Elian Lvekman

Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:31

Un hôtel à Saint-Brieuc par Elian Lvekman

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Chers amis, nous ne résistons pas au plaisir de vous raconter l’une de nos aventures, très émus à l’idée de nous relire et peut-être d’être reconnus par certains de nos amis. Depuis notre rencontre par une petite annonce, Bénédicte s’est révélée très exhibitionniste, chaude, sensuelle et provocante. J’aime la montrer et elle prend un vrai plaisir à lire l’excitation dans le regard des hommes et le mien. Elle a de jolies jambes découvertes par des jupes souvent très courtes, sous lesquelles elle ne porte que des bas, parfois pas de culotte, et surtout des décolletés assez vertigineux qui attirent les regards. Ses seins superbes sont sa fierté et mon bonheur.

 

Nous avions décidé d’aller passer deux jours en Bretagne, réservant un hôtel à Saint-Brieuc. Partis nous allonger quelques minutes après le déjeuner, Béné s’installe sur le lit devant la télévision, pendant que je prends une douche pour me délasser du voyage. Sortant de la salle de bain, je m’allonge à côté d’elle, et sans la déshabiller, je caresse ses seins, son ventre, ses jambes. Elle ouvre les cuisses et sous son slip déjà humide, tendu sur sa motte, je sens ses lèvres gonflées.

 

La température monte. Je me lève pour ouvrir la fenêtre en grand. De l’autre côté de la rue, un petit immeuble nous fait face. A l’une de ses fenêtres située légèrement plus haut que la nôtre, j’aperçois un homme d’une vingtaine d’année accoudé à sa fenêtre. Il a l’air un peu surpris de me voir nu, et en pleine érection, et se retranche précipitamment derrière son rideau. Je réalise qu’il doit voir au moins la moitié inférieure de notre lit, et sais qu’une femme y est allongée. Avec un petit coup au cœur, je rejoins Bénédicte, ouvre son chemisier sous lequel ses seins sont nus et gobe entre mes lèvres ses tétons qui durcissent. Je descends le long de son ventre, et la tète à la hauteur de ses cuisses, je distingue derrière la fenêtre qui nous fait face la silhouette du voyeur. Béné ne peut le voir, pas plus que lui ne peut voir autre chose que les jambes de ma compagne. Le cœur battant d’excitation, je m’agenouille au pied du lit, saisit Béné par les chevilles et la tire vers moi. Comprenant que je souhaite m’occuper de sa petite chatte, elle glisse son bassin vers moi, sans pouvoir encore apercevoir notre voyeur. Je roule sa jupe haut sur ses hanches et la déculotte. D’un coup d’œil, je constate que notre spectateur s’est accoudé à la fenêtre et semble très intéressé. Elle ouvre grand les cuisses et je suce longuement sa motte aux poils taillés court, passant la langue dans son sillon rose, comme elle aime et me le fait savoir en gémissant, l’enfonçant à l’entrée de son vagin béant et gluant de mouille, aspirant tantôt son jus, tantôt son clitoris dur et très long. Sachant que l’homme nous regarde et la voit se trémousser sous ma caresse, je suis au bord du plaisir, et la suce longtemps, jusqu’à recevoir un flot de cyprine, accompagnée d’un long gémissement, lorsqu’elle jouit, arc-boutée.

 

C’est là son premier orgasme, et loin d’être le plus violent. Assis en tailleur, toujours au pied du lit, je l’allonge sur mes genoux, fesses tournées vers notre voyeur pour qu’elle ne le remarque pas tout de suite. Elle adore cette position de « grenouille », sur le ventre, cuisses très écartées, cul relevé, la motte bien accessible, offerte, la fente bâillante. Le type doit avoir une superbe vue de ses grosses lèvres béantes, et je lui fais un clin d’œil. Je la branle bien profondément devant lui, enfonçant un doigt, puis deux dans son minou trempé. Le foutre lui ruisselle sur les poils et mes doigts s’agitant dans sa cramouille distendue produisent un bruit de clapot qui nous excite autant l’un que l’autre. Je regarde franchement le type pour lui faire comprendre que c’est à lui que s’adresse cette exhibition, et que je veux qu’il la voie, totalement offerte, dominée, vautrée sur moi, cul nu et chatte ouverte, impudique et salope, tortillant de la croupe sous mes doigts qui la branlent. Elle me dit des choses torrides, qu’elle aime ça, que je lui fais ça bien, que je vais la rendre folle, qu’elle aime que je la traite comme une pute et qu’elle veut que je la remplisse ! J’agite de plus en plus fort les doigts dans son trou alors qu’elle me demande de la baiser, mais je sens que dans mon état, je ne tiendrai que peu de temps si je la prends, et je veux prolonger ce moment.

 

– Non ! Je ne te baiserai que ce soir ! Je veux t’avoir sous la main comme ça tout l’après-midi !

 

Elle rit et me promet que je ne débanderai pas de l’après-midi, risquant de craquer avant elle, et se retournant, aperçoit notre admirateur. Les yeux brillants, elle me demande :

 

– Tu as vu le mec en face ? Tu savais qu’il regardait ?

– Oui, bien sûr !

