Elian Lvekman

Samedi 22 avril 2023 6 22 /04 /Avr /2023 11:21

Partouze familiale avec Violaine par Elian Lvekman
stamp partouz

Bonjour, j’ai 39 ans et suis en couple avec Daphnée. Mes parents sont des libertins impénitents et passent systématiquement leurs vacances d’été au Cap d’Agde. Cette année nous partagions leur location.

Nous avions rencontré sur la plage naturiste, Violaine, une fille très délurée qui suçait des bites à la chaine et avec laquelle nous avions sympathisé.

Elle a accepté de partager avec nous le barbecue du soir… Nous avions aussi invité un autre couple… qui nous a fait faux bond. Nous serons donc cinq.

Les discussions allaient bon train, parlant de tout et de rien, mais les anecdotes sexuelles y allaient bon train. Alors que la nuit tombait, Daphnée proposa de faire un strip-poker, un peu débile de faire ça en milieu naturiste, mais bon…

Assis en rond dans le salon, on commença la partie et très vite, on se retrouva mon père et moi en boxer et tee-shirt et Daphnée, Violaine et ma mère en culotte et soutif. Daphnée perdit en premier et enleva son soutien-gorge libérant ainsi ses jolis seins. Ils étaient magnifiques (95e), puis ce fut moi qui perdis mon tee-shirt, puis mon père et ensuite Violaine. Elle se retourna, enleva tout doucement son soutien-gorge et le jeta au milieu du groupe. Elle nous fit admirer de jolis petits seins (85c) en forme de poire, je fus comblé et mon désir commença à monter en moi et à mon père aussi car une bosse commença à apparaître. Daphnée perdit de nouveau et elle se releva, se retourna et fit descendre sa culotte tout en bougeant ses fesses puis se retourna en jetant sa culotte sur la tête de mon père. Elle fut devant toute nue, dévoilant son sexe à nos yeux ce qui augmenta encore davantage nos désirs.

Reprenant la partie, c’est ma mère qui perdit exhibant sa belle poitrine bronzée ornée de jolis piercings. Puis ce fut à mon tour de perdre et dû enlever mon slip. M’étant relevé, je ne fis rien car Daphnée s’approcha de moi et tira d’un coup sec sur mon boxer libérant ma bite. Elle se retrouva devant sa bouche, elle fut à deux doigts de la saisir mais elle retourna à sa place.

Puis Violaine perdit et je m’approchai d’elle pour enlever son string. En le faisant descendre tout doucement, nous vîmes apparaître son sexe complètement épilé. Caressant au passage son sexe, moi doigt glissa entre ses deux lèvres et je sentis qu’elle mouillait.

Maintenant la partie se jouait entre ma mère et mon père et ce fut mon père qui perdit. Violaine se leva, suivit de ma mère et libéra le sexe bandé de mon père. ma mère avait sa bouche près de sa bite, elle était prête à la saisir, ses yeux brillaient d’envie. Elle fut déclarée « vainqueur » mais décida quand même d’enlever sa culotte.

Après quelques minutes de repos et après avoir bu quelques bières, Violaine nous proposa de continuer la soirée en regardant un film X. Trouvant la vidéo, nous commençâmes à regarder le film. mon père était entouré par Violaine et Daphnée, et ma mère était entre mes jambes. Au bout de quelques minutes de film, mes mains commencèrent à descendre sur ses seins en les caressant. Voyant cela, mon père commença à caresser les seins des deux autres puis descendit presque aussitôt sur leurs sexes. Ma main commença à lui faire de l’effet que ma mère car elle bougea un peu. Mon doigt monta puis descendit entre ses lèvres bougeant en travers en même temps et lui caressant son bourgeon d’amour. Violaine et Daphnée subissaient le même traitement tout en branlant mon père.

Violaine changea de place et vint devant eux, commença à se caresser son sexe et aida mon père dans ses caresses sur Daphnée. Celle-ci fut surprise mais se laissa faire. ma mère et Violaine eurent ensemble leur premier orgasme suivi de Daphnée. ma mère se retourna et commença à me branler mais c’est mon père qui jouit le premier. Il balança deux ou trois jets sur les seins de Daphnée mais Violaine en reçut sur le visage et dans la bouche. Elle lécha la queue de mon père puis les seins de Daphnée. Voyant cela, mon plaisir arriva et Daphnée vint vers nous, continua à me branler et reçut tout le sperme sur la figure et dans la bouche puis me nettoya le sexe sous le regard amusée de l’assistance.

Pendant que certains buvaient, d’autres prenaient une douche et tout le monde se retrouva à la fin dans la salle de bain. Les mains se baladèrent caressant les seins, les chattes et nos bites. ma mère caressait le sexe de mon père et celui-ci glissait sa main entre ses lèvres tout en faisant rentrer un doigt car ma mère poussait quelques grognements de plaisir. Moi, je caressais Daphnée qui caressait Violaine qui me caressait. Après avoir changé de partenaire, on décida de retourner dans le salon.

On reprit le film où; là il était rendu. Voyant ce qui se passait sur l’écran, je commençai à embrasser ma mère puis léchai ses seins et descendis vers son sexe. Je découvris une chatte déjà bien humide et ma langue lui léchant son clito par moment puis ses lèvres, augmenta son plaisir. Daphnée et Violaine suçaient à tour de rôle la queue de mon père, Daphnée léchai le bout du gland avant d’avaler en entier la bite, quant à Violaine, elle léchait toute la bite puis avalait tout doucement ou rapidement.

Par jeu, Violaine me demanda si j’aimerais sucer la bite de mon père. J’acceptais d’autant le défi que je l’avais déjà fait et introduisis cette belle bite dans ma bouche

Ensuite Violaine changea de place et commença à lécher le sexe de Daphnée. Celle-ci se laissa faire. Je voyais la langue de Violaine monter puis descendre sur le sexe de Daphnée puis par moment, c’était sa main qui caressait tout en faisant entrer un doigt ou deux. Pendant ce temps-là, ma mère et moi pratiquions un 69. J’adorais sentir sa langue sur ma queue pendant que sa main me caressait les boules. Je voyais sa bouche se déformer chaque fois qu’elle me pompait. Soudain je sentis quelque chose, c’était Violaine qui s’était rapprochée de nous. Violaine fit s’allonger ma mère et elle commença à lui lécher les seins pendant que je m’occupais de son sexe puis elle descendit m’aider.

Daphnée pratiquait une branlette espagnole avec mon père. Tenant ses seins, la bite de mon père glissait parfaitement entre ses deux gros mamelons et rentrait bien dans sa bouche ou lui léchait simplement le bout de sa queue. Nous avions changé de place et je me retrouvai la tête entre les jambes de Violaine pendant que je léchais le sexe de ma mère.

J’étais aux anges car cela faisait une éternité que j’attendais ce moment-là, avoir son sexe rasé à portée de ma bouche, lui caresser ses deux lèvres ainsi que son clito. J’introduisis un doigt dans son vagin ce qui la fit grogner de plaisir. Mon doigt glissa et entra en contact avec son anus. Elle commença à bouger des fesses pour indiquer d’y aller et je le fis. Puis j’introduisis en même temps un doigt dans son sexe ce qui lui fit avoir un formidable orgasme. Quelques secondes à peine, Daphnée poussa un cri de joie. ma mère voyant cela et sous les coups de langue de Violaine hurla de plaisir. Daphnée s’approcha de moi et commença à me pomper en me tenant par les fesses. Puis nous fîmes un 69.

Violaine s’avança vers ma mère qui était assise, l’embrassa et en se relevant lui mit la tête sur son sexe. ma mère au lieu de reculer commença à lui introduire sa langue dans son sexe en écoutant les conseils de Violaine. mon père s’approcha d’elles, écarta les jambes de ma mère et commença à lui lécher la chatte et le cul. Nous entendîmes un petit bruit de plaisir sortir de sa bouche. Daphnée et moi regardions le spectacle offert par les trois autres.

Violaine arrêta et vint vers nous. Elle prit ma bite et commença à sucer tout en me caressant les boules. ma mère changea de position et prit enfin dans sa bouche la bite de mon père. Elle commença par lécher le bout du gland puis avala sa queue d’un seul trait. On voyait qu’elle aimait çà car ses yeux pétillaient de joie.

Mon plaisir arriva très vite, arrosa Daphnée et Violaine de mon sperme. Daphnée nous surprit car elle avala tout puis me lécha la bite et roula une pelle à Violaine. ma mère pompait toujours mon père en lui tenant les fesses. mon père lui indiqua qu’il allait jouir et, voyant ce que Daphnée avait fait, elle le branla, ouvrit la bouche et avala les jets de sperme puis nettoya sa bite.

Après un bon quart d’heure de repos, les femmes pour nous redonner la pêche commencèrent à se brouter le minou en cercle. En quelques minutes de spectacle, nous bandions de nouveaux. Après m’avoir muni d’un préservatif, Violaine vint vers moi et me demanda de la prendre en levrette, ce que je fis aussitôt. ma mère quant à elle fit s’allonger mon père pendant que Daphnée tenait sa bite bien droite puis, d’un coup, l’introduisit dans sa chatte et s’agita en poussant des cris.

