Partager l'article ! A la recherche d’Alice: A la recherche d’Alice par Estonius Voilà un bout de temps que je n’avais rien écrit, v ...
Voilà un bout de temps que je n’avais rien écrit, voici donc une toute petite histoire plus ou moins inspiré de faits réels. Bonne lecture !
Me voilà rentré bien plus tôt que prévu, et la bite sous le bras. Déjà le fait qu’il n’y ait pas de lumière m’avait intrigué, puis en m’approchant je découvrais une affichette « établissement sous scellés, brigade de répression du proxénétisme ».
Proxénétisme ? N’importe quoi ! Ici on ne forçait personne, tout se passait dans la bonne humeur ! Quel est donc ce malade qui s’est livré à une dénonciation ? Qui sont ces flics qui au lieu d’emmerder des adultes consentants seraient mieux à leur place en enquêtant sur les véritables réseaux de traite des blanches ? J’ai la rage !
Mais de quoi s’agit-il ?
Je vais tout vous raconter, ça me calmera.
Je suis un habitué des salons de massage asiatiques. Ces instituts sont une vraie loterie, cela va su sublime au sordide.
Le massage est parfois nul, la finition (parce que tout le monde ou presque ne vient que pour ça) n’est parfois même pas proposé. Il n’est pas toujours permis de toucher la masseuse, laquelle opère parfois en tenue de ville !
Et puis la différence n’est pas seulement d’un institut à l’autre mais parfois d’une masseuse à l’autre dans le même institut. La raison en est simple : afin de ne pas être accusés de proxénétisme, les gérants des salons interdisent formellement toutes prestations sexuelles (c’est d’ailleurs clairement affiché à la caisse et même dans les cabines). Tout écart en ce sens est censé être ignoré de la direction et laissé à la discrétion des masseuses qui font évidemment ce qu’elles veulent.
Je n’évoquerais pas non plus ces instituts où, la prestation étant terminée, ces demoiselles insistent bien lourdement pour que vous preniez une douche ! Et pourquoi donc ? Pour vous faire les poches, pardi !
Donc tout a commencé un soir d’hiver dans cette petite rue du 17ème arrondissement, où il y a plusieurs salons, j’entre dans celui-ci au hasard. Jolie femme à la caisse, je choisis une prestation basique de 60 minutes. Une autre jolie femme en blouse blanche vient me chercher. Et hop, nous voici en cabine (très étroite la cabine) dans laquelle je me déshabille.
– Moi Alice ! me dit-elle
– Moi, c’est Etienne.
– Si toi, petit billet, moi plus coquine.
En voilà une qui ne perd pas de temps, je sors 20 euros de mon larfeuille, ça a l’air de lui convenir. Du coup elle déboutonne sa blouse. Joli corps, jolie peau, jolis seins tous ronds, et belle foufoune plutôt poilue.
Et la voilà qui me masse. Assez énergiquement. Je me fous de savoir si c’est un vrai massage ou pas, tout cela n’est qu’un prétexte pour ce qui va venir après. Pour l’instant elle me masse les épaules, le dos, les bras, les mollets, les cuisses. De temps en temps elle me demande d’une voix très suave :
– Ça vaaaaa ?
La deuxième « a » formant une étrange mélopée.
Elle semble avoir complétement oublié mes fesses, ce n’est peut-être pas dans son programme ?
Si, ça y est, mais seulement au bout d’un quart d’heure. La voilà qui me les triture dans tous les sens et m’écarte les globes. Par un savant mouvement d’approche, je sens son pouce s’approcher de mon trou de balle.
– Ça vaaaaa ? Répète-t-elle en augmentant la pression.
– Oui, oui,
– Je masse ici ?
– Je veux bien, oui !
Dingue, me voilà avec son doigt dans mon cul, et cette diablesse le fait aller et venir. Que c’est bon ! Je m’abandonne à cette douce caresse. Mais les bonnes choses ont toujours une fin, elle me demande de me retourner. Bien sûr je bande comme un âne.
– Toi en forme ! Commente-t-elle.
Mais elle ne me touche pas la bite, me massant le torse, les épaules, les cuisses, les mollets… Elle revient sur le torse, s’attarde sur les tétons.
– Tu aimes, là ?
– Oui, pince-les.
