Mathilda Stenberg

Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 08:55

Une soirée pas si tranquille... par Mathilda Stenberg

Ninotchka

L'autre soir, j'étais seule chez moi. J'avais passé une petite soirée tranquille, en pyjama devant la télé, vous savez, l'une de ces soirées où il fait si bon de simplement paresser et perdre son temps. Le film que j'avais regardé venait de s'achever.

 

J'entamais donc la grande tournée des chaînes, histoire de voir s'il y avait encore quelque chose d'intéressant à cette heure tardive. Au hasard de mon jeu de télécommande, je tombai sur un de ces films dit érotiques. Je ne sais pas pourquoi mais contrairement à mon habitude, je n'avais pas envie de changer de chaîne. À l'écran, un jeune voyeur espionnait sa voisine très peu pudique... et en était visiblement excité. Mes pensées vagabondèrent un peu et je me figurais être cette fille, que l'on observait avec désir et envie. Cette idée provoqua une sensation de chaleur jusque dans mon sexe, comme un courant électrique parcourant mon corps fébrile.

 

Alors que mes pensées évoluaient, le film s'enchaîna sur une pause publicitaire. Un peu déçue, j'entrepris d'explorer les canaux brouillés d'où nous proviennent chaque soir des longs métrages beaucoup plus qu'érotiques. Chanceuse, je tombai sur un poste où l'image était presque parfaitement claire. À la vue de ces scènes explicites, mon excitation décupla. Sans que je m'en rende compte, ma main s'était égarée sous ma culotte et agaçait ma chatte déjà humide. Je tentais alors de modérer mon excitation. Rapidement, j'éteignis le téléviseur et me dirigeai vers la salle de bain. Là, je mouillai un gant de toilette que je pressai sur mon sexe. D'ordinaire ce petit manège tempérait mes ardeurs, mais cette fois, rien n'y fit.

 

D'un geste rageur je lançai le gant de toilette sur le comptoir et arrachais mes vêtements. L'image de mon corps dans le miroir, mes seins aux pointes dressées et mes fesses semblant appeler une caresse m'excita davantage. Je me dirigeai vers ma chambre et m'étendit, nue, sur mon lit.

 

Je m'imaginai être épiée. Au fur et à mesure que mes mains parcouraient mon corps, mon excitation grandissait. 

 

ChandelleJe me levais, me précipitais vers la salle de bain et m'emparais de la boite où je range mes pinces à linges, j'en choisi deux que je m'accrochais de suite sur la pointe de mes seins. La morsure du plastique me provoquait une douleur étrange, j'adore cette sensation. Dans ma tête je m'imaginais d'être à la merci d'un dominateur imaginaire. Il me demandait de boire ma pisse. Pourquoi pas ? Je pissais dans mon verre à dents, puis portais le verre rempli à mes lèvres, c'était de l'urine du soir, elle n'était pas trop forte, je bus tout cela cul sec.

 

Mais j'avais envie d'être encore plus cochonne, je retournais sur le lit et m'emparais du godemichet qui est dans le tiroir de la table de chevet, je le suçais un petit peu, m'imaginant qu'il s'agissait d'une bonne bite ! Mon dominateur imaginaire m'imposait maintenant de me l'enfoncer dans l'anus. Je le fit aller et venir, retardant le moment où je devrais le sortir et en constater l'état.

 

Je ressortis le gode, il était un peu sale, juste ce qu'il fallait de petites taches de merde. Je le reniflais, ça sentais un peu la merde. Alors d'un coup je me mis à le nettoyer de la langue m'imaginant là encore que je suçais une bite merdeuse qui sortait de mon trou du cul.

 

Je n'en pouvais plus, l'excitation était trop forte.

 

Je glissais deux doigts dans ma fente humide. De ces doigts, j'entrepris de titiller mon clitoris, ce petit bouton de plaisir saillant qui n'en demandait pas mieux.

 

Mon autre main continuait de parcourir les courbes de mes seins et de mes hanches, torturant au passage mes mamelons en agissant sur les pinces.

 

Tout en poursuivant mes caresses, je continuais de m'imaginer qu'un homme m'observait, excité par mes jeux si peu enfantins. Me croire ainsi observée venait combler mon petit côté exhibitionniste et poussa mon excitation à son comble. J'accélérais mes caresses et m'accordai une jouissance d'une puissance surprenante, étant donné que je m'étais débrouillée seule, comme une grande...

