Elian Lvekman

Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:00

Josée, l’amie de ma mère par Elian Lvekman

Mat Stamp

Bonjour, je suis un jeune homme au chômage et pour me faire de l’argent de poche je fais du ménage chez des gens.

 

Un jeudi, Josée, l’amie de ma mère, appelle à la maison pour me demander si je peux venir faire le ménage aujourd’hui plutôt que le lendemain, moi pas compliqué, je lui réponds :

 

– Pas de problèmes j’arrive.

 

Je préviens ma mère.

 

– Ah, ça tombe bien, je devais lui rapporter son plat à tarte, prends-le, ça m’évitera d’y aller.

– Bien sûr

 

Josée à 50 ans, joli visage, un peu dodue, de belles formes, fausse blonde, frisée. Apparemment elle vit seule.

 

Cela ne fait qu’un mois que je fais le ménage chez Josée, les choses se passent toujours bien. Elle est gentille et souriante. Et puis elle a des gros nénés

 

Arrivé à la maison de Josée, celle-ci m’ouvre, elle n’est pas encore habillée et elle est vêtue d’un haut de pyjama ou plutôt d’un très long tee-shirt. Ses tétons pointent par en dessous. J’en suis tout chose

 

– Ah ! Maman m’avait demandé de vous rapporter votre plat à tarte, j’ai complètement oublié…

– Pas grave, elle viendra me le porter. Ah, aujourd’hui, j’ai un caprice, tu n’es pas obligé d’accepter, mais si tu acceptes, je double ta prime.

– C’est quoi ?

– J’ai retrouvé une tenue de soubrette, elle doit être à ta taille, j’aimerai que tu fasse le ménage avec. Ça va m’amuser !

 

Sa proposition ne me pose aucun problème et n’est pas trop compliqué, la tenue consiste en une espèce de tablier noir avec de la dentelle blanche, il y a aussi une petite coiffe ridicule et des bas auto-fixants.

 

Je passe tout ça !

 

– La culotte n’est pas assortie, c’est dommage ! Me dit Josée, je vais en chercher une.

 

Quand elle revient, elle me dit qu’elle n’a pas trouvé de culotte à ma taille mais me propose de ne pas en mettre. Elle est gonflée quand même, mais comme il y a une prime au bout…

 

Arrivé vers la fin de mon ménage, il ne me reste que le plancher de la salle de bain à laver. je suis à quatre pattes en train de frotter quand Josée rentre, je ne remarque pas sa présence jusqu’à temps qu’elle me dise :

 

– On t’as déjà dit que tu avais de très belles fesses !

 

Je lui répond très gêné :

 

– Euh, non ! Mais merci du compliment !

 

Je trouve ça bizarre car d’habitude elle ne me parle presque pas. Alors tout le temps que je finisse de frotter le plancher Josée reste derrière moi à me regarder faire ou plutôt à regarder mon cul, quelque fois je me retourne pour voir si elle est toujours là et comme elle était assise sur le bord de la baignoire tout ce que je vois très près de moi c’est une paire de jambes nues et sans rien aux pieds.

 

Alors une fois mon travail terminé je me lève, range les choses et commence à me préparer à partir. Josée est allée dans sa chambre chercher de l’argent pour me payer, elle revient et me dit:

 

– Je suis complétement désolée je n’ai pas d’argent dans mon sac, je croyais en avoir désolée !

 

Je lui répond:

 

– Bah ! c’est pas plus grave que ça vous donnerez mon salaire à ma mère et elle me le rendra.

 

D’un coup Josée s’approche de moi sans rien dire et me dit à quelque centimètres de mon visage:

 

– Tu sais je peux te payer d’un autre façon et toi tu peux me faire profiter de ces belles fesses-là !

 

La seule réaction que j’ai eu fut de bander, le reste de mon corps était subjugué par cette offre. Et accoutré comme je l’étais mon érection a été très vite visible. Josée alors me dit en me touchant le sexe :

 

– Je vois bien que tu es d’accord, il n’y a qu’à regarder ta queue !

 

Alors ma deuxième réaction a été de la suivre jusqu’à sa chambre

 

Une fois sur place, elle me pousse sur le lit en me disant :

 

– Laisse-toi faire, tu vas voir ça vaudra très bien ta prime.

 

Elle sort deux long foulards et m’attache les mains sur la tête du lit, elle me déshabille lascivement à l’exception des bas, et me caresse tout le corps. Elle ouvre ensuite une bouteille de vin blanc et m’en verse environ la moitié sur moi, j’ai du vin de la tête aux pieds vraiment partout et elle commence à me lécher tout le corps en me pognant les fesses par en dessous et me dit:

 

– Tes fesses je les adore, mon beau !

