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Gloria la provocante par Elian Lvekman
Bonjour à vous tous ! Je vais vous raconter une histoire qui s’est déroulée il y a quelques mois à peine. J’ai 23 ans et je suis un homme de très belle apparence (enfin c’est ce qu’on dit de moi) Un excellent collègue, Bertrand, fêtait sa toute nouvelle promotion dans sa maison de campagne. J’y étais allé seul, venant juste de rompre avec… celle qui est désormais mon ex.
Gloria, la femme de Bertrand est une jolie brune aux cheveux longs, très grande avec des seins à en faire craquer plus d’un. De plus, elle portait ce soir-là un pantalon blanc super moulant, elle n’avait pas mis de culotte, et son entre-jambes laissait deviner la forme de son sexe. Un camel-toe comme disent les branchés.
Elle portait également une sorte de caraco blanc serré, qui mettait bien en valeur ses seins et s’arrêtait au nombril. Magnifique nombril, de quoi faire bander un gars assez vite. Toujours est-il que Gloria but beaucoup au cours de cette soirée et quand elle boit elle devient chaleureuse comme ce n’est pas possible. Elle l’est déjà sans boire, donc imaginez comment elle peut l’être…
Toute la soirée elle se colla sur moi sans que Bertrand ne s’en aperçoive. Un défilé de mode nous est offert, on le regarde et elle est en face de moi, dos à moi. Elle recule, se colle sur moi. Je sens les courbes de ses fesses se poser sur mon pénis qui commence à être en érection. Elle fait des petits mouvements de va-et-vient que personne ne peut voir. Tout d’un coup, avec la main opposée à celle de son mari, elle la pose sur mon pénis par-dessus mes jeans. Quelle sensation : Comment réagir ? La femme de mon meilleur collègue qui me fait ça ! Comme je ne suis pas fait en bois, je me laissais caresser ainsi.
La soirée se passa bien et fut arrosée comme il se doit, puis vint le moment des » adieux « . Bertrand m’offrit de coucher chez lui plutôt que de remonter chez moi. J’acceptai car la boisson et le volant, ça ne fait pas bon ménage. Pendant que Bertrand était allé se soulager d’un besoin naturel dans les toilettes, Gloria décida de m’offrir un spectacle inouï. J’étais assis dans le salon et de là on peut voir dans la chambre de mon ami. Elle commença par enlever son pantalon devant moi sans gêne, mais aussi sans me regarder. Elle se dévêtit complètement et enfila son pyjama deux pièces décorés de personnages de Walt Disney.
Mon ami me souhaite bonne nuit en s’assurant que j’ai toutes les couvertures nécessaires pour un confort maximal. Je leur souhaite bonne nuit et ils fermèrent leur porte de chambre. Il était deux heures et demie. Une heure plus tard, je ne dormais toujours pas pensant Gloria et à ses provocations. De plus, ce n’était pas la première fois qu’elle m’allumait sans donner suite. Je me souviens notamment d’une soirée où elle profitait de sa piscine privée… Pas le genre à se mettre en maillot de bain, même quand il y a du monde. On est exhibitionniste ou on ne l’est pas !
Pour revenir à mon histoire, après une heure sans sommeil, j’avais chaud malgré la fenêtre ouverte, aussi décidai-je d’entrebâiller la porte pour faire circuler l’air. J’avais envie de me masturber en pensant à elle. J’ai commencé à le faire mais je n’ai pas terminé car je ne voyais aucun mouchoir en papier pour m’essuyer, de plus les toilettes était loin, je ne voulais pas réveiller tout le monde…
Alors, je finis par m’endormir. Il était 4 heures 15 du matin quand je vis la porte de leur chambre s’ouvrir. C’était elle ! Elle la referma sans trop faire de bruit. Moi, j’étais tout excité, nu sous les draps en pensant qu’elle était là, presqu’offerte à moi sans témoin ! Je n’y fis pas d’attention pensant qu’elle se dirigeait vers les toilettes, mais non : elle venait dans ma direction. Faisant semblant de dormir par crainte de savoir ses réelles intentions, elle s’est mise à genoux sur le bord du divan et a relevé mes couvertures. Elle m’a demandé si je dormais en me touchant les épaules. Je ne lui ai pas donné de signes juste pour voir ce qu’elle ferait. Je l’entendis murmurer :
– Tant mieux, ça va être bon pour nous deux !