Daphnée vint vers nous et commença aussi à la prendre en levrette pendant que Violaine lui caressait les seins. mon père fit changer ma mère de position et la prit en levrette et, après quelques coups dans son vagin humide, elle eut un orgasme si violent qu’elle s’écroula de bonheur. mon père s’attaqua à Violaine, la prenant dans plusieurs positions puis me demanda de la prendre en double pénétration. mon père étant par terre, il introduisit sa bite dans la chatte puis tout doucement j’introduisis ma bite dans son anus et s’étant synchronisé, nous commençâmes à la marteler et, au bout de quelques minutes, elle poussa un hurlement de plaisir.

violaine

Puis je me dirigeai vers ma mère pendant que mon père commençait à pilonner le sexe de Daphnée. ma mère m’accueillit en me pompant le nœud, puis se mit à quatre pattes afin que je puisse l’enculer en levrette. J’introduisis ma bite d’un seul coup et commença mon va-et-vient dans son trou intime puis m’allongeant par terre, elle s’empala sur mon sexe et s’agita comme une furie. M’arrêtant un instant, je demandai à mon père de venir et de prendre ma mère en double pénétration.

Violaine et Daphnée se mirent en 69 et commencèrent se lécher mutuellement la chatte et le cul. Je regardai ma mère se faire prendre et d’un coup m’approcha d’elle et introduit ma bite dans sa bouche. Sans problème, elle commença à me pomper. Je voyais ma femme prise par les deux bouts et elle aimait ça. mon père d’un coup s’arrêta et vint derrière moi me ploter les fesses, Je compris qu’il désirait m’enculer et me laisser pénétrer. Au bout de quelques minutes il prévint les filles qu’il allait jouir dans mon cul. Toutes les trois s’approchèrent de mon père qui les arrosa de son sperme. Chacune leur tour nettoyant le sexe gluant et pollué de mon père, puis d’un coup mon propre plaisir arriva et je leur crachai trois jets de sperme sur leur visage et dans leur bouche. ma mère s’approcha et me nettoya la bite. Elle le fait si bien !

Violaine, demanda où elle pourrait pisser. Ma mère lui fit comprendre qu’elle pourrait se soulager sur elle. Sans aucun complexe Violaine arrosa la bouche de ma mère, et c’est dans une ambiance de pure rigolade que l’on se mit à pisser les uns sur les autres.

Et voilà que l’on sonne… C’est le couple que nous avions invité.

– Nous sommes peut-être un peu en retard !
– Effectivement ! La fête est terminée, mais revenez donc demain… et à l’heure.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 4 mars 2023 6 04 /03 /Mars /2023 09:01

Nadège, ma mère de 55 ans par Elian Lvekman
Mat Stamp

Passant par le Limousin, j’en profitais pour faire une halte chez ma mère. Et après avoir déjeuner nous sommes allés faire une promenade digestive en forêt. Malheureusement, nous avons été surpris par la pluie et sommes rentrés en courant et trempés. Je me suis assis devant la cheminée, pour me réchauffer et ma mère est monté se changer dans la salle de bains. Elle est redescendue aussitôt car e chauffage de la salle de bain était déficient, elle a donc décidé de se changer devant la cheminée.

Elle est venue près de moi et a commencé à s’essuyer. Moi, je regardais la télé sans prêter attention à ce qu’elle faisait. Puis, elle a dû se pencher pour attraper sa serviette, et là, je l’ai vu… ses seins nus et fermes dont les tétons se dressaient légèrement, ses belles hanches, ses épaules sur lesquelles tombaient ses cheveux mouillés. Je ne l’avais jamais vu autrement que comme ma mère, et je me retrouvais soudain à l’admirer en sentant naître une érection que je ne pouvais empêcher. Je voyais la serviette frotter ses seins, doucement, ils roulaient entre ses mains alors que mon érection devenait de plus en plus forte. Elle m’a souri et m’a demandé :

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?

Je revenais soudain à la réalité et réalisais que j’étais en train de désirer ma propre mère. Je m’efforçais de me concentrer sur la télé, mais mes pensées me ramenaient sur elle: Nadège, ma mère de 55 ans, que je n’avais jamais comme une femme aussi excitante avec des seins magnifiques et fermes, des jambes superbes et ses yeux…! N’y tenant plus, je me retournais à nouveau vers elle: elle avait posé une jambe sur le rebord de la cheminée, tout près de moi. elle essuyait sa jambe et sa jupe se relevait petit à petit. La peau de sa jambe était à peine à quelques centimètres de ma bouche. Penchée, je pouvais voir ses seins bouger au rythme de ses gestes. Elle ne faisait pas du tout attention à moi, trouvant la situation très naturelle .Je ne pouvais plus décrocher mon regard de ce spectacle. L’atmosphère était bizarre ce jour-là .Elle m’a souri de nouveau et m’a dit :

– Dos donc, tu ferais mieux de regarder la télé au lieu de te rincer l’œil !

Son sourire a achevé de me troubler, et j’ai totalement oublié qu’elle était ma mère. Je lui ai pris la serviette des mains en disant

– Laisse, je vais t’aider !

Je commençais alors à l’essuyer, très lentement, et à chacun de mes mouvements je faisais remonter sa jupe. mon regard allait de ses cuisses à ses seins puis a son visage. Ses cuisses s’écartaient un plus et je pouvais très bien voir son slip.

– Qu’est-ce que tu fais ?

Son sourire avait disparu, mais elle me troublait toujours autant. Elle baissa son regard vers mon pantalon de survêt et, comme je n’avais rien en dessous, elle n’a pas eu de mal à comprendre l’effet qu’elle me faisait tant mon érection était forte.

N’oublie pas que je suis ta mère !

La serviette avait glissé et c’étaient maintenant mes mains qui frôlaient la peau douce de ses cuisses. sa jupe était presque tout à fait retroussée et mes doigts glissaient dessous, sur ces fesses rondes, fermes et si douces.

Ne fais pas ça. Il ne faut pas !

Je n’entendais plus. Ma joue frôlait maintenant ses cuisses, mes lèvres se délectaient de la peau sucrée et de la chaleur qui provenait de son slip.

– Non, arrête !

J’écartais son slip et voyais sa belle toison déjà toute humide. Je savais que plus rien ne pourrais m’arrêter, maintenant , et j’enfournais ma langue entre les lèvres de son sexe. J’aimais la sentir mouiller;! je la buvais carrément alors qu’elle n’arrêtait pas de répéter mon prénom en me disant d’arrêter. Je suçais son clito avec un appétit féroce, pendant que mes mains écartaient ses fesses et que mes doigts s’enfonçaient dans son anus. Elle répétait toujours mon prénom, mais sa voix était plus douce et plus saccadée. Mon visage, blotti entre ses cuisses, était ruisselant de son plaisir. Je n’en pouvais plus;! J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. je me relevais et plongeais mon regard dans ses yeux brillants de plaisir. Elle me dit une nouvelle fois d’arrêter, me rappelant qu’elle était ma mère. Mon sexe dressé frottait sur le sien au travers de mon survêtement. Je passais derrière elle et posais mes mains sur ses seins dont les tétons étaient durs. Ils se sont mis à durcir encore alors que je les faisais rouler entre mes doigts. Sa respiration était devenue très saccadée et sa tête tomba sur mon épaule. Je l’embrassais tendrement derrière ses lobes d’oreilles, dans son cou.

Je sentis alors sa main glisser dans le pantalon de mon survêt et ses doigts saisir mon sexe. Elle commençait à me masturber pendant que je caressais ses seins et son sexe. Ma bite glissait maintenant entre ses cuisses. doucement, elles s’entrouvraient. Puis elle posa une jambe sur le rebord de la cheminée et mon gland commença à rentrer dans son anus. tout doucement, centimètre par centimètre. Je la sentais respirer de plus en plus vite, ses lèvres pincées, pour se retenir encore. Alors je la pénétrais tout à fait, d’un coup qui lui arrachais un cri. j’accélérais mon va-et-vient alors qu’une de mes mains s’agrippait à ses seins et que l’autre écartait les lèvres de sa chatte. Elle relevait ses jambes et se penchait pour que je puisse m’enfoncer encore davantage. Ma bite entrait tout entière dans son cul. Elle poussait des râles de plus en plus fort. Je l’agrippais par les hanches et accélérais encore le mouvement.

J’étais tellement excité que je ne pouvais plus retenir mon sperme plus longtemps. Mon jus giclait entre ses fesses, sur ses hanches. D’un mouvement, elle se retournait et se mit à genoux devant moi. Sa langue nettoyait le sperme et le jus de mon cul qui coulaient de mon sexe. Elle suçait mon gland pour ne pas perdre une goutte. Puis elle pris ma queue à pleines mains et se mit à me sucer goulument. Je sentais mon sexe rouler sous sa langue, puis s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle me suçait si fort que j’ai eu l’impression que ma bite allait imploser. Mes râles devenant de plus en plus fort, elle comprit que j’allais jouir une nouvelle fois. Alors elle se releva en me souriant.

– Doucement, mon fils. Pas encore…

Elle s’assit sur le canapé en me faisant signe d’approcher. Elle prit ma bite dans ses mains et m’attira vers elle. Je me retrouvais à califourchon sur elle et elle glissait ma queue entre ses deux seins superbes, gonflés et durs. Elle pressait ses seins sur mon sexe et je commençais à le faire glisser vers sa bouche. A chaque fois que ma bite s’approchait de sa bouche, je sentais sa langue caresser mon gland devenu hyper sensible. J’adorais sentir la peau de ses seins sur celle de mon sexe ! Elle me sourit et me dit

– Maintenant , vas-y !

