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Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 2 par Elian Lvekman
Evidemment après ces événements, il y a eu une sorte de contre coup. Pendant une semaine aucune allusion à ce qui s’était passé n’a été formulé par quiconque, et le dimanche pour éviter toute « tentation », je m’en suis allé au cinéma.
Je ne savais plus trop où j’en étais, je n’avais pas le sentiment d’avoir fait quelque chose de mal, mais quelque chose que les gens ne font pas.
J’essayais de me renseigner sur Internet pour savoir ce que l’on reprochait exactement aux relations incestueuses.
Et là je fus frappé par la pauvreté des démonstrations.
Certains en était encore, à l’aube du XXIème siècle, à associer toute relation sexuelle à la procréation de l’espèce, et nous racontaient des trucs impossibles où se mêlait le médical, le juridique et le devenir de la société.. Mais ils n’ont jamais vu une capote ou une pilule ces mecs !
D’autres, trop forts, arrivaient à remplir des pages et des pages en ayant que pour seul argument « si ça ne se fait pas, c’est que ça ne se fait pas » ! Tout cela en invoquant « l’ordre naturel des choses ». Drôle de dialectique.
D’autres encore, plus pernicieux, nous racontaient que ce genre de rapports n’étaient jamais véritablement complètement consentis, que seuls des esprits faibles et influençables pouvaient l’accepter et qu’ils ne pouvaient à posteriori que provoquer des traumatismes graves et durables.
Bizarre, mais moi, je ne me sentais pas traumatisé du tout et pas malade non plus.
Je décidais donc que la meilleure façon de savoir où j’en étais serait de recommencer, mais je ne souhaitais rien provoquer, me disant que si vraiment les parents avaient quelques idées salaces, ils ne manqueraient pas de les manifester.
Je n’eu pas à attendre très longtemps.
Le samedi matin, je me lève avec une belle érection (je dors tout nu) et me dirige vers les toilettes. Je croise mon père dans le couloir qui lui en revient. Il est aussi nu que moi.
– Eh bien Bertrand, tu m’as l’air en forme, me salue-t-il en me mettant la main sur la bite.
– T’as vu !
Mon père me lâche la queue et attrape mes tétons qu’il tortille légèrement !
– C’est bon ? Hein ?
Il revient vers ma bite et la branlotte.
– Papa, j’ai envie de pisser, si tu as envie de me caresser, tu le feras après.
– Humm, attend un seconde, on va faire un truc…
Et le voilà qui appelle ma mère, laquelle se radine avec sa nuisette transparente qui dévoile sa magnifique paire de loches.
– Va t’assoir sur les toilettes, Bertrand va te pisser dessus.
– Mais, ça ne va pas ! Protestais-je
– Si, si essaie, j’adore ces trucs là et elle aussi !
Comme dirait le philosophe, « les choses ne se passent décidemment jamais comme on croit qu’elles vont se passer. »
Maman enlève sa nuisette et s’assoit sur la cuvette.
– Maintenant pisse !
Vous croyez que c’est facile, vous ?
Finalement j’ouvris les vannes er envoyais mon pissou sur les nichons de ma mère. Elle se les badigeonnai vicieusement et léchait ses mains., puis elle me fis signe de viser sa bouche ouverte..
Ma mère resta assise sur la cuvette, je compris alors qu’elle était en train de chier, j’aurais voulu voir ça de près mais elle ne me donna pas se plaisir.
– Tu veux m’essuyer ? Me demanda-t-elle
Je m’emparais de quelques feuilles de papier à cul.
– Tu ne veux pas le faire avec ta langue, mon chéri ?
Ben, si, je veux bien elle se retourna écarta les fesses et ma petite langue s’engouffra près de son bel œillet brun afin de nettoyer toutes les traces de merde.
– On file tous dans la chambre, proposa mon père.
Nous voilà sur le lit, mon père me tripote la bite, la masturbe un peu, me flatte les roustons et me complimente.
– Humm, quelle belle bite !
Il la prend dans sa bouche ! Qu’est-ce qu’il suce bien ! Sa langue tournoie autour de mon gland me provoquant des sensations inouïes. Pendant ce temps, maman m’introduit un doigts dans le cul et le fait aller et venir en cadence.
A ce rythme je risque de ne pas conserver la distance longtemps. Effectivement, j’éclate dans la bouche de mon père, il garde mon foutre en bouche puis le partage avec ma mère dans un baiser profond.
Mon père me demande alors de me mettre en levrette, je compris qu’il allait m’enculer. Se faire sodomiser par son propre père, c’est divin, non ?
J’étais analement vierge et donc étroit, mon père fit plusieurs tentatives, mais rien ‘y fit quand ça ne veut pas rentrer, ça en rentre pas ! Ma mère eu alors l’idée de m’enfoncer le gode fin de « faire le passage ».
Sensation divine de sentir cette fausse bite vibrer dans mon fondement me provoquant des sensations inconnues jusqu’ici.
Ma mère après avoir pilonné le gode pendant plusieurs minutes, le retira d’un coup sec, me provoquant un spasme de plaisir. Elle le lécha avec gourmandise, puis laissa la place à mon père qui cette fois ci pu me pénétrer. La sensation est différente qu’avec le gode, après un début bizarre et pas forcément agréable, , la sensation change rapidement pour faire place au déploiement d’ondes de plaisir, c’est chaud, c’est vivant, c’est autre chose.
Mon père jouit dans un râle et décula. Je lui nettoyais la bite comme je l’avais fait l’autre fois.
Pendant ce temps-là ma mère s’était mise en levrette m’offrant une vue imprenable sur tous ses trésors.
– Encule moi mon chéri, encule ta maman !
Excité comme jamais, j’introduisit ma bite dans le troufignon de ma mère et la pilonnais comme un sauvage, lui provoquant des gémissements de plaisirs
– Ah, c’est trop bon de sentir la bite de son fils dans mon cul de salope ! Dis-moi que je suis une salope, mon fils !
– T’es un salope maman !
Soudain elle poussa un cri fulgurant en jouissant, j’accélérais la cadence et c’est les yeux exorbités, le sang à la tête et le cœur battant la chamade que je jouissait à mon tour.
Ma mère chercha mes lèvres et nous nous embrasâmes profondément..
Il était temps d’aller déjeuner après toutes ces galipettes incestueuses, c’est que ça creuse tout ça. Café, jus d’orange tartines beurrées et confiture, peu de mots échangés mais nous nous sentions bien tous les trois, sans gêne, sans honte, sans remord.
Après avoir terminé son café, mon père me demanda :
– Bertrand, je voudrais que tu m’encules !
– Mais bien sûr papa !
Je pensais qu’il parlait de ça pour plus tard, mais non, il retira sa robe de chambre, s’arbouta contre le plan de travail et m’invita à venir
Je m’acquittais de cette tâche avec plaisir, après avoir enculé maman , il était bien normal que j’encule papa, non ?
fin
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