 

La force de ce plaisir me fit m'écraser sur mon lit, sans énergie. Je retirais les pinces et m'endormis presque aussitôt, tandis que je savourais les bons moments que je venais de me procurer...

 

Rewriting d'un texte de "Chandelle" déposé sur le site de Sophiexxx en 2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 16:37

On oublie toujours quelque chose ! par Mathilda Stenberg

coin102

La dernière fois que le nouveau facteur avait frappé à ma porte, il m'avait carrément déshabillé du regard

 

Un beau mec d'origine antillaise, souriant et jovial

 

Je ne sais pas ce qui m'a prise, mais j'ai eu envie de me l'envoyer 

 

Le facteur avait l'habitude de passer vers 8 heures du matin, et j'avais enfilé une robe de chambre légère que j'avais laissée entr'ouverte. Je ne savais pas vraiment si mon plan allait marcher, mais si je n'essayais pas, je ne saurais jamais. 

 

8 h 10, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je peux constater son air plus ou moins surpris de me voir ainsi vêtue. 

 

J'espérais pouvoir lui faire prendre un café malgré son travail. A mon grand étonnement (et plaisir surtout !), il accepta en souriant ! Son regard restait fixé sur ma poitrine dévoilée légèrement par l'habit de soie rose. Je l'ai alors invité à prendre place au salon et je suis allée préparer les cafés.

 

Je suis arrivée avec les tasses et je me suis assise de manière à laisser glisser un côté de ma robe de chambre sur ma cuisse, dévoilant alors ma jambe. J'ai aussitôt remarqué qu'il ne la quittait pas du regard. Finalement, j'ai écarté les cuisses, afin qu'il comprenne ce que je voulais précisément. 

 

Il lui fallut peu de temps pour m'enlever le vêtement de soie. J'étais alors assise sur le divan, à sa merci. Il l'avait bien compris d'ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un va-et-vient agile qui m'arrachait des gémissements. Il me leva alors, me demanda où se situait ma chambre et m'y entraina, son doigt toujours en action. J'étais excitée comme une chatte en chaleur. (c'est le cas de le dire) Il me demanda si j'aimais être prise en levrette, je lui ai crié un oui à la limite de l'orgasme. Il compris alors que j'allais jouir alors il stoppa son va-et-vient me poussa sur le lit. Il disait aimer cette technique chinoise qui consiste à pousser le plaisir jusqu'à la limite de l'orgasme et d'arrêter juste avant pour mieux jouir ensuite !!!

 

Il saisit deux foulards qui avaient eu la bonne idée de trainer ici et m'attacha les mains au barreaux du lit, mais sur le ventre, afin que je puisse être à quatre pattes. Je n'en pouvais plus, il fallait qu'il vienne en moi. Il se déshabilla et me doigta encore un peu, jusqu'à ce que mon sexe coule de délice ! Il prit alors mes seins dans ses mains et me pénétra. Il commença alors un va-et-vient lent puis accéléra. Il me bourrait alors par saccades qui m'arrachaient des cris de plaisir. Je me déhanchais pour le sentir encore mieux. 

 

J'ai alors eu un orgasme terrible j'ai hurlé de plaisir comme jamais. Il éjaculait maintenant. Et c'était tellement bon... Il me dit ensuite qu'il allait m'enculer. Mais j'ai refusé, non pas par principe, mais je craignais que sa grosse bite me fasse mal. Il m'a alors proposé de l'argent, j'hésitais encore mais il m'a assuré qu'il savait ce qu'il faisait et qu'il me ferait ça en douceur. Je lui ai donné mon accord mais j'ai réclamé l'argent,.

 

Il a sorti un billet, je lui ai dit qu'il pouvait encore faire un effort, il a sorti un second billet en me traitant de pute. Evidemment qu'en ce moment j'étais une pute puisque pour la première fois de ma vie je me faisais payer pour me faire enculer.

 

Il me doigta encore pour mouiller mon petit trou. Ji eu une appréhension quand il a commencé à s'enfoncer, du coup il m'envoya une claque sur les fesses, pas grave, j'adore les petites fessées, puis il m'a pénétré, d'un coup sec. 

16Mathilda

Il m'a traité de salope, de putain et m'a dit que je devais alors assumer lorsque j'allumais. Il avait raison. Mais j'avais mal. Mais petit à petit, mon trou se détendit et cela me procurait du plaisir. Oui, un plaisir certain. J'atteins rapidement un orgasme. Il sortit de mon cul, me détacha et me coucha sur le dos, puis il se masturba en m'envoyant son foutre sur mon visage et sur mes lunettes que je n'avais pas retirées. 