C’est alors que sans avertissement, elle prit mon pénis et le mit immédiatement dans sa bouche. Elle commença à faire des grands mouvements de va-et-vient. Elle suçait à merveille. Je lui ai dit qu’elle pouvait ralentir, que Bertrand ne sortirait pas de sa chambre ! Elle me répondit qu’elle ne venait que me faire ceci pour cette fois-là ! De plus, elle me confia qu’elle devait faire vite puisque son mari ne dormait pas et la croyait aux toilettes.
Alors, sans attendre ma réponse, elle me dit de la laisser faire, de ne pas m’inquiéter pour la petite toilette, qu’elle nettoierait tout, absolument tout ! Un petit sourire et elle recommença à me prodiguer cette pipe ! Le rythme augmentait, je lui ai soudain dit que j’étais prêt à venir. Elle a alors continué à caresser mes testicules et quand je suis presque venu, elle m’a mis un doigt sur le bord de mon anus et l’a entré jusqu’à la première jointure. Tout en gardant le doigt là, je suis venu au fond de sa gorge. Tel que promis, elle nettoya tout sans en perdre. Elle était divine. Elle m’a remercié et aussitôt la dernière goutte avalée, elle se releva et repartit dans sa chambre à coucher.
Le lendemain matin au petit déjeuner pris en commun dans la cuisine, une surprise m’attendait… Bertrand m’apostropha soudain et sans aucune colère dans sa voix me demanda si ce que m’avait fait Gloria cette nuit m’avait plus. Je ne sus où me foutre et rougis comme une pivoine tandis que Gloria sembla s’amuser de mon trouble bien compréhensible.
Je niai, affirmant haut et fort qu’il ne s’était rien passé.
– Mais si, il s’est passé des choses, insista Bertrand et sois rassuré, je ne suis pas jaloux.
– Bon alors, c’est l’ambiance, l’alcool… continuai-je, cherchant à me justifier à me justifier.
– Non seulement je ne suis pas jaloux, mais ça m’excite de savoir ce qu’elle fait avec d’autres hommes
Quelque chose clochait ! Si les choses étaient telles que les présentaient Bertrand, pourquoi Gloria ne s’était-elle pas attardée davantage avec moi cette nuit ?
La réponse me stupéfia !
– Je ne verrais aucun inconvénient à ce que vous recommenciez, me confia Bertrand…mais ce ne sera plus gratuit !
Alors là, je tombe du placard et faillis avaler ma tartine de travers. Je n’ai absolument rien contre les putes, même si j’ai la chance d’avoir un physique qui me dispense de devoir payer pour faire l’amour. Mais que Bertrand soit son maquereau et qu’il ose me faire ce genre de proposition me choque.
Je me lève !
– Restons-en là ! Lançai-je de façon très théâtrale en imitant Cyrano de Bergerac.
– Ne voudrais-tu pas connaitre ce prix ? Me susurre Gloria en mimant une fellation avec sa tartine beurrée.
– Non ! Et d’ailleurs puisque c’est payant…
Et dans un nouveau geste théâtral je sors un billet de 50 euros que je jette sur la table avec une moue de mépris.
– Mais qui t’a parlé d’argent ? Intervient Bertrand en écartant les bras.
– Je pensais…
– Mais non, pas d’argent entre nous. Tu es très beau, je voulais juste te proposer…
La paroles restent en suspens, les yeux parlent, j’ai compris, il reprend.
– Je voulais juste te proposer de te prendre. Gloria nous regardera et après tu prendras Gloria.
Ben v’la aut’chose ! Comme disait Onc’Donald !
Je ne sais que dire. Gloria me fait des œillades. Les rapports homosexuels ne sont pas trop mon trip, mais je n’ai rien contre, tout n’étant qu’une question d’ambiance…
– Alors tout de suite ! Avant que je ne change d’avis !
L’instant d’après j’étais dans le salon, nu en levrette, le cul relevé, les fesses écartées, attendant l’assaut de Bertrand, un assaut que la promesse de ce qui suivra rendra forcément fort agréable.
– Vas-y ! Encule-moi !
Elian Lvekman
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