– Salaud ! Ça ne m’étonne pas de toi ! J’espère qu’il a apprécié ! Il doit être dans un drôle d’état, le pauvre

 

out72Je lui propose d’aller nous balader et comme elle sait ce qui m’excite et n’a pas eu sa ration, elle tient sa promesse. Après une douche rapide, debout face à la fenêtre, elle enfile un mini slip totalement transparent, une petite jupe jaune courte et moulante, et enfin un tee-shirt blanc sur ses seins nus, assez collant pour révéler de façon presque indécente la masse de ses beaux nichons et leur pointe bordée d’une aréole sombre. Une ravissante petite salope sur laquelle les hommes vont se retourner. Nous décidons de quitter le centre pour aller sur le bord de mer. Sitôt assise dans la voiture, elle s’installe comme j’aime, jupe remontée au ras du slip. A ce moment, je vois dans mon rétro notre jeune voyeur enfourcher un scooter, l’air décidé à nous suivre. Je roule lentement, pour que d’éventuels piétons ou cyclistes puissent apercevoir les jambes de ma compagne, mais le scooter squatte la place, et je décide de le semer, pensant le retrouver ce soir. Arrivés près d’une plage, nous entrons dans un bar, peu fréquenté. Les cinq ou six hommes présents suivent Béné du regard, l’air de la trouver plutôt bandante avec ses seins bien visibles sous le tee-shirt et sa jupe moulante. Une fois assise, elle dévoile ses cuisses jusqu’à son slip. Elle sent très bien le regard des hommes, et son calme et naturel m’étonnent encore. Elle ne prend aucune précaution pour que les mouvements de ses jambes ne révèlent pas par instant très nettement le fond de sa culotte, et nous délirons à voix basse :

 

– Tes seins sont superbes ! Tu sais qu’on les voit bien !

– Ça n’a pas l’air désagréable à regarder !

– Tu as l’air d’une vraie petite pute ! Je suis sûr qu’ils essayent de savoir si tu portes une culotte

– D’abord, c’est toi qui m’as rendu comme ça, et ils savent très bien que mon slip est blanc. Ils ne le quittent pas des yeux !

– Salope ! Tu es mouillée ?

– Je suis trempée, et tu le sais bien !

 

Tout l’après-midi, nous nous promenons, profitant des regards tantôt directs, tantôt discrets et timides, tantôt salaces, mais toujours intéressés des hommes que nous croisons. Durant le dîner, un homme d’âge mur, accompagné de sa femme et de deux autres personnes tente d’observer discrètement Bénédicte, allant jusqu’à laisser tomber sa serviette pour jeter un coup d’œil sous la table. A sa deuxième tentative, je demande à ma compagne :

 

– La prochaine fois, récompense-le, ouvre-lui tes jambes

 

Elle sourit sans me répondre, mais dès que la serviette du gars tombe, la petite salope écarte franchement les cuisses. Le spectateur a l’air de plus en plus agité, mais il est coincé à sa table. Comme nous arrivons à la fin du dîner, je lui demande sans trop y croire :

 

– Fais-moi plaisir ! Pour lui offrir un bouquet final, je voudrai que tu ailles enlever ton slip !

 

Elle est bien aussi excitée que moi, car à ma stupéfaction, elle se lève et se dirige vers les toilettes. Le temps que je demande l’addition, elle est de retour, les joues roses et l’œil brillant. En s’asseyant, elle me sourit et me traite de salaud. Elle se tourne légèrement vers notre admirateur, et sans le regarder, ouvre un peu les jambes. Je vois l’homme tressaillir, l’air complètement estomaqué. Sa femme va finir par se rendre compte de quelque chose. Et Béné ouvre franchement ses cuisses en me regardant. J’ai l’impression que le type va suffoquer. Puis brusquement, elle se lève et nous partons sans un regard pour notre victime.

 

Arrivée à notre chambre d’hôtel, nous remarquons la fenêtre ouverte de notre vis à vis. Sa lumière est éteinte, mais nous devinons sa silhouette. Je suis tellement excité que j’assieds Bénédicte au pied du lit, la renverse, m’agenouille entre ses jambes que j’écarte et pose sur mes épaules. Ses lèvres sont gonflées et luisantes de mouille. Je lui bouffe la chatte avec application, gobant son clitoris, enfonçant la langue dans son trou béant. Elle ondule en gémissant de plaisir. Au bout de quelques minutes, elle orgasme sous ma bouche en feulant. Je la relève, et debout devant la fenêtre, achève de la déshabiller.

 

J’aperçois notre admirateur toujours dans l’obscurité. Je lui fais signe de la main. Il comprend et allume la lumière. Il est nu, son sexe tendu à la main. J’attrape un oreiller, le jette à terre et invite Béné à s’agenouiller dessus, face au voyeur. Elle se met à quatre pattes, je m’installe derrière elle et la prends en levrette d’un coup de rein. Elle est béante et brûlante. L’inconnu se branle devant nous. Je la baise comme un fou, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Il doit voir ses seins tressauter à chaque coup de boutoir. Elle gémit de façon continue, et je décharge au moment où elle m’annonce qu’elle jouit, le visage tendu vers son admirateur. Je suis tellement excité que je la retourne à même la moquette, oreiller sous la tête, et me couche sur elle. Le simple fait de frotter ma queue sur sa cramouille gluante me rend une érection qui me permet de la prendre à nouveau. Et nous continuons notre chevauchée, plus tendrement, jusqu’au bout de nos forces. Elle délire à mon oreille, m’encourageant avec des mots obscènes et des ordres crus. Totalement anéanti, je me relève pour fermer les rideaux en adressant au voyeur un signe d’adieu.

 

En quittant l’hôtel, le lendemain, nous ne l’avons pas revu, mais sur le pare-brise nous attendait une petite carte de remerciement signé « votre voyeur anonyme » ! Il y a des gens qui ont du savoir vivre, quand même !

