Partager l'article ! Un chien pour l’été: Un chien pour l’été par Elian Lvekman Au mois de juin, un de mes amis m’a demandé ...
Au mois de juin, un de mes amis m’a demandé si je consentais à garder son chien durant le mois de juillet car le camping où il partait n’acceptait pas les animaux.
Ne pouvant partir cette année, je lui répondis que c’était d’accord si son chien, Sammy, était bien dressé et si je ne risquais pas de problèmes au niveau du jardin
Il me répondit, avec un petit sourire, que Sammy ne préférait rien tant que de rester couché et qu’il avait bénéficier d’un dressage parfait. Je lui confirmais donc que c’était OK
Le soir même, je prévenais ma femme, Chantal, que nous aurions un compagnon à quatre pattes durant l’été. La nouvelle ne fut pas acceptée aussi bien que je le croyais mais, étant donné que j’avais donné mon accord, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur.
Le 1er juillet au matin, mon ami arriva pour nous amener sa bestiole. Jaillit du coffre un superbe labrador noir en pleine force de l’âge. Il était véritablement magnifique. Je dis « il » car la paire de bourses qui pendait entre ses cuisses ne laissait aucun doute sur son sexe.
En découvrant le chien, Chantal. faillit dire à mon pote qu’il était hors de question de le garder mais il était un peu tard pour faire machine arrière.
Sammy vint vers nous très gentiment en remuant la queue. Il avait l’air très doux et nous nous mimes à le caresser. C’était vraiment un superbe animal, à la musculature puissante mais au caractère calme et affectueux. Il nous lécha les mains de sa large langue râpeuse puis parti faire le tour du jardin
Après nous avoir passé les consignes pour la nourriture, l’exercice, les sorties, etc …, mon ami nous dit avec un grand sourire :
– Et surtout ne vous fiez pas à son allure, il est excessivement câlin, surtout d’ailleurs avec les femmes !
Sur ces paroles, il reprit sa voiture et nous laissa seuls avec notre nouveau compagnon
Je m’aperçus dès le soir même de ce qu’il avait voulu dire par là
La journée se passa sans problèmes, Sammy obéissant parfaitement bien aux ordres que nous lui avions donné, revenant vers nous dès que j’utilisais le sifflet à ultra-sons que m’avait confié mon copain. Il m’avait expliqué comment me servir de cet engin inaudible pour les humains, un coup bref suffisant pour que Sammy arrête aussitôt ses galopades et revienne bien sagement au pied
Le premier soir, Chantal. et moi nous installâmes sur le canapé pour regarder un film à la télé. Sammy vint se mettre à côté de nous. Au bout d’un court moment, il posa sa large tête sur les cuisses de Chantal., le museau tout proche de l’entre-jambes de ma femme. Il resta là sans bouger. Chantal. lui caressa doucement le crâne, ce qui eut l’air de lui plaire. Il bougea un peu et poussa sa truffe plus avant entre les cuisses de Chantal. Celle-ci, compte tenu de la chaleur ambiante portait une jupe légère et relativement courte ainsi qu’une culotte blanche très classique. Je savais toutefois que la température devait provoquer l’exhalaison de cette merveilleuse odeur de rousse, parfum dont je ne me lasse jamais d’apprécier lorsque je fais un petit câlin à Madame.
Le postérieur de Sammy était de mon côté et je caressais son dos depuis tout à l’heure. Au moment où il approcha son museau du sexe de Chantal., je sentis ses muscles se contracter. Doucement, il commença à se frotter contre mes genoux qui arrivaient sous son ventre, son sexe se mit à grandir. A voir la taille de ses couilles, je m’étais déjà dit qu’il devait être bien monté. Mais, à sentir ce que je sentais maintenant contre moi, je m’aperçus que je ne m’étais pas trompé.
