Elian Lvekman

Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 06:51

La créature de la plage par Elian Lvekman

cupidon

Merci à Michel L sans lequel ce récit ne serait pas.

 

Bonjour, Ce récit commence un jour d’été très chaud, je suis un homme d’une trentaine d’années. Je portais ce jour-là une casquette noire à la mode et aussi des lunettes fumées à petites montures. J’avais décidé d’aller me faire bronzer à la Playa del Corrazon. Un site merveilleux pour la pratique du naturisme.

 

Arrivant à destination, je marchais le long de la plage et approchais ainsi de plus en plus des corps intégralement dénudés. J’avais chaud, glacière verte à la main, sac à dos rouge et chaise de plage à l’autre main.

 

Mon regard commençait à s’enivrer de la vision des femmes et des hommes nus et déjà bien installés sur le sable chaud.

 

Je trouve une petite place parmi cette mosaïque de chair humaine bien bronzée.

 

Je me dévêts, puis aperçois une femme qui pose un regard sur moi. J’aime cette sensation de savoir qu’elle me dévisage tout discrètement. Je vois bien qu’elle reluque mes fesses, ma queue, mes cuisses assez musclées. J’en attrape même une petite érection toute discrète. J’essaie de me changer les idées car je me dis qu’une bandaison publique me compliquerait les choses.

 

Je place donc ma chaise et ma serviette. J’ai un regard amusé vers cette serviette. Je l’aime bien, c’est ma serviette fétiche, elle m’a toujours porté bonheur. Elle est lignée de plusieurs couleurs, du vert, du jaune, du rouge, du bleu et du mauve. Je me suis astucieusement placé de façon à ce que cette femme voie toujours mon membre se faire bronzer au soleil chaud.

 

Au soleil, mes testicules dansent et deviennent très mous, et mon scrotum très bas, mon pénis s’allonge et devient tout doré ! J’écarte davantage les jambes pour qu’elle puisse voir sous mes couilles, mon entre jambe et un peu de mon anus. Ne voyant pas mon regard grâce à mes lunettes de soleil, cette jolie femme prend plaisir à regarder mon organe génital et mon corps. Elle est couchée de dos face à moi. A peine une dizaine de mètres nous séparent. Pas un mot ne se prononce, mais nous savons tous les deux que nous nous apprécions mutuellement.

 

Par cette chaleur torride, je décide de me lever.

 

Elle me regarde avec encore plus d’intention ! Un regard fixe à mes yeux et à ma queue. Je peux voir ses jambes ouvertes me dévoilant à son tour son sexe, ses lèvres, cette chair qui ne demande qu’à être goûtée par ma bouche au soleil ardent. Ses seins déjà passablement bronzés, m’invitent déjà à les prendre comme des lingots d’or, une richesse et de ce fait, une beauté inestimable. Des seins bien ronds et au mamelon à faire rêver.

 

Le temps d’avoir retiré casquette et lunettes, elle découvre mes yeux en ce moment profondément vicieux et concupiscent de désir.

 

C’est alors que je me dirige vers l’eau, elle regarde mes petites fesses se dandinant de droite à gauche, les yeux littéralement fixés sur elles. Sa bouche devient gourmande de me manger mes petites joues.

 

Elle se décide à son tour de venir à l’eau. Je ne me doute pas de son arrivé. Je suis de dos pour elle et assez loin de la rive. Personne autour de moi. Je suis immobile face au large, l’eau au nombril et par conséquent ma queue qui flotte comme une petite bouée à la mer.

 

Soudainement, son visage surgit de l’eau peu profonde. Elle apparait tranquillement et ses yeux fixent ma bouée. Précédé d’un seul regard, elle pose sa bouche et sa langue sur mon membre surpris par la tournure de l’événement. Elle empoigne mes testicules et commence à me sucer doucement. Mon gland se gonfle dans cette bouche qui ne veut qu’une chose, me goûter, m’avaler.

 

Durant ce temps je me mets à regarder autour de moi et d’un air inquiet regarde si personne ne nous a vu faire. Non ! Personne en vue, nous sommes bel et bien seuls à cet endroit précis du plan d’eau.

 

Elle délaisse alors mes testicules pour porter un doigt à mon anus. Moi immobile et faisant semblant de rien pour ne pas nous faire repérer, j’écarte légèrement les fesses pour laisser passer son index sinueux à l’intérieur tout en continuant de me faire une fellation. Mes fesses se contractent légèrement par-devant, sentant ainsi son doigt dans mon cul tandis que ma verge devient très grosse dans sa bouche. Je ferme les yeux pour laisser mon esprit s’envahir par une nuée de fantasmes.

 

Le temps de rêvasser quelques instants, elle se retire soudainement.

 

Non ! Plus rien ? Je ne me pose pas de question. Je reste immobile pour quelques instants. Le temps pour nécessaire pour elle de regagner la rive et sa place. Moi, durant ce temps, mon sexe en profite pour débander et reprendre sa longueur normale de petit poisson.

 

Je regagne ma propre place avec un rythme cardiaque qui n’a pas décéléré. Plus j’approche de mon espace, plus mon cœur s’emballe. Elle, couchée au soleil et mouillée de partout m’observe, le regard désireux de renouveler l’expérience, ses jambes encore plus écartées pour me montrer son sexe humide de l’excitation récente. Elle a une main sur un sein, se pinçant ainsi le mamelon assez discrètement pour ne pas se faire voir.

 

J’arrive à destination, prends ma serviette de place, m’essuie le visage, remets ma casquette et mes lunettes en la regardant. Je m’allume une cigarette gauchement et en me levant pour une petite promenade, je la regarde avec insistance.

 

Elle a compris mon message de me suivre. Je marche sur la plage et elle me suit à une cinquantaine de mètres. Elle s’amuse même à essayer de mettre ses pas sur les miens dans le sable. Les yeux au sol. Moi je sais qu’elle est derrière moi.

 

Je décide d’accélérer la cadence de mes pas. Elle ne se rend pas compte que notre écart augmente car elle jette un œil trop rapide sur moi, et elle est concentrée sur mes pas imprimés dans le sable mouillé.

