterne ma bite et celle du zigoto. Elle suce bien, très bien même. L'inconnu me lorgne mon engin avec concupiscence, Carole s'en aperçoit et fait une pause.

 

- Vous ne seriez pas un peu bi, vous ? lui demande-t-elle

- Un petit peu, oui. Il y en a beaucoup ici, faut bien qu'on se débrouille quand il n'y a pas de couples.

- Ah, bon, c'est donc un bois de rencontres ! Et vous avez déjà fait des choses ici, aujourd'hui ?

- Oui, j'ai rencontré deux mecs, j'en ai sucé un pendant que l'autre m'a pris !

- Pendant que l'autre vous a fait quoi ?

- Il m'a pris !

- Il vous a pris quoi ?

 

Manifestement, Carole s'amuse.

 

- Il m'a sodomisé, si vous préférerez.

- Ce ne sont pas mes préférences, ce sont les vôtres, et dites-moi, c'était bon, je suppose, sinon vous n'en parleriez pas ?

- Oui, j'aime bien tout ça, j'aime bien les bites... dans la bouche, dans le cul…

- Vous êtes célibataire ?

- Non, je suis marié, mais pourquoi cette question ?

- Votre femme sait que vous aimez les bites ?

- Oui !

- Et que vous vous faites enculer ?

- Enculer, oui, nous avons un gode ceinture et on s'en sert, Sinon je ne lui raconte pas les détails, elle ne sait pas que je viens ici… mon fantasme ce serait de me faire prendre par un mec devant elle.

- Hummm, mais c'est vachement excitant ton fantasme… et tu lui en as parlé (vous aurez remarquez le passage au tutoiement)

- Oui…

- Et alors ?

- Elle n'est pas contre, je crois même que ça pourrait l'intéresser… mais disons qu'elle ne cherche pas… on va dire que si l'occasion se présentait...

- Je vois, je vois !

 

Le type s'exprime très bien, il n'a pas du tout l'air d'un paumé, mais plutôt d'un bourgeois qui vient s'encanailler dans ces bois…

 

- Et toi, t'es un peu bi aussi ? M'interpelle alors le type.

- Euh, non, ou alors juste un petit peu…

 

Le lecteur aura deviné que ma parole m'a trahi, j'aurais prononcé un non ferme et définitif, j'ignore qu'elle aurait été la suite des événements, mais là inconsciemment j'ouvrais une porte, une porte que dis-je ? Un boulevard !

 

- Comme moi, alors ! Reprend l'autre.

 

Ben, non pas comme lui… mais ma bite est déjà dans sa main, je sais qu'elle sera dans sa bouche dans quelques secondes… et voilà c'est fait, je venais négocier la construction d'un pont dans la France profonde et au lieu de ça je me fais sucer par un mateur de bite dans un bois louche… et ce n'est surement pas fini… Et c'est qu'il suce divinement le rigolo…, je le freine, je n'ai pas envie de jouir tout de suite… Hé, c'est qu'il y a Carole qui se régale.

 

- Putain, ce que ça peut m'exciter deux mecs qui se font des trucs. Rends-lui la politesse !

- Lui rendre la politesse ?

- Ben, oui suce-le !

- Peut-être pas ?

- Tu ne vas pas te dégonfler ? Essaie au moins, ça ne va pas t'enlever ta virilité et puis ça me fera plaisir.

 

Je ne sais plus comment me défiler, et puis surtout est-ce que j'ai vraiment envie de me défiler ? Je me baisse, tripote un peu la quéquette du gars, imprime quelques mouvements masturbatoires sur la verge, puis la constatant de nouveau bien bandée j'ouvre un large bec comme le corbeau de la fable et le referme sur ce joli cylindre de chair… Quelques secondes après j'effectuais avec application la seconde fellation de ma vie (la première remontant très, très loin) en me demandant pourquoi je m'étais privé de ce plaisir pendant des années.

 

- Ben dis donc, t'aimes ça sucer des bites ? S'étonne Carole.

- Humm, Humm ! Répondis, la bouche pleine…

 

Je bande comme un dingue en le suçant, je ne sais plus où j'en suis, mais je m'en fous, je suce, je suce, j'explore sa bite avec la langue parcourant tantôt la verge, tantôt le gland, je goûte aux testicules, mais ça ne me branche pas trop, j'essaie de combiner le mouvement des lèvres et celui de la langue, j'essaie aussi de la mettre complètement dans ma bouche faisant se cogner l'organe contre l'intérieur de mes joues.

 

- Qu'est-ce qu'il suce bien ton mec ! Commente l'inconnu.

- Mieux que moi ? demande Carole.

- Non, quand même pas… Vous ne pourriez pas me sucer tous les deux ensembles.

- Aucun problème ! Comment tu t'appelles ?

- On va dire Charlie.

 

Pas si facile à coordonner, ça devient vite plus du léchage que du suçage !

 

- Suce-lui le cul ! Me propose Carole

- Non !

- Ben pourquoi ?

- J'ai pas envie !

- Et le mien tu aurais envie de le sucer ?

- Le tien ? Oui ?

- Quelle différence un cul, c'est un cul…

 

Mais, elle n'insiste pas et s'en va lui lécher la rondelle pendant que je reprends ma fellation en solo, mais au bout d'un moment le gars me stoppe, m'indiquant qu'il ne souhaite pas jouir tout de suite. Je me relève et découvre à quelques mètres de notre trio les deux mecs que nous avions croisés tout à l'heure, ils sont en train de nous mater en se branlant.

 

- Venez, venez ! Leur propose Carole.

 

Les deux gars s'amènent la bite à l'air, Carole choisit le mieux monté des deux et commence à lui pratiquer une fellation, le second s'approche de moi.

 

- Tu veux me sucer ?

 

Je crois que je n'ai même pas répondu, mais je me suis mis à genoux et je me mis à déguster ma deuxième bite de la journée.

 

- Tu veux que je t'encule ? Me propose ce citoyen.

- Non, non, ce n'est pas mon truc ! Répondis-je coupant court à toute attitude insistante.

- Moi tu peux ! Intervint Charlie.

 

Le mec quitte ma bouche, et alors que Charlie se met en position, il s'encapote, et se positionne derrière lui, la bite entre avec une facilité déconcertante. C'est la première fois que je vois deux mecs faire ça, j'avoue être troublé. L'affaire ne dure pas bien longtemps, le type derrière est déchainé et provoque chez Charlie des petits jappements de plaisirs, ça va de plus en plus vite et l'enculeur jouit dans un râle.

 

Carole s'est débarrassée de son pantalon et de sa culotte, (mais a gardé tout le haut) et s'est mise en levrette, le cul offert à son partenaire. Celui-ci non plus ne fait pas dans la dentelle et excité comme un pou finit son affaire en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

 

- T'aurais pu me faire jouir ! Lui reproche-t-elle.

 

Le mec ne répond pas, il se recule, retire sa capote qu'il jette en pleine nature comme un dégueulasse, il se rebraguette, rejoint son copain et ils partent tous les deux sans un mot.

 

- Malheureusement il y en a plein des comme ça, ici, il faut faire avec ! Soupire Charlie.

- Alors viens me faire jouir, toi, lui demande Carole

 

Elle s'adosse alors à un arbre et Charlie s'agenouille devant elle afin de lui lécher le minou.

 

- Encule-moi en même temps ! Me demande-t-il en me passant un préservatif.

 

Il est insatiable, ce mec, mais je n'hésite même pas, après avoir fait ce qu'il fallait je me positionne derrière le joli petit cul de Charlie et j'enfonce ma bite dans son trou, ça rentre tout seul. Et pendant que j'accélère mes va-et-vient, j'entends Carole qui commence à haleter, puis qui pousse un cri à faire fuir les oiseaux du coin. On a du jouir en même temps. Seul Charlie n'a pas eu son plaisir, mais Carole bonne fille, le reprend en bouche et le fait cracher en quelques minutes.

 

- C'était bon ! Dit-il, Vous venez souvent ici, je ne vous ai jamais vu ?

- On n'est pas de la région, on est passé ici par hasard, répond Carole. J'ai une de ces envies de faire pipi, mais vous pouvez regarder, ça ne me dérange pas du tout.

 

Carole sans s'éloigner s'accroupit après avoir de nouveau baissé pantalon et culotte et se met à pisser un torrent d'urine.

 

- Que c'est beau ! S'exclame Charlie, j'aime bien les jeux de pipi, aussi.

- Décidément tu es un gros cochon, attend que j'ai fini, tu pourras me nettoyer avec ta langue.

 

Le type est aux anges, il lape le minou tout imbibé de pisse comme une vrai friandise, il n'arrête pas.

 

- Continue, continue… lui dit Carole en fermant les yeux

 

Il continue, jusqu'à ce que la fille hurle son second orgasme de l'après midi

 

- Euh, vous restez quelques jours dans notre région ? Demande Charlie

- Non, on rentre ce soir, on a un train vers 19 heures.

- Dommage…

- Toi, tu avais une idée derrière la tête…

- C'est-à-dire, si vous aviez la possibilité de vous attardez un peu….

- Pourquoi pas ? Reprend Carole, mais c'est quoi ton plan ?

- Ben mon fantasme…J'aurais bien aimé me faire enculer devant ma femme…

- Elle est comment ta femme ?

 

Il sort une photo de son portefeuille, une petite brune coupée au carré, pas toute jeune mais le visage très agréable et les yeux malicieux…

 

- Il nous arrive de faire des trucs à la maison avec d'autres couples, elle est un peu bi, mais je n'ai jamais trouvé d'homme bi… et puis demander aux habitués d'ici de venir chez moi, je m'y refuse, je préfère rester incognito.

- Qu'est-ce qu'on fait, on y va ? Me demande Carole.

 

Je ne dis rien mais opine de la tête en guise d'assentiment

 

Deuxième partie

 

- Il est à quelle heure le train d'après ? Me demande Carole

- Vers minuit, je crois.

- Impeccable !

 

Charlie s'est éloigné pour téléphoner à sa femme, toute la conversation n'est pas audible mais il monte le ton (sans doute volontairement) pour affirmer "Ce sont des gens très corrects, très gentils et ils ne sont pas de la région"

 

Nous convenons avec Carole de rester sur nos gardes, tant que nous n'aurons pas la certitude qu'il ne nous amène pas dans un traquenard, on ne sait jamais…

 

Il revient nous confirmer que son épouse est d'accord, et nous demande de le suivre jusqu'à sa voiture.

 

- Je n'habite pas à Minouville, nous confie-t-il, je suis à Chatoune-les-bains… c'est un petit patelin à 20 kilomètres… Je viens dans le bois quand je peux me libérer, ce n'est pas toujours évident. Il y a de tout dans le bois, mais bon… j'arrive toujours à faire des rencontres… il y a toujours des belles bites… les couples c'est plus rares, mais ça arrive…

- Et il y a longtemps que vous le fréquentez ?

- Pas tant que ça… disons quelques mois… Avec ma femme on a toujours eu des pratiques un peu marginales, un peu de godes, un peu d'uro, un peu de domination… mais bon avec le temps notre libido réciproque s'est un peu émoussée. J'allais voir ailleurs et elle aussi, et un jour des amis de rencontre en vacances ont abordés avec nous le thème de l'échangisme, ils nous ont invités… des gens très corrects, ça s'est super bien passé, du coup on s'est mis à éplucher les petites annonces, là aussi on trouve de tout mais nous avons eu des belles expériences, surtout quand la femme est bi. Et puis un jour on est tombé sur un couple, des jeunes, le mec avait une bite superbe, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai eu envie de la sucer. J'ai lancé quelques ballons en le flattant, tout ça, mais il n'a pas rebondi… j'aurais peut-être dû être plus directif. Du coup, ça m'a travaillé, j'ai eu envie de sucer une bite, j'avais entendu parler de ce bois, dès que j'ai pu, je suis venu voir, ça n'a pas trainé, il n'y avait pas un quart d'heure que j'étais là, que j'arrive dans une clairière où deux mecs se faisant un soixante-neuf, un troisième les regardait en se masturbant. Je me suis approché, je lui ai regardé la queue, il s'est tourné vers moi sans un mot, je l'ai branlé un peu, et quelques instants plus tard je l'avais dans la bouche. Je l'ai sucé à fond, mais ça m'a suffi pour cette fois, je suis reparti aussitôt, content d'avoir réalisé mon fantasme. La semaine suivante j'y suis retourné avec un double objectif, sucer un maximum de bites, et me faire sodomiser. Et voilà…

 

On arrive dans une superbe propriété bourgeoise, le porche s'ouvre et une jolie antillaise en tenue de soubrette viens nous ouvrir. Fichtre ! Ce gars-là a donc des domestiques !

 

- Madame vous attend dans le salon, précise la nana.

 

Effectivement, Isabelle (puisque c'est son prénom) nous accueille, et Charlie fait les présentations

 

- Bonjour Madame, vous êtes ravissante, mon mari ne m'a pas menti ! Dit-elle à Carole.

- Votre mari ne nous a pas menti non plus, je vous trouve charmante ! Répond cette dernière.

- Et vous Monsieur, c'est donc vous qui allez enculez mon mari devant moi ?

 

L'audace de la réplique me fait rougir et je me mets à bafouiller… du coup tout le monde rigole.

 

- Il est 18 heures, c'est quasiment l'heure de l'apéritif, reprend Isabelle, accepteriez-vous quelque chose ? Nous avons un excellent whisky que mon mari a rapporté d'Ecosse, sinon nous avons du champagne et plein d'autres choses.

- J'ai oublié de te dire que nos amis apprécient tous les champagnes, précise Charlie.

- Hummm… ce n'est pas si courant… voilà qui tombe très bien, j'ai comme une petite envie, mais ça peut attendre un peu, je vous propose pour commencer de boire un vrai champagne. Tania, apportez-nous du Champagne, il est fort probable que nous partouzions, alors je vais vous demander de nous servir les seins nus et sans culotte... pour l'ambiance.

- Aucun problème, madame.

 

Je n'en reviens pas, je suis vraiment tombé vers les gros coquins du coin….

 

On s'installe, les deux femmes sur le canapé, moi et Charlie sur des fauteuils de part et d'autre d'une table basse.

 

- Je crois que je vous ai accueilli en vous serrant la main, cela n'était peut-être pas le geste le mieux adapté à notre genre de rencontre. Me permettez-vous de vous embrasser ? demande Isabelle

- Avec plaisir ! Répondit Carole

 

Les deux femmes rapprochent leur visage, manifestement elles souhaitaient toutes deux la même chose et c'est le plus naturellement du monde que leurs lèvres se collent en un long baiser baveux. Ça commence à m'exciter sévère ce truc-là.

 

Sur ces entrefaites, Tania a apporté le champagne, comme demandé, elle a les seins nus, de jolis seins couleur chocolat terminés par de larges aréoles et de gros tétons très sombres. Voilà qui est émoustillant.

 

- Tania, offrez donc à nos amis un téton au champagne, servez-vous de mon verre.

 

Tania trempe alors l'index et le majeur dans la coupe de sa patronne et s'en badigeonne les deux tétons. Elle s'avance alors vers moi, me fout son sein sous le nez… et bien sûr je lèche.

 

- Alors c'est comment ? Me demande Isabelle tandis que Tania se fait à présent lécher l'autre téton par Carole

- Délicieux et excitant !

- Excitant… hum vous bandez, alors ?

- Il me semble bien, oui.

- D'ordinaire, c'est moi qui vérifie ce genre de choses, mais les circonstances étant ce qu'elles sont, je vais laisser ce soin à mon mari.

 

Charlie se lève alors de son fauteuil et vient m'estimer la braguette.

 

- Oui, oui, ça bande ! Confirme-t-il.

- Et bien, montrez-nous là… Vous n'avez rien, cher Carole contre le fait que Charlie sorte la bite de Ludovic ?

- Non, non et d'ailleurs nous sommes un peu venu pour ça, non ?

- C'est bien ce qui me semblait !

 

Charlie me dégage donc la queue et la branlote un peu afin de parfaire son érection.

 

- Elle est très sympathique cette bite, commente Isabelle… et bien Charlie qu'attends-tu pour la sucer ?

- Euh… bien sûr… mais j'aurais préféré que ça passe comme on avait dit… Objecte-t-il

 

Késako ?

