Elian Lvekman

Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:14

Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 1 par Elian Lvekman

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Bertrand, étudiant en lettres, bonjour messieurs dames !

 

Cela faisait bien 20 minutes que je les entendais baiser et il y en avait bien pour deux bonnes heures encore.

 

Irrémédiablement, tous les dimanches après-midi, mes parents baisaient et cela faisait des années que cela durait, j’avais maintenant l’âge adulte et je vivais toujours chez eux car je poursuivais mes études.

 

Je me branlais au rythme des bruits provenant de la chambre de mes parents autant dire presque tous les soirs et le dimanche après-midi comme je ne sortais guère, j’étudiais dans ma chambre. Souvent mon père reprochait aux maisons modernes d’avoir des murs fins comme du papier à cigarette, ce n’était pas possible qu’il puisse ignorer que j’entende les cris de ma mère et ces grognement à lui.

 

Quant à leurs commentaires au moment sublime, je les connaissaient par cœur

 

– Suce salope, oui, encule-moi bien. et tout le reste…

 

Je n’avais pas de petite amie, mais n’était qu’à demi-puceau. Lors de soirées estudiantines, j’avais roulé quelques galoches à de belles demoiselles et pelotés quelques belle paires de nichons. L’alcool aidant, je m’étais allé à sucer quelques bites bien tendues et bien juteuses et je dois dire que j’avais apprécié la chose.

 

Le soir je me branlais dans le lit mais le dimanche comme je savais qu’il y en avait pour un certain temps, je me déshabillais et me branlais dans mon fauteuil face au mur mitoyen d’avec leur chambre. Leur lit touchait la cloison que je sentais vibrer et j’avais l’impression d’être avec eux.

 

J’en rêvais et je me voyais pénétrant ma mère comme sur les photos et les bouquins cochons et revues d’amateurs qu’ils avaient dans leur chambre bien cachés au fond de l’armoire. Je les connaissais par cœur et je me demandais parfois si les visages masqués sur les photos en noir et blanc n’étaient pas ceux de mes parents avec leurs amis prises par des amateurs.

 

Un dimanche d’été, alors que j’étais en pleine masturbation en les écoutant, la porte de ma chambre s’ouvrit brutalement et mon père nu comme un ver, la queue demi-dressée me fit signe d’approcher. J’étais nu et si honteux que ma bite très raide un instant plus tôt était déjà à l’état de limace.

 

J’eu très peur que les choses se compliquent, mais avec un regard sympa mon paternel me pris par les épaules et me dit :

 

– Avec ta mère on a décidé de te proposer quelque chose.

– Ah ?

– Oui ! Plutôt que de te branler, vient donc nous regarder, ce sera beaucoup plus agréable !

 

Dans un état second, je le suivis. Nous entrâmes dans la chambre parentale et je vis immédiatement ma mère nue étendue sur le lit bras et jambes écartées, le visage radieux et qui me dit :

 

– Approche mon chéri !

 

Une boule me bloquait la gorge et je m’exécutais comme un automate en me mettant à genoux sur le bord du lit pendant que mon père prenait la même position de l’autre côté de son corps.

 

Son corps était magnifiquement bien conservé. Mes yeux allaient de ces beaux seins laiteux légèrement écartés de chaque côté de son corps et cette envoutante touffe de poils dont je rêvais chaque nuit

 

Ma mère pris mon sexe dans sa main en même temps que celui de mon père…

 

– Deux belles bites dans les mains, que rêver de mieux ! S’exclama-t-elle

 

Mon père commençait à lui malaxer le sein gauche et me dit de faire de même car selon ses termes : « elle adore les caresses, cette pute »

 

– Mets-lui ta main sur la chatte, histoire de la faire mouiller !

 

Je posais ma main sur la touffe tant désirée et c’est ma mère qui me guida pour que je la caresse ainsi qu’il se doit..

 

J’étais comme dans un brouillard et je caressais la chatte de ma mère avec la main droite tandis que je lui malaxait un sein avec l’autre main.

 

Quant à mon père il avait approché sa belle queue de la bouche de ma mère qui commença à lui sucer sous le commentaire cru de mon père :

 

– Tu aimes, hein ! Une bonne bite dans la bouche, mais regarde bien celle de notre fils, tu vas pouvoir la sucer aussi !

 

De tels mots avaient un effets sur ma bite qui devenait très dure et même si elle était beaucoup plus fine que celle de mon père je constatais qu’elle était de la même longueur avec de belles couilles lourdes et pendantes, la branlette de ma mère commençait à avoir un effet terrible je senti que ma queue tressautait et par quelques giclées puissantes guidées par ma mère, je lui arrosait les seins et le ventre.

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Un peu dépité d’avoir si vite vidé mes couilles, je regardais mon père qui souriait en me disant que c’était bon et que j’allais voir…

 

Il se pencha alors sur le corps de ma mère et lécha tout mon sperme en dirigeant sa bouche vers sa chatte touffue.

 

C’est alors que ma mère lâchant nos queues respectives, tout en restant sur le dos relevant ses jambes se mis en position d’écart maximum offrant sa chatte et son cul bien en évidence. Mon père se mis à genoux sur le sol et me fit signe de faire pareil.

 

Dans cette position, il me fit faire le « tour du propriétaire » m’exhibant tous les trésors de ma mère, écartant les lèvres très longues et caressant son clitoris très proéminant, puis achevant en caressant l’anus et en y entrant la première phalange de son index.

 

– Tu vois cette pute elle adore qu’on lui enfonce le doigt dans le cul, vas-y essaye.

 

Ma mère excitée par ces attouchements criait :

 

– Allez-y, caressez-moi la chatte et le cul, faites-moi jouir à mon tour !

 

Je doigtais ainsi ma mère et quand je retirais mon doigt, je fus surpris de le trouver pollué de traces marrons.

 

– Lèche ton doigt, me dit mon père, tu vas voir, il est délicieux le jus de cul de ta mère.

 

Excité comme j’étais, j’obéissais et trouvais la chose agréable.