 

Elle me demande:

 

– Alors ce soir tu es prêt à tout ?.

 

Et je lui réponds d’une voix ferme

 

– Oui ma belle Josée, je suis tout à toi !

 

Alors elle me détache et me dit de me tourner sur le ventre, je m’exécute sans rien dire, une fois sur le ventre elle me rattache les mains et me dit:

 

– Enfin je vois ces fesses-là et elles sont juste à moi !

 

Alors elle commence à les caresser, les lécher les mordiller, mais d’un coup je sens son doigt aller vers mon anus, je lui demande

 

– Tu fais quoi là ?

 

Elle me répond :

 

– Laisse-toi faire, j’ai de l’expérience, relax !

 

Comme elle allait de plus en plus loin, je lui dit :

 

– Non, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée !

– Ha ! Laisse-toi faire ! Tiens, j’ai une idée !

 

Elle sort un autre foulard, me le mets sur la bouche et elle dit :

 

– Tiens, comme ça je vais avoir la paix !

 

Et elle continue cette fois avec le doigt rentré au complet entre mes fesses. Elle m’entend pousser des cris et alors elle commence à faire des va-et-vient de plus en plus vite et fort elle tourne son doigt et me dit :

 

– Tu aimes ça pas vrai, je le savais ! Tous les hommes aiment ça ! On ne te l’avait jamais fait ?

– Huumpf ! Répandis-je, étant toujours bâillonné.

– J’ai un petit truc qui devrait te plaire.

 

Elle farfouille dans un tiroir et sort un gode tout noir en forme de bite.

 

– Mouille le avec ta salive, ça entrera mieux.

 

Je fais « non » de la tête. Elle s’en fiche et enduit d’objet avec un liquide lubrifiant puis elle me l’enfonce dans le cul. Je gémis, je gesticule, je refuse qu’on m’introduise cette chose dans mon anus.

 

Josée s’en fout, elle me viole carrément et fait gigoter le gode. Au bout d’un petit moment, je me rends compte que ça me fait du bien. Je m’abandonne, je me laisse faire.

 

Elle finit par le retirer et m’ôte mon bâillon.

 

– Alors ça t’a plu de te faire enculer ?

– Non !

– Menteur ! Tous les hommes adorent ça, mais il y en a pas beaucoup qui l’avoue.

 

Elle me détache de nouveau, me retourne et me rattache, ensuite elle se lève devant moi et enlève son tee-shirt, deux gros seins se présentent à moi ainsi qu’une belle chatte bien poilue et déjà toute juteuse. Alors elle commence à faire promener ses gros seins sur mon corps et ensuite ses lèvres et sa langue. une fois arrivée à ma queue qui était à son maximum, prête à exploser, elle la rentre enfin dans sa bouche et commence à promener sa langue et ses lèvres sur tout mon membre en même temps qu’elle me masturbe.

 

Une fois que je commence à sentir la semence monter je pousse des cris comme quoi je vais venir, elle lève ses yeux vers moi et me jette un regard comme quoi elle avait compris que ça venait et alors elle continue de plus belle, elle masturbe et suce plus vite comme si elle voulait que je vienne vraiment le plus rapidement possible. Une fois la semence arrivée à destination je lui déchargeais tout dans la bouche, alors elle arrive vers ma figure et m’embrasse, moi je croyais qu’elle avait avalé, mais non tout mon liquide était encore dans sa bouche et là il était en train de se promener dans la mienne avec la langue de Josée, alors une fois l’embrassade fini je crachai tout ce que j’avais dans la bouche et ça tombait sur ma poitrine, elle me dit

 

– Na, tu aimes pas ça ?

 

Alors elle reléche tout et revient sur ma bouche et me réembrasse et me bouche le nez en me tenant la bouche pour que je sois obligé d’avaler et elle riait beaucoup à me voir ma mine. Une fois finie, elle me détache et me dit

 

– Tu as aimé ça ?

– Oui mais maintenant, ça va être à ton tour d’y gouter !

 

Je la fais coucher sur le lit et d’un coup on est interrompus par la porte qui sonne. Josée se lève et revient très vite avec la face très longue et apeurée en me disant

 

– C’est ta mère à la porte.

 

Alors je me dit « Merde ! » Je suis fini elle va nous tuer les deux

 

Josée va ouvrir sans remettre son tee-shirt et au lieu de fermer la porte de la chambre, cette imbécile l’y fait entrer !

 

Ma mère me voit au milieu du lit, nu comme un ver à l’exception des bas que j’ai conservé avec une belle et grande érection et elle me regarde puis se tourne vers Josée en lui disant

 

– Ben dis-donc, toi ! Tu n’es pas capable de passer une journée sans sexe, pas vrai ?