Elle retire sa blouse, la voici intégralement nue, je lui demande si je peux la caresser. Elle veut bien, et je balade ma main sur ses douces cuisses et sur ses fesses légèrement rebondies.
– Comme ça ? Demande-t-elle en me pinçant légèrement les tétons.
– Plus fort ! Oui comme ça ! C’est bon.
– Toi un peu masokiste !
– Un petit peu ! Répondis-je en m’amusant de sa prononciation.
– Je peux donner fessée !
– Pas aujourd’hui, continue les tétons, j’aime bien.
Après quelques minutes de ce traitement, et sans rien me demander, elle s’empare de ma bite et commence à me masturber. Je sens que je vais craquer. Effectivement elle me fait jouir en quelques instants.
Je vais pour me relever, mais elle me fait signe d’attendre. Alors délicatement, elle prend une lingette pour me nettoyer le zizi, puis si comme si cet épisode très hot n’avait été qu’un intermède, elle continue son massage jusqu’à ce que les 60 minutes soit écoulées.
– Toi content ?
– C’était très bien !
– Toi revenir ! Surtout demander Alice !
Et nous échangeâmes un chaste bisou sur le bord des lèvres .
Pas de problème !
Je revins une dizaine de jours après et je demandais donc Alice. La femme de la caisse me proposa une carte de fidélité, m’expliquant qu’au bout de 10 séances, la onzième serait gratuite, puis je fus invité à attendre Alice dans un petit salon d’attente.
La prestation fut quasiment identique à la première fois, la surprise était en moins mais l’efficacité était toujours là.
Quelques semaines passèrent, j’en étais à ma huitième séance et ce jour-là, je fus fort dépité quand la caissière m’informa qu’Alice n’était pas disponible ce jour.
– Suzy et Lana sont là, mais ne seront pas libre avant une heure, elles font un massage à quatre mains, et Lana a un rendez-vous tout de suite après, sinon aujourd’hui on a aussi Cheng, c’est un
jeune homme.
– Un jeune homme ?
– Oui, il ne vient qu’une fois par semaine, le jeudi, Ça vous intéresse ?
– Non, je préfère une femme.
– Je vous bloque une séance avec Suzy dans une heure ?
– Je ne sais pas, Alice sera là demain ?
– Non, elle ne revient que dans 10 jours.
– Bon, je reviendrais peut-être demain !
– Vous voulez qu’on prenne rendez-vous ?
– Non, je ne suis pas sûr de venir.
– Demain nous aurons aussi Ava, c’est une lady boy ? Si ça vous intéresse, profitez-en, elle n’est pas là souvent, et elle est très demandée !
Une lady boy ? Depuis le temps que fantasme sur ces créatures androgynes. Je n’hésite même pas :
– D’accord, demain 16 heures ?
– Parfait !
Le lendemain, j’étais pile à l’heure. Ava est une grande perche de 1,80 m au visage très féminin encadré par de longs cheveux de jais.
Elle me fait un clin d’œil et m’invite à la suivre.
– Si tu veux que je sois coquine, tu me donnes un petit billet.
Exactement la même formalité qu’avec Alice, donc, sauf qu’Ava s’exprime mieux en français. Je lui donne donc 20 euros de pourboire. Et je me déshabille. Ava a ouvert sa blouse, Sa poitrine est glabre mais non transformée, elle a de jolis tétons très bruns. Je suis un peu déçu qu’elle ait gardé son string. Ne soyons pas timide, je lui demande :
– Tu n’enlèves pas ton string ?
– Tu veux voir ma queue ?
– Oui, j’aimerais bien !
– Tu aimes les queues ?
– Disons que c’est un fantasme !
– Je te la montrerai tout à l’heure !
Tout à l’heure, dans ce genre de prestation, ça peut tout aussi bien vouloir dire jamais ! Tant pis pour moi ! Bien sûr je pourrais lui glisser un billet supplémentaire, mais à ce jeu-là, on sait quand ça commence, mais jamais comment ça finit.
Je me laisse masser, le massage est très physique, il n’a rien d’érotique et mon esprit s’évade. Au bout d’un quart d’heure, il s’occupe de mes fesses. Est-ce que ça va devenir intéressant ?
