Elian Lvekman

Dimanche 13 mars 2022 7 13 /03 /Mars /2022 16:37

Un chien pour l’été par Elian Lvekman
zoo

 

Au mois de juin, un de mes amis m’a demandé si je consentais à garder son chien durant le mois de juillet car le camping où il partait n’acceptait pas les animaux.

Ne pouvant partir cette année, je lui répondis que c’était d’accord si son chien, Sammy, était bien dressé et si je ne risquais pas de problèmes au niveau du jardin

Il me répondit, avec un petit sourire, que Sammy ne préférait rien tant que de rester couché et qu’il avait bénéficier d’un dressage parfait. Je lui confirmais donc que c’était OK

Le soir même, je prévenais ma femme, Chantal, que nous aurions un compagnon à quatre pattes durant l’été. La nouvelle ne fut pas acceptée aussi bien que je le croyais mais, étant donné que j’avais donné mon accord, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur.

Le 1er juillet au matin, mon ami arriva pour nous amener sa bestiole. Jaillit du coffre un superbe labrador noir en pleine force de l’âge. Il était véritablement magnifique. Je dis « il » car la paire de bourses qui pendait entre ses cuisses ne laissait aucun doute sur son sexe.

En découvrant le chien, Chantal. faillit dire à mon pote qu’il était hors de question de le garder mais il était un peu tard pour faire machine arrière.

Sammy vint vers nous très gentiment en remuant la queue. Il avait l’air très doux et nous nous mimes à le caresser. C’était vraiment un superbe animal, à la musculature puissante mais au caractère calme et affectueux. Il nous lécha les mains de sa large langue râpeuse puis parti faire le tour du jardin

Après nous avoir passé les consignes pour la nourriture, l’exercice, les sorties, etc …, mon ami nous dit avec un grand sourire :

– Et surtout ne vous fiez pas à son allure, il est excessivement câlin, surtout d’ailleurs avec les femmes !

Sur ces paroles, il reprit sa voiture et nous laissa seuls avec notre nouveau compagnon

Je m’aperçus dès le soir même de ce qu’il avait voulu dire par là

La journée se passa sans problèmes, Sammy obéissant parfaitement bien aux ordres que nous lui avions donné, revenant vers nous dès que j’utilisais le sifflet à ultra-sons que m’avait confié mon copain. Il m’avait expliqué comment me servir de cet engin inaudible pour les humains, un coup bref suffisant pour que Sammy arrête aussitôt ses galopades et revienne bien sagement au pied

Le premier soir, Chantal. et moi nous installâmes sur le canapé pour regarder un film à la télé. Sammy vint se mettre à côté de nous. Au bout d’un court moment, il posa sa large tête sur les cuisses de Chantal., le museau tout proche de l’entre-jambes de ma femme. Il resta là sans bouger. Chantal. lui caressa doucement le crâne, ce qui eut l’air de lui plaire. Il bougea un peu et poussa sa truffe plus avant entre les cuisses de Chantal. Celle-ci, compte tenu de la chaleur ambiante portait une jupe légère et relativement courte ainsi qu’une culotte blanche très classique. Je savais toutefois que la température devait provoquer l’exhalaison de cette merveilleuse odeur de rousse, parfum dont je ne me lasse jamais d’apprécier lorsque je fais un petit câlin à Madame.

Le postérieur de Sammy était de mon côté et je caressais son dos depuis tout à l’heure. Au moment où il approcha son museau du sexe de Chantal., je sentis ses muscles se contracter. Doucement, il commença à se frotter contre mes genoux qui arrivaient sous son ventre, son sexe se mit à grandir. A voir la taille de ses couilles, je m’étais déjà dit qu’il devait être bien monté. Mais, à sentir ce que je sentais maintenant contre moi, je m’aperçus que je ne m’étais pas trompé.

Par curiosité (et par vice), je passais la main sous le ventre du chien et attrapait un braquemard palpitant et chaud. Chantal N’avait rien paru remarquer de ma manœuvre et continuait de passer doucement la main sur la tête de Sammy qui, lui, continuait à renifler la chatte de ma femme

J’avoue que mon esprit vicieux commença à travailler et je comprenais de mieux en mieux ce qu’avait voulu dire mon copain quand il parlait du caractère câlin de son chien avec les femmes.

En avançant sa truffe, Sammy avait remonté la jupe de Chantal. Jusqu’à son slip. Ses cuisses étaient donc nues et le chien en profita pour donner de grands coups de langue sur cette chair offerte. Chantal. qui, à première vue, n’avait pas encore constaté l’état d’excitation du chien, poussa un soupir étouffé en sentant la langue de Sammy passer et repasser sur ses cuisses. Elle me jeta un rapide coup d’œil, que je fis mine de ne pas remarquer semblant être très intéressé par le film, puis regarda droit devant elle, fixant la télé d’un œil plutôt glauque !

Je faisais semblant de ne rien remarquer de l’état de Chantal. Par contre, je continuais à manier doucement la bite de Sammy qui avait maintenant atteint une taille équivalente à celle d’un homme. Il bougeait son cul comme s’il était en train de se faire une chienne et Chantal. n’allait pas tarder à constater cet état de choses. Voulant vérifier la manière dont les choses pouvaient évoluer, je poussais le chien, me levais et dit d’un ton détaché :

– Je vais aux toilettes et je risque d’en avoir pour un petit moment !

Chantal me répondit d’une voix un peu voilée qu’elle continuait à regarder le film et que je pouvais prendre tout mon temps.

Je sortis de la pièce, ouvris la porte des chiottes et la refermais bruyamment. Tout doucement, je revins vers le salon et, me mettant à quatre pattes, passais la tête par la porte. Je savais que Chantal. ne pourrait me voir car j’étais dans l’axe du gros fauteuil. Par contre, d’où j’étais, je voyais tout ce qui se passait dans la pièce.