 

Il resta un moment immobile sans que je comprenne de suite pourquoi, puis il me dit qu'il aimerait me pisser dessus.

 

J'ai failli lui demander un supplément pour cette fantaisie, mais je ne voulais pas être trop gourmande, si je veux qu'il revienne et me baise il faut rester raisonnable, alors j'ai ouvert la bouche et j'ai avalé une bonne rasade de cette bonne pisse.

 

Quand je pense que je ne l'ai pas sucé ! On oublie toujours quelque chose !

 

Mathilda

 

Rewriting d'une nouvelle parue sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé "le facteur" et signée Bea

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Lundi 13 septembre 2021 1 13 /09 /Sep /2021 15:38

Fantasme inavouable par Mathilda Stenberg

coin102

Bonjour, moi, c'est Catherine. Aujourd'hui c'est mon anniversaire. Mon fils est parti en vacances chez sa grand-mère. Nous sommes seuls à la maison mon époux et moi. Seuls et plein d'idées coquines. Pour commencer, ce matin je me suis habillée sexy : moulée dans une petite robe de jersey qui souligne mes formes pleines. Mes seins sont prêts à jaillir du profond décolleté. Sous ma robe courte, je ne porte pas de culotte. C'est dans cette tenue que je prépare le brunch. En jouant à la soubrette sexy qui ondule du popotin. Dans le fauteuil en face de moi, Olivier me regarde et me fait des compliments un peu grossiers. 

 

- T'as vraiment l'air d'un pute, habillée comme ça !

- Tu crois mon chéri ?

- Oui, une morue, une poufiasse, un garage à bites.

 

C'est fou ce que j'aime la grossièreté dans certaines situations. Il relève ma robe et embrasse mes fesses.

 

- Je t'enculerais bien comme la traînée que tu es !

- Oh, oui,, mon chérie.

 

Un coup de sonnette nous tire de nos jeux érotiques.

 

- Va donc ouvrir, ma salope ! Mme dit Olivier

- Quoi ? Moi.. dans cette tenue !

- Bien sûr, quand on veut jouer les putes, il faut assumer !

 

La sonnette continue à tinter, avec insistance et je me décide à ouvrir, un peu gênée de me montrer aussi peu habillée à un inconnu.

 

Mais l'homme sur le palier n'est pas un inconnu. C'est François, un collègue de mon mari, un beau garçon pour lequel j'ai d'ailleurs un faible avoué. Un sourire aux lèvres, il me détaille. Moi je m'éclipse vite à la cuisine, sous prétexte de leur préparer des boissons. J'entends les deux hommes et je sursaute en écoutant leurs propos :.

 

- J'ai besoin de fric ces temps, alors si tu veux baiser ma femme, c'est 400 balles.

 

L'autre tente de marchander.

 

- Ecoute, c'est à prendre ou à laisser. Pour ce prix, je te la cède pendant trois heures… Tu verras, tu en auras pour ton argent !

 

Quand je les rejoins au salon, l'affaire semble conclue. Je ne sais si je vaux deux chameaux ou trois vaches laitières, mais les deux compères semblent satisfaits de leur affaire.

 

Le collègue d'Olivier soulève ma jupe et caresse ma toison. Il aurait pu demander quand même ! Je ne suis pas un objet.

 

Du coup je m'éclipse dans la cuisine, mais Olivier me rappelle trois minutes après. Je reviens donc.

 

- Je suis désolée, me dit François, je me suis laisser aller…

- C'est bon, on ne va pas en faire un plat.

- Faut dire que ton mari m'a fait une proposition farfelue et moi comme un con, j'ai prix ça au pied de la lettre.

- La proposition était sérieuse, mais j'aime bien qu'on me demande mon avis !

 

Il ne sait plus quoi dire le François ! Alors j'ajoute, très chatte.

 

- Mais si tu m'avais demandé mon avis, avant de me tripoter, j'aurais sans doute dit "oui".

- Ah ! Et maintenant tu dis quoi ?

- Je dis "oui"

- Et pour ce prix-là, elle te fera tout ce que tu veux ! surenchérit Olivier.

- Sauf ce que je ne veux pas ! Nuançais-je

 

Et pour mieux tenter son client, il relève ma jupe pour lui dévoiler mon derrière.

 

Les deux hommes se lèvent et François commence à caresser mes seins. 

