Marine et Thibault

Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:00

Partie bourgeoise par Marine et Thibault

 

Attention texte contenant de la scato explicite !


Je m’appelle Thibault et je viens d’être nommé directeur des ventes.

 

J’ai voulu fêter ma nouvelle promotion en organisant une petite fête à la maison.

 

J’ai invité Lysandre, un grand blond à lunettes. Comme moi, il est légèrement bisexuel et aime bien de temps en temps sucer une belle bite ou en sentir une s’agiter dans son joli petit cul.

 

Je ne sais pas où est passée Marine, ma délicieuse épouse qui me trompe à tour de bras, mais que j’adore ! Elle a dû sortir acheter des cigarettes, à tous les coups elle a rencontré une copine et s’est mise à papoter.

 

Lysandre est arrivé un peu après 18 heures, on a bu une bière, puis il m’a proposé que nous attendions les autres invités à poil. C’est effectivement une très bonne idée, je m’amuse à le provoquer en tortillant des fesses.

 

– Il te plait, mon cul de pédé ? Hein ? Dis-le-moi !

 

Ça ne loupe pas, trente secondes après, il me léchait la rondelle avant d’introduire son doigt dans mon cul. C’est lui qui m’a initié à ce plaisir, avant je ne faisais que sucer, maintenant j’adore qu’on m’introduise des objets, des doigts, des bites…

 

J’aurais aimé qu’il m’encule, mais la sonnette de la porte d’entrée retentit et j’allais ouvrir à Monsieur Andersen.

 

J’avais bien évidemment invité Monsieur Andersen, mon directeur puisque c’est à lui que je devais cette promotion..

 

Connaissant mes penchants pervers, celui-ci m’avais demandé si la petite fête serait du genre classique ou du genre partouze.

 

– La vie est courte, nous aimons tous le sexe, alors pourquoi nous en priver !

– Dans ce cas je viendrais avec ma femme et ma fille, deux belles cochonnes. M’a-t-il répondu.

 

Andersen me présente sa femme Léa, une jolie fausse blonde mature à l’œil coquin et Félicia, leur fille qui doit avoir une vingtaine d’années, une brunette au visage d’ange, tout sourire, ils sont venus avec leur chien, Koulis, un labrador noir qui frétille de la queue.

 

– Vous ne perdez pas de temps ! Me dit Andersen en rigolant, vous êtes déjà dans le plus simple appareil.

– C’est une idée de Lysandre, je vous présente Lysandre.

– Vous avez une bien belle bite, monsieur Lysandre !

– Vous pourrez en disposez à votre guise, cher monsieur !

 

Le père Andersen n’est pas du genre à se faire répéter deux fois ce genre de chose. Il prend en main la bite de Lysandre, lui soupèse les couilles, puis histoire de la faire bien bander, tortille les tétons de mon ami.

 

Quand Lysandre se retrouve en érection maximale, Andersen se penche et lui gobe la bite. Pas très longtemps, ce n’était qu’une mise en bouche, (c’est le cas de le dire)

 

Andersen commence à se déshabiller de façon méticuleuse.

 

– Dois-je dire à ces deux putes de se déshabiller également ? Me demande-t-il en désignant sa femme et sa fille.

– Mais très certainement !

 

Les deux nanas n’hésitent pas un seul instant et se retrouvent vite nues. Félicia est une très belle jeune femme avec des seins provoquants, ceux de sa mère ne sont pas mal non plus. Je remarque qu’Andersen a eu la bonne idée de poser un collier de chien autour du cou de son épouse. Que voilà une intention délicate !

 

Je demande à Betty, ma boniche de faire le service, on est tous à poil et on trinque.

 

Oh, toi le lecteur, là-bas, oui toi ? Tu crois que je ne t’ai pas entendu ? Oui, j’ai employé le terme de boniche, et si je l’ai employé ce n’est pas parce que je la méprise, ni elle ni sa fonction, c’est tout simplement parce qu’elle est complètement maso et qu’elle adore qu’on l’appelle comme ça !

 

– Me permettrez-vous de vous offrir mon champagne ? Me propose Léa.

– Mais bien certainement ma chère.