Par curiosité (et par vice), je passais la main sous le ventre du chien et attrapait un braquemard palpitant et chaud. Chantal N’avait rien paru remarquer de ma manœuvre et continuait de passer doucement la main sur la tête de Sammy qui, lui, continuait à renifler la chatte de ma femme
J’avoue que mon esprit vicieux commença à travailler et je comprenais de mieux en mieux ce qu’avait voulu dire mon copain quand il parlait du caractère câlin de son chien avec les femmes.
En avançant sa truffe, Sammy avait remonté la jupe de Chantal. Jusqu’à son slip. Ses cuisses étaient donc nues et le chien en profita pour donner de grands coups de langue sur cette chair offerte. Chantal. qui, à première vue, n’avait pas encore constaté l’état d’excitation du chien, poussa un soupir étouffé en sentant la langue de Sammy passer et repasser sur ses cuisses. Elle me jeta un rapide coup d’œil, que je fis mine de ne pas remarquer semblant être très intéressé par le film, puis regarda droit devant elle, fixant la télé d’un œil plutôt glauque !
Je faisais semblant de ne rien remarquer de l’état de Chantal. Par contre, je continuais à manier doucement la bite de Sammy qui avait maintenant atteint une taille équivalente à celle d’un homme. Il bougeait son cul comme s’il était en train de se faire une chienne et Chantal. n’allait pas tarder à constater cet état de choses. Voulant vérifier la manière dont les choses pouvaient évoluer, je poussais le chien, me levais et dit d’un ton détaché :
– Je vais aux toilettes et je risque d’en avoir pour un petit moment !
Chantal me répondit d’une voix un peu voilée qu’elle continuait à regarder le film et que je pouvais prendre tout mon temps.
Je sortis de la pièce, ouvris la porte des chiottes et la refermais bruyamment. Tout doucement, je revins vers le salon et, me mettant à quatre pattes, passais la tête par la porte. Je savais que Chantal. ne pourrait me voir car j’étais dans l’axe du gros fauteuil. Par contre, d’où j’étais, je voyais tout ce qui se passait dans la pièce.
Chantal ne bougeai pas, continuant à laisser le chien lui lécher les jambes. Puis, doucement, je vis sa main descendre, remonter sa jupe jusqu’au nombril et s’infiltrer dans son slip. Ses doigts commencèrent à bouger, son souffle s’accéléra. Sammy continuait imperturbablement ses coups de langue mais ceux-ci se rapprochaient de plus en plus du slip que je devinais en train de se détremper sous l’action de la mouille de ma femme.
Chantal repoussa la tête du chien et se leva. Je me dis que tout était fini mais bien au contraire. Sammy sauta sur le canapé et s’assit, dévoilant alors au regard de ma femme son sexe rouge et gonflé.
Chantal fixa son regard sur cette superbe bite d’un œil étonné et une expression curieuse envahit son visage. Certaine que j’étais toujours aux toilettes, elle dégrafa sa jupe et passa ses mains dans son slip qu’elle fit descendre le long de ses jambes. Je voyais sa toison rousse coupée court, ses lèvres toutes gonflées et je savais que son bouton était bien décalotté de sa gangue de chair rose.
Elle se rassit et, écartant largement les jambes, se remit à se branler en regardant avec attention la bite de Sammy. L’index de sa main droite tournait sur son bouton, deux doigts de sa main gauche s’enfonçant dans son vagin dégoulinant. Sammy, excité par l’odeur de mouille, pencha sa tête vers la chatte offerte. Chantal arrêta sa masturbation et écarta ses lèvres de ses deux mains.
Je vis la langue du chien se poser sur la chair rose et remonter vers le clitoris tendu. Chantal gémit de plaisir sous cette caresse insolite. Après quelques coups de langue sur sa chatte, elle leva la jambe droite et posa le pied sur le dossier du canapé. Puis elle écarta ses fesses de ses mains pour dégager son trou du cul.