Chantal ne bougeai pas, continuant à laisser le chien lui lécher les jambes. Puis, doucement, je vis sa main descendre, remonter sa jupe jusqu’au nombril et s’infiltrer dans son slip. Ses doigts commencèrent à bouger, son souffle s’accéléra. Sammy continuait imperturbablement ses coups de langue mais ceux-ci se rapprochaient de plus en plus du slip que je devinais en train de se détremper sous l’action de la mouille de ma femme.

Chantal repoussa la tête du chien et se leva. Je me dis que tout était fini mais bien au contraire. Sammy sauta sur le canapé et s’assit, dévoilant alors au regard de ma femme son sexe rouge et gonflé.

Chantal fixa son regard sur cette superbe bite d’un œil étonné et une expression curieuse envahit son visage. Certaine que j’étais toujours aux toilettes, elle dégrafa sa jupe et passa ses mains dans son slip qu’elle fit descendre le long de ses jambes. Je voyais sa toison rousse coupée court, ses lèvres toutes gonflées et je savais que son bouton était bien décalotté de sa gangue de chair rose.

Elle se rassit et, écartant largement les jambes, se remit à se branler en regardant avec attention la bite de Sammy. L’index de sa main droite tournait sur son bouton, deux doigts de sa main gauche s’enfonçant dans son vagin dégoulinant. Sammy, excité par l’odeur de mouille, pencha sa tête vers la chatte offerte. Chantal arrêta sa masturbation et écarta ses lèvres de ses deux mains.

Je vis la langue du chien se poser sur la chair rose et remonter vers le clitoris tendu. Chantal gémit de plaisir sous cette caresse insolite. Après quelques coups de langue sur sa chatte, elle leva la jambe droite et posa le pied sur le dossier du canapé. Puis elle écarta ses fesses de ses mains pour dégager son trou du cul.

La langue de Sammy allait et venait entre l’anus et le clito de Chantal couvrant toute la surface à chaque fois. Chantal gémissait de plus en plus fort et trémoussait son corps sous le plaisir que lui procurait le chien. Sa main empauma sa motte et elle se branla le clito avec force jusqu’à ce qu’éclate sa jouissance.

Sammy se mit debout sur le canapé et, s’approchant de Chantal, fit mine de la couvrir. Il n’y arriva toutefois pas mais se mit à frotter sa bite contre les cuisses de ma femme. Cela dura juste quelques instants puis je vis jaillir des flots de foutre qui vinrent inonder l’entre-jambes de Chantal.

Le chien se retira tout de suite mais Chantal se barbouilla la chatte de cette liqueur grasse et bouillante et se rebranla avec jusqu’à ce qu’une nouvelle jouissance la terrasse.

Je me relevais alors et me dirigeait vers le canapé où gisait Chantal. Inutile de dire que mon pantalon était distendu par une érection qui me faisait mal tellement j’étais tendu.

Chantal, allongée les jambes ouvertes et les poils encore poisseux de sperme, ouvrit les yeux et me dit :

– Je suppose que tu as tout vu ? Tu sais, c’est l’un de mes fantasmes depuis toujours, je n’ai pas pu résister. Tu ne m’en veux pas ?
– Pas du tout, ma chérie. Au contraire, je dois dire que j’ai pris un très vif plaisir à te voir faire. D’ailleurs regarde !

Et j? Ouvris ma braguette, libérant mon sexe bandé.

– Mets-le moi, j’ai envie d’être prise, de sentir ta bite dans ma chatte !

Me débarrassant à la hâte de mon pantalon et de mon slip, je me glissais entre ses jambes ouvertes, sentant contre mon ventre le jus laissé par Sammy et m’enfonçait d’une longue poussée dans ce ventre si accueillant. En même temps que je labourais la chatte de Chantal, je l’imaginais en levrette prise avec force par le chien. J’étais tellement excité que je lâchais rapidement tout mon plaisir dans la vulve chaude, ce qui provoqua un nouvel orgasme de ma partenaire.

Sammy, lui, s’était couché sous la table basse et récupérait de ses efforts.

– Tu sais, dis-je à ma femme, je crois que ce mois de juillet va être particulièrement agréable !

Et, sur ces bonnes paroles, nous sommes montés nous coucher, laissant le chien dormir dans la cuisine.

Quelques jours passèrent sans que nous reparlions de cette soirée on ne peut plus érotique. Sammy s’était conduit de manière parfaite, calme et pas dérangeant du tout, sachant toutefois que nous le laissions désormais dans la cuisine quand nous regardions la télé. C’était, hormis le salon du premier soir, la seule pièce qu’il connaissait dans la maison.

Mais, quand vint le dimanche soir, soirée traditionnelle pour nos petits câlins, je demandais à Chantal

– Veux-tu que ce soir, pour pimenter un peu, nous soyons trois au lit. Sammy doit s’ennuyer sans toi. Et puis, on ne l’a jamais laissé monter dans la chambre ?
– J’ai un peu peur de ce qui pourrait se passer mais fais comme tu veux. Si tu souhaites qu’il recommence comme la dernière fois, pas de problèmes !

A vrai dire, non seulement j’espérais qu’il allait recommencer ses coups de langue mais j’escomptais bien qu’il aille plus loin encore, avec mon aide si besoin est.

Le soir venu, nous sommes allés nous coucher sans avoir reparlé du chien. Sachant ce qui se préparait, j’avais déjà planqué sous mon oreiller un gode et un tube à cigares dont nous nous servons souvent pendant que je me branle au-dessus de Chantal.

Une fois au lit, et après avoir lu un peu, Chantal posa son bouquin et, me tournant le dos, me dit :

– Tu sais que j’aime bien tes caresses dans le dos !

Je me mis immédiatement à l’ouvrage, passant mes mains le long du dos de Chantal, massant ses épaules, ses reins, ses côtes et, descendant petit à petit vers ses fesses. Sachant qu’elle est très sensible à ce genre d’attouchements, j’y mis tout mon cœur afin de la chauffer un maximum. Quand je sentis son cul se contracter sous mes mains, je lui écartais les fesses et commençais à passer ma langue autour de son anus odorant. Ma salive coulait sur son petit trou, la pointe de ma langue la titillait et je sentais l’excitation la gagner peu à peu.