– Mademoiselle passez-moi donc un coupe vide que j’urine dedans ! Demande-t-elle à Betty.

 

Léa se place le verre entre les cuisses et pisse dedans avant de me l’offrir. Je me fais un plaisir de boire cet excellent breuvage et d’en féliciter la dame

 

– Si vous le désirez, je peux vous offrir quelque chose de plus consistant !

 

Et allons donc, j’aurais préféré que cette proposition vienne bien plus tard, mais si elle me le fait c’est que l’envie doit être pressante.

 

– A votre guise, chère madame !

– Je vais monter sur la table, comme cela tout le monde pourra en profiter.

– Excellente idée !

 

Léa grimpe sur la table et s’y accroupit.

 

– Si la boniche pouvait apporter un plateau afin que je défèque dedans ? Demande-t-elle.

 

Betty lui tend un plateau en argent qu’elle pose sous son fessier. Léa pousse et un très beau boudin marron bien moulé sort de son cul.

 

– Que voilà un beau caca ! La félicitais-je.

– A vous l’honneur de me nettoyer l’anus ! Me répond-elle.

 

Je ne saurais refuser une telle faveur et viens lui lécher la rondelle en me régalant des traces de merde entourant ce joli trou du cul.

 

On se passe ensuite le plateau contenant l’étron de Léa, chacun y va de son petit coup de langue afin d’y gouter.

 

Tout le monde est bien excité, et Félicia tient absolument à nous montrer comment elle suce bien la bite de son père.

 

– Ne le suce pas à fond, j’aimerais bien qu’il m’encule ! Interviens-je.

 

On a fait comme ça, Félicia a prodigué une jolie fellation à son paternel tout en lui doigtant le trou du cul, puis elle à stoppé, tout sourire :

 

– Qu’est ce qu’elle est bonne la bite à papa ! Maintenant elle est pour ton cul.

 

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Je me positionne comme il convient et Monsieur Andersen vient m’enculer bien comme il faut, pendant que Lysandre encule Léa en lui tapant sur ses fesses avec un branche de céleri, et que Félicia pisse dans la bouche de la bonne après lui avoir introduit deux saucisses dans le cul. Quant à Marine que je n’ai pas entendu rentrer elle suce la bite du chien avec une telle fougue que de la bave dégouline aux commissures de ses lèvres.

 

Quelle ambiance mes amis, j’ai juste oublié de mettre un peu de musique !

 

Voilà qu’on frappe ! Oh là là ! Où suis-je ? Je suis seul dans le salon ! Putain je rêvais ou quoi, mais quel drôle de rêve ! Il y a des années que je n’ai pas vu Lysandre qui vit maintenant en province et nous n’avons guère les moyens de nous payer une bonne..

 

Je vais ouvrir c’est Marine !

 

– J’avais oublié de prendre du pain, il y avait une de ces queues au boulanger. Ils arrivent à quelle heure les Andersen ?.

– Ils ne devrait pas tarder.

– On va se faire chier, il faudra éviter les sujets qui fâchent. La politique, le football… quelle corvée !

– Bah, c’est un mauvais moment à passer, je ne pouvais pas faire autrement que de l’inviter à bouffer, ma promotion c’est à lui que je la dois.

– Au fait tu m’avais promis de me dire ce que tu lui a fait à Andersen pour mériter cette promotion.

– Ben je lui ai un peu sucé la bite ! Mais faudra pas le dire à sa femme.

– Cochon !

 

Délire sans prétention écrite dans le TGV Paris-Strasbourg en matant ma voisine d’en face

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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 17:56

Nom d’un chien par Marine et Thibault

zoo

 

Un jour ma copine Carla, une veille gouine avec laquelle je m’amuse parfois m’a demandé si je ne pouvais pas lui rendre le service de garder son chien Mirzon pendant quelques jours car elle devait se déplacer en province.