La langue de Sammy allait et venait entre l’anus et le clito de Chantal couvrant toute la surface à chaque fois. Chantal gémissait de plus en plus fort et trémoussait son corps sous le plaisir que lui procurait le chien. Sa main empauma sa motte et elle se branla le clito avec force jusqu’à ce qu’éclate sa jouissance.
Sammy se mit debout sur le canapé et, s’approchant de Chantal, fit mine de la couvrir. Il n’y arriva toutefois pas mais se mit à frotter sa bite contre les cuisses de ma femme. Cela dura juste quelques instants puis je vis jaillir des flots de foutre qui vinrent inonder l’entre-jambes de Chantal.
Le chien se retira tout de suite mais Chantal se barbouilla la chatte de cette liqueur grasse et bouillante et se rebranla avec jusqu’à ce qu’une nouvelle jouissance la terrasse.
Je me relevais alors et me dirigeait vers le canapé où gisait Chantal. Inutile de dire que mon pantalon était distendu par une érection qui me faisait mal tellement j’étais tendu.
Chantal, allongée les jambes ouvertes et les poils encore poisseux de sperme, ouvrit les yeux et me dit :
– Je suppose que tu as tout vu ? Tu sais, c’est l’un de mes fantasmes depuis toujours, je n’ai pas pu résister. Tu ne m’en veux pas ?
– Pas du tout, ma chérie. Au contraire, je dois dire que j’ai pris un très vif plaisir à te voir faire. D’ailleurs regarde !
Et j? Ouvris ma braguette, libérant mon sexe bandé.
– Mets-le moi, j’ai envie d’être prise, de sentir ta bite dans ma chatte !
Me débarrassant à la hâte de mon pantalon et de mon slip, je me glissais entre ses jambes ouvertes, sentant contre mon ventre le jus laissé par Sammy et m’enfonçait d’une longue poussée dans ce ventre si accueillant. En même temps que je labourais la chatte de Chantal, je l’imaginais en levrette prise avec force par le chien. J’étais tellement excité que je lâchais rapidement tout mon plaisir dans la vulve chaude, ce qui provoqua un nouvel orgasme de ma partenaire.
Sammy, lui, s’était couché sous la table basse et récupérait de ses efforts.
– Tu sais, dis-je à ma femme, je crois que ce mois de juillet va être particulièrement agréable !
Et, sur ces bonnes paroles, nous sommes montés nous coucher, laissant le chien dormir dans la cuisine.
Quelques jours passèrent sans que nous reparlions de cette soirée on ne peut plus érotique. Sammy s’était conduit de manière parfaite, calme et pas dérangeant du tout, sachant toutefois que nous le laissions désormais dans la cuisine quand nous regardions la télé. C’était, hormis le salon du premier soir, la seule pièce qu’il connaissait dans la maison.
Mais, quand vint le dimanche soir, soirée traditionnelle pour nos petits câlins, je demandais à Chantal
– Veux-tu que ce soir, pour pimenter un peu, nous soyons trois au lit. Sammy doit s’ennuyer sans toi. Et puis, on ne l’a jamais laissé monter dans la chambre ?
– J’ai un peu peur de ce qui pourrait se passer mais fais comme tu veux. Si tu souhaites qu’il recommence comme la dernière fois, pas de problèmes !
A vrai dire, non seulement j’espérais qu’il allait recommencer ses coups de langue mais j’escomptais bien qu’il aille plus loin encore, avec mon aide si besoin est.
Le soir venu, nous sommes allés nous coucher sans avoir reparlé du chien. Sachant ce qui se préparait, j’avais déjà planqué sous mon oreiller un gode et un tube à cigares dont nous nous servons souvent pendant que je me branle au-dessus de Chantal.
Une fois au lit, et après avoir lu un peu, Chantal posa son bouquin et, me tournant le dos, me dit :
– Tu sais que j’aime bien tes caresses dans le dos !