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J’accélérais le mouvement jusqu’à ce que je jouisse à nouveau et que mon sperme aille gicler sur sa figure, ses seins, sa poitrine, ses cheveux. Elle étalait mon jus sur son corps puis se léchait les doigts. Comme elle écartait ses jambes, je ne pus m’empêcher d’approcher mon sexe

– Oui, prends-moi… Fais-moi encore jouir…

A ce moment, je suis revenu à moi une fraction de seconde et je réalisais que je m’apprêtais à baiser ma propre mère, mais ses mains guidaient déjà ma queue vers son minou humide et mon désir repris le dessus: je me laissais guider et la pénétrais d’un coup. Ses jambes venaient bloquer mes hanches comme pour ne pas me laisser ressortir. Mais mon intention était toute autre alors que ma langue léchait ses seins encore imprégnés de mon sperme. Elle ne me disait plus d’arrêter, maintenant, mais au contraire d’aller plus vite, plus profond. Je m’exécutais avec joie en mordillant ses tétons devenus extrêmement durs. Elle remonta ses jambes et posa ses talons sur mes épaules, s’ouvrant totalement. Je la pénétrais entièrement et chaque fois que mes bourses venaient heurter sa chatte, elle poussait un cri qui m’excitait encore davantage. Finalement un flot de sperme jaillit de mon sexe alors que mon cri de plaisir se mêlait au sien

Nous sommes restés un long moment comme ça, l’un dans l’autre, puis nous sommes relevés. Une fois rhabillés, nous nous sommes longuement embrassés; elle m’a dit qu’elle avait rarement été aussi excitée puis m’a fait promettre de ne plus recommencer. Mais quelques temps après, c’est elle qui est venu me retrouver sous la douche et là….. Mais ceci est une autre histoire !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Vendredi 30 septembre 2022 5 30 /09 /Sep /2022 09:53

Les culottes de Tante Marie-Claire par Elian Lvekman
culotte rouge

 

Je suis Régis, 24 ans célibataire, mon physique de gringalet et mon allure efféminée m’ont valu maintes et maintes moqueries et humiliations. Mais j’ai su les surmonter, quand j’en ai eu marre qu’on me traite de pédé, je me suis dit qu’il n’y avait aucune honte à l’être, et par un défi que je me lançais à moi-même, je fréquentais les lieux gays, me régalant de bonnes bites dans ma bouche et dans mon cul. Je ne devenais pas gay pour autant, quelques professionnelles consciencieuses savaient s’occuper de moi comme il le fallait.

Mais j’avais un fantasme plus original… ce sera l’objet de ce récit.

C’était un jeudi après-midi, j’avais une demi-journée de récupération. Depuis quelque temps ma tante Marie-Claire souhaitait que je lui explique un certain nombre de bricoles sur le nouvel ordinateur qu’ils venaient d’acheter.

Pour moi c’était une excuse parfaite et j’avais déjà une idée claire en tête… me masturber dans ses petites culottes souillées ! En effet, ma tante me faisait fantasmer depuis plusieurs années, elle avait une croupe opulente mais cambrée et des gros seins lourds (100 D). Fausse blonde, ses cheveux ramassé en chignons et ses lunettes qu’elle portait en permanence lui conférait un air sévère qui n’était pas pour me déplaire. Cela ne l’empêchait pas d’être très douce dans sa voix et dans sa manière de me faire la bise et cela me faisait vibrer à chaque fois. De plus elle ressemblait à ma mère.

Elle était vêtue aujourd’hui d’une jolie robe gris ceinturée à la taille et laissant ses douces épaules découvertes. Mais ce qui m’excitait le plus c’était sa lingerie de femme mure, j’étais fétichiste des petites culottes depuis longtemps et depuis plusieurs mois j’adorais « mater » en douce ses jupes ou ses pantalons serrés… On pouvait en effet deviner les marques des élastiques de sa culotte, c’était exquis notamment la forme de l’entrecuisse où on voyait clairement le fond épais doublé de la culotte. Chaque fois qu’elle se baissait pour prendre un verre et me servir l’apéritif je ne pouvais m’empêcher de regarder ses fesses dans le miroir…

Me voilà donc parti pour enseigner quelques bidouilles à tata Marie-Claire. Mon oncle travaillait et c’est ma tante qui est venu m’accueillir à l’entrée du jardin, elle portait un tee-shirt en coton rouge qui moulait bien sa lourde poitrine et un pantalon noir en microfibre qui la mincissait un peu et la rendait encore plus craquante. Après la bise traditionnelle et quelques paroles d’usage elle me propose de boire un verre, malgré la chaleur pesante je le refusais. La raison de ce rejet ? Je voulais rapidement nous installer devant l’ordi et pendant que ma tante tapoterait, j’en profiterais pour aller à la salle de bain et fouiller dans le panier à linge. Je savais qu’elle faisait la lessive le samedi matin, comme nous étions jeudi cela faisait au moins cinq culottes portées à découvrir, hummmm !

Nous voilà assis côte à côte et je lui apprend quelques trucs, la présence de tante Marie-Claire à mes côtés m’excite et je jette un œil en douce sur sa poitrine dont les gros tétons dardent sous le tissu. La réaction ne se fait pas attendre mon sexe se tend dans mon slip. Je continue mes « leçons », ma tante qui était éloignée de la table se penche un peu en avant pour « titiller » la souris de l’ordinateur, moi je suis bien calé dans la chaise et j’en profite pour jeter un œil dans son dos… Lorsqu’elle s’est courbée en avant son pantalon taille basse est descendu et j’aperçois à la naissance de ses reins un bout de satin blanc avec un élastique à la taille surpiquée de dentelle… Mon sang ne fait qu’un tour, cette fois mon sexe est tellement dur qu’il déforme mon pantalon et je pose négligemment ma main dessus pour cacher mon trouble. Je distingue des plis importants sur le satin de la culotte, elle n’est pas tendue complètement sur ses fesses ce qui veut dire que la culotte est un peu grande pour elle et cela me surexcite davantage. Sentant que le moment était venu pour fouiller dans le panier à linge et que tantine « accrochait » sur un site de cuisine qui l’interessait particulièrement, je décidais de me lever prétextant un petit besoin naturel.

J’ai eu un peu de mal à marcher pour faire la dizaine de mètres de couloir qui me conduisait à la salle de bain car j’avais une très forte érection. Je pousse délicatement la porte et la referme derrière moi, un rapide coup d’œil sur le panier en osier qui contient le linge sale, il est plein ! J’ouvre l’eau du robinet de manière à ce que Marie-Claire ne se doute de rien, je soulève le couvercle du panier et commence « mes recherches », ma première prise : une culotte un peu large en coton blanc à petits pois bleu et rose, très « juvénile », avec de la dentelle à la taille. La 2ème et la 3ème était de couleur blanche en coton simple et je fus un peu déçu. Par contre mes deux dernières découvertes me transportèrent de bonheur et d’excitation mélangés, il s’agissait d’une culotte en satin blanc avec une perle sur le devant et de la dentelle aux côtés et sur la taille, ainsi que d’une culotte noire en nylon particulièrement douce avec des motifs à fleurs brodés sur le devant. Je deviens alors fou d’excitation et je porte la culotte noire à mes narines, elle sentait un peu fort mais rien de désagréable pour moi, dans le même temps je déboutonne mon pantalon de ma main presque libre avec laquelle je tenais la culotte en satin blanc. Je ne peux m’empêcher de regarder l’intérieur de la culotte de nylon noir où je trouve des traces de pisse, de mouille et de merde. Tout cela m’excite et je me mets à lécher la culotte pendant que je me masturbe avec la culotte blanche en satin, je suis au bord de l’explosion. Le goût de la pisse et de la merde m’enivre je ferme les yeux en gémissant…

Mais le temps s’écoulait et je n’avais pas fermé l’eau du robinet… J’entends une voix calme et ferme :

– Ben alors, on vient faire des cochonneries chez sa tata !

J’ouvre les yeux et regarde le miroir en face de moi, rouge de honte surpris en plein exercice de mon vice. Je restais avec ma culotte noire sur le nez et la blanche de satin sur le sexe que mes deux mains essayaient de cacher. Marie-Claire se rapproche, que va-t-il se passer, je n’ose plus penser, mon érection commence à retomber.

– Allez, je vais te traiter comme tu le mérites, petit salaud !

Marie-Claire passe derrière moi et saisit mon pantalon à la taille que j’essayais de reboutonner maladroitement, elle le baissa d’un coup sec à mes pieds. Je n’ose même plus bouger je ne comprends pas ce qui m’arrive, sa main flatte mes fesses sur mon slip puis s’infiltre sous l’élastique, elle passe délicatement un doigt dans la raie de ma croupe et d’un coup je me remets à bander encore plus dur, je suis rouge de honte et incapable de décrocher un mot.

– T’aimes ça mon doigt dans ton cul, hein, pédale ?
– Euh…. Balbutias-je, incapable de sortir un mot.
– Tu préférais peut-être une vraie bite, tiens ça me donne une idée, je vais demander à Tonton Marcel de t’enculer…
– Mais tata…
– Si, si je trouve l’idée excellente et avant tu vas bien le sucer. Il sera content, depuis le temps qu’il fantasme sur tes petites miches !