 

À un moment, elle lève les yeux et découvre que je ne suis plus devant elle. Un peu paniquée et inquiète, elle se met à me chercher du regard et m’aperçois à la limite du petit bois longeant la plage alors que je m’apprête à disparaître dans les buissons. Angoissée et du même coup inquiète, elle décide de me suivre, mais sans me voir désormais.

 

Elle entre donc à son tour dans la végétation et commences à me chercher. Elle avance tranquillement, sn cœur prend un rythme fou, elle est excitée, mouillée à l’idée de me retrouver. Elle est comme à la chasse à l’homme, mais pour une chose très précise : une sauvageonne dans le bois qui traque sa proie sexuelle.

 

Moi, la voyant s’approcher de plus en plus, je décide de me coucher par terre et entreprends de me masturber, espérant ainsi qu’elle me verrait et entendrait mon souffle s’accélérer. Elle a donc deux sens très aiguisés pour trouver ma piste. Elle marche un peu accroupie, prête à me sauter dessus. Elle ne me voit pas encore mais entends mes rauques gémissements sexuels. Je n’en peux plus d’attendre, je décide de précipiter les choses en faisant bouger les branches d’un buisson à mes côtés. Elle me retrouve, enfin ! Elle a su me rejoindre sans me voir, je l’ai juste un peu aidé à la fin !

 

Elle se met à quatre pattes comme une tigresse, les fesses et le sexe bien exposés vers le ciel, sa chatte mouillée et dégoulinante sur son passage, marquant ainsi son territoire sexuel. Moi, la voyant approcher au travers des buissons je deviens de plus en plus excité et dur, frottant ainsi mon membre et mon gland prêts à la recevoir, mes testicules chauds et dorés guidant le chemin qui sera le sien.

 

Elle arrive donc à moi. Elle écarte tout doucement le buisson qui tout à l’heure l’empêchait de me voir et elle découvre ma bite bien raide à quelques centimètres de sa bouche. Une bite décalottée, dorée, nervuré comme elle doit les aimer, un gland à faire rêver, mes boules dans leur sac pendant sur mon anus rosé. Elle est donc invitée à me prendre comme jamais elle n’a pris un homme. Un homme complètement nu devant elle, un homme à sa merci, un homme se donnant à elle.

 

Mes jambes sont donc ouvertes tout en me masturbant, elle approche encore plus près quand elle aperçoit sur le sol parmi les brindilles une sorte de petit bâton bien lisse au bout bien rond. Elle a l’idée de le prendre sans que je sache ce qu’elle va en faire. Elle s’avance vers moi, prends sa main et me cache les yeux. Que vas-t-elle me faire ? Je n’angoisse pas un instant m’abandonnant ainsi à elle complètement.

 

C’est alors qu’elle prend à deux mains ce curieux bâton pour me l’introduire en moi doucement, à deux mains. Elle avait pris le soin de l’enduire du jus coulant de son vagin pour faciliter son passage secret. Elle me titille l’anus avec le bout, me prends les testicules les relevant ainsi pour dégager mon entrée secrète. J’étais déjà assez dur, elle reprend à deux mains le bout de bois, (il doit faire environ cinq centimètres de diamètre) et me l’enfonce dans le rectum, sachant que mes jambes sont bien écartées et mon cul en l’air.

 

Elle l’enfonce et le retire, caressant mes entrailles interdites. Elle pose sa bouche sur mon gland le faisant ainsi disparaître pour un moment. Elle me suce donc tout en m’enculant avec l’aide de la nature !

 

Après un certain temps, elle décide de me baisser les jambes et de venir m’embrasser tout en laissant en moi ce corps étranger me donner de bonnes sensations.

 

Ma queue bien en l’air, elle décide de s’asseoir dessus. Donc tout doucement et en prenant le soin de diriger ma queue vers son sexe, elle me l’enfonce très profondément en elle, ses mains s’agrippant à mon torse poilu. Elle commence à faire des va-et-vient ondulatoires en imprimant des mouvements à son bassin sonnant ainsi la cloche de la récréation. Je lui prends les seins, énormes et bien ronds, je me cambre vers l’avant pour y goûter les mamelons, et cela les deux en même temps, rapprochant ainsi ces derniers l’un de l’autre. Sa tête part en arrière, me laisse deviner l’énorme plaisir qu’elle a à se laisser aller sur cet autre  » bout de bois « . Je la pénètre et elle me pénètre. Une sensation des plus divines et des plus excitantes s’emparent de nous.

 

Elle avait les yeux fermés. Soudain, elle les ouvre… pour s’apercevoir que nous sommes observés par un autre homme errant non loin de nous. Sur le coup, le temps d’une demi-seconde, elle devient mal à l’aise, mais la réalité la rattrape bien vite. Cela l’excitait donc que l’on la regarde s’appliquer à nos ébats sexuels. Moi, j’étais toujours dans cette magie sexuelle, j’avais les yeux fermés et ignorais que nous étions observés.

 

Elle se met à lui faire un sourire, un certain sourire qui l’invite à nous rejoindre. L’homme déjà bien bandé par l’excitation visuelle et tout en se masturbant s’approche de nous. Il se met lui aussi à quatre pattes, il s’approche d’elle et se met en position à genoux pour lui montrer son énorme membre viril de 17 centimètres de long. Elle n’en revient pas. Moi, je la regarde soudainement pour découvrir la présence de cette queue entre elle et moi ! J’ai un petit moment d’hésitation mais me rassure d’un seul regard. Elle empoigne alors ce dernier pour commencer à le sucer. Sa bouche très grande ouverte commence l’opération buccale. Moi voyant cela, recommence à la pénétrer plus fortement. Elle avait deux membres bien durs en elle. Elle est heureuse de pouvoir enfin réaliser ce grand fantasme interdit.

 

Elle sent en elle ce qu’elle sent dans sa bouche. Elle est absolument au septième ciel. Je lui donne la jouissance que l’autre homme lui donne. Elle sent tout son corps vibrer à nos rythmes respectifs. Sa main sur sa tête poussant cette dernière un peu plus profond sur son sexe et moi mes mains sur ses hanches poussant ainsi son sexe plus profond sur le mien.