Il commence par un bon malaxage qu’il fait durer un peu, j’attends, peut-être aurais-je droit à un doigt…
Puis au moment où je m’y attendais le moins, le voilà qui se couche pratiquement sur moi, il a son bas ventre contre mon cul et se livre à une série de frottements successifs entre mes fesses. La sensation est trouble et étrange car au fur et à mesure de l’action je sens sa bite qui se met à bander. Quant à la mienne, elle s’est joyeusement réveillée et ne tient plus en place.
Hélas, ce petit jeu ne dure pas, et Ava me demande de me retourner. Sa queue en érection déforme son string. Il regarde la mienne avec un sourire amusé et y porte la main.
– Il faut que je te calme ! Commente-t-il tout en me masturbant très doucement.
De son autre main, il fait sortir sa bite par le côté du string, un bel engin !
– Tu voudrais la sucer ?
– Oui !
– Tu aimes ça, sucer des bites ?
– Oui !
Je ne vais pas lui raconter ma vie, il (elle) n’a pas besoin de savoir que ça fait une éternité que je n’ai pas fait ce genre de choses.
– Ici, ce n’est pas possible ! Mais je peux te donner mon numéro de téléphone, tu viendras chez moi, ça t’intéresse ?
– Si le prix est raisonnable… Répondis-je tout en m’étonnant que la chose ne « soit pas possible ici. »
A tous les coups, il veut m’attirer pour une prestation plus longue, donc plus chère.
– Ne t’inquiète pas pour le prix ! On pourra se sucer tous les deux, et même faire des choses encore plus coquines. Ajoute Ava
– Hummm !
– T’aimerais que je t’enfonce ma bite dans ton cul !
– Je ne sais pas ! Je n’ai jamais essayé ! Disons que ça me tente !
– Tu ne seras pas déçu, il parait que j’encule très bien !
Et tout en me parlant, il accentue ses mouvements sur ma bite qui est prête à exploser.
– Laisse-toi aller ! Pense à ce qu’on va faire ensemble.
Je ferme les yeux. Il continue. Je sens que je vais venir. Ça y est ! La jouissance est fulgurante. Ava m’essuie avec des lingettes. Il réajuste son string, puis reprend son massage. Je me laisse faire, je plane à moitié.
Dès le lendemain, je téléphone à Ava et après avoir convenu du prix, rendez-vous fut pris à 18 heures dans un immeuble de l’Avenue de la Porte de Choisy en plein quartier chinois.
Ava m’ouvre avec un grand sourire, elle est en jeans et en tee-shirt.
– Je te présente Cheng, c’est mon boy-friend.
– Ah, bonjour !
Qu’est-ce qu’il vient faire ici celui-là ? J’espère qu’il va foutre le camp.
– Si tu veux, me dit Ava, Cheng peut participer, il est très doux, les poils rasés et il a une jolie bite.
– Non, non, juste tous les deux !
– Il va te montrer sa bite, ça ne t’engage à rien.
Cette tournure commence à m’agacer. Cheng extrait de son pantalon une bite à demi bandée. Je dois avouer que c’est tentant.
– Une autre fois ! Là on va rester tous les deux. Je n’aurais pas assez d’argent.
– Imagine, une bite dans le cul, une autre dans la bouche.
– Une prochaine fois !
Cheng se masturbe et sa queue a maintenant atteint une bonne vigueur. Heureusement que j’ai pris la précaution d’emporter que très peu d’argent liquide.
– Pour lui, je te fais demi-tarif !
Je me surprends à faire un rapide calcul mental, j’ai juste ce qu’il faut. Je me lance ou je me lance pas ? Je me lance en espérant que je ne serais pas déçu. On passe dans la chambre et on se déshabille tous les trois. Ava et Cheng sont côte à côte.
– Viens nous sucer !
Ben, oui, je suis là pour ça ! Et je commence par mettre en bouche celle d’Ava ! Quelle sensation, quand je pense que je me suis privé de ce plaisir pendant si longtemps. La texture est d’une douceur inimaginable, le goût en est légèrement salé. Quel régal ! J’essaie l’autre, celle de Cheng. Aussi douce, mais l’odeur est plus forte.
Je suis dans un état d’excitation incroyable à ce point qu’à un moment je me demande si je ne vais pas éjaculer sans avoir rien fait. Je ne sais plus où donner de la bouche avec ces deux bites qui me narguent et me provoquent, je les lèche, je les suce, je les embrasse, je les engloutis, je vais partout du gland jusqu’aux testicules et quand j’ai fini, je recommence. Gloup.