 

- Ah, d'accord ? Et bien buvons d'abord le champagne ! Reprend la maîtresse de maison en levant son verre… Je vous en prie Ludovic laissez donc votre bite sortie, j'adore les apéritifs insolites.

 

C'est bien la première fois que je trinque la bite à l'air.

 

- Je dois vous dire, continue Isabelle, que nous nous amusons parfois, Charlie et moi à jouer aux rapports de domination, avec ou sans Tania, c'est souvent moi qui domine mais pas toujours… et comme ce qui va se passer ici est un peu une première, mon mari préfèrerai que cela se passe dans le cadre d'une domination… mais, ce n'est pas obligatoire, si ça vous gêne on va faire classique…

- Donc si je comprends bien, vous allez vous changer et donner des ordres à votre mari, c'est cela ? demande Carole

- Donner des ordres, oui, me changer, je n'y avais pas pensé, mais ça me paraît une excellente idée !

- Ben moi ça ne me gêne pas du tout, mais je deviens quoi dans tout ça ? reprend ma complice du moment.

- C'est un peu comme vous voulez ! Vous avez essayé les rapports de domination ?

- Oui, une fois on a joué à l'esclave et à la maîtresse avec une copine…

- Et vous faisiez ?

- L'esclave !

- Alors vous allez recommencez avec moi.

- Pas de problème !

- Et vous Ludovic…

 

Je cherche ma réponse, la tournure que l'affaire est en train de prendre, me gêne… mais Carole ne me laisse pas m'exprimer.

 

- Je crois que Ludovic fera aussi un excellent soumis. Indique-t-elle

- Mais…

- Tais-toi, je connais les hommes, tu as le profil et tu vas adorer…

- N'ayez crainte, je ne suis pas une brute, préviens Isabelle, par contre dites-moi si au niveau des mots je peux me lâcher ou si vous préférez une certaine réserve…

- Lâchez-vous ! Répond Carole.

- OK, finissez votre champagne, je vais allez me changer et ensuite on commence tout de suite le délire.

 

Elle disparaît. Un peu interloqué par la façon dont se déroulent les événements, je ne sais que dire, et comme ni Carole, ni Charlie ne prennent la parole un silence lourd s'installe. Je sirote mon champagne en faisant semblant de m'intéresser aux moulures du plafond quand Isabelle revient.

 

Curieuse tenue, on va dire que c'est de la tenue de dominatrice simplifiée, de bas en haut, de longues bottes, pas de culotte, une grosse ceinture à pointes métalliques, un gilet sans manche ouvert sur une jolie petite poitrine. L'ensemble a une certaine allure et je me surprends à rebander.

 

- Bon, mettez-vous à poil, tous les trois, et que ça saute… Tania va vous ranger vos affaires à côté…

 

On s'exécute, je me demande un peu ce que je fais là, mais curieusement la présence de Carole me rassure. Je peux enfin admirer ses seins à la fille des Ponts et Chaussées, de curieux seins un peu lourds, en forme de poires qu'il me tarde d'aller caresser...

 

- Les deux pédés, vous vous approchez l'un de l'autre et vous branlez mutuellement, mais tout doucement… et toi la pute, tu viens me voir.

 

Nous voici en pleine poésie !

 

Et tandis que je branle la bite à Charlie, lequel me masturbe mollement la mienne, Carole se positionne devant Isabelle.

 

- Alors tu aimes ça, jouer à l'esclave ? Lui demande la maîtresse de maison

- Je l'ai fait qu'une fois mais ça m'a bien plu.

- Bouffe-moi la chatte !

- Avec plaisir.

 

Isabelle s'assoit alors sur le canapé et écarte ses jambes, tandis que Carole commence à lui brouter le minou. Charmant spectacle, je suis excité comme un pou et ma queue est toute dure dans la main de Charlie.

 

- Bon maintenant, Charlie je veux te voir en train de sucer une bite.

 

J'aurais préféré le contraire, mais bon, le fantasme d'Isabelle c'est de voir son mari jouer un rôle passif... et puis je ne vais pas me plaindre non plus…il suce très bien, même si je suis persuadé que son épouse le fait encore mieux… mais aurais-je droit à cette faveur ?

 

- Non, mais regarde-moi ça comment, il lui bouffe sa queue, on dirait qu'il va la gober… Commente Isabelle. Tania, mets-lui ton doigt dans le cul pendant qu'il le suce.

- Avec plaisir, madame !

- Et toi ? M'apostrophe-t-elle, t'aimes ça te faire sucer la queue par un mec ?

- Quand c'est fait comme ça, c'est super !

- Plus vite ton doigt, Tina fait le frétiller du cul, cet enculé !

- Oui, madame !

- Et parle-lui, on ne t'entend pas !

- Oui, madame !

 

Tina accélère son mouvement et semble chercher l'inspiration, puis soudain se lâche :

 

- Alors, Monsieur Charlie, ça vous plait de vous faire foutre un doigt dans le cul par votre bonniche pendant que vous sucez une bonne bite ?

- Humpf, humpf ! Répond l'intéressé qui ne me la lâche pas (la bite)

- Bon, Charlie, c'est l'heure de passer aux choses sérieuses, mets-toi en levrette, et Monsieur Ludovic va te prendre le cul ! Ordonne Isabelle.

 

Ça tombe bien parce que, excité comme je suis, une minute de plus et je jouissais dans sa bouche, ce qui n'était pas le but du jeu. Je m'encapote le zizi, et je rentre dans son fondement comme dans une motte de beurre des Charentes.

 

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- Et ben, dis donc, tu as l'air d'aimer ça, c'est meilleur que le gode ceinture à Maman, non ! Non, mais Carole, tu as vu, j'ai mon mari qui se fait enculer, j'ai un mari pédé, et moi ça m'excite… On doit être un peu bizarre, non ?

- Il n'y a rien de bizarre entre des gens qui s'aiment et se respectent ! répond doctement Carole.

- Oui, mais n'empêche que c'est un enculé !

- Et si tu me suçais la chatte ?

- Dis donc toi, qui c'est la maitresse, ici, ce soir ?

- On s'en fout, suce moi la chatte !

- D'accord, dès qu'ils ont fini je vais te faire un broute-minou d'anthologie ! Allez Ludovic, encule-le bien mon pédé de Charlie. Enfonce-lui bien ta bite dans son trou du cul.

 

Quel langage, mes amis ! Mais contre toute attente, ça augmente mon excitation, je sens monter mon plaisir et je finis par jouir.

 

- Alors, c'était bon de se faire enculer ? demande Isabelle.

- Super !

 

Je suis crevé, je m'affale dans le fauteuil, j'ai soif. Charlie aussi, il demande à boire à Tania, mais Isabelle l'interpelle.

 

- S'ils ont soif, pisse-leur dessus, Tania.

 

Sans discuter Charlie s'allonge sur le sol, après avoir soigneusement éloigné les tapis...

 

- Toi aussi, Ludovic tu te mets à côté de lui, la bouche ouverte.

 

Pas trop envie, ma libido est retombée et j'aurais plutôt avalé un verre de flotte.

 

- Ludo, fait ce que te dis la dame ! Me demande Carole.

 

Bon, celle-ci je n'ai pas envie de la contrarier, je me force à m'allonger, Tania vient au-dessus de nous, quelle magnifique vision que cette chatte dans cette position. J'avais pratiqué l'uro trois ou quatre fois avec une ancienne copine, j'avais trouvé ça amusant sans que cela devienne un fantasme obsessionnel… mais pour le moment la vue de cette chatte réveille (déjà ?) mon plaisir et j'ouvre la bouche. Et voilà que ça coule ! Charlie doit être habitué, il n'en gâche presque pas, moi c'est plus difficile, mais c'est vrai qu'il est vachement bon son pipi à la blackette.

 

On se relève, et Charlie se dirige vers la table sans doute pour nous verser quelque chose de moins troublant mais plus désaltérant.

 

- Tsss, tssss… intervient Isabelle, je n'ai pas donné cette autorisation. Je crois Messieurs que vous pouvez encore nous donner du spectacle, qu'en penses-tu Carole ? Si on leur faisait inverser les rôles.

- J'allais te le proposer ! Mais je te signale que j'ai toujours la chatte en feu.

- Justement, il n'est pas meilleur plaisir qu'un plaisir retardé… Allez messieurs, en position.

- Viens ! Me dit Charlie.

 

Je ne réfléchis plus, me voilà déjà entre les cuisses du gars en train de lui sucer la queue, et il faut bien avouer que je me régale, d'ailleurs je rebande.

 

- Je vais m'allonger on sera mieux ! Me propose Charlie.

 

Tania venant d'essuyer les tommettes, je continue donc à me régaler de ma fellation dans cette position, qui permet à cette même Tania de m'introduire un doigt dans le fondement. Voilà une combinaison de plaisir tout à fait insolite. Je cherche néanmoins comment échapper à la sodomie que je n'ai jamais pratiquée. Sans doute, il n'y aurait pas Carole, aurais-je inventé un malaise passager, mais je ne veux pas me dégonfler à mes yeux… Hé, c'est que la Carole, je ne l'ai pas encore baisé, et que cela reste dans mes intentions. Alors je me dis que je vais me laisser faire, et seulement si ça se passe mal, je demanderais d'arrêter. Tiens, je vais même les épater les nanas. Sans que personne ne me le demande, j'arrête de le sucer, et je me mets en levrette.

 

- Vas-y encule-moi ! Demandais-je à mon partenaire.

- Il aurait pu attendre que je lui demande, cet enculé ! Commente Isabelle.

- Qu'est-ce que tu veux, les gens ne savent plus obéir ! Répond Carole faussement désabusée.

 

Charlie a du mal à entrer, il doit demander du gel à Tania et m'en tartine le cul. Il s'y reprend plusieurs fois, mais ça finit par le faire. Drôle de sensation de se sentir rempli comme ça, et le voilà qui commence à faire des va-et-vient. Mélange de gêne et de plaisir.

 

- Je ne te fais pas mal ?

 

Prévenant, le monsieur ! Non, il ne me fait pas mal, alors il accélère. C'est bon, j'e découvre quelque chose à ce point que quand il se retire, je regrette que ce soit déjà fini.

 

- Alors c'était bon de se faire enculer ? Me demande Isabelle toujours aussi romantique.

- Oui, et maintenant, je peux vous l'avouer, c'était la première fois !

- Non ?

- Si ! Mais ça ne sera pas la dernière, c'était trop bon.

- Il faut arroser ça ! Propose Carole, sers le champagne, Tina et trinque avec nous.

 

C'est du vrai champagne, cette fois, mais Carole chuchote quelque chose à l'oreille de la soubrette. Je vais pour prendre mon verre, mais la maîtresse de maison (et de séance) intervient :

 

- Attends on va faire quelque chose.

 

Tina se plie en avant, et Carole lui verse du champagne sur la raie fessière.

 

- Vas-y lèche !

 

Je ne me fais pas prier et je lèche le liquide pétillant répandu sur la peau satinée de la petite soubrette, j'ai dû boire le contenu d'une coupe de cette façon.

 

- Ne te gêne pas, tu peux lui lécher le trou du cul, elle adore ça, cette petite garce !

 

Ben si elle adore ça, pourquoi me gêner, et me voici entrain de lui lécher l'anus avec application. Bien sûr je rebande comme un sapeur. Pendant ce temps Charlie s'est affalée sur le fauteuil et a allumé un petit cigare, tandis qu'Isabelle plongée entre les cuisses de Carole entreprend de la faire jouir tandis que ses longs doigts lui tortillent le bout de ses seins.

 

Carole finit par hurler son plaisir et ma blackette se dégage en me disant que j'étais un bon suceur de trou du cul.

 

- C'était très bien, Messieurs, dit alors Isabelle, Je pense que pour les remercier, nous allons nous mettre à leur disposition.

- Bonne idée ! Confirme Carole qui se dirige alors vers le fauteuil de Charlie et lui gobe la queue.

 

Isabelle fait de même avec la mienne. Retour à des plaisirs plus classiques, après m'être fait sucer par la dame, je lui ai rendu la politesse, et pour ce qui est de la pénétration, elle souhaita qu'elle fût anale, ce qui ne me posa aucun problème.

 

L'affaire terminée, je m'étonnais de l'absence des autres. Isabelle m'informa qu'ils étaient très probablement en train de se doucher… J'ai pris moi aussi une bonne douche.

 

On s'est tous rhabillés, on est resté diner, le repas était improvisé, quiche et salade, l'ambiance était agréable mais on avait notre overdose de sexe, nous avons parlé d'autre chose. On s'est fait accompagner à la gare. Dans le train Carole s'est endormie.

 

On est arrivé vers 5 heures en Gare de Lyon à Paris, elle avait un train à 6 heures Gare du Nord pour Amiens, je l'ai accompagné, puis on s'est séparée, j'attendais qu'elle me roule une pelle, non elle m'a gentiment tendu ses joues pour un double et chaste bisou. Elle ne m'a pas donné sa carte, je n'ai pas osé lui demander, et elle a disparue de ma vie… Ça m'a un peu contrarié… Quand je pense que je ne l'ai pas baisé… C'est pô juste !

 

Estonius © octobre 2009

 

<i>Ce récit a eu l'honneur d'être élu 3ème prix de la meilleure nouvelle pour 2009 :

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Mardi 16 janvier 2007 2 16 /01 /Jan /2007 13:20

Artisan décorateur

Par Estonius

 

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... 

Je suis artisan décorateur, je me suis mis à mon compte depuis peu, en fait je n'y connais pas grand-chose, mais je bricole bien et j'ai acheté quelques bouquins. Je pense pourvoir me débrouiller.


Le problème c'est de trouver la clientèle, j'ai donc fait imprimer des petits flyers que j'ai distribués dans les quartiers bourgeois de la capitale, et j'attends.


Ce jour-là, coup de fil, une dame qui me téléphone, me dit qu'elle a un truc spécial à me demander, en fait il s'agit de déplacer quelque chose, mais me confie que plutôt que d'en parler au téléphone, elle préférerait que je passe faire un devis.


Je ne cherche pas trop à comprendre et prends rendez-vous le lendemain matin.


Agnès est une jolie femme mature, entre quarante et cinquante ans, pas un canon, mais un visage très souriant, ses cheveux bruns sont coiffés d'une espèce de chignon qui fait un peu années 60. Et la poitrine parait avantageuse.


L'appartement est ancien et richement décoré, il est aussi complètement tarabiscoté, des couloirs, des marches, des portes, des murs en biais, tout le charme de ces appartements qui sont en fait la réunion de plusieurs petits lots situés au même étage. Elle me conduit dans la chambre de l'un des enfants et me montre une espèce de renfoncement où trône de chaque côté du mur une collection de petits sujets, sur une débauche de planchettes fixés n'importe comment.


- Voilà, je veux déplacer ces machins de l'autre côté, mais je veux que tout soit redisposé exactement pareil !


Et elle me montre l'endroit du transfert. 


Au moins ce n'est pas compliqué. Je fais une estimation à la louche, que j'augmente de 30% parce que ces gens-là peuvent payer... et lui dis qu'éventuellement je peux commencer de suite. Elle hésite, m'informe qu'elle attend un coup de fil, mais que si je veux, je peux commencer à prendre les mesures... ce que je fais.


Moins d'une heure après, les cotes sont prises, et je prends quelques photos afin que je puisse redisposer les bibelots à l'exacte. Elle me demande le temps que je vais passer à transférer les planches. Finalement ça ne colle pas avec son emploi du temps. Je lui propose de revenir demain. Elle me fixe un rendez-vous en fin de matinée. Pas pratique mais comme je n'ai pas d'autres commandes...


Le lendemain, j'arrive à l'heure prévue, il me semble qu'il y a une certaine agitation dans cette maison. Effectivement elle n'est pas seule. Je vais pour serrer la main d'Agnès qui me dit carrément :


- J'ai les mains sales, je suis en pleine cuisine, c'est le jour de congé de la bonne... faisons-nous la bise, on ne s'est pas encore fait la bise, je crois ! me dit-elle, goguenarde.


Etonnant, non, allons-y pour la bise... et voici Betty, c'est sa fille, elle lui ressemble mais elle est moins gracieuse. Une vingtaine d'années et des lunettes.


- Je vous fais la bise aussi ? Demandais-je.

- Non, jamais la première fois, me répond cette dernière en me tendant la main.