 

Mirzon est un beau labrador, très doux et câlin. Chaque fois qu’il me voyait, il voulait fourrer son nez dans mon entrejambes. Je savais ce qu’était la zoophilie mais bon…

 

Le premier jour fut calme… Mirzon m’a suivi comme un petit chiot ainsi qu’à son habitude. Dans l’après-midi je suis allée à la salle de bains pour un petit besoin et comme j’avais la maison pour moi toute seule je n’ai pas fermé la porte de la salle de bains. Ma culotte était sur mes chevilles et la jupe mi-courte que je portais était retroussée autour de ma taille. Je fis mon pipi, et m’essuyais lorsque Mirzon vint flâner dans la salle de bains, ses grandes pattes cliquetant sur le carrelage. Il est entré, a mis sa tête sur mes genoux et a regardé fixement vers le haut avec un air bizarre, aussi j’ai commencé à lui gratter sa tête. Cela a seulement duré quelques secondes avant qu’il ne commence à essayer de flairer entre mes jambes. J’ai ri, lui ai dit que « non » et j’ai essayé d’éloigner son mufle énorme mais lui devenait plus insistant.

 

J’ai cessé de résister et sa truffe froide s’est avancé petit à petit de plus en plus près de ma petite ouverture serrée. Par la suite son mufle humide a trouvé ce qu’il recherchait et a reniflé plus profondément. Sa longue langue plate et ferme est sortie et m’a léché une première fois, doucement, presque comme s’il hésitait. Des frissons ont parcouru ma peau, mes mamelons instantanément sont devenus durs comme un roc. Il m’a encore lapée… et encore il a tiré des frissons de tout mon corps. C’était exceptionnel. Meilleur que n’importe quel homme n’avait pu le faire avec juste deux rapides léchages. J’ai décidé de me détendre et de lui donner une peu de latitude pour faire comme il le souhaitait.

 

J’ai glissé au bord du siège et j’ai laissé mes jambes s’écarter plus loin puis j’ai reposé mes mains sur mes genoux. Mirzon s’est rajusté de sorte qu’il ait pu obtenir un meilleur accès, a plié sa tête vers le bas et a commencé à lécher mon minou humide de miel. Les sensations n’étaient comparables à rien de ce que j’avais jamais éprouvé auparavant. Sa langue séparait mes lèvres serrées et s’enfonçait plus profondément à chaque poussée, en passant au-dessus de mon clitoris chaque fois. Pendant ce temps mon nectar coulait et il m’a semblé agir comme s’il voulait en trouver la source. Il fouinait de sa truffe dans ma vulve, séparant mes lèvres au plus large et envoyait sa langue dedans profondément, inquisiteur recherchant la source de mon humidité. J’ai glissé mes mains vers le haut de mes jambes et j’ai lentement dirigé mes doigts entre son lapement, régulier et persistant, et ma fente. J’ai eu quelques secondes de soulagement de la sensation constante du plaisir mais n’ai toutefois pas voulu qu’il s’arrêtât. Ainsi j’écartais mon autre jambe encore plus loin et j’utilisais mes mains pour m’ouvrir totalement et pour lui donner un accès plus commode.

 

Quand il a recommencé à me lécher, en raison de mon nouvel angle et de ma nouvelle position, il a balayé depuis mon anus froissé jusqu’à mon clitoris m’envoyant presque au-dessus du bord. Je n’ai pas voulu jouir pourtant cependant J’ai voulu me délecter de chaque seconde que je passais avec ce fort bel animal. Mirzon à nouveau se concentra sur mon minou et mon clitoris et à l’aide de mes doigts j’ouvrais largement mes grandes lèvres m’offrant au plus large, ainsi il a trouvé des profondeurs que je n’avais pas imaginées possibles. Ondulant sous la vague de plaisir se répandant dans tout mon corps j’ai senti l’orgasme approcher. Son museau entier était enfoui dans ma chatte, sa langue glissant profondément dans mon trou, lapant vers le haut les jus qui dégoulinaient de moi. Je ne pourrai jamais décrire l’orgasme le plus puissant de ma vie entière qui s’est brisée au-dessus de moi. Totalement arquée en arrière, j’ai gémi tellement fort que les voisins m’ont probablement entendu, et j’ai commencé à avoir des spasmes pendant que je saisissais la tête de Mirzon tandis qu’il poussait sa langue rugueuse et épaisse plus loin dans mon vagin. Le plaisir m’accablait et j’ai dû éloigner sa tête et maintenir mes jambes fermées pour le faire arrêter. Après quelques minutes, je suis redescendu des étoiles

 

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Je viens d’avoir le plus fantastique orgasme que je n’ai jamais eu ! Et j’ai vu Mirzon se reposer là avec sa langue flânant au dehors et sa queue remuant de satisfaction..