Elle se mit sur le dos pour m’offrir son ventre et sa chatte qui était déjà bien humide. Ma tête vint se loger entre ses cuisses et j? Entrepris un léchage en bonne et due forme de sa fente. Bien que très attentif à ce cunnilingus, je ne cessais de penser au troisième objet caché sous l’oreiller, c’est-à-dire le fameux sifflet à ultra-sons que m’a confié mon copain pour appeler Sammy.

Quand je sentis que ma femme était vraiment bien émoustillée, je pris le tube à cigare et tout en continuant à la lécher, j? Enfonçais doucement ce mini-gode dans sa chatte grande ouverte. Je la branlais lentement et profondément. Je sentis ses hanches commençaient à rouler. Je savais qu’elle pensait à autre chose sous ses paupières closes. Aussi, je la fis retourner sur le côté, écartais ses cuisses au maximum et la branlais de plus en plus vite. Lançant ma main sous l’oreiller, je ramenais à mes lèvres le fameux sifflet et en tirait un son bref qui, je l’espérais, ne manquerait pas de faire venir le troisième intervenant à la soirée.

Le cul de Chantal faisait face à la porte, complètement écartelé, et, quand j’entendis le bruit des pattes de Sammy dans l’escalier, je sentis ma bite, qui était déjà dans un état extrême, se tendre encore davantage. Chantal avait dû entendre elle aussi le chien arriver car tout son corps se tendit d’un coup, sa bouche laissant échapper un léger gémissement. Le chien passa la tête dans la porte et n’hésita pas une seconde à s’approcher du lit. Il approcha sa truffe du cul offert et se mit à renifler la mouille qui coulait du vagin de Chantal.

Sa bite commença à sortir de son fourreau poilu et se mit à tressauter. Rapprochant encore son museau, il se mit à lécher à grands coups de langue ce que je lui offrais en pâture. Chantal se tordait sous le plaisir que Sammy lui procurait. Elle dit :

– Oh, c’est bon, il me lèche bien, écarte-moi plus, je veux sentir sa langue partout !
– Attends, laisse-moi faire !

Chantal, écartant à regret la tête de Sammy, se releva et, me regarda avec des yeux voilés par le plaisir. Je fis monter le chien sur le lit, s’allonger puis, lui attrapant les pattes, se coucher sur le dos. Je n’en revenais pas de la taille de ce sexe gonflé, turgescent et où pointait une goutte de foutre.

– Viens te mettre au-dessus de lui maintenant, je crois qu’il aimerait bien une petite caresse !

Se mettant à quatre pattes, Chantal vint se mettre en position de 69 au-dessus du chien et abaissa sa croupe jusqu’à son museau. Sammy, qui n’avait pas l’air d’être gêné par cette position, fit aussitôt jaillir sa langue et reprit ses activités sur la chatte de Chantal. Celle-ci avança doucement la main vers le braquemart et, l’empoignant, se mit à le branler

– Tu crois que je peux le sucer ?
– Mais bien sûr, ne te gêne pas, au contraire !

Elle abaissa alors son visage de plus en plus près du sexe tendu du chien et, lui agrippant les couilles d’une main, passa sa langue le long de la bite. Agenouillé à côté d’elle, je me branlais comme un fou. Enfin, elle ouvrit la bouche et enfourna le sexe du chien. Elle avait du mal à faire entrer cette bite tellement elle était gonflée. Seul le bout trouvait place entre ses lèvres et elle le pompait avec ardeur.

Ne tenant plus devant ce spectacle, je me positionnais derrière Chantal et, l’empoignant par les hanches, pénétrait sa chatte d’un coup presque brutal. Sa vulve était bouillante et ruisselait de son plaisir. La bouche pleine, Chantal ne put qu’émettre un long gémissement.

Je commençais à aller et venir en longs coups de reins. Je sentis soudain la langue râpeuse de Sammy sur mes couilles. Il léchait tout ce qu’il pouvait, aussi bien les lèvres de Chantal que ma pine quand elle ressortait. Ce contact était particulièrement excitant et je ne pus tenir plus longtemps. Je m’enfonçais au plus profond du ventre de Chantal et laissait couler mon foutre chaud dans son vagin trempé. Chantal lâcha la bite du chien et poussa un grand cri de plaisir.

Me retirant, je m’approchais d’elle et lui dit :

– Je suis sûr que tu as encore envie de te faire prendre ! Laisse Sammy se relever et remets-toi à quatre pattes. Je m’occupe du reste !

Chantal se releva et, dans le même mouvement, Sammy se remit sur ses pattes. Il était impressionnant sur le lit et je pouvais voir son mandrin rouge et luisant de la salive de ma femme, raide comme un bout de bois. Ses reins allaient et venaient comme si, déjà, il était au plus profond du ventre qui ne demandait qu’à l’accueillir.

Chantal Sammy

Chantal se mit en levrette, le cul levé, les cuisses largement écartées, la tête posée sur le matelas ce qui faisait encore plus ressortir l’écartèlement de sa chair. Je pris Sammy par son collier et l’amenait derrière Chantal. Il grimpa immédiatement dessus, ses pattes de part et d’autre du torse de Chantal. Ne voulant pas qu’il décharge immédiatement, je retenais ses reins et, passant sous son ventre, ma main attrapa son énorme bite. Je la guidai vers le sexe de Chantal et frottais les lèvres rouges avec le bout. Positionnant la pointe de cette verge juste devant l’ouverture béante du vagin, je lâchais le chien.

Sammy se mit immédiatement à remuer les reins à toute allure, pilonnant profondément la chatte de Chantal à grands coups. Celle-ci se mit à crier « Oui, oui, oui ! ». Elle jouissait comme une folle, lançait son cul en arrière pour s’empaler encore plus profondément. Je me penchais afin de voir encore mieux ce magnifique spectacle. Je voyais ce bout de chair rouge entrer et sortir, coulisser entre les lèvres écartelées. La bite de Sammy était non seulement de taille humaine mais présentait un renflement au milieu qui devait frotter et exciter encore plus les parois vaginales de Chantal.