Je ne sais combien de temps a duré cette fantaisie, mais j’en ai la tête qui tourne et la mâchoire douloureuse !
– Tu veux qu’on t’encule ? Me propose Ava.
La question aurait été posée à froid, j’aurais sans doute temporisé en prétextant que je ne me sentais peut-être pas encore prêt pour ça, mais là je n’hésite pas une seconde. On me fait mettre sur le lit et je me positionne en levrette.
– T’as un joli cul ! Me confie Ava.
On en apprend tous les jours !
Ava me trifouille le trou du cul avec le doigt, merveilleuse sensation, d’autant que ce doigt ne reste pas seul, je ne sais pas combien il m’en introduit, deux, trois, je n’ai pas apporté de rétroviseur ! Il finit par les retirer. Ça y est c’est le grand moment, je sens son gland contre mon trou du cul, je m’ouvre au maximum, ça un peu de mal à entrer, on fait plusieurs tentatives et hop, ça y est c’est entré ! Pas trop agréable au début, mais il y va doucement et bientôt la gêne et la douleur passent au second plan. Je suis en train de me faire enculer pour la première fois de ma vie, et j’en suis plutôt satisfait !
Pendant que Ava me laboure le trou du cul, Cheng m’a donné sa bite à sucer. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche, c’est quand même pas mal pour un hétéro !
Ava semble excitée par la situation et accélère la cadence provoquant dans mon cul une étrange et nouvelle sensation de plaisir et de bien-être.
Il m’a limé ainsi pendant près de dix minutes tandis que je suçais son copain. Au bout de ce temps les deux coquins intervertirent leur position, c’est-à-dire que Cheng m’enculait tandis que je suçais Ava. Ils s’excitèrent ainsi avec moi jusqu’à leur jouissance. Quant à moi je ne savais trop comment conclure, aussi commençais-je à me masturber quand Ava me fit comprendre, que cela ne la dérangerait pas d’avoir ma bite dans son cul ! Pas de problèmes, entre enculés on se comprend et on se doit être solidaires !.
Je quittais les lieux plutôt ravi, mais néanmoins avec un certain mal de cul.
Quelques jours plus tard je retrouvais Alice à l’institut. La prestation était toujours aussi agréable mais n’évoluait pas.
– Toi aller avec qui quand moi en vacances ?
– Ava !
– Ava avoir une bite !
– Je sais !
– Toi aimer les bites ?
– Ça change !
– Cheng ?
– Aussi, oui !
– Ah !
Et la foi suivante fut la dixième, ma carte de fidélité était donc remplie. La prochaine fois devait donc être gratuite.
Devait !
Parce que maintenant c’est fermé. Je suis dégouté, j’ai même pas faim, je ne sais pas quoi faire.
Et puis soudain l’idée ! J’ai le numéro d’Ava, je lui téléphone. Il (Elle) ne répond pas, je laisse un message en lui demandant de me rappeler. Puis je rentre à la maison et me plante devant la télé en regardant des conneries.
Huit jours plus tard, Ava ne m’avait toujours pas rappelé. Je compose le numéro sans y croire. Miracle : ça décroche :
– Ava ?
– Oui !
– C’est Etienne, vous vous souvenez de moi ?
– Pas du tout !
– J’étais venu chez vous pour un rendez-vous, et il y avait Cheng aussi.
– Vous voulez un rendez-vous ?
– Non, un renseignement, je cherche à retrouver Alice…
– Au téléphone, on ne sait jamais à qui on a affaire…
– Je peux passer vous voir ?
– Si vous voulez ! Mais je ne reçois que pour des rendez-vous pour des massages.
Pourquoi cet étrange changement de comportement, elle est peut-être bipolaire, la transsexuelle ?
Nous avons néanmoins pris rendez-vous et elle a insisté pour que je sois à l’heure.
Je fus donc ponctuel et Ava m’ouvrit en tee-shirt rouge et jeans. Seul son beau visage et ses cheveux longs trahissait son côté ambigu.
– Ah ! C’est vous ! Entrez, je reviens !
Elle est tout sourire, en fait elle n’a m’avait pas reconnu lorsque j’avais téléphoné.