 

Une première version de ce texte a été publié anonymement dans le numéro de Lettre Magasine de mars 1995. Je l’ai un tout petit peu arrangé…

 

Elian

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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:26

Saucisse de Toulouse par Elian Lvekman

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Parcourant distraitement les annonces de rencontre sur un site spécialisé, je tombais sur l’une d’entre elles dont le texte était plutôt évasif « Couple cherche partenaire sans tabous pour moments intimes », sans trop y croire j’y ai répondu en me présentant : homme 29 ans, 1 m 75, 75 kg mignon et en joignant une photo. Quelques jours plus tard j’ai eu l’heureuse surprise d’avoir Laurent au bout téléphone. Il avait soumis ma réponse et ma photo à sa petite amie qui avait dit oui. Il me demanda si j’avais des tendances bisexuelles, je lui répondis qu’elles étaient fort légères, mais que néanmoins j’avais déjà pris en bouche quelques sexes masculins et que la chose ne m’avait point déplu. On fixa un rendez-vous quelques jours plus tard. Je peux vous assurer que je comptais les heures et j’en devenais fébrile tant la situation était unique.

 

Arriva ce fameux mardi soir. Je me rendis à Toulouse en voiture chez Laurent. C’était un jeune homme souriant et bien bâti, il m’invita à rentrer. Son appartement était minuscule et assez mal entretenu, signe qu’une femme n’y résidait pas souvent. Je ne me trompais pas car il m’annonça que Christelle n’habitait pas ici mais qu’elle passerait dans une demi-heure. Je mis cette attente à profit pour sympathiser et en savoir un peu plus sur eux.

 

Ils formaient un couple bizarre car ils étaient simplement amant et maîtresse et ne nourrissaient pas d’autres sentiments que la recherche du plaisir. Lui, avait trente ans, c’était un éternel étudiant qui avait à peu près tout raté sauf un étonnant palmarès de conquête féminine. C’était, selon, ses propres dires, un vrai drogué du sexe qui avec persévérance ramenait à peu près toutes les filles qu’il voulait dans son lit.

 

Christelle, avait vingt-deux ans, il me l’a décrit belle et intelligente. Commerciale dans le domaine médical, elle gagnait très bien sa vie et n’était pas originaire du coin. Bref, elle avait tous les atouts pour vivre pleinement ses envies ? Et faire l’amour avec deux garçons en même temps était vieux fantasme.

 

La demi-heure finit par passer et Christelle arriva. Je vis apparaître une ravissante jeune femme d’une trentaine d’année, assez grande portant lunettes, la peau blanche, les cheveux bruns méchés de blond, elle était habillée dans un Jeans moulant avec un chemisier qui dessinait de très beaux seins. Elle était plus qu’intimidée et se demandait ce qu’on avait bien plus comploter pendant son absence. On s’est assis dans la cuisine et Laurent nous servit un verre. L’alcool nous mettait à l’aise. On parlait de tout et de rien et je me surpris à ramener régulièrement la conversation au sexe pour éviter que la situation nous échappe. Après un quart d’heure, Christelle vida son verre d’un trait et se leva et nous invita à passer dans la chambre. Laurent avait tout préparé, les stores étaient baissés, des bougies diffusaient une lueur agréable et un grand matelas nous attendait.

 

Il s’est placé derrière elle, a commencé à l’embrasser dans le cou tout en lui caressant les seins. Elle me tendit les bras en m’invitant à les rejoindre. Alors commença le plus doux et langoureux effeuillage de ma vie. Nos mains couraient sur son corps, passant de temps en temps sous sa chemise pour caresser son ventre et ses seins. Elle fermait les yeux, renversait sa tête pour apprécier nos gestes et nous accordait de longs baisers. De ses mains fébriles, elle déboutonnait une chemise, dégrafait une ceinture, caressaient nos torses. Nous l’avons déshabillé très lentement augmentant notre excitation, ses gémissements emplissaient la pièce, c’était divin. Progressivement, nous lui avons retiré son chemisier et son Jean pour découvrir une fine lingerie qui dessinait superbement ces formes. Cette dernière étape franchit, elle se livrait à nous, offerte à nos désirs.

 

Tandis que Laurent caressait ses seins aux pointes érigés, je me mis à genoux et découvrit une toison soyeuse et douce. Doucement, mes doigts passèrent entre ses lèvres intimes déjà humides. De mes doigts trempés, je remontais sur son clitoris où j’entamais une douce caresse. Très vite, ses lèvres se gonflèrent de plaisir. En me penchant, j’ai pointé ma langue sur son bouton d’amour et j’ai longuement savouré ces instants où il roulait et durcissait sous ma langue. Christelle s’est mise à genoux, me donnant un profond baiser pour recueillir son fluide. Laurent, par derrière légèrement accroupi, avait passé son sexe entre ses fesses et commençais un doux va-et-vient en caressant sa vulve de son gland.

 

Tout en embrassant ses tétons durcis, je continuais à la caresser en rencontrant de temps à autre le sexe érigé de Laurent, ce contact éveilla chez moi des sensations indéfinissables. Comment alors que Christelle polarisait toute ma libido, pouvais-je ainsi me laisser distraire par la vue d’un pénis ? Alors que j’espérais secrètement que Laurent ne verrait rien de mon trouble, ce dernier ne trouva rien de mieux que de se déplacer en m’adressant un sourire complice. Etant légèrement accroupi je me retrouvais avec son joli sexe devant mon visage :

 

– Lèche sa bite, met la dans ta bouche ! Me dit alors Christelle.

 

Je ne pouvais refuser, et commençais par balayer le gland violacé du bout de ma langue, une goutte de liqueur séminale ne tarda pas à y perler rendant l’endroit délicieusement salé. Je m’enhardis et engloutis cette jolie verge dans ma bouche en la faisant coulisser.

 

Bi235Christelle me rejoignit en lui léchant les couilles, j’abandonnais alors ma fellation classique pour lécher la hampe, nos deux langues se rejoignirent alors pour un baiser coquin.