Je bandais à en exploser. Le chien, au bout de deux ou trois minutes, se mit à ralentir ses coups de reins et Chantal me dit :

– Il jouit, il coule, c’est chaud !

Sammy se retira et de la chatte béante je vis jaillir un véritable flot de sperme. Chantal était encore sous le coup de la jouissance intense qu’elle avait ressentie. Je n’en pouvais plus tellement j’avais envie de la prendre encore brûlante de ce foutre. Je la fis s’allonger sur le dos et enduisit copieusement son anus de la liqueur canine puis, présentant le bout de ma pine devant cet orifice, je la pris par derrière.

Au point où elle en était, elle n’émit qu’un petit cri et releva ses cuisses afin de me faciliter le passage. Je m’enfonçais dans son anus et au bout de quelques allers et retours, je laissais couler mon plaisir.

Après une telle expérience, nous nous blottîmes dans les bras l’un de l’autre et nous endormîmes, notre compagnon s’étant allongé quant à lui par terre au pied du lit.

Inutile de vous dire que le mois de juillet fut assez fertile en expérience. Début août, Sammy repartit chez son maitre qui, avec un sourire complice, me demanda si tout c’était bien passé. Je lui répondis que oui.

– Tu serais d’accord pour qu’on achète un chien me demanda Chantal, peu après.
– Mais bien sûr, ma chérie !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Jeudi 3 mars 2022 4 03 /03 /Mars /2022 14:05

Corina, ma Thaïlandaise aux doigts de fée
par Elian Lvekman
asian

Je me prénomme Eric et j’ai 23 ans. Pour mes études je suis allé faire un stage de deux semaines en Thaïlande, après ce temps, je m’octroyais huit jours supplémentaires, mais de vacances cette fois. Je logeais chez l’habitant et dans ma famille d’accueil, il y avait une interprète au nom imprononçable se faisait appeler Corina. Cette superbe eurasienne de père italien et de mère thaïlandaise traduisait les conversations entre la famille et moi. Ses cheveux droits, de couleur ébène, étaient attachés au bas de sa nuque, et de fines mèches retombaient sur son visage dans un tourbillon léger. J’étais subjugué par sa beauté et ses yeux en amande laissaient entrevoir son regard marron, brillant et sensuel. Ses lèvres fines et bien dessinées étaient enduites d’un baume naturel qui rendait sa bouche exquise merveilleusement attirante. En outre, elle dégageait une odeur très subtile de fleurs des champs. Je l’imaginais douce et sensuelle.

Ce soir-là nous étions tous dans un restaurant réputé de Bangkok. Elle était assise à mes côtés et j’avais de la difficulté à me concentrer sur la conversation. Je la regardais continuellement du coin de l’œil. Même sa façon de manger me rendait fou de désir pour elle. J’ai toutefois fait honneur à ce repas préparé avec brio et, juste avant de partir, j’ai subtilement glissé un petit mot à Corina. Elle l’a enfouie dans sa poche discrètement et nous sommes partis chacun de notre côté. Sur le message, je l’invitais à souper le lendemain soir au même restaurant et, au cas où elle ne pourrait venir, j’y avais indiqué mon numéro de téléphone. Elle m’a fait un grand sourire et a baissé les yeux timidement.

Le lendemain, fidèle au rendez-vous, j’attendais depuis près d’une heure dans l’établissement désigné et je commençais à désespérer de la voir venir. Comme je m’apprêtais à commander mon repas, elle est arrivée et a pris place en face de moi, très gracieusement, en s’excusant de son retard. Sa seule présence à ma table me faisait oublier l’heure que j’avais passée à l’attendre. Elle avait un chemisier en soie rouge et une jupe courte noire qui s’attachait sur le côté avec des lacets. Elle avait les cheveux attachés au creux de sa nuque en une sorte de chignon avec l’aide d’un ruban rouge flamboyant qui contrastait avec la couleur de sa chevelure.

Nous avons mangé un repas de spécialités locales et Corina s’est moquée gentiment de moi tout au long du souper parce que j’avais quelques peines à articuler les fameuses baguettes. Après ce repas, et afin de m’en remercier, elle m’a invité chez elle pour terminer la soirée. Nous avons abondamment parlé de décoration et de l’art du design intérieur thaïlandais et elle désirait me faire visiter son appartement. Sur des cousins, je me suis allongé par terre avec un verre qu’elle m’a servi; une boisson alcoolisée. Corina s’est allongée à mes côtés et elle s’est mise à me masser les épaules. Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma chemise. Elle semblait donner de l’énergie à tout mon corps fatigué. Puis, elle a déposé un léger baiser dans le creux de mon cou. Il n’en fallait pas plus pour allumer mon corps en entier.

Je me suis retourné vers elle et je l’ai embrassée sur la bouche. J’y mettais beaucoup de tendresse, mais mes pulsions se contrôlaient difficilement. J’avais véritablement envie d’elle. Ma queue dressée depuis l’instant où elle avait posé ses mains sur moi. Je promenais mes lèvres sur les siennes et ma langue s’insérait délicatement dans la chaleur de sa bouche. Mes mains se promenaient partout sur son corps. Je caressais ses mignons petits seins par-dessus son chemisier. Je sentais raidir la pointe de ses mamelons au fur et à mesure que je les touchais. Puis, je me suis éloigné d’elle et j’ai tiré sur la boucle de ses cheveux pour libérer son chignon. Ses cheveux sont alors retombés sur ces épaules très gracieusement. J’ai inséré ma main dans sa chevelure d’ébène et j’ai attiré sa bouche contre la mienne. J’ai repris possession de ses lèvres et de sa langue avec passion. Elle répondait à mes baisers avec autant de ferveur que moi. J’avais l’impression que nos corps s’attiraient comme des aimants.