 

Elle abandonne un moment la fellation de ce bâton de dynamite et se met à nous regarder alternativement plusieurs fois de suite sans prononcer un seul mot. Elle reprend le pénis bien gonflé de l’homme pour l’approcher de ma bouche et de la sienne en même temps. Elle commence à m’embrasser et à me présenter cette verge très dure devant mon visage. C’est à ce moment que je comprends qu’elle souhaite que je la suce avec elle. Moment d’hésitation. Son regard persiste, à la fois coquin et implorant. Je m’incline devant son désir ardent de prendre en bouche avec elle cette ravissante chose. Elle continue de m’embrasser et place cet énorme pénis entre nos quatre lèvres très mouillées. L’homme commence des va-et-vient, se masturbant entre nos deux bouches bien collées. Je recommence l’opération du lapin en elle. J’ai alors une étrange sensation de désir jamais ressenti auparavant. Je suis encore plus dur de par ce contact buccal. Je rends ce qu’elle recherchait, une dureté jamais vécue a envahi mon membre déjà assez dur ! Merci. ! Elle commence à se dandiner sur moi, l’homme va de plus en plus vite et moi de même. Tous les trois formons une bombe bien huilée prête à exploser d’un moment à l’autre.

 

Soudain l’homme s’écrie : « Je vais venir ! » Première parole entendue depuis le début de cette triple rencontre ! Il se retire à peine de nos deux bouches et commence à se masturber à l’aide de sa main. Nous, nos deux bouches ouvertes, joues bien collées, attendions ce moment de vérité qui allait être ma première expérience gustative de la semence masculine. Je continue à la pénétrer fortement pour qu’elle puisse et moi aussi, exploser en même temps que l’inconnu.

 

Et soudain, ça y est ! J’explose en elle par de forts jets de sperme chauds qui aurait percuté son col d’utérus, si je n’avais point chapeauté d’un condom mon engin reproducteur. Je ne lui arrose donc les entrailles que dans mon esprit. Elle cri du même coup, la mèche de sa bombe est consumée. Elle explose de plaisir et de jouissance, moi en même temps je m’agrippe à ses seins et nous jouissons en même temps.

 

Siren89Puis l’homme éjacule à son tour. de grands jets puissants atteignent en premier ses yeux gourmands et sa bouche fixant ce gland arroseur. Et c’est à présent mon tour de recevoir d’autres giclés de sperme, mais cette fois-ci atteignant la cible. Ma langue avait tout de même servi de bouclier prévenant l’arrivé trop rapide de cette liqueur dans le fond de ma gorge. Je la pénètre toujours.

 

L’homme venu s’est retiré tranquillement, a reculé de quelques pas. Elle décide de m’embrasser comme pour me remercier, me remercier de lui avoir fait l’amour, me remercier d’avoir accepté ses fantaisies, par passion et excitation.

 

Et puis elle s’accroupit au milieu des brindilles, dans une position obscène, comme si elle s’apprêtait à uriner sur le sol. Et je n’en crois pas mes yeux, là devant moi, elle fait pipi dans la nature. Malgré moi ce spectacle me fascine. Ce petit jet doré sortant de cette si belle chatte est un spectacle de premier choix. Mais elle s’arrête. Je ne comprends pas et j’ai bien l’impression qu’elle s’est retenue de tout lâcher. De nouveau elle t’approche de moi, me souris, puis se souvenant qu’il un avait un bâton en moi, me le retire d’un coup sec. Elle me demande de m’allonger sur le sol. Et elle me chevauche, à moitié accroupie, poursuivant son pipi un moment interrompu, mon sexe se mouille de son urine tandis qu’elle avance vers le haut de mon corps m’aspergeant les tétons et le cou. Rien ne semble pouvoir arrêter sa progression, et devinant ses intentions j’ouvre une large bouche recueillant les dernières gouttes de sa douche jaune comme le soleil.

 

Elle se lève d’un seul bond, regarde l’inconnu déjà au loin, me tends la main pour me relever, triomphante devant sa proie. L’allure fière, les seins bien sortis du thorax et sexuellement désirable encore, mon sperme et son urine coulant sur ses jambes. Elle me relève donc, se tournant vers la mer et reprenant en sens inverse le même chemin d’où nous étions venus. Je me mets à marcher derrière elle à une vingtaine de mètres, d’un pas un peu saoul dans ma démarche, indiquant ainsi sous les regards des étrangers que je viens de tomber sous les griffes…

 

…d’une sirène qui tient un pied bien sur terre.

 

© Elian Lveckman

Rewrinting d’une nouvelle signée Michel L, intitulé « Douce Sirène » et parue sur le site SophieXXX en 1999

Première publication sur Vassilia, le 04/11/2001, révisée en mai 2009

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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 06:47

L’amant de ma mère par Elian Lvekman

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J’ai 23 ans et j’habite toujours chez mes parents. Cette histoire a commencé le jour où mes horaires ont changé, mon patron m’a fait passer en quatre-cinquième et je libérais les après-midi du jeudi et du vendredi.

 

N’ayant rien d’autre à faire ce jour-là, et le temps étant incertain, je rentrai donc à la maison et je vis dans l’entrée une voiture que je ne connaissais pas, je pensais à un voyageur de commerce ou à un réparateur quelqconque quand j’entendis des bruits caractéristiques venant de la chambre parentale. Je m’approchais à pas de loup et entrebâillais la porte.

 

Et là je vis ma mère se faire culbuter par un bonhomme que je n’avais jamais vu.

 

Je matais…

 

Ma mère… ah oui, il me faut la décrire… 53 ans, belle brune, cheveux mi-courts, bien charpentée, peut-être quelques petits kilos de trop. Donc ma mère disais-je, complètement nue se faisait prendre en levrette par un ce grand brun moustachu qu’on ne m’avais jamais présenté.

 

L’homme y allait de ses coups de boutoir avec une telle énergie que le couple finit par pivoter légèrement sur la droite ce qui me permit de mieux distinguer le détail de la pénétration. Je pu alors constater que c’était dans l’anus de ma génitrice que le salopard s’astiquait la queue.

 

En un mot comme en cent, ma mère se faisait enculer… et moi au lieu de m’en offusquer, je bandais comme un malade.

