Mathilda Stenberg

Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 09:32

L’âne dans le pré par Mathilda Stenberg

cheval

 

Je m’appelle Maryse, j’ai 51 ans et je vis seule, mais n’allez pas vous imaginer que je suis une vielle fille.

 

Je suis brune, j’ai quelques kilos de trop, je suis brune aux cheveux courts et il paraît que j’ai une belle poitrine. J’aime les plaisirs de la vie, les steaks bien saignants et les bites juteuses.

 

Cette histoire se déroula pendant mes vacances dans un coin perdu de la Corrèze. J’avais décidé ce jour-là de faire une grande promenade. Je m’étais vêtue d’une jolie robe imprimée à manches courtes, décolletée et descendant à mi- cuisses. Je me suis retrouvée dans un endroit partiellement boisé Je me suis dis que je trouverais peut-être des cèpes, à moins que je rencontre un jeune homme, ou même un moins jeune qui voudra passer un petit moment avec moi, après tout je suis encore tout à fait consommable !

 

Il me prend soudain une grosse envie de pisser je baise ma culotte, m’accroupis et libère ma vessie, mais voici qu’une autre envie apparaît, plus consistante, je pousse et libère un joli boudin.

 

Pas grand-chose pour m’essuyer et le kleenex se déchire, je me fous plein de merde sur les doigts, pas grave, je lèche, je connais bien ce goût, il n’est pas si mauvais.

 

Et voilà que j’arrive dans une clairière et dans la clarière devinez quoi qu’il y a ?

 

Un âne ! Une gentille bestiole toute grise.

 

– Qu’est-ce que tu fais là mon beau ? Tu broute ? Tu ne t’ennuie pas tout seul ?

 

Je le caresse, il se laisse faire, ma main passe sur le flanc et descend peut-être un peu trop bas, car voilà que s’offre à mes yeux subjugués une longue queue qui pend et une très grosse paire de couilles !

 

– Ben dis donc l’âne ! C’est moi qui te fais cet effet ? Qu’est-ce que tu bandes !

 

Je ne sais pas ce qui m’a pris mais tout d’un coup j’ai eu une envie folle de le sucer, je me suis baissée et le caressant d’abord sur le ventre, j’ai passé ma main sous lui et j’ai enserré sa pine .

 

Quelle formidable sensation ! J’ai senti ma culotte qui s’humidifiait ! Je me suis agenouillé sous lui doucement et sans prononcer un mot, j’ai commencé des va-et-vient très sensuels au niveau de sa pine. Je ne me reconnaissais pas, je n’avais jamais fait ça !

 

La bite de l’âne a immédiatement gonflé, s’est allongée et est devenue très dure, elle mesurait au moins 80 centimètres, c’était chaud et tiède une fantastique sensation !

Zoo Jany

Je me suis déshabillée complétement et j’ai frotté l’extrémité de sa bite contre mon pubis, puis j’ai approché ma bouche et j’ai passé ma langue sur ce fascinant tuyau. Je me sentais salope de lécher ainsi la bite d’un animal.

 

Tout à coup une quantité important de liquide blanc très clair au goût de rouille m’a inondé le visage et le menton coulant sur mon corps ! Je m’en badigeonnais les nichons dont les pointes avaient durcis sous l’excitation.

 

J’ai continué à le sucer en essayant de mettre tout ce que je pouvais dans ma bouche le plus profondément possible

 

Je suis allé carrément sous son ventre tout en gardant sa pine dans ma bouche c’était inouï !

 

Puis j’ai voulu tenter quelque chose, j’ai saisi le bout de sa pine, puis me retournant, je l’ai mis en contact avec mon anus. Le liquide clair qui continuait à dégouliner de son sexe m’a lubrifié l’endroit et sa pine a pu entrer de quelques centimètres.

 

Je me faisait enculer par un âne et j’étais bien…

 

– Vous faites quoi ? Vous êtes malade ?

 

Je n’ai jamais su d’où venait cette voix rocailleuse, très vite je me suis emparé de ma robe et de mes chaussures et me suis faufilé dans les fourrés. Le type continuait à maugréer sans que je comprenne ce qu’il disait.

 

J’ai laissé là-bas ma culotte et mon soutien-gorge ! Pas grave, ça se rachète !

 

Quand même quand je pense à ce con, il ne pouvait me laisser tranquille, non ? Après tout je ne faisait de mal à personne !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 09:11

Jour d’été par Mathilda Stenberg

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Ce fut un magnifique jour d’été au bord de la mer. Le climat était des plus agréable, soleil, un léger vent rafraîchissant, le sable chaud et la mer.

 

Il n’y avait pas grand monde sur la plage. Je m’étais installée à environ un mètre du bord de l’eau, étendue sur ma serviette de bain et enduite de crème solaire profitant du beau temps qui s’offrait à moi. Au bout de quelques minutes, je me décidai à aller me baigner un peu. L’eau était très bonne, ni trop froide, ni trop chaude, en somme à la température idéale pour faire trempette. Je me fis sécher un peu aux rayons du soleil.

 

Une fois que cela fut fait, je remis mon petit haut et mon paréo autour de la taille, réunis toutes mes affaires et retournai tranquillement à mon hôtel.

 

Mon grand fils de 19 ans n’était pas encore rentré et notre chien était tranquillement allongé sur le balcon. Pour éviter toute irritation causée par l’eau marine, je pris une bonne douche revigorante, m’amusant à pisser sur mes cuisses. Je poussais le vice jusqu’à recueillir un peu d’urine au bout de mes doigts avant de les lécher ! J’adore le goût de ma pisse.