J’ai commencé à déboutonner les minuscules boutons de son chemiser, mais elle m’a arrêté. Elle m’a demandé de m’allonger et de me laisser faire. Elle voulait me montrer comment faire l’amour à la Thaïlandaise. J’ai suivi son conseil et je me suis allongé par terre, sur les doux cousins de soie. Elle a déboutonné ma chemise et m’a débarrassé de mon pantalon et de mes sous-vêtements. Elle s’est dévêtue aussi, mais elle a gardé sa petite culotte et son soutien -gorge, tous deux de couleur rouge. Je voyais parfaitement ses mamelons foncés émerger de la dentelle écarlate et ça m’excitait au maximum. Elle m’a pratiqué un massage très particulier. Ses mains courraient sur mon corps et je sentais se détendre mes nerfs dorsaux sous la faible pression de ses paumes.

Elle a glissé ses mains sur mes fesses et elle les a tapé légèrement du revers de la main. Puis, elle a inséré deux de ses doigts entre mes fesses, et elle a massé délicatement les muscles de ma raie, de mon anus, de mes testicules. Un doigt a pénétré mon anus. On ne m’avait jamais prodigué cette fantaisie, mais je ne protestais pas, me trémoussant de plaisir. Je sentais monter en moi des sensations nouvelles. Je prenais un plaisir fou à me faire dorloter par cette ravissante femme. Je me suis retourné sur le dos pour qu’elle constate que ses caresses portaient fruit. Elle a souri en voyant ma queue, dignement dressé vers le ciel. Elle n’a pas été plus intimidée que ça. Elle a pétri mon torse et mon ventre de la même façon qu’elle l’avait fait pour mon dos et mes épaules. Puis après ‘avoir pincé fortement mes tétons, elle est descendue vers mes cuisses et elle est remontée jusqu’à mes parties viriles. J’avais les nerfs à fleur de peau. Mon érection s’accentuait de seconde en seconde.

summer17Elle a pris mon manche entre ces petites mains de fée et elle l’a caressé du bout des doigts. De violents spasmes ont traversé mes testicules jusqu’à l’intérieur de mon ventre. Elle a posé sa bouche sur mon pénis le plus doucement du monde. J’ai senti la chaleur de ses lèvres glisser le long de mon membre. Elle prenait son temps pour déguster chaque parcelle de mon pénis, Je voyais, par la réaction de son visage, qu’elle aimait beaucoup la présence de ma queue dans sa bouche. Sa langue s’enroulait autour de mon gland et traçait le contour marqué de mon capuchon. Elle a sucé pendant plusieurs minutes mon pénis, puis elle a fait glisser sa petite culotte le long de ses cuisses. Elle avait une chatte très féminine dont le poil, taillé à la perfection, dessinait le contour de ses lèvres vaginales. J’avais envie de la prendre et de lui rentrer mon membre entre les jambes pour la faire crier de plaisir…

Mais décidément ce soir, c’est d’elle que toutes les initiatives partaient. Sans plus de préliminaire elle a chevauché ma queue et l’a entrée très facilement à l’intérieur de son vagin, J’ai ressenti un sentiment de victoire traverser mes organes. Son vagin gardait mon pénis prisonnier de sa cavité juteuse. Une chaleur incroyable englobait ma verge et très lentement, Corina s’est mise à agiter son bassin. Elle semblait jouir beaucoup dès le début. Je sentais mon manche lui racler l’intérieur et elle poussait des cris puissants et son visage se contractait à chaque fois que mon gland revenait à l’entrée de son sexe, Je sentais chaque détail de son intérieur et j’en jouissais davantage. J’ai dégrafé son soutien-gorge pour prendre, dans la paume de ma main, ses petits seins fermes. J’ai massé très délicatement ses formes harmonieuses. Corina poussait des cris stridents qui provoquaient en moi des élans de jouissance intense. Par la suite nous avons été terrassés par un fabuleux orgasme qui surgit comme l’éruption d’un volcan du plus profond de nos entrailles. Elle m’a ensuite demandé si je désirais la boire, ne comprenant pas la suggestion je lui demandais des précisions. Elle m’annonça alors sans aucune pudeur qu’elle allait m’offrir son pipi. Alors comme dans un rêve, j’ai ouvert la bouche et absorbé quelques gorgées de son précieux nectar.

Je suis revenu chez moi et je n’ai jamais eu de nouvelles de Corina, ma Thaïlandaise aux doigts de fée

Adaptation d’un récit non signé paru sur le site de Sophiexxx en 2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 20 février 2022 7 20 /02 /Fév /2022 17:50

Vestiaire lubrique par Elian Lvekman
scat

Texte contenant un passage scato explicite !

 

Bonjour je m’appelle Sophie, j’ai 29 ans. Comme tous les lundis je me rends dans une petite salle de gym, histoire de maintenir mes formes). Une fois dans les lieux j’introduis ma carte d’accès et me dirige dans les vestiaires pour filles pour me changer. Une fois dans une cabine je suis surprise par un petit bruit de fond. Je stoppe mes mouvements pour essayer de savoir ce que c’est. Les bruits proviennent du vestiaire d’à côté. Et comme je le pensais les deux paires de pieds m’indiquent que deux personnes batifolent.

Curieuse de nature je m’assois par terre et sort de mon sac le miroir qui me sert pour me recoiffer. Même si l’image est à l’envers, je peux voir que cette fille est en très bonne compagnie. L’homme est assis sur le banc et elle est à califourchon sur lui. Ses gestes sont lents et une de ses mains est sur la bouche de sa partenaire pour étouffer ses gémissements. Au bout d’un moment, le gland sort de sa chatte, elle se soulève un peu, saisit le sexe et le dirige contre son anus. La pénétration se fait avec quelques difficultés mais ça rentre. Moi à terre je me suis mise nue et mes doigts fouillent ma petite toison brune. Je sens le plaisir et l’envie monter en moi, j’aimerai les rejoindre, mais je n’ose pas.