 

Elle s’allongea ensuite sur le dos, écartant largement les jambes. Alors qu’il la pénétrait, je m’attardais sur ses seins, et lui tendis mon sexe qu’elle prit en bouche. Sa langue s’attardait sur mon gland alors que sa main me masturbait. C’était agréable car j’étais à la fois acteur et spectateur d’une scène érotique hors du commun. Laurent devait penser la même chose car il n’a pas tardé à jouir tandis que mon sexe étouffait les gémissements de ma partenaire. Il se retira et alla l’embrasser, elle me regardait tant en écartant les cuisses comme une douce invitation. Sans me faire prier, je l’ai pénétré à mon tour, son vagin était serré, soyeux et encore humide du passage de Laurent. Ce détail décuplait mon désir, mes mains couraient sur son corps, attrapaient ses hanches, revenaient sur ses seins ou descendaient sur son clitoris.

 

Chaque coup de rein la faisait gémir et elle s’abandonnait à ce double plaisir. La tension était vraiment trop fort, encore quelques va-et-vient et en m’agrippant à ses jambes j’éjaculais puissamment en elle.

 

Après avoir retrouvé nos esprits, on retrouva Christelle radieuse d’avoir assouvi son rêve et presque maternelle, elle nous serra très fort dans ses bras en nous embrassant longuement.

 

C’est environ dix minutes plus tard, alors que couché sur le ventre, je caressais tendrement Christelle, que je sentis la verge de Laurent caresser mes fesses. Par réflexe je m’écartais et m’apprêtais à protester, mais quand Christelle d’une voix suave me demanda de me laisser faire :

 

– Laisse-toi faire, il va t’enculer ! il ne te fera pas mal.

 

J’écartais alors mes fesses, ouvrais mon anus, facilitant ainsi le passage du pénis de Laurent.

 

Un quart d’heure après nous trinquions tous les trois à mon dépucelage anal.

 

Rewriting d’une nouvelle non signée titrée « Annonces rencontre » parue sur SophieXXX en 1999. Le style et l’esprit d’origine ont été respecté

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:23

Plage perverse par Elian_Lvekman

Fetish

C’était en Août, en vacances : un soir que je me promenais seul sur une plage tiède et déserte…

 

Au bout d’un bon quart d’heure, je rencontrai une femme d’environ 26 ou 28 ans qui s’était assise sous la lune, dans une petite robe légère, une blonde et frisée avec un visage atypique mais jolie. Elle me regardait approcher depuis un moment. Je suis un peu sauvage et je n’aime pas me sentir observé, aussi, j’avais hâte de la dépasser pour continuer ma promenade nocturne (non que je n’espérasse pas secrètement une rencontre fortuite, mais je savais d’expérience que cela n’arrive jamais…)

 

Or, ce soir-là me fit mentir, car la femme me tendis rapidement une « perche » pour lui faire la conversation ! Ce fut bien sûr d’abord les banalités d’usage, mais bien vite, elle m’invita à s’asseoir à côté d’elle mais en me précisant :

 

– Je ne suis pas une femme, si ça te choque on en reste là, sinon tu peux t’asseoir.

 

Je dévisageais la créature, de vieux fantasmes refirent surface, et un début d’érection envahit ma braguette. Je m’assis et je sentis son parfum m’envahir :

 

(Et à partir de cette ligne nous continuerons à conjuguer cette troublante créature au féminin ! Et pourquoi demanderez-vous ? Eh bien, parce que ç’est mieux !)

 

En écoutant sa voix légèrement rauque, j’eus soudain envie de la serrer dans mes bras. Elle sembla s’en apercevoir et me regarda un peu effrontément ; je me dis tout d’abord que je devais me faire des idées, mais après tout, il est assez rare qu’une fille (et qui plus est, une transsexuelle) invite quelqu’un à s’asseoir à côté d’elle sans arrière-pensées, et fort de cette prise de conscience, je lui pris la main, et m’approchai doucement pour l’embrasser.

 

Elle n’attendait apparemment que cela et nos deux langues se mêlèrent frénétiquement. Nous étions comme électrisés par nos audaces réciproques. Sans préambule, elle ouvrit ma braguette et défit ma ceinture pour atteindre mon sexe où le sang battait avec force. Continuant à m’embrasser, elle me masturba un peu maladroitement d’abord, puis ses caresses devinrent plus subtiles. Au comble de l’excitation, j’espérais qu’elle se pencherait sur moi pour me faire une fellation, mais cela n’avait pas l’air d’être dans ses intentions immédiates. Je me dis alors qu’elle pouvait avoir les mêmes attentes, et j’entrepris d’ôter sa culotte afin de lécher sa bite. A vrai dire je n’avais jamais fait une chose pareille, et je craignais un peu que l’expérience ne soit rebutante, mais à ma grande surprise, sa jolie verge rose et son gland violacé décalotté et légèrement humide et salé n’étaient pas désagréables à léchouiller, et leur discrète odeur âcre avaient même quelque chose d’enivrant qui m’encouragea à être plus fougueux dans mon étrange baiser… Je la léchais bientôt abondamment, puis m’enhardissant je fis pénétrer sa bite dans ma bouche et commença à la sucer en usant des lèvres et de la langue.

 

– Je m’appelle Mandy ! me dit-elle. J’aimerais bien que tu me suces le cul.

 

Sucer le cul d’un travelo ? En voilà une idée incongrue, la bite passe encore, mais pas le cul. Je changeais rapidement d’avis quand Mandy se mit en levrette, cambrant son fessier magnifique. Ne me reconnaissant plus, je fonçais langue en avant vers cette vallée des trésors. Son trou du cul sentait un peu fort, mais ce n’était pas pour me déplaire, j’aime les odeurs un peu relevées. Ma langue quémandait l’entrée de cet anus qui finit par s’entrouvrir.

