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Nom d’un chien par Marine et Thibault
Un jour ma copine Carla, une veille gouine avec laquelle je m’amuse parfois m’a demandé si je ne pouvais pas lui rendre le service de garder son chien Mirzon pendant quelques jours car elle devait se déplacer en province.
Mirzon est un beau labrador, très doux et câlin. Chaque fois qu’il me voyait, il voulait fourrer son nez dans mon entrejambes. Je savais ce qu’était la zoophilie mais bon…
Le premier jour fut calme… Mirzon m’a suivi comme un petit chiot ainsi qu’à son habitude. Dans l’après-midi je suis allée à la salle de bains pour un petit besoin et comme j’avais la maison pour moi toute seule je n’ai pas fermé la porte de la salle de bains. Ma culotte était sur mes chevilles et la jupe mi-courte que je portais était retroussée autour de ma taille. Je fis mon pipi, et m’essuyais lorsque Mirzon vint flâner dans la salle de bains, ses grandes pattes cliquetant sur le carrelage. Il est entré, a mis sa tête sur mes genoux et a regardé fixement vers le haut avec un air bizarre, aussi j’ai commencé à lui gratter sa tête. Cela a seulement duré quelques secondes avant qu’il ne commence à essayer de flairer entre mes jambes. J’ai ri, lui ai dit que « non » et j’ai essayé d’éloigner son mufle énorme mais lui devenait plus insistant.
J’ai cessé de résister et sa truffe froide s’est avancé petit à petit de plus en plus près de ma petite ouverture serrée. Par la suite son mufle humide a trouvé ce qu’il recherchait et a reniflé plus profondément. Sa longue langue plate et ferme est sortie et m’a léché une première fois, doucement, presque comme s’il hésitait. Des frissons ont parcouru ma peau, mes mamelons instantanément sont devenus durs comme un roc. Il m’a encore lapée… et encore il a tiré des frissons de tout mon corps. C’était exceptionnel. Meilleur que n’importe quel homme n’avait pu le faire avec juste deux rapides léchages. J’ai décidé de me détendre et de lui donner une peu de latitude pour faire comme il le souhaitait.
J’ai glissé au bord du siège et j’ai laissé mes jambes s’écarter plus loin puis j’ai reposé mes mains sur mes genoux. Mirzon s’est rajusté de sorte qu’il ait pu obtenir un meilleur accès, a plié sa tête vers le bas et a commencé à lécher mon minou humide de miel. Les sensations n’étaient comparables à rien de ce que j’avais jamais éprouvé auparavant. Sa langue séparait mes lèvres serrées et s’enfonçait plus profondément à chaque poussée, en passant au-dessus de mon clitoris chaque fois. Pendant ce temps mon nectar coulait et il m’a semblé agir comme s’il voulait en trouver la source. Il fouinait de sa truffe dans ma vulve, séparant mes lèvres au plus large et envoyait sa langue dedans profondément, inquisiteur recherchant la source de mon humidité. J’ai glissé mes mains vers le haut de mes jambes et j’ai lentement dirigé mes doigts entre son lapement, régulier et persistant, et ma fente. J’ai eu quelques secondes de soulagement de la sensation constante du plaisir mais n’ai toutefois pas voulu qu’il s’arrêtât. Ainsi j’écartais mon autre jambe encore plus loin et j’utilisais mes mains pour m’ouvrir totalement et pour lui donner un accès plus commode.
Quand il a recommencé à me lécher, en raison de mon nouvel angle et de ma nouvelle position, il a balayé depuis mon anus froissé jusqu’à mon clitoris m’envoyant presque au-dessus du bord. Je n’ai pas voulu jouir pourtant cependant J’ai voulu me délecter de chaque seconde que je passais avec ce fort bel animal. Mirzon à nouveau se concentra sur mon minou et mon clitoris et à l’aide de mes doigts j’ouvrais largement mes grandes lèvres m’offrant au plus large, ainsi il a trouvé des profondeurs que je n’avais pas imaginées possibles. Ondulant sous la vague de plaisir se répandant dans tout mon corps j’ai senti l’orgasme approcher. Son museau entier était enfoui dans ma chatte, sa langue glissant profondément dans mon trou, lapant vers le haut les jus qui dégoulinaient de moi. Je ne pourrai jamais décrire l’orgasme le plus puissant de ma vie entière qui s’est brisée au-dessus de moi. Totalement arquée en arrière, j’ai gémi tellement fort que les voisins m’ont probablement entendu, et j’ai commencé à avoir des spasmes pendant que je saisissais la tête de Mirzon tandis qu’il poussait sa langue rugueuse et épaisse plus loin dans mon vagin. Le plaisir m’accablait et j’ai dû éloigner sa tête et maintenir mes jambes fermées pour le faire arrêter. Après quelques minutes, je suis redescendu des étoiles
Je viens d’avoir le plus fantastique orgasme que je n’ai jamais eu ! Et j’ai vu Mirzon se reposer là avec sa langue flânant au dehors et sa queue remuant de satisfaction..
Plusieurs heures plus tard, j’eu de nouveau envie d’aller aux toilettes pour un petit caca, cette fois ! Je m’installais sur la cuvette quand je vis débouler Mirzon.
Excitée comme un puce je lui attrapais la bite et fit en sorte que je puisse la sucer. Hum ce cylindre de chair rouge dégoulinant de jus est un vrai régal, je le suçais pendant plusieurs minutes tout en continuant à chier.
Puis je me retournais, offrais mon cul non essuyé au chien qui commença par me le lécher avant de me grimper dessus et de m’enculer comme une salope !
Mais ce que je ne savais pas, c’est que Thibault était derrière la porte et regardais par l’entrebâillement. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de mon trou du cul, il se masturbait. A la vue de la scène, il juta très vite en un rien de temps. Il attendit quelques minutes avant de rentrer dans la salle de bain.
– Salope tu te fais baiser par les chiens, maintenant ! Dit-il faussement fâché.
– Ben quoi ça change ! Et puis c’était tellement bon !
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