 

Mon père ne restait pas inactif et pendant que je suçait le clito de ma mère, il était allé prendre un gode dans la table de nuit et me dit :

 

– Tu le connais celui-là ?

 

Inutile de mentir, aussi je fis signe que oui, en effet je l’avais découvert il y a bien longtemps.. Mon père l’enduisit de gel et commença à le présenter à l’entrée de l’anus de ma mère qui commença à se tortiller de plaisir.

 

Elle se releva et me fit étendre sur le dos et se mis en position 69 (elle sur le dessus) j’avais une vue imprenable sur sa belle chatte humide et je voyais mon père lui enfoncer le gode dans le cul.

 

– Continue de me bouffer la chatte, mon fils me dit-elle !

– Ta mère est une salope qui adore ça, vas-y !

 

Et moi je continuais de la dévorer pendant qu’elle me suçait avec avidité. Mon père avait une trique terrible et un moment il dit :

 

– Maintenant du sérieux !

 

Et il présenta sa queue à l’entrée de l’anus de ma mère. Je n’imaginais pas que sa bite puisse la pénétrer ainsi.

 

– Vas-y, écarte mes fesses, que ton père puisse me défoncer mon cul !

 

Et mon père d’un cri rauque entra entièrement son engin dans le fondement de ma mère qui poussa un cri de fauve, rauque et long à la fois je sentis mon visage s’inonder de sa mouille qui dégoulinait de sa chatte en feu

 

Les coups de boutoir de mon père créaient un mouvement de va-et-vient naturel sur le sexe de ma mère qui se frottait à ma langue tandis que ma queue entrait et sortait de sa bouche goulue

 

Je ne pus retenir longuement mon plaisir et pour la première fois de ma vie j’éjaculais dans la bouche d’une femme et quelle femme ! Sa langue m’entourait la queue et créait un effet de succion qui attirait mon gland vers le fond de sa gorge comme si elle allait l’avaler.

 

Mon père cria à son tour quand sa bite cracha son sperme et qu’il arrosa l’anus de ma mère, puis il se mis à genoux et lécha tout ce qui dégoulinait. J’en reçu sur le visage et léchais à mon tour le sperme de mon père inondant l’anus et la chatte de ma mère, puis comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je nettoyais la bite de mon père avec ma bouche. Et appréciait ce mélange subtil de sperme et de merde.

 

Nous tombâmes tous les trois dans les bras les uns et autres et je crois bien avoir dormi trois heures durant.

 

à suivre

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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:11

Oscar au Cap – 3 – Les dépravés du Cap par Elian Lvekman

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ATTENTION / SCATO EXPLICITE

 

Bonjour c’est encore moi, Oscar. L’action se passe au Cap d’Age, où René un partenaire de rencontre m’a présenté sa petite famille, une famille tuyau de poêle où tout le monde baise avec tout le monde.

 

Et pendant que je sirotait un verre de Banyuls en grignotant quelques cacahuètes grillées, René me fit ce qui ressemblait fort à une proposition déguisée.

 

– On s’amuse parfois à un petit jeu, ça pourrait t’intéresser…

– Dis toujours, je suis très joueur..

– Voilà, quand on a un invité, ou même plusieurs on tire au sort le nom de celui qui va être l’esclave de tous les autres pendant une ou deux heures.

– Mwais… répondis-je peu enthousiasmé pour le moment.

– Evidement il ne s’agit pas de faire faire à l’esclave des choses qu’il n’a pas envie… Il faut que ça reste un jeu. La personne n’est pas forcément attachée, et elle peut quitter le jeu quand elle veut. Ça te dirait ?

– Je ne sais pas trop !

– Mais tu ne dis pas non ! Être dominé par Elsa et Marceline, avec en plus nos bites à ta disposition, ça ne te branche pas ?

– Et vous lui faites quoi à l’esclave ?

– On se lâche complètement, du sadomaso de l’uro de la scato.

– De la scato ? Juste un peu alors ?

 

Je viens de me rendre compte que je suis déjà en train d’accepter.

 

– Je vais te montrer des photos ! Me dit Léo, le fils de la famille, en allant chercher sa tablette.

 

Il fait défiler des photos devant moi, toutes ne me branchent pas, mais certaines…. Une femme le dos zébré de traces de flagellation, Elsa les seins pris dans des élastiques, et…

 

– C’est quoi ça ? C’est la bite d’un chien ? demandais-je.

– Oui, c’est un couple qui nous avait amené son labrador, Elsa et moi on lui a léché la bite ! Me répondit la vieille Marceline. Et après on s’est fait grimper, c’était divin, n’est-ce pas ma fille ?

– Oh, la la, maman, quel souvenir !

 

Et voilà que je bande !

 

Sur une autre photo, une jolie femme est en train de chier un bel étron sur le visage de Léo….

 

Si j’accepte, dans quoi je m’embarque ?

 

– Alors c’est d’accord ? Me susurre Elsa, l’épouse de René.

– On peut toujours essayer !

– On verra ça demain matin, pointe-toi à 10 heures ! On ne tirera pas au sort, ce sera toi l’esclave.

– Ah bon ?

– Ben oui, on aurait tiré au sort on aurait triché.

 

J’ai quitté cette bande de pervers, un peu frustré que la chose soit reportée au lendemain.

 

Le temps était brumeux l’après-midi, j’ai glandé, j’aurais pu aller au ciné porno ou au sauna, non, j’ai glandé, et le soir même chose. J’ai finis quand même par me branler comme un malade en regardant une petite vidéo bisexuelle sur mon téléphone portable.

 

Et le lendemain je me suis pointé chez René à 10 heures, Comme je suis un garçon poli, j’ai apporté une bouteille de vin rosé et un bouquet de fleurs.

 

On s’embrasse, Léo me roule carrément un patin, les mains de ces messieurs dames sont déjà baladeuses, et je ne tarde pas à bander.

 

– Viens me sucer l’anus ! Me demande Léo.

 

J’ai déjà léché par mal de trous du cul féminin mais pas encore à ceux de ces messieurs. Mais puisqu’aujourd’hui je suis l’esclave de service et qu’en plus le fessier que me présente Léo est absolument charmant, je m’exécute de bonne grâce et me régale de cette texture très particulière et de ce petit goût un peu spécial..