 

- Top là, dit-il en tendant la main à mon mari.

- Affaire conclue.

 

Cette situation étonnante me met dans tous mes états. Mon fantasme enfin se concrétise, je suis une putain.

 

L'homme me saisit par la main et je reprends mes esprits. Je le guide dans ma chambre, jusque vers l'armoire remplie d'accessoires érotiques.

 

Je retire mes escarpins et ma robe. Nue et tremblante, je me présente devant lui. D'une main il caresse mes jolis seins, tandis que de l'autre il titille mon clitoris. Je mouille déjà et mon petit bouton durcit.

 

Il me fait monter sur le lit où je m'installe à quatre pattes. Il caresse ma croupe, il écarte mes fesses, me lèche le trou et y glisse un doigt mouillé de salive. Je frémis de plaisir. Alors doucement il y enfile un petit godemiché qu'il fait aller et venir. Puis il me demande de m'installer sur sa bonne bite en érection. L'opération est difficile. Je dois tenir le petit olisbos à l'intérieur de mon anus et en même temps m'accroupir sur son pieu. J'ai de la peine à maintenir toutes ces queues à l'intérieur, mais après quelques tâtonnements, je trouve enfin la position adéquate. L'anus rempli par le gode et la chatte travaillée par la grosse queue de François, je jouis comme une folle. Il ne tarde pas à faire de même et me tends sans un mot sa queue maculée de sperme. Je m'empresse de la nettoyer, j'adore avaler du foutre !

 

On souffle quelques minutes. Mon mari nous rejoint. Il nous apporte quelques rafraîchissements. Je suis toujours sur le lit, avec mon gode profondément planté dans le derrière. Mon mari me regarde à peine, il s'adresse à son collègue :

 

- Qu'est-ce que tu attends pour l'enculer cette chienne ?

- J'y pensais mais j'aimerais bien qu'elle me lèche le cul avant !

- T'as entendu, la pute ? Mon collègue veut que tu lui lèche le cul.

 

Il se met en levrette pour me faciliter l'accès et je lui lèche la rondelle.

 

- Quelle salope ! Quand même commente mon mari ! Elle me fait bander cette morue !

 

Du coup le voilà qui se déshabille et qui se met à se branler.

 

- Tu en as une belle queue ! Lui fait remarquer François.

- Pourquoi ? Elle t'intéresse, T'aimerais la sucer ?

- Pourquoi pas, juste un peu comme ça !

 

Je pensais qu'ils plaisantaient mais non, François prend dans sa bouche la bonne bite d'Olivier et finit par la faire cracher ! Je rêve ou quoi ?

00Catherine 

C'est mon tour de me mettre en levrette, je cambre bien mon popotin, François m'encule, il en a une plus grosse que celle de mon mari et l'introduction est légèrement douloureuse, après ça va, il me fait jouir plusieurs fois et il explose dans un spasme. 

 

Une nouvelle fois il me donne sa bite à sucer. Elle sort de mon cul, ais au point où j'en suis…

 

Mais ce n'était pas fini !

 

- Viens, on va la rafraichir ! Dit mon mari à son collègue. Non toi la pute te ne re relève pas tu nous suis à quatre pattes dans la salle de bain.

 

Et c'est en cœur qu'ils m'arrosèrent tous les deux de leur bonne pisse. Je trouve que celle de mon mari à meilleur goût que celle de François

 

Je me sens humiliée et, en même temps, je suis très ravi de ce qui vient de se passer. Depuis le temps que je voulais réaliser mon fantasme de faire la pute, mon mari me l'a fait réaliser, c'est un chou !.

 

Nous nous sommes douchés et nous sommes allé tous les trois au restaurant continuer de fêter mon anniversaire. Merci les garçons !.

 

Fin 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 08:09

Tequila par Dumigron

StampCravate

Bonjour je suis Florence, 45 ans, brune et frisée, large de fesses et de poitrine Je travaille dans un magasin de fringues où je suis la seule employée. Ma patronne, Herma en a 28, c’est une grande blonde, grande et bien faite, légèrement autoritaire. A force de faire des essayages en commun et de se retrouver à poil on a fini par se tripoter. Les tripotages sont devenus au fil des semaines de plus en plus pervers, et c’est maintenant de façon régulière que nous nous livrons à des séances de broute minou.

Nous faisions ça pendant les heures creuses du magasin. Cela était fort agréable mais nous manquions d’aise. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à mon époux qu’on allait taire de la gymnastique dans un club privé, on allait taire l’amour dans un petit studio appartenant à ma patronne.