 

Alors je me lève prend mon pull-over pour me cacher et dit à ma mère

 

– On s’amusait juste un peu ! On ne fait rien de mal !

 

A ma grande surprise ma mère me répond

 

– Ben non, vous ne faites rien de mal, mais j’aimerais bien regarder la fin, Parce que vous n’aviez pas fini, c’est bien ça ?

 

Moi la figure me tombe par terre en comprenant que ma mère voulait me regarder baiser avec sa meilleure amie.

 

Josée me regarde et se retourne vers ma mère en lui disant

 

– Ah ! Bonne réaction ! Pas de problème prends la chaise dans le coin, assis-toi et regarde !

 

Alors moi ne pensant plus à rien je recommence à caresser Josée et à l’embrasser timidement, alors elle me prend et me bécote à pleine bouche comme une vrai salope. Je commence à lui caresser la chatte toute mouillée et les seins qui étaient déjà tout durs. A un moment donné quand j’étais le visage en plein entre les cuisses de Josée j’entends une respiration forte qui n’était ni la mienne ni celle de Josée alors j’arrête et regarde dans la coin ma mère n’en pouvait plus, elle avait la robe relevée, la main dans la culotte et se donnait du plaisir. Ma propre mère qui était excitée par son fils, moi, je n’en croyais pas mes yeux. Alors Josée ouvre les yeux pour voir pourquoi j’avais arrêté et elle voit elle aussi ma mère en train de se donner du plaisir et lui dit:

 

– Viens ! Joins-toi à nous !

– Mais enfin, c’est mon fils !

– Qu’est-ce que ça peut bien faire ? Et puis au point où t’en es…

– C’est de l’incitation à la débauche !

 

Elle dit ça en rigolant

 

– Parfaitement, allez viens !

 

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Ma mère se lève sans hésiter davantage, se jette sur le lit et commence à me masturber et à embrasser Josée, elle se penche ensuite pour me sucer la queue pendant que je mangeais la chatte à Josée une fois fini, je débraille ma mère afin de lui lécher ses seins magnifiques, puis je me mets sur elle et lui rentre ma queue dans la chatte je la sens frémir dans mon cou et elle me grafigne le dos avec ses longs ongles pendant que Josée se caresse à côté. Après ce fut le tour de Josée de jouir après que je l’ai enculé avec frénésie. Une fois la partie de jambes en l’air avec ma mère et son amie, Josée nous a servi un café et c’est là que j’ai appris que ma mère et Josée avaient déjà fait du sexe ensemble à l’école où elles étaient pensionnaires et c’est pour ça quelle sont de grandes amies et qu’elles peuvent avoir du sexe ensemble sans se sentir tout bizarre.

 

– Si tu veux, on recommencera ! Me dit ma mère, ce sera notre petit secret à tous les deux Et puis j’aimerais bien que tu m’encules.

FIN

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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:57

Irène et Smart par Elian Lvekman

 

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Voici une aventure qui a bouleversé ma vie il y a une trentaine d’années et m’a ouvert la porte à de fabuleux plaisirs.

 

Ma tante Irène est une très belle femme de cinquante-trois ans, légèrement potelée, très sexy, les fesses bien pommelées, et une poitrine ferme. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.

 

Divorcée depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous n’avions jamais vue tante Irène en compagnie d’un homme. Une pension confortable laissée par son ex lui permettait de bien vivre sans travailler.

 

Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un berger allemand baptisé Smart à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.

 

Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.

 

Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand débarras où devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.

 

Ma crainte fit place à la stupéfaction. Irène à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Smart. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, la limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau lui arrachant des râles de plaisir.

 

Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier son plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.

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La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.

 

Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.

 

J’allais me retirer discrètement, quand Smart reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.

 

Irène qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Smart, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devint cramoisie et s’écroula en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant

 

– Quelle honte ! Quelle honte !

 

Aussi gênée qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :

 

– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à faire ça. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.

 

Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :

 

– Que j’ai honte, que j’ai honte !

 

Je continuais de la rassurer :

 

– On se calme ! Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.

 

Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Smart s’était relevé, il sautillait autour de nous.

 

Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Irène délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :

 

– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?

– Non, non, je trouve cela plus excitant de te baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Smart. Soit chienne, j’adore ça.

 

Irène s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Smart prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.

 

C’est ainsi que ma Tante devint ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes pendant lesquelles elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.

 

Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Smart, je lui avouais être légèrement bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.

 

Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle pris un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :

 

– Il est gros, ce sera mieux.

