Partager l'article ! Nadège, ma mère de 55 ans: Nadège, ma mère de 55 ans par Elian Lvekman Passant par le Limousin, j’en profitais pour faire une ...
Passant par le Limousin, j’en profitais pour faire une halte chez ma mère. Et après avoir déjeuner nous sommes allés faire une promenade digestive en forêt. Malheureusement, nous avons été surpris par la pluie et sommes rentrés en courant et trempés. Je me suis assis devant la cheminée, pour me réchauffer et ma mère est monté se changer dans la salle de bains. Elle est redescendue aussitôt car e chauffage de la salle de bain était déficient, elle a donc décidé de se changer devant la cheminée.
Elle est venue près de moi et a commencé à s’essuyer. Moi, je regardais la télé sans prêter attention à ce qu’elle faisait. Puis, elle a dû se pencher pour attraper sa serviette, et là, je l’ai vu… ses seins nus et fermes dont les tétons se dressaient légèrement, ses belles hanches, ses épaules sur lesquelles tombaient ses cheveux mouillés. Je ne l’avais jamais vu autrement que comme ma mère, et je me retrouvais soudain à l’admirer en sentant naître une érection que je ne pouvais empêcher. Je voyais la serviette frotter ses seins, doucement, ils roulaient entre ses mains alors que mon érection devenait de plus en plus forte. Elle m’a souri et m’a demandé :
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Je revenais soudain à la réalité et réalisais que j’étais en train de désirer ma propre mère. Je m’efforçais de me concentrer sur la télé, mais mes pensées me ramenaient sur elle: Nadège, ma mère de 55 ans, que je n’avais jamais comme une femme aussi excitante avec des seins magnifiques et fermes, des jambes superbes et ses yeux…! N’y tenant plus, je me retournais à nouveau vers elle: elle avait posé une jambe sur le rebord de la cheminée, tout près de moi. elle essuyait sa jambe et sa jupe se relevait petit à petit. La peau de sa jambe était à peine à quelques centimètres de ma bouche. Penchée, je pouvais voir ses seins bouger au rythme de ses gestes. Elle ne faisait pas du tout attention à moi, trouvant la situation très naturelle .Je ne pouvais plus décrocher mon regard de ce spectacle. L’atmosphère était bizarre ce jour-là .Elle m’a souri de nouveau et m’a dit :
– Dos donc, tu ferais mieux de regarder la télé au lieu de te rincer l’œil !
Son sourire a achevé de me troubler, et j’ai totalement oublié qu’elle était ma mère. Je lui ai pris la serviette des mains en disant
– Laisse, je vais t’aider !
Je commençais alors à l’essuyer, très lentement, et à chacun de mes mouvements je faisais remonter sa jupe. mon regard allait de ses cuisses à ses seins puis a son visage. Ses cuisses s’écartaient un plus et je pouvais très bien voir son slip.
– Qu’est-ce que tu fais ?
Son sourire avait disparu, mais elle me troublait toujours autant. Elle baissa son regard vers mon pantalon de survêt et, comme je n’avais rien en dessous, elle n’a pas eu de mal à comprendre l’effet qu’elle me faisait tant mon érection était forte.
N’oublie pas que je suis ta mère !
La serviette avait glissé et c’étaient maintenant mes mains qui frôlaient la peau douce de ses cuisses. sa jupe était presque tout à fait retroussée et mes doigts glissaient dessous, sur ces fesses rondes, fermes et si douces.
Ne fais pas ça. Il ne faut pas !
Je n’entendais plus. Ma joue frôlait maintenant ses cuisses, mes lèvres se délectaient de la peau sucrée et de la chaleur qui provenait de son slip.
– Non, arrête !
J’écartais son slip et voyais sa belle toison déjà toute humide. Je savais que plus rien ne pourrais m’arrêter, maintenant , et j’enfournais ma langue entre les lèvres de son sexe. J’aimais la sentir mouiller;! je la buvais carrément alors qu’elle n’arrêtait pas de répéter mon prénom en me disant d’arrêter. Je suçais son clito avec un appétit féroce, pendant que mes mains écartaient ses fesses et que mes doigts s’enfonçaient dans son anus. Elle répétait toujours mon prénom, mais sa voix était plus douce et plus saccadée. Mon visage, blotti entre ses cuisses, était ruisselant de son plaisir. Je n’en pouvais plus;! J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. je me relevais et plongeais mon regard dans ses yeux brillants de plaisir. Elle me dit une nouvelle fois d’arrêter, me rappelant qu’elle était ma mère. Mon sexe dressé frottait sur le sien au travers de mon survêtement. Je passais derrière elle et posais mes mains sur ses seins dont les tétons étaient durs. Ils se sont mis à durcir encore alors que je les faisais rouler entre mes doigts. Sa respiration était devenue très saccadée et sa tête tomba sur mon épaule. Je l’embrassais tendrement derrière ses lobes d’oreilles, dans son cou.