Je croise deux mômes, habillés en gosses de bourgeois qui gambadent partout, ils m'énervent. Je pose ma boite à outils dans la chambre et constate avec horreur que l'un des papiers que j'avais punaisé avec les cotes a disparu. Quelle andouille de ne pas les avoir notés sur le carnet que j'ai toujours sur moi, il va falloir que je recommence... Je le signale à Agnès qui ne sait pas ce qui s'est passé, mais qui me demande si elle peut profiter de ma gentillesse (sic) pour me demander autre chose. Il s'agit d'une espèce de moulure en bois d'une laideur absolue qu'elle veut coller en haut de l'armoire du gamin. Elle me demande de faire des repères pour qu'il soit bien à niveau. Je grimpe sur la chaise... Grosse question de savoir si c'est horizontal ou pas... Je décide donc de redescendre pour aller chercher mon niveau dans la boite à outils.... Et voici le mari qui se pointe, large bonhomme brun au visage bronzé, veste en peau retournée, chemise blanche et cravate, pas bonjour... 


- Les niveaux ça va être comme les portables, bientôt chacun aura le sien ! Déclare-t-il doctement.


J'avoue ne pas comprendre s'il s'agit d'une vanne ou d'une idiotie, mais il disparaît... je demande si je dois coller le machin.


- Vous allez me prendre combien en plus ?

- Oh, pas grand-chose.

- Alors allez-y, collez-le


Je commence par ça, puis entreprends de reprendre les cotes manquantes, mais revoilà Agnès qui déboule :


- Euh, on prend un petit apéro rapide, si vous voulez nous rejoindre ?


Ça m'embête, moi l'apéro c'est entre amis que je le bois, et là je vais apparaître comme un cheveu sur la soupe, mais d'un autre côté je ne veux pas être impoli, je tente une diversion classique :


- Merci, je ne bois pas d'alcool (gros mensonge)

- Il y a du jus d'orange.


Je n'aime pas le jus d'orange, mais bon, j'y vais, j'ignore ce qu'ils fêtent, il y a donc Agnès, Betty, le mari, les deux gosses et un autre homme plus âgé (Monsieur René). On lève notre verre. J'en bois quelques gouttes et en profite pour demander les toilettes. Agnès m'explique et je m'éclipse. Une porte à franchir et me voici dans un petit vestibule, j'ouvre une autre porte, et me retrouve dans un escalier de service. C'est vraiment une maison de dingues. Il y a deux autres portes, l'une ressemble à une entrée d'appartement, l'autre plutôt à une porte de service que j'essaie d'ouvrir mais en vain. Qu'à cela ne tienne, je me suis trompé, je vais rebrousser chemin, mais j'ai refermé la porte qui m'a conduite ici et elle ne s'ouvre pas dans ce sens ! 


Bon, je descends, toujours avec mon envie de pisser. J'examine quelques portes au premier et au rez-de-chaussée, mais rien pour satisfaire mes besoins. Me voici donc dehors, dans une cour, j'inspecte la cour, pas de toilettes, il y a apparemment deux sorties, j'en emprunte une au hasard, ce n'est pas la bonne, je ne sais plus trop où je suis, mais bon on fait les choses dans l'ordre, d'abord pisser ensuite revenir chez les bourges.


Me voici dans la rue, je fais le tour du pâté de maison, je scrute à la recherche d'une sanisette, ça commence à me monter à la gorge ce truc là... Pas de sanisette, reste le café, mais mon portefeuille est resté dans ma veste qui est restée chez Agnès, et mon porte-monnaie n'est pas assez rempli. J'y vais au flan et rentre dans un café, direction tout de go les toilettes. Un joli panneau m'avertit que l'endroit est réservé aux consommateurs. Je sors en rageant afin de chercher une petite rue tranquille munie d'un coin discret où je me dépêche de me soulager... Maintenant il faut revenir, je me trompe de direction, reviens sur mes pas, perds un temps fou... enfin je retrouve l'entrée principale, évidemment, je n'ai pas le code sur moi, mais quelqu'un sort et m'ouvre, je m'engouffre, monte au deuxième étage où une grosse femme sort, me dévisage et dit en se retournant :


- Le voilà votre décorateur !


Comment peut-elle me connaître ? Peut-être la gardienne ?


Je rentre, ce n'est pas la même porte que tout à l'heure (il y a combien de portes dans cet appartement ?) et me retrouve dans la cuisine où Agnès est en train de préparer une salade.


- Ben alors vous aviez disparu ?


Je lui raconte ma mésaventure en la simplifiant un peu...


- Vous savez que c'est très mauvais de faire pipi en état de stress, parce que dans cet état là, vous ne faites jamais à fond... Je vais vous accompagner cette fois, vous allez pouvoir finir....

- Merci, ça devrait aller, je vais reprendre les petits travaux.

- Vous ne prenez pas de pause pour manger ?

- Ça dépend des jours, dès fois je mange, dès fois je ne mange pas...

- Ça vous dirait de partager notre repas !

- Merci mais je crois que je ne serais pas à l'aise !

- Je ne vous mets pas à l'aise ?

- Vous, si, mais les autres...

- Il n'y a personne d'autres, les gosses sont partis en activité, mon mari est allé travailler et Monsieur René est rentré chez lui. Il n'y a que ma fille et moi.


Je finis par accepter. Je ne vois pas bien de quoi on va pouvoir causer mais bon...


- Vous êtes sûr que ça ne vous fait pas peur de déjeuner avec deux femmes ? Plaisante-elle

- Non, non !

- Vous verrez ma fille est très sympa et pas très farouche, si elle vous intéresse, n'hésitez pas...


Alors là je n'en reviens pas ! Je ne sais pas quoi dire...


- Vous devez en avoir des occasions avec le métier que vous faites, non ? Insiste-t-elle

- Ben, euh...

- Allons, allons, ne dites pas le contraire.


Son visage est à ce moment-là à quelques centimètres du mien.


- J'ai oublié de vous dire, ma fille n'est pas farouche, mais en fait ça vient de famille, moi non plus je ne suis pas farouche ? Bisous ?


Ce n'est même pas une proposition, j'ai déjà sa langue dans ma bouche, nous voici en train de nous rouler une pelle magistrale. Elle y met beaucoup d'ardeur et histoire de me démontrer ses disponibilités, elle en profite pour me mettre la main à la braguette... Du coup mes mains se baladent sur sa poitrine... Raclement de gorge !


Instants de panique ! Je me dérobe, me retourne, c'est Betty 


- Je ne vous dérange pas au moins ? Intervient cette dernière.

- Tu veux regarder, ou tu veux nous rejoindre ? lui demande Agnès avec un air faussement innocent.

- Si monsieur permet, j'aimerais bien m'approcher ! répond-elle.

- Elle attend votre réponse ! Me précise la maîtresse de maison.


Sans dire un mot, je lui fais signe de venir plus près de nous, et elle ne se fait nullement prier, adressant une grosse tape amicale sur le popotin de sa mère, puis cherchant fébrilement la fermeture éclair de ma braguette. Evidemment, je bande comme un âne ! Et c'est un engin tout dur que Betty extrait de sa cachette.


- C'est tout raide, ça ! Commente la jeune femme.


J'espère seulement que je vais tenir la distance et pas me mettre à éjaculer prématurément... Betty a déjà mis mon engin dans sa bouche et le suce avec avidité en utilisant une technique très particulière qui lui fait tourner sa langue autour de ma verge, j'en ai des frissons partout. Agnès passe dernière moi et laissant sa fille opérer me baisse carrément pantalon et caleçon et se met à me peloter les fesses en me complimentant pour leur rotondité.


- Avec un cul comme ça, tu as dû te faire draguer par les mecs, non ?

- Euh, non pas spécialement...


Elle me fout alors un doigt dans le cul, comme ça sans crier gare. J'apprécie quand c'est fait avec douceur, mais c'est le cas !


- Mais il aime ça ce gros cochon ! Constate la bourgeoisie.

- C'est pas désagréable.

- Tu te fais mettre un petit gode parfois ?

- Ça m'est arrivé !

- T'entends ça Betty, on va bien s'amuser.

- Je peux pas te répondre, j'ai la bouche pleine ! Répond la fille

- Et une vraie bite, ça t'est arrivé ? me demande Agnès.


Je garde le silence, je ne vais pas lui confesser tous mes fantasmes.


- Tu ne réponds pas...je parie que tu as déjà essayé !

- Il y a bien longtemps...

- Et ça t'a plu ?

- Comme ça...

- T'as jamais eu envie de recommencer ?

- Je n'ai jamais eu l'occasion, et je ne cherche pas...

- Et si on te la fournit, l'occasion...


Je ne réponds pas. Elle va finir par me déconcentrer.


- On inverse ? Propose alors la bourgeoise à sa fille


Elle remplace donc Betty dans le rôle de la suceuse, tandis que cette dernière s'attaque à mon cul, mais cette "petite salope" m'a à présent introduit deux doigts... et putain que c'est bon... Par contre ce que me disait Agnès tout à l'heure était vrai, j'ai toujours une légère envie de pipi, et il faudrait mieux que je la satisfasse pour le confort de la suite... Je fini par leur dire.


- On va t'accompagner aux toilettes, et après on ira dans la chambre, c'est quand même plus confortable que la cuisine ! Propose la jeunette.

- T'as déjà joué à des jeux de pipi ? me demande alors Agnès.

- Oui, j'avais une copine qui kifait là-dessus, c'est rigolo dès fois...

- Alors pas besoin d'aller aux toilettes, tu vas me pisser dessus !

- Mais là je peux pas, je bande !

- Alors on va te donner la fessée jusqu'à ce que tu ne bandes plus.

- Chiche !


Betty ne se le fait pas dire deux fois, elle saisit une petite planchette de cuisine et commence à m'en foutre un coup sur les fesses. Comme je ne dis rien, elle se croit autorisée à taper plus fort, puis les coups tombent à la volée... Ce n'est pas désagréable mais si elle continue comme ça, demain je ne pourrai pas m'asseoir. Ça m'excite assez mais mon sexe perd quand même une partie de sa vigueur !


- Allez, pisse !

- Euh, tu n'enlèves pas tes vêtements ! Demandais-je passant à mon tour au tutoiement de rigueur dans ces circonstances particulières.

- Non, au contraire, c'est bien plus excitant comme ça !


Je me concentre, je ferme les yeux, je me reconcentre et finalement ça sort, un petit jet qui lui atterrit en haut de son chemisier. Elle ouvre alors la bouche, voulant me montrer par-là qu'elle en boirait bien quelques gouttes... Quelle adorable petite vicieuse. Je rectifie le tir et étanche donc sa soif tandis que sa mère qui ne semble pas intéressée par ce genre d'amusement farfouille dans les tiroirs et finit par dégoter un mini rouleau à pâtisserie. Je sais déjà ce qu'elle va en faire. Et c'est là que sans doute un petit lutin facétieux a envahi mon esprit, je me baisse légèrement et j'ouvre mon cul !


- Regarde-moi ce pédé ! Commente Betty, il a vraiment envie de se faire enculer !

- Je crois qu'on devrait appeler Monsieur René, depuis le temps qu'on rêve d'une occasion comme ça !

- Euh... je...

- Mais tais-toi, tu vas voir, il a une super bite, tu vas bien la sucer et après il va t'enculer.

- Mais je n'ai pas dit que j'étais d'accord !

- Bon, écoute, pépère, nous on te fait plaisir on s'amuse avec toi, on te demande juste en échange de satisfaire un de nos petits fantasmes... Tu ne vas pas nous faire un mélodrame...

- Alors je l'appelle ou pas ? Demande Betty

- Bien sûr que tu l'appelles !


Je cherche quelque chose à répondre, mais Agnès à maintenant entrepris de se déshabiller, son chemisier est déjà ôté, j'ai la promesse de sa poitrine devant les yeux, je me tais, attendant. Elle libère deux jolis globes, j'ai vu des seins plus beaux et plus fermes mais c'est néanmoins charmant comme tout, et par réflexe j'y mets d'abord les mains avant d'approcher ma bouche de ses gros tétons.


Quant à cette coquine de Betty, elle n'a pas renoncé à ses intentions, d'une main, elle me pilonne le fondement avec l'ustensile de cuisine en bois et de l'autre actionne son téléphone portable :


- Allo Monsieur René, c'est Betty ! Dites voir, on fait une petite partie avec le décorateur... il ne serait pas contre le fait se faire enculer, ça vous dit ?


Elle nous précise en raccrochant qu'il arrive tout de suite...


- Tu lui ouvres et tu nous rejoins dans la chambre.... Indique-t-elle à Betty


Je suis Agnès, qui cette fois est complètement nue, elle s'étale sur le lit, les jambes largement écartées :


- Viens me lécher un peu...


Je ne me fais pas prier, me voici la tête entre ses cuisses en train de lui faire minette, c'est tout mouillé, c'est tout sucré, elle est vraiment très excitée la coquine. J'espère simplement que l'autre cornichon qui veut me sodomiser ne va pas se pointer trop vite, j'ai horreur d'interrompre un cuni. Je lèche un peu partout me régalant de ses sucs intimes avant de me concentrer sur son clitoris érigé comme un petit champignon que je titille d'un mouvement latéro-lingual (joli, non ?) Je la sens qui agrippe le dessus de lit de ses mains. L'explosion est proche, l'explosion arrive, un cri, elle se tétanise, semble se soulever de deux ou trois centimètres avant de retomber toute flasque et en sueur. C'est en principe chez moi le signal d'une pose tendresse... mais là...


- Rebonjour monsieur !

- Salut ! Répondis-je en cherchant mentalement comment je pourrais me sortir de ce guêpier.


Le mec est déjà à poil, Betty aussi qui le masturbe doucement sans doute pour me narguer. C'est vrai que ce zigomar à une superbe bite. Imperceptiblement la bite de Monsieur René guidée par la main de la fille s'approche de mon visage. Je sais déjà que je ne fuirais pas, du moins pas à ce stade.


- Suce ! m'ordonne Betty.


Je temporise.


- Suce sa bonne queue ! Tu en meurs d'envie ! Tu vas voir comme elle est bonne...

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L'instant d'après, elle est dans ma bouche, délicieuse texture, délicieuse odeur, je suis là chez des babas bourgeois parisiens en train de sucer la queue de leur voisin bisexuel alors que je devrais être en train de fixer des petites planches dans la chambre du gamin... Et le pire c'est que je me régale. Le mec m'encourage :


- Tu suces bien, dis donc !


Et comme je me tais, vient la proposition tant redoutée :


- Tu veux que je te prenne ?

- Euh, non pas aujourd'hui...

- Tsss, tss, laisse-toi faire... et tu ne vas pas le regretter, après on sera toutes les deux à toi ! Intervient Betty


C'est un argument comme un autre, j'hésite une seconde, puis sans répondre je me mets en position, je m'assure simplement qu'il se mette une capote... Et déjà le voici qui force l'entrée. Je "pousse" afin de faciliter l'entrée de cette bite qui va m'enculer devant la mère et la fille... Il faudra plusieurs tentatives, mais le bougre pénétrera dans mon étroit conduit. Quelques légers allers et retours pour bien installer la chose, une autre poussée pour la glisser plus au fond, puis c'est parti, un petit coup en avant, un petit coup en arrière et voilà qu'on me sodomise de la façon la plus classique possible... Et je commence à frétiller parce que je trouve ça vachement bon. Les deux nanas gloussent, le spectacle les excite, et elles se tripotent la foufoune mutuellement ! Quelle famille ! L'autre derrière commence à respirer très fort, ses coups de boutoir sont plus vifs, plus nerveux, et puis c'est l'accélération brutale, il prend son pied, se retire, se décapote, s'essuie le front, souffle un grand coup !


- Putain quel pied ! Vous donnerez mes coordonnées à Monsieur, si un jour l'envie vous prend, je vous recevrai avec grand plaisir, et d'ailleurs en y réfléchissant j'aurais sans doute quelques petits travaux de décoration à effectuer...


Puis il disparaît de la chambre et part s'habiller dans la pièce d'à côté... Moi je suis sur le lit, le corps groggy, la bite flasque et le cul mal refermé. Agnès a alors le geste tendre de me caresser un peu le dos... oh juste quelques minutes, puis elle me dit :


- Lève-toi une seconde, on va faire un truc !