 

Irène profitait de l’encrémage pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais où, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle

 

Elle appela Smart, il me reniflait le cul, puis sa langue balaya mon petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commença à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser ! De lui-même il me monta sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.

 

Irène saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.

 

Dès qu’il fut en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon !

 

La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Smart comme une chienne ! Je me régalais. Tante Irène aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.

 

Smart s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.

 

Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avec qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:54

Gloria la provocante par Elian Lvekman 

 

pipe stamp

Bonjour à vous tous ! Je vais vous raconter une histoire qui s’est déroulée il y a quelques mois à peine. J’ai 23 ans et je suis un homme de très belle apparence (enfin c’est ce qu’on dit de moi) Un excellent collègue, Bertrand, fêtait sa toute nouvelle promotion dans sa maison de campagne. J’y étais allé seul, venant juste de rompre avec… celle qui est désormais mon ex.

 

Gloria, la femme de Bertrand est une jolie brune aux cheveux longs, très grande avec des seins à en faire craquer plus d’un. De plus, elle portait ce soir-là un pantalon blanc super moulant, elle n’avait pas mis de culotte, et son entre-jambes laissait deviner la forme de son sexe. Un camel-toe comme disent les branchés.

 

Elle portait également une sorte de caraco blanc serré, qui mettait bien en valeur ses seins et s’arrêtait au nombril. Magnifique nombril, de quoi faire bander un gars assez vite. Toujours est-il que Gloria but beaucoup au cours de cette soirée et quand elle boit elle devient chaleureuse comme ce n’est pas possible. Elle l’est déjà sans boire, donc imaginez comment elle peut l’être…

 

Toute la soirée elle se colla sur moi sans que Bertrand ne s’en aperçoive. Un défilé de mode nous est offert, on le regarde et elle est en face de moi, dos à moi. Elle recule, se colle sur moi. Je sens les courbes de ses fesses se poser sur mon pénis qui commence à être en érection. Elle fait des petits mouvements de va-et-vient que personne ne peut voir. Tout d’un coup, avec la main opposée à celle de son mari, elle la pose sur mon pénis par-dessus mes jeans. Quelle sensation : Comment réagir ? La femme de mon meilleur collègue qui me fait ça ! Comme je ne suis pas fait en bois, je me laissais caresser ainsi.

 

La soirée se passa bien et fut arrosée comme il se doit, puis vint le moment des  » adieux « . Bertrand m’offrit de coucher chez lui plutôt que de remonter chez moi. J’acceptai car la boisson et le volant, ça ne fait pas bon ménage. Pendant que Bertrand était allé se soulager d’un besoin naturel dans les toilettes, Gloria décida de m’offrir un spectacle inouï. J’étais assis dans le salon et de là on peut voir dans la chambre de mon ami. Elle commença par enlever son pantalon devant moi sans gêne, mais aussi sans me regarder. Elle se dévêtit complètement et enfila son pyjama deux pièces décorés de personnages de Walt Disney.

 

Mon ami me souhaite bonne nuit en s’assurant que j’ai toutes les couvertures nécessaires pour un confort maximal. Je leur souhaite bonne nuit et ils fermèrent leur porte de chambre. Il était deux heures et demie. Une heure plus tard, je ne dormais toujours pas pensant Gloria et à ses provocations. De plus, ce n’était pas la première fois qu’elle m’allumait sans donner suite. Je me souviens notamment d’une soirée où elle profitait de sa piscine privée… Pas le genre à se mettre en maillot de bain, même quand il y a du monde. On est exhibitionniste ou on ne l’est pas !

 

Pour revenir à mon histoire, après une heure sans sommeil, j’avais chaud malgré la fenêtre ouverte, aussi décidai-je d’entrebâiller la porte pour faire circuler l’air. J’avais envie de me masturber en pensant à elle. J’ai commencé à le faire mais je n’ai pas terminé car je ne voyais aucun mouchoir en papier pour m’essuyer, de plus les toilettes était loin, je ne voulais pas réveiller tout le monde…

 

Alors, je finis par m’endormir. Il était 4 heures 15 du matin quand je vis la porte de leur chambre s’ouvrir. C’était elle ! Elle la referma sans trop faire de bruit. Moi, j’étais tout excité, nu sous les draps en pensant qu’elle était là, presqu’offerte à moi sans témoin ! Je n’y fis pas d’attention pensant qu’elle se dirigeait vers les toilettes, mais non : elle venait dans ma direction. Faisant semblant de dormir par crainte de savoir ses réelles intentions, elle s’est mise à genoux sur le bord du divan et a relevé mes couvertures. Elle m’a demandé si je dormais en me touchant les épaules. Je ne lui ai pas donné de signes juste pour voir ce qu’elle ferait. Je l’entendis murmurer :

Gloria

– Tant mieux, ça va être bon pour nous deux !

