Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:09

Oscar au Cap – 2 – Les libertins du Cap par Elian Lvekman

 

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Bonjour c’est Oscar. Au chapitre précédent, j’ai découvert le coin gay du Cap, j’ai pris plaisir à sucer quelques bonnes bites et à me faire sodomiser. Et je n’ai même pas honte !

 

Mon copain Remy a dû rentrer précipitamment à Paris pour régler une vague histoire de boulot.

 

– Je te laisse la location, profites-en bien !

 

Il me restait huit jours à passer au Cap d’Agde et effectivement j’avais bien l’intention d’en profiter.

 

Le temps était maussade ce matin, j’espérais que ciel se lèverait l’après-midi afin que je puisse retourner au coin gay. J’avais trop envie de sucer à nouveau des bonnes queues et de me faire enculer.

 

Je sortis m’acheter des cigarettes quand je tombais nez à nez avec le bonhomme chauve rencontré la veille.

 

– Tiens, comment ça va depuis hier ? Me lance-t-il d’un air jovial !

 

J’étais ravi qu’il m’aborde, me disant que ce pourrait être le prélude à quelque chose…

 

– Ça peut aller, mais mon colocataire m’a fait faux bond, il faut que je m’organise…

– Tu es seul alors ?

– Oui !

– Viens boire un coup à la maison, ça te détendra !

 

Evidemment il ne m’était pas bien difficile d’imaginer ce que pouvait bien être sa proposition de détente, mais justement j’étais partant et le suivi avec plein d’idées cochonnes dans la tête.

 

Son bungalow n’est pas très loin, on rentre.

 

– Je vais te présenter ma petite famille.

 

Hein, il est en famille ?

 

Il y a là un jeune homme, un peu grassouillet, mais jovial et complètement épilé, j’apprendrais un peu plus tard qu’il a 22 ans. Il y a aussi une femme brune d’une quarantaine d’année dotée d’une très jolie poitrine et une autre grisonnante sans doute proche de la soixantaine.

 

Donc le type a une double vie ! Je décide donc d’accepter un coup à boire vite fait, puis de déguerpir.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises :

 

– Je te présente Léo, mon fils, qui est aussi pédé que son père, n’est-ce pas Léo ?

– Hi ! Hi !

 

Je rêve !

 

Voici Elsa ma femme, une belle salope, et sa mère Marceline, qui n’est pas triste non plus dans le genre vieille pute. Et moi je ne me suis pas présenté, je suis René.

 

Marceline a conservé une belle allure malgré son âge, fine, souriante, les cheveux gris plaqués sur la tête. Les seins sont modestes mais terminés par de gros tétons arrogants. Sa fille est une belle brune aux cheveux mi-longs, légèrement boulotte, ce doit être de famille. Ses seins sont vraiment bandants.

 

– Enchanté, moi c’est Oscar. Me présentais-je à mon tour.

– Et où as-tu fais connaissance de ce charmant Monsieur ? Lui demande Elsa !

– Hier dans les dunes…

– Dans le coin des pédés ?

– Ben oui, c’est toujours là que je fais des bonnes rencontres.

– Il t’as enculé ?

– Non, on s’est fait enculer chacun de notre côté, mais à la fin je l’ai lui ai sucé la bite.

– Cet après-midi tu m’y emmène, papa ? demande Léo

– Bien sûr, s’il fait beau !

 

Je vous dis que je rêve !

 

– Vous êtes gay, Monsieur Oscar ou vous appréciez aussi les femmes ? Me demande la vieille Marceline en s’approchant de moi.

– En fait je suis hétéro mais j’ai de grosses tendances bi…

– Donc je peux vous toucher la bite ?

– Mais touchez, chère Madame, je vous en prie !

 

Elle ne se contente pas de toucher, elle me branle carrément sous les yeux des trois autres larrons. Du coup je lui caresse les seins.

 

Léo s’approche très près de moi et vient.me tortiller mes tétons. Du coup Marceline se baisse et m’embouche la bite.

 

Hum, sa langue est diabolique, une façon de l’entortiller autour de mon gland ! Génial ! Quand je pense que je venais juste boire un coup !

 

Je jette un coup d’œil sur la bite de Léo qui a considérablement grossie, quel bel organe !

 

– Je peux te sucer ! Demandais-je ! Ne me contrôlant plus.

– Vas-y suce moi, pédé !

– Heuh !

– Je dis ça pour le fun, ça ne te dérange pas ?

– Non, non !

– Suce moi et après je vais t’enculer !

 

Et me voilà avec la bite de Léo dans la bouche ! Qu’est-ce qu’elle est bonne cette bite ! Je me régale !

 

– Tu la trouves comment la bite de mon fils ? Demande Elsa.