J'obtempère, me demandant ce qu'il peut encore m'arriver... et là je n'en crois pas mes yeux : Agnès s'est étalé de tout son long, les cuisses écartées et Betty vient lui lécher la moule. Ça ne dure que très peu de temps, Agnès jouissant de façon fulgurante. Spectacle sublime, grandiose, génial, unique, pervers, interdit... Je rebande en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire ! Mais ce n'était pas terminé :


La mère et la fille se sont mises l'une à côté de l'autre en levrette, le cul relevé et offert, la chatte béante. Elles m'attendent en se faisant des petits bisous... 


- Les capotes sont sur le chevet... m'indique Agnès.


J'en enfile une et commence à lécher l'intimité de Betty.


- Prends-moi ! me supplie-t-elle. 


Je le fais, je la pénètre dans sa chatte humide, elle se trémousse...


- Un peu à moi ! Quémande sa mère.


Je change de cible et m'occupe de la maîtresse de maison, puis je vais de l'une à l'autre... je fais attention de ne pas aller trop vite pour ne pas jouir de suite. Betty finit par s'écrouler, épuisée de plaisir. Je la laisse après lui avoir fait un chaste baiser sur la fesse et demande par geste la permission à Agnès de pénétrer son petit trou.

 

- Bien sûr ! Encule-moi bien ! Répond-elle


Je commence par lui lécher la rondelle. L'odeur est un peu forte, elle a dû s'essuyer le cul avec un courant d'air, mais quand je suis bien excité, ça ne me dérange pas. Je lui enfonce un doigt qui glisse tout seul dans son conduit anal, ça lui fait un tel effet qu'elle en miaule de plaisir. Je ressors mon doigt très légèrement souillé, et pris d'une impulsion subite, je le lèche.. 


- Fais moi goûter ! Me demande Betty 


Je ne cherche pas trop à comprendre, je replonge mon doigt, puis le fais sucer par la fille.


- Moi aussi, j'aime bien doigter le trou du cul de ma mère ! Commente-t-elle.


Quelle famille ! Toujours est-il qu'après ces fantaisies, j'encule Agnès, ça passe avec une facilité déconcertante mais le sphincter me serre tout de même le sexe. Je sens que je ne vais pas durer longtemps, je fais ce que je peux, elle pousse des petits cris qui m'excitent encore plus, et je finis par lâcher ma semence, et on s'écroule ensemble...


Quelques instants plus tard après avoir soufflé un peu, Agnès me propose de profiter de la douche, j'espère un moment qu'elle me rejoindra, elle et/ou sa fille, mais non... 


J'ai donc repris le boulot après avoir demandé un grand verre d'eau. Les deux femmes ont vaqué à leurs occupations me laissant œuvrer seul.


En fin d'après-midi, j'avais terminé ! Agnès m'a félicité pour mon travail.


- Allez, je m'en vais, je ne sais pas si on se reverra, on se fait un bisou ? Demandais-je

- Et la facture ?

- Cadeau !

- Arrête, on n'est pas dans le besoin il est normal qu'on te paie... et puis je crois qu'on se reverra, je vais demander à Monsieur René de ne pas vous oublier pour les travaux qu'il a à faire chez lui...

- Ok ! Je vous envoie la facture par la poste...


On s'est embrassé, sagement, sa fille est aussi venue me dire au revoir. 


- Ça t'a excité de me regarder en train de lécher ma mère, hein mon cochon ?

- J'avoue ! Vous faites-ce depuis longtemps ?

- Non, quelques mois, un jour je regardais un film cochon dans le salon en me paluchant, Maman est venue s'assoir à côté de moi, et puis disons que ça s'est fait spontanément, on s'est amusé à se tripoter mutuellement, juste un tout petit peu, pour rigoler, et puis ça été l'engrenage. Je ne regrette pas, elle lèche trop bien !


Dans l'escalier j'ai croisé le mari qui rentrait du travail et qui a royalement fait semblant de ne pas me reconnaître. S'il savait... Voilà qui m'a amusé ! Finalement j'ai passé toute la journée à m'amuser... un peu mal au cul quand même...


Estonius, janvier 2007


Quelques-uns des faits racontés ici sont réels, mais je ne vous dirais pas lesquels !


Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix Spécial Bi pour 2007


Ce texte a primitivement paru dans un version auto-censuré dans lequel Betty était la sœur d'Agnès. Voyant que le site s'enrichissait de quelques récits de ce genre, j'ai demandé l'autorisation au webmaster de publier la version non expurgée, ce qu'il a accepté. Je l'en remercie.

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Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Mardi 16 août 2005 2 16 /08 /Août /2005 12:51

Une Lady Boy dans l’usine de parfum

par Estonius

 

asian

 

Ah, les secrets professionnels ! Si les gens savaient ! Je travaille comme agent de sécurité de nuit dans une usine. On y fait des mélanges liquides qui servent à la fabrication de parfums haut de gamme, du moins c'est ce que j'ai pu comprendre, parce que la communication et eux...

 

Le personnel, une quarantaine de personnes, est exclusivement masculin et principalement composé d'immigrés dont beaucoup d'asiatiques.

 

La nuit, il y a une équipe de maintenance composée selon les jours de deux ou trois personnes, chargée de surveiller si tous ces mélanges ne subissent pas de variation de température et autres.

 

Le règlement est draconien, on n’entre rien et on ne sort rien. Ça veut dire qu'en arrivant, on se fout à poil au vestiaire, complètement à poil et on revêt une tenue de travail, blouse, bonnet et sandalettes.

 

Ça fait partie des choses que je dois surveiller, j'aurais préféré qu'il y ait du personnel féminin, mais bon. Le règlement ne s'applique pas à ma fonction, puisque sauf dans certaines circonstances exceptionnelles, je n'ai pas à pénétrer dans la zone protégée.

 

Ah, oui ? qui suis-je ? Et bien je me prénomme Albert, j’ai 40 ans, sans enfants. Sans femme non plus puisque cette dernière est partie vivre avec un de ses collègues de bureau. Faut dire que le ménage battait de l’aile. J’étais au chômage et ne cherchait pas trop à retrouver du travail, plus par paresse qu’autre chose. Là j’ai bien été obligé de chercher et j’ai trouvé ce poste de surveillant – un gros coup de bol !

 

Cette nuit-là, les trois employés faisaient ce qu'ils avaient à faire, c'est à dire pas grand-chose ! Et moi je jetais un coup d'œil de temps à autre sur les écrans, puis me replongeais dans la lecture d'un bon polar que j'avais acheté en venant.

 

Et l’histoire peut commencer :

 

Il doit être trois heures du matin quand j'aperçois sur mon écran les trois ouvriers quitter ensemble la salle des cuves. Voilà qui est absolument interdit ! Bon, je ne suis pas méchant comme garçon, et faire le garde chiourme n'est vraiment pas mon truc, mais d'un autre côté s'il arrive un souci au niveau des préparations pendant leur absence, il me sera reproché de ne pas avoir fait mon boulot. Je prends donc ma grosse voix et branche le micro :

 

- Allô, allô, il est formellement interdit de laisser la salle des cuves sans surveillance !

 

Manifestement, ils ne m'entendent pas. Je recommence donc avant de me rendre à l'évidence, quelque chose est en panne, soit le micro, soit le haut-parleur local.

 

Un coup d'œil à la mosaïque d'écran pour savoir où ils sont passés, et je les retrouve dans les toilettes ! Dans les toilettes ! N'importe quoi, ils n'ont quand même pas attrapé une envie subite de pisser en même temps ! Tout cela me parait louche ! Mais je ne devrais pas tarder à savoir… évidement ils ne savent pas qu'il y a aussi des caméras à cet endroit !

 

Je n'ai eu connaissance de leurs noms qu’un peu plus tard, mais nous les utiliserons dès à présent pour une meilleure compréhension des choses :

 

Les trois types se racontent des trucs, ce doit être d'un comique irrésistible parce qu’ils rigolent comme des bossus. Et puis, l'un d'entre eux, Kim se détache du petit groupe et se débarrasse de sa blouse, puis de sa coiffe, laissant filer ses cheveux mi long. Etrange spectacle que cet homme complément nu au visage de fille, au corps imberbe. Il a de gros tétons marrons, le cul cambré et la verge très sombre. Une lady boy ! Il y a une lady boy parmi le personnel ! Je n'en reviens pas et me voilà presque excité !

 

Il (Elle ? il faut dire, "il" ou "elle" ?) se dirige vers l'urinoir pour pisser, Phong lui balance alors une grande claque sur les fesses, ce qui fait rire tout le monde y compris l'intéressé, puis commence un pelotage en règle de son cul après s'être lui-même débarrassé de ses fringues de travail. Le troisième larron, Lih, a l'air complètement éberlué. Je crois donc comprendre que Phong était au courant pour cette lady boy et qu'il veut en faire profiter son camarade.

 

Kim s'est maintenant approché de Lih et lui tripote la bite à travers sa blouse tandis que Phong s'est lancé dans de grandes explications que je ne comprends pas. Je pourrais toujours brancher les amplis, je ne parle pas leur langue…

 

Je suis impatient de voir la suite, j'ai l'impression que je vais me payer la vision en direct d'une grande partouze !

 

Mais voilà que Kim remet sa blouse ! Mauvais signe ! Et il (elle) sort des toilettes en compagnie de Lih ! Il n'y a rien de plus frustrant que se faire un ciné là dans sa tête et de le voir s'écrouler comme un château de carte ! J'attends le retour des deux lascars dans la salle des cuves, mais pour l'instant ils se sont arrêtés dans le couloir et ils discutent ! Phong, lui est resté aux toilettes, il ne fait rien ! De plus en plus bizarre, cette affaire !

 

On sonne à l'entrée du sas ! Kim et Lih veulent donc sortir ! Ça devient le bordel dans cette usine cette nuit. Heureusement à cet endroit les micros fonctionnent.

 

- On voudrait aller à notre vestiaire juste 5 minutes !

- Vous savez que c'est interdit de laisser la salle des cuves sans surveillance ?

- Il y a Phong !

 

Quel menteur !

 

- C'est faux, je ne le vois pas sur l'écran !

- On prend juste un truc dans le vestiaire et on y retourne.

- Attendez, vous connaissez le règlement, on ne rentre rien dans l'usine !

- Mais on ne veut rien rentrer, mon collègue n'est pas bien, il a besoin d'un médicament qui est dans son vestiaire…

 

Qu'est-ce que c'est que cette salade ?

 

- Bon, alors celui qui est malade il sort, l'autre il reste là

- Non il a besoin que je l'accompagne, s'il vous plaît, on va faire très vite !

- Bon, je vous accorde trois minutes, pas une de plus

- Merci beaucoup monsieur !

 

Evidemment ils ne savent pas qu'il y aussi une caméra dans les vestiaires, il y en a partout, de toutes façons…. Je sais bien qu'il me raconte des histoires, Kim n'a vraiment pas l'air malade… Ils vont à leurs vestiaires respectifs…. Depuis quand faut-il ouvrir deux vestiaires pour prendre un médicament ? Kim a pris son portefeuille et avance vers Lih. Ce dernier a également pris le sien et en extirpe un ou deux billets (pas moyen de voir) et les passe à son collègue qui les range. J’ai du mal à suivre, là ! Il fallait vraiment qu'ils sortent pour effectuer ce qui ressemble à une transaction, ça ne pouvait pas attendre la fin du travail, non ? Un coup d'œil sur l'écran des cuves ! Toujours pas de Phong, je le retrouve aux toilettes, il est là, il ne fait rien il rêve ! Il va falloir que je fasse quelque chose, mais quoi ? Retour sur l'écran des vestiaires… et…. Alors là c'est la meilleure : Kim est tout simplement en train de se maquiller, il s'est déjà mis du rouge aux lèvres et il se fait les yeux ! Les trois minutes que je leur avais octroyées sont dépassées. Je fais quoi, je me fâche ? Non, je veux voir jusqu'où va aller ce cirque… Ah ça y est, ils veulent rentrer !

 

- Et ben c'était long ! M'exclamais-je, mais sans aucune colère.

- Excusez-nous monsieur on ne trouvait pas les médicaments.

 

Ils me prennent pour une andouille, c'est sûr ! Ils passent le sas, Lih se cachant à moitié le visage avec les mains comme s’il avait un fort mal de tête, pensant masquer ainsi son maquillage…. Bon faudrait peut-être que tout ce petit monde aille rejoindre la salle des cuves, parce que s'il y un problème on me reprochera de ne pas voir fait mon boulot, et si en plus on visionne les bandes vidéos, je ne vous dis pas….

 

Bien sûr qu'ils ne vont pas dans la salle des cuves… les voilà de nouveau réunis tous les trois dans les toilettes. Cette fois ci, Kim enlève tout de suite sa blouse et son bonnet. Ses magnifiques cheveux de jais lui tombent sur ses frêles épaules ! Bon dieu qu'il (qu'elle ?) est belle ! Je le surprends à avoir un début d'érection. La lady boy s'en va se mirer et ajuste sa coiffure, elle revient en se dandinait vers Lih, lui met la main à l'endroit du sexe puis lui déboutonne sa blouse. Phong, pour sa part, observe la scène avec un grand sourire.

 

Lih n'en peut plus, le voilà nu à son tour, il serre Kim contre son corps, la caresse, partout, prend ses petites fesses à pleines mains, cherche sa bouche, la trouve, et les voici qui s'embrassent. Puis Lih joue avec les gros tétons de sa compatriote, les titillent avec les doigts, les fait frémir, les fait durcir, les goûte, les laisse, enduits de salive briller sous la lumière artificielle. Ma bouche se dessèche, mon poux s'accélère et mon étendard et désormais au garde à vous !

 

Ce délicieux corps à corps dura au moins dix minutes ! Putain, les cuves ! Pourvu que tout reste normal là-bas ! Kim a maintenant le sexe de Lih dans sa main, un sexe bien bandé, elle le masturbe un petit peu. Et voilà Phong qui vient enfin se joindre à la partie, blouse ouverte il offre à son tour son pénis à la lady boy qui branle ainsi un sexe dans chacune des mains. J'ai chaud, ma quéquette aussi à chaud, je la libère de la moiteur de ma braguette, ça fait du bien ! Me voilà le zob à l'air en train de ne pas faire mon boulot !

 

Kim s'est penchée et presque sans préalable gobe la bite de Lih qui se pâme de plaisir, La tête de la lady boy avance et recule avec une régularité de métronome, ses yeux sont fermés, elle est ailleurs, après cinq minutes de ce traitement elle rouvre les yeux, sort la pine de sa mâchoire, souffle un bon coup, sourit aux anges et s'empare du sexe de Phong, mais la prestation devient symbolique ! Je n'arrive pas bien à comprendre les relations exactes qu'ils ont tous les trois, car sauf si je n'ai pas saisi quelque chose, Kim est en train de se prostituer, Lih est son client… Mais Phong il n'a rien payé lui ? Quelque chose m'échappe. A moins que ce soit son mac ?

 

La lady suce de nouveau Lih, je comprends que c'est juste pour assurer sa rigidité, parce que elle revêt son sexe d'un préservatif, et très vite sans aucune cérémonie, elle se tourne, se plie en deux, s'écarte les fesses et tend son anus à son "client". Lequel la pénètre avec une facilité déconcertante, j'ai même bien l'impression que c'est Kim qui d'un coup de rein vers l'arrière a précipité la chose. Le va-et-vient commence, c'est absolument dingue ce truc, quand j'y pense… mais je penserais sans doute plus tard car voici Phong qui essaie de se faire sucer en même temps. Kim essaie mais la chose n'a pas l'air très pratique, ils manquent de coordination tous les trois, il se recule un peu, dépité ! Lih accélère le mouvement, le sang commence à affluer en haut de son torse, au cou, au visage, il accélère encore et finit par jouir sans doute bruyamment, mais puisque je n'ai pas le son…. Mais comment ont-ils fait pour introduire un préservatif dans l'enceinte protégé de l'usine ? Mystère ! Lih se débarrasse du sien dans les chiottes, se passe de l'eau sur son sexe, remet sa blouse, fait quelques petits commentaires semblant dire qu'il est content de ce qui vient de se passer, puis il sort !