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Je ne me serais jamais cru si ardent et si comblé moi-même par la pratique de cet anulingus hors norme… Tout essoufflée, c’est elle qui m’arrêta bientôt pour se jeter à son tour sur mon sexe. Elle n’avait pas froid aux yeux et s’appliqua à enserrer mon gland avec ses lèvres rondes et un peu fraîches, et fit de délicates et lentes allées et venues. Je ne savais pas quelle attitude prendre, et je lui caressai les cheveux pendant qu’elle osait enfoncer de plus en plus profondément mon pénis dans sa bouche. On entendait des bruits de succion pas très esthétiques, mais assez excitants. Comme je l’avais fait, elle se montra de plus en plus fougueuse, et je dû bientôt l’arrêter pour ne pas éjaculer dans sa bouche…

 

– Tu veux jouir, me demanda-t-elle ?

– Je vais avoir du mal à me retenir encore longtemps…

 

Elle me regarda et sembla réfléchir quelques instants, puis redescendit vers mon sexe bouillant en me disant :

 

– Laisse toi allez, tu peux éjaculer si tu veux !

 

Elle continua ce qu’elle avait commencé en ordonnant soudain :

 

– Éjacule dans ma bouche ! Je veux que tu le fasses !

 

Au bout de nouvelles caresses au rythme maintenant effréné, je sentis l’orgasme m’envahir progressivement ; je balbutiai que j’allais jouir pour lui laisser encore le choix d’éviter la décharge en pleine bouche, ses lèvres continuèrent à sucer mon sexe et je sentis les longs jets chauds se répandre à l’intérieur d’elle. Je fus longtemps secoué par les spasmes de l’éjaculation, et comme elle avalait toujours mon gland, elle en eut littéralement plein la bouche, à tel point que je vis couler de ses lèvres un flot de sperme qu’elle ne pouvait contenir !

 

Ma surprenante partenaire garda longtemps les yeux fermés tandis qu’elle déglutissait patiemment et sans dégoût mon épaisse semence et achevait sur mon pénis les dernières lèches de toilette. Le baiser quelle me donna ensuite me laissa un petit goût particulier…

 

N’étant pas un surhomme, j’aurais été en mal de continuer à lui faire l’amour, car mon sexe était maintenant devenu lourd et flasque et toute nouvelle performance m’était provisoirement interdite… A dire vrai, je n’en éprouvais même plus l’envie sur le moment, tant mon orgasme fut intense et puissant ; je ne me souvenais d’ailleurs pas avoir déjà éjaculé autant et si longtemps.

 

Un raclement de gorge !

 

Deux gars sont là à deux mètres de nous, la bite à l’air en train de se branler.

 

– On peut se joindre à vous ? Demande le premier.

 

Je cherchais une réponse polie afin de les éconduire, mais Mandy parla avant moi.

 

– Bien sûr, vous tombez très bien, car mon nouvel ami, dit-elle en me désignant est momentanément hors service.

 

Les gars s’avancent, Mandy s’approche du premier et lui gobe la bite. L’autre s’approche de moi. Au secours ! Je ne veux pas le sucer, je vous l’ai dit, toute excitation m’a quitté, et ensuite je ne suis pas homo ! Avec un travelo, ce n’est pas la même chose, mais là, ce sont des mecs ! Il faut tout de même avouer que cette bite qui est devant moi et qui me nargue est vraiment très belle. Allez, j’y touche un petit peu, mais juste un peu, hein ? Je peux même la sucer un peu, juste un peu… Et me voici l’air de rien en train de sucer la seconde bite de ma soirée. Que c’est bon ! Quelle douceur, quelle texture ! Mon excitation et la bandaison qui va avec reviennent.

 

Je regarde du côté de Mandy où les choses sont allés très vite puisqu’elle tend ses fesses à l’un des gars, lequel ne tarde pas à l’enculer comme il se doit.

 

J’espère que mon partenaire ne va pas vouloir me faire la même chose. Une seule solution : le sucer à fond et le faire jouir comme ça. Je mets donc tout mon cœur (à défaut de mettre mon expérience) à faire tourner ma langue autour de ce gland divin, à faire coulisser cette verge si douce.

 

– Qu’est-ce que tu suces bien, toi ! Me dit le gars.

– Hummmpf, hummmmpf…

– Tu veux que je te prenne !

– J’ai pas l’habitude ! Répondis-je spontanément en lâchant sa bite.

– Je suis très doux, tu verras, tout se passera bien, mets-toi en levrette.

– Non, non !

– Si ça te fais mal, on arrêtera, mais tu n’auras pas mal.

 

A côté de moi, Mandy essuie les coups de boutoir de son sodomiseur et semble y prendre un plaisir inouï.

 

– D’accord, si ça fait mal, tu arrêtes !

 

Me voilà en levrette, pour la première fois de ma vie, je vais me faire enculer, et finalement l’idée ne me déplait pas. Le gars me prépare le cul de la langue et du doigt. J’aime la façon dont il me doigte, avec d’abord un seul doigt, puis deux, peut-être trois, ce n’est pas facile de compter les doigts qu’on vous fourre dans le cul ! Puis un moment le gars me dit qu’il se met une capote et sa bite réclament le passage, je m’ouvre au maximum. C’est entré assez vite, ça fait mal et puis cette sensation de corps étranger est bizarre. Le type commence à remuer un peu.

 

– Ça fait un peu mal !

– Normal au début, je vais aller doucement.

 

Effectivement il va doucement, ça fait moins mal mais ça n’a rien d’extraordinaire. Il accélère un peu, la sensation devient différente, il accélère encore, je suis bien, j’aime ce qu’il me fait, il accélère encore, puis il ralentit, décule, se débarrasse de la capote.

 

– Tu veux mon sperme ?

– Hein ?

