Elian Lvekman

Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:57

Irène et Smart par Elian Lvekman

 

zoo 

 

Voici une aventure qui a bouleversé ma vie il y a une trentaine d’années et m’a ouvert la porte à de fabuleux plaisirs.

 

Ma tante Irène est une très belle femme de cinquante-trois ans, légèrement potelée, très sexy, les fesses bien pommelées, et une poitrine ferme. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.

 

Divorcée depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous n’avions jamais vue tante Irène en compagnie d’un homme. Une pension confortable laissée par son ex lui permettait de bien vivre sans travailler.

 

Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un berger allemand baptisé Smart à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.

 

Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.

 

Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand débarras où devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.

 

Ma crainte fit place à la stupéfaction. Irène à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Smart. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, la limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau lui arrachant des râles de plaisir.

 

Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier son plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.

00Irene

La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.

 

Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.

 

J’allais me retirer discrètement, quand Smart reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.

 

Irène qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Smart, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devint cramoisie et s’écroula en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant

 

– Quelle honte ! Quelle honte !

 

Aussi gênée qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :

 

– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à faire ça. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.

 

Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :

 

– Que j’ai honte, que j’ai honte !

 

Je continuais de la rassurer :

 

– On se calme ! Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.

 

Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Smart s’était relevé, il sautillait autour de nous.

 

Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Irène délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :

 

– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?

– Non, non, je trouve cela plus excitant de te baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Smart. Soit chienne, j’adore ça.

 

Irène s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Smart prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.

 

C’est ainsi que ma Tante devint ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes pendant lesquelles elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.

 

Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Smart, je lui avouais être légèrement bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.

 

Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle pris un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :

 

– Il est gros, ce sera mieux.

 

Irène profitait de l’encrémage pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais où, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle

 

Elle appela Smart, il me reniflait le cul, puis sa langue balaya mon petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commença à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser ! De lui-même il me monta sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.

 

Irène saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.

 

Dès qu’il fut en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon !

 

La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Smart comme une chienne ! Je me régalais. Tante Irène aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.

 

Smart s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.

 

Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avec qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.

 

fin

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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:54

Gloria la provocante par Elian Lvekman 

 

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Bonjour à vous tous ! Je vais vous raconter une histoire qui s’est déroulée il y a quelques mois à peine. J’ai 23 ans et je suis un homme de très belle apparence (enfin c’est ce qu’on dit de moi) Un excellent collègue, Bertrand, fêtait sa toute nouvelle promotion dans sa maison de campagne. J’y étais allé seul, venant juste de rompre avec… celle qui est désormais mon ex.

 

Gloria, la femme de Bertrand est une jolie brune aux cheveux longs, très grande avec des seins à en faire craquer plus d’un. De plus, elle portait ce soir-là un pantalon blanc super moulant, elle n’avait pas mis de culotte, et son entre-jambes laissait deviner la forme de son sexe. Un camel-toe comme disent les branchés.

 

Elle portait également une sorte de caraco blanc serré, qui mettait bien en valeur ses seins et s’arrêtait au nombril. Magnifique nombril, de quoi faire bander un gars assez vite. Toujours est-il que Gloria but beaucoup au cours de cette soirée et quand elle boit elle devient chaleureuse comme ce n’est pas possible. Elle l’est déjà sans boire, donc imaginez comment elle peut l’être…

 

Toute la soirée elle se colla sur moi sans que Bertrand ne s’en aperçoive. Un défilé de mode nous est offert, on le regarde et elle est en face de moi, dos à moi. Elle recule, se colle sur moi. Je sens les courbes de ses fesses se poser sur mon pénis qui commence à être en érection. Elle fait des petits mouvements de va-et-vient que personne ne peut voir. Tout d’un coup, avec la main opposée à celle de son mari, elle la pose sur mon pénis par-dessus mes jeans. Quelle sensation : Comment réagir ? La femme de mon meilleur collègue qui me fait ça ! Comme je ne suis pas fait en bois, je me laissais caresser ainsi.