Elle me laisse seul quelques courtes minutes, et quand elle revient elle s’est changée et s’est revêtue d’un kimono.
– Vous voulez boire quelque chose ?
– Non merci !
Et la voilà qu’il ouvre son kimono, elle porte sa main à sa bite et la fait rapidement bander. J’ai du mal à avaler ma salive.
– Ça te dit ?
– Je ne suis pas vraiment venu pour ça !
– Ça te dit ? Répété-t-il
J’essaie de me dominer ! En fait j’ai peur qu’elle profite de la situation et qu’elle ne me donne pas le renseignement que je suis venu chercher. Mais c’est vrai que sa bite me fascine.
– Je venais pour avoir les coordonnées d’Alice. Si tu me les donnes, d’accord, je te suce.
Elle s’en va dans un coin, trifouille dans ses affaires et me recopie quelque chose sur un bout de papier qu’elle me donne. J’espère que ce n’est pas bidon !
– Voilà, allez fais-moi mon petit cadeau et déshabille-toi. Je suis en forme, tu vas voir comme je vais bien enculer ton petit cul !
Un minute après j’avais sa bite dans la bouche !
Quel bonheur de sucer cette bite ! Elle un a aujourd’hui un vague arrière-gout de pipi, elle n’en est que meilleure Je joue des lèvres et de la langue, me régalant de toutes les parties de cette queue parfaite au gland magnifique.
– Tu suces bien ! Me dit Ava ! Mais ça pourrait être encore mieux, Je vais te montrer !
Il va me montrer quoi ?
Il sort alors de je ne sais où un godemiché très réaliste muni d’une ventouse et le colle sur la table, puis il sort sa langue et fait quelques mouvements à la base du gland.
– A toi !
Je fais comme il m’a montré, il me dit de ne pas aller trop vite, me corrige..
– Maintenant, suce !
Je m’applique tellement que sa bite est bientôt raide comme un bout de bois.
– Tu veux que je te la foute dans le cul.
– Oui, bien sûr !
– Mais avant j’ai envie que tu me suces la rondelle.
Il se tourne et me présente son cul dont il écarte les globes. J’avoue trouver cette rosette brune fort sympathique mais je ne m’attendais néanmoins pas, à ce genre de sollicitation.
J’approche mon visage et tente un premier coup de langue. Ça m’amuse et ça m’excite car je trouve la pratique extrêmement perverse d’autant que l’anus commence à s’entrouvrir très légèrement.
– Humm, j’adore ça me confie-t-il.
Mais il se retourne, me demande de me mettre en levrette et m’encule comme il se doit. Et pendant ce temps là je me branle comme un malade.
Je sors, un peu épuisé par cette prestation, je me pose dans un bistrot et m’empresse de composer le numéro de téléphone que m’a communiqué Ava.
Ça ne répond pas, je laisse un message… le répondeur n’est pas personnalisé.
Dix fois, quinze fois, je ne sais plus… ais-je tenté de joindre Alice et j’ai fini par laisser tomber.
Que s’est-il passé ? Je me suis d’abord persuadé qu’Ava m’avait refilé un numéro bidon, une façon comme une autre de me conserver comme client au détriment d’Alice ! Si c’est le cas, il peut toujours courir… Et puis je me suis dit ensuite qu’il y avait plein d’autres hypothèses .Peut-être ne répond-elle pas aux numéros qu’elle ne connait pas ? Peut-être a-t-elle changé de téléphone ? Peut-être a-t-elle été expulsée de France. Bref je ne saurais jamais.
Alors j’ai continué à fréquenter les instituts de massages avec des fortunes diverses, mais je ne fidélisais plus. Sans doute inconsciemment pensais-je retrouver Alice dans un autre salon ?
Et ce jour-là, je me dirige vers cet institut où je n’ai jamais mis les pieds.
– Un massage d’une heure, s’il vous plait !
– Bien sûr Monsieur, c’est Alice qui va vous masser.
– Alice ! M’exclamais-je.
– Vous la connaissez ? me demande la caissière.
Je ne sais pas ce que j’ai répondu, mais j’ai bien bafouillé.
Et voilà qu’arrive Alice ! Evidemment ce n’est pas la même ! C’est fou le nombre de masseuses qui se font appeler Alice !
Fin
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