– Suce ma queue !

 

Ah, ça y est j’ai compris, je prends la bite en bouche, elle est de plus en plus salée, quelques moments de fellation et mon gosier est envahi de sperme. J’en ai gouté un peu, j’ai recraché le reste. Pas tout le même jour.

 

Mandy est en train de se bécoter avec son biquet. Je n’ai pas vu tout ce qu’ils ont fait. Peu importe !

 

– On vous laisse, merci pour le trip !

 

Les deux biquets s’en vont. Mandy m’informe qu’elle a envie de pisser. Voilà une information fondamentale.

 

– Tu veux ma bière ? Me propose-t-elle

– Volontiers, j’ai un peu soif.

– Alors ouvre bien la bouche !

– Hein, tu vas faire quoi ?

– Ben pisser !

 

Elle est folle ! J’ai déjà fait ce genre de truc, mais jamais avec un travelo.

 

Mandy m’arrose le torse, le ventre la bite, il remonte, j’ouvre la bouche et j’avale quelques gouttes. Il paraît que c’est bon pour la santé… et puis c’est tellement pervers…

 

– Tu veux dormir chez moi ? Me demande-t-elle.

– Tu es seule ?

– Non, je suis en vacances avec une copine. Mais elle est très sociable.

 

Je ne lui demande pas si sa copine est une copine à foufoune ou une copine à bite, on verra bien j’adore les surprises.

 

Elian

 

PS : au fait j’ai un peu mal au cul, mais ça doit être normal !

 

D’après un texte intitulé « léches amoureuses » dont j’ai oublié la provenance

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:17

Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 2 par Elian Lvekman

 

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Evidemment après ces événements, il y a eu une sorte de contre coup. Pendant une semaine aucune allusion à ce qui s’était passé n’a été formulé par quiconque, et le dimanche pour éviter toute « tentation », je m’en suis allé au cinéma.

 

Je ne savais plus trop où j’en étais, je n’avais pas le sentiment d’avoir fait quelque chose de mal, mais quelque chose que les gens ne font pas.

 

J’essayais de me renseigner sur Internet pour savoir ce que l’on reprochait exactement aux relations incestueuses.

 

Et là je fus frappé par la pauvreté des démonstrations.

 

Certains en était encore, à l’aube du XXIème siècle, à associer toute relation sexuelle à la procréation de l’espèce, et nous racontaient des trucs impossibles où se mêlait le médical, le juridique et le devenir de la société.. Mais ils n’ont jamais vu une capote ou une pilule ces mecs !

 

D’autres, trop forts, arrivaient à remplir des pages et des pages en ayant que pour seul argument « si ça ne se fait pas, c’est que ça ne se fait pas » ! Tout cela en invoquant « l’ordre naturel des choses ». Drôle de dialectique.

 

D’autres encore, plus pernicieux, nous racontaient que ce genre de rapports n’étaient jamais véritablement complètement consentis, que seuls des esprits faibles et influençables pouvaient l’accepter et qu’ils ne pouvaient à posteriori que provoquer des traumatismes graves et durables.

 

Bizarre, mais moi, je ne me sentais pas traumatisé du tout et pas malade non plus.

 

Je décidais donc que la meilleure façon de savoir où j’en étais serait de recommencer, mais je ne souhaitais rien provoquer, me disant que si vraiment les parents avaient quelques idées salaces, ils ne manqueraient pas de les manifester.

 

Je n’eu pas à attendre très longtemps.

 

Le samedi matin, je me lève avec une belle érection (je dors tout nu) et me dirige vers les toilettes. Je croise mon père dans le couloir qui lui en revient. Il est aussi nu que moi.

 

– Eh bien Bertrand, tu m’as l’air en forme, me salue-t-il en me mettant la main sur la bite.

– T’as vu !

 

Mon père me lâche la queue et attrape mes tétons qu’il tortille légèrement !

 

– C’est bon ? Hein ?

 

Il revient vers ma bite et la branlotte.

 

– Papa, j’ai envie de pisser, si tu as envie de me caresser, tu le feras après.

– Humm, attend un seconde, on va faire un truc…

 

Et le voilà qui appelle ma mère, laquelle se radine avec sa nuisette transparente qui dévoile sa magnifique paire de loches.

 

– Va t’assoir sur les toilettes, Bertrand va te pisser dessus.

– Mais, ça ne va pas ! Protestais-je

– Si, si essaie, j’adore ces trucs là et elle aussi !

 

Comme dirait le philosophe, « les choses ne se passent décidemment jamais comme on croit qu’elles vont se passer. »

 

Maman enlève sa nuisette et s’assoit sur la cuvette.

 

– Maintenant pisse !

 

Vous croyez que c’est facile, vous ?

 

Finalement j’ouvris les vannes er envoyais mon pissou sur les nichons de ma mère. Elle se les badigeonnai vicieusement et léchait ses mains., puis elle me fis signe de viser sa bouche ouverte..

 

Ma mère resta assise sur la cuvette, je compris alors qu’elle était en train de chier, j’aurais voulu voir ça de près mais elle ne me donna pas se plaisir.

 

– Tu veux m’essuyer ? Me demanda-t-elle

 

Je m’emparais de quelques feuilles de papier à cul.

 

– Tu ne veux pas le faire avec ta langue, mon chéri ?

 

Ben, si, je veux bien elle se retourna écarta les fesses et ma petite langue s’engouffra près de son bel œillet brun afin de nettoyer toutes les traces de merde.

 

– On file tous dans la chambre, proposa mon père.

 

Nous voilà sur le lit, mon père me tripote la bite, la masturbe un peu, me flatte les roustons et me complimente.

 

– Humm, quelle belle bite !