 

Ma mère piaillait comme un damnée et finit par pousser un cri guttural. Elle fit un geste à l’homme que je ne compris pas, mais celui-ci sortit sa queue et la donna à ma mère qui la pris en bouche.

 

La chose se termina assez vite, l’homme se raidit dans un spasme. Du sperme coula des commissures de lèvres de ma mère.

 

Non mais quelle salope !

 

Ne pouvant plus tenir, je montais dans ma chambre et me branlais comme jamais, puis au bout d’un moment, alors que j’étais soulagé, j’entendis en bas, le type prendre congé en disant.

 

– A jeudi prochain même heure !

 

Voilà qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. C’est ainsi que pendant cinq semaines si j’ai bien compté, je matais ma mère en train de forniquer.

 

Et ce soir-là, ma mère m’interpella

 

– Dis donc petit cochon, tu pourrais être plus discret !

– Pardon ?

– C’est pas joli, joli de jouer au voyeur.

– Je ne sais pas ce qui m’a pris… balbutiais-je

– Peu importe, ce n’est pas grave ! Dis-moi ça t’a excité de regarder ta mère faire l’amour ?

– Euh !

– Figure-toi que mon copain, il s’appelle Marc, il a un fantasme, il aimerait qu’on le regarde quand il est en train de me baiser. Il m’a proposé de faire venir un ami, mais j’ai refusé, les gens sont tellement peu discrets. Mais si c’est toi, ça ne sortira pas de la famille.

– Non, mais t’es sérieuse, là ?

– Evidemment que je suis sérieuse, et puis je vois que ma proposition t’excite, n’est-ce pas ? Me dit-elle en me mettant la main à la braguette.

– Mais enfin maman !

– Ben quoi t’es majeur, on ne fait de mal à personne. Et puis tu verras mieux, tu seras tout près, tout près de moi. Touche-moi les seins , je suis sûr que tu en rêvais depuis longtemps.

 

Comme dans un rêve, je caressais ses gros nichons par-dessus son petit haut imprimé et j’ai donc accepté, mais les choses se sont passées un peu différemment que ce que j’imaginais.

 

Marc arrive, on se serre la main, et je m’installe avec lui sur le canapé. ma mère se dandine un peu et nous fait un rapide strip-tease

 

Je commençais à me sentir très à l’étroit dans mon pantalon, et mes mains ne savaient pas où se poser. J’étais tellement fasciné par le corps de ma mère que j’avais oublié où j’étais. Je fus très surpris lorsque je sentis une main se poser sur ma nuque. Ma mère s’était installée à ma droite sans que je m’en aperçoive ! Elle approcha sa bouche de la mienne et nous échangeâmes un baiser délicieux. Mon sexe commence à étouffer et elle pose une main dessus. Elle regarde son amant et lui dit :

 

– Je crois que l’on peut commencer, il est chaud !

 

Elle libère ma bite de sa braguette, pose ma main dessus, la masturbe un tout petit peu et me dit à l’oreille :

 

– Regarde-nous maintenant, tu es là pour cela non ?

 

Ma mère s’installe alors entre les genoux de son amant et commence à défaire son pantalon. On devine l’érection de Marc, son boxer est tendu et elle le mordille doucement. Elle sort une belle queue et la lèche, en prenant le temps de l’humidifier avec la langue. Toute la verge devient luisante de salive et ma mère ne manque pas une occasion de nous regarder avec un œil vicieux, son amant et moi. Mon sexe raide est caressé par ma main, qui entame une lente masturbation.

 

Le spectacle de cette fellation me fascine. Marc semble planer, il regarde son amante avec des yeux pleins de gentillesse et de plaisir. Ma mère revient vers ma bouche, ses lèvres sont blanchies par une liqueur particulière que je trouve, à ma surprise, délicieuse.

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Elle m’embrasse à nouveau et me demande de me placer derrière elle pour la caresser. Je me régale du spectacle offert, une superbe croupe nue. Mes doigts confirment mon impression : Ma mère est aussi excitée que nous. Ses lèvres luisaient et mes doigts glissaient sans peine. Marc bandait fermement sous l’action de ma mère qui avait repris sa fellation. Elle le caressait à la base des testicules et sa verge disparaissait dans une bouche exquise. Je posais mon sexe à l’entrée de celui de ma mère et je me penchais sur son cou pour sentir son parfum envoûtant. Ses cheveux caressaient ma tête et je l’embrassais sur la nuque en me perdant dans sa chevelure. Je lui caressais ses seins. Ses tétons avaient durci et je bandais en elle. Je sentais une chaleur torride qui enveloppait mon sexe et je me battais contre moi-même pour ne pas jouir. Mais une de ses mains agrippa mes couilles et je ne pus me retenir. Nos sexes étaient inondés par mon sperme et je m’allongeais sur elle, la tête contre son visage. Elle suçait toujours Marc.

 

Pour la première fois de mon existence je sentais une queue proche de moi. Elle me glissa quelques mots à l’oreille, me demandant de l’aider à lécher Marc.

 

– Laisse glisser ta langue en mouillant son sexe.

 

Je n’avais pas bien compris; elle recommença, après avoir mouillé mes lèvres de sa langue trempée :

 

– Pose tes lèvres sur son sexe et embrasse-le. Ensuite branle-le doucement et remonte avec ta langue le long de sa bite.

 

Elle me caressait maintenant la nuque et accompagna ma succion de la sienne. De temps en temps nos lèvres se rencontrèrent. Elle me dit que Marc allait jouir et qu’il fallait que je laisse venir dans ma bouche.

 

– Tu vas sentir son sperme jaillir. Ta bouche sera inondée.

 

En effet, Marc éjacula et je sentis le sperme venir sur mes lèvres et ma langue. Pendant ce temps ma mère m’embrassait et me branlait doucement.

 

– Maintenant tu le suces avec tes lèvres pleines de sperme et tu nettoies tout… Fais le doucement…

 

Marc gémissait et je bandais en sentant ce plaisir partagé.

 

Mais elle ne put s’empêcher de le sucer elle aussi. Elle posa sur cette belle verge une main trempée de foutre et de mouille… Je léchais ses doigts avec une délectation que je ne connaissais pas… J’avais adoré faire une fellation à un homme sous les ordres de ma mère.