 

Ouf il rejoint la salle des cuves, je le vois s'activer devant les cadrans, mais rien ne trahit quelque chose d'anormal, tout va bien de ce côté-là… Retour aux toilettes où Kim finit Phong avec sa langue et ses lèvres… Ce qui est extraordinaire chez cette lady boy, c'est son sexe, je m'imaginais que ces phénomènes ne pouvait avoir qu'une toute petite biroute, et bien non des trois zigotos, c'est elle qui possède la plus grosse, et en ce moment ça bande, mais ça bande… et que c'est beau ! Il faut que je me calme ! Phong a joui à son tour et se propose de masturber la lady, mais on dirait que cette dernière s'y oppose. Elle se démaquille très vite avec de l'eau et du papier "essuie-tout" puis ils se rhabillent tous les deux et vont rejoindre Phong en salle des cuves…

 

L'activité a repris son cours normal à l'usine de parfum ! Quand même, ils ont une sacrée chance que ce soit moi qui soit de garde cette nuit, un autre n'aurait pas laissé faire comme j'ai laissé faire… Il faut que je les prévienne d'arrêter de faire des trucs comme ça ici, ils risquent tout simplement la mise à la porte sans indemnités ! Faute grave ! Boum ! Tiens, si j'étais salaud, je ferais bien un petit chantage genre "Hé les gars je vous ai vu, je ne dis rien mais donnant-donnant… qu'est-ce que je pourrais bien leur demander… quoique non, pas de chantage, on m'a raconté des trucs sur la maffia chinoise, mais ils ne sont peut-être pas chinois…. De toute façon je n'ai pas la mentalité d'un maître chanteur, mais je peux simplement peut-être profiter de la situation, sans pour cela faire du tort à qui que ce soit. Comment faire, voyons voir…

 

Je consulte le registre d'entrée sur l'ordi, récupère leurs identités, Kim est là depuis trois semaines seulement, elle est thaïlandaise (que le lecteur m'excuse je n'arrive pas à savoir s'il faut que je conjugue cette personne au masculin ou au féminin) Mais les deux autres sont chinois… Phong est là depuis un an, et Lih depuis quelques jours seulement. Je regarde l'enregistrement du parking. Il n'y a que deux voitures, je suppose donc que Kim est venu avec Phong et que ce dernier est son protecteur.

 

J'ai débandé depuis tout à l'heure et rangé sagement ma biroute derrière sa fermeture éclair, mais voilà que je repense à Kim, et voilà que je rebande. Ce n'est pas raisonnable, je sens que je vais faire une connerie, il y a pourtant une solution bien simple, c'est que je me masturbe un bon coup et après je serais tranquille. Un coup d'œil à la pendule il reste plus de deux heures avant la relève. Je respire un grand coup et je mets le sas en automatique, je prends la télécommande d'urgence et je pénètre dans la zone protégée. J'ai un prétexte tout trouvé, je dirais que j'ai voulu vérifier pourquoi la sono ne fonctionne pas. On me demandera pourquoi j'ai voulu utiliser la sono, non ça ne va pas… bon je trouverais bien et il est de toute façon probable que personne n'en saura rien…. Je rentre dans la salle des cuves ! Stupeur des trois asiatiques !

 

- Salut les gars, je voulais vous appeler par la sono, mais ça ne marche pas ! Voilà j'ai un petit problème avec la fiche d'embauche de Kim… euh c'est qui Kim ? Demandais-je hypocritement.

 

Phong peu rassuré me désigne son (sa) protégée !

 

- O.K., suivez-moi, on va arranger ça tout de suite, on aurait pu faire ça tout à l'heure quand vous avez passé le sas, mais comme il y avait quelqu'un de malade je ne voulais pas vous casser les pieds avec ça !

 

Ils n'ont pas tout compris, mais ce n'est pas grave, Phong fait signe à Kim de me suivre, ils n'ont pas l'air dans leur assiette !

 

- Rassurez-vous il n'y a rien de grave, je vous le libère dans une demi-heure !

 

Et nous voilà dans ma cabine d'observation ! Je fais asseoir Kim.

 

- Bon écoute, j'ai tout vu, on a des caméras dans les toilettes, je t'ai vu baiser avec ton collègue… Je pourrai te dénoncer….

 

Pas de réaction ! Il ne comprend pas le français ! Merde je n'ai plus qu'à laisser tomber, quand on ne peut pas communiquer, ben on ne communique pas ! Bon je vais lâcher l’affaire, mais il faut que je trouve un dérivatif, sinon il ne va pas comprendre pourquoi je l'ai emmené ici ! Je sors sa fiche, je l'imprime…

 

- Ça c'est ton nom ou ton prénom ?

 

Il me fait signe qu'il ne comprend pas ! Bon tant pis ! Je vais le libérer ! Et puis par réflexe :

 

- Is your first name or your name ?

- My first name !

 

Waouh !

 

- You speak english ?

- Yes, I speak

 

Re waouh ! Il doit se demander pourquoi je suis si joyeux d'un seul coup, le dialogue peut donc reprendre en anglais (mais retranscrit en français ici, faut pas exagérer non plus...)

 

- Je t'ai vu baiser dans les toilettes, c'est interdit !

 

Le gars devient blanc (ce qui est un comble pour un thaïlandais). Pas maquillé il a perdu son côté féminin, mais si tout marche bien dans 10 minutes il va se remaquiller…

 

- Il n'y aura pas de suite ! Parce que moi, je suis un gars cool et que je m'en fous, mais il faut savoir que c'est interdit, et que tout le monde n'est pas comme moi ! Tu comprends ?

 

Il comprend parfaitement !

 

- C'est vrai, vous ne direz rien ?

- Promis !

- Vous n’allez pas me demander quelque chose en échange j'espère ?

 

C’est ce qui s’appelle du réalisme !

 

- Si ! Mais si tu refuses, ce n’est pas grave, de toutes façons il n'y aura pas de suite.

- Je vais vous expliquer ma situation…

 

Et le voilà qui se met à parler, il me raconte qu'il se prostituait à Patpong en Thaïlande et qu'un de ses cousins lui a demandé s'il voulait venir en France, lui a dit que les français payait bien et qu'il pourrait faire fortune ici avant de retourner dans son pays… Mais que pour avoir des papiers en règles il fallait mieux avoir une activité professionnelle, et comme un autre de ses cousins travaillait ici… Et que ce soir le cousin en question avait voulu tester ses capacités professionnelles non pas de surveillant de cuve nocturne mais de prostituée auprès d'un de ces compatriotes, avant de l'intégrer dans des réseaux spécialisés.

 

- Tu lui a pris combien à ton collègue pour faire l'amour !

 

Il me dit le prix, que je trouve ridiculement bas…

 

- Je t'en offre le double, on peut faire ça maintenant ? Je ne t’oblige pas, tu as le droit de refuser.

- Ce n'est pas la peine de payer, vous avez été gentil de me prévenir et de ne pas nous dénoncer, je vous dois bien ça !

- Bon alors je pose l'argent là, on verra tout à l'heure tu le prends ou si tu le prends pas ! Mais je voudrais avant que tu te remaquilles, tu veux bien ?!

 

Il veut bien, et il y va ! Je regarde quand même l'écran ! Il peut réagir bizarrement, croire que je lui tends un piège… non il va se remaquiller gentiment dans son vestiaire, à son retour c'est de nouveau une lady boy.

 

- On fait ça ici ? Demande-t-il.

- Je n'ai pas d'autre endroit à t'offrir… où alors on peut aussi faire ça chez moi à la sortie du boulot !

- Chez toi ? Tu n'as pas de femme ?

- Elle est partie… en ce moment je suis tout seul !

- On fait comment pour aller chez toi ?

- Ben je t'emmènerais…

- Ah ! Oui… mais faudra que je prévienne mon cousin !

- Il va rien dire ?

- Non, il n'est pas méchant…

- O.K. c’est un peu bête de t’avoir envoyer te maquiller pour rien… mais bon ! Donc on s'attend à la sortie, je quitte un quart d'heure après toi, le temps de passer le relais… attend moi au parking, près de ma voiture, c'est la Mégane rouge juste devant…

- Ok !

- Euh ? Bisous ?

 

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Kim s'approche et la bouche entrouverte, je m'approche en bandant comme un dingue, et nous voici tous les deux en train de nous rouler une pelle d'enfer ! Sa langue est d'une agilité extraordinaire, je ne peux plus attendre, je déboutonne sa blouse, elle se laisse faire, je caresse enfin ce corps si convoité, c'est doux, c'est chaud, c'est excitant, c'est magique. Je n'ai pas assez de mains pour faire tout ce que j'ai envie de faire, je fais tomber sa blouse. Ma lady boy est nue devant moi la bite à l'air bien bandée, je n'ai jamais touché une autre bite que la mienne depuis le collège. Mais là tout de suite ça ne me pose aucun problème, je la tripote, je la caresse… qu'est que ce cylindre de chair peut être doux, on dirait de la soie, envie de l'embrasser, envie de la déguster, je salive, l'expression l'eau à la bouche prend ici toute sa signification. Et hop je me baisse et voila que j'ai son sexe dans la bouche, juste comme ça dans la bouche, je voulais voir quelle impression ça faisait. Je la ressort, lui fait quelques bisous un peu partout, sur la verge, sur les testicules, sur le gland, puis je donne des petits coups de langue. Et hop, je remets tout dans la bouche et cette fois ci je fais une fellation classique. C'est qu'elle apprécie la petite Kim, elle me pousse des gémissements de plaisir qui sont tout à fait significatifs… Et si cette bite je me la prenais dans le cul ? L'idée vient juste de m'effleurer l'esprit, excité comme je suis en ce moment, je ferais sans doute n'importe quoi.

 

- Ça me plairait que tu m'encules !

 

Comment ais-je pu oser dire une chose pareille ?

 

- Si tu veux ! Déshabille-toi alors !

 

Oh ! Mais attention, je n'ai jamais dit qu'on allait faire ça de suite, mais le feu de l'action ça aide, je me dessape illico presto, m'en vais récupérer le préservatif que j'ai toujours dans mon portefeuille ! Le problème c'est que j'en ai qu'un ! Donc ou elle m'encule ou je l'encule mais pas les deux ! Elle décide à ma place, elle me prend la capote et se l’enfile !

 

- Met toi à genoux sur le siège !

 

C'est elle qui commande maintenant, on aura tout vu ! Je fais comme elle a dit ! Je tends mes fesses, j'ouvre mon cul ! Ça a du mal à entrer ! Deuxième tentative ! Nouvel échec ! Que voulez-vous mon cul n'a jamais encore connu ça!

 

Ah, si, ça y est ! Non c'est juste un doigt… elle me doigte avec son index. Quelle étrange sensation, je me laisse faire. Puis la voilà qui m'humecte le trou avec sa langue. Ça me donne des frissons de volupté ce truc. Ah ! Nouvel essai ! Ça y est presque, un coup de rein, c'est rentré ! Elle ne bouge plus, moi non plus !

 

- Recules toi ! C'est toi qui vas venir t'enfoncer !

 

Ah bon ! Mais l'idée était bonne, c'est moi qui fait le boulot, c'est moi qui procède à mon propre enculement (enculage ? enculation ?)

 

- Y a longtemps que t'as pas fait ça, on dirait ?

- Oh oui !

 

Je lui dirais une autre fois que c'est un dépucelage ! Et le pistonnage commence ! Drôle d'impression que le fait d'être rempli, frotté de l’intérieur ! Des ondes de plaisir m'envahissent et pourtant je ne bande plus, quelque chose m'échappe ! Au bout de cinq longues minutes, je rends grâce et lui demande d'arrêter, l'expérience a été bonne mais point trop n'en faut, il faudra que je m'habitue… Mais pour m'habituer il faudra que je garde le contact avec cette ravissante lady boy, on verra ça tout à l'heure ! Je lui enlève sa capote et la masturbe !

 

- Je vais jouir me préviens-t-elle !

- J'arrête alors ?

- Non, j'ai envie de jouir !

 

OK ! Une dernière fois dans la bouche, pour le plaisir, puis je finis à la main libérant plusieurs grosses giclées qui atterrissent sur le dallage synthétique

 

- T'es sympa ! Me dit-elle simplement

- Toi aussi !

- Tu n’as pas joui !

- Non !

- Tu veux que je m'en occupe !

- Je ne sais pas, on pourra voir ça tout à l'heure !

- Tout à l'heure ? On fait quand même le rendez-vous, alors ?

- Bien sûr !

 

Du coup son visage s'éclaire ! On se rhabille, on se refait un bisou, et je la laisse rejoindre ses collègues dans la salle des cuves. Moi j’ai le plancher à nettoyer…

 

5 h 45 : L'équipe du matin, une véritable équipe de production cette fois, vient prendre son service, je surveille les entrées et les sorties. Phong sort le dernier après avoir passé le relais au chef de la nouvelle équipe.

 

6 h 00 : Le vigile qui doit me remplacer arrive à son tour ! Il me salue et s'installe devant les écrans !

 

- Tu n’as rien marqué sur le livre de bord ! C'est obligatoire de marquer quelque chose ! Me dit ce dernier !

- Ok, je vais marquer "Rien à signaler"

- On se demande pourquoi ils nous demandent de faire ça, il ne se passe jamais rien dans cette usine !

- T'as raison !

 

Je sors fébrile, je me demande si Kim m'attend ! Oui elle m'attend…

 

FIN

 

Estonius - Août 2005

 

 

Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Trans pour l'année 2005

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Samedi 16 juillet 2005 6 16 /07 /Juil /2005 09:06

Drôle de stage

par Estonius

 

coin102 h

 

Je travaille dans un grand établissement privé en plein cœur de la capitale, j'y ai fait toute ma carrière, et j'aurais pu finir cadre si les circonstances avaient été autres.

 

Plusieurs fois responsable de bureau, puis muté aux études en pleine croissance de la micro-informatique, puis chargé de la formation micro, bref des postes où venir travailler n'était pas vraiment une corvée. En retour j'étais bien noté par mes supérieurs et estimé de mes collègues.

 

Et puis un jour, changement de direction, le responsable informatique étant absent, la nouvelle patronne m'appelle pour dépanner son imprimante, je n'ai pas su faire et j'ai donc été jugé tout de suite : j'étais devenu un incapable en une demi-heure de temps !

 

Quelques jours après on me demandait d'aller en renfort dans un service de production, c'était en 2002, trois ans après, j'y suis toujours et me voici à faire des travaux qui ne m'intéressent pas encadré par une responsable débile !

 

Nous sommes aujourd'hui en juin, dans un mois je serais en préretraite, autant vous dire que je ne me casse plus la tête, je réponds au téléphone, j'aide mes collègues mais sinon c'est service minimum.

 

Et vlatipa…

 

.. que ce vendredi j'ouvre ma messagerie ! Et perdu au milieu de diaporamas rigolos, de vidéos coquines, d'histoires parfois drôles et d'images circulantes, un titre m'interpelle "stagiaire grande école" Je m'attends à une blague à deux euros. Ben non c'est du sérieux

 

"Nous allons recevoir pendant une semaine Mademoiselle Sabrina X, comme tu connais bien les sujets qu'elle veut voir évoqués pendant son stage, tu vas la parrainer toute la semaine prochaine… Ci-joint le plan du stage que tu pourras aménager à ta convenance et suivant ses attentes..."

 

C'est ce connard et fainéant de responsable à la formation qui ose m'envoyer ça ! Le vieux qu'on a mis au rencard après des années de bons et de loyaux services, on vient lui demander de faire le chaperon à moins d'un mois de la retraite ! Je rêve ! Comme si on ne pouvait pas me foutre la paix ! Et puis, je ne vois pas pourquoi on m'obligerait à faire ça ! Ma décision est prise : Je refuse ! Et histoire de bien les faire chier, je ne vais pas répondre au mail, je refuserais lundi matin, quand on m'appellera, et devant la stagiaire ! Qu'est-ce que je risque ?

 

Et nous voici Lundi matin !

 

Le téléphone sonne !

 

- Monsieur Etienne. vous pouvez venir me voir…

 

C'est la chef de service, elle est avec la stagiaire Je monte l'escalier ! J'ai parfaitement répété la scène, les mots que je dois dire, les réponses aux arguments. Ça va leur faire drôle !

 

Et je rentre dans le bureau de la chef !

 

Gloups !