 

Il la prend dans sa bouche ! Qu’est-ce qu’il suce bien ! Sa langue tournoie autour de mon gland me provoquant des sensations inouïes. Pendant ce temps, maman m’introduit un doigts dans le cul et le fait aller et venir en cadence.

 

A ce rythme je risque de ne pas conserver la distance longtemps. Effectivement, j’éclate dans la bouche de mon père, il garde mon foutre en bouche puis le partage avec ma mère dans un baiser profond.

 

Mon père me demande alors de me mettre en levrette, je compris qu’il allait m’enculer. Se faire sodomiser par son propre père, c’est divin, non ?

 

J’étais analement vierge et donc étroit, mon père fit plusieurs tentatives, mais rien ‘y fit quand ça ne veut pas rentrer, ça en rentre pas ! Ma mère eu alors l’idée de m’enfoncer le gode fin de « faire le passage ».

 

Sensation divine de sentir cette fausse bite vibrer dans mon fondement me provoquant des sensations inconnues jusqu’ici.

 

Ma mère après avoir pilonné le gode pendant plusieurs minutes, le retira d’un coup sec, me provoquant un spasme de plaisir. Elle le lécha avec gourmandise, puis laissa la place à mon père qui cette fois ci pu me pénétrer. La sensation est différente qu’avec le gode, après un début bizarre et pas forcément agréable, , la sensation change rapidement pour faire place au déploiement d’ondes de plaisir, c’est chaud, c’est vivant, c’est autre chose.

 

Mon père jouit dans un râle et décula. Je lui nettoyais la bite comme je l’avais fait l’autre fois.

 

Pendant ce temps-là ma mère s’était mise en levrette m’offrant une vue imprenable sur tous ses trésors.

 

– Encule moi mon chéri, encule ta maman !

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Excité comme jamais, j’introduisit ma bite dans le troufignon de ma mère et la pilonnais comme un sauvage, lui provoquant des gémissements de plaisirs

 

– Ah, c’est trop bon de sentir la bite de son fils dans mon cul de salope ! Dis-moi que je suis une salope, mon fils !

– T’es un salope maman !

 

Soudain elle poussa un cri fulgurant en jouissant, j’accélérais la cadence et c’est les yeux exorbités, le sang à la tête et le cœur battant la chamade que je jouissait à mon tour.

 

Ma mère chercha mes lèvres et nous nous embrasâmes profondément..

 

Il était temps d’aller déjeuner après toutes ces galipettes incestueuses, c’est que ça creuse tout ça. Café, jus d’orange tartines beurrées et confiture, peu de mots échangés mais nous nous sentions bien tous les trois, sans gêne, sans honte, sans remord.

 

Après avoir terminé son café, mon père me demanda :

 

– Bertrand, je voudrais que tu m’encules !

– Mais bien sûr papa !

 

Je pensais qu’il parlait de ça pour plus tard, mais non, il retira sa robe de chambre, s’arbouta contre le plan de travail et m’invita à venir

 

Je m’acquittais de cette tâche avec plaisir, après avoir enculé maman , il était bien normal que j’encule papa, non ?

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:14

Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 1 par Elian Lvekman

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Bertrand, étudiant en lettres, bonjour messieurs dames !

 

Cela faisait bien 20 minutes que je les entendais baiser et il y en avait bien pour deux bonnes heures encore.

 

Irrémédiablement, tous les dimanches après-midi, mes parents baisaient et cela faisait des années que cela durait, j’avais maintenant l’âge adulte et je vivais toujours chez eux car je poursuivais mes études.

 

Je me branlais au rythme des bruits provenant de la chambre de mes parents autant dire presque tous les soirs et le dimanche après-midi comme je ne sortais guère, j’étudiais dans ma chambre. Souvent mon père reprochait aux maisons modernes d’avoir des murs fins comme du papier à cigarette, ce n’était pas possible qu’il puisse ignorer que j’entende les cris de ma mère et ces grognement à lui.

 

Quant à leurs commentaires au moment sublime, je les connaissaient par cœur

 

– Suce salope, oui, encule-moi bien. et tout le reste…

 

Je n’avais pas de petite amie, mais n’était qu’à demi-puceau. Lors de soirées estudiantines, j’avais roulé quelques galoches à de belles demoiselles et pelotés quelques belle paires de nichons. L’alcool aidant, je m’étais allé à sucer quelques bites bien tendues et bien juteuses et je dois dire que j’avais apprécié la chose.

 

Le soir je me branlais dans le lit mais le dimanche comme je savais qu’il y en avait pour un certain temps, je me déshabillais et me branlais dans mon fauteuil face au mur mitoyen d’avec leur chambre. Leur lit touchait la cloison que je sentais vibrer et j’avais l’impression d’être avec eux.

 

J’en rêvais et je me voyais pénétrant ma mère comme sur les photos et les bouquins cochons et revues d’amateurs qu’ils avaient dans leur chambre bien cachés au fond de l’armoire. Je les connaissais par cœur et je me demandais parfois si les visages masqués sur les photos en noir et blanc n’étaient pas ceux de mes parents avec leurs amis prises par des amateurs.

 

Un dimanche d’été, alors que j’étais en pleine masturbation en les écoutant, la porte de ma chambre s’ouvrit brutalement et mon père nu comme un ver, la queue demi-dressée me fit signe d’approcher. J’étais nu et si honteux que ma bite très raide un instant plus tôt était déjà à l’état de limace.

 

J’eu très peur que les choses se compliquent, mais avec un regard sympa mon paternel me pris par les épaules et me dit :

 

– Avec ta mère on a décidé de te proposer quelque chose.

– Ah ?

– Oui ! Plutôt que de te branler, vient donc nous regarder, ce sera beaucoup plus agréable !