 

– A genoux devant moi esclave ! Me dit soudain Elsa, interrompant ma feuille de rose.

 

Je suis beau joueur, je m’agenouille.

 

– Alors, on a pas été sage ?

– Je ne suis jamais sage !

– T’as fait quoi, hier après nous avoir quitté ? T’as été sucé des bites ?

– Ben non il ne faisait pas beau.

– Tu t’es branlé, alors ?

– Oui !

– C’est très mal de se branler, tu vas être puni pour ça !

 

J’acquisse d’un mouvement de tête, un jeu c’est un jeu.

 

– Ouvre ta bouche connard !

 

Je le fais, elle me crache dedans plusieurs fois de suite, avant de m’envoyer deux ou trois gifles, pas trop fortes, mais bon ce sont des gifles quand même, pas des caresses !

 

– L’ennui vois-tu, avec des cochons comme toi, c’est qu’il y a des trucs qu’on peut faire mais qui ne seront pas des punitions, alors si tu t’attends à sucer de la bite, à te faire enculer ou à nous baiser, ce ne sera pas maintenant, ce sera plus tard ce sera la récompense, mais la récompense il faut la mériter. T’as compris esclave ?.

– Tout à fait.

– Bon, relève-toi !

 

Je le fais, elle me toise et m’accroche une pince à linge à chaque téton, elle fait ça sans grand ménagement et ça serre un peu , mais j’essaie de supporter.

 

Elle me fait ensuite me retourner.

 

– Maman, je te laisse continuer !

 

Marceline s’est emparée d’une cravache (il y a des gens qui apportent leur cravache en vacances !) et commence à me fouetter les fesses. Ça fait drôle au début et après on s’habitue. N’empêche qu’au bout d’un moment ça commence à chauffer sévère.

 

– T’exagères Mamie, d’abimer un si joli cul ! Intervient Léo.

– Ta gueule, pédé ! Lui répond Marceline.

 

Je commençais à me décider à lui demander d’arrêter mais elle le fit d’elle même après trois derniers coups.

 

– Je te le laisse un peu ! Dit-elle à Elsa.

 

Celle-ci me fit de nouveau retourner et après m’avoir joyeusement .craché au visage, comme ça pour le fun, elle se mit à me travailler les tétons. J’adore qu’on me les tripote, et il faut dire que là, j’étais servi, elle les tournait, les tirait, les tordait, toute la gamme, et moi je bandais comme un cerf.

 

– T’aime ça, hein, pédale !

– Ouiiii !

– Tu vois quand on veut, on peut te faire plein de choses que tu aimes, tout à l’heure quand on aura fini de te dominer, tu pourras baiser avec qui tu voudras. Mais avant il faut que tu nous fasse plaisir. Et tu sais ce qui me ferais plaisir ?

– Non !

– J’ai très envie de te chier dessus !

– Ben…

– Ben quoi, ça nous fera plaisir et ensuite tu auras ta récompense, elle n’est pas belle la vie ?

– Je veux bien essayer.

– Bien sûr que tu vas essayer ! Je vais tenter de te rassurer, tu sais je fais de très beaux boudins, bien moulés, d’une jolie couleur, tu vas adorer !

 

Incroyable, elle est en train de me faire l’article.

 

– Bon on va essayer ! Répétais-je.

– Alors si Monsieur Oscar veut bien s’allonger sur le carrelage.

 

On y va, on y va, il est froid leur carrelage !

 

Elsa me chevauche, de face. Je comprends rapidement qu’avant de faire la grosse commission, elle veut faire la petite, celle qui ne me pose aucun problème, et même que j’ouvre une grande bouche et que j’en avale plusieurs lampés. En même temps je me délecte de la vue, une belle contreplongée sur son anatomie avec ses gros seins en ligne de mire ! Mon dieu, que c’est beau !

 

Et la voilà qui se retourne, elle s’écarte les fesses sans doute pour que je voie mieux.

 

Les voilà tous autour de moi, Léo branle mollement la bite de son père. Celle-là j’espère que je pourrais l’avoir dans ma bouche tout à l’heure !

 

– Regarde, me dit Marceline, le petit oiseau va sortir.

 

En fait de petit oiseau, c’est une petite crotte qui en train de se frayer un chemin hors de l’anus de la belle mature !

 

Marceline s’est accroupie derrière moi et a allongée ses bras afin de pouvoir me tordre les tétons afin de maintenir mon excitation et mon érection à un bon niveau. Et ça fonctionne, parce que pour l’instant ce qui se passe devant mes yeux me fascine au lieu de me révulser.

 

L’étron s’allonge et devient boudin, il se décroche de son anus et me tombe sur le ventre. Ça fait bizarre, un deuxième étron tombe et rejoint le premier.

 

Elsa se recule, se baise afin de mettre en contact son anus avec ma bouche.

 

– Lèche-lui l’anus ! M’ordonne Marceline ! Qu’il ne reste pas une seule trace de merde !

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Dans un état quasi-second j’ai effectué ce qu’on me demandait. J’en étais ravi, Une satisfaction sans doute plus psychologique qu’autre chose mais je me sentais fier d’avoir franchis un pas et étonné de l’avoir franchi si facilement.

 

Elsa a ensuite ramassé dans sa main le second étron, l’a approché de son visage, l’a humé avec une expression de satisfaction, puis l’a un peu léché du bout de sa langue.

 

Je pressentais ce qui allait se passer maintenant, alors effectivement elle approcha l’étron de ma bouche.

 

– Lèche, lèche ma bonne merde !

 

J’hésite quand même…

 

– Si t’as aimé me nettoyer le cul, tu vas aimer lécher ma merde ! insiste-t-elle.

 

Evidemment, c’est un point de vue !