 

– La prochaine fois, il t’enculera ! Me dit ma mère ! Tu verras c’est bon.

– Oui maman !

 

fin

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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:47

Une lettre de 1933 par Elian Lvekman

1933

 

Voici une lettre dégottée dans un carton de vieux papiers en brocante

C’est authentique (voir photo), et croustillant !

 

Roanne, le 20/Nov1/33

 

Chère amie

 

J’attends de tes nouvelles depuis déjà longtemps ? Que fais-tu ? Moi ça va bien, je vais te raconter ce qu’il m’est arrivé la nuit passée. Tu sais que je couche dans la même chambre que mon frère au 1er. Tout d’un coup dans la nuit que se passe-t-il ?Il vient dans mon lit, j’étais heureuse car je me doutais bien de ce qu’il voulait. Tu sais qu’il a 22 ans , je suis plus jeune de 6 ans .J’ai fait semblant de dormir, il m’a pris dans mes bras, il m’a embrassé, ensuite il a sucé mes seins l’un après l’autre. Que c’était bon, avec ses doigts il caressait mon bouton, je me suis (réveillée ?) et il est alors descendu plus bas et puis il a sucé mon bouton et avec son doigt il caressait mon vagin. Je voulais lui faire plaisir aussi avec ma main, je lui caressais sa verge, je l’ai sucé bien fort, ça m’excitait encore plus. Je jouissais et lui aussi : il s’est arrêté alors j’ai pris sa tige et je l’ai mise dans mon sexe. Que c’était bon. J’avais croisé mes jambes dans son dos et puis je remuais, je sentais sa verge partout. Il s’est arrêté et m’a encore sucé. Alors j’ai joui très fort. Je recommencerais souvent c’est bien bon et puis un frère, il fera attention. Je n’ai rien à craindre avec lui, il fait bien faire l’amour. Ne me juge pas, ce n’est pas du vice, c’est aimer le plaisir. Toi tu vas bientôt te marier, tu auras toutes ces caresses mais moi je suis toujours jeune. Le temps me (dure ?) Je te quitte, à bientôt de te lire .(….?) Baisers

 

Ta Simone

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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:07

Karine et son chat par Elian Lvekman

 

Mat Stamp

 

Salut, je m’appelle Vincent, j’ai 26 ans et je vais vous raconter une aventure fort étrange mais néanmoins bien agréable, qui vient de m’arriver.

 

Cet été-là, ma copine m’ayant quitté, je passais des vacances en solitaire dans le Languedoc-Roussillon.

 

Comme quasiment tous les soirs vers les 18 h, j’étais sur la bord de la plage en train de lire un bouquin érotique que j’avais acheté d’occasion et dont le ton primesautier me convenait fort bien. Tout en me délectant de ma lecture, je regardais les nanas sur la plage, et bien que l’on soit début juin, il y avait de jolies petites foufounes à se faire dorer.

 

C’est ce jour-là que je vis passer une superbe femme, la quarantaine passée, que j’avais déjà remarquée la veille au soir en compagnie de son mari. Elle portait un maillon de bain deux pièces très sexy et très échancré, de couleur jaune qui faisait ressortir son teint hâlé, avec un paréo jeté sur ses épaules, blonde (une vraie, j’ai pu le constater plus tard) avec un corps somptueux, à faire pâlir les minettes de 20 ans… Alors qu’elle remontait en direction de la route, elle passa près de moi, me dévisagea sans aucune gêne, me fit un magnifique sourire et me demanda si par hasard je n’aurais pas une cigarette.

 

J’accède bien volontiers à sa demande, et après avoir allumé la clope, elle porte un regard amusé sur le bouquin que je suis en train de lire.

 

– Vous lisez du Zola ?

– Pas exactement !

– C’est intéressant ?

– Un peu coquin !

– Vous êtes seul ?

 

Je lui explique en deux mots.

 

– J’aimerais bien continuer à discuter avec vous, mais il commence à faire frais. Je vous paie un verre ?

– C’est moi qui vous invite ! Répondis-je.

– N’allons pas engraisser ces voleurs, ma location est à deux pas, venez donc.

 

Vous vous doutez bien que je me fis pas prier. Je l’accompagne jusqu’à sa résidence. Elle avait un cul superbe dans ce petit string jaune, il commençait à me venir des idées lubriques, aussi pour savoir où était son mari, je lui dis que je les avais déjà vus la veille au soir et lui demandai s’ils avaient passé la nuit ici. Elle me répondit que oui, et que son mari était parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée. Elle me servit un coca bien frais et je pus profiter du panorama de son p’tit cul tendu vers moi, quand elle se pencha pour le prendre dans le frigo. Elle se rendit compte rapidement que je n’avais pas le moral, je lui expliquai pourquoi, elle me dit que la vie était faite ainsi, et qu’il ne fallait pas baisser les bras, qu’il y aurait plein de nanas sur terre, et qu’il y en avait sûrement une pour moi.

 

Puis elle excusa, et elle partit se changer dans la chambre. Cette petite bourgeoise commençait franchement à m’émoustiller avec son p’tit air de chienne. Aussi je restai les yeux rivés sur la porte d’entrée de la chambre, qu’elle avait laissé entrouverte. Et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis cette dernière s’ouvrir. En effet Karine (c’est le prénom de cette charmante bourgeoise) se tenait dans l’encadrement de la porte, compétemment nue !

 

Elle remarqua mon regard plein d’envie, me demandant si je la trouvais désirable, je lui dis que oui, qu’elle était très bandante. Elle regarda vers mon maillot et ne put que constater que je ne mentais pas. Elle vint vers moi. Elle était vraiment très bien foutue pour une femme de son âge : des seins bien fermes, un p’tit minou taillé avec soin, des hanches et un cul à damner un saint !

 

Elle n’y alla pas par quatre chemins, me fit signe de la rejoindre dans la chambre, puis se pencha vers moi, m’embrassant à pleine bouche. Nos langues s’emmêlèrent, c’était divin. Je sentis sa main défaire le nœud de mon maillot et descendre vers ma queue, qui était déjà très tendue, elle me branla un peu puis se mit à genoux entre mes cuisses et sortit ma queue de sa prison de tissu. Elle prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup se l’enfila au fond de la gorge. Elle se mit à faire des aller-retours, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin ! C’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait pratiqué une fellation comme celle-ci !