– Hum ! Délicieuse !

– Mets-toi en position il va t’enculer !

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Je l’aurais bien sucé encore un peu, mais bon je suis comme on dit « chez les gens » et je suis très respectueux des convenances. Léo me fait signe de m’installer en levrette sur le canapé. J’y vais et je lui présente mes fesses.

 

– Oh, quelles jolies fesses ! S’exclame-t-il.

 

Un peu de gel une capote, une poussée, ça rentre, et pendant qu’il m’enfile, Mamie Marceline vient me donner sa vieille cramouille à lécher !

 

Ça sent la mouille, ça sent la pisse, mais j’aime bien, au bout de quelques minutes la Mamie pousse un hurlement, je ne pensais pas la faire jouir aussi vite ! Elsa vient la remplacer, mais c’est son anus qu’elle m’offre. Voilà qui n’est pas un problème, j’approche ma langue et commence à sucer, c’est un peu âcre mais ça ne me dérange pas. J’adore sucer les trous du cul.

 

– Mets moi un doigt !

 

Je le fais, je sens quelque chose à l’intérieur, pas la peine qu’on me fasse un dessin mais si elle se met à pousser, ça risque de tourner en scato, cette affaire-là.

 

On ne réagit pas toujours de la même façon devant ce genre de chose, et en ce moment j’ai la bite de Léo dans mon cul et je suis excité comme un fou, prêt à toutes les folies.

 

Je sors mon doigt, évidement il est légèrement merdeux.

 

Marceline qui est à nos côtés n’en perd pas un miette !

 

– Ben, reste pas comme ça, mon grand, lèche !

– Euh !

– Dis-moi Oscar, tu es une petite salope qui est en train de se faire enculer, non ?

– Mais très certainement, chère Mamie !

– Alors tu vas faire comme toutes les petites salopes, tu vas lécher ton doigt.

 

Je l’ai fait, ce n’était pas non plus vraiment une première, je m’étais déjà sucé le doigt après m’être doigté tout seul comme un grand…

 

– Il est bon, le caca de ma fille, non ?

– Délicieux !

– T’en veux encore ?

– Euh…

– Mais si, je vois bien que tu en veux encore ! Pousse Elsa !

 

Elle essaie, mais ça n’a pas l’air de venir ! Mais voilà René qui vient se mettre en levrette à côté de moi :

 

– Dis donc Léo, tu pète la forme, laisse m’en un peu pour moi..

 

Le Léo ne va tout de même pas… ben si, il sort de mon cul, retire sa capote et se met à enculer son père.

 

– Il est formidable ! Me confie Elsa, il encule divinement !

 

Parce qu’elle aussi…

 

– Tu te fais enculer par ton fils ? Demandais-je par reflexe.

– Bien sûr ! Je ne vois pas pourquoi je ne profiterais pas d’une queue pareille, n’est pas René ?

 

René est trop occupé par les coups de butoir se son fils dans son cul pour répondre, Léo s’active de plus en plus et jouit en gueulant comme une baleine Il sort sa bite, gluante de sperme et de merde

 

Les deux femmes se précipitent pour la lui nettoyer ! Je vous dis, c’est une famille de ouf !

 

Avec tout ça, je n’ai pas joui… Mais je bande comme un dingue d’autant que les deux femmes se pelotent mutuellement les nichons devant moi en se roulant une gamelle, alors qu’elles bavent encore des sécrétions de la bite de Léo.

 

Elles se chuchotent je ne sais quoi à l’oreille, et se positionnent de conserve en levrette, les cuisses écartées, le troufignon relevé. Quel spectacle !

 

Allez les garçons, venez nous enculer ! Dit Marceline.

 

Je prends laquelle ?

 

Elsa me fait signe de venir, on me tend une capote et je viens l’enculer pendant que René fait de même avec sa belle-mère.

 

– Maintenant tous dans le jardin ! Dira René après qu’il ait pris son pied, on va arroser les plantes !

 

J’avoue ne pas comprendre, mais Elsa et Marceline agiles comme des sauterelles, sont déjà dehors et s’allongent sur le dos, très proche l’une de l’autre.

 

Léo et René s’approchent d’elles et se mettent à leur pisser dessus, ils arrosent les seins, le ventre et même la bouche. Je suis invité à en faire autant, je suis quelqu’un de poli, je ne saurais refuser.

 

Et maintenant inversion des rôles ! Déclare Elsa en se relevant.

 

Je me suis donc allongé à mon tour avec les deux autres bonhommes et j’ai gouté au divin nectar de ces deux jolies et sympathiques dépravées.

 

– Je crois que maintenant on peut enfin boire un petit coup ! Me dit René en se tripotant la bite.

 

à suivre 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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