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Un hôtel à Saint-Brieuc par Elian Lvekman
Chers amis, nous ne résistons pas au plaisir de vous raconter l’une de nos aventures, très émus à l’idée de nous relire et peut-être d’être reconnus par certains de nos amis. Depuis notre rencontre par une petite annonce, Bénédicte s’est révélée très exhibitionniste, chaude, sensuelle et provocante. J’aime la montrer et elle prend un vrai plaisir à lire l’excitation dans le regard des hommes et le mien. Elle a de jolies jambes découvertes par des jupes souvent très courtes, sous lesquelles elle ne porte que des bas, parfois pas de culotte, et surtout des décolletés assez vertigineux qui attirent les regards. Ses seins superbes sont sa fierté et mon bonheur.
Nous avions décidé d’aller passer deux jours en Bretagne, réservant un hôtel à Saint-Brieuc. Partis nous allonger quelques minutes après le déjeuner, Béné s’installe sur le lit devant la télévision, pendant que je prends une douche pour me délasser du voyage. Sortant de la salle de bain, je m’allonge à côté d’elle, et sans la déshabiller, je caresse ses seins, son ventre, ses jambes. Elle ouvre les cuisses et sous son slip déjà humide, tendu sur sa motte, je sens ses lèvres gonflées.
La température monte. Je me lève pour ouvrir la fenêtre en grand. De l’autre côté de la rue, un petit immeuble nous fait face. A l’une de ses fenêtres située légèrement plus haut que la nôtre, j’aperçois un homme d’une vingtaine d’année accoudé à sa fenêtre. Il a l’air un peu surpris de me voir nu, et en pleine érection, et se retranche précipitamment derrière son rideau. Je réalise qu’il doit voir au moins la moitié inférieure de notre lit, et sais qu’une femme y est allongée. Avec un petit coup au cœur, je rejoins Bénédicte, ouvre son chemisier sous lequel ses seins sont nus et gobe entre mes lèvres ses tétons qui durcissent. Je descends le long de son ventre, et la tète à la hauteur de ses cuisses, je distingue derrière la fenêtre qui nous fait face la silhouette du voyeur. Béné ne peut le voir, pas plus que lui ne peut voir autre chose que les jambes de ma compagne. Le cœur battant d’excitation, je m’agenouille au pied du lit, saisit Béné par les chevilles et la tire vers moi. Comprenant que je souhaite m’occuper de sa petite chatte, elle glisse son bassin vers moi, sans pouvoir encore apercevoir notre voyeur. Je roule sa jupe haut sur ses hanches et la déculotte. D’un coup d’œil, je constate que notre spectateur s’est accoudé à la fenêtre et semble très intéressé. Elle ouvre grand les cuisses et je suce longuement sa motte aux poils taillés court, passant la langue dans son sillon rose, comme elle aime et me le fait savoir en gémissant, l’enfonçant à l’entrée de son vagin béant et gluant de mouille, aspirant tantôt son jus, tantôt son clitoris dur et très long. Sachant que l’homme nous regarde et la voit se trémousser sous ma caresse, je suis au bord du plaisir, et la suce longtemps, jusqu’à recevoir un flot de cyprine, accompagnée d’un long gémissement, lorsqu’elle jouit, arc-boutée.
C’est là son premier orgasme, et loin d’être le plus violent. Assis en tailleur, toujours au pied du lit, je l’allonge sur mes genoux, fesses tournées vers notre voyeur pour qu’elle ne le remarque pas tout de suite. Elle adore cette position de « grenouille », sur le ventre, cuisses très écartées, cul relevé, la motte bien accessible, offerte, la fente bâillante. Le type doit avoir une superbe vue de ses grosses lèvres béantes, et je lui fais un clin d’œil. Je la branle bien profondément devant lui, enfonçant un doigt, puis deux dans son minou trempé. Le foutre lui ruisselle sur les poils et mes doigts s’agitant dans sa cramouille distendue produisent un bruit de clapot qui nous excite autant l’un que l’autre. Je regarde franchement le type pour lui faire comprendre que c’est à lui que s’adresse cette exhibition, et que je veux qu’il la voie, totalement offerte, dominée, vautrée sur moi, cul nu et chatte ouverte, impudique et salope, tortillant de la croupe sous mes doigts qui la branlent. Elle me dit des choses torrides, qu’elle aime ça, que je lui fais ça bien, que je vais la rendre folle, qu’elle aime que je la traite comme une pute et qu’elle veut que je la remplisse ! J’agite de plus en plus fort les doigts dans son trou alors qu’elle me demande de la baiser, mais je sens que dans mon état, je ne tiendrai que peu de temps si je la prends, et je veux prolonger ce moment.
– Non ! Je ne te baiserai que ce soir ! Je veux t’avoir sous la main comme ça tout l’après-midi !
Elle rit et me promet que je ne débanderai pas de l’après-midi, risquant de craquer avant elle, et se retournant, aperçoit notre admirateur. Les yeux brillants, elle me demande :
– Tu as vu le mec en face ? Tu savais qu’il regardait ?
– Oui, bien sûr !