Marie-Claire continue de me palper les fesses dans le slip puis d’un seul coup me l’abaisse aux chevilles, d’un geste autoritaire elle me fait lever chaque pied pour dégager mon slip puis elle m’enfile la culotte de satin blanc sur les fesses. Mon érection est terrible et lorsque ma tante remonte délicatement la culotte sur mes fesses et l’ajuste, je ne peux m’empêcher de fermer les yeux, mon sexe sort de la culotte en tendant l’élastique à la taille. Marie-Claire m’ordonne alors de me branler devant elle, face au grand miroir, pendant ce temps elle lisse le tissu de la culotte sur mes fesses, le contact est doux et je commence alors mon va-et-vient. J’ai comme l’impression que ma tête va exploser, puis ma tante commence à me donner la fessée par dessus la culotte.Marie Claire

– Ecarte bien tes cuisses petit cochon vicieux ! me dit-elle

Son emprise était telle que j’obéissais sans broncher. Il ne m’a fallu que quelques claques sur les fesses pour jouir en gémissant fortement et en accompagnant des mouvements de mon bassin plusieurs jets de sperme qui s’écrasèrent sur le miroir, sur mon bas ventre et la culotte… »

– Déjà ? Se désola Marie-Claire. Nettoie les saloperies que tu as faites sur le miroir !

J’allais chercher de quoi essuyer, mais Marie-Claire m’interrompit !

– Non tu nettoies avec ta langue !de pédé !

Je m’exécutai et rendais le miroir vierge de toute race de sperme

Maintenant, je vais t’enfermer dans le placard à balais, le temps que tu récupères et ensuite je vais te faire faire plein de choses cochonnes ! D’accord petit pédé ?
– Oui Tata !

J’aurais bien sûr pu m’enfuir, mais je n’y pensais même pas.

Un quart d’heure plus tard, j’entendis des bruits de conversation. Tonton Marcel venait de rentrer. Ma tante me libéra, et je me retrouvais devant mon oncle, débraguetté, la bite à l’air.

– Alors mon neveu ! On vient faire des cochonneries chez sa tante ?
– C’est comme une pulsion… tentais-je.
– Avec les pulsions on peut justifier n’importe quoi ! Viens me sucer la bite !
– Oui Tonton.

Il avait un bel engin, j’approchais ma bouche, sa bite sentait la sueur et l’urine. Je respirais un grand coupe et de la langue je suçais l’extrémité du gland.

– Prends tout dans la bouche, pédale !

Pourquoi faire ça à la barbare quand on peut raffiner ? Toujours est-il que j’y allais de mes allers et retours en cadence. Le tonton appréciait mais me fit lâcher prise au bout de cinq minutes.

– On arrête la pipe, c’est dans ton cul que je veux jouir !

Qu’à cela ne tienne, je me mets en position.

– Non avant on va te faire une petite surprise ! Me dit Tata Marie-Claire

Et la voilà qui me prend par la main et me conduit jusqu’aux toilettes. Elle ne s’assoit pas sur la toilette, mais s’accroupit au-dessus afin que je puisse bien voir ce qui va se passer.

Je n’ai pas été déçu, d’abord un joli jet de son pipi doré qui me donna l’eau à la bouche, mais ce n’était d’un prélude, je la vit pousser jusqu’à ce qu’un étron bien moulé sorte de son gros cul avant d’aller se noyer dans la cuvette dans un « plouf » peu discret.

Elle ne s’essuya pas, puis avisant une culotte propre qu’elle avait réservée, elle l’enfila, puis de ses mains appuya dessus afin qu’elle s’imprègne de l’urine et de la matière non essuyé..

Je commençais à comprendre ses intentions et bandais comme un cochon.

Mon oncle me demanda de m’arcbouter contre le lavabo, et m’encula. Pendant ce temps ma tante m’offrit sa culotte qu’elle venait de souiller en m’intimant l’ordre de lécher tout cela convenablement.

De la pisse et de la merde bien fraiche à lécher, une bonne bite dans mon cul ! C’est la fête !

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 21 mai 2022 6 21 /05 /Mai /2022 07:06

Ma soumise, ma mère et son chien par Elian Lvekman
Spanking

 

Nous sommes samedi et c’est la fin de l’été.

Mon téléphone sonna. Je regardais la pendule, il était 16 h 30

– Je te téléphone comme convenu ? M’annonça une douce voix féminine.
– Oui !
– Je t’envoie quelques instructions par SMS. Tu devras être là à 18 heures précises, sinon tu seras punie.

Il y avait 12 mois que je connaissais ‘Bénédicte, une petite bourgeoise fraichement divorcée qui avait passé une annonce à la recherche d’un maître. La trentaine, brune aux cheveux longs, légèrement potelée, jolie poitrine. Au bout de 6 mois je pouvais lui demander pratiquement tout ce que je voulais, elle obéissait comme une bonne soumise. Ce soir, après s’être préparée selon mes volontés, elle devra prendre le bus qui 15 minutes plus tard la déposera au bas de chez moi.

Je l’attendais vêtu d’un simple robe de chambre. La pendule indiquait 18 h 02 quand j’entendis le bus s’arrêter. 3 minutes plus tard la sonnette m’avertit de la présence de mon invitée. j’entrouvris la porte et elle pénétra dans l’entrée. Elle était vêtue d’un imperméable fermé à l’aide d’une ceinture.

– Tu es en retard ! Salope !
– Oui.

Elle ne cherchais même pas d’excuse. Je la giflais plusieurs fois de suite, puis lui ayant ordonné d’ouvrir la bouche je lui crachais plusieurs fois à l’intérieur.

– Ce n’est qu’un avant-goût ! Tu le sais !
– Oui, je mérite d’être punie.
– En effet, mais avant, fais-moi voir si tu as bien suivi mes instructions.

Elle défit la ceinture de l’imperméable, les deux pans s’écartèrent laissant voir son corps nu, ses seins lourds pendaient, ses tétons portaient chacun une pince à linge.

– Retire-moi cet imper, lève les bras et tes cuisses de pute !

Sur chaque lèvre de son sexe qu’elle avait parfaitement épilé une pince à linge pendait.

– Mais, il manque la pince sur ton clito !
– Oui… je ne pouvais pas la supporter… alors je l’ai enlevée en attendant le bus.
– Soit ! Mets-toi au milieu de la salle ? Les mains au-dessus de la tête.
– Comme ceci ?
– Non ! Mets-toi à genoux. Et ouvre la bouche ! Tu sais ce que je vais faire ?
– Oui, tu vas me pisser dessus !
– Je me demande si c’est vraiment une punition ! Tu aimes boire ma pisse ?
– Oui, ta pisse est délicieuse !
– Et si je te chiais dessus ?
– Je ne sais pas, mais je veux bien essayer !

Je ne sais pas si je ferais ça un jour, mais pour l’instant, il faut que je pisse.! Mon jet est dru, je vise ses seins qui se recouvrent de ma liqueur dorée, Bénédicte se tortille pour en recevoir dans la bouche. Manifestement elle se régale ! Quelle belle salope !

Je m’approchais d’elle et caressais ses fesses, elles étaient fermes, bien rebondies et sensibles. Je plaquais ma main sur une fesse que je pétris fermement cherchant le petit cri de douleur qu’elle allait émettre mais il ne vint pas. Elle était en forme ce soir !

– Ouvre les cuisses !

Passant une main par derrière je remontais vers les grandes lèvres écrasant au passage les deux pinces à linges, elle sursauta mais ce fut tout. Je plongeais mon index dans son intimité à la recherche d’une humidité suspecte.

– Tu mouilles déjà ?

Pinces2911De l’autre main je caressais ses seins effleurant les tétons prisonniers, je la retournais pour mieux lire son visage tandis que mes doigts pinçaient le bout des pinces accentuant ainsi la pression, un cri jaillit. Je plaquais ma bouche sur la sienne pour recueillir cette douleur tandis que je tripotais ses seins encore plus fort, je vis naître au coin de ses yeux deux larmes que du bout de la langue je léchais avant de relâcher mon étreinte.

– Reste comme ça, cuisses écartées et mains sur la tête.

Je défis une à une toutes les pinces, je lu dans ses yeux toute la violence qu’elle se faisait pour ne pas gigoter.

– Tu restes comme ça, défense de bouger ! Tu te souviens du mot de sécurité ?.

Elle me regarda bien en face :

– « Ours bleu »… mais ne compte pas trop sur moi pour l’utiliser un jour.

Ce petit mot convenu entre nous était le signal d’arrêt de nos jeux, si un jour elle le prononçait j’arrêterais immédiatement la séance car à ce moment la douleur ou l’humiliation serait à la limite du supportable.

– Maintenant tu vas être punie pour ton retard, pour cinq minutes dix coups de martinet, devraient faire le compte ! Debout, chienne !

Je pris sur une desserte un martinet avec trois longues lanières de cuir de 2 centimètres de large. Je me plaçais derrière elle et les lanières vinrent s’enrouler sous son aisselle droite effleurant de l’extrémité la naissance du sein, je frappais de même sous l’aisselle gauche. Elle se plia sous le coup et poussa un petit cri.

– Silence !

J’attendis un moment, qui lui parut très long avant de faire un aller-retour : aisselle droite, aisselle gauche .Elle rabattit ses bras le long de son corps pour se protéger. Je lui fit faire demi-tour, elle gémissait.

– On se calme ! Je te signale que ta punition n’est pas terminée, mais tu peux te rhabiller et foutre le camp !
– Oh NON, NON ! Je suis à toi ! Dit-elle en mettant ses mains derrière sa tête.

Brave fille !