Malgré sa relative jeunesse Herma était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minette à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Quand cela la toquait, elle n’hésitait pas à me donner des coups de badines ou de martinets sur mes fesses ou de m’accrocher des pinces sur mes tétons et sur les lèvres de ma chatte en me traitant de salope et de traînée. Parfois elle me pissait dans la bouche ou me faisait nettoyer son cul alors qu’elle venait juste d’accomplir ses besoins. Moi, j’aimais bien tout cela. J’étais sa chose, son jouet.

Un jour, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J’étais légèrement déçue mais je n’ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m’a présenté et très vite aussi j’ai eu la sensation de devenir une marchandise.

Devant les deux hommes, elle m’a fait me déshabiller en faisant valoir mon corps généreux, ma grosse poitrine et mon postérieur rebondi. J’étais gênée et honteuse. Après m’avoir bien observée sous toutes les coutures, le mari s’est approché de moi et m’a palpée en « connaisseur ».

Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s’est enfilé son gode dans le vagin. Elle avait un regard tellement lumineux qu’il me faisait presque peur.

Le mari m’a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et le trou du cul. Après avoir eu l’impression d’être un animal, j’ai eu l’impression d’être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l’ami, contrairement à ce que je m’attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, enlisant ses doigts dans ma fente et l’approfondissant.

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris. L’ami a déclaré d’une voix de docteur.

– Mon cher Paul, ta femme a raison… c’est une sacrée salope ! Elle part au quart de tour et elle mouille déjà.

C’est vrai que je mouillais et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard dur et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que son mari s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à m’astiquer la minette. Et elle m’a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirais monter l’orgasme. Je peux paraître forte mais au fond je suis une faible nature.

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J’en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemichet et en demandant à leur ami de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer des queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

J’aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n’était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n’avais qu’une envie m’éclater dans un orgasme sans fin. Les deux hommes m’ont présenté leur trou du cul, ma patronne m’a demandé de les lécher, puis d’y introduire mes doigts.

Curieuse sensation de voir ces deux mâles virils se pâmer du cul sous l’effet de mes petits doigts agiles. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand je vis Paul se redresser, se diriger vers son ami le contourner et lui sucer la queue. Quelle bande de pervers… mais je serais mal placée pour critiquer…

Quand l’ami du mari voulu satisfaire un petit besoin naturel, ma patronne lui indiqua que je pourrais très bien remplir le rôle d’un urinoir. J’ai dû ouvrir la bouche et avaler son urine tiède. Paul excitée par cette scène ne voulant pas être en reste et m’offrit à son tour son champagne intime.

f objet

La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j’étais tombée sur des baiseurs infatigables qu’une bonne pipe remettait vite d’aplomb.

Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissant dans son rôle de voyeuse, n’intervenant que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J’ai alors compris que j’étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne était moins lesbienne que moi, ce qu’elle aimait c’était me voir enfiler par ses deux amants.

Je l’ai compris et je me suis dit tant mieux. A mon âge, il faut savoir en profiter. Je suis devenue une femme objet, mais j’assume complétement et n’autorise personne à me juger !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:53

Véronique et Valérie par Mathilda Stenberg

bisou1719

En hommage aux demoiselles des Trois Rivières qui si elles lisent ce texte comprendront…

 

Montréal ! Un samedi de printemps en début d'après-midi.

 

Xavier est parti ! Parti regarder le match de hockey ! Marre du hockey ! Je suis seule depuis le début de l'après-midi et je m'ennuie. Je suis passée d'une chaîne à une autre sans trouver quoi que ce soit d'intéressant… Je zappe comme un automate dans un concentré de tomate. Je me promène dans la maison, furète, cherche sans chercher, tout est à jour, le lavage, le repassage, et je viens de passer la balayette ! Et puis mince, je ne vais pas me mettre à faire les cuivres, non ? L'autre, il ne fout rien à la cabane, si, les courses parfois, ça lui donne l'occasion d'aller reluquer le décolleté de la bouchère ! Quelle salope celle-là ! Remarquez c'est une belle femme, si j'étais un mec je ne dirais pas non, mais quelle salope quand même, dès fois elle me fait même des sourires bizarres, je voudrais bien savoir ce qu'elle a dans le crâne Elle serait un peu au deux que ça me surprendrais pas plus que ça ! 