 

Plusieurs heures plus tard, j’eu de nouveau envie d’aller aux toilettes pour un petit caca, cette fois ! Je m’installais sur la cuvette quand je vis débouler Mirzon.

 

Excitée comme un puce je lui attrapais la bite et fit en sorte que je puisse la sucer. Hum ce cylindre de chair rouge dégoulinant de jus est un vrai régal, je le suçais pendant plusieurs minutes tout en continuant à chier.

 

Puis je me retournais, offrais mon cul non essuyé au chien qui commença par me le lécher avant de me grimper dessus et de m’enculer comme une salope !

 

Mais ce que je ne savais pas, c’est que Thibault était derrière la porte et regardais par l’entrebâillement. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de mon trou du cul, il se masturbait. A la vue de la scène, il juta très vite en un rien de temps. Il attendit quelques minutes avant de rentrer dans la salle de bain.

 

– Salope tu te fais baiser par les chiens, maintenant ! Dit-il faussement fâché.

– Ben quoi ça change ! Et puis c’était tellement bon !

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Mardi 7 mai 2019 2 07 /05 /Mai /2019 08:24

Un apéro pervers par Marine et Thibault

scat

 

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS
EXPLICITES

Coucou c’est Marine et Thibault qui revienne vous dire un petit bonjour avec un nouveau petit récit coquin et un peu crade !

Un soir d’été où nous sommes chez nous nous prenons l’apéros, Thibault se tourne vers moi et fait couler quelques gouttes d’un glaçon dans mon décolleté. La fraîcheur de celles-ci me fait du bien. Ses mains se posent sur le haut de mes hanches et il remonte mon haut, je lève les bras pour qu’il me le retire. Il reprend le glaçon et souffle dessus pour qu’il goutte entre mes seins. La chair de poule me vient et mes tétons se dressent. Thibault dépose alors de petits baisers sur les gouttes, puis il pince délicatement un de mes tétons entre ses lèvres et passe sa langue sur celui-ci, tandis que d’une de ses mains il me masse l’autre. Une douce chaleur envie mon corps. Je penche la tête en arrière et décide de le laisser faire à sa guise. Il pose le glaçon entre mes seins et le laisse fondre.

Une petite  » rivière  » se forme et il la suit de sa langue. Maintenant il est au niveau de mon short en jean. Il le déboutonne et je dois légèrement soulever mon corps pour qu’il puisse l’ôter ainsi que ma petite culote par la même occasion. Il repose sa tête au niveau de mon nombril et je sens son souffle qui se rapproche de ma chatte. Mon être, mon corps et mon esprit sont complètement détendus et il peut faire de moi ce qu’il veut. Deux de ses doigts écartent les poils de mon minou et ses lèvres frôlent les miennes, des frissons m’en parcoure le ventre. Sa langue rentre en contact avec mon clitoris et il me l’entoure de ses lèvres. Je sens la chaleur de sa bouche par le biais de la salive qu’il dépose. Il me tend un de ses doigts. Je le suce un instant et il le redescend. Celui-ci trouve dès-lors refuge dans ma caverne d’amour, suivit bientôt d’un autre.