 

Elle me caressait les testicules en même temps et d’un coup, je sentis un doigt caresser mon anus, puis d’un p’tit coup sec, elle me l’introduisit. Voilà une sensation que je n’ai pas connue depuis bien longtemps, mon ex ayant toujours refusé, malgré mes demandes discrètes, de toucher à ma rosette. Karine reprit de plus belle sa succion sur ma queue bien dure. Je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serais pas arrivé : elle était accrochée à ma bite comme une sangsue.

 

C’est alors que j’entendis un bruit bizarre provenant du dressing. D’instinct je regardais dans cette direction.

 

– T’inquiètes pas, c’est le chat ! Me rassura Karine, interrompant un court moment sa fellation pour la reprendre de plus belle.

 

La chambre se remplit de bruits de succion et de nos râles, je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dis. Elle se mit à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon : je lui déchargeai dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud.

 

Après deux ou trois jets, elle sortit ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux… c’était une vraie chienne… J’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille, aussi je la pris par la taille, je la couchai sur le lit et là elle m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêtait au début des grandes lèvres, le reste étant totalement épilé. C’était très excitant, je plongeai ma tête vers ce sexe gonflé par le désir et qui n’attendait que ça ! Mais si elle était experte en fellation, je ne pouvais pas prétendre à la pareille en matière de cunnilingus, mais néanmoins j’adore ça, je pourrais bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter.

 

Je titillai son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sûr je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait une abondante cyprine, (une vraie chienne je vous dis !) Elle mouillait comme une salope. C’était divin de laper ce miel qui coulait de son sexe. Tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduisis un doigt, puis deux dans le vagin. Elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe. Elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de ma langue, je montai à mon tour sur le lit et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur. Ne voulant pas perdre de temps, je la saisis par la taille, et nous voilà partis dans un 69 fort agréable, j’avais au-dessus de ma tête un cul splendide.

 

Je lui aspirai son clito, tout en la fouillant avec un doigt, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduisis dans l’anus. Elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea à en introduire un deuxième. Pas besoin de salive : elle était de plus en plus mouillée. Ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachai ma queue de la bouche et pris un préservatif dans mes affaires. Elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit, le prit dans la bouche et se baissa sur ma queue pour me l’enfiler avec la bouche. J’avais déjà vu faire dans un film X, mais jamais on ne me l’avait jamais fait.

 

J’avais vraiment eu une bonne idée de venir sur cette plage ce soir-là : j’étais tombé sur une salope en chaleur. Elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dis de se mettre à quatre pattes. Je frottai mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs. Je positionnai ma queue face à son vagin et d’un coup de reins, je m’enfonçai jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir. Je la saisis fortement par les hanches et je commençai à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claquer fortement contre son cul.

 

De nouveau le chat se mit à faire du bruit.

 

– Il est enfermé ?

– Non, non, il joue ! T’occupe pas, baise-moi !

 

Elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue au plus profond d’elle. Elle avait la tête et les épaules sur le lit, et se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond. Je voyais son petit œillet brun se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule. Ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, plaçai mon gland contre son anus, et je commençai à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles. Là elle donna un grand coup de bassin en arrière et ma queue la pénétra d’un trait. Je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençai à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort. Elle était déchaînée et remuait en même temps que moi.

 

Je lui défonçai littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir. Au bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirai de son p’tit trou et m’allongeai sur le dos. Elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va-et-vient… Elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui l’illuminait, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis la guida vers son anus et exerça un forte pression. Elle s’empala à nouveau l’anus sur ma queue, elle se déchaîna comme une folle sur celle-ci et d’un coup elle se raidit et partit en arrière. Elle venait d’avoir un orgasme foudroyant.

 

Je me remis sur elle et lui replaçai ma queue dans son vagin. Je repris de plus belle les va-et-vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi. Je me retirai, ôtai la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoyai la purée en plein visage. Elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel…

 

Je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, c’était pour l’hygiène, et que ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentils pour combler son manque de queue.

 

Karine

Vu qu’elle m’avait dit que son mari n’arrivait que vers les 22 h, je me levai pour aller chercher deux cigarettes, puis vient me rallonger près d’elle. Moment divin de détente après le plaisir… Pendant que j’allumai ma clope, Karine me caressait ma queue, qui avait débandé après tous les efforts fournis, elle branlait ma p’tite bite toute flasque, mais qui sous ses caresses expertes, commençait de nouveau à réagir.

 

Il n’en fallut pas plus à la jolie blonde pour se jeter dessus comme la syphilis sur le bas clergé breton. Elle recommença à me sucer d’une façon totalement divine : c’était le pied royal, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terribles accompagnées d’un mouvement de branlette. A ce rythme-là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche. Elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remit en bouche pour ne laisser aucune trace. Elle remonta vers moi, je l’embrassai à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme

 

Il fallait que je me lève pour pisser… Et c’est à ce moment que j’entendis de nouveau le chat se manifester, un drôle de bruit, comme un raclement étouffé.

 

– Il doit être coincé ton chat ?

– Mais non, ne t’inquiètes pas !

 

Mais voilà que le  » chat  » se met à tousser. Un chat qui tousse ? Imaginez mon trouble.

 

– Bon, ben sors, Robert ! On va s’expliquer ! Lance Karine à l’intention du placard.

 

Et voilà qu’un bonhomme rondouillard, moustachu et dégarni, nu comme un ver et la bite en étendard sort du placard.

 

– Pas de panique, je t’explique ! Me dit Karine, alors que je commençai à rassembler mes fringues.

– Je m’en vais, je m’en vais. Balbutiai-je.

– Mon mari est voyeur, il se régale de me voir me faire baiser par des hommes plus jeunes. Voilà, c’est tout simple.

– D’accord, OK, pas de problème, j’ai passé un bon moment, mais je vais peut-être partir, maintenant.

 

J’ai l’idée de m’enfuir à toutes jambes, mais le type à l’idée malencontreuse de rester planté au seuil de la porte, je ne peux tout même pas le bousculer.