 

La soirée se passa bien et fut arrosée comme il se doit, puis vint le moment des  » adieux « . Bertrand m’offrit de coucher chez lui plutôt que de remonter chez moi. J’acceptai car la boisson et le volant, ça ne fait pas bon ménage. Pendant que Bertrand était allé se soulager d’un besoin naturel dans les toilettes, Gloria décida de m’offrir un spectacle inouï. J’étais assis dans le salon et de là on peut voir dans la chambre de mon ami. Elle commença par enlever son pantalon devant moi sans gêne, mais aussi sans me regarder. Elle se dévêtit complètement et enfila son pyjama deux pièces décorés de personnages de Walt Disney.

 

Mon ami me souhaite bonne nuit en s’assurant que j’ai toutes les couvertures nécessaires pour un confort maximal. Je leur souhaite bonne nuit et ils fermèrent leur porte de chambre. Il était deux heures et demie. Une heure plus tard, je ne dormais toujours pas pensant Gloria et à ses provocations. De plus, ce n’était pas la première fois qu’elle m’allumait sans donner suite. Je me souviens notamment d’une soirée où elle profitait de sa piscine privée… Pas le genre à se mettre en maillot de bain, même quand il y a du monde. On est exhibitionniste ou on ne l’est pas !

 

Pour revenir à mon histoire, après une heure sans sommeil, j’avais chaud malgré la fenêtre ouverte, aussi décidai-je d’entrebâiller la porte pour faire circuler l’air. J’avais envie de me masturber en pensant à elle. J’ai commencé à le faire mais je n’ai pas terminé car je ne voyais aucun mouchoir en papier pour m’essuyer, de plus les toilettes était loin, je ne voulais pas réveiller tout le monde…

 

Alors, je finis par m’endormir. Il était 4 heures 15 du matin quand je vis la porte de leur chambre s’ouvrir. C’était elle ! Elle la referma sans trop faire de bruit. Moi, j’étais tout excité, nu sous les draps en pensant qu’elle était là, presqu’offerte à moi sans témoin ! Je n’y fis pas d’attention pensant qu’elle se dirigeait vers les toilettes, mais non : elle venait dans ma direction. Faisant semblant de dormir par crainte de savoir ses réelles intentions, elle s’est mise à genoux sur le bord du divan et a relevé mes couvertures. Elle m’a demandé si je dormais en me touchant les épaules. Je ne lui ai pas donné de signes juste pour voir ce qu’elle ferait. Je l’entendis murmurer :

Gloria

– Tant mieux, ça va être bon pour nous deux !

 

C’est alors que sans avertissement, elle prit mon pénis et le mit immédiatement dans sa bouche. Elle commença à faire des grands mouvements de va-et-vient. Elle suçait à merveille. Je lui ai dit qu’elle pouvait ralentir, que Bertrand ne sortirait pas de sa chambre ! Elle me répondit qu’elle ne venait que me faire ceci pour cette fois-là ! De plus, elle me confia qu’elle devait faire vite puisque son mari ne dormait pas et la croyait aux toilettes.

 

Alors, sans attendre ma réponse, elle me dit de la laisser faire, de ne pas m’inquiéter pour la petite toilette, qu’elle nettoierait tout, absolument tout ! Un petit sourire et elle recommença à me prodiguer cette pipe ! Le rythme augmentait, je lui ai soudain dit que j’étais prêt à venir. Elle a alors continué à caresser mes testicules et quand je suis presque venu, elle m’a mis un doigt sur le bord de mon anus et l’a entré jusqu’à la première jointure. Tout en gardant le doigt là, je suis venu au fond de sa gorge. Tel que promis, elle nettoya tout sans en perdre. Elle était divine. Elle m’a remercié et aussitôt la dernière goutte avalée, elle se releva et repartit dans sa chambre à coucher.

 

Le lendemain matin au petit déjeuner pris en commun dans la cuisine, une surprise m’attendait… Bertrand m’apostropha soudain et sans aucune colère dans sa voix me demanda si ce que m’avait fait Gloria cette nuit m’avait plus. Je ne sus où me foutre et rougis comme une pivoine tandis que Gloria sembla s’amuser de mon trouble bien compréhensible.