 

J’enfilait un peignoir et séchai mes cheveux avant de m’allonger sur le lit. Je commençai à faire vagabonder mes pensées qui devirent rapidement plutôt obscènes. En fait j’avais envie de bite ! Je commençai donc à me caresser après avoir retiré le peignoir. J’entamais une petite masturbation qui ne tarda pas à me faire mouiller et gémir.

 

Ce sont sans doute mes cris qui attirèrent l’attention du chien, qui vint voir ce qui se passait. Je le vis à quelques centimètres de moi, ou plutôt de ma chatte. Voyant que cela l’intéressait beaucoup, je lui fit comprendre qu’il pouvait me la lécher. Chose qui fit sans problème. Hum, si vous saviez à quel point c’est bon !

 

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Puis, en regardant sa queue, je vis qu’il était excité. Je la lui tripotait pour mesurer son degré d’excitation. Elle était grosse, très grosse et bien dure. Et bien évidemment longue. Je la lui léchai un petit peu du bout de ma langue, puis, je mis ma chatte bien au bord du lit et lui fit comprendre qu’il pouvait me pénétrer. Il le fit par instinct, ce n’était pas la première fois. Il me chevaucha violemment et je me mis non pas à gémir, mais à hurler de plaisir tellement que ce fut intense. Hum, j’aime ça. C’est vraiment trop bon. Puis il s’arrêta car il avait eu un orgasme. Il me lécha encore ma chatte. Je me mis par terre et à quatre pattes en étalant ma mouille sur le trou de mon cul. Il compris ce que cela voulait dire. Il m’encula avec sa bite qui était toujours aussi grosse et dure. C’est connu, à force de se faire pénétrer à la chaîne, cela rend le plaisir encore plus intense et cela dure plus longtemps. Je gémis donc toujours autant. Cela dura au moins trois minutes, et pendant ces trois minutes, il me démonta le cul et la chatte une bonne petite dizaine de fois. Mes orifices étaient totalement à sa merci

 

Mais ce que j’ignorais, c’est que mon fils était dans l’encoignure de la porte laissé entrouverte. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de moi, il se branlait sa jolie queue. Je lui fis signe d’entrer.

 

Quand il s’avança vers le lit, l’épisode canin était terminé, mais lui, avait envie de baiser. Il me rejoignit sur le lit et se mit à me caresser avec beaucoup de douceur, en faisant rouler entre ses doigts délicats mes gros tétons durcis par le plaisir, il m’embrassa profondément Je m’emparais de sa bonne bite bien raide et la portait en bouche, Quel plaisir de sucer la bite de son fils !

 

Je lui introduis un doigt dans son petit cul, il adore ça, et le fit bouger aussi vite que possible. Cela dut lui donner des idées car à son tour il se mit à me doigter le cul. Quand il le retira, il le suça avec gourmandise, puis il vint me lécher la rondelle.

 

– Hum, j’adore le jus de ton cul, maman ! Veux-tu que je t’encule ?

– Oui, mais il faudrait peut-être que j’aille aux toilettes avant.

– Pas la peine, ça n’en sera que meilleur.

– Cochon !

– Oui maman.

 

Et mon fils m’encula avec vigueur, me provoquant des spasmes de plaisir inouïs.

 

Un moment il sortit sa bite, toute merdeuse, et je lui proposais de la lécher. Après cette petite toilette bien sympathique il revint dans mon cul et continua à pilonner jusqu’à ce qu’il jouisse.

 

A nouveau il me tendit sa bite qui cette fois était polluée à la fois par le sperme et par la merde.. Je nettoyais tout cela avant que nous nous embrassions avec passion, tandis que mes sphincters libérés lâchait une masse de matière sur le lit.

 

Je me sentais merveilleusement bien !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 09:08

Gang bang par Mathilda Stenberg

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Nous étions sorties, Caroline et moi, comme pratiquement tous les week-ends. Après être passées boire un coup dans notre bar préféré, point de ralliement avant toute soirée, nous étions allées danser en boite au « Chapeau Bleu ». La soirée se déroulait normalement. Nous avions légèrement abusé de la boisson et nous dansions comme des folles. En somme, on s’éclatait.

 

Dans un coin de la boite, il y avait un groupe de mecs pas très discrets, qui visiblement fêtaient l’enterrement de vie de garçon de l’un d’eux. Je les avais remarqués parce que certains étaient trop mignons.

 

A un moment, ils entreprirent de faire le tour de boite avec le futur marié attaché avec une corde au cou à laquelle était accroché un petit cercueil. Le but était de récolter un peu d’argent, en le plaçant dans le cercueil. Il devait également glaner le plus de bisous possibles de la part des filles.

 

Une fois arrivé vers nous, il demanda une bise à ma copine et une petite pièce. :

 

– Je me marie la semaine prochaine. Je peux avoir une dernière bise, belle inconnue ?

– Oui sans problème !

 

Et là, je lui demande de fermer les yeux. Ce qu’il fit de suite.

 

Je m’approchai de lui et l’embrassai sur une joue puis sur l’autre pour enfin finir sur la bouche.

 

Il recula, surpris par mon geste.

 

– Ça ne t’a pas plu ? Lui demandai-je.

– Si bien sûr et même plus que tu ne le penses.

 

Ensuite ils nous invitèrent toutes les deux à boire un coup avec eux. Le futur marié vint s’asseoir entre nