Vendredi 30 septembre 2022 5 30 /09 /Sep /2022 09:53

Les culottes de Tante Marie-Claire par Elian Lvekman
culotte rouge

 

Je suis Régis, 24 ans célibataire, mon physique de gringalet et mon allure efféminée m’ont valu maintes et maintes moqueries et humiliations. Mais j’ai su les surmonter, quand j’en ai eu marre qu’on me traite de pédé, je me suis dit qu’il n’y avait aucune honte à l’être, et par un défi que je me lançais à moi-même, je fréquentais les lieux gays, me régalant de bonnes bites dans ma bouche et dans mon cul. Je ne devenais pas gay pour autant, quelques professionnelles consciencieuses savaient s’occuper de moi comme il le fallait.

Mais j’avais un fantasme plus original… ce sera l’objet de ce récit.

C’était un jeudi après-midi, j’avais une demi-journée de récupération. Depuis quelque temps ma tante Marie-Claire souhaitait que je lui explique un certain nombre de bricoles sur le nouvel ordinateur qu’ils venaient d’acheter.

Pour moi c’était une excuse parfaite et j’avais déjà une idée claire en tête… me masturber dans ses petites culottes souillées ! En effet, ma tante me faisait fantasmer depuis plusieurs années, elle avait une croupe opulente mais cambrée et des gros seins lourds (100 D). Fausse blonde, ses cheveux ramassé en chignons et ses lunettes qu’elle portait en permanence lui conférait un air sévère qui n’était pas pour me déplaire. Cela ne l’empêchait pas d’être très douce dans sa voix et dans sa manière de me faire la bise et cela me faisait vibrer à chaque fois. De plus elle ressemblait à ma mère.

Elle était vêtue aujourd’hui d’une jolie robe gris ceinturée à la taille et laissant ses douces épaules découvertes. Mais ce qui m’excitait le plus c’était sa lingerie de femme mure, j’étais fétichiste des petites culottes depuis longtemps et depuis plusieurs mois j’adorais « mater » en douce ses jupes ou ses pantalons serrés… On pouvait en effet deviner les marques des élastiques de sa culotte, c’était exquis notamment la forme de l’entrecuisse où on voyait clairement le fond épais doublé de la culotte. Chaque fois qu’elle se baissait pour prendre un verre et me servir l’apéritif je ne pouvais m’empêcher de regarder ses fesses dans le miroir…

Me voilà donc parti pour enseigner quelques bidouilles à tata Marie-Claire. Mon oncle travaillait et c’est ma tante qui est venu m’accueillir à l’entrée du jardin, elle portait un tee-shirt en coton rouge qui moulait bien sa lourde poitrine et un pantalon noir en microfibre qui la mincissait un peu et la rendait encore plus craquante. Après la bise traditionnelle et quelques paroles d’usage elle me propose de boire un verre, malgré la chaleur pesante je le refusais. La raison de ce rejet ? Je voulais rapidement nous installer devant l’ordi et pendant que ma tante tapoterait, j’en profiterais pour aller à la salle de bain et fouiller dans le panier à linge. Je savais qu’elle faisait la lessive le samedi matin, comme nous étions jeudi cela faisait au moins cinq culottes portées à découvrir, hummmm !

Nous voilà assis côte à côte et je lui apprend quelques trucs, la présence de tante Marie-Claire à mes côtés m’excite et je jette un œil en douce sur sa poitrine dont les gros tétons dardent sous le tissu. La réaction ne se fait pas attendre mon sexe se tend dans mon slip. Je continue mes « leçons », ma tante qui était éloignée de la table se penche un peu en avant pour « titiller » la souris de l’ordinateur, moi je suis bien calé dans la chaise et j’en profite pour jeter un œil dans son dos… Lorsqu’elle s’est courbée en avant son pantalon taille basse est descendu et j’aperçois à la naissance de ses reins un bout de satin blanc avec un élastique à la taille surpiquée de dentelle… Mon sang ne fait qu’un tour, cette fois mon sexe est tellement dur qu’il déforme mon pantalon et je pose négligemment ma main dessus pour cacher mon trouble. Je distingue des plis importants sur le satin de la culotte, elle n’est pas tendue complètement sur ses fesses ce qui veut dire que la culotte est un peu grande pour elle et cela me surexcite davantage. Sentant que le moment était venu pour fouiller dans le panier à linge et que tantine « accrochait » sur un site de cuisine qui l’interessait particulièrement, je décidais de me lever prétextant un petit besoin naturel.