 

J’approche le bout de ma langue, timidement, ça se passe bien, je continue, ça y est je suce sa merde, je suis dans un autre monde, le monde des scatophiles, je n’ai pas l’impression d’être anormal, j’ai franchi un tabou, c’est tout…

 

Elsa reprend de nouveau l’étron, le porte à sa bouche par l’extrémité et le fait aller entre ses lèvres comme elle le ferait d’une bite. C’est fascinant de voir ça ! Au bout d’un moment elle le passe à sa mère qui en fait autant. Elles en profitent pour se tripoter les tétons avec leur doigts pleins de merde. Elle se roulent un patin, se tripotent mutuellement la chatte. Mais quelles salopes ! Quelles belles et délicieuses salopes !

 

Je me relève, Elsa quémande ma bouche, on s’embrasse longuement malgré que nos langues ne soient pas encore nettoyées de nos turpitudes.

 

Je me demandais où étaient passés les deux hommes. Je les vois un peu plus loin derrière. Léo est en train d’enculer son père. Joli spectacle mais ça m’embête un peu, la bite de Léo je l’aurais bien voulu dans mon cul…

 

La Mamie me nettoie un peu avec une serviette humide, mais avant elle prélève un peu de la merde et se l’étale sur les nichons. Elle me demande ensuite de lécher. C’est rigolo de lécher un téton merdeux !

 

Léo sort du cul de son père, sans avoir joui, peut-être aurais-je donc le plaisir de l’accueillir dans mon propre fondement. Non, sa mère l’a appelé et le voici maintenant en train d’enculer maman ! Quelle famille !

 

– Viens mon grand, viens enculer la vieille ! Me supplie Marceline

 

Je n’ai pas hésité une seconde, ma bite est entrée au milieu de ses fesses comme dans du beurre des Charentes. Quelle sensation d’aller et venir dans ce cul accueillant, je lime je lime, je fais gueuler la vieille. Je vais jouir. Je jouis, je me retire, j’enlève la capote, elle me nettoie la bite de tout son sperme avec sa langue de pute ! Je suis bien.

 

Et pendant qu’Elsa et son fils s’agitent dans un barouf d’enfer, René vient me proposer sa bite.

 

Bien évidement que je l’ai sucé, et à fond en plus.

 

– Un petit verre de Banyuls, maintenant ?

– Volontiers !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:09

Oscar au Cap – 2 – Les libertins du Cap par Elian Lvekman

 

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Bonjour c’est Oscar. Au chapitre précédent, j’ai découvert le coin gay du Cap, j’ai pris plaisir à sucer quelques bonnes bites et à me faire sodomiser. Et je n’ai même pas honte !

 

Mon copain Remy a dû rentrer précipitamment à Paris pour régler une vague histoire de boulot.

 

– Je te laisse la location, profites-en bien !

 

Il me restait huit jours à passer au Cap d’Agde et effectivement j’avais bien l’intention d’en profiter.

 

Le temps était maussade ce matin, j’espérais que ciel se lèverait l’après-midi afin que je puisse retourner au coin gay. J’avais trop envie de sucer à nouveau des bonnes queues et de me faire enculer.

 

Je sortis m’acheter des cigarettes quand je tombais nez à nez avec le bonhomme chauve rencontré la veille.

 

– Tiens, comment ça va depuis hier ? Me lance-t-il d’un air jovial !

 

J’étais ravi qu’il m’aborde, me disant que ce pourrait être le prélude à quelque chose…

 

– Ça peut aller, mais mon colocataire m’a fait faux bond, il faut que je m’organise…

– Tu es seul alors ?

– Oui !

– Viens boire un coup à la maison, ça te détendra !

 

Evidemment il ne m’était pas bien difficile d’imaginer ce que pouvait bien être sa proposition de détente, mais justement j’étais partant et le suivi avec plein d’idées cochonnes dans la tête.

 

Son bungalow n’est pas très loin, on rentre.

 

– Je vais te présenter ma petite famille.

 

Hein, il est en famille ?

 

Il y a là un jeune homme, un peu grassouillet, mais jovial et complètement épilé, j’apprendrais un peu plus tard qu’il a 22 ans. Il y a aussi une femme brune d’une quarantaine d’année dotée d’une très jolie poitrine et une autre grisonnante sans doute proche de la soixantaine.

 

Donc le type a une double vie ! Je décide donc d’accepter un coup à boire vite fait, puis de déguerpir.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises :

 

– Je te présente Léo, mon fils, qui est aussi pédé que son père, n’est-ce pas Léo ?

– Hi ! Hi !

 

Je rêve !

 

Voici Elsa ma femme, une belle salope, et sa mère Marceline, qui n’est pas triste non plus dans le genre vieille pute. Et moi je ne me suis pas présenté, je suis René.

 

Marceline a conservé une belle allure malgré son âge, fine, souriante, les cheveux gris plaqués sur la tête. Les seins sont modestes mais terminés par de gros tétons arrogants. Sa fille est une belle brune aux cheveux mi-longs, légèrement boulotte, ce doit être de famille. Ses seins sont vraiment bandants.

 

– Enchanté, moi c’est Oscar. Me présentais-je à mon tour.

– Et où as-tu fais connaissance de ce charmant Monsieur ? Lui demande Elsa !

– Hier dans les dunes…

– Dans le coin des pédés ?

– Ben oui, c’est toujours là que je fais des bonnes rencontres.

– Il t’as enculé ?

– Non, on s’est fait enculer chacun de notre côté, mais à la fin je l’ai lui ai sucé la bite.

– Cet après-midi tu m’y emmène, papa ? demande Léo

– Bien sûr, s’il fait beau !

 

Je vous dis que je rêve !

 

– Vous êtes gay, Monsieur Oscar ou vous appréciez aussi les femmes ? Me demande la vieille Marceline en s’approchant de moi.

– En fait je suis hétéro mais j’ai de grosses tendances bi…

– Donc je peux vous toucher la bite ?

– Mais touchez, chère Madame, je vous en prie !

 

Elle ne se contente pas de toucher, elle me branle carrément sous les yeux des trois autres larrons. Du coup je lui caresse les seins.

 

Léo s’approche très près de moi et vient.me tortiller mes tétons. Du coup Marceline se baisse et m’embouche la bite.