Je me mis immédiatement à l’ouvrage, passant mes mains le long du dos de Chantal, massant ses épaules, ses reins, ses côtes et, descendant petit à petit vers ses fesses. Sachant qu’elle est très sensible à ce genre d’attouchements, j’y mis tout mon cœur afin de la chauffer un maximum. Quand je sentis son cul se contracter sous mes mains, je lui écartais les fesses et commençais à passer ma langue autour de son anus odorant. Ma salive coulait sur son petit trou, la pointe de ma langue la titillait et je sentais l’excitation la gagner peu à peu.
Elle se mit sur le dos pour m’offrir son ventre et sa chatte qui était déjà bien humide. Ma tête vint se loger entre ses cuisses et j? Entrepris un léchage en bonne et due forme de sa fente. Bien que très attentif à ce cunnilingus, je ne cessais de penser au troisième objet caché sous l’oreiller, c’est-à-dire le fameux sifflet à ultra-sons que m’a confié mon copain pour appeler Sammy.
Quand je sentis que ma femme était vraiment bien émoustillée, je pris le tube à cigare et tout en continuant à la lécher, j? Enfonçais doucement ce mini-gode dans sa chatte grande ouverte. Je la branlais lentement et profondément. Je sentis ses hanches commençaient à rouler. Je savais qu’elle pensait à autre chose sous ses paupières closes. Aussi, je la fis retourner sur le côté, écartais ses cuisses au maximum et la branlais de plus en plus vite. Lançant ma main sous l’oreiller, je ramenais à mes lèvres le fameux sifflet et en tirait un son bref qui, je l’espérais, ne manquerait pas de faire venir le troisième intervenant à la soirée.
Le cul de Chantal faisait face à la porte, complètement écartelé, et, quand j’entendis le bruit des pattes de Sammy dans l’escalier, je sentis ma bite, qui était déjà dans un état extrême, se tendre encore davantage. Chantal avait dû entendre elle aussi le chien arriver car tout son corps se tendit d’un coup, sa bouche laissant échapper un léger gémissement. Le chien passa la tête dans la porte et n’hésita pas une seconde à s’approcher du lit. Il approcha sa truffe du cul offert et se mit à renifler la mouille qui coulait du vagin de Chantal.
Sa bite commença à sortir de son fourreau poilu et se mit à tressauter. Rapprochant encore son museau, il se mit à lécher à grands coups de langue ce que je lui offrais en pâture. Chantal se tordait sous le plaisir que Sammy lui procurait. Elle dit :
– Oh, c’est bon, il me lèche bien, écarte-moi plus, je veux sentir sa langue partout !
– Attends, laisse-moi faire !
Chantal, écartant à regret la tête de Sammy, se releva et, me regarda avec des yeux voilés par le plaisir. Je fis monter le chien sur le lit, s’allonger puis, lui attrapant les pattes, se coucher sur le dos. Je n’en revenais pas de la taille de ce sexe gonflé, turgescent et où pointait une goutte de foutre.
– Viens te mettre au-dessus de lui maintenant, je crois qu’il aimerait bien une petite caresse !
Se mettant à quatre pattes, Chantal vint se mettre en position de 69 au-dessus du chien et abaissa sa croupe jusqu’à son museau. Sammy, qui n’avait pas l’air d’être gêné par cette position, fit aussitôt jaillir sa langue et reprit ses activités sur la chatte de Chantal. Celle-ci avança doucement la main vers le braquemart et, l’empoignant, se mit à le branler
– Tu crois que je peux le sucer ?
– Mais bien sûr, ne te gêne pas, au contraire !
Elle abaissa alors son visage de plus en plus près du sexe tendu du chien et, lui agrippant les couilles d’une main, passa sa langue le long de la bite. Agenouillé à côté d’elle, je me branlais comme un fou. Enfin, elle ouvrit la bouche et enfourna le sexe du chien. Elle avait du mal à faire entrer cette bite tellement elle était gonflée. Seul le bout trouvait place entre ses lèvres et elle le pompait avec ardeur.