De leur côté les choses ont évolué. Il la prend en levrette et ne pouvant plus étouffer ses bruits je peux l’entendre prendre son pied. Il continue son ramonage avant de rejoindre la bouche de sa partenaire qui est toujours à genoux devant lui. Il jouit à son tour et sa semence atterrit sur le visage de la fille. Elle attrape le plus de sperme possible dans ses mains pour le porter à sa bouche et finit par enfouir le sexe entier entre ses lèvres. Je n’en peux plus, je m’allonge sur le dos et me masturbe et comme mon envie est très forte je m’introduis ma brosse à cheveux dans la chatte et trois doigts dans l’anus. Je prends mon pied en tentant d’étouffer mes gémissements mais y parviens mal. Ils m’ont forcément entendu. Comment gérer ça ? Ils s’essuient, se rhabillent et sortent.

J’attend un peu, je n’entends plus rien, je sors à mon tour.

Ils sont là ils m’attendaient. Je suis déboussolée !

– Alors on mate ? Me dit la femme.
– Je n’ai pas pu m’en empêcher ! Bredouillais-je.
– On devrait te punir ! Reprend la femme.
– Euh faut que j’ aille ! De toute façon je n’ai rien vu, j’ai juste entendu…
– Nous on aime bien punir les petites vicieuses. Reprend-elle
– Ça ne se reproduira plus ! Balbutias-je
– Dommage que tu ne sois pas un peu soumise, on aurait pu s’amuser à te punir à notre façon !

Et c’est là que je me suis demandé si je ne devais pas rentrer dans leur jeu.

– Tu partais ? Demande l’homme
– Non, je viens juste d’arriver.
– T’es en voiture ?
– Oui !
– Alors changement de plan, tu te remets en tenue de ville, tu vas vers ta voiture, tu ouvres les portières, tu mets les clés sur le contact et tu t’assois à l’arrière.
– Ça va pas, non ?
– Réfléchis, tu passes peut-être à côté d’un bon petit moment.
– C’est tout réfléchis.

Le couple s’éloigne de quelques pas. Bizarrement je n’ai plus trop envie d’aller en salle de sport, je regagne ma cabine et remets mes vêtements de ville.

Je me dirige vers la sortie. Comme je le pensais ils sont sortis et me suivent. Je vais jusqu’à ma voiture, ouvre toutes les portières et m’installe à l’arrière. Le couple arrive

– J’ai mis les clefs sur le contact ! Leur précisais-je

L’homme s’installe au volant et elle à ses côtés.

– Enlève tes fringues ! M’ordonne la femme. Je m’appelle Natacha et lui c’est André, tu nous dois le respect !
– Ah ! Moi c’est Sophie !
– On s’en fout de ton prénom !

Charmante !

On est encore en pleine ville et il y a beaucoup de monde dans les rues que nous empruntons, mais poussée par l’excitation, j’obéis. Il traverse la ville et à tous les feux je sens le regard des passants et des automobilistes se poser sur moi. On sort de la ville. Du rétroviseur je sens son regard se poser sur moi. Natacha est restée silencieuse et pensive. André arrête la voiture au bord d’un petit bois.

– Allez descends, poufiasse !
– Comme ça toute nue ?
– Evidemment, quelle question ?

André sort de son sac de voyage un collier de chien assorti d’une laisse et me le passe autour de mon cou. Je commence à comprendre le jeu, la femme est sa soumise et aujourd’hui il a l’occasion de changer d’esclave. Comme la femme n’a pas l’air traumatisée, ça me rassure un tout petit peu.

Je sors du véhicule et André me fais signe de me mettre sur le capot. La chaleur du moteur me réchauffe. Il donne deux coups de klaxon et au bout de cinq minutes je vois deux promeneurs arriver. Le couple se dirige vers eux. Ils parlent quelques temps et le quatuor vient vers moi. Dès qu’ils sont au niveau du pare-chocs les deux arrivants tombent leurs pantalons, exhibant leurs bites bien raides.

Natacha sort la queue de la braguette d’André. L’un des promeneurs m’installe sur: sur le ventre, toujours sur le capot, les jambes en direction du pare-brise et la tête vers l’avant. Je prends les bites dans les mains et les suce l’un après l’autre. Le couple observe et ne bouge pas. Les deux types se bousculent légèrement pour être dans ma bouche, et soudain l’un d’eux me fait faire 90° sur la droite et passe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte et me pénètre en un seul mouvement. Il m’a fait mal et je n’ai pu retenir un cri. Son compagnon toujours dans ma bouche, il me laboure sans précaution avec de grands mouvements et de grands râles. Il aurait dû faire bûcheron.

Celui qui me prend en levrette me soulève et il pose ses fesses sur le capot. Il sort son sexe de ma chatte en chaleur et toujours avec sa délicatesse très personnelle me sodomise. L’autre a fait le tour de la voiture et le sexe droit et humide, il commence par mettre son gland devant mon clito et le tapote avant de me pénétrer à son tour. J’avais toujours rêvé d’avoir deux sexes en moi mais jamais je n’avais pensé à une telle situation. Mon enculeur accélère ses râles et je sens très vite son foutre en moi. Ce sperme chaud fais basculer mes sens et je serre l’homme devant moi, je me plaque contre lui et je joui à mon tour. Mon esprit est dans une espèce de brouillard et je suis bien, plus rien n’a d’importance. Les deuxième promeneur me place sur les sièges arrière de ma voiture et éjacule sur mon ventre. Je passe ma main dans ce sperme et l’étale sur mon pubis. Les promeneurs partent comme ils sont venus, sans m’adresser le moindre mot.

C’est fini ? non !

Le couple se déshabille ! Je peux enfin admirer les beaux seins laiteux de Natacha. Elle vient devant moi attrape mes tétons et les tortille fortement.

– Aïe !
– Ta gueule poufiasse !

Elle me roule une pelle bien baveuse, puis nus tous les trois, nous déambulons dans la contre allée, nous croisons deux autres promeneurs, un vieux et un jeune un peu efféminé. ils sont nus, leurs affaires dans un sac à dos.

– Salut ! Dit le premier en se tripotant le bite
– Salut ! Répond André.
– Tu regardes ma bite ?
– Elle est belle !
– Tu veux la sucer !
– Avec plaisir !