 

– Allons, allons, jeune homme, acceptez donc un verre d’apéritif, la situation est insolite, mais n’a rien de dramatique. Me propose le bonhomme.

 

Je décide donc d’accepter de boire un coup et de partir après. En fait contre toute attente, le type se révéla super sympathique et plein d’humour, après quelques échanges de banalités, il me dit :

 

– Vous m’avez bien fait bander, comment vous l’avez bien baisée cette chienne ! J’adore la regarder se faire prendre, et comment vous l’avez enculée, c’était génial !

 

Et tout en disant cela il se tripote la queue qui devient bientôt toute raide.

 

– Tu veux qu’il te suce ? Me demande Karine.

 

Question incongrue, à laquelle je réponds par reflexe.

 

– Non, non, j’ai plus de jus, j’ai tout donné !

– Le contraire alors ?

 

J’ai du mal comprendre.

 

– Tu ne voudrais pas le sucer ? Insiste Karine

– Non, non ! Je ne fais pas ça !

– Ça lui ferait plaisir, je crois, et puis ça me ferait plaisir à moi aussi. Insiste Karine.

– C’est pas mon truc !

– Qu’est-ce que tu en sais ?

– Je ne suis pas attiré par les hommes.

– Mais on ne te demande pas d’être attiré par les hommes, on te demande juste de sucer une queue. Faut tout essayer dans la vie.

– Vous m’embêtez un peu, là !

– On n’embête que les gens qu’on aime bien. Encore un petit verre de Banyuls pour te motiver.

– Un demi-verre, alors !

 

Est-ce mon inconscient qui me guide, je viens de me rendre compte que je ne dis plus  » non « . Je bois une lampée d’apéro, je croise le regard de Karine : elle ne me dit rien, mais il est clair qu’elle attend  » que j’y aille « .

 

– Juste un peu, alors ! Je n’ai jamais fait ça, moi !

– Pas de problème ! Approuve-t-elle avec le plus délicieux des sourires.

 

Je me penche et j’engloutis la queue de Robert. Je suis agréablement surpris par la texture de son membre et de la sensation agréable de l’avoir en bouche. Mais je réalise aussitôt que je suis en train de sucer une bite et que ça ne me déplait pas. Quelque chose ne va pas, je me recule.

 

– Voilà, on avait dit juste un peu ! Commentai-je

– On va le sucer à deux, me propose alors Karine.

 

Je ne sais par quel miracle je me suis retrouvé l’instant d’après en train de partager la bite de Robert avec sa femme, mais cette fois rien ne nous arrêtait plus. Au bout de dix minutes, Robert eut le tact de se reculer afin de m’éviter de recevoir son sperme sur la figure.

 

– Tu restes pour diner ? Me proposa Robert.

– Pourquoi pas ?

– Et après si on est pas trop fatigués on jouera au chat !

 

Fin

 

Merci à Christian de Sophiexxx (site disparu) pour l’ambiance.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:03

Julie à la plage par Elian Lvekman

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Sur cette plage d’Aquitaine, on peut pratiquer le naturisme sauvage sans problème. J’étais à regarder les nanas sur la plage, et malgré que l’on soit début juin, il y avait pas mal de petites foufounes à se faire dorer, quand je vis remonter du bord de l’eau une superbe femme, la quarantaine passée, que j’avais déjà remarqué la veille au soir en compagnie d’un homme. Joli bronzage, seins superbes. Je m’assois sur ma serviette afin de ne pas la mater bêtement debout. Elle s’arrête pour ramasser quelque chose. Un coquillage ? Elle ne se presse vraiment pas, si elle ne comprend pas que je la mate, c’est qu’elle est miro ! Elle arrive à ma hauteur :

 

– Alors jeune homme, on se fait bronzer la bite ?

 

Imaginez ma surprise d’être ainsi interpellé de façon si triviale !

 

– Heu, bonjour, balbutias-je.

– Je peux m’assoir à côté de vous ? Demande-t-elle. Je m’appelle Julie.

 

Je pensais que vu sa réflexion, elle allait me brancher sexe, mais non on se met à discuter de banalités… de fil en anguille, on parle d’un peu de tout, elle m’indique que son mari est parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée.

 

Elle remarqua mon regard plein d’envie.

 

– Vous me trouvez comment ? Désirable ? Me demande-t-elle.

– Oh ! Oui ! Vous me faites de l’effet !

 

Elle regarda vers ma bite, et ne put constater que je ne mentais pas. Elle n’y alla pas par quatre chemins, elle se pencha vers moi, et m’embrassant à pleine bouche, nos langues s’emmêlèrent, c’était divin, je sentis sa main descendre vers ma queue qui était déjà très tendue, elle me branla un peu, puis se mis à genoux entre mes cuisses et prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup, se l’enfila au fond de la gorge, elle se mit à faire des aller-retour, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin, c’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait sucé comme ça, elle me caressait les testicules en même temps

 

Puis d’un coup je sentis un doigt caresser mon anus, et soudain, d’un p’tit coup sec, elle me l’introduit, en reprenant de plus belle sa succion sur ma queue, je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serai pas arrivé, elle est accrochée à ma queue comme une sangsue, la plage était remplie de bruits de succion et de nos râles.

 

Un petit regard circulaire ! Horreur il y a un mec à quinze mètres sur la droite qui nous mate en se tripotant la queue.

 

– Arrêtez, il y a un mec…

– On s’en fout, et puis ça ne me dérange pas, j’aime bien qu’on me regarde ! Me dit-elle.

 

Je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dit, et se mis à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon, et je lui déchargeais dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud. Après deux ou trois jets, elle sortit ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux… c’était une vraie chienne… j’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille.

 

Elle s’allongea et m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêtait au bord des grandes lèvres, le reste était totalement épilé, c’était très excitant. Je plongeais ma tête vers ce sexe gonflé par le désir qui n’attendait que ça, mais si elle était experte en fellation, j’en étais pas moins expert en cunnilingus, j’adore ça, je pourrai bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter. Je titillais son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sûr je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait un jus abondant, une vraie chienne je vous dis, elle mouillait comme une salope, c’était divin de laper ce miel qui coulait de son sexe, tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduit un doigt, puis deux dans le vagin, elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe, elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de sa langue.