Je sentis alors sa main glisser dans le pantalon de mon survêt et ses doigts saisir mon sexe. Elle commençait à me masturber pendant que je caressais ses seins et son sexe. Ma bite glissait maintenant entre ses cuisses. doucement, elles s’entrouvraient. Puis elle posa une jambe sur le rebord de la cheminée et mon gland commença à rentrer dans son anus. tout doucement, centimètre par centimètre. Je la sentais respirer de plus en plus vite, ses lèvres pincées, pour se retenir encore. Alors je la pénétrais tout à fait, d’un coup qui lui arrachais un cri. j’accélérais mon va-et-vient alors qu’une de mes mains s’agrippait à ses seins et que l’autre écartait les lèvres de sa chatte. Elle relevait ses jambes et se penchait pour que je puisse m’enfoncer encore davantage. Ma bite entrait tout entière dans son cul. Elle poussait des râles de plus en plus fort. Je l’agrippais par les hanches et accélérais encore le mouvement.
J’étais tellement excité que je ne pouvais plus retenir mon sperme plus longtemps. Mon jus giclait entre ses fesses, sur ses hanches. D’un mouvement, elle se retournait et se mit à genoux devant moi. Sa langue nettoyait le sperme et le jus de mon cul qui coulaient de mon sexe. Elle suçait mon gland pour ne pas perdre une goutte. Puis elle pris ma queue à pleines mains et se mit à me sucer goulument. Je sentais mon sexe rouler sous sa langue, puis s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle me suçait si fort que j’ai eu l’impression que ma bite allait imploser. Mes râles devenant de plus en plus fort, elle comprit que j’allais jouir une nouvelle fois. Alors elle se releva en me souriant.
– Doucement, mon fils. Pas encore…
Elle s’assit sur le canapé en me faisant signe d’approcher. Elle prit ma bite dans ses mains et m’attira vers elle. Je me retrouvais à califourchon sur elle et elle glissait ma queue entre ses deux seins superbes, gonflés et durs. Elle pressait ses seins sur mon sexe et je commençais à le faire glisser vers sa bouche. A chaque fois que ma bite s’approchait de sa bouche, je sentais sa langue caresser mon gland devenu hyper sensible. J’adorais sentir la peau de ses seins sur celle de mon sexe ! Elle me sourit et me dit
– Maintenant , vas-y !
J’accélérais le mouvement jusqu’à ce que je jouisse à nouveau et que mon sperme aille gicler sur sa figure, ses seins, sa poitrine, ses cheveux. Elle étalait mon jus sur son corps puis se léchait les doigts. Comme elle écartait ses jambes, je ne pus m’empêcher d’approcher mon sexe
– Oui, prends-moi… Fais-moi encore jouir…
A ce moment, je suis revenu à moi une fraction de seconde et je réalisais que je m’apprêtais à baiser ma propre mère, mais ses mains guidaient déjà ma queue vers son minou humide et mon désir repris le dessus: je me laissais guider et la pénétrais d’un coup. Ses jambes venaient bloquer mes hanches comme pour ne pas me laisser ressortir. Mais mon intention était toute autre alors que ma langue léchait ses seins encore imprégnés de mon sperme. Elle ne me disait plus d’arrêter, maintenant, mais au contraire d’aller plus vite, plus profond. Je m’exécutais avec joie en mordillant ses tétons devenus extrêmement durs. Elle remonta ses jambes et posa ses talons sur mes épaules, s’ouvrant totalement. Je la pénétrais entièrement et chaque fois que mes bourses venaient heurter sa chatte, elle poussait un cri qui m’excitait encore davantage. Finalement un flot de sperme jaillit de mon sexe alors que mon cri de plaisir se mêlait au sien
Nous sommes restés un long moment comme ça, l’un dans l’autre, puis nous sommes relevés. Une fois rhabillés, nous nous sommes longuement embrassés; elle m’a dit qu’elle avait rarement été aussi excitée puis m’a fait promettre de ne plus recommencer. Mais quelques temps après, c’est elle qui est venu me retrouver sous la douche et là….. Mais ceci est une autre histoire !
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