C’est la première fois que je vois un mec en sucer un autre ! Je suis tombé sur les pervers du coin, ma parole ! André à l’air de se régaler, et pendant ce temps là Natacha suce le vieux ! Et moi qu’est-ce que je deviens dans tout ça ? Je regarde et j’attends.

Le bites bien sucées sont maintenant bien raides, s’en suit une très brève discussion entre ces messieurs dames au terme de laquelle André et Natacha se retourne offrant tous deux leurs anus aux assauts des deux types ! Incroyable de voir ça.

Tout le monde a joui… sauf moi. Les deux rigolos s’en vont. Natacha me demande de m’allonger par terre.

Sophie Natacha– Je vais te pisser dessus ! Me prévient-elle

C’est gentil de me prévenir, mais comme la chose m’amuse plus qu’elle ne me dérange, j’obtempère, elle s’accroupit au-dessus de moi et se concentre. Comme signe de bonne volonté, j’ouvre la bouche signifiant par-là que je ne suis pas contre le fait d’avaler son nectar ! Message reçu, elle rectifie la position. Le jet est puissant et j’en avale une bonne rasade.

– Je ferais bien quelque chose de plus consistant ! Me dit-elle
– Euh !
– Tu me dit « oui » ou « non », « Eu », je ne sais pas ce que ça veut dire.

Je n’aurais jamais pensé accepter une chose pareille, mais l’excitation fait faire de ses choses parfois.

Un magnifique boudin sort du cul de Natacha, je reçois tout sur le visage, bouche fermée, Elle m’enlève tout ça, mais en prélève un morceau qu’elle lèche vicieusement. Elle me propose de l’imiter. Alors j’ai léché sa merde, et ma foi, ce n’était pas mauvais du tout.

André n’en peut plus de spectacle et se branle comme un malade, je reçois son sperme sur le visage, en avale un peu.

Natacha m’embrasse à nouveau ! Drôle de baiser où persiste le gout tenace de toutes nos perversions.

– On va rentrer, tu nous raccompagnes chez nous ! Me suggère André.
– Déjà ? Proteste Natacha, je me serais bien fait prendre par un chien !
– Oui, ben la prochaine fois ! Je fatigue ! Et toi la poufiasse tu t’es déjà amusée avec un chien ?
– Non, mais je ne demande qu’à apprendre.

On est reparti en ville, je les ai déposés non pas chez eux, mais devant une supérette, ils ne m’ont pas communiqué leurs coordonnées. C’était un coup d’un jour

Je ne suis pas retournée à la salle de sport, allez savoir pourquoi ? J’ai pris un abonnement dans une autre salle. Et je n’ai jamais revu ces deux zygotos.

J’ai eu d’autres expériences, mais celle-là restera longtemps gravé dans ma mémoire

Bisous tout le monde !

Elian Lvekman, d’après une histoire originale de Bougetoi publié en 2000 sur le site disparu de Sophiexxx

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 11:08

Lèches amoureuses par Elian Lvekman

sperm stamp

C'était en vacances : un soir que je me promenais sur la plage tiède et déserte; Au bout d'un bon quart d'heure, je rencontrai une femme d'à peine 30 ans qui s'était assise sous la lune, dans une petite robe légère, et qui me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n'aime pas me sentir observé, aussi, j'avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne (non que je n'espérais pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d'expérience que cela n'arrive jamais...) Or, ce soir-là me fit mentir, car la femme me tendis rapidement une perche pour lui faire la conversation ! 

 

Ce fut bien sûr d'abord les banalités d'usage, mais bien vite, elle m'invita à s'asseoir à côté d'elle et je sentis son parfum qui m'envahit : En écoutant sa voix douce, j'eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s'en apercevoir et me regarda un peu effrontément; je me dis tout d'abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu'une fille invite quelqu'un à s'asseoir à côté d'elle sans arrière-pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m'approchai doucement pour l'embrasser: elle n'attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par notre audace réciproque. 

 

Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m'embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d'abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. Au comble de l'excitation, j'espérais qu'elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais elle n'osait visiblement pas. Je me dis alors qu'elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j'entrepris d'ôter sa culotte pour lécher sa vulve. A vrai dire je n'avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l'expérience ne soit rebutante: mais à ma grande surprise, ses lèvres roses et un peu dégoulinantes n' étaient pas désagréables à léchotter, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d'enivrant qui m'encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baiser... 

 

00LvekmanJe la léchais bientôt abondamment et tentais parfois de pénétrer son vagin avec ma langue; tantôt je tournais autour de son clitoris, tantôt j'avalai littéralement sa vulve et broutais son pubis Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi-même par la pratique du cunnilingus... Tout essoufflée, c'est elle qui m'arrêta pour se jeter à son tour sur mon sexe. Elle n'avait pas l'air très à l'aise, mais elle s'appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude adopter, et je lui caressais les cheveux pendant qu'elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez excitants. Comme je l'avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l'arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche... 

 

- Tu veux jouir, me dit-elle?

- Je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps...

 

Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant : 

 

- Laisse toi allez: tu peux éjaculer si tu veux...

 

Je l'arrêtai encore.

 

- Tu sais, je ne sais pas si le goût de mon sperme est bien agréable...

 

Elle continua ce qu'elle avait commencé en me disant soudain : 

 

- Ejacule dans ma bouche! je veux que tu le fasses !

 

Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effréné, je sentis l'orgasme m'envahir progressivement; je balbutiai que j'allais jouir pour lui laisser encore le choix d'éviter la décharge en pleine bouche: ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l'intérieur d'elle. je fus longtemps secoué par les spasmes de l'éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littéralement plein la bouche; à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu'elle ne pouvait contenir! 

 

Ma partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu'elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier... 

 

N'étant pas un surhomme, j'aurais été en mal de continuer à lui faire l'amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m'était provisoirement interdite... A dire vrai, je n'en éprouvais même plus l'envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant; je ne me souvenais d'ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps.

 

Elle se rendit à l'évidence sans me faire de remarque désobligeante, puis l'informant qu'il me fallait satisfaire un besoin bien naturel, elle me regard fixement, la bouche entr'ouverte avant de me demander :

 

- Laisse moi boire ton urine !