Ne tenant plus devant ce spectacle, je me positionnais derrière Chantal et, l’empoignant par les hanches, pénétrait sa chatte d’un coup presque brutal. Sa vulve était bouillante et ruisselait de son plaisir. La bouche pleine, Chantal ne put qu’émettre un long gémissement.
Je commençais à aller et venir en longs coups de reins. Je sentis soudain la langue râpeuse de Sammy sur mes couilles. Il léchait tout ce qu’il pouvait, aussi bien les lèvres de Chantal que ma pine quand elle ressortait. Ce contact était particulièrement excitant et je ne pus tenir plus longtemps. Je m’enfonçais au plus profond du ventre de Chantal et laissait couler mon foutre chaud dans son vagin trempé. Chantal lâcha la bite du chien et poussa un grand cri de plaisir.
Me retirant, je m’approchais d’elle et lui dit :
– Je suis sûr que tu as encore envie de te faire prendre ! Laisse Sammy se relever et remets-toi à quatre pattes. Je m’occupe du reste !
Chantal se releva et, dans le même mouvement, Sammy se remit sur ses pattes. Il était impressionnant sur le lit et je pouvais voir son mandrin rouge et luisant de la salive de ma femme, raide comme un bout de bois. Ses reins allaient et venaient comme si, déjà, il était au plus profond du ventre qui ne demandait qu’à l’accueillir.
Chantal se mit en levrette, le cul levé, les cuisses largement écartées, la tête posée sur le matelas ce qui faisait encore plus ressortir l’écartèlement de sa chair. Je pris Sammy par son collier et l’amenait derrière Chantal. Il grimpa immédiatement dessus, ses pattes de part et d’autre du torse de Chantal. Ne voulant pas qu’il décharge immédiatement, je retenais ses reins et, passant sous son ventre, ma main attrapa son énorme bite. Je la guidai vers le sexe de Chantal et frottais les lèvres rouges avec le bout. Positionnant la pointe de cette verge juste devant l’ouverture béante du vagin, je lâchais le chien.
Sammy se mit immédiatement à remuer les reins à toute allure, pilonnant profondément la chatte de Chantal à grands coups. Celle-ci se mit à crier « Oui, oui, oui ! ». Elle jouissait comme une folle, lançait son cul en arrière pour s’empaler encore plus profondément. Je me penchais afin de voir encore mieux ce magnifique spectacle. Je voyais ce bout de chair rouge entrer et sortir, coulisser entre les lèvres écartelées. La bite de Sammy était non seulement de taille humaine mais présentait un renflement au milieu qui devait frotter et exciter encore plus les parois vaginales de Chantal.
Je bandais à en exploser. Le chien, au bout de deux ou trois minutes, se mit à ralentir ses coups de reins et Chantal me dit :
– Il jouit, il coule, c’est chaud !
Sammy se retira et de la chatte béante je vis jaillir un véritable flot de sperme. Chantal était encore sous le coup de la jouissance intense qu’elle avait ressentie. Je n’en pouvais plus tellement j’avais envie de la prendre encore brûlante de ce foutre. Je la fis s’allonger sur le dos et enduisit copieusement son anus de la liqueur canine puis, présentant le bout de ma pine devant cet orifice, je la pris par derrière.
Au point où elle en était, elle n’émit qu’un petit cri et releva ses cuisses afin de me faciliter le passage. Je m’enfonçais dans son anus et au bout de quelques allers et retours, je laissais couler mon plaisir.
Après une telle expérience, nous nous blottîmes dans les bras l’un de l’autre et nous endormîmes, notre compagnon s’étant allongé quant à lui par terre au pied du lit.
Inutile de vous dire que le mois de juillet fut assez fertile en expérience. Début août, Sammy repartit chez son maitre qui, avec un sourire complice, me demanda si tout c’était bien passé. Je lui répondis que oui.
– Tu serais d’accord pour qu’on achète un chien me demanda Chantal, peu après.
– Mais bien sûr, ma chérie !
Fin
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