– Salaud ! Ça ne m’étonne pas de toi ! J’espère qu’il a apprécié ! Il doit être dans un drôle d’état, le pauvre
Je lui propose d’aller nous balader et comme elle sait ce qui m’excite et n’a pas eu sa ration, elle tient sa promesse. Après une douche rapide, debout face à la fenêtre, elle enfile un mini slip totalement transparent, une petite jupe jaune courte et moulante, et enfin un tee-shirt blanc sur ses seins nus, assez collant pour révéler de façon presque indécente la masse de ses beaux nichons et leur pointe bordée d’une aréole sombre. Une ravissante petite salope sur laquelle les hommes vont se retourner. Nous décidons de quitter le centre pour aller sur le bord de mer. Sitôt assise dans la voiture, elle s’installe comme j’aime, jupe remontée au ras du slip. A ce moment, je vois dans mon rétro notre jeune voyeur enfourcher un scooter, l’air décidé à nous suivre. Je roule lentement, pour que d’éventuels piétons ou cyclistes puissent apercevoir les jambes de ma compagne, mais le scooter squatte la place, et je décide de le semer, pensant le retrouver ce soir. Arrivés près d’une plage, nous entrons dans un bar, peu fréquenté. Les cinq ou six hommes présents suivent Béné du regard, l’air de la trouver plutôt bandante avec ses seins bien visibles sous le tee-shirt et sa jupe moulante. Une fois assise, elle dévoile ses cuisses jusqu’à son slip. Elle sent très bien le regard des hommes, et son calme et naturel m’étonnent encore. Elle ne prend aucune précaution pour que les mouvements de ses jambes ne révèlent pas par instant très nettement le fond de sa culotte, et nous délirons à voix basse :
– Tes seins sont superbes ! Tu sais qu’on les voit bien !
– Ça n’a pas l’air désagréable à regarder !
– Tu as l’air d’une vraie petite pute ! Je suis sûr qu’ils essayent de savoir si tu portes une culotte
– D’abord, c’est toi qui m’as rendu comme ça, et ils savent très bien que mon slip est blanc. Ils ne le quittent pas des yeux !
– Salope ! Tu es mouillée ?
– Je suis trempée, et tu le sais bien !
Tout l’après-midi, nous nous promenons, profitant des regards tantôt directs, tantôt discrets et timides, tantôt salaces, mais toujours intéressés des hommes que nous croisons. Durant le dîner, un homme d’âge mur, accompagné de sa femme et de deux autres personnes tente d’observer discrètement Bénédicte, allant jusqu’à laisser tomber sa serviette pour jeter un coup d’œil sous la table. A sa deuxième tentative, je demande à ma compagne :
– La prochaine fois, récompense-le, ouvre-lui tes jambes
Elle sourit sans me répondre, mais dès que la serviette du gars tombe, la petite salope écarte franchement les cuisses. Le spectateur a l’air de plus en plus agité, mais il est coincé à sa table. Comme nous arrivons à la fin du dîner, je lui demande sans trop y croire :
– Fais-moi plaisir ! Pour lui offrir un bouquet final, je voudrai que tu ailles enlever ton slip !
Elle est bien aussi excitée que moi, car à ma stupéfaction, elle se lève et se dirige vers les toilettes. Le temps que je demande l’addition, elle est de retour, les joues roses et l’œil brillant. En s’asseyant, elle me sourit et me traite de salaud. Elle se tourne légèrement vers notre admirateur, et sans le regarder, ouvre un peu les jambes. Je vois l’homme tressaillir, l’air complètement estomaqué. Sa femme va finir par se rendre compte de quelque chose. Et Béné ouvre franchement ses cuisses en me regardant. J’ai l’impression que le type va suffoquer. Puis brusquement, elle se lève et nous partons sans un regard pour notre victime.
Arrivée à notre chambre d’hôtel, nous remarquons la fenêtre ouverte de notre vis à vis. Sa lumière est éteinte, mais nous devinons sa silhouette. Je suis tellement excité que j’assieds Bénédicte au pied du lit, la renverse, m’agenouille entre ses jambes que j’écarte et pose sur mes épaules. Ses lèvres sont gonflées et luisantes de mouille. Je lui bouffe la chatte avec application, gobant son clitoris, enfonçant la langue dans son trou béant. Elle ondule en gémissant de plaisir. Au bout de quelques minutes, elle orgasme sous ma bouche en feulant. Je la relève, et debout devant la fenêtre, achève de la déshabiller.
J’aperçois notre admirateur toujours dans l’obscurité. Je lui fais signe de la main. Il comprend et allume la lumière. Il est nu, son sexe tendu à la main. J’attrape un oreiller, le jette à terre et invite Béné à s’agenouiller dessus, face au voyeur. Elle se met à quatre pattes, je m’installe derrière elle et la prends en levrette d’un coup de rein. Elle est béante et brûlante. L’inconnu se branle devant nous. Je la baise comme un fou, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Il doit voir ses seins tressauter à chaque coup de boutoir. Elle gémit de façon continue, et je décharge au moment où elle m’annonce qu’elle jouit, le visage tendu vers son admirateur. Je suis tellement excité que je la retourne à même la moquette, oreiller sous la tête, et me couche sur elle. Le simple fait de frotter ma queue sur sa cramouille gluante me rend une érection qui me permet de la prendre à nouveau. Et nous continuons notre chevauchée, plus tendrement, jusqu’au bout de nos forces. Elle délire à mon oreille, m’encourageant avec des mots obscènes et des ordres crus. Totalement anéanti, je me relève pour fermer les rideaux en adressant au voyeur un signe d’adieu.
En quittant l’hôtel, le lendemain, nous ne l’avons pas revu, mais sur le pare-brise nous attendait une petite carte de remerciement signé « votre voyeur anonyme » ! Il y a des gens qui ont du savoir vivre, quand même !
Une première version de ce texte a été publié anonymement dans le numéro de Lettre Magasine de mars 1995. Je l’ai un tout petit peu arrangé…
Elian
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