La regardant bien en face, je fouettais le dessous de ses deux seins; aux creux de ses aisselles des marques rouges naissaient, je marquais encore sa chair, quand les lanières vinrent s’enrouler autour des mamelons, elle chercha à se protéger en plaquant ses mains sur ses seins.

– Derrière la tête ! Morue !

Elle gémissait et des larmes coulaient sur ses joues.

– Offre-moi tes seins !

Elle hésita puis bomba sa poitrine, ses tétons érigés tendaient les pinces vers l’avant. je levais le martinet et avec une certaine douceur les lanières s’enroulèrent autour de la pince gauche, je relevais le bras et de nouveau le cuir lécha la pince droite. Elle partit dans un hurlement, se plia en deux, serra ses seins dans ses mains, ses cuisses se serrèrent et une houle s’empara de son ventre tandis qu’un liquide se répandait sur ses cuisses. Je la laissais récupérer contemplant son jolie corps maintenant strié de trainées rougeâtres.

– Bien, maintenant ta punition pour la pince que tu as oubliée sur ton clito… j

J’hésitais un moment lisant une frayeur feinte sur son visage.

– Que dirais-tu d’une masturbation avec les doigts de crin ?
– Oh ! NON ! Pas ça, ça fait trop mal !
– Si, on va faire ça et en plus je vais poser une pince sur ton clito ! Approche !

Elle avança de quelque pas, son sexe était à portée de main. J’écartais les grandes lèvres et dépliais les petits lèvres repliées. Je décapuchonnais le clito et le roulait entre pouce et index, son ventre se tendait sous cette caresse comme pour que je l’accentue. le clito gonflait et durcit quand je fis aller et venir le capuchon. De la main gauche je préparais une pince à linge, tirait le capuchon le plus en arrière et posais les mâchoires à la base du petit organe.

– Aie ! Aie ! Ah ! J’ai mal !
– Ta gueule !

J’observais le visage de Bénédicte , je pouvais lire toute la douleur qu’elle ressentait, elle se mordait les lèvres pour retenir le moindre cri.

– Enfile ce gant ! (un gant de crin avec cinq doigts.)

– Allez caresse toi, tu dois te faire mouiller sinon, ce ne sera pas une autopunition, je devrais t’attacher sur la table et je pense que mes caresses ne seront peut-être pas si douces que les tiennes. Commence par l’intérieur de tes cuisses !

Le gant glissa sur la peau douce, laissant derrière lui des traces rouges, elle se pencha guidant sa main vers ses fesses irritant son périnée avant de revenir sur ses cuisses.

– Ton ventre maintenant !

Elle remonta vers ses hanches pour revenir sur son pubis, sa chair se colorait de rose au fur et à mesure de ses attouchements.

– Pénètre toi !

Elle hésita, me regarda et sa main se posa sur ses lèvres; elle eut un mouvement de recul. Le gant écrasa sa vulve, écartant les grandes lèvres pour venir se poser sur l’intérieur. Un cri s’échappa de sa bouche quand le crin irrita le clito et écrasa la pince. Elle retira sa main brusquement. Je guettais cet instant depuis un moment, m’emparant de sa main je la guidais à l’intérieur de sa vulve, obligeant à enfoncer ses doigts de crin. Elle ne la retira pas et poursuivit sa caresse enfonçant son doigt gainé entre les petites lèvres remontant vers le clitoris qu’elle excitait avant de ressortir, de frotter ses grandes lèvres et replonger entre ses petites lèvres pour un nouveau voyage.

Sur son visage je pouvais lire à chaque instant la partie de son intimité qu’elle caressait, ses lèvres étaient gonflées par les morsures qu’elle s’imposait et ses yeux s’embuaient de larmes. Je jugeais qu’il fallait que la caresse cesse, je repris sa main et la retirais de son ventre, mes doigts se mirent à glisser sur la peau rouge, mon index s’enfonça entre ses lèvres déjà lubrifiées par une mouille abondante. Je pénétrais profondément. A peine l’avais-je effleuré que tout son ventre frémit, un flot de cyprine coula sur ma main, dans sa vulve dilatée j’enfonçais trois doigts, elle balança alors son corps de gauche à droite en un mouvement de toupie. Brusquement elle gémit, poussa de petits cris de plaisir mêlés de douleur. Je dû accompagner sa chute vers le sol tant la vague qui l’emportait était violente.

Tandis qu’elle continuait de s’agiter sur le plancher, je caressais ma bite dure comme du bois, ce corps m’excitait, ces seins me donnaient des envies folles, ses fesses dures et rondes ne demandaient qu’à rougir davantage, à l’idée des extrêmes que je pouvais lui imposer ma branlette se fit plus violente. Ses gémissements me sortirent de ma rêverie. Je l’aidais à se relever.

– C’était horrible, mais je n’ai jamais joui ainsi ! Tu recommencera, dis ?
– On verra, pour l’instant viens te mettre à genoux et tu me suceras

Elle aimait sucer, mais pas comme je le désirais. Si elle préférait agir sur le gland et se livrer à des allers et retour rapides, je préférais quant à moi qu’elle me prenne la bite entière dans sa bouche.

Je m’emparais de deux pinces à vis terminées par une poignée. Je posais les mâchoires à la base de chaque téton, serrait la vis, le téton devenait alors gros comme une noisette. Une fois à genoux je prenais une poignée dans chaque main et tandis que sa langue glissait sur mon gland je tirais plus ou moins fort sur ses tétons pour la forcer à engober davantage. Quand le plaisir approcha du point de non-retour je la repoussais. Je pris la laisse qui la reliais à moi par la pince sur le clito.

– Mets-toi à quatre pattes !

Je fis passer la lanière entre ses cuisses remontant ainsi entre ses fesses.

– Ouvre tes fesses !

Elle écarta ses deux monts dévoilant son petit trou et sa rondelle.

– Pousse !

Comme elle ne s’ouvrait pas assez rapidement je tirais sur la laisse

– Aie !

Je poussais mon index dans son petit trou lui imprimant un mouvement de rotation, peu à peu elle s’ouvrit. A genoux derrière elle, tenant ma queue d’une main je retirais mon index que je remplaçais par mon gland .A peine dut-elle le sentir qu’elle propulsa son cul en arrière s’empalant elle-même. De la main je caressais sa vulve excitant son clito, de l’autre main j’excitais ses tétons. Elle animait son cul d’avant en arrière ce qui nous amena à une jouissance violente quasi simultanée.

Allongée sur la moquette, sa tête posée au creux de mon bras je caressais son sein excité par les gémissements qu’elle émettait quand je pinçais son bout.

– Tu recommenceras ! J’adore ce que tu me fais !
– On va se reposer un peu, ce n’est pas tout à fait terminé. J’ai une petite surprise.
– Je suis épuisée…
– Je sais mais je vais te présenter quelqu’un.
– Non, on avait convenu qu’il n’y aurait jamais de tierce personne. Est-ce que je dois dire le mot de sécurité ?
– Tu fais ce que tu veux, mais je serais à ta place j’attendrais un petit peu.

Et le carillon de la porte d’entrée retentit. (On apprécier le timing !)

– Tu te mets à genoux et tu ne bouges pas !

Je craignais qu’elle utilise le mot de sécurité d’un moment à l’autre, mais apparemment elle avait décidé d’attendre.

Je fis entrer ma mère qui tenait en laisse Kogal, son grand labrador.

– Je te présente ma mère !
– Ta mère ? Quoi ? Mais tu es complètement malade !

Elle tente de cacher sa nudité, se lève, enfile ses chaussures et son imperméable, prend son sac à main et se dirige vers la porte.

– On peut peut-être discuter ? Tentais-je.
– Non mais tu t’es vu, espèce de dépravé, tu reçois ta mère, la bite à l’air et tu n’as même pas honte !
– Tu te crois bien placée pour parler de dépravation ?
– Ça n’a rien à voir !

Elle ouvre la porte, elle va la franchir, je ne la verrais sans doute plus. Elle n’a pas prononcé le mot de sécurité, mais qu’importe, j’ai joué et j’ai perdu.

Elle semble hésiter à sortir, et là elle me bluffe, elle ne sort pas, referme la porte, revient, retire ses chaussures, enlève son imper et se remet à genoux.

– O.K. j’ai juste envie de voir jusqu’où tu oseras aller !

– Elle est bien jolie, ta soumise, mais qu’est ce qui lui a pris ? Je lui ai fait peur.? Me dit ma mère.
– Disons qu’elle a été un peu surprise !
– Mais dis donc, tu bandes comme un cochon !

Ma mère me prend la bite avec sa main et me la branle quelques instants.

– Je vais te sucer un peu, Mademoiselle, ça ne vous dérange pas que je suce mon fils devant vous, je ne voudrais pas que vous soyez jalouse.
– Je vous en prie, faites comme bon vous semble, je ne suis qu’une esclave. Mon avis n’a aucune importance.

Ma mère se baissa et me prit en bouche après m’avoir bien décalotté, puis commença une série d’allers et retours rapides qui me provoquèrent de délicieux frissons.

– Viens-là toi, l’esclave, on va le sucer à deux.

Bénédicte s’approcha et c’est donc deux bouches vicieuses qui s’occupèrent de mon chibre, le léchant, se le repassant en un ballet torride.

A ce rythme,, je ne pu me retenir longtemps et laissais jaillir mon foutre en un jet puissant maculant le visage de ces deux débauchées.