 

Elle est débout, grande ! Grande comment ? Je n'en sais rien mais plus grande que moi ! Elle est vêtue d'un pantalon blanc mais surtout d'une sorte de débardeur bleu faisant briller de splendides épaules couleur chocolat, le décolleté est discret mais laisse rêveur, et ce sourire ! Elle est charmante la stagiaire ! Quel âge ? Une vingtaine d'année comme on dit !

 

- Je te présente Sabrina Duval.

- Enchanté !

- Je te la confie !

- Avec plaisir, m'entendis-je répondre

- Voilà la clé du petit bureau du fond, vous pourrez vous y installer pendant une semaine.

 

J'espère que je ne fais pas une connerie, me voici victime de mes glandes, de mes hormones, de je ne sais pas quoi, mais toutes mes bonnes résolutions sont dégringolées à la vision de cette superbe antillaise ! Comme on dit, la chair est faible !

 

Le premier jour se passe sans problème, je lui fais faire le tour des bureaux, lui demande ce qu'elle souhaite approfondir et répond à ces questions. Elle est très sympathique, assez bavarde aussi, genre "j'ai toujours quelque chose à raconter". Assez pénible ces gens qui ont une version très " scolaire " du monde du travail, mais bon… Il m'apparaît assez vite que le plan de stage qu'on lui a bâti ne correspond pas vraiment à ce qu'elle cherchait, ça l'embête un peu mais on fait avec, du moins ce lundi. On a été au restaurant d'entreprise ensemble, et la conversation est restée très professionnelle.

 

Le mardi, mademoiselle était habillée d'un machin jaune, flashant on ne voyait plus ses épaules mais le décolleté l'était plus que la veille ! Charmant spectacle... et alors que la journée est à peine commencée, les hostilités commencent :

 

- Est-ce que vous avez les pouvoirs de changer mon plan de stage ?

- Oui, mais uniquement sur les détails !

- Qui a ce pouvoir ?

- Le responsable à la formation mais il est en vacances depuis hier…

- Il a bien un adjoint ?

- Non !

- Le problème c'est qu'on ne m'a pas envoyé dans la bonne unité de production. Vous n'y êtes pour rien mais je perds mon temps ici !

- Pourquoi vous ne le faites pas remonter le problème à votre école ?

- Les administratifs s'en foutent ! Ça ne fera que la troisième fois qu'on me fait faire un stage qui ne correspond pas à mes demandes, si je leur en parle je passe pour une râleuse…

 

J'étais parti pour une séance de récrimination quand un collègue entra pour me demander un truc ! Il se présenta à la stagiaire puis ne put s'empêcher de faire une réflexion :

 

- Sois sérieux avec mademoiselle, Etienne, c'est une petite jeune, ce n'est plus de ton âge, fais attention à ton petit cœur…

 

C'est alors que Sabrina fit assez sèchement cette réponse ahurissante :

 

- L'âge ne compte pas quand on se sent bien avec quelqu'un !

 

Le collègue est complètement déstabilisé, esquisse un vague sourire, oublie qu'il était en train de me demander quelque chose et disparaît ! Mais pourquoi donc a-t-elle fait une telle sortie ?

 

- Je suis désolé pour votre collègue, mais dès fois ça m'énerve ce genre de propos et comme en plus je suis de mauvais poil…

- On fait quoi ?

- Je ne sais pas, on pourrait aller prendre un café, déjà !

 

Je lui propose la machine à café, mais elle préfère le bistrot du coin, c'est en principe interdit, mais je m'en fous !

 

Et là j'ai droit à la phase deux des récriminations de la demoiselle :

 

- Si vous saviez ce qu'on peut s'emmerder pour essayer de trouver une bonne situation….

 

Elle m'explique alors avoir obtenu un gros diplôme de comptabilité qui aurait dû lui ouvrir pas mal de portes d'entreprises :

 

- Il faut faire avec les entretiens d'embauche débiles, faut voir les questions qu'ils posent, ceux qui ne me prendront pas de toute façon parce que je suis noire, les gens disent qu'ils ne sont pas racistes, mais parfois ils ne se rendent même pas compte qu'ils le sont… Et ceux qui vous expliquent presque sans précaution que pour avoir le poste, ben il faudrait coucher ! C'est de l'abus de pouvoir… Je ne porte pas de jugement sur celles qui acceptent, mais moi, si je me mets à coucher ce ne sera pas pour me faire embaucher… Parce quel que soit le niveau de rémunération que j'obtiendrais je gagnerais toujours moins qu'une prostituée… et croyez-moi je ne leur jette pas la pierre...

 

Que voulez-vous que je réponde ? Je biaise !

 

- Donc vous n'avez pas trouvé de poste et vous avez décidé de continuer à étudier pour avoir un niveau supérieur, c'est ça ?

- Ouais, et c'est mal parti, si on me fait faire des stages qui ne me servent à rien… J'avais une amie qui a suivi la même filière que moi, c'est pareil elle a été dégoûtée, elle est parti au Québec, elle travaille dans un club de strip-tease. Je me demande si je ne vais pas faire la même chose !

 

Ce discours est tellement surprenant que je ne sais vraiment plus quoi dire !

 

- Vous en pensez quoi, vous, des métiers du sexe ?

- Oh, vous savez, je suis un homme, je ne vais pas faire l'hypocrite, voir une belle femme se déshabiller, ça n'a rien de désagréable.

- Oui ! Ça c'est les strip-teaseuses, mais la prostitution ?

- C'est plus compliqué, si personne ne force la fille à faire ce qu'elle fait, c'est une affaire privée, chacun fait ce qu'il veut, ça ne me choque pas plus que ça !

- Je peux vraiment être indiscrète ?

- Allez-y, mais je ne vous promets pas de vous répondre.

 

Mais je me doute de ce qu'elle va me demander.

 

- Vous êtes déjà monté avec une prostituée ?

- Oui !

- Et c'était bien !

- La fille était gentille !

- Si je le faisais, je crois que moi aussi, je serais gentille. Parfois ça me tente, mais c'est un milieu qui me fait peur… Bon on retourne en stage !

 

Ouf !

 

Plus aucune allusion sur les métiers du sexe de la journée. Quand nous ne bavardons pas, elle écrit des trucs dans son coin. Le mercredi elle eut simplement une petite phrase me confiant que même si tout ce que je lui montrais ne l'intéressais pas, elle était content de m'avoir comme parrain de stage… elle fallut qu'elle conclut par un incroyable :

 

- Je ne sais pas si tout cela me servira à quelque chose... mais si un jour je deviens pute, je vous ferais des prix…

 

C'était dit, bien sûr sur le ton de la plaisanterie, mais c'était dit quand même. Ne dit-on pas qu'il n'existe pas de propos complétement innocents… Puis elle embraya sur autre chose, elle ne souhaitait pas que la conversation dévie, pas ce jour-là… en revanche, le lendemain…

 

Car le jour suivant, il était prévu que nous nous déplacions chez un prestataire de service, autrement dit une boite de sous-traitance qui travaillait pour nous !

 

- Ça ne m'intéresse pas, j'ai visité une boite comme ça, quand on en a fait une on les a toutes faites, ce sont des gros cons qui exploitent leur personnel, qui leur imposent des rendements de dingues et des conditions de travail dégueulasses.

- On fait quoi ?

- On fait semblant d'y aller, vous me donnerez deux trois indications pour que j'en parle dans mon rapport de stage et ça ira très bien comme ça !

 

En fait on y est allé quand même mais nous ne sommes restés qu'une heure, cela avait le mérite de donner le change !

 

- Vous faites quoi, maintenant alors, vous rentrez chez vous ? Lui demandais-je.

- A moins que j'aille me promener… et vous ?

- Je ne sais pas trop !

- On se boit un café, alors !

 

Sabrina s'était aujourd'hui habillée d'un petit ensemble rose, le haut était légèrement décolleté mais étant pourvu de boutons pouvait s'ouvrir d'avantage ! Et alors que nous venions de nous asseoir, c'est exactement ce qu'elle fit. J'avais maintenant les yeux rivés sur la naissance de sa poitrine !

 

- Ça vous plait ?

- Je ne vais pas dire le contraire !

- Tu aimerais bien la toucher, hein ? (brusque passage au tutoiement)

- Certes !

- Ça peut se faire, tu sais !

- Bon, écoutez, Sabrina, je crois comprendre à quel jeu vous jouez, ça ne me choque pas du tout, mais je n'ai pas envie d'y jouer !

- Menteur !

- Non !

- Qu'est-ce que tu risques ? On va dans un hôtel dans le coin, on reste une heure ou deux, j'ai des préservatifs dans mon sac, le risque c'est moi qui le prends, c'est celui que tu ailles répéter à tout le monde ce qu'il m'arrive de faire, mais bon je l'assume ! Je ne te prendrais pas cher, je peux pas prendre les tarifs d'une professionnelle, je le suis pas !

- Arrête, Sabrina, j'ai dit non !

- Ou alors si tu préfères, on descend aux toilettes, je te laisse juste voir et toucher ma poitrine, pour disons 20 euros !

 

Elle est en train de m'ensorceler ! Son doigt a pénétré dans l'échancrure de son haut et l'écarte un peu plus dévoilant maintenant la naissance de l'aréole !

 

- On ne vit qu'une fois, si tu ne le fais pas, tu regretteras de ne pas l'avoir fait !

 

Je suis en sueur, je bande, je suis mal !

 

- Je te laisserais même l'embrasser un petit peu… Imagine un peu ta petite langue sur mes seins…

- Bon d'accord on descend !

 

Nous descendons dans les toilettes après avoir payé la conso sous le regard goguenard du patron du bistrot. En bas elle déboutonne entièrement son haut, libérant un soutien-gorge à balconnets bas, laissant libre tout le haut des mamelons ! Je deviens dingue !

 

- Vas-y touche !

 

Bien sûr que je caresse, sa peau est d'une infinie douceur, et mon sexe le sait bien, qui manque maintenant de place derrière ma braguette. Elle n'est pas folle, elle l'a vue, elle y met la main, je la laisse faire tandis que ma bouche s'approche de cette poitrine qui m'attire comme un aimant, j'embrasse, je donne des petits coups de langue, m'approche du téton !

 

- Je peux ici aussi !

- Bien sûr !

 

Sa main n'a pas lâché ma braguette et elle me caresse désormais carrément le sexe à travers le tissu.

 

Il me vient une idée un peu foldingue c'est de lui demander d'enlever son soutien-gorge pour 20 euros de plus, j'aime bien voir les seins entièrement libres… avant de réaliser que de toute façon je n'ai pas besoin de demander, la suite est maintenant devenu inéluctable !

 

- Alors on y va à l'hôtel ?

- Oui, on y va ! Répondis-je

 

Je m'enquière juste du prix, il était raisonnable !

 

Elle sut gérer le temps de trajet jusqu'à un hôtel que nous avons dégoté non loin de là, en philosophant sur les bonnes choses de la vie et en me parlant de sa passion pour la bonne bouffe ! A l'hôtel nous avons demandé une chambre pour deux heures…

 

Je me retrouve un peu con, dans cette chambre au décor nul ! Je me demande quoi faire ? Me déshabiller ? Attendre qu'elle le fasse ? Attendre qu'elle me dise de le faire ?

 

- Tu aimerais quoi ? Que je te fasse un petit strip-tease pour commencer ?

- Ça me parait une bonne idée !

- Mais déshabille-toi d'abord sinon tu vas faire craquer ta braguette.

 

Je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne un peu de me foutre à poil devant elle alors qu'elle ne l'est pas ! Mais je le fais quand même !

 

- Ah, toi aussi tu gardes tes chaussettes ?

- Pourquoi " moi aussi " ?

- Approche-toi de moi, après je te dirais un truc !

 

J'approche, elle me prend par la taille !

 

- Il parait que les putes n'embrassent pas, mais moi comme je n'ai pas encore le statut, je peux le faire…

 

Avant que j'aie pu réaliser quoique ce soit, son visage s'est rapproché du mien, nos bouches sont entrées en contact et sa langue s'est faufilée dans mon palais ! Le baiser fut bref mais je ne vous dis pas le résultat, ma bite est de nouveau au garde à vous.

 

- Tu dois bien t'en douter, ce n'est pas la première fois que je fais ça, en fait j'ai déjà fait payer des mecs une dizaine de fois, et mes tarifs, c'est à la tête du client. Un jour je sauterais le pas, mais je ne suis pas encore prête. Et puis la particularité de ce genre de relation, c'est qu'au lieu de faire de la baise classique, les mecs se disent "si c'est une pute, elle doit connaître des tas de trucs !" Comme ils ont payé ils se lâchent et demandent parfois des bizarreries. Alors si tu veux des choses qui sortent de l'ordinaire, n'hésite pas à me le dire, moi je n'ai pas de tabous !

 

Je ne réponds pas, je n'ose pas… mais elle insiste :

 

- Tu n'as pas des petits trucs que tu aimerais que je te fasse, des petits fantasmes secrets ?

- Euh si… comme tout le monde…

- Ben dis-moi, c'est compris dans le prix !

- Je pourrais te regarder faire pipi ?

- Pas de problème, on va incorporer ça au programme ! Allez assieds-toi sur le bord du lit, je vais te faire un show !

 

De nouveau elle déboutonne son haut et l'enlève, elle virevolte plusieurs fois, tout n'est que merveille chez cette fille, même son dos dont le sillon et les courbes créent d'étranges jeux d'ombres et de lumière. Le soutif vole dans les airs et atterrit sur le lit ! Splendide poitrine qui semble défier les lois de la pesanteur, mon sexe me fait mal et je me surprends à le tripoter d'une main distraite. Et la fête continue… mademoiselle enlève ses bottines, le pantalon dégringole, elle est maintenant en string, un joli string rose ! Oh les jambes ! De longues jambes noires qui n'en finissent pas, des cuisses de rêve, j'attends qu'elle se tourne... Mon dieu les fesses, incroyable cambrure ! Me voilà deux heures dans une chambre d'hôtel minable avec un top model qui m'a demandé pour ça sans doute que le quart du tarif syndical ! Je dois être en train de rêver !

 

- J'enlève le string aussi ! Demande-t-elle, rigolarde !

- Ce serait mieux ! Répondis-je sur un ton faussement sérieux !

 

C'est parti, elle s'écarte maintenant son sexe devant moi ! Quelle merveille que ce petit écrin tout rose au beau milieu de cette belle peau mousso-chocolatée ! Elle me fout son sexe sous le nez !

 

- Lèche ! Tout à l'heure je pisserai pour toi, lèche !

 

Je ne m'attendais pas à ce qu'on aille jusque-là, ma langue s'immisce à l'intérieur, y recueille le goût de son intimité, je farfouille à l'intérieur mais quand je m'attarde sur le clitoris elle me fait arrêter, peut-être ne désire-t-elle pas jouir ou alors pas si tôt !

 

Elle se tourne :

 

- Lèche-moi derrière !

 

Elle écarte ses globes fessiers, me donnant son petit trou à lécher ! Ça tombe bien, j'adore faire ça, j'essaie de forcer l'entrée avec le bout de ma langue, l'anus finit par s'entrouvrir, l'odeur très légèrement acre du lieu me plait, mais mademoiselle a envie de varier les plaisirs et finit par se retourner.

 

- Tu as une bonne langue, toi ?

 

Propos peut-être uniquement commercial, mais ça ne fait rien, ça fait toujours plaisir à entendre !

 

Je suis toujours assis, elle se penche et me caresse le sexe !

 

- Doucement je ne voudrais pas jouir tout de suite !

- Mais si tu jouis tout de suite, ça n'a aucune importance, on était d'accord pour deux heures, on fera deux heures !

 

C'est ce qui s'appelle de la conscience professionnelle !

 

Elle me branlotte quelques instants pendant que mes mains s'égarent sur son corps, puis elle penche son visage, dépose un bisou du bout des lèvres sur mon gland, avant de l'attaquer de la langue et de finir par mettre tout ça dans sa bouche.

 

- On s'allonge on sera mieux ! Propose-t-elle

 

Bonne idée !

 

Je me couche sur le dos au milieu du plumard, elle vient me déposer un très léger bisou sur les lèvres puis se met sur ses genoux entre mes cuisses, et recommence à me sucer, ses mains se projettent en avant et cherchent mes tétons, les trouvent, les serrent, les serrent encore plus fort ! Elle redresse son visage un instant !

 

Sabrina0705.jpg

 

- Tu aimes ?

- J'adore !

