Irène et Smart par Elian Lvekman
Voici une aventure qui a bouleversé ma vie il y a une trentaine d’années et m’a ouvert la porte à de fabuleux plaisirs.
Ma tante Irène est une très belle femme de cinquante-trois ans, légèrement potelée, très sexy, les fesses bien pommelées, et une poitrine ferme. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.
Divorcée depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous n’avions jamais vue tante Irène en compagnie d’un homme. Une pension confortable laissée par son ex lui permettait de bien vivre sans travailler.
Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un berger allemand baptisé Smart à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.
Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.
Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand débarras où devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.
Ma crainte fit place à la stupéfaction. Irène à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Smart. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, la limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau lui arrachant des râles de plaisir.
Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier son plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.
La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.
Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.
J’allais me retirer discrètement, quand Smart reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.
Irène qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Smart, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devint cramoisie et s’écroula en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant
– Quelle honte ! Quelle honte !
Aussi gênée qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :
– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à faire ça. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.
Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :
– Que j’ai honte, que j’ai honte !
Je continuais de la rassurer :
– On se calme ! Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.
Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Smart s’était relevé, il sautillait autour de nous.
Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Irène délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :
– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?
– Non, non, je trouve cela plus excitant de te baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Smart. Soit chienne, j’adore ça.
Irène s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Smart prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.
C’est ainsi que ma Tante devint ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes pendant lesquelles elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.
Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Smart, je lui avouais être légèrement bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.
Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle pris un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :
– Il est gros, ce sera mieux.
Irène profitait de l’encrémage pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais où, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle
Elle appela Smart, il me reniflait le cul, puis sa langue balaya mon petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commença à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser ! De lui-même il me monta sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.
Irène saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.
Dès qu’il fut en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon !
La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Smart comme une chienne ! Je me régalais. Tante Irène aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.
Smart s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.
Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avec qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.
fin
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