 

Hum, sa langue est diabolique, une façon de l’entortiller autour de mon gland ! Génial ! Quand je pense que je venais juste boire un coup !

 

Je jette un coup d’œil sur la bite de Léo qui a considérablement grossie, quel bel organe !

 

– Je peux te sucer ! Demandais-je ! Ne me contrôlant plus.

– Vas-y suce moi, pédé !

– Heuh !

– Je dis ça pour le fun, ça ne te dérange pas ?

– Non, non !

– Suce moi et après je vais t’enculer !

 

Et me voilà avec la bite de Léo dans la bouche ! Qu’est-ce qu’elle est bonne cette bite ! Je me régale !

 

– Tu la trouves comment la bite de mon fils ? Demande Elsa.

– Hum ! Délicieuse !

– Mets-toi en position il va t’enculer !

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Je l’aurais bien sucé encore un peu, mais bon je suis comme on dit « chez les gens » et je suis très respectueux des convenances. Léo me fait signe de m’installer en levrette sur le canapé. J’y vais et je lui présente mes fesses.

 

– Oh, quelles jolies fesses ! S’exclame-t-il.

 

Un peu de gel une capote, une poussée, ça rentre, et pendant qu’il m’enfile, Mamie Marceline vient me donner sa vieille cramouille à lécher !

 

Ça sent la mouille, ça sent la pisse, mais j’aime bien, au bout de quelques minutes la Mamie pousse un hurlement, je ne pensais pas la faire jouir aussi vite ! Elsa vient la remplacer, mais c’est son anus qu’elle m’offre. Voilà qui n’est pas un problème, j’approche ma langue et commence à sucer, c’est un peu âcre mais ça ne me dérange pas. J’adore sucer les trous du cul.

 

– Mets moi un doigt !

 

Je le fais, je sens quelque chose à l’intérieur, pas la peine qu’on me fasse un dessin mais si elle se met à pousser, ça risque de tourner en scato, cette affaire-là.

 

On ne réagit pas toujours de la même façon devant ce genre de chose, et en ce moment j’ai la bite de Léo dans mon cul et je suis excité comme un fou, prêt à toutes les folies.

 

Je sors mon doigt, évidement il est légèrement merdeux.

 

Marceline qui est à nos côtés n’en perd pas un miette !

 

– Ben, reste pas comme ça, mon grand, lèche !

– Euh !

– Dis-moi Oscar, tu es une petite salope qui est en train de se faire enculer, non ?

– Mais très certainement, chère Mamie !

– Alors tu vas faire comme toutes les petites salopes, tu vas lécher ton doigt.

 

Je l’ai fait, ce n’était pas non plus vraiment une première, je m’étais déjà sucé le doigt après m’être doigté tout seul comme un grand…

 

– Il est bon, le caca de ma fille, non ?

– Délicieux !

– T’en veux encore ?

– Euh…

– Mais si, je vois bien que tu en veux encore ! Pousse Elsa !

 

Elle essaie, mais ça n’a pas l’air de venir ! Mais voilà René qui vient se mettre en levrette à côté de moi :

 

– Dis donc Léo, tu pète la forme, laisse m’en un peu pour moi..

 

Le Léo ne va tout de même pas… ben si, il sort de mon cul, retire sa capote et se met à enculer son père.

 

– Il est formidable ! Me confie Elsa, il encule divinement !

 

Parce qu’elle aussi…

 

– Tu te fais enculer par ton fils ? Demandais-je par reflexe.

– Bien sûr ! Je ne vois pas pourquoi je ne profiterais pas d’une queue pareille, n’est pas René ?

 

René est trop occupé par les coups de butoir se son fils dans son cul pour répondre, Léo s’active de plus en plus et jouit en gueulant comme une baleine Il sort sa bite, gluante de sperme et de merde

 

Les deux femmes se précipitent pour la lui nettoyer ! Je vous dis, c’est une famille de ouf !

 

Avec tout ça, je n’ai pas joui… Mais je bande comme un dingue d’autant que les deux femmes se pelotent mutuellement les nichons devant moi en se roulant une gamelle, alors qu’elles bavent encore des sécrétions de la bite de Léo.

 

Elles se chuchotent je ne sais quoi à l’oreille, et se positionnent de conserve en levrette, les cuisses écartées, le troufignon relevé. Quel spectacle !

 

Allez les garçons, venez nous enculer ! Dit Marceline.

 

Je prends laquelle ?

 

Elsa me fait signe de venir, on me tend une capote et je viens l’enculer pendant que René fait de même avec sa belle-mère.

 

– Maintenant tous dans le jardin ! Dira René après qu’il ait pris son pied, on va arroser les plantes !

 

J’avoue ne pas comprendre, mais Elsa et Marceline agiles comme des sauterelles, sont déjà dehors et s’allongent sur le dos, très proche l’une de l’autre.

 

Léo et René s’approchent d’elles et se mettent à leur pisser dessus, ils arrosent les seins, le ventre et même la bouche. Je suis invité à en faire autant, je suis quelqu’un de poli, je ne saurais refuser.

 

Et maintenant inversion des rôles ! Déclare Elsa en se relevant.

 

Je me suis donc allongé à mon tour avec les deux autres bonhommes et j’ai gouté au divin nectar de ces deux jolies et sympathiques dépravées.

 

– Je crois que maintenant on peut enfin boire un petit coup ! Me dit René en se tripotant la bite.

 

à suivre 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:00

Oscar au Cap – 1 – Le coin gay par Elian Lvekman

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Bonjour, je m’appelle Oscar et je viens d’avoir 40 ans. Célibataire depuis mon récent divorce. C’était la première fois que j’allais au Cap d’Agde dans la zone naturiste, Remy, un collègue qui connaissait déjà le lieu m’a fait, le premier jour, visiter la plage, Nous nous sommes longtemps attardés dans le coin coquin, ou ça baisait en duo, en trio, en partouze devant des tas de mecs ou de nanas agglutinés qui se tripotaient en jouissant du spectacle (je passe, l’objet de ce récit étant ailleurs) Puis mon copain me précise que plus loin, c’est le coin gay.