 

Je me suis changée déjà deux fois, des jeans à la jupe, de la jupe à la robe, j'ai quitté la robe et me regarde dans le miroir ? Un joli brin de fille, peut-être bien qu'oui, peut-être bien que non, comme on dit en France du côté d'Alençon (61000) un petit peu forte, un peu forte, oui, bon, on va dire forte. Je suis en culotte et brassière (soutien-gorge en français du vieux continent), je me regarde, rectifie ma coiffure, touche mes seins, regarde mon ventre. Ma culotte est bien blanche sans tache. Mon ventre est un peu rond, mais ça me plait comme ça, les rabougris du bulbe qui prônent au nom de je ne sais quel esthétisme à la con la religion du ventre plat, me débectent, ventre plat, pourquoi pas des fesses plates, des nichons plat ? C'est eux qui ne tournent pas rond ! Tiens quelques poils qui dépassent, il faut que je me refasse le maillot. Oui plus tard. 

 

Je passe ma main sur mon pubis. Si je me mets de profil c'est vrai qu'il est bien bombé. Je suis debout devant ce miroir et m'observe sous toutes les coutures. De profil, je suis un peu cambrée, mes fesses sont bien rondes, avec ma culotte taille basse, je devine la raie de mes fesses. Et ma poitrine, un petit peu grosse, non ? On va dire grosse, alors ! Je quitte ma brassière pour mieux juger. Ronde, ferme, mais oui vraiment grosse. Et puis les aréoles brunes et les pointes qui justement…. Ne demandent qu'à…. Bon j'ai compris… Je passe la paume dessus doucement je les effleure. C'est mieux comme ça, les pointes sont ressorties un peu. Je pétris mes seins, j'aime bien, ils sont doux et puis j'ai la chair de poule quand je le fais. Mes pointes sont bien ressorties maintenant, c'est mieux. Mais ça m'a donné des idées, dommage que personne ne soit avec moi. Je quitte ma culotte, comme ça je verrais mieux. Je me lisse les poils et j'écarte les jambes pour voir ma minette. Je l'aime bien ma minette. J'ai vraiment besoin de me faire le maillot. Je m'assoie devant la glace en tailleur, lisse de nouveau mes poils, me caresse un peu l'aine et les cuisses. Passe un doigt sur mes lèvres, et effleure mon bouton. " Non, tu ne vas pas faire ça toute seule ! ". Je ne me suis plus masturbée depuis longtemps. Ça fait une éternité, ça doit faire, attendez, je réfléchis ! Oh oui ça doit bien faire une bonne semaine ! Bon, je vais chercher des ciseaux et mon rasoir afin de me le faire, ce maillot

 

Quand même, avant de me relever, je passe encore mon doigt entre mes lèvres et sur mon bouton, c'est bien agréable. Je reste un moment comme ça, c'est bon et chaud. " Allez, arrête ma fille, faut quand même pas faire plusieurs choses à la fois ! ". Je me lève, cherche le matériel dans la salle de bain. Mais où a-t-il bien pu rester ? A tous les coups c'est ma frangine ! A oui, je ne vous ai pas dis, ma petite sœur, Valérie s'est fait virer par son bonhomme, alors on l'a hébergée provisoirement, ça fait six semaines qu'elle s'incruste, elle fout un bordel pas possible et nous désorganise un max, en plus elle tourne autour de mon chum qui ne dirait pas non ! La salope ! Faut dire qu'elle est bien foutue, elle est bien mieux foutue que moi, n'empêche que c'est une salope ! Donc c'est probablement encore ma sœur qui l'a utilisée et pas remis en place. Bon j'ai plus qu'à aller fouiller dans ses affaires.

 

Je suis nue et seule dans la maison. La chambre d'ami est à l'autre bout du couloir, si quelqu'un rentre !! Mince, tant pis, j'y vais comme ça ! J'arrive à sa chambre, elle a du laissée sa télé allumée, j'entends des gémissements. C'est tout Valérie, ça ! Partir sans rien éteindre, la lumière, la télé, un vrai brouillon ambulant cette nana !. J'ouvre la porte, entre…

 

- Mince excuse-moi !!! Mais j'ai dis ça tout doucement, elle n'a pas entendue

 

Valérie est couchée sur son lit; jupe relevée, chemisier ouvert et elle se fait du bien. Je vois son bassin qui ondule, elle a un doigt dans sa chatte et elle jouit. Elle ne m'a pas vue. Je repousse la porte. A peine refermée, je l'entends qui demande :

 

- C'est toi Véronique ? 