 

Je resté bouche bée, incapable de répondre, elle insista.

 

- Je t'en prie, fais-moi ce cadeau, j'en ai trop envie.

 

Alors j'ai fermé les yeux et j'ai commencé à pisser. Quand je les réouvert,, je constatais que ma belle inconnue avait positionné sa bouche sur la trajectoire de mon jet et avalait ce qu'elle pouvait sans se départir d'un énigmatique sourire.

 

Ensuite nous allâmes à pied chez elle pour prendre un verre ensemble. Après avoir discuté une partie de la soirée, nous nous étreignirent de nouveau et je pus enfin la pénétrer profondément et avec délectation. Nous fîmes l'amour lentement et longtemps, avec une étrange complicité, comme si nous nous étions toujours connus. 

 

Je n'aime pas prendre les filles par l'arrière. J'aime pouvoir les embrasser et les regarder dans les yeux pendant que je les pénètre: j'aime beaucoup quand elles montent sur moi et me donnent du fil à retordre... j'aime les tenir par les hanches pendant qu'elles font rouler leur bassin et soulèvent rythmiquement et lentement leurs fesses avant de s'empaler à nouveau profondément sur mon pénis... J'aime quand elles arrêtent leur danse sensuelle juste avant que mon sexe ne sorte de leurs lèvres chaudes et sonores, j'aime quand elles prolongent cet instant subtil avant de redescendre inexorablement jusqu'à ce que nos pubis se percutent un peu violemment. 

 

Ce soir-là, cette femme m'offrit tout ce que j'aimais le plus; en retour, je l'ai fait jouir jusqu'à ce qu'elle soit presque tétanisée sous les puissantes vagues de son orgasme féminin, où son vagin enserra puissamment ma verge pendant près d'une minute tandis que sans un geste et le regard flou, je vacillais finalement comme étourdi par le brasier intérieur du plaisir, alors que je laissais couler de mon pénis les lourdes larmes blanchâtres et visqueuses qui affluaient du plus profond de mon ventre vaincu.

 

D'après un récit anonyme paru sur le site de Sophiexxx en 2000

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 09:27

Crème solaire par Elian Lvekman

 blob

 

 

C'était l'été dernier, l'été de mes 20 ans, je m'étais fort mal remis de ma rupture avec Suzy et j'étais parti rejoindre ma mère dans sa location de vacances près de Nîmes.

 

Il faisait très chaud sous un ciel sans nuages et nous étions allongés, ma mère et moi sur de grandes serviettes de bain sur la terrasse de la location. Le calme de l'endroit n'est troublé par instant que par le passage de quelques mouettes rieuses.

 

Ma mère bronzait en maillot de bain. A cinquante ans, elle est restée une très belle femme, fausse blonde, corps désirable. Combien de fois ais-je fantasmée sur elle ?

 

Elle me demanda au bout d'un moment de lui passer de la crème solaire dans le dos... je ne lui répondis pas non et commença à étaler le produit... Quand j'eu fini de la tartiner, elle me demanda de lui en appliquer de l'autre côté... ce que je fis... j'étalais de nouveau la crème mais en évitant de lui toucher les seins... de tout façon elle avait son maillot. Mais soudain elle défit son haut et me demanda de lui en mettre sur la poitrine. Je devins alors tout rouge de confusion.

 

- C'est gênant…

- Ça ne va pas te tuer à ce que je sache !

- Non mais tu es ma mère !

- Sans blague ! Je ne te demande pas de faire quelque chose d'illégal ! Je n'ai pas vu de panneau "Interdiction de passer de la crème sur les seins de sa mère."

 

Elle rigola de sa plaisanterie, finalement elle dédramatisait la situation et du coup de me lançais et sans rien dire je commençai à caresser ses seins... des seins magnifiques... Le soucis c'est que je me tapais une érection du tonnerre de Dieu et que ma mère ne pouvait que s'en apercevoir

 

Au bout d'un petit moment, elle me dit que c'était son tour de m'étaler de la crème... après m'avoir recouvert le dos de crème, elle me fis me retourner, m'en mit sur le torse et en profita pour me pincer les tétons, un traitement auquel je suis loin d'être insensible. Excité comme un moustique, je perdais le sens des réalités et me décidais à accepter la situation quoiqu'il arrive.

 

- Mais tu bandes mon chéri !

- Euh…

- Ce sont mes caresses qui e font bander ,

- Peut-être bien, je ne sais pas trop…

- J'ai bien envie de voir ça de plus près.

 

Ma mère commença à descendre vers ma queue... je bandais comme un malade... elle mit sa main dans mon slip et commença à caresser mes burnes je ne pouvais dire un mot... elle me pris alors la main et nous nous dirigeâmes vers sa chambre... Sans que j'eu le temps de dire quoi que ce soit elle s'assit sur son lit enleva mon slip et commença à me sucer la queue, tout en m'introduisant un doigt dans le cul... je bandais tellement que j'éjaculais comme un taureau dans sa bouche... je cru qu'elle allait m'engueuler mais pas du tout elle avala tout... elle m'allongea ensuite sur le lit; je bandais encore et elle s'empala le trou du cul sur mon pieu. Après quelques mouvements de haut en bas et de bas en haut, je jouissais de nouveau tandis que ma mère prenait son pied. Ma bite ressortit maculée de sperme et de merde, elle me nettoya tout ça sans aucune réticence.

creme

Elle quitta la chambre me laissant abasourdi en me disant simplement  

 

- Il ne s'est rien passé, ce n'étais qu'un coup de folie, nous sommes bien d'accord 

- Pas de problème !

 

Le lendemain matin nous prenions notre petit déjeuner ensemble, ma mère était revêtue d'un peignoir de bain qu'elle avait oublié de refermer. Voilà qui sentait la provocation.

 

- Si on remontait cinq minutes dans la chambre  ? Me dit-elle en se passant vicieusement la main sur son téton gauche.

- Je croyais que…

- Il ne s'est rien passé hier, il ne se passera rien aujourd'hui.

- Dans ce cas…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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