 

C’est alors que sans avertissement, elle prit mon pénis et le mit immédiatement dans sa bouche. Elle commença à faire des grands mouvements de va-et-vient. Elle suçait à merveille. Je lui ai dit qu’elle pouvait ralentir, que Bertrand ne sortirait pas de sa chambre ! Elle me répondit qu’elle ne venait que me faire ceci pour cette fois-là ! De plus, elle me confia qu’elle devait faire vite puisque son mari ne dormait pas et la croyait aux toilettes.

 

Alors, sans attendre ma réponse, elle me dit de la laisser faire, de ne pas m’inquiéter pour la petite toilette, qu’elle nettoierait tout, absolument tout ! Un petit sourire et elle recommença à me prodiguer cette pipe ! Le rythme augmentait, je lui ai soudain dit que j’étais prêt à venir. Elle a alors continué à caresser mes testicules et quand je suis presque venu, elle m’a mis un doigt sur le bord de mon anus et l’a entré jusqu’à la première jointure. Tout en gardant le doigt là, je suis venu au fond de sa gorge. Tel que promis, elle nettoya tout sans en perdre. Elle était divine. Elle m’a remercié et aussitôt la dernière goutte avalée, elle se releva et repartit dans sa chambre à coucher.

 

Le lendemain matin au petit déjeuner pris en commun dans la cuisine, une surprise m’attendait… Bertrand m’apostropha soudain et sans aucune colère dans sa voix me demanda si ce que m’avait fait Gloria cette nuit m’avait plus. Je ne sus où me foutre et rougis comme une pivoine tandis que Gloria sembla s’amuser de mon trouble bien compréhensible.

 

Je niai, affirmant haut et fort qu’il ne s’était rien passé.

 

– Mais si, il s’est passé des choses, insista Bertrand et sois rassuré, je ne suis pas jaloux.

– Bon alors, c’est l’ambiance, l’alcool… continuai-je, cherchant à me justifier à me justifier.

– Non seulement je ne suis pas jaloux, mais ça m’excite de savoir ce qu’elle fait avec d’autres hommes

 

Quelque chose clochait ! Si les choses étaient telles que les présentaient Bertrand, pourquoi Gloria ne s’était-elle pas attardée davantage avec moi cette nuit ?

 

La réponse me stupéfia !

 

– Je ne verrais aucun inconvénient à ce que vous recommenciez, me confia Bertrand…mais ce ne sera plus gratuit !

 

Alors là, je tombe du placard et faillis avaler ma tartine de travers. Je n’ai absolument rien contre les putes, même si j’ai la chance d’avoir un physique qui me dispense de devoir payer pour faire l’amour. Mais que Bertrand soit son maquereau et qu’il ose me faire ce genre de proposition me choque.

 

Je me lève !

 

– Restons-en là ! Lançai-je de façon très théâtrale en imitant Cyrano de Bergerac.

– Ne voudrais-tu pas connaitre ce prix ? Me susurre Gloria en mimant une fellation avec sa tartine beurrée.

– Non ! Et d’ailleurs puisque c’est payant…

 

Et dans un nouveau geste théâtral je sors un billet de 50 euros que je jette sur la table avec une moue de mépris.

 

– Mais qui t’a parlé d’argent ? Intervient Bertrand en écartant les bras.

– Je pensais…

– Mais non, pas d’argent entre nous. Tu es très beau, je voulais juste te proposer…

 

La paroles restent en suspens, les yeux parlent, j’ai compris, il reprend.

 

– Je voulais juste te proposer de te prendre. Gloria nous regardera et après tu prendras Gloria.

 

Ben v’la aut’chose ! Comme disait Onc’Donald !

 

Je ne sais que dire. Gloria me fait des œillades. Les rapports homosexuels ne sont pas trop mon trip, mais je n’ai rien contre, tout n’étant qu’une question d’ambiance…

 

– Alors tout de suite ! Avant que je ne change d’avis !

 

L’instant d’après j’étais dans le salon, nu en levrette, le cul relevé, les fesses écartées, attendant l’assaut de Bertrand, un assaut que la promesse de ce qui suivra rendra forcément fort agréable.

 

– Vas-y ! Encule-moi !

 

Elian Lvekman

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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:51

Fils de pute ! Par Elian Lvekman

double stamp

Merci à ce site de me permettre de publier cette histoire peu banale

 

J’ai 24 ans, je m’appelle Lauric, ma copine m’a foutu à la porte et je suis retourné chez ma mère en attendant de voir venir.