 

– On y va ? Proposais-je

– Non, ce n’est pas intéressant !

– Juste pour voir !

– Vas-y si tu veux, tu me rejoins à la location.

 

Je ne vois pas pourquoi il fait la fine bouche, regarder et être curieux, ça n’a jamais tué personne !

 

Je me dirige donc dans ce fameux coin. Un mec y va, je le suis, il faut pénétrer dans les buissons, jusqu’à une petite clairière. Il y a un groupe de mecs entourant une scène que je peux pas voir, un peu plus loin un type chauve à lunettes d’une cinquantaine d’année, un peu bedonnant est en train de tripoter la bite d’un jeune mec blond comme les blés, allongé sur le dos, quatre voyeurs sont à quelques mètres et regardent en se tripotant la quéquette.

 

Je m’approche aussi, le chauve s’est enhardi et a maintenant la bite du jeune dans la bouche. Mon voisin de droite tend sa main vers ma bite, je me recule instinctivement. Le mec n’insiste pas et s’en va attraper la bite de son autre voisin, qui lui se laisse faire. Petite branlette et le mec s’accroupit pour le sucer, d’autres types arrivent. Ça commence à me troubler, tout ça !

Cap2000

Le gros chauve après avoir bien sucé le blondinet lui confie devant tout le monde qu’il aimerait bien se faire enculer. Le jeune est d’accord. Le vieux se met en levrette exposant son gros cul de pédé ! Je bande comme un dingue. Le jeune vient lécher la rondelle du chauve, je ne comprends pas, moi qui suis hétéro, pourquoi cette scène m’excite autant, mais je commence à me branler mollement. Le blond entre maintenant sa bite dans le cul offert, c’est la première fois que je vois deux hommes s’enculer. Mon voisin a lui aussi offert son cul à son partenaire, il y a donc maintenant deux couples qui s’enculent, Il y a de plus en plus de mecs autour d’eux, certains se branlent mutuellement, d’autres se sucent, c’est la méga orgie. Et moi je suis paralysé, je n’ose pas bouger mais je me branle toujours.

 

Un mec m’attrape mes tétons et me les tortille, je me laisse faire, le type me fait comprendre qu’il aimerait bien une certaine réciprocité. Au bout d’un moment sa main descend sur mes couilles et les serre ! Maman ! Ses mains vont partout, ses doigts s’approchent de mon trou du cul ! Il faut que je fasse quelque chose mais j’en suis incapable.

 

Devant moi, le blondinet a éjaculé dans le cul du chauve. Ce dernier reste en place et s’écarte les fesses, invitant ainsi un éventuel volontaire à le sodomiser de nouveau. Mon partenaire constatant mon attitude empruntée me laisse choir et s’en va enculer le bonhomme.

 

Bon, je ne vais pas rester comme une andouille; certes je suis hétéro, mais j’ai aussi quelques fantasmes, et si je suis là c’est aussi parce que voir des actes entres mecs ne me répugne pas.

 

Je jette un coup d’œil sur ma gauche, un gars se fait branler mollement par son voisin, j’approche ma propre main, le masturbateur me laisse la place, me voilà entrain de palucher un mec.

 

– Suce-moi !

 

Je me suis penché et j’ai pris sa bite dans la bouche, que c’est doux, c’est vivant, c’est chaud, c’est salé, c’est bon, c’est délicieux.

 

Non, ce n’est pas ma première bite, j’avais déjà eu l’occasion de sucer un mec dans une cabine de sex-shop, j’avais trouvé l’acte agréable par contre le contact humain m’avait déçu par son impersonnalité ce qui fait que je n’avais jamais renouvelé l’expérience.

 

Un autre type se pointe à côté du premier, du coup j’ai deux bites à sucer alternativement, je deviens une vrai salope. Et une troisième maintenant…

 

Un autre me tripote le cul, enfonce ses doigts dans mon anus et les fait bouger. Maman ! Je me laisse faire, je frétille du cul, je sens maintenant sa langue. Je sais comment tout cela va se terminer, je n’ai jamais pris de bite dans le cul, mais quelques godes ont eu cet avantage. J’assume, et quand l’un des lascars manifeste le désir de m’enculer, je me positionne comme il le faut et j’attends l’assaut. J’ai juste vérifié que le gars se mettait une capote !

 

C’est maintenant moi la vedette, on m’encule, et les mecs se branlent autour de moi. Le type a déchargé rapidement. Salope pour salope, je fais comme le chauve de tout à l’heure, je reste en position le trou du cul béant, en écartant les fesses et j’en redemande. Un type arrive, c’est un black avec une queue au-dessus de la moyenne, je n’ai pas le temps de protester, je l’ai déjà dans le cul.

 

Le mec me bourre quelques minutes avant de décharger, il retire sa capote et me propose sa bite pleine de sperme à sucer, et la grosse salope que je suis devenue lui nettoie tout ça ! C’est bon !

 

– Tu veux goûter ma pisse ?

 

Pourquoi pas ? J’ai déjà fait de l’uro avec des femmes, de la pisse d’homme ou de la pisse de femme ce ne peut être différent, alors j’en bois quelques goulées avant de me relever.

 

Le gros chauve est à côté de moi !

 

– C’est bon de se faire enculer ! Me dit-il.

– C’est super

 

Et il me prend ma bite dans sa bouche tandis qu’un autre zig me tortille les tétons, je me laisse faire, je jouis dans un spasme, le chauve avale tout avec délectation, puis me roule une pèle avec le goût de mon sperme dans la bouche !

 

– T’es sympa, toi ! Me dit-il

– Toi aussi ! Répondis-je par politesse.

– On se reverra peut-être à l’occasion !

– Avec plaisir.

 

Je suis rentré au bungalow.

 

– Alors c’était intéressant ? Me lance Remy.

 

J’ai envie de le provoquer !

 

– Super ! Il y avait une de ces ambiances !

– Ah ?

– Du coup, j’ai un peu participé.

– Comment ça ?