Machinalement mon fessier entre en mouvement dans une série de petits ronds et mes jambes lui enserrent le corps puisqu’il se trouve à genoux. Ses mains se posent sur mes cuisses et me les caressent lentement avant de descendre le long de mes jambes. Une fois à mes pieds il passe un doigt sous chacune de mes plantes pour se dégager. Il se redresse légèrement pour venir m’embrasser et se défaire de ses vêtements. Il passe ses bras autour des miens et me fait pivoter d’un quart de tour. Il me retient pour que ma tête atteigne doucement le bras du canapé. Il grimpe à son tour, met un de mes pieds à terre passe l’autre sur le dessus du canapé et s’installe entre mes jambes. Je vois sa bite s’approcher de moi. Il la prend d’une main et la tient contre mon clito avant d’aller et venir contre lui. Mon cœur pousse une nouvelle accélération quand sa bite finit par me pénétrer. Ses aller et retour sont lent et doux. Mes jambes se placent automatiquement autour de son cou, il pose alors ses mains de part et d’autre de ma taille, son ventre vient au contact du mien, il me saisit les hanches et toujours en moi il me redresse et s’allonge sur le dos si bien que cette fois c’est moi qui suis allongée sur lui. Nous nous embrassons, nos mains parcourent nos corps. Je ne sens plus mon corps, ma respiration s’emballe, je serre mes bras autour de son cou, ma tête sur son torse, des gémissements sortent de ma bouche. J’ai joui, Thibault sort de ma chatte, me fait signe de me retourner, ce que je fais volontiers, devinant ses intentions perverses et il m’encule comme un barbare.

Ça ne dire pas très longtemps, excité comme il est Thibault, ne peut plus se contrôler, ces coups de boutoir dans mon cul me font un bien fou, il pousse un cri rauque en déchargeant dans mon cul.

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Et maintenant cela va être le moment de la surprise ! Comme va ressortir la bite de mon homme ? C’est mon jour de chance elle est juste comme je l’aime, gluante de sperme et maculée de matière sans qu’il y en ait de trop non plus. J’ouvre la bouche et nettoie tout cela de ma petite langue agile, un délicieux mélange dont je me régale.
Thibault veut alors me nettoyer le cul, nous faisons cela aussi quelque fois. Il se met sur le dos, je m’accroupis sur sa bouche et je pousse, dommage que je ne puisse pas voir ce qui se passe, mais je sais que le sperme resté dans l’anus va ressortir et qu’il y aura probablement un peu de merde avec. Il aime ça !

C’est fini ! Fin du quart d’heure de folie. Nous restons dix minutes sans bouger, ma tête sur sa poitrine et ses bras m’enlaçant.  » Je t’aime  » lui dis-je. Il me dépose un baiser sur les lèvres et je me lève pour aller pisser, il me suit, je m’assois sur la cuvette. Il tend sa bite vers mon visage, j’ouvre la bouche et me régale de sa bonne pisse. Moi je recueille un peu de mon propre pipi dans mes mains que je lui donne à lécher.


Après cet apéro très spécial, Thibault sans se rhabiller s’affale dans le fauteuil ! Qui c’est qui va faire cuire l’omelette ? C’est encore moi !

Marine et Thibault 2018

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:46

Ma soubrette, mon épouse par Marine et Thibault

soubrette stamp

 Thémes abordés : scato,  soubrette,  spermophilie, uro

 

Bonjour c'est Thibault (un ti beau, deux ti beau...) à mon tour de prendre la plume, c'est chacun son tour.


J'ai toujours eu un faible pour les femmes de chambre, surtout si elles ont une tenue sexy... Rien ne m'excite davantage que lorsque Marine ma femme joue les soubrettes pour m'apporter le petit déjeuner au lit, après une semaine épuisante. Mon épouse est assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blond, un joli petit sourire.


Mon petit scénario est très au point. Dans un magasin de vêtements professionnels, j'ai acheté pour Marine une tenue de travail tout ce qu'il y a de plus classique, mais c'est dans une boutique de Pigalle que je lui ai trouvé des dessous un peu moins conventionnels. Le samedi, c'est dans cette tenue qu'elle vient m'apporter mon petit déjeuner sur un plateau. Les yeux à peine ouverts, je me mets à bander, quand elle dit de sa voix coquine


- Voici le petit déjeuner de monsieur


Et qu'elle dépose le plateau sur le bord du lit en gonflant bien les seins et en remuant des fesses, juste ce qu'il faut pour m'exciter. Je bois une gorgée de café au lait pendant qu'elle va ouvrir les rideaux. J'imagine alors ce qu'elle porte sous son ensemble bien sage. Je sais qu'elle n'a pas de culotte, juste un porte-jarretelles et des bas, je sais que son soutien-gorge est transparent on voit ses pointes dures, je sais aussi que son clito est gros et très doux surtout quand le désir le fait gonfler. Je sais aussi qu'elle ne s'est pas essuyé la chatte après avoir fait pipi… Quant au cul, ça dépend, mais si elle a fait son caca du matin, rien n'est essuyé non plus… Et puis je sais aussi que mon petit déjeuner fini, je vais la baiser !