 

Je niai, affirmant haut et fort qu’il ne s’était rien passé.

 

– Mais si, il s’est passé des choses, insista Bertrand et sois rassuré, je ne suis pas jaloux.

– Bon alors, c’est l’ambiance, l’alcool… continuai-je, cherchant à me justifier à me justifier.

– Non seulement je ne suis pas jaloux, mais ça m’excite de savoir ce qu’elle fait avec d’autres hommes

 

Quelque chose clochait ! Si les choses étaient telles que les présentaient Bertrand, pourquoi Gloria ne s’était-elle pas attardée davantage avec moi cette nuit ?

 

La réponse me stupéfia !

 

– Je ne verrais aucun inconvénient à ce que vous recommenciez, me confia Bertrand…mais ce ne sera plus gratuit !

 

Alors là, je tombe du placard et faillis avaler ma tartine de travers. Je n’ai absolument rien contre les putes, même si j’ai la chance d’avoir un physique qui me dispense de devoir payer pour faire l’amour. Mais que Bertrand soit son maquereau et qu’il ose me faire ce genre de proposition me choque.

 

Je me lève !

 

– Restons-en là ! Lançai-je de façon très théâtrale en imitant Cyrano de Bergerac.

– Ne voudrais-tu pas connaitre ce prix ? Me susurre Gloria en mimant une fellation avec sa tartine beurrée.

– Non ! Et d’ailleurs puisque c’est payant…

 

Et dans un nouveau geste théâtral je sors un billet de 50 euros que je jette sur la table avec une moue de mépris.

 

– Mais qui t’a parlé d’argent ? Intervient Bertrand en écartant les bras.

– Je pensais…

– Mais non, pas d’argent entre nous. Tu es très beau, je voulais juste te proposer…

 

La paroles restent en suspens, les yeux parlent, j’ai compris, il reprend.

 

– Je voulais juste te proposer de te prendre. Gloria nous regardera et après tu prendras Gloria.

 

Ben v’la aut’chose ! Comme disait Onc’Donald !

 

Je ne sais que dire. Gloria me fait des œillades. Les rapports homosexuels ne sont pas trop mon trip, mais je n’ai rien contre, tout n’étant qu’une question d’ambiance…

 

– Alors tout de suite ! Avant que je ne change d’avis !

 

L’instant d’après j’étais dans le salon, nu en levrette, le cul relevé, les fesses écartées, attendant l’assaut de Bertrand, un assaut que la promesse de ce qui suivra rendra forcément fort agréable.

 

– Vas-y ! Encule-moi !

 

Elian Lvekman

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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:51

Fils de pute ! Par Elian Lvekman

double stamp

Merci à ce site de me permettre de publier cette histoire peu banale

 

J’ai 24 ans, je m’appelle Lauric, ma copine m’a foutu à la porte et je suis retourné chez ma mère en attendant de voir venir.

 

Ma mère à 56 ans, elle est retraitée, elle m’a avoué il y a quelques temps qu’elle rencontrait des hommes qui la payait pour faire l’amour. Autrement dit je suis un fils de pute, mais je ne la juge pas, elle ne fait de mal à personne. Elle est encore pas mal pour son âge, un corps harmonieux, un joli sourire, des cheveux gris coupés courts.

 

– Et elle t’a viré pour quelle raison ? Me demande ma mère.

– Son connard de frère est allé lui raconter que je lui avait sucé la bite !

– Et tu l’avais vraiment fait ?

– Ben oui, je l’avais aidé à réparer sa bagnole, on s’est envoyé quelques bières, on a déconné, et on s’est regardé un porno, on a sorti nos bites et de fil en aiguille…

– Je comprends, et t’as aimé ça ?

– C’est pas déplaisant !

– T’as bien raison, c’est bon la bite ! C’est la première fois que tu faisais ça ?

– Disons que j’ai eu quelques expériences, mais je ne suis pas homo, je préfère les femmes…

– Tu t’es fait enculer aussi ?

– Un peu !

– C’est quoi un peu ?

– Je veux dire quelque fois !

– T’es un gros vicieux !

 

Elle m’a dit ça avec un drôle de sourire.