Les deux femmes s’échangèrent ensuite un baiser profond, un baiser au gout de sperme.

– Humm ! Ça m’a trop excité, tout ça ! Dit ma mère. Dit à ton esclave de venir me lécher la moule !
– Tu as entendu, esclave !

Ma mère se déshabille. A 50 ans c’est encore une très belle femme, le visage n’est pas abimé éclairé par ses beaux yeux bleus et encadré par une chevelure blond cendré.

Elle se déshabille prestement, dévoilant sa jolie poitrine aux tétons arrogants. Je ne peux m’empêcher de venir y poser ma bouche vicieuse.

– Du calme, mon fils, si tu es sage, tout à l’heure tu pourras m’enculer. D’ailleurs il conviendra sans doute de vérifier les lieux, esclave, passe derrière moi et vient me renifler le trou de mon cul.

Bénédicte obtempère et vint humer l’anus de la mère.

– Alors il sent comment, mon trou du cul ?
– Un peu fort, madame !
– Parfait, au moins tu es franche, passe devant, attends, je vais m’allonger sur le canapé et toi tu vas venir entre mes cuisses. Et tu as intérêt à me faire jouir.
– Oui madame !
-Tu as déjà léché beaucoup de chattes ?
– Non, madame !
– Ce ne sera pas la première fois, tout de même ?
– Si, madame !
– Bien, il faut bien commencer un jour ! Alors vas-y et si tu te débrouilles mal, tu sera punie, on est d’accord ?
– Oui, madame.

Quelque chose me dit que quel que soit le résultat, Bénédicte écopera d’une punition.

– Tu me lèches bien la chatte et quand je te le dirais tu t’occuperas de mon clito.

Je n’ai pas vu si souvent ma mère se faire gouiner, mais j’avoue que le spectacle est fascinant, et la différence d’âge entre les deux femmes ajoute à l’excitation.

– Caresse moi les nichons en même temps, non pas comme ça, pince-les,… Plus long tes coups de langues… comme ça oui, un peu plus vite… Aaah, tu vas me faire jouir, salope ! Le clito, le clito…

Une minute plus tard, ma mère jouissait libérant un geyser de mouille. Bénédicte se redresse se demandant ce qu’elle doit maintenant faire.

– Reste assise sur le bord et écarte les jambes, il va peut-être se passer quelque chose

Ma mère prélève un peu de sa mouille qui dégouline pour la déposer sur la chatte de Bénédicte qui se laisse faire, passive.

– Kogal, viens mon chien !

Il arrive à toute vitesse, pose son museau entre les jambes de sa maîtresse et se met à lui lécher l’entre-cuisse sans autre préambule.

– Oh ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Bénédicte.
– Ben quoi ! Il y a un souci ? Demande ma mère avec une moue malicieuse.
– Je ne sais pas…
– Eh bien, regarde bien, parce qu’après ça va être ton tour.
– Non pas ça !
-Il ne va pas te mordre, il est très gentil !
– Mais…c’et un chien !
– Ben oui, c’est un chien , tu es très observatrice.
– Je ne peux pas faire ça !
– Laisse-toi faire ! Et d’ailleurs c’est un ordre ! Intervins-je.
– Si c’est un ordre, je veux bien essayer !

Ma mère fit alors en sorte que le chien change de partenaire, et celui-ci se mit à laper d’abondance la foufoune de Bénédicte.

– Oh, la la ! Qu’est ce vous me faites faire ! Je suis vraiment une trainée.
– Ça ne fait de mal à personne ! Répondit ma mère. Couche le chien ! Me demanda-t-elle, que je puisse lui sucer la bite !

Bénédicte ouvre la bouche, stupéfaite, mais incapable de sortir un son. Ma mère branle quelques instants la bite du chien qui ne tarde pas à sortir droite de son fourreau, puis l’embouche avec une expression de défi.

– Vous n’allez pas me demander de faire ça ? Bredouille Bénédicte.
– Tu nous as bien dit que tu étais une trainée ?

Elle ne répond pas, mais je crois qu’elle devine à peu près ce que je vais lui dire.

– Eh bien ! Repris-je, si tu es une trainée, tu dois sucer la bite du chien !
– Est-ce un ordre ?
– Oui !

Bénédicte prend une profonde aspiration, puis se baisse pour venir à côté de ma mère. Elle est maintenant toute proche de la bite, elle hésite croise mon regard en sachant bien que je ne lui serais d’aucun secours. Alors quand ma mère lui tend l’organe, elle ferme les yeux et l’embouche. C’est comme on dit le premier pas qui compte, les deux femmes se repasse le membre viril à tour de rôle, font quelques pauses pour s’embrasser à pleine bouche.

Ma mère se relève, puis s’installe en levrette sur la canapé, les cuisses écartées, les fesses offertes ! Qu’elle est belle ma mère offrant ainsi tous ses trésors. Je bande de nouveau comme un cerf, je m’approche pour l’enculer.

– Non d’abord le chien !.

Bénédicte m’a demandé la permission d’aller boire un verre d’eau. Quand elle revient elle a devant ses yeux le spectacle de ma mère se faisant couvrir par le labrador.

Je crains une réaction négative, et il n’entre pas dans mes intentions de demander à ma soumise de l’imiter. Mais non, elle paraît subjuguée par le spectacle de ce vit qui entre et qui sort du vagin de ma mère à une cadence infernale.

Ce fut à mon tour d’âtre subjugué, Bénédicte vint se placer à côté de ma mère dans la même position qu’elle. Du coup le chien sans que je sache pourquoi se décolla de ma mère pour venir saillir ma soumise. Du coup, je m’approchais une nouvelle fois de ma mère et je l’enculais.

Bientôt le salon s’emplit de nos cris de jouissance tandis que flottait dans l’atmosphère une odeur de foutre.

– Ça va, j’ai été assez salope ? Me demande Bénédicte.
– Tu es formidable, je t’adore.
– Je l’ai fait pour toi, j’espère que tu me garderas longtemps comme soumise.
– Ne t’inquiètes pas ! J’avais plus ou moins prévu qu’on fasse une petite bouffe tous les trois, je peux commander des pizzas, ça te dis ?
– Pourquoi pas, ça donne faim, tout ça !
– Tu n’as que ton imper pour t’habiller, je vais te prêter un peignoir.
– Je peux lui embrasser le seins avant qu’elle ne les planque ? demande ma mère.
– Mais c’est à elle qu’il fait le demander, pour l’instant le jeu est fini, ce n’est plus ma soumise… jusqu’à la prochaine fois.
– Bien sûr que tu peux me lécher les seins, mordille-les un peu, j’aime bien qu’on me fasse un peu mal.

Et les deux femmes d’étreignirent avec infiniment de tendresse

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 14 mai 2022 6 14 /05 /Mai /2022 14:51

Tante Viviane par Elian Lvekman
Stamp Mature Sodo

Je me présente je m’appelle Jérôme et l’histoire que je vais vous raconter date de l’année de mes 19 ans. Mes parents devaient déménager suite à une mutation, mais ne voulant pas que je quitte l’établissement où je suivais mes études, ils me proposèrent d’aller loger chez ma tante Viviane. J’étais aux anges car j’ai toujours fantasmé sur elle et j’allais pouvoir l’admirer tous les jours et j’espérais bien en petite tenue. C’était une magnifique femme de 45 ans, divorcée, une vraie rousse mais surtout possédant un cul de rêve et sans parler de son opulente poitrine. Ma tante avait deux fils. Le plus grand était marié, le plus jeune, Alexis avait un an de moins que moi et était de bonne compagnie. C’est pourquoi j’étais ravi de passer cette année chez eux.

J’arrivai donc à la fin de l’été chez eux. Je devais dormir dans la même chambre que mon cousin car elle était sous les toits et c’était la plus grande. Elle possédait dans un coin un bureau avec ordinateur et aussi de l’autre côté de la pièce un vieux canapé et télé, lecteur de DVD et console de jeux. Le rêve ! Je m’installai donc dans cette chambre. Nous parlions souvent de nos copines respectives et nous comparions la taille de leur poitrine.

Et le soir même alors que ma tante était couchée, mon cousin Alexis sortit d’un recoin une vidéo porno.

– Ça te dit de mater un film de boules ?
– Pourquoi pas ?

Il introduit le film dans le lecteur et on s’est installé sur le canapé. La vidéo commence fort par une scène où une belle blonde à forte poitrine prodiguait une pipe d’enfer à un mec super bien monté. c’était très excitant et je fus bien vite à l’étroit dans mon caleçon. Je voyais mon cousin qui ne tenait pas en place, il devait être dans le même état que moi.

– Je me branlerais bien la queue ! Lui dis-je.
– OK. Moi aussi, on va se branler tous les deux !

Au début c’était bizarre de faire ça l’un à côté de l’autre et puis en regardant le film on s’accoutume. On a fini par éjaculer dans des kleenex pendant le film. Avant d’aller se coucher je lui demandais des détails sur la poitrine de sa mère car il savait mon attirance pour elle.

– Elle n’est pas très pudique, quand elle va dans la salle de bain, elle ne ferme par la porte, pareil pour les toilettes, elle fait ses besoins sans fermer la porte.
– Tu dois t’en foutre plein la vue !
– C’est un peu délicat, quand je la vois comme ça, je bande, et je n’ai pas envie qu’elle s’en aperçoive ! Me dit-il en rougissant quelque peu.