- Heu oui, excuse-moi je croyais que tu étais sortie 

- Entre, j'avais un peu mal à la tête, alors, je suis restée là, ça va mieux maintenant

- Attends un moment, je reviens, je vais me mettre quelque chose sur le dos

- Pas la peine, après ce que tu viens de voir !!! 

 

Ah, bon ? Alors finalement elle m'avait vu ? J'ouvre la porte et passe la tête en riant. 

 

- Dis-donc tu t'emmerdes pas trop ! 

 

Valérie est toujours allongée, jambes ouvertes, et sa main sur son pubis. 

 

- Entre, viens ! 

 

Elle me fait un sourire d'ange prise en défaut. Je m'approche d'elle et m'assoie sur son lit.

 

- Ça t'a fait du bien au moins ?

 

Je lui caresse les cheveux et le front avec douceur. Finalement c'est une garce, une salope, une… tout ce que vous voudrez, mais je l'adore… , c'est ma petite sœur, mon ex-compagne de jeu, ma confidente, ma complice… 

 

- Tu es à poil ; toi aussi ? 

- Oui, je cherche le matos pour me faire le maillot. Regarde comment mes poils ont poussé, ça fait zarbi. 

 

Valérie met sa main sur mon pubis et joue avec ma toison et commente :

 

- Oui c'est vrai, ils sont longs, c'est pas comme moi, regarde j'en ai presque pas

 

Mes yeux se portent sur sa motte intégralement épilée sauf une petite touffe laissé intacte en haut du pubis. Ses lèvres sont encore entre-ouvertes, humide, je ne résiste pas au désir de la questionner sur sa masturbation solitaire :

 

- Tu le fais souvent ?

- Quand ça me prend ! Je te dis, j'avais mal à la tête, ça m'a détendue, c'est bien plus efficace qu'un cachet d'aspirine !

 

Tout en lui parlant et sans y prêter attention, j'ai posé ma main sur sa minette et passe un doigt dessus. Elle soupire et tend le bassin. Je me penche et lui embrasse le ventre. Mais sa main pousse mon visage sur son pubis et elle écarte les cuisses. Je ne sais pas si elle l'a fait exprès, mais je me suis retrouvée avec la bouche sur son minou et je l'ai léché. D'abord à peine, mais comme elle se cambre davantage, ma langue a trouvé son petit bouton et je lui ai fait un broute minou dans les règles. Elle a longtemps jouit sous ma caresse et son doigt s'est introduit en moi en faisait un va-et-vient délicieux. J'ai jouis à mon tour sous sa caresse et après avoir repris mes esprits, je l'ai grondée (en rigolant) en lui disant de ne plus recommencer ce genre de chose et en la traitant de salope 

 

- C'était pourtant bien ! Moi j'aimerais bien qu'on recommence !

 

Elle est toujours devant moi, avec sa jupe relevée à se toucher la minette. Je me suis étendue à côté d'elle pour lui expliquer qu'entre sœurs, je ne savais pas trop si ça faisait ! 

 

- Si tu savais depuis quand j'en ai envie ? Rétorque-t-elle.

- C'est pas une raison, c'est pas parce qu'on a envie de faire quelque chose qu'il faut qu'on le fasse, c'est pas moral ! 

- Moral ! Mais qu'est ce que ça vient foutre là-dedans ? Répond à cette simple question à cette unique question, On fait du mal à qui ?

- Je ne sais pas !

- Répond, il n'y a pas lieu de débattre, on est pas sur un plateau de télé, il n'y a qu'une question et qu'une réponse, on fait du mal à qui ?

- A personne, c'est vrai ! 

- Alors tu vois, viens me rouler un patounet ! 

 