 

– Ce n’est que du sexe !

– Et ça c’est quoi ? Me dit ma mère en me touchant la braguette.

– Mais enfin maman !

– Ben quoi, ce n’est que du sexe, c’est bien ce que tu viens de dire, non ?

– Oui, mais…

– Mais quoi ? Laisse-toi faire !

 

Elle ouvre ma fermeture éclair. Je suis tétanisé. Sa main pénètre dans l’ouverture et touche ma bite à travers mon slip.

 

– Mais ça bande là-dedans !

– Mais maman tu es ma mère !

– Sans blague ! J’ai bien le droit de regarder ta bite non ? Juste une petite envie comme ça…

– Alors si c’est juste une petite envie comme ça…

 

Elle m’a sorti ma queue, elle me branle, je me laisse faire, c’est bon. Elle se baisse, est-ce qu’elle va me sucer ? Pendant qu’on y est, pourquoi se gêner, hein ?

 

Elle me suce comme une reine, mais c’est vrai que c’est une pute, elle a de d’expérience. De sa main elle me flatte les couilles.

 

– Hum, je me régale ! Me dit-elle en s’interrompant un moment, tu aimes ?

– Oui !

– Oui qui ?

– Oui Maman !

 

Bon, allez on va boire un coup, on reprendra tout à l’heure si tu veux !

 

Ah bon ? J’aurais bien continué tout de suite, moi ! Tout à l’heure je serais peut-être démotivé.

 

– Je pensais à un truc ! Me dit-elle, j’ai un client, qui aimerait sucer de la bite, mais j’ai du mal à lui trouver un rendez-vous avec un autre qui est toujours par monts et par vaux…

 

Je la vois venir, la maman.

 

– Evidement dans ces cas-là on se partagera le prix de la passe. Ça te dit ?

– Je ne suis pas contre, il est sympa au moins ?

– Correct, sympa, doux, ce n’est pas un playboy mais il n’a rien de repoussant non plus.

– Je veux bien essayer.

– Je vais l’appeler !

 

Elle le fait, le mec lui propose de passer dans une heure. Je ne pensais pas que ça se ferait si tôt, mais bon, j’ai dit, oui, j’ai dit oui.

 

– Je vais le recevoir, et je le chaufferai sur le canapé, à ce moment-là tu te ramèneras à poil, la bite bandée et on improvisera.

 

On sonne, je laisse ma mère le recevoir, je regarde par l’entrebâillement de la porte, ma mère se met en sous-vêtements, un ensemble assorti en dentelles rouges. Le mec se met à poil, il a effectivement l’air sympa, son torse est rasé. Il s’assoit sur la canapé, cuisses écartées et ma mère vient le sucer. Il ne tarde pas à bander.

 

Je prends mon courage et ma bite à deux mains et je fais mon entrée.

 

– Bonjour m’sieu dames !

 

Le gars tout sourire, me fait signe de venir près de lui afin qu’il puisse avoir accès à ma bite.

 

Je ne pensais pas que les choses iraient si vite. Mais c’est vrai qu’il suce divinement l’animal, et pendant qu’il me gâte de sa bouche, sa main m’attrape les tétons et les pince, j’adore cette caresse

 

On reste comme ça quelques minutes, puis ma mère me fait signe de venir le sucer à mon tour, je me précipite, j’adore sucer des bites, et la sienne est délicieuse et douce.

 

Avec ma mère on le suce alternativement. Puis le type demande s’il peut m’enculer.

 

– Bien sûr, mais avec capote !

 

Pas de problème, je me mets en levrette.

 

– Doigte-le un peu avant ! Demande-t-il à ma mère.

 

Et voilà que ma génitrice me fourre un doigt dans le cul et l’agite frénétiquement. Ça me fait tout drôle, mais ça me fait du bien.

 

Et voilà que je sens derrière moi la bite du gars solliciter l’entrée de mon derrière, je m’ouvre, ça entre. Whaf ! C’est que j’ai pas trop l’habitude, ce ne sera jamais que la quatrième fois.

 

– Doucement, doucement !

– Je vais doucement !