Rien de tel que toutes ces pensées pour me mettre en appétit. Je demande d'une voix innocente :


- Est-ce que vous pourriez faire un point à mon pyjama ? Il s'est déchiré, là...


Elle s'approche, s'assoit sur bord du lit et se penche pour examiner la manche de mon pyjama. Elle me met ses seins sous le nez et là, ma bite se dresse encore un peu. Sa poitrine, gonflée à bloc effleure mon torse, j'attends encore un peu avant de saisir ses seins à pleines mains. Et là, les choses s'accélèrent, je lui arrache son chemisier et je la fais glisser jusqu'à ce qu'elle soit en position de me branler entre ses seins


- Oh monsieur, qu'est-ce que vous faites ? demande-t-elle d'une voix ingénue. 


marine2.jpg Mais cela ne l'empêche pas de commencer à s'activer. Ma bite grossit à vue d'œil entre ses deux beaux seins bien fermes. Puis, je lui fourre ma queue dans la bouche et la lui enfonce jusqu'à la gorge. Avec un petit grognement, je lui dis que pour une femme de chambre elle fait bien les pipes, mais je résiste encore à la tentation de lui balancer tout mon jus. Je me retire et je la retourne comme une crêpe pour pouvoir la prendre en levrette, mais avant je lui renifle le trou du cul :


- Votre cul sent la merde ! Marine.

- C'est pour mieux vous satisfaire monsieur, je sais que Monsieur adore ça !

- Racontez-moi, auriez-vous chié un gros boudin ce matin ?

- Gros et consistant !

- J'aurais aimé voir ça !

- J'y ai bien pensé mais Monsieur dormait…

- Evidemment…

- Mais au cas où cela intéresserait Monsieur, la prochaine fois je chierais dans une assiette, et comme ça je pourrais montrer mon boudin à Monsieur !

- Et le verre dans le plateau ? C'est quoi ?

- C'est ma pisse, Monsieur ! J'ai pensé que Monsieur aimera la boire.


J'avale d'un trait la moitié du verre, il parait que c'est bon pour la santé.


- Tournez-vous afin que je vous enculasse.

- Monsieur parle comme les poètes libertins.

- Mais je suis un poète libertin, Alors, vous vous tournez ou on attend le printemps ?

- Oh non monsieur ! Gémit-elle, ce n'est pas bien ce que vous voulez me faire.


Mais je sais parfaitement qu'au contraire elle meurt d'envie que je l'encule. Je commence à m'enfoncer doucement en lui branlant les seins, et en lui chuchotant des petits mots obscènes. Quand je la sens prête à me recevoir complètement, je la défonce encore d'un bon coup puis je gicle en elle...


- Monsieur désire-t-il encore autre chose ?

- Oui, Monsieur aimerait bien que vous lui nettoyiez la bite, elle est sortie un peu sale de votre trou du cul.

- Ce n'est qu'un peu de foutre et un peu de merde, Monsieur !

- Alors nettoyez, je vous prie !

- Mais avec plaisir, Monsieur !


Elle a pris ma bite dans la bouche et m'a tout nettoyé, elle adore ça, la cochonne !


- Ce mélange était délicieux ! 

- Je n'en doute pas un seul instant !

- Tu n'en sais rien gros cochon, tu ne l'as pas goûté ! Me rétorque Marine abandonnant le jeu de rôle.


Elle se met alors un doigt dans le cul et me le fait sucer ! Hum… pas mauvais !


- Le jeu est terminé, viens m'embrasser.


Et nous nous roulâmes un joli patin merdeux. Voilà une journée qui commençait fort bien.