 

Ma mère à 56 ans, elle est retraitée, elle m’a avoué il y a quelques temps qu’elle rencontrait des hommes qui la payait pour faire l’amour. Autrement dit je suis un fils de pute, mais je ne la juge pas, elle ne fait de mal à personne. Elle est encore pas mal pour son âge, un corps harmonieux, un joli sourire, des cheveux gris coupés courts.

 

– Et elle t’a viré pour quelle raison ? Me demande ma mère.

– Son connard de frère est allé lui raconter que je lui avait sucé la bite !

– Et tu l’avais vraiment fait ?

– Ben oui, je l’avais aidé à réparer sa bagnole, on s’est envoyé quelques bières, on a déconné, et on s’est regardé un porno, on a sorti nos bites et de fil en aiguille…

– Je comprends, et t’as aimé ça ?

– C’est pas déplaisant !

– T’as bien raison, c’est bon la bite ! C’est la première fois que tu faisais ça ?

– Disons que j’ai eu quelques expériences, mais je ne suis pas homo, je préfère les femmes…

– Tu t’es fait enculer aussi ?

– Un peu !

– C’est quoi un peu ?

– Je veux dire quelque fois !

– T’es un gros vicieux !

 

Elle m’a dit ça avec un drôle de sourire.

 

– Ce n’est que du sexe !

– Et ça c’est quoi ? Me dit ma mère en me touchant la braguette.

– Mais enfin maman !

– Ben quoi, ce n’est que du sexe, c’est bien ce que tu viens de dire, non ?

– Oui, mais…

– Mais quoi ? Laisse-toi faire !

 

Elle ouvre ma fermeture éclair. Je suis tétanisé. Sa main pénètre dans l’ouverture et touche ma bite à travers mon slip.

 

– Mais ça bande là-dedans !

– Mais maman tu es ma mère !

– Sans blague ! J’ai bien le droit de regarder ta bite non ? Juste une petite envie comme ça…

– Alors si c’est juste une petite envie comme ça…

 

Elle m’a sorti ma queue, elle me branle, je me laisse faire, c’est bon. Elle se baisse, est-ce qu’elle va me sucer ? Pendant qu’on y est, pourquoi se gêner, hein ?

 

Elle me suce comme une reine, mais c’est vrai que c’est une pute, elle a de d’expérience. De sa main elle me flatte les couilles.

 

– Hum, je me régale ! Me dit-elle en s’interrompant un moment, tu aimes ?

– Oui !

– Oui qui ?

– Oui Maman !

 

Bon, allez on va boire un coup, on reprendra tout à l’heure si tu veux !

 

Ah bon ? J’aurais bien continué tout de suite, moi ! Tout à l’heure je serais peut-être démotivé.

 

– Je pensais à un truc ! Me dit-elle, j’ai un client, qui aimerait sucer de la bite, mais j’ai du mal à lui trouver un rendez-vous avec un autre qui est toujours par monts et par vaux…

 

Je la vois venir, la maman.

 

– Evidement dans ces cas-là on se partagera le prix de la passe. Ça te dit ?

– Je ne suis pas contre, il est sympa au moins ?

– Correct, sympa, doux, ce n’est pas un playboy mais il n’a rien de repoussant non plus.

– Je veux bien essayer.

– Je vais l’appeler !

 

Elle le fait, le mec lui propose de passer dans une heure. Je ne pensais pas que ça se ferait si tôt, mais bon, j’ai dit, oui, j’ai dit oui.

 

– Je vais le recevoir, et je le chaufferai sur le canapé, à ce moment-là tu te ramèneras à poil, la bite bandée et on improvisera.

 

On sonne, je laisse ma mère le recevoir, je regarde par l’entrebâillement de la porte, ma mère se met en sous-vêtements, un ensemble assorti en dentelles rouges. Le mec se met à poil, il a effectivement l’air sympa, son torse est rasé. Il s’assoit sur la canapé, cuisses écartées et ma mère vient le sucer. Il ne tarde pas à bander.

 

Je prends mon courage et ma bite à deux mains et je fais mon entrée.

 

– Bonjour m’sieu dames !

 

Le gars tout sourire, me fait signe de venir près de lui afin qu’il puisse avoir accès à ma bite.

 

Je ne pensais pas que les choses iraient si vite. Mais c’est vrai qu’il suce divinement l’animal, et pendant qu’il me gâte de sa bouche, sa main m’attrape les tétons et les pince, j’adore cette caresse

 

On reste comme ça quelques minutes, puis ma mère me fait signe de venir le sucer à mon tour, je me précipite, j’adore sucer des bites, et la sienne est délicieuse et douce.

 

Avec ma mère on le suce alternativement. Puis le type demande s’il peut m’enculer.