J’eu quand même l’impression qu’il me cachait une partie de la réalité. Mais je n’insistais pas ne souhaitant pas le mettre mal à l’aise

On était super excité et après m’avoir confié que Viviane dévoilait ses seins à la plage, il me demanda si ça me dirait d’aller à un plan d’eau demain avec sa mère. Je lui répondis vite oui en espérant pouvoir voir ses seins.

Puis il sortit de nouveau sa bite et commença à s’astiquer de nouveau. Je le regardais faire, et mes yeux restaient scotchés sur son beau chibre. Je ne sais pas ce qui m’a pris, sans doute mon état de grande excitation mais je lui demandais si je pouvais le branler il accepta sans hésitation. Ma main empoigna son engin, c’était vraiment une sensation bizarre de serrer une autre bite que la sienne. Je commençais de petits va-et-vient, puis des mouvements de plus grande amplitude, pendant ce temps il sortit ma queue et fit de même. On calqua nos mouvements l’un sur l’autre pour être au diapason, c’était super. Puis d’un seul coup je vis Alexis me lâcher la bite, s’accroupir et d’un seul coup engloutir mon engin dans sa bouche. C’était surréaliste cette sensation de chaleur, je n’avais jamais connu ça, et voir mon cousin à genoux devant de moi… humm. Il ressortit ma bite pour dire qu’il en avait envie depuis un moment mais qu’il avait peur de ma réaction, mais que le désir l’avait emporté et que c’était trop bon. Puis il donna quelques coups de langue de bas en haut tout le long avant de gober juste le gland. C’était merveilleux. Je lui demandais d’arrêter et on inversa les rôles. Quelle douce sensation que de sentir cette bite dans ma bouche, et plus j’aspirai son gland plus j’avais l’impression qu’il gonflait. On décida de s’allonger pour faire un 69

Au bout d’un moment je lui dis d’arrêter car j’allais venir et il aspira de plus belle et je déchargeai au fond de sa gorge. Il eut l’air d’apprécier et sans me prévenir il fit pareil.

– C’était bon ? Demanda-t-il
– Super !
– La prochaine fois tu aimerais qu’on s’encule ?
– Je ne l’ai jamais fait mais j’aimerais bien essayer !
– Hum ! Ma bite dans ton petit cul, ça va être génial !
– Tu l’as déjà fait, toi ?
– Oui, avec mon frère !

Le lendemain avec Alexis nous nous sommes réveillés tôt. Nous avions dormi nus et notre érection matinale était au maximum. Alexis me flatta les fesses.

– Je vais te sucer un peu et ensuite j’aimerais que tu m’encules.

Il suçait bien, ce cochon et quand ma bite fut bien raide il me tendit une capote et me présenta son croupion.

– Lèche un peu avant ! J’adore ça !

Je n’avais encore jamais léché l’anus d’un mec, mais trouvait ça bien agréable. Lorsqu’il fut bien humecté, je m’encapotes et approchais mon gland se son trou intime. J’entrais avec facilité, preuve que mon cousin devait avoir l’habitude de ce genre de privauté. La situation m’excitais et je jouis rapidement tandis que mon cousin râlait de plaisir.

– Dès qu’on aura l’occasion, on inversera les rôles ! Me prévint-il.

En arrivant dans la cuisine, je vis ma tante qui était en nuisette noire très courte qui laissait voir ses magnifiques jambes et on pouvait apercevoir sa généreuse poitrine (du 95 C) mal dissimulée sous la dentelle. Nous primes le déjeuner tous trois. Plus je regardais ma tante plus une bosse se formait dans mon short, je la voyais croiser et décroiser les jambes. Je ne sais pas si elle le faisait exprès mais en tout cas ça m’excitait au plus haut point. Je fis tomber volontairement ma petite cuillère sous la table et m’empressais d’aller la récupérer pour mater les cuisses de ma tante. Une fois sous la table je regardais en direction de l’entrejambes de ma tante et je fus scotché en voyant ces cuisses grandes ouvertes avec une vue sur un magnifique string blanc sous lequel on distinguait ses lèvres intimes. Je me suis relevé vite pour ne pas éveiller les soupçons. Ensuite la fin du petit déjeuner se passa sans incident. Ma tante se leva avant nous, ce qui me permis de voir son magnifique cul.

Quand elle fût partie, je demandais à mon cousin si elle était dans cette tenue tous les matins, il me répondit qu’oui et que c’est dans ces moments-là qu’il bandait et il me donna la confirmation en sortant son engin. Je l’empoignais et lui appliquais quelque va-et-vient. Mais j’arrêtai bien vite de peur de nous faire surprendre. Nous allâmes nous installer dans sa chambre devant la console et au bout d’un moment ma tante monta nous voir. Quand je la vis apparaître je fus tétanisé, elle était splendide dans sa robe blanche d’été, on voyait pointer ses tétons, preuve qu’elle ne portait pas de soutif mais aussi par transparence on voyait son string, blanc lui aussi.

– Que voulez-vous faire aujourd’hui ? Nous demande ma tante
– On en a parlé et on aimerait bien aller au plan d’eau pour pouvoir se baigner et profiter du soleil.
– Très bonne idée, et ça vous dit un pique-nique ?
– Super !
– Très bien je vais faire des courses et quand je reviens, soyez prêts.

Et sur ce elle nous laissa. Je filai vite fait dans la douche pendant que mon cousin préparait nos affaires et ensuite nous avons échangé nos places. Et quand ma tante Viviane revint nous étions prêts à partir. On chargea les affaires dans le coffre et on se mit en route. Alexis me laissa monter devant et je pus ainsi mater les cuisses de ma tante car sa robe remontait beaucoup

– Où nous emmènes tu, maman ? demande Alexis
– Sur le même lac que d’habitude mais pas sur la plage. Je connais un endroit retiré où on sera plus tranquille pour pique-niquer et on pourra quand même se baigner.

Pendant tout le trajet je regardais ses cuisses qui me fascinent mais le problème c’est qu’en short on voit tout de suite mon érection et j’ai peur que ma tante s’en aperçoive. Donc j’essaye de ne pas trop regarder et enfin on arrive, ouf. Je sors vite de la voiture pour la décharger et ainsi cacher ma grosse érection. On se dépêche de tout sortir pour enfin aller dans l’eau qui était un peu fraîche au début ce qui me permis de débander. Je regarde du côté de la plage et je vois l’objet de mes fantasmes étendre la couverture pour le pique-nique. Je n’attends qu’une chose qu’elle enlève sa robe et au même moment mon vœu est exaucé. Elle me tourne le dos et attrape le bas de sa robe et la fait remonter. Je suis médusé par le spectacle, je vois son cul de déesse dans son string, et je bande à nouveau comme un fou. Etant dans l’eau jusqu’au cou j’en profite pour descendre mon maillot et me branler. Je me dis pourvu qu’elle se retourne mais malheureusement je la voie attraper son haut de maillot, mais aussitôt elle enlève son string et cela me permet d’apercevoir ses lèvres intimes que je rêve d’embrasser. Et je me dis que je tiens la gaule pour la journée.

Quand elle se retourne elle me demande si l’eau est bonne et vient nous rejoindre, j’ai juste le temps de remonter mon short qu’elle est déjà à ma hauteur. Nous nous amusons tous les trois une petite heure puis rejoignons la plage pour déjeuner. Ma tante s’enveloppe d’une serviette après avoir enlevé le haut de son maillot en nous tournant le dos et sort les sandwichs. Je n’attendais qu’une chose : que sa serviette tombe malheureusement ce ne fût pas le cas.

Le repas terminé nous sommes tous un peu fatigués et on s’allonge au soleil. Ma tante est sur le ventre et a enlevé sa serviette et rentré au maximum son string. Au bout de cinq minutes elle demande.

– Dites les garçons, lequel de vous serez assez gentil pour venir me passer la crème dans le dos ?

Je saute sur l’occasion et à peine sa demande formulée, je suis déjà auprès d’elle, le tube de crème dans les mains.

– Mets en bien partout n’ai pas peur et surtout étale uniformément que je sois bronzé partout.

Je commence par mettre la crème sur son dos, je l’étale du mieux que je peux, puis peu à peu je lui masse le dos. Je laisse mes mains vagabonder sur les côtés de son corps et ainsi je peux effleurer ses seins. Cette sensation finit de me faire bander, je n’ai jamais autant bandé. Puis mon massage se transforme en caresse, et ma tante à l’air d’apprécier.

– C’est très bon ce que tu me fais mais n’oublies pas mes jambes aussi.

Alors aussitôt je descends sur ses jambes, je passe vite sur ses mollets et commence un massage des cuisses. Et lors d’un mouvement j’effleure ses fesses et j’entends ma tante me dire :

– Oui, là aussi, il en faut.

Je rajoute donc de la crème et commence à lui malaxer ses miches, hum quelle divine sensation ! Je descends mes mains jusqu’à l’orée de son sexe, ma tante ne dit rien et bouge légèrement pour faciliter ma progression. Je sens que c’est humide et continue de la caresser quand elle me stoppe en disant :

– Merci c’était parfait mon neveu. Je te rappellerai quand il faudra en remettre..

Et je la laisse allongée et désirable et file dans l’eau pour calmer mon sexe. Mon cousin qui avait tout observé vient me rejoindre.

– Alors c’était bon ?
– C’était plus que bon. Tu as vu j’ai pu lui caresser sa chatte. Elle est chaude ta mère.!
– Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Tu sais quoi, moi maintenant j’ai envie d’elle, même si c’est ma mère.