 

Nous nous retrouvâmes ensuite tête-bêche, et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur, et nous voilà parti dans un soixante-neuf fort agréable

 

J’avais au-dessus de ma tête un cul splendide, je lui aspirait son clito, tout en la fouillant avec l’index, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduit dans l’anus, elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea, à en introduire un deuxième, sans avoir besoin de salive, elle était de plus en plus mouillé, ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachais ma queue de sa bouche, et pris un préservatif dans ma petite pochette, elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit et le pris dans la bouche et se baissa sur ma queue, elle me l’enfila avec la bouche, j’avais déjà vu faire dans une vidéo, mais jamais on ne me l’avait fait, j’avais vraiment eu raison de venir sur cette plage ce soir-là, j’étais tombé sur une salope en chaleur !

 

Elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dit de se mettre à quatre pattes, je frottais mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs, j’alignais ma queue face à son vagin et d’un coup de rein, je m’enfonçais jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir, je la saisis fortement par les hanches et je commençais à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claquer fortement contre son cul, elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue le plus profond en elle, elle avait la tête et les épaules sur ma serviette, et elle se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond.

 

Julie2

 

Je voyais sa p’tite rosette se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule, ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, positionnais mon gland contre son anus, et je commençais à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles, et là elle donna un grand coup de bassin en arrière et, ma bite la pénétra d’un trait, je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençais à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort, elle était déchaînée, et elle remuait en même temps que moi, je lui défonçais littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir, à bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirais de son p’tit trou et m’allongea sur le dos, elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va-et-vient, elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui lui donnait un autre aspect, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis le guida vers son anus et exerça un forte pression et s’empala à nouveau l’anus sur ma bite, elle se déchaîna comme une folle sur ma queue et d’un coup, elle se raidit, et parti en arrière, elle venait d’avoir un orgasme foudroyant

 

Je me remis sur elle, et lui remis ma queue dans son vagin, je repris de plus belle les va-et-vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi, je me retirais, ôtais la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoya la purée en plein visage, elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel …

 

Je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentils pour combler son manque de queue.

 

Julie me caressait de nouveau ma queue, qui avait débandée après tous les efforts fournis, elle branlait ma p’tite queue toute flasque, mais qui sous ces caresses expertes, commença à réagir, il n’en fallut pas plus à Julie pour se rejeter dessus, comme la misère sur le monde, elle recommença à me sucer d’un façon totalement divine, c’était le pied, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terribles accompagnées d’une branlette, à ce rythme-là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche, elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remis en bouche pour ne laisser aucune trace, elle remonta vers moi, je l’embrassais à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme.

 

Je me levai, regardant ce splendide corps nu de femme mature encore une dernière fois, nous nous embrassâmes, elle me remercia pour ce moment agréable … c’est moi qui la remerciais, car jamais on ne m’avait sucé comme ça, et cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas fait l’amour …

 

Et alors que j’allais m’éloigner, le voyeur s’approcha de nous, la bite à l’air.

 

– Félicitations jeune homme, vous avez admirablement baisé ma salope de femme !

 

Oups !

 

Je sens venir le traquenard.

 

– Rassurez-vous jeune homme, je n’ai pas de mauvaises intentions, j’adore la voir se faire baiser.

– Ah bon, ben, tout le plaisir était pour moi, bonne soirée.

– Juste une question ? Comment trouvez-vous ma bite ?

 

Ça y est j’ai compris, le mec est bisexuel ! Il s’y prend bien lourdement, je trouve ! Je vais l’épater, le bonhomme.

 

– Elle est très belle !

– Vous voulez la toucher ?

– Je peux même vous la sucer si ça vous fait plaisir, je ne fais pas ça souvent, mais à l’occasion ça ne me déplait pas du tout.

 

Et c’est l’exacte vérité, j’ai eu plusieurs fois l’occasion d’avoir une bite dans ma bouche, j’ai trouvé l’expérience plaisante, cela dit, je ne cherche pas non plus, je me classe comme hétéro, mais disons que je suis ouvert à la discussion.

 

Et l’instant d’après j’avais sa bonne bite dans la bouche. Je me régale de sa douce texture, de son goût légèrement fauve. Je lui titille le gland, je lui lèche la hampe, j’essaie aussi de gober ses grosses boules, puis je me livre à des va-et-vient intempestifs, bref je m’amuse bien.

 

Je ne me suis jamais fait sodomiser, mais je me suis souvent introduit un gode dans le cul, me faire enculer par un homme est un fantasme tenace. Et je me dis que si le mec me le propose, je tenterais volontier l’expérience.

 

Mais pour l’instant aucun signal, sans doute souhaite-il que je le suce à fond.

 

Je continue à le sucer, mais ce fantasme me taraude : « il va me le proposer ou pas ? ».

 

Je fais une pause, pour me reposer la mâchoire et là, je me jette à l’eau :

 

– Tu voudrais m’enculer ?

– T’es vraiment une petite salope, toi !

– Tu ne veux pas ?

– Mais si ! Je vais t’enculer comme une chienne.

 

Je me suis mis à quatre pattes, avec un peu d’appréhension quand même. Sa bite est entrée asse facilement, c’est plus gros qu’un gode, j’ai une énorme sensation de gêne qui s’accroit encore quand le mec se met à bouger là-dedans, j’ai failli lui dire d’arrêter, mais je me suis mordu les lèvres, me disant que ça allait s’arranger. Effectivement la gêne a rapidement fait place aux ondes de plaisir. Je me fais enculer et je suis bien. J’ai même trouvé que ça n’avait pas duré assez longtemps, le mec a joui rapidement et a déculé, me laissant le trou du cul béant.

 

– Alors content ? Me demande Julie.

– Content, mais crevé

 

J’attendais quelque chose, je ne sais pas quoi, une invitation pour un autre jour ou quelque chose dans le genre, mais non, on s’est dit aurevoir et je suis rentré faire dodo.

 

Le lendemain je suis allé sur la plage, j’ai attendu Julie, elle n’est pas venue, c’est la vie.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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