J’ai eu un peu de mal à marcher pour faire la dizaine de mètres de couloir qui me conduisait à la salle de bain car j’avais une très forte érection. Je pousse délicatement la porte et la referme derrière moi, un rapide coup d’œil sur le panier en osier qui contient le linge sale, il est plein ! J’ouvre l’eau du robinet de manière à ce que Marie-Claire ne se doute de rien, je soulève le couvercle du panier et commence « mes recherches », ma première prise : une culotte un peu large en coton blanc à petits pois bleu et rose, très « juvénile », avec de la dentelle à la taille. La 2ème et la 3ème était de couleur blanche en coton simple et je fus un peu déçu. Par contre mes deux dernières découvertes me transportèrent de bonheur et d’excitation mélangés, il s’agissait d’une culotte en satin blanc avec une perle sur le devant et de la dentelle aux côtés et sur la taille, ainsi que d’une culotte noire en nylon particulièrement douce avec des motifs à fleurs brodés sur le devant. Je deviens alors fou d’excitation et je porte la culotte noire à mes narines, elle sentait un peu fort mais rien de désagréable pour moi, dans le même temps je déboutonne mon pantalon de ma main presque libre avec laquelle je tenais la culotte en satin blanc. Je ne peux m’empêcher de regarder l’intérieur de la culotte de nylon noir où je trouve des traces de pisse, de mouille et de merde. Tout cela m’excite et je me mets à lécher la culotte pendant que je me masturbe avec la culotte blanche en satin, je suis au bord de l’explosion. Le goût de la pisse et de la merde m’enivre je ferme les yeux en gémissant…

Mais le temps s’écoulait et je n’avais pas fermé l’eau du robinet… J’entends une voix calme et ferme :

– Ben alors, on vient faire des cochonneries chez sa tata !

J’ouvre les yeux et regarde le miroir en face de moi, rouge de honte surpris en plein exercice de mon vice. Je restais avec ma culotte noire sur le nez et la blanche de satin sur le sexe que mes deux mains essayaient de cacher. Marie-Claire se rapproche, que va-t-il se passer, je n’ose plus penser, mon érection commence à retomber.

– Allez, je vais te traiter comme tu le mérites, petit salaud !

Marie-Claire passe derrière moi et saisit mon pantalon à la taille que j’essayais de reboutonner maladroitement, elle le baissa d’un coup sec à mes pieds. Je n’ose même plus bouger je ne comprends pas ce qui m’arrive, sa main flatte mes fesses sur mon slip puis s’infiltre sous l’élastique, elle passe délicatement un doigt dans la raie de ma croupe et d’un coup je me remets à bander encore plus dur, je suis rouge de honte et incapable de décrocher un mot.

– T’aimes ça mon doigt dans ton cul, hein, pédale ?
– Euh…. Balbutias-je, incapable de sortir un mot.
– Tu préférais peut-être une vraie bite, tiens ça me donne une idée, je vais demander à Tonton Marcel de t’enculer…
– Mais tata…
– Si, si je trouve l’idée excellente et avant tu vas bien le sucer. Il sera content, depuis le temps qu’il fantasme sur tes petites miches !