 

– Bien sûr, mais avec capote !

 

Pas de problème, je me mets en levrette.

 

– Doigte-le un peu avant ! Demande-t-il à ma mère.

 

Et voilà que ma génitrice me fourre un doigt dans le cul et l’agite frénétiquement. Ça me fait tout drôle, mais ça me fait du bien.

 

Et voilà que je sens derrière moi la bite du gars solliciter l’entrée de mon derrière, je m’ouvre, ça entre. Whaf ! C’est que j’ai pas trop l’habitude, ce ne sera jamais que la quatrième fois.

 

– Doucement, doucement !

– Je vais doucement !

 

S’il le dit ! Et c’est parti ! Putain que c’est bon d’avoir une bite dans le cul. Je planque mon visage dans mes mains, je suis au paradis, je suis un enculé et j’aime ça !

 

Le mec se retire au bout de quelques minutes ! Dommage, je serais bien resté comme ça quelques minutes de plus, mais il faut croire qu’il avait d’autres projets.

 

Il demande à ma mère de quitter ses sous-vêtements, je peux ainsi voir ses gros tétons bruns. Puis il demande si on peut faire une « double ».

 

J’ai un peu de mal à suivre… le mec se couche sur le dos, ma mère s’empale dessus et se baisse afin de permettre l’accès à on anus.

 

– Vas-y ! Lauric, encule-moi ! Me dit ma mère !

 

Que faire ? Sinon le faire ? Et après avoir recouvert ma bite d’un préso, j’ai enculé ma génitrice tandis qu’elle gigotait sur la bite de son client. Il a joui assez vite, a murmuré quelques paroles de remerciement et est allé faire un brin de toilette intime. Je n’avais pas joui, ma mère a retiré ma capote, m’a sucé à fond et s’est badigeonné les seins avec mon foutre.

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On a attendu que le type s’en aille, et elle m’a demandé de m’occuper d’elle, je me suis jeté sur ses gros tétons enduit de sperme et les ai sucés comme des bonnes friandises, puis je suis descendu vers sa chatte que j’ai léchée jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un geyser de mouille.

 

On s’est roulé une pelle et on a ouvert une bière.

 

Je suis un fils de pute et un enculé et je suis très bien dans ma peau ! Puisque je vous le dit !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:47

Donnant donnant par Elian_Lvekman

Gode stamp

– J’ai une heure avant d’aller à mon rendez-vous. Alors ne me fait pas trop languir.

 

Laura raccrocha son portable. Elle venait de téléphoner à Bobby le jeune frère de son mari. Elle avait 35 ans et était plutôt grande pour une femme. Elle avait les cheveux châtains et les yeux verts. 15 minutes plus tard ils étaient tous les deux enlacés sur le lit conjugal. Bobby avait 13 ans de moins quelle, il avait été facile à séduire.

 

– Si mon frère apprenait ce que l’on faisait il nous tuerait.

– J’ai un moyen pour te faire oublier, dit Laura en ouvrant la braguette de son pantalon.

 

Elle sortit le sexe congestionné du slip et le regarda avec avidité et fierté. Elle le masturba rapidement plus pour durcir le sexe de son amant que pour le faire jouir. Dès qu’elle le trouva très présentable Laura commença à embrasser son ventre, puis elle glissa sa langue sur le nombril de Bobby et couvrit la totalité de son ventre de baisers, il avait comme des frissons qui parcouraient tout son corps. Laura se laissa glisser jusqu’à ce que sa bouche rencontre naturellement le long et puissant sexe et ne l’engloutisse. Elle l’a emprisonné dans sa bouche et le suça goulûment. Laura l’enveloppa de sa langue, lui infligeant un vertige de velours. Elle aspira le membre raidi jusqu’au fond de sa gorge, à s’en étouffer, imprimant à sa tête des mouvements de plus en plus rapides. Bobby se laissait faire savourant l’instant les yeux fermés. Elle le retira de sa bouche, continua avec sa main, faisant danser sa langue un ballet endiablé sur le gros gland.

 

– J’ai mis des traces de rouges à lèvres sur ta queue, mon chéri ! dit-elle avec amusement.

 

Elle se redressa et ouvrit son déshabillé blanc. En-dessous elle ne portait qu’un porte-jarretelles blanc ainsi que des bas assortis et des escarpins à grands talons. Elle se mit à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle ses grosses fesses rondes et charnues posées sur ses talons. Elle releva légèrement sa croupe cambrée et se tourna vers lui.

 

– Je veux que tu me prennes comme ça, je veux te sentir très fort dans mes fesses, pour qu’à chaque instant quand j’aurais mal je penserai à toi.