- Essaie de ne pas me jouir dans la bouche, préviens-moi si tu viens !

 

Les deux caresses combinées finissent par provoquer un état extatique, je suis bien, merveilleusement bien ! Le plus dur ça va être de m'approcher de la jouissance sans la réaliser…. Je finis par lui dire que mon plaisir monte !

 

- Ok, je vais préparer un préservatif, mais on va faire un petit break, mais avant c'est à ton tour de me caresser.

 

Voici une excellente suggestion !

 

Je la caresse donc partout, les bras, le ventre, les cuisses, et bien sûr les seins, je ne m'en lasse pas ! Le grain de sa peau est d'une douceur à peine croyable ! J'ai rarement eu l'occasion de coucher avec des femmes noires (ce doit être la troisième si je n'ai pas de trous de mémoire) mais à chaque fois deux choses m'ont impressionné, leur chute de rein et la douceur de leur peau. Ma bouche ne reste pas inactive et j'embrasse tous les centimètres carrés de peau qui me tombe sous les lèvres ! Là encore ses nénés de rêves ont eu ma priorité comme vous vous en doutez ! Je me place un moment entre ses cuisses pour lui lécher la chatte, elle se laisse faire mais comme tout à l'heure m'empêche de m'attarder sur son clitoris ! Je décide donc de ne plus faire de tentative de ce côté !

 

- Tu veux me prendre comme ça ou tu préfères une autre position ! Me demande-t-elle tandis qu'elle ouvre l'étui du préservatif, je pense alors qu'elle va soit me le tendre soit qu'elle va me le poser elle-même !

 

Et bien non !

 

- J'ai appris un truc sur Internet, je vais te montrer !

 

Me montrer quoi ?

 

J'ai bien l'impression que le préservatif disparaît dans sa bouche, Sabrina se penche pour me sucer, Et hop c'est magique ! Elle vient de me poser la capote avec sa bouche !

 

- Super ! J'y arrive bien maintenant ! Commente-t-elle amusée !

- Tu viens sur moi ! Proposais-je

- Je l'aurais parié, comme ça qui c'est qui fait tout le boulot, c'est Sabrina ! Mais ça fait rien, ce ne sera pas une corvée...

 

Et la voilà qui s'empale sur moi, et qui commence à coulisser, je participe au mouvement en gigotant des reins comme je peux ! J'adore cette position car outre le fait qu'elle est reposante (du moins pour moi) j'ai une vue d'enfer sur sa poitrine qui ballote au rythme de ses chevauchées. Après dix minutes de cet exercice, elle me dit alors :

 

- Ne bouges plus, on va faire quelque chose !

 

Elle se dégage et positionne ma bite à l'entrée de son anus ! Non, je vais même avoir droit à ça ! Je vous dis que je rêve !

 

- Surtout ne bouge pas, c'est moi qui conduis, c'est comme au bal !

 

Tu parles d'un bal, ma queue est absorbée par son cul millimètre après millimètre, quand je la sens bien enfoncée, prisonnière de ses sphincters, elle se met à coulisser d'abord très doucement puis plus violement, elle pousse des petits cris, incroyable, mademoiselle jouit du cul ! Je crois un moment qu'elle simule pour me faire plaisir, mais non, son vagin s'humidifie de façon évidente ! Encore plus vite ! Je suis au bord, je lui dis, elle ne répond pas, elle s'en fout, je lui redis, elle se contente de gémir ! Je pars ! J'ai joui, elle continue quelques instants ! Je suis crevé ! Des trucs pareils c'est plus de mon âge !

 

- Super ! Que je lui dis. Je ne regrette pas d'être venu !

- Et attends, c'est pas fini, je t'avais promis que tu regarderais mon pipi, tu vas le voir ! Mais on a le temps, on se fume une clope ?

 

C'est la première fois que je la vois fumer ! Je suis pour ma part un fumeur d'occasion mais je l'accompagne !

 

On a parlé d'un tas de trucs comme ça tous les deux à poils sur le lit pendant vingt minutes, puis coquinement elle me remit la main sur le sexe !

 

- Alors on est prêts pour la seconde mi-temps !

- Tu sais à mon, âge tirer deux coups de suite comme ça, je ne sais plus faire.

- Tss Tss ! Justement ça fait partie des choses qu'il faut que j'apprenne, à remettre un mec en forme !

 

Elle me dit ça en rigolant comme une bossue !

 

- Allez viens, je vais pisser ! On va voir ce que ça te fait !

 

Je la suis dans la salle de bain, (si on peut appeler ainsi ce minuscule réduit muni juste d'un lavabo et d'une cuvette de chiotte)

 

- Tu veux que je pisse comment, debout, accroupie ?

- Et si tu me pissais dessus ?

- Hummn, normalement c'est 20 euros de plus ! Mais comme tu es sympa… Le problème c'est qu'on va faire comment pour essuyer, il n'y a rien ou alors du papier à cul, mais c'est pas très romantique tout ça… Mais bon Ok, je vais te le faire !

- Et si tu me faisais goûter ?

- Petit cochon ! Mais c'est une excellente idée, comme ça on n'en foutra pas partout ! Allez allonge-toi par terre je vais m'accroupir sur ta bouche !

 

J'ai un peu de mal parce que le sol carrelé est froid, ça va vite, mademoiselle avait une petite envie, et tout de suite un filet tiède me coule dans le gosier, elle essaie de temporiser, mais elle a quelques difficultés, ce qui fait de temps à autre le débit devient trop rapide et le surplus s'en va à côté ! Ce n'est pas grave et ça l'a fait rigoler !

 

- Y'en a plus ! Dira-t-elle pour conclure, c'était comment ?

- Délicieux, il est vraiment délicieux ton pipi !

 

Il y a combien de temps qu'on ne m'avait pas fait ça ! Et quand je pense que j'ai failli refuser cette petite séance !

 

- Ça bandouille pas trop ! Hein ?

- Ouais, je n'ai plus 18 ans !

- Une petite fessée ça te dirait ?

- Pourquoi pas, mais essaie de me pincer les seins ça sera sans doute plus efficace !

- Ok mais on commence par la fessée !

 

Elle a dû me taper sur le cul pendant cinq bonnes minutes, à ce point que l'endroit finit par chauffer ! Agréable, excitant mais sans doute pas assez pour réveiller ma pauvre bite … alors elle me pinça le bout des tétons comme je lui avais demandé, le résultat était meilleur mais pas encore assez… Non ma dernière jouissance était trop proche….

 

- Bon on laisse tomber… de toute façon c'était très bien et j'en ai eu pour mon argent, tu es une chic fille, je te remercie pour tout ça !

 

C'est alors qu'elle me dit :

 

- Tss, tss, on essaie un dernier truc :

 

Alors elle se mit sur le lit sur le dos, écarta les jambes :

 

- Viens me sucer ! Viens me faire jouir !

 

Non ? Je n'en reviens pas, j'y vais, je me précipite ! J'espère avoir bien compris ce qu'elle m'a dit et histoire d'en avoir le cœur net après quelques coups de langue pour le fun j'attaque tout de suite son clitoris ! Elle ne me dit pas d'arrêter, alors je continue, Très vite elle se met à haleter, puis à émettre de petits gémissements, elle raidit ses muscles et pratiquement sans préambule se met à jouir, en criant comme une dingue !

 

- Ah ! Ben toi alors ! Dira-t-elle simplement !

 

Du coup je bande ! Pas de façon fantastique, mais je bande, mais c'est intérieurement que je suis le plus heureux des hommes ! Sabrina me prend ma quéquette et se met à la branler ! Pas évident !

 

- Laisse, tout va bien ! Je suis comblé ! Lui dis-je !

- O. K. ! On va y aller, demain je ne ferais pas mon dernier jour de stage, je vais te donner mon numéro de portable ! Appelle-moi quand tu veux !

 

Après une petite toilette intime minimum, nous avons pris le métro ensemble, puis on s'est séparé quand nos itinéraires le furent aussi… Gros bisous ! Je me suis peut-être trompé mais j'ai cru apercevoir une larme dans ses yeux, moi j'ai retenu les miennes…

 

Mais allez donc savoir pourquoi je sifflotais comme un pinson en prenant le métro quelques minutes plus tard ?

 

 

Estonius © juillet 2005

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Mardi 15 février 2005 2 15 /02 /Fév /2005 23:25

Jeux de garçons, jeux de cochons

par Estonius

 

Gaystamp h

 

Cela remonte à mes années de stage, j’avais une vingtaine d’années, quelques expériences féminines et pas mal de déceptions. J’avais avec moi, Henri, un jeune homme blondinet décontracté et plein d’humour. Je ne sais plus ni pourquoi ni comment j’ai été amené à lui dire que j’avais les idées larges, qu’il n’était pas question pour moi de renoncer à draguer les femmes, mais que si une expérience homosexuelle se présentait... Et bien, après tout pourquoi pas ? Je lui précisais aussi que si je devais faire cette expérience elle serait sans lendemain, et puis que de toute façon le corps des hommes ne m’intéressait pas, mais que par contre j’étais assez fasciné par les beaux zizis.

 

Quel ne fut pas ma surprise, quand il m’invita ce vendredi soir à une "soirée mecs" ! Je refusais, mais l’autre de me rappeler mes paroles et de me mettre au pied du mur.

 

- De toute façon si tu vois que tu es bloqué, tu prétexteras une migraine ou je ne sais quoi, pour nous quitter et personne ne t’en voudra.

 

C’est ainsi que je me suis retrouvé un samedi soir, une bouteille de Malibu à la main à la porte d’un appartement parisien en plein quartier latin. Je me suis arrangé pour arriver le dernier, n’ayant pas trop envie de gérer l’attente par des discussions avec des gens que je ne connaissais pas. Un homme m’ouvre, un grand brun à la peau blanchâtre :

 

- Bonjour, je suis Etienne, Henri m’a proposé de passer...

- Rentre ! Je suis Patrice ! m’indique l’hôte. On se fait la bise ?

 

Je n’ai pas vraiment l’habitude d’embrasser les hommes, mais bon...

 

- Alors il parait que tu n’as jamais fait ça, mais que tu aimerais bien une petite expérience ? Ajoute-t-il en refermant la porte.

 

Et sans attendre une quelconque réponse, il me met sa main sur la braguette. Réaction garantie, je me mets à bander, je ne pensais pas que les choses commenceraient si tôt. Il me conduit jusqu’au living.

 

Henri est là, ainsi que trois hommes assez jeunes... Patrice fait les présentations :

 

- Je vous présente Etienne, c’est le gars dont Henri nous a parlé....

 

Et tout en parlant il me pelote les fesses...

 

- Regardez-moi ce petit cul, on va se régaler !

 

Il y a donc là Yvon, un joli mec aux cheveux châtains clairs et à la peau bronzé, Vardin un blond aux cheveux longs assez efféminé, et Cheng un asiatique. J’embrasse tout ce petit monde. La première impression est assez sympathique. On est donc six, ça fait du monde pour une courte nouvelle érotique, on va essayer de ne pas trop s’emmêler !

 

Etant au complet et ces présentations faites, Patrice nous propose d’emblée :

 

- Si on jouait à "la douche" comme l’autre fois ? Ça m’avait bien plu !

 

Je m’attends à une espèce d’orgie dans la salle de bain, comme ça d’emblée, ça ne me dit trop rien, mais ce n’est pas ça du tout !

 

On m’explique le principe, on pose sur la table de la bière, de l’apéritif, et des revues pornos. Mais personne n’a le droit d’y toucher avant d’avoir pris une douche. On n’a même pas le droit de fumer. On tire donc au sort le premier qui va se doucher, il doit revenir à poil devant les autres et gagne le droit de boire, de feuilleter mais aussi de provoquer ceux qui sont encore habillés, mais sans contact, par contre il peut faire ce qu’il veut avec ceux qui sont déjà douchés. Quant au dernier à être tiré au sort, non seulement il n’aura le droit de rien faire mais devra accepter d’être humilié par les autres.

 

- Tout me monde est d’accord ? Parce que n’allez pas râler après si vous êtes le perdant !

 

C’est bien ça qui me fait hésiter un petit peu ! Mais bon, il n’y a qu’une chance sur six pour que ça soit moi (comme à la roulette russe) et puis je peux toujours m’échapper, je ne suis pas prisonnier... Et puis j’aime bien prendre des risques, c’est mon côté joueur...

 

Donc c’est parti !

 

On tire au sort, c’est Yvon qui est désigné, il s’en va donc.

 

- Rassure-toi ! Me conforte Henri. Ça se passe toujours super !

- Même pour le perdant !

- Mais, oui, on n’est pas des brutes...

 

Comme il faut bien qu’on s’occupe en attendant le retour d’Yvon, ça parle sport et bagnole, et comme je n’y connais rien, j’attends que ça se passe.

 

Et voilà la réapparition d'Yvon à peine sec ! Il tire lui-même le nom du suivant et c’est Vardin que le sort désigne pour gagner la salle de bain ! Yvon est donc nu, il est assez mignon, le corps est pratiquement glabre, je louche vers sa bite, un bien bel objet, évidement avec ma discrétion habituelle il s’en aperçoit !

 

- On dirait qu’elle te plait ma bite, toi le nouveau ?

- Elle est belle !

- Ça te plairait de la voir au fond de ton cul, hein ?

- Pourquoi pas ? Répondis-je avec prudence. (De toute façon ça n’engage à rien.)

 

Yvon fait un demi-tour sur lui-même, tortille du cul, écarte ses fesses, joue avec son sexe, se pince les tétons... Il nous la joue très star.

 

- Ça va ? Ça vous plait tout ça ?

 

Il se sert une bière, se trempe la bite dedans !

 

- Ah ! Ah ! Ça vous fait envie, hein ? Vous êtes vraiment des gros cochons ! Bon c’est quoi ces bouquins ? Whah le mec ! La bite qu'il se paie, ça m’excite tout ça !

 

Puis ne s’occupant plus de nous, il s’assoit, le magasine d’une main, sa queue dans l’autre et il se masturbe très lentement.

 

Je suis véritablement très excité, alors que je me disais, il y a encore quelques minutes, me mentant sans doute à moi-même, que j’étais d’abord venu pour voir, j’ai maintenant réellement envie de participer, sans doute timidement mais de participer, et j’ai bien l’intention de sucer une bonne queue avant de partir.

 

On est en fait tous scotchés vers Yvon dont la bite parfaitement dressée est désormais une véritable provocation.

 

Mais voici Vardin qui revient, il n’a plus un seul poil sur le visage et arbore une belle bite bien bandée. Il tire d’abord un papier dans la corbeille désignant le prochain occupant de la douche, c’est Cheng.

 

Vardin s’approche d’Yvon. Ce dernier sans quitter son siège lui pose les mains sur la taille, puis approche ses lèvres pour embrasser sa verge, ses mains s’égarent sur ses fesses, puis c’est sa langue qui lèche toute la hauteur de la hampe, avant que d’un coup sa bouche ne l’engloutisse et qu’il commence à le sucer. C’est trop excitant ce truc-là, une fellation devant mes yeux. J’en viens à me demander si quand ce sera mon tour d’aller me doucher, je ne devrais pas me masturber pour être « plus calme » ensuite.

 

Yvon cesse un moment de sucer son partenaire.

 

- Ça vous excite, hein, bande de mateurs, vous aimeriez bien être à notre place ? Bon, Vardin, si tu me suçais un peu à ton tour ?

 

Cela n’a l’air de poser aucun problème pour le grand blond qui file entre les jambes de son complice et qui commence à son tour à lui sucer sa jolie pine.

 

- Hum, elle est bonne ta bite, c’est dommage qu’elle sente la savonnette, finalement cette idée de douche je ne sais pas si c’est une si bonne idée que ça ? Moi j’aime bien les bites qui sentent un peu le pipi.

- C’est pas un problème, si tu veux, je te pisse dessus !

- C’est une promesse j’espère ?

- Oui, mais avant je vais te flanquer une fessée, ça t’apprendra à raconter des cochonneries.

- OK, ça fait deux promesses !

- Bon, alors maintenant suce-moi en silence et excite-moi mes bouts de seins en même temps !

 

Vardin obéit ! Rapidement son partenaire se pâme.

 

- Attend ne me fait pas jouir tout de suite ! Putain les mecs, ce type suce comme un dieu, une vraie bouche de pute... mais arrête... oh puis non continue, c’est trop bon !