 

S’il le dit ! Et c’est parti ! Putain que c’est bon d’avoir une bite dans le cul. Je planque mon visage dans mes mains, je suis au paradis, je suis un enculé et j’aime ça !

 

Le mec se retire au bout de quelques minutes ! Dommage, je serais bien resté comme ça quelques minutes de plus, mais il faut croire qu’il avait d’autres projets.

 

Il demande à ma mère de quitter ses sous-vêtements, je peux ainsi voir ses gros tétons bruns. Puis il demande si on peut faire une « double ».

 

J’ai un peu de mal à suivre… le mec se couche sur le dos, ma mère s’empale dessus et se baisse afin de permettre l’accès à on anus.

 

– Vas-y ! Lauric, encule-moi ! Me dit ma mère !

 

Que faire ? Sinon le faire ? Et après avoir recouvert ma bite d’un préso, j’ai enculé ma génitrice tandis qu’elle gigotait sur la bite de son client. Il a joui assez vite, a murmuré quelques paroles de remerciement et est allé faire un brin de toilette intime. Je n’avais pas joui, ma mère a retiré ma capote, m’a sucé à fond et s’est badigeonné les seins avec mon foutre.

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On a attendu que le type s’en aille, et elle m’a demandé de m’occuper d’elle, je me suis jeté sur ses gros tétons enduit de sperme et les ai sucés comme des bonnes friandises, puis je suis descendu vers sa chatte que j’ai léchée jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un geyser de mouille.

 

On s’est roulé une pelle et on a ouvert une bière.

 

Je suis un fils de pute et un enculé et je suis très bien dans ma peau ! Puisque je vous le dit !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:47

Donnant donnant par Elian_Lvekman

Gode stamp

– J’ai une heure avant d’aller à mon rendez-vous. Alors ne me fait pas trop languir.

 

Laura raccrocha son portable. Elle venait de téléphoner à Bobby le jeune frère de son mari. Elle avait 35 ans et était plutôt grande pour une femme. Elle avait les cheveux châtains et les yeux verts. 15 minutes plus tard ils étaient tous les deux enlacés sur le lit conjugal. Bobby avait 13 ans de moins quelle, il avait été facile à séduire.

 

– Si mon frère apprenait ce que l’on faisait il nous tuerait.

– J’ai un moyen pour te faire oublier, dit Laura en ouvrant la braguette de son pantalon.

 

Elle sortit le sexe congestionné du slip et le regarda avec avidité et fierté. Elle le masturba rapidement plus pour durcir le sexe de son amant que pour le faire jouir. Dès qu’elle le trouva très présentable Laura commença à embrasser son ventre, puis elle glissa sa langue sur le nombril de Bobby et couvrit la totalité de son ventre de baisers, il avait comme des frissons qui parcouraient tout son corps. Laura se laissa glisser jusqu’à ce que sa bouche rencontre naturellement le long et puissant sexe et ne l’engloutisse. Elle l’a emprisonné dans sa bouche et le suça goulûment. Laura l’enveloppa de sa langue, lui infligeant un vertige de velours. Elle aspira le membre raidi jusqu’au fond de sa gorge, à s’en étouffer, imprimant à sa tête des mouvements de plus en plus rapides. Bobby se laissait faire savourant l’instant les yeux fermés. Elle le retira de sa bouche, continua avec sa main, faisant danser sa langue un ballet endiablé sur le gros gland.

 

– J’ai mis des traces de rouges à lèvres sur ta queue, mon chéri ! dit-elle avec amusement.

 

Elle se redressa et ouvrit son déshabillé blanc. En-dessous elle ne portait qu’un porte-jarretelles blanc ainsi que des bas assortis et des escarpins à grands talons. Elle se mit à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle ses grosses fesses rondes et charnues posées sur ses talons. Elle releva légèrement sa croupe cambrée et se tourna vers lui.

 

– Je veux que tu me prennes comme ça, je veux te sentir très fort dans mes fesses, pour qu’à chaque instant quand j’aurais mal je penserai à toi.