 

Bobby se glissa derrière son amante son sexe dans sa main, et le présenta à l’anus largement ouvert et il se laissa tomber de tout son poids. Il l’embrocha jusqu’à la garde comme s’il venait d’enfoncer un trépied dans le sol, il ne s’arrêta que lorsque son ventre musclé fut collé aux fesses dures de Laura. Elle poussa un long soupir ravi.

 

– C’est meilleur comme ça ! murmura-t-elle. Déchire-moi comme tu sais si bien le faire.

 

Il se laissa aller sans retenue, son bas-ventre claquait contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu’il le pouvait. Jamais elle n’avait ressentie une telle sensation de plénitude, les 25 centimètres du sexe infatigable de son beau-frère devaient y être pour quelque chose. Laura répondait à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Pour lui, elle avait commençait à faire de la gym pour avoir des fesses plus fermes lorsqu’il la sodomisait, il la prenait ainsi à chacune de leur rencontre. Laura hurlait sans discontinuer, elle chassa de son esprit l’image de son mari qui ne l’avait jamais culbuté ainsi, et se contenta de jouir sous les coups de boutoir. Elle avait toujours été friande de sodomie, les longues années de mariage avait refroidi le feu qu’elle avait au fond de ses reins. Bobby continuait ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa belle-sœur.

 

– Continue ! Ah, tu me déchires, tu… tu me fais mal, c’est booon… Aaah…

 

Il se mit à se démener entre les fesses charnues, comme s’il voulait les écraser, les aplatir, les faire exploser. Il avait l’impression de devenir dément. Laura avait pris ses fesses à pleines mains et les écartait encore plus pour qu’il la sodomise mieux. Bobby rebondissait sur les grosses fesses, il était presque devenu un homme primitif qui était dominé par ses pulsions par ses instincts. Un homme animal qui pourfendait une femelle en chaleur. Il se tenait fermement à ses épaules la maintenant au sol. Il sentait la jouissance monter de ses reins. Il donna encore quelques furieux coups de butoir et se répandit dans les reins gracieusement offerts en poussant un hurlement. Il avait l’impression que c’était sa moelle qui se déversait. Qu’elle l’aspirait. Il se retira de cette croupe accueillante et contempla l’œil brun, source de délice anale, ouvert et distendu de sa compagne, d’où suintait quelques gouttes de sperme.

 

Comme souvent son sexe n’était pas ressorti intact de cette folle chevauchée. Du sperme mais aussi des traces brunes. Cet état ne gênait point Laura qui prenait un malin plaisir à narguer son amant en lui nettoyant tout cela de sa langue agile.

 

– On a plus le temps ! Indiqua Bobby voyant ensuite Laura farfouiller dans son sac.

– Si ! Répondit-elle sèchement.

 

Elle s’harnacha de son gode ceinture, et lui fit face, crânement.

 

– Suce, suce cette bonne bite !

 

Donnant

Sans conviction excessive, Bobby entreprit de faire un simulacre de fellation au sex-toy en latex noir de bonnes dimensions que son amante avait accroché entre ses cuisses, puis sans qu’elle ne lui demande il s’allongea sur le dos et releva ses cuisses afin de faciliter la pénétration. Laura commença à embrasser ce charmant anus qui s’exposait à ses yeux, puis elle sortit sa langue, exerçant de savantes circonvolutions afin de la forcer à s’entrouvrir, ce qu’il finit par faire. Elle introduisit alors un doigt, puis un deuxième, les fit aller et venir, provoquant des ondes de plaisir chez son amant.

 

– Alors, tu le veux ? demanda-t-elle

– Oui, vas-y ?

– Demande le moi mieux que ça !

– Enfonce-moi ton gode, Laura

– Plus crûment !

– Encule-moi !

 

Après avoir tartiné de gel le fondement de son amant, elle fit pénétrer le gode d’un mouvement sec, avant de le faire aller et venir.

 

– Qu’est-ce que c’est bon ! C’est bon, c’est trop bon ! Psalmodiait-il.

– Qu’est ce qui est donc si bon ?

– Ce que tu me fais ?

– Et je te fais quoi ?

– Tu m’encules !

 

Du sperme finit par s’écouler du sexe semi-bandé de Bobby.

 

– Alors ?

– Je ne te remercierais jamais de m’avoir fait découvrir ce plaisir !

– Un jour je tacherais de te dégoter une vraie bite, ça sera mieux que le gode !

– Il n’en est pas question !

– On dit ça, on dit ça !

 

FIN

 

Rewriting d’une nouvelle non signée titrée  » Gail  » parue sur SophieXXX en 1999. Le style d’origine a été respecté.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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