 

Yvon finit par décharger dans la bouche de Vardin, ce dernier proposera à son partenaire de l’embrasser, la bouche pleine de sperme, mais l’autre refuse.

 

Mais voici Cheng qui est de retour, sa bite de taille moyenne est comme chez beaucoup d’asiatique plus sombre que le reste de son corps. Il tire au sort ! Cette fois c’est pour moi ! Ouf, je ne serais pas le perdant ! Et tandis que je me dirige vers la salle de bain je me retourne pour apercevoir l’asiatique recevoir de Vardin, le baiser dont Yvon ne voulait pas.

 

Inutile de vous dire que je me douche à la vitesse grand V, je n’ai qu’une hâte c’est de revenir. Je bande sans arrêt depuis un bon quart d’heure. Allez hop, je me rince, je m’essuie un peu, je m’asperge un peu d’eau de toilette. Je vérifie dans le miroir si je suis présentable, finalement je n'en sais trop rien, en fait je me suis mal préparé pour ce truc, j’aurais dû me raser le torse...mais bon, on va dire que ça devrait aller. Et hop, je reviens dans le salon laissant la place à ce pauvre Patrice qui doit être dans un état pire que moi. Quand à Henri qui n’a pas été tiré au sort, il a l’air tout content de sa situation, et le fait de servir éventuellement de souffre-douleur à l’ensemble du groupe n’a pas l’air de le gêner plus que ça.

 

Yvon est dans son coin, il ne bande plus, et « récupère » en sirotant une bière. Mais ce n’est pas là qu’est le spectacle, en effet Cheng est en train de sodomiser Vardin qui se pâme de plaisir. Quel spectacle que la bite de l’asiatique qui effectue de longs et profonds coulissages réguliers dans l’anus de ce bel homo chevelu ! Inutile de vous dire dans quel état j’étais quand ce dernier m’appela :

 

- Mets-toi devant moi, je vais te sucer, pendant qu’il m’encule !

 

Ça m’embête un peu, je ne suis pas vraiment venu pour ça, mais une partouze c’est aussi un partage, il faut savoir donner de sa personne, c’est encore la meilleure façon d’espérer un « retour »

 

Je lui présente donc ma queue à hauteur de sa bouche et sans préliminaire, il l’engloutit. C’est incroyable comme ce mec suce bien, aux mouvements de pompage imprimés par ses lèvres s’ajoute des mouvements de langue sur mon gland qui me font frétiller de plaisir. A ce rythme et compte tenu de l’excitation accumulée, je ne vais pas durer longtemps. Je le préviens que je vais venir, mais il s’en fiche et j’éjacule dans sa bouche.

 

Un peu secoué, je vais m’asseoir, continuant à assister à la sodomie de Vardin.

 

- Qu’est-ce qu’il m’encule bien ce mec, je te le recommande ! S’amuse-t-il à me dire !

- C’est quand tu veux ! Rajoute l’asiatique ! Je vais bien te la mettre, tu vas voir !

 

Je ne réponds pas, je suis un peu dépassé par les événements. Cheng semble accélérer sa cadence !

 

- Me jouis pas dans le cul ! Viens dans ma bouche !

 

L’asiatique décule alors, enlève précipitamment le préservatif et offre sa queue à finir à Vardin. En quelques mouvements seulement il atteint la jouissance. Puis pour la deuxième fois de la soirée les deux hommes s’embrassent sur la bouche.

 

Patrice sort à son tour de la douche, Vardin attrape sa queue de la main et décidément insatiable, lui la prend en bouche.

 

- Hum ! Tu suces toujours aussi bien, mais moi aussi je voudrais bien ta bite, allonge toi par terre on va se mettre en 69.

 

Les deux coquins se mettent ainsi en position de tête bêche et se lèchent mutuellement la bite. C’est Vardin qui jouira le premier, son compagnon quelques minutes après.

 

Henri lui revient à ce moment-là, il s’est pourtant dépêché de prendre sa douche, il regarde l’assistance, constate que tout le monde a joui et qu’il faudra attendre quelques minutes pour la suite des événements. Il va s’asseoir dans un coin et commence à se masturber plutôt mollement.

 

- Je te signale que tu as perdu, tu n’as donc pas le droit de jouir, par contre on peut te faire ce qu’on a envie, mais pour l’instant viens donc me voir, ma bibiche, je vais sucer le trou de balle pendant que tu te branles ! Propose alors Vardin, décidément en grande forme.

 

Vardin commence à donner de grands coups de langues dans la rondelle du perdant du jeu. Il s’arrête un moment !

 

- Décidément, la prochaine fois, il faudra trouver autre chose que la douche, moi j’aime bien qu’un trou du cul ça sente le trou du cul !

 

Yvon s’approche alors des deux hommes, il a retiré le ceinturon de son jean et le tient à la main faussement menaçant !

 

- Dis donc, toi ! On t’a dit d’aller prendre une douche, on ne t’a pas dit de te parfumer le trou de balle à la savonnette !

 

Eclat de rire de l’assistance !

 

- Mets-toi à quatre pattes et cambre bien tes fesses.

 

Il obéit sans discuter, Yvon cingle alors le cul de ce pauvre Henri, il le cingle une seconde fois, et encore une troisième... à la cinquième il s’arrête, il rebande de façon magnifique, tandis que les fesses de sa victime ont rougis de façon impressionnantes.

 

Yvon passe alors le ceinturon à Patrice qui à son tour lui administre cinq coups. Puis c’est Cheng, puis Vardin. Je constate alors que même si les coups sont donnés avec force, il n’y a aucun excès, ces mecs comme le disait Henri lui-même ne sont pas des brutes... Je n’avais pas réalisé qu’il me faudrait moi aussi me servir de ce ceinturon et flageller ainsi mon collègue... Drôle d’impression que de devoir ainsi taper sur le derrière de mon collègue de travail. J’ai peur de taper trop fort, mais une curieuse réaction s’empare de moi pendant que j’opère, je m’aperçois en effet que non seulement ça me plait mais que cela me fait bander... Bizarre !

 

- Bon aller relève-toi ! Lui dit Patrice, tu vas te mettre le petit tablier de boniche qui est là-bas et tu vas nous servir de soubrette pour le restant de la soirée.

 

On se sert à boire, ou plutôt on se fait servir par Henri, on rigole, certains caressent leur voisin, et Chang a carrément posé sa main sur mon sexe ce qui a pour effet de le maintenir bandé.

 

Un moment Vardin lance dans la conversation :

 

- N’empêche que c’est moi la plus belle salope ici, j’ai déjà sucé quatre bites et je me suis fait enculer une fois. Il y a un record à battre, là, si on faisait des paris !

 

Mais personne n’a l’air de vouloir relever ce défi ! Alors Patrice nous fait une proposition.

 

- Je vous propose un jeu ! On tire au sort celui qui va essayer de faire mieux que Vardin, et on va tous l’aider. Mais pour intéresser la partie, on met tous 20 € au pot, si le gars qui est tiré au sort fait mieux que Vardin, il empoche la cagnotte, sinon....

- Sinon, ben sinon, c’est pour moi rajoute Vardin !

- Et puis le perdant prendra la place d’Henri, ce sera notre soubrette pour le restant de la soirée !

 

Voilà des propositions qui ravissent toute l’assemblée. Henri prépare cinq bouts de papier. J’ai l’honneur de tirer le nom du challenger ! Je ferme les yeux, prend le papelard, le déplie, et....

 

...C’est mon nom qui est sur le papier....

 

Je vais pour protester, dire quelque chose... mais tous ces cornichons ne trouvent rien de mieux à faire que de m’applaudir... Moi qui venais pour juste voir un peu, et éventuellement faire un bisou sur une belle verge, me voici...

 

- Commence par la mienne ! Propose Cheng !

- Met toi à genoux ! Me dit quelqu’un d’autre !

 

Et comme je n’obtempère assez vite, on me tire sur les mains, je ne sais pas trop comment je me retrouve agenouillé devant la bite de l’asiatique... Bon, je peux toujours m’enfuir à toutes jambes, mais bon... la verge se rapproche de mon visage !

 

- Allez, ouvre la bouche !

 

Je finis par le faire, je comprends que je serais plus à l’aise si c’est moi qui prend les initiatives, me voilà comme un gland avec un gland dans la bouche, je le ressort l’embrasse tendrement. La texture en est surprenante de douceur, je donne des petits coups de langue, puis je respire un grand coup et en met la moitié en bouche, je le suce comme je le ferais d’un énorme sucre d’orge, puis j’opère comme j’ai vu le faire dans les vidéos ou ici il y a quelques instants, des mouvements coulissants des lèvres, en m’aidant un peu de mes mains !

 

- Tu apprends vite ! Me dira Cheng !

 

Merci pour le compliment... Mais voilà que je me pose une question, il faut aller jusqu'où pour que ça compte pour une fellation.... J’espère que je ne vais pas être obligé de finir ! Je finis par poser la question !

 

- Soit cinq minutes, soit une éjac pour ça compte ! Si Vardin est d’accord !

- Ça colle ! Mais il faut qu’il fasse soit 5 pipes et une sodo, ou alors 4 pipes et 2 sodos.

 

La sodo, je l’avais oublié, celle-là ! Je crois que je vais abandonner l’affaire...

 

- Là ça ne fait pas cinq minutes, faut continuer ! ajoute Vardin

- Suce-moi encore, et après je vais te préparer le cul ! Me précise Cheng.

 

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J’en suis à me demander de quelle façon je vais pouvoir quitter ce jeu sans trop me ridiculiser, j’essaie de me concentrer sur ma fellation, c’est vrai que c’est agréable de sucer une belle bite bien tendue. Je ferme les yeux pour essayer de ne pas me faire distraire. Quand je les rouvre, je vois Yvon à côté de mon asiatique qui réclame la place, cinq minutes sont donc déjà passées... Je change de bite, celle-ci est plus grosse, plus belle aussi, mais moins pratique à mettre en bouche, mais je me débrouille... Cheng est passé derrière moi et me pelote les fesses de façon assez inquiétantes car ses mains se rapprochent ostensiblement de la région anale. Ça y est, il a le doigt sur mon anus, je comprends qu’il va vouloir me doigter ! Du coup je stoppe ma fellation, me retourne !

 

- Veux-tu rester tranquille ! Ais confiance en Cheng, il est très doux, tu ne sentiras rien !

 

Tu parles que je ne sens rien, j’ai son doigt dans le cul qui rentre et qui sort, si je ne trouve pas le moyen d’arrêter tous ce bazar dans cinq minutes, je vais me faire enculer. Quelque chose de froid sur l’anus... c’est quoi ça encore, puis quelque chose qui force.

 

- Laisse toi aller !

 

Je viens de réaliser, que si je ne l’aide pas un peu, il ne va jamais y arriver, et je n’ai pas l’intention de l’aider. C’est cela la solution pour échapper à la sodo, c’est tout simple. Effectivement il ne rentre pas ! Ouf ! Et pendant ce temps-là je suce cette bonne pine, c’est dommage que je sois perturbé par ce qui se passe derrière moi car ça m’empêche d’en profiter pleinement.

 

Et voilà Patrice qui se pointe pour remplacer Yvon, belle queue également un peu dans le même genre, un peu moins épaisse... Et derrière l’autre qui continue à faire le guignol, je sens Cheng qui continue en vain ses tentatives. Tranquille je suce donc ma troisième pine... j’ai quand même m’impression que mon anus à tendance à s’ouvrir... Est-ce que... Une petite poussée, ce salaud a failli rentrer... une autre poussée, une très légère douleur, ça pousse encore ! C’est rentré ! Je suis en train de me faire enculer ! Tant pis pour moi, il fallait que j’agisse avant ! Encore une poussée, il doit m’avoir tout mis, et puis il commence à s’agiter. J’ai du mal à contrôler tout ça et à m’appliquer à sucer. Je décide de laisser faire ce qui se passe derrière, après tout ce n’est pas si terrible et je me concentre sur ce joli membre.

 

Drôle d’impression, on s’habitue à ce membre fiché dans l’anus, la sensation n’a vraiment rien de désagréable. A tel point que quand quelqu’un me demande si c’est bon, je lui réponds, qu’effectivement c’est super bon !

 

Puis on appelle Henri qui remplace Patrice, lequel Patrice prend lui la place d’Henri derrière moi ! C’est que sa bite n’a pas la même dimension, mais il faut croire que le « chemin est fait » ça pénètre bien et le maître des lieux me lime à son tour ! Me voici en train de sucer mon collègue ! Je réalise que j’ai déjà gagné mon challenge, quand ces deux-là auront fini, j’aurais donc fait quatre pipes et deux sodos !

 

J’ai du mal à sucer, tellement Patrice gigote derrière, il s’agite comme un dingue, puis s’affaisse sur moi, je viens de réaliser qu’il a jouit en me prenant. Plus personne derrière, drôle d’impression, on dirait que mon anus ne veut pas se refermer. Bon, je continue à sucer, je vais avoir une crampe de la mâchoire tout à l’heure. J’ai compris un peu trop tard pourquoi la bite d’Henri faisait tout d’un coup des soubresauts dans ma bouche, ce con vient de jouir. Je recrache tout ça... Ça commence à faire beaucoup de choses pour une première fois...

 

Et voilà qu’on applaudit ! C’est moi la vedette ! On me remet les 6 billets de 20 € !

 

- Donc pour l’instant la plus salope, c’est Etienne, si quelqu’un veut relever le défi ?

 

Non personne ! Et personne ne veut non plus d’un nouveau tirage au sort, on s’approche tous des boissons et on se rafraîchit un peu.

 

- Il faudra que tu reviennes, j’aurais ma revanche, me dit Vardin en souriant !

 

Tiens, je ne l’ai pas sucé celui-ci, ça manque à ma collection...

 

- Bon, Henri donne ton tablier à Vardin, c’est notre nouvelle boniche !

- Tiens, viens là, ajoute Yvon, je te devais une fessée !

 

Il fait mettre son camarade en travers de ses genoux et commence à lui administrer une fessée à main nue, ne s‘arrêtant que quand le cul fut devenu rouge comme une tomate, à moins qu’il est tout simplement attrapé mal aux mains.

 

- Bon j’aie envie de pisser ! Vardin va me servir de pissotière, s’il y en a qui veulent en profiter...

 

J’ai un peu de mal à suivre, mais tout le monde se dirige vers la salle de bain, je fais donc pareil, là Vardin se couche dans la baignoire.

 

- Wha ! C’est froid !

- Justement on va te réchauffer ! Répond Yvon qui après quelques secondes se met à lui pisser sur tout son corps !

 

Vardin se caresse le corps avec l’urine, les autres se mettent à pisser à leur tour, et je suis aussi le mouvement, tout le monde rigole, l’ambiance est bon enfant ! Quand tout le monde a terminé d’uriner Vardin s’y met à son tour et sans se relever....

 

- Bon je prends une vraie douche et je vous rejoins, ça creuse tout ça !

 

On grignote quelques bricoles, on plaisante, on est toujours tous entièrement nus. Des couples se forment, Patrice est en train de branler Henri tandis que Cheng suce Yvon qui commence déjà à rebander. C’est Vardin qui s’occupe de moi, je n’ai joui qu’une fois, il le sait, il a commencé par s’occuper de ma bite avec sa bouche, et puis je ne sais trop comment on s’est retrouvé en 69, j’ai joui dans sa bouche et lui dans la mienne, après nos visages se sont rapprochés dans un grand élan de tendresse et pour la première fois de ma vie j’ai embrassé un homme !

 

- Ça te dirais qu’on sorte un de ces jours tous les deux, rien que tous les deux !

 

J’ai failli lui répondre que même si je m’étais éclaté ce soir, je préférais quand même les femmes... mais j’ai fini par accepter. On est resté longtemps dans les bras l’un de l’autre assistant avec amusement au spectacle d’Henri sodomisant Patrice tandis que Cheng s’empalait lui-même sur la bite d’Yvon...

 

Le lendemain matin, j’ai eu un petit mouvement d’étonnement en sentant une forme se lover contrer moi, puis la mémoire me revint vite, Vardin dormait à mes côtés. J’eus alors hâte qu’il se réveille afin de mélanger à nouveaux nos corps.

 

Estonius – février 2005

 

 

Ce récit a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Gay pour l'année 2005

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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