 

Dans un état second, je le suivis. Nous entrâmes dans la chambre parentale et je vis immédiatement ma mère nue étendue sur le lit bras et jambes écartées, le visage radieux et qui me dit :

 

– Approche mon chéri !

 

Une boule me bloquait la gorge et je m’exécutais comme un automate en me mettant à genoux sur le bord du lit pendant que mon père prenait la même position de l’autre côté de son corps.

 

Son corps était magnifiquement bien conservé. Mes yeux allaient de ces beaux seins laiteux légèrement écartés de chaque côté de son corps et cette envoutante touffe de poils dont je rêvais chaque nuit

 

Ma mère pris mon sexe dans sa main en même temps que celui de mon père…

 

– Deux belles bites dans les mains, que rêver de mieux ! S’exclama-t-elle

 

Mon père commençait à lui malaxer le sein gauche et me dit de faire de même car selon ses termes : « elle adore les caresses, cette pute »

 

– Mets-lui ta main sur la chatte, histoire de la faire mouiller !

 

Je posais ma main sur la touffe tant désirée et c’est ma mère qui me guida pour que je la caresse ainsi qu’il se doit..

 

J’étais comme dans un brouillard et je caressais la chatte de ma mère avec la main droite tandis que je lui malaxait un sein avec l’autre main.

 

Quant à mon père il avait approché sa belle queue de la bouche de ma mère qui commença à lui sucer sous le commentaire cru de mon père :

 

– Tu aimes, hein ! Une bonne bite dans la bouche, mais regarde bien celle de notre fils, tu vas pouvoir la sucer aussi !

 

De tels mots avaient un effets sur ma bite qui devenait très dure et même si elle était beaucoup plus fine que celle de mon père je constatais qu’elle était de la même longueur avec de belles couilles lourdes et pendantes, la branlette de ma mère commençait à avoir un effet terrible je senti que ma queue tressautait et par quelques giclées puissantes guidées par ma mère, je lui arrosait les seins et le ventre.

HHFI02

 

Un peu dépité d’avoir si vite vidé mes couilles, je regardais mon père qui souriait en me disant que c’était bon et que j’allais voir…

 

Il se pencha alors sur le corps de ma mère et lécha tout mon sperme en dirigeant sa bouche vers sa chatte touffue.

 

C’est alors que ma mère lâchant nos queues respectives, tout en restant sur le dos relevant ses jambes se mis en position d’écart maximum offrant sa chatte et son cul bien en évidence. Mon père se mis à genoux sur le sol et me fit signe de faire pareil.

 

Dans cette position, il me fit faire le « tour du propriétaire » m’exhibant tous les trésors de ma mère, écartant les lèvres très longues et caressant son clitoris très proéminant, puis achevant en caressant l’anus et en y entrant la première phalange de son index.

 

– Tu vois cette pute elle adore qu’on lui enfonce le doigt dans le cul, vas-y essaye.

 

Ma mère excitée par ces attouchements criait :

 

– Allez-y, caressez-moi la chatte et le cul, faites-moi jouir à mon tour !

 

Je doigtais ainsi ma mère et quand je retirais mon doigt, je fus surpris de le trouver pollué de traces marrons.

 

– Lèche ton doigt, me dit mon père, tu vas voir, il est délicieux le jus de cul de ta mère.

 

Excité comme j’étais, j’obéissais et trouvais la chose agréable.

 

Mon père ne restait pas inactif et pendant que je suçait le clito de ma mère, il était allé prendre un gode dans la table de nuit et me dit :

 

– Tu le connais celui-là ?

 

Inutile de mentir, aussi je fis signe que oui, en effet je l’avais découvert il y a bien longtemps.. Mon père l’enduisit de gel et commença à le présenter à l’entrée de l’anus de ma mère qui commença à se tortiller de plaisir.

 

Elle se releva et me fit étendre sur le dos et se mis en position 69 (elle sur le dessus) j’avais une vue imprenable sur sa belle chatte humide et je voyais mon père lui enfoncer le gode dans le cul.

 

– Continue de me bouffer la chatte, mon fils me dit-elle !

– Ta mère est une salope qui adore ça, vas-y !

 

Et moi je continuais de la dévorer pendant qu’elle me suçait avec avidité. Mon père avait une trique terrible et un moment il dit :

 

– Maintenant du sérieux !

 

Et il présenta sa queue à l’entrée de l’anus de ma mère. Je n’imaginais pas que sa bite puisse la pénétrer ainsi.

 

– Vas-y, écarte mes fesses, que ton père puisse me défoncer mon cul !

 

Et mon père d’un cri rauque entra entièrement son engin dans le fondement de ma mère qui poussa un cri de fauve, rauque et long à la fois je sentis mon visage s’inonder de sa mouille qui dégoulinait de sa chatte en feu

 

Les coups de boutoir de mon père créaient un mouvement de va-et-vient naturel sur le sexe de ma mère qui se frottait à ma langue tandis que ma queue entrait et sortait de sa bouche goulue

 

Je ne pus retenir longuement mon plaisir et pour la première fois de ma vie j’éjaculais dans la bouche d’une femme et quelle femme ! Sa langue m’entourait la queue et créait un effet de succion qui attirait mon gland vers le fond de sa gorge comme si elle allait l’avaler.

 

Mon père cria à son tour quand sa bite cracha son sperme et qu’il arrosa l’anus de ma mère, puis il se mis à genoux et lécha tout ce qui dégoulinait. J’en reçu sur le visage et léchais à mon tour le sperme de mon père inondant l’anus et la chatte de ma mère, puis comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je nettoyais la bite de mon père avec ma bouche. Et appréciait ce mélange subtil de sperme et de merde.

 

Nous tombâmes tous les trois dans les bras les uns et autres et je crois bien avoir dormi trois heures durant.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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