– Ben j’ai sucé quelques bites…

– Je savais pas…

– Ben maintenant tu sais…

– Je vais te dire quelque chose, moi aussi j’aime bien ces trucs là, mais comme je ne savais pas que tu serais tenté, je n’ai pas osé t’en parler… Au dernier moment je me suis dégonflé.

– Sans déconner ? Et tu voudrais que je te suce la bite ?

– Oui, pourquoi pas ?

– Et après tu m’enculeras ?

– Chacun son tour, alors !

 

Sa bite bande, je la branle un peu et la porte à ma bouche, c’est la combientième que je suce aujourd’hui ? Quand on aime, on ne compte pas !

 

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 06:56

La géante par Elian Lvekman

 

photo

La géante

Ce texte relate une rencontre ayant eu lieu à la fin du siècle dernier, à cette époque internet était très lent et la photographie numérique peinait à entrer dans les mœurs

 

C’était pendant les vacances. Dans un hôtel de Sicile, non loin de Palerme. …

 

Tout a commencé au restaurant de l’hôtel, Valérie et moi nous sommes retrouvés assis à la même table. Valérie est une jeune femme de 25 ans, simple mais un peu timide, avec un très joli sourire. Brune et très grande, elle mesurait près de 1, 90 mètres, et une corpulence en rapport, c’est-à-dire environ 75 kilos. Elle avait une belle silhouette, une poitrine avantageuse qui semblait l’embarrasser, et des fesses rondes et fermes. Sa chute de reins la rendait provocante bien malgré elle, ce qu’elle semblait dissimuler par des vêtements amples et un gilet coloré.

 

Ses parents, âgés de quelques soixante ans, l’accompagnaient, ce qui semblait accentuer sa timidité. Pour ma part, je mesure seulement 1 m 60, ce qui provoque chez moi un fort sentiment d’infériorité que je tente de compenser par un surcroît d’humour et d’esprit.

 

La conversation s’est assez vite portée sur l’art et la photographie. Ce que je n’avais pas dit c’est que je vis de photographies de nus féminins, dont j’ai fait mon métier depuis plusieurs années. Durant cette conversation, Valérie semblait sincèrement intéressée par mon activité. Puis, à la fin du repas, je lui proposai de prendre un verre au bar de l’hôtel, ce qu’elle accepta avec un sourire, avant de s’excuser auprès de ses parents. Je parvins avec difficulté à cacher mon plaisir.

 

Attablé près du bar, nous commencions à discuter de divers sujets, de la vie, et de l’amour. Soudain, Valérie, entrepris d’enlever son gilet, ce qu’elle fit en projetant en avant son abondante poitrine. La tension du tissu s’écrasant sur ses seins dessina alors de superbes mamelons. Durant ce court instant, des idées pornographiques me vinrent en tête. Une lueur lubrique éclairait mon regard, ce qu’elle perçu immédiatement en rougissant.

 

Valérie avait eu quelques petits amis, mais ne fréquentait personne en ce moment Pour ma part, une longue fréquentation des mannequins féminins, m’avait depuis longtemps déniaisé. Nombreuses sont les modèles qui contre un petit billet supplémentaire acceptent de faire autre chose que de la pose. Tout cela se passe entre adultes consentants et chacun y trouve son compte. Ma longue expérience des corps de femmes me laissait pressentir que cette Valérie devait être une véritable bombe…Cependant, j’avais bien l’impression qu’elle semblait l’ignorer.

 

Peu à peu, par allusion, je parvins à lui dire que je photographiais surtout des femmes nues. Ses pommettes gardaient une rougeur tendre, tandis qu’elle se mouvait lascivement dans son fauteuil. Quant à moi, la bouffée de désir de l’instant passé, m’avait pris de court et un peu déstabilisé, ce qui me rendit timide. Je pris le parti de la faire parler d’elle-même. Je voulais qu’elle se rende intéressante et qu’elle se dévoile davantage, afin de susciter en elle le désir de me rejoindre le soir même dans ma chambre…

 

Non, elle n’avait jamais posé nue, mais, oui, cela l’attirait. Cependant, elle craignait plus que tout le regard que les autres poseraient sur elle. Je lui suggérais alors de se couvrir la tête d’un masque. Comme un bal masqué était organisé le soir même, l’idée lui parut immédiatement séduisante. Nous décidâmes donc de nous préparer, chacun de notre côté pour le bal du soir en nous déguisant, moi en pirate, elle en Shéhérazade.

 

Le soir venu, nous nous sommes retrouvés au même endroit, elle en danseuse orientale, la poitrine galbée par un soutien-gorge orné de fausses pierres précieuses. Elle avait une longue robe de soie flottante, qui épousait ses fermes rondeurs. Durant notre première danse, elle se tint devant moi, et fixant mon regard, elle souriait avec une étrange timidité. Elle dansait avec une élégance féminine incroyable et, me dominant d’une tête, elle me laissait admirer deux sphères de chair blanche et tendre. Je recommençais à bander ferme !

 

J’avais avec moi mon appareil photo mais je l’avais laissé dans ma chambre (cette histoire date d’avant le numérique). Durant une pose, de nouveau près du bar, je me jetais à l’eau en lui proposant de me suivre dans ma chambre pour quelques photos. Elle accepta mais me fit promettre que nous ne prendrions par de photos de nu, ce que je promis, bien entendu…

 

Une fois dans ma chambre je lui demandais de s’accouder à la fenêtre, ce qu’elle fit. Je lui demandais de se cambrer un peu, ce qu’elle fit également. Ses longs cheveux noirs tombaient en cascade sur son dos, jusque sur sa croupe vaste et ronde, ses fesses rondes et fermes exprimait une puissante sexualité, que son expression timide de femme enfant relevait d’un contraste incompréhensible. Après quelques photos dans cette position, je m’accroupis à quelques pas d’elle et lui demandai de ramener ses bras en arrière, les mains jointes autour de sa nuque. Je voulais la saisir ainsi, sa silhouette massive se dessinant dans le ciel bleu sombre de la nuit lunaire.