Je ne le fit pas, en fait, je n'osais pas. Mais sa main ne quitte pas son pubis et je la sens toute chose à côté de moi; Un coup d'œil, elle continue la petite cochonne. Je ne dis plus rien et commence, moi aussi à me toucher doucement et discrètement. Mes gestes deviennent plus rapides, ma respiration aussi, je me doigte profondément à côté d'elle. Elle s'est levée, me regarde, me touche, me caresse et se met nue elle aussi. Je m'en fiche, l'excitation monte. Tout peut arriver, je vais jouir. Dans une demi-inconscience, je sens ses mains parcourir mon corps, se joindre à la mienne. Je retire mes doigts et les liche lui laissant la place. Elle s'active en moi et vient se mettre à califourchon sur mon corps tendu. Elle se frotte sur mes seins et je sens son petit minou humide sur ma bouche. Nous voilà en position de soixante-neuf. J'ouvre les yeux et vois ses fesses, les caresses, les malaxe. Je la liche et j'oublie qui elle est. Ses doigts ont quitté ma chatoune, je les réclame et me tends, m'arcboute. Mais à la place je sens quelque chose de froid sur mes lèvres et qui me pénètre lentement. Cette chose me remplit et mon excitation monte d'un cran. C'est énorme, et puissant, je me sens écartelée mais bien, et la chose va et vient en moi, tape au fond de ma figue. J'ai ses fesses devant moi et liche son anus. Nous ne sommes plus qu'un sexe, je lui enfonce mon doigt dans l'anus et ma langue dans sa minette serré. Elle crie et continue son va-et-vient en m'offrant son cul. Son doigt s'égare aussi sur mon anus et le pénètre. Nous jouissons ensemble comme des possédées, et nous écroulons l'une sur l'autre

 

Après un moment de répit, je la dégage de dessus moi et retire le tube de dentifrice qu'elle m'a introduit. 

 

- Petite salope, tu pourrais me faire mal avec ce truc, heureusement que je mouillais bien

 

Elle rit, se moque de moi, m'appelle la fille au dentifrice. Je l'attrape, la met sur mes genoux et la fesse mais je me fais aussi mal qu'elle et elle rit de plus belle, alors je la fesse à la volée ! Elle aime ça la salope ! 

2BL07

- Arrête ! Tu me donne envie de pisser !

- Je m'en fous ! 

 

Et je continue à taper, on rigole comme des bossues.

 

- Je te préviens, je ne peux plus me retenir ! 

- Je t'ai dit que je m'en foutais !

 

Mais c'est qu'elle le fait pour de vrai la cochonne, elle pisse, elle pisse dru, ça dégringole le long de mes jambes, ça dégouline, ça fait une flaque par terre ! 

 

- Mais c'est quoi ce bordel !

- C'est du pipi c'est pas sale !

 

Elle va pour m'essuyer avec les mains, elle a les mains pleines de pisse, et soudain sans que j'y prenne gare, elle me fout sa main maculée sur mon visage !

 

- Tiens, liche !

 

Je ne sais pas ce qui m'a pris sans doute l'excitation de l'instant, j'ai sorti mon petit bout de langue et j'ai léché un peu de ce liquide salé ! 

 

- Alors c'est comment ?

- Je peux en avoir encore !

- Je t'en prie, sers-toi, mais si tu le veux le boire à la source, allonge-toi et ouvre ta bouche ! 

 

Je suis malade, je suis folle, je suis la reine des salopes, je m'allonge, et ma frangine me pisse dans la bouche.

 

Floc ! Floc ! Floc ! C'est bon, j'avale tout, un petit peu de travers quand même, voilà que je tousse, du coup ma sœur me tape dans le dos et nous éclatons de rire à nouveau. Puis elle se tourne et dans la position ou elle est, elle me présente ses fesses, j'écarte les lobes et commence à lui forcer le petit trou. Il est humide de nos secrétions et mon doigt rentre facilement. Elle a cessé de bouger et me dit dans un souffle

 

- Continue ! 

 

Je la fais mettre à quatre pattes, jambes ouvertes, trouve une brosse au manche rond et après quelques caresses autour de son anus, j'introduis le manche en elle. Elle se cambre davantage et c'est elle qui commence le va et vient en se touchant le minou. Je me place devant elle et lui ordonne de me lécher ce qu'elle fait avec un plaisir évident et je jouis une nouvelle fois. On est restée comme cela le reste de l'après midi, à se caresser et s'aimer de toutes les façons et dans toutes les positions possibles.

 

Du bruit dans la serrure ! L'autre qui rentre !

 

- On a gagné, on leur à foutu une pâtée, et patati et patato…

Qu'est ce que j'en ai à foutre, je le laisse parler, je ne lui réponds pas et j'ai soudain une idée ! Je dis à Valérie qu'on va se doucher, puis s'habiller, puis on ira au restaurant, et après on verra, on ira peut-être à l'hôtel continuer à s'aimer sans risque de d'être dérangée par un beauf hookeylistique.

- OK ! Qui c'est qui va dans la salle de bain en premier !

- Mais, on y va ensemble andouille !

 

Mathilda Stenberg 2002

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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