Thibault


E-mail: mt_devillers@hotmail.com


Publié sur revebebe le 28/12/2000 puis passé à la trappe

 

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Vendredi 6 septembre 2013 5 06 /09 /Sep /2013 09:12

Essayage chaud par Marine et Thibault

  stamp pipe

Théme abordé : doigtage masculin, feuille de rose

Il y a deux semaines, je faisais des courses avec ma copine et nous sommes entrés dans une petite boutique de vêtements pour hommes car un pantalon de toile à prix abordable était dans la vitrine. Nous demandons à la femme qui est en train de ranger des cartons si je peux essayer. Elle m’aide à trouver la bonne taille et me dirige vers une cabine d’essayage.

A sa façon de parler, ça doit être la patronne. Elle doit avoir la trentaine, brune avec des cheveux mi-longs assez raides, des yeux verts magnifiques (moi qui ne les remarque jamais), et un corps à faire envie à beaucoup de jeunes de 20 ans. Elle a la taille de « guêpe », des petits seins qui semblent fermes et des fesses serrées dans un pantalon élastique.

J’entre donc dans la cabine et tire le rideau. Mon amie reste devant et jette un coup d’œil de temps en temps pour voir si j’ai fini. Le pantalon est un peu petit et j’ai du mal à fermer la fermeture éclair qui doit être dure. La vendeuse (ou la patronne ?) s’approche et tout en ouvrant le rideau me lance un :

- « Alors monsieur, comment vous va cet article ? »

Je lui dis qu’il est un peu juste et elle m’en amène un autre immédiatement. Celui-là me va comme taille mais la fermeture doit être cassée. La vendeuse pousse le rideau et me voit me bagarrer avec la braguette, avec ma copine à côté de moi qui essaie de m’aider.

- « Pardon, j’ai l’habitude, je vais essayer ! » Nous lance la vendeuse.

Elle se met à genoux devant moi et tente d’actionner la fermeture éclair qui résiste. Je sens ses doigts qui effleurent mon intimité et je n’ose plus bouger. Il n’y a rien à faire, et elle me dit qu’elle va en recevoir la semaine prochaine. Je me rhabille et nous sortons avec ma copine.

Je me sens très troublé par ces presque attouchements et je projete d’y retourner la semaine suivante. Le mardi, en sortant du bureau, je décide donc d’y aller pour voir si elle a reçu sa marchandise. Le temps de m’y rendre, il est presque 18 h 45. J’entre dans le magasin et la même charmante femme m’accueille avec le sourire et me reconnaît car elle me dit tout de suite qu’elle a reçu les pantalons.

Elle m’en sort un et m’invite à entrer dans la cabine pour l’essayer. Elle me dit qu’elle va boucler la porte du magasin car elle ferme dans quelques minutes et que c’est toujours à ce moment-là qu’il y a plein de gens qui viennent. Je m’excuse de la déranger à cette heure, mais elle me répond :

- « Oh non vous ce n’est pas pareil, je vous avais dit de revenir aujourd’hui « .

Je me déshabille dans la cabine, consciemment ou inconsciemment, je m’aperçois que ce matin j’ai mis un slip qui est très petit et presque transparent. Je me dis « heureusement que je n’allais pas chez le médecin ».

Je viens à peine d’enlever mon pantalon et je commence à enfiler le pantalon de lin écru, que le rideau s’ouvre avec ma vendeuse qui me dit :

- « Alors cher monsieur, comment vous va-t-il, celui-ci ? »

CE Gêné, je me dépêche d’enfiler le pantalon et je m’emmêle les pinceaux comme on dit souvent. Enfin bref, je le boutonne et je monte la fermeture éclair et là encore, ça bloque. Elle me dit « laissez-moi faire ». Elle s’agenouille devant moi et essaye de monter cette fermeture récalcitrante. Elle aussi a du mal et elle passe carrément une main à l’intérieur du pantalon et de l’autre essaie de forcer. Je suis seul avec elle et ma gêne se transforme vite en excitation. Je ne peux pas la cacher longtemps et je me mets à bander comme rarement. Je sens ma queue qui se raidit prête à exploser hors de mon slip. Elle fait celle qui ne remarque rien et me dit :

- « Bon enlevez-le je vais vous en donner un autre ! »

Elle joint le geste à la parole, le déboutonne et tire sur les jambes du pantalon pour le faire glisser.