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Le rythme des photos aidant, les clics de mon appareil et les rires de Valérie, l’amenèrent à se détendre et à se laisser aller à des positions de plus en plus osées. Ainsi, elle commençait à prendre elle-même des initiatives, elle se débarrassa de son haut, fit glisser son soutien-gorge dévoilant deux énormes mamelles, et bientôt, elle se retrouva à quatre pattes sa croupe géante projetée vers le ciel. Après deux photos de cette pose, et sans qu’elle s’en rende compte, je me mis derrière elle et, la saisissant par les hanches je mimais sur le ton de la plaisanterie une somptueuse levrette. Surprise, elle cria :

 

– Nooooooon !

 

Mais ne fit rien pour m’échapper. C’est pourquoi je continuais à mimer cette levrette obscène et puissante. Sur le côté, il y avait une glace de verre dans laquelle elle pouvait suivre toute la scène. L’air faussement choquée, elle regardait bouche ouverte cette scène irréelle où elle se tenait à quatre pattes devant un quasi inconnu de 30 centimètres moins grand qu’elle.

 

Je lui attrapais alors le bas de sa robe et la soulevais de quelques centimètres, attendant une réaction.

 

– Je peux ?

– Si tu veux !

 

Du coup, je soulevais sa robe sur ses hanches et introduisit un doigt timide dans l’ourlet de la culotte.

 

– On l’enlève ?

– Au point au j’en suis…

 

J’eus un cri de surprise et d’admiration devant le spectacle ahurissant de cet énorme cul. Sa raie semblait une vallée entre deux montagnes d’Auvergne. Sa chatte brune était couverte d’une forêt de poils noirs et bouclés. Fou de désir, je me dégageais de mon short et de mon boxer. Elle put donc admirer dans la glace un pénis orgueilleusement dressé vers son trou. Comprenant mes intentions, elle me demanda simplement si j’avais des préservatifs. J’en avais !

 

Et après avoir enfile le condom, je la pénétrais jusqu’à la garde, la tenant fermement par les hanches. La bouche ouverte, sa langue dehors…elle se léchait les babines. La belle grande femme timide se faisait chienne. Déniaisée, elle commença à se balancer d’avant en arrière venant à la rencontre de mes coups de boutoir.

 

Elle connut ainsi un profond et violent orgasme. Je m’allongeais près d’elle afin qu’elle puisse s’asseoir sur moi. Dans la position de la fille qui fait pipi, elle s’assit sur ma queue dressée. Elle entreprit ainsi de coulisser sur ce pieux, toute honte bue. Enfin, soudainement, elle se souleva et, d’un coup, s’empala sur mon membre. Tandis que je l’enculais sans l’avoir voulu, j’admirais, bouche ouverte ses gros seins en mouvement au-dessus de moi et finis par jouir dans un spasme.

 

En se dégageant, elle me fit un magnifique sourire complice, je pensais qu’elle allait m’embraser mais elle ne le fit pas et me demanda où se trouvait les toilettes. C’est à ce moment que je lui confiais avec un air faussement innocent qu’il m’était arrivé lors de mes séances photographiques d’immortaliser certains de mes modèles en train de faire pipi. Elle me répondit alors qu’il était hors de question que je la prenne en photo dans cette situation, mais que si je voulais la regarder pisser, elle n’avait rien contre.

 

Je m’installais près de la cuvette et la contemplait en train d’uriner, ce magnifique flot d’or qui retombait en faisant floc-floc dans la cuvette m’arrêtait irrésistiblement, je résistais à l’envie de glisser mon doigt sur le jet et de le porter en bouche.

 

– Maintenant, tourne-toi, il faut que je fasse caca.

 

Je me tourne, mais voilà qu’elle ajoute :

 

– A moins que tu veuilles me regarder faire ?

– Pourquoi pas ? Répondis-je, un peu abasourdi quand même !

– Je vais m’assoir sur le côté de la cuvette comme ça tu verras mieux !

 

Elle fait comme elle vient de dire, et elle pousse, un timide étron apparait à la sortie de son anus, elle pousse, et cette fois un magnifique boudin se faufile hors de ses entrailles et viens chuter dans la cuvette.

 

Elle se lève, regarde au fond de la cuvette :

 

– J’aime bien regarder mes cacas, je suis peut-être un peu scato ?

– Ça ne me dérange pas !

– Tu veux m’essuyer ?

– Euh….

 

Je déroule quelques feuilles de papier toilettes.

 

– Attends, regarde mon cul, il est beaucoup sale ?

– Non, faut juste essuyer un peu je suppose.

– Tu le ferais avec ta langue ?

– Ce n’est peut-être pas très hygiénique.

– Alors torche moi avec le papier.

 

S’étant rhabillée, je trouvais Valérie embarrassée, rougissante.

 

– Quelque chose ne va pas ?

– Si, mais j’attends quelque chose !

 

J’espérais alors ne pas comprendre de travers :

 

– Oui évidemment, tu souhaites que je remercie…

 

Elle me fit un petit geste d’approbation

 

– C’est normal, ajoutais-je ! Avec une pro je l’aurais payé, tu veux combien ?

– Je n’ai aucune idée des tarifs.

 

En la matière, les tarifs sont très variables, mais je ne me montrai pas pingre.

 

– Si mes parents apprenaient que je viens de faire la pute… me dit-elle en prenant l’argent.

– Tu n’as fait de mal à personne !

– Je sais, et toi non plus. Allez salut !

 

Le lendemain, Valérie devint distante, juste bonjour, bonsoir. A la fin du séjour nous nous échangeâmes nos adresses afin que je puisse lui envoyer les photos. Je les ai faites développer mais je ne les ai jamais envoyées, parce que je voulais pas les envoyer comme ça, je voulais lui écrire quelque chose, mais ce quelque chose je ne suis jamais arrivé à l’écrire. De son côté, elle ne me les a jamais réclamées et je n’ai jamais plus eu de contact.

 

Ce matin en cherchant quelque chose dans mon fouillis, j’ai retrouvé ces photos, alors l’histoire m’est revenue en mémoire et j’ai voulu l’écrire.

 

Elian Lvekman

 

D’après un texte paru en 2000 sur le site de Sophiexxx signé Person

 

 

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