Marie-Claire continue de me palper les fesses dans le slip puis d’un seul coup me l’abaisse aux chevilles, d’un geste autoritaire elle me fait lever chaque pied pour dégager mon slip puis elle m’enfile la culotte de satin blanc sur les fesses. Mon érection est terrible et lorsque ma tante remonte délicatement la culotte sur mes fesses et l’ajuste, je ne peux m’empêcher de fermer les yeux, mon sexe sort de la culotte en tendant l’élastique à la taille. Marie-Claire m’ordonne alors de me branler devant elle, face au grand miroir, pendant ce temps elle lisse le tissu de la culotte sur mes fesses, le contact est doux et je commence alors mon va-et-vient. J’ai comme l’impression que ma tête va exploser, puis ma tante commence à me donner la fessée par dessus la culotte.Marie Claire

– Ecarte bien tes cuisses petit cochon vicieux ! me dit-elle

Son emprise était telle que j’obéissais sans broncher. Il ne m’a fallu que quelques claques sur les fesses pour jouir en gémissant fortement et en accompagnant des mouvements de mon bassin plusieurs jets de sperme qui s’écrasèrent sur le miroir, sur mon bas ventre et la culotte… »

– Déjà ? Se désola Marie-Claire. Nettoie les saloperies que tu as faites sur le miroir !

J’allais chercher de quoi essuyer, mais Marie-Claire m’interrompit !

– Non tu nettoies avec ta langue !de pédé !

Je m’exécutai et rendais le miroir vierge de toute race de sperme

Maintenant, je vais t’enfermer dans le placard à balais, le temps que tu récupères et ensuite je vais te faire faire plein de choses cochonnes ! D’accord petit pédé ?
– Oui Tata !

J’aurais bien sûr pu m’enfuir, mais je n’y pensais même pas.

Un quart d’heure plus tard, j’entendis des bruits de conversation. Tonton Marcel venait de rentrer. Ma tante me libéra, et je me retrouvais devant mon oncle, débraguetté, la bite à l’air.

– Alors mon neveu ! On vient faire des cochonneries chez sa tante ?
– C’est comme une pulsion… tentais-je.
– Avec les pulsions on peut justifier n’importe quoi ! Viens me sucer la bite !
– Oui Tonton.

Il avait un bel engin, j’approchais ma bouche, sa bite sentait la sueur et l’urine. Je respirais un grand coupe et de la langue je suçais l’extrémité du gland.

– Prends tout dans la bouche, pédale !

Pourquoi faire ça à la barbare quand on peut raffiner ? Toujours est-il que j’y allais de mes allers et retours en cadence. Le tonton appréciait mais me fit lâcher prise au bout de cinq minutes.

– On arrête la pipe, c’est dans ton cul que je veux jouir !

Qu’à cela ne tienne, je me mets en position.

– Non avant on va te faire une petite surprise ! Me dit Tata Marie-Claire

Et la voilà qui me prend par la main et me conduit jusqu’aux toilettes. Elle ne s’assoit pas sur la toilette, mais s’accroupit au-dessus afin que je puisse bien voir ce qui va se passer.

Je n’ai pas été déçu, d’abord un joli jet de son pipi doré qui me donna l’eau à la bouche, mais ce n’était d’un prélude, je la vit pousser jusqu’à ce qu’un étron bien moulé sorte de son gros cul avant d’aller se noyer dans la cuvette dans un « plouf » peu discret.

Elle ne s’essuya pas, puis avisant une culotte propre qu’elle avait réservée, elle l’enfila, puis de ses mains appuya dessus afin qu’elle s’imprègne de l’urine et de la matière non essuyé..

Je commençais à comprendre ses intentions et bandais comme un cochon.

Mon oncle me demanda de m’arcbouter contre le lavabo, et m’encula. Pendant ce temps ma tante m’offrit sa culotte qu’elle venait de souiller en m’intimant l’ordre de lécher tout cela convenablement.

De la pisse et de la merde bien fraiche à lécher, une bonne bite dans mon cul ! C’est la fête !

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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