 

Bobby se glissa derrière son amante son sexe dans sa main, et le présenta à l’anus largement ouvert et il se laissa tomber de tout son poids. Il l’embrocha jusqu’à la garde comme s’il venait d’enfoncer un trépied dans le sol, il ne s’arrêta que lorsque son ventre musclé fut collé aux fesses dures de Laura. Elle poussa un long soupir ravi.

 

– C’est meilleur comme ça ! murmura-t-elle. Déchire-moi comme tu sais si bien le faire.

 

Il se laissa aller sans retenue, son bas-ventre claquait contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu’il le pouvait. Jamais elle n’avait ressentie une telle sensation de plénitude, les 25 centimètres du sexe infatigable de son beau-frère devaient y être pour quelque chose. Laura répondait à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Pour lui, elle avait commençait à faire de la gym pour avoir des fesses plus fermes lorsqu’il la sodomisait, il la prenait ainsi à chacune de leur rencontre. Laura hurlait sans discontinuer, elle chassa de son esprit l’image de son mari qui ne l’avait jamais culbuté ainsi, et se contenta de jouir sous les coups de boutoir. Elle avait toujours été friande de sodomie, les longues années de mariage avait refroidi le feu qu’elle avait au fond de ses reins. Bobby continuait ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa belle-sœur.

 

– Continue ! Ah, tu me déchires, tu… tu me fais mal, c’est booon… Aaah…

 

Il se mit à se démener entre les fesses charnues, comme s’il voulait les écraser, les aplatir, les faire exploser. Il avait l’impression de devenir dément. Laura avait pris ses fesses à pleines mains et les écartait encore plus pour qu’il la sodomise mieux. Bobby rebondissait sur les grosses fesses, il était presque devenu un homme primitif qui était dominé par ses pulsions par ses instincts. Un homme animal qui pourfendait une femelle en chaleur. Il se tenait fermement à ses épaules la maintenant au sol. Il sentait la jouissance monter de ses reins. Il donna encore quelques furieux coups de butoir et se répandit dans les reins gracieusement offerts en poussant un hurlement. Il avait l’impression que c’était sa moelle qui se déversait. Qu’elle l’aspirait. Il se retira de cette croupe accueillante et contempla l’œil brun, source de délice anale, ouvert et distendu de sa compagne, d’où suintait quelques gouttes de sperme.

 

Comme souvent son sexe n’était pas ressorti intact de cette folle chevauchée. Du sperme mais aussi des traces brunes. Cet état ne gênait point Laura qui prenait un malin plaisir à narguer son amant en lui nettoyant tout cela de sa langue agile.

 

– On a plus le temps ! Indiqua Bobby voyant ensuite Laura farfouiller dans son sac.

– Si ! Répondit-elle sèchement.

 

Elle s’harnacha de son gode ceinture, et lui fit face, crânement.

 

– Suce, suce cette bonne bite !

 

Donnant

Sans conviction excessive, Bobby entreprit de faire un simulacre de fellation au sex-toy en latex noir de bonnes dimensions que son amante avait accroché entre ses cuisses, puis sans qu’elle ne lui demande il s’allongea sur le dos et releva ses cuisses afin de faciliter la pénétration. Laura commença à embrasser ce charmant anus qui s’exposait à ses yeux, puis elle sortit sa langue, exerçant de savantes circonvolutions afin de la forcer à s’entrouvrir, ce qu’il finit par faire. Elle introduisit alors un doigt, puis un deuxième, les fit aller et venir, provoquant des ondes de plaisir chez son amant.

 

– Alors, tu le veux ? demanda-t-elle

– Oui, vas-y ?

– Demande le moi mieux que ça !

– Enfonce-moi ton gode, Laura

– Plus crûment !

– Encule-moi !

 

Après avoir tartiné de gel le fondement de son amant, elle fit pénétrer le gode d’un mouvement sec, avant de le faire aller et venir.

 

– Qu’est-ce que c’est bon ! C’est bon, c’est trop bon ! Psalmodiait-il.

– Qu’est ce qui est donc si bon ?

– Ce que tu me fais ?

– Et je te fais quoi ?

– Tu m’encules !