Tu parles ! Je suis persuadé qu’ils ont déjà fait des trucs ensemble !

On s’amusa un peu dans l’eau avant de revenir auprès de ma chère tantine. Nous sommes arrivés près d’elle et l’avons arrosé, ce qui l’a réveillé.

– Arrêtez je veux pas allez à l’eau tout de suite ! Puis en me regardant :Tu as pu voir que j’aime pas les marques de bronzage ! Ça te gène si je me mets les seins à l’air ?

Je restais bouche bée et joignant le geste à la parole, elle se lève faisant apparaître ses superbes nichons. Et ma tante ajouta

– Et puis après tout il y a personne ici et on est en famille. Ça te gêne si je me mets complètement nue ?
– Non, non !
– Et vu que tu as l’air à l’étroit là-dedans tu peux faire de même ! Ajoute-t-elle en passant sa main sur ma bite et en faisant des va-et-vient par-dessus le tissu. Hum, c’est moi qui te mets dans cet état ?

Voyant mon cousin dans le même état elle s’approche de lui et lui enlève carrément son short en disant

– Voilà c’est mieux comme ça !

Et alors je me déshabillais rapidement pendant que ma tante enlevait son string. Elle avait le sexe complètement rasé.

– Hum ! J’adore avoir la chatte à l’air ! C’est tellement agréable !

On bandait comme des chevaux avec Alexis. Nos engins étaient si durs qu’ils nous en faisaient mal. Et ma tante qui faisait comme si de rien n’était se passait de la crème solaire sur les seins, en prenant bien soin de faire ça tout doucement et en nous regardant avec un sourire espiègle sur les lèvres. J’hallucinais complètement de voir ma tante aussi provocante et sexy ! Je n’en revenais toujours pas.

Quand elle fut allongée les yeux fermés on commença discrètement à s’astiquer de peur qu’elle ne les rouvrent. On se branlait devant ce corps si magnifique qui était à notre portée tout en restant inaccessible. On était tellement excité que l’on ne mit pas longtemps à venir. Comme nous étions toujours excité nous décidâmes de soulever Viviane et de la mettre dans l’eau, et on l’attrapa par les pieds et les bras et le temps qu’elle réalise ce qui lui arrivait, elle était dans l’eau.

– Vous exagérez tous les deux, ça va se payer.

Et comme on était dans l’eau elle vient vers nous pour essayer de nous couler. Ce fût une succession d’attouchements volontaires ou non, en tout cas tour à tour on put caresser ses seins ou son cul et même une fois son sexe, alors que Viviane s’attardait souvent sur nos bites. Au bout d’un moment nous étions tous essoufflés c’est pourquoi on décida de faire une pause et on sortit de l’eau. Ma tante sortit la première et en voyant son cul bouger à quelque pas de moi cela me remit la trique et Viviane le remarqua :

– Dis donc pour quelqu’un de fatigué tu es drôlement en forme.

Et elle éclata de rire et moi aussi. Ma tante avait apporté des beignets qu’on s’empressa de manger mais Viviane fit tomber de la confiture sur son sein gauche et au moment où elle aller l’enlever elle regarda Alexis et lui dit :

– Tu veux un peu de confiture ? Ça te rappellera quand je te donnais le sein.

Mon cousin ne se fit pas prier et s’approcha de sa mère et lécha la confiture.

– Suce bien sinon ça va coller et je vais attirer les insectes et je n’aime pas ces bestioles !

Et Alexis lécha encore un peu avant de prendre en bouche pratiquement toute l’aréole de sa mère. Je le vis aspirer juste son téton et le mordiller, d’après les gémissements de Viviane ce traitement lui plaisait beaucoup mais elle lui demanda d’arrêter et le remercia en l’embrassant à pleine bouche. Puis elle vint vers moi et me dit :

– Il te reste un peu de confiture au coin des lèvres.

Et là elle se rapproche et me lèche le bord des lèvres puis m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa langue qui cherche la mienne et lorsqu’elles se rejoignent c’est le bonheur. Mes mains sont descendues jusqu’à ses fesses que je caresse, j’ose un doigt vers son anus, elle ne dit rien. Le ballet de nos langues continue et je pénètre mon doigt dans son petit trou et ma chère tante gémit et bouge sur mon doigt, alors je fais quelques va-et-vient. Puis je retire mon doigt quand je sens sa langue s’enfuir de ma bouche. Mon doigt n’est pas ressorti très net de cette intrusion, mais saisi d’une pulsion incontrôlable, je l’ai léché avec délice.

– Merci tantine ! Mais si j’osais je te demanderais bien quelque chose.
– Vas-y tu peux tout me demander.
– Je peux te téter comme Alexis?
– Mais bien sûr, mon neveu

Et sur ce, elle s’allongea et nous invita à prendre possession de sa poitrine. Nous nous sommes placés chacun d’un côté. J’ai commencé par la caresser doucement puis j’ai embrassé son sein avant de le sucer goulûment. Viviane était aux anges, je l’entendais gémir et même crier, pendant que ma langue jouais avec son téton je risquais une main vers sa grotte intime. Ma tante écarta aussitôt les jambes et je pus la caresser, c’était une sensation bizarre c’était humide et même carrément trempé, elle mouillait comme une folle. Ayant envie de lui faire un cuni je descends au fur et à mesure mes baisers afin d’attendre son sexe. Je me place bien entre ses cuisses grandes ouvertes, ce qui me frappe en premier c’est cette délicieuse odeur. Cela m’attire encore plus, et je me lance et enfin je colle ma bouche contre sa fente. Que c’est bon, je bois son jus je lèche de bas en haut ses lèvres, puis je remonte vers le clito tout en insérant deux doigt dans son vagin. Ma langue joue avec cette petite protubérance et je l’aspire, ma tante n’en peut plus. Elle ferme les yeux et crie sa jouissance, elle a son fils qui gobe un de ses seins et qui caresse l’autre pendant que son neveu la lèche.

Ses cris m’excitent trop je me place à l’entrée de son sexe et entre ma bite d’un seul coup. J’arrache un cri de surprise à ma tante, j’attends de voir sa réaction quand je sens qu’elle bouge alors je commence mes va-et-vient.. Je glisse littéralement en elle.

– Attends on va changer de position ! M’indique-t-elle

Je ressors à grand regret d’elle, elle fait allonger Alexis sur le dos, se place à quatre pattes au-dessus de lui en se penchant de façon à avoir la croupe relevé et ses seins à hauteur du visage de son fils. Alors que Viviane embrasse son fils toute langue dehors je me remets derrière elle et la pénètre encore je ne me lasse pas de cette sensation. Alors qu’elle se fait lécher ses gros seins je lui caresse les fesses et lui donne de petites tapes et ma tante m’en demande d’autres quand je m’arrête. Je lui introduit un puis deux doigt dans l’anus ce qui la fait crier de plus belle.

– Encule-moi, mon neveu ! Viens enculer ta poufiasse de tante !

Je vois mon cousin qui de sa main libre se branle comme un fou alors que je sens que je vais venir je me retire fait tourner Viviane sur le dos et avec mon cousin nous lui jouissons sur les seins. Ma tante s’étale tout le sperme sur ses seins et alors qu’un jet arrive sur son visage elle l’essuie avec ses doigts avant de les lécher. Et pour finir elle nous donne un coup de langue sur nos glands.

Elian0522Je suis fourbu et soudain saisi d’un besoin urgent, je vais pour m’éloigner et préviens ma tante.

– Pissez-moi dessus, les garçons ! Soulagez-vous,

Avec Alexis on s’est placé chacun d’un côté et on a ouvert les vannes, nos jets ont fusés sur sa poitrine, mais c’est sa bouche qui réclamait notre pluie d’or.

Après ce petit délire, elle a voulu pisser à son tour.

– Je n’ai rien pour m’essuyer ! Alexis, viens me rincer la foufoune avec ta langue !
– Oui maman, j’arrive.

Me voilà jaloux ! Ma tante s’aperçoit de ma déception.

– Ne soit pas triste, mon neveu, j’aurais d’autres occasion de faire pipi. Mais j’aimerais que vous deux vous me fassiez un petit spectacle.
– Un spectacle ?
– Oui j’ai très envie de vous voir vous enculer !
– Maman t’es une cochonne ! Lui répond Alexis.
– Tu es bien content de la trouver, la cochonne, non ?
– Oui, Maman !
– Alors d’accord ?

On se concerte du regard avec Alexis, petit caprice ne nous pose pas de problème.

– Mais qui va enculer l’autre ! Demandais-je
– Alors là, vous vous débrouillez, si vous n’arrivez pas à vous décider, tirez au sort !

C’est ce que nous avons fait, ce fut donc moi l’enculé. Nous n’avons pas fait ça sur la plage mais à la maison ou nous avions à notre disposition préservatifs, gel et même musique d’ambiance.

Alexis m’a bien préparé de la langue et des doigts avant de tenter de rentrer son braquemart dans mon anus vierge. Quatre fois il s’y est repris, à la cinquième c’est entré mais ça m’a fait horriblement mal.

– On arrête, je ne supporte pas !
– Ça va passer, je vais faire doucement.
– Non, non !
– Tiens le coup une minute ! M’encouragea Vivianne.

Je me suis mordu les lèvres, la douleur s’est apaisée, puis petit à petit un étrange trouble m’a envahi, J’étais bien… et bien dans ma peau.

Merci Vivianne !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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