Ce qui devait arriver, arrive. Mon slip suit en partie le pantalon et elle se retrouve avec ma queue gonflée et écarlate qui rebondit devant ses yeux.

- « Oh » me dit-elle d’un air surpris. « c’est moi qui vous fait cet effet ? »

Je lui réponds que c’est à cause de sa main en essayant de monter la braguette. Je bredouille un « désolé » mais elle ne semble pas offusquée du tout. Au contraire.

Elle pose sa main gauche sur ma cuisse et je sens sa main droite qui remonte vers mes couilles. Je me laisse faire. Elle finit de descendre mon slip de sa main gauche et commence à me caresser la queue sur toute la longueur. Elle approche sa bouche et pose quelques délicats baisers sur mon gland avant de la prendre entièrement dans la bouche. Je suis aux anges, je n’y crois pas. Cette beauté est en train de me sucer la bite et elle a l’air d’y prendre goût. Je lui maintiens la tête de peur qu’elle n’arrête, mais pas de problème elle me suce comme une reine.

Je lui dis d’arrêter car je vais jouir. Elle se redresse et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent et j’en profite pour passer mes mains sous son pull de coton. Je dégrafe rapidement le soutien-gorge et soulève le pull pour sucer ses petits seins. Le bout est très dur et elle soupire des « oh oui c’est bon » entrecoupés de soupirs.

Sans m’arrêter, ma main s’insinue sous sa jupe et je sens une petite culotte de dentelle qui est déjà très humide. Je passe un doigt puis deux vers sa chatte qui s’ouvre comme la caverne d’Ali-Baba. De mon autre main, je défais la fermeture éclair sur le côté et la jupe ne tient plus que par ma main qui s’occupe dans sa fente trempée.

Je la soulève à moitié et la fait s’asseoir sur la chaise qui est dans la cabine. Je plonge ma tête entre ses cuisses et lui bouffe sa chatte inondée. Je passe du clito à son petit trou et m’attardant entre ses lèvres gonflées. Ce coup-ci c’est elle qui me tient la tête pour me maintenir en place.

Je ne sais pas combien de temps durent ces caresses, mais je n’en peux plus, j’ai envie d’elle.

Un préservatif arrive dans ma main (Madame avait donc prémédité tout ça), je me le place vite fait. Je relève la femme qui se retourne, m’offrant la vue de son petit derrière superbe. Je me colle à elle et m’enfonce dans sa chatte. Je l’ai tellement léchée et elle a tellement joui que ça rentre tout seul. Je suis si excité et elle aussi que nous jouissons ensemble en moins de deux minutes. Nous restons collés encore une minute, puis elle se retourne et recommence à me sucer.

Je suis persuadé que je ne pourrai pas rebander tout de suite mais je ne la connais pas encore.

Elle me suce, m’aspire, pendant qu’avec une main elle me caresse les couilles et avec l’autre elle entre un puis deux doigts dans le cul. Elle est très douée car en deux minutes de ce traitement, ma queue reprend des dimensions très honorables. Elle se redresse, se retourne et m’offre son petit derrière si excitant. Je lui lèche la raie et lui titille son petit trou avec la pointe de la langue. Je lui enfonce les doigts dans la chatte et de l’autre main je lui travaille l’anus. Elle commence à gémir et à se tortiller, preuve qu’elle aime ça.

Je me relève et me présente à l’entrée de son entrée secrète. Je l’ai tellement léchée, que ça entre tout seul sans forcer. Mes mains s’agrippent à son dos, à ses seins. Les siennes me caressent les couilles qui tapent contre sa chatte et elle se caresse elle-même. Je tiens le rythme pendant cinq bonnes minutes vu qu’elle m’a déjà vidé les couilles tout à l’heure, et elle jouit dans un râle de plaisir bruyant. Je la suis de très près et je vide mon reste de foutre au fond de son cul chaud. Nous sommes restés ainsi collés au moins deux minutes tellement c’était bon.

Après un brin de toilette dans l’arrière-boutique, je suis reparti en promettant de revenir quelques jours plus tard pour réessayer un autre pantalon et surtout pour recommencer la même partie de plaisir.

Je vous raconterai dès que j’y serais allé. 

M et T Devillers septembre 2013

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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