 

Du sperme finit par s’écouler du sexe semi-bandé de Bobby.

 

– Alors ?

– Je ne te remercierais jamais de m’avoir fait découvrir ce plaisir !

– Un jour je tacherais de te dégoter une vraie bite, ça sera mieux que le gode !

– Il n’en est pas question !

– On dit ça, on dit ça !

 

FIN

 

Rewriting d’une nouvelle non signée titrée  » Gail  » parue sur SophieXXX en 1999. Le style d’origine a été respecté.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 11:31

Solange et son fils par Elian Lvekman

 blob

- Regarde comme je suis écartée, salaud, je suis toute mouillée à cause de toi !

 

Voilà plus d'un quart d'heure que Solange est empalée sur la queue de Cédric, son fils de dix-neuf ans.

 

- Et alors, tu n'aimes pas, salope ? Ton clito est tout dur, je sûr qu'il est tout rouge. Papa te donne pas assez, c'est pour ça que tu fais la pute avec moi.

- Tais toi, tu sais que j'aime ta queue. Même si c'est celle de mon fils. Oh, que c'est bon, ce que tu me fais, oui...ouiii.

- Moi aussi je viens, salope, ouais, prend ça. Que c'est bon de tremper sa queue dans ta chatte de sa mère.

 

Le couple s'écroule sur le canapé.

 

- Hum c'était trop bon, il faut que je pisse maisnteant !

- Pisse moi dans la bouche, mon fils, je vais tout boire…

 

Solange est entièrement soumise à son fils, depuis qu'il l'a surprise au lit avec le voisin

 

Ça c'était passé très simplement :

 

- Ben maman, tu t'envoie en l'air avec le voisin !

- Et alors ? Tu n'as pas à me juger !

- Je te juges pas, mais je trouve qu'il a beaucoup de chance, le voisin, j'aurais bien voulu être à sa place !

- Chiche ?

- Euh…

- Ben qu'est-ce que t'attends, viens me montrer ta bite, je vais te la sucer…

 

Et ce fut le début d'une relation torride.

 Frankie

- Demain, y a Paul qui vient, dit Cédric. On va le chauffer, Alors, mini-jupe et rien dessous !

- Hi, hi !

- Ça t'excite déjà on dirait ?

- Oh, oui !

- T'es vraiment une cochonne, j'ai bien envie de te donner une fessée !

- Vas-y ne te gêne pas, rougis-moi le cul.

 

Cédric à couché sa mère sur ses genoux et l'a fessée à la volée jusqu'à ce qu'il en attrape mal aux mains, ensuite il l'a enculé sauvagement.

 

Paul est le cousin de Cédric, donc le neveu de Solange. Il arrive à quatorze heures.

 

- Bonjour tout le monde : Dit-il, ça va tata ? En forme ?

- Et toi , tu t'es enfin décidé à venir me voir. Comment va ma sœur ?

- Très bien, le trantran.

 

Cédric est installé sur le canapé. Il prend sa mère par la taille, la tire vers lui et l'assoie sur ses genoux. il glisse une main entre ses cuisses.

 

- Tu t'es épilé la chatte, m'man, ça m'excite ça !

- J'ai fait ça pour toi, mon chéri.

 

Paul est sidéré par la scène. Il aperçoit l'entre-jambe de sa tante.

 

- Mais, Cédric tu es fou ! Dit-il. Qu'est-ce-que tu fais ? C'est ta mère enfin !

- Approche Paul, viens voir la petite chatte de ma maman comme elle est belle. Elle est déjà toute mouillée. Viens la lui caresser.

- Arrête de parler comme ça ! Gémit Solange, tu vas me faire jouir. Tu sais que je résiste pas longtemps. Tu me rend folle. Allez viens Paul, tu n'en mourras pas, au contraire ça devrais te plaire !

 

Paul s'avance timidement, et caresse la chatte de sa tante.

 

- C'est vrai qu'elle mouille ! Constate-il.

- Je vous en prie, supplie-t-elle, niquez-moi, les garçons ! Vous ne voyez pas que j'en crève d'envie.

 

Tout le monde se déshabille.

 

- Oh la belle queue que tu as, Paul, et tu bandes bien ! Tu l'as déjà sucé, Cédric ?

- Ben non, je ne suce pas les garçons !

- Même si c'est moi qui te le demande ?

- Dans ce cas…

- Mais moi, je ne veux pas, proteste Paul.

- De qui, tu ne va refuser de faire plaisir à ma mère, d'autant qu'après tu vas pouvoir la baiser.

 

Et c'est ainsi que Cédric se mit à sucer la bite de son cousin.

 

- Allez maman, maintenant une petite turlutte à ton fils, ça te dis? Regarde comme elle est raide !

 

Paul se place derrière sa tante, la queue en érection. Il la fait aller et venir entre les lèvres humides, puis la pénètre.

 

 -Ha.. ha.. l'enfoiré ! Hurle Solange, quelle bite, oh putain, il est mieux monté que toi, ton cousin, oh le con. Et ses couilles, fait moi toucher tes couilles !

 

Solange passe une main entre les jambes de son neveu, et fait rouler les testicules entre ses doigts.

 

Paul accélère ses coups de queue dans la chatte en feu de Solange. Cédric donne des signes de faiblesse.

 

- Salope, pipe, avale bien, brave maman. Que tu es bonne ! Pauvre papa, s'il savait que sa femme se fait tirer par son fils. Quel cocu !

-Tais-toi ! Gémit Solange, laisse-moi jouir tranquille, vas-y Paul, nique-moi, bourre-moi, vide tes grosses couilles dans la chatte de tata ! Ha..ha..oui..ouiii, je jouiiis.

 

Paul envoie sa semence dans le ventre de sa tante, en hurlant de plaisir. Elle se retourne, l'embrasse sur la bouche..

 

-Petit vicieux ! Plaisante Solange, tu n'as pas honte de niquer ta tante ? Tu le ferai avec ta mère ? Vilain !

 

Paul se recule. Cédric tend une main, et lui prend la queue.

 

- C'est vrai que tu es bien membré ! Dit-il. je comprends que tu ais fais gueuler ma mère. Tu veux qu'il t'encule maman ?

- Non, dit Paul, pas ça, je peux pas me permettre. Restons-en là.

- Comme tu veux, répond Cédric, ce sera pour moi ce soir, hein m'man ?

- Bien sur mon chéri, dit Solange, ton père ne rentre pas ce soir, on aura toute la nuit.

 

Elle se retire dans la salle de bains. Les deux cousins restent assis sur le canapé. Cédric prend la main de Paul, et la porte à son sexe.

 

- Caresse moi, lui dit-il, décalotte-moi comme il faut. Prends-moi les couilles aussi.!

- Je n'ai pas osé dire devant ta mère qu'on se tripotait de temps en temps. Tu veux un doigt dans ton cul, Cédric ?

- Bien sûr !

- Comment tu es devenu, Cédric. Baiser avec sa mère ! Quand même !.

- Tu devrais essayer avec la tienne, répond-il. Du reste, tu devrais l'emmener un jour pour qu'elle se gouine avec sa sœur devant nous, ça doit être excitant, non ? Oh putain, je crache, regarde, tu as fait jouir ma mère, maintenant tu fais jouir son fils, quel famille.

- T'as joui trop vite, c'est dommage, je t'aurais bien fait une bite au cul ! Attend je vais lécher ton sperme tu en a mis partout.

 

Deux jours plus tard, Solange appelle sa sœur.

 

- Allo, allo.

- Ha.. ha.. oui.

- Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ? Demande Solange.

- Si tu savais, c'est mon fils, il m'a tout raconté…

- Oh !

- Et là, il est en train de me mettre des coups de queue ce salaud, ça fait deux fois qu'il me fait jouir. Tu m'entendrais crier. Ha.. ha... oui, je viens encore, je jouiiiis.

 

Tut. tut. tut. tut.

 

Rewriting d'un texte signé Frankie publié sur le site "Histoire érotique" (au singulier) titré :"Une maman soumise", catégorisé dans Histoire "Extra conjugale", bourrée de fautes de toutes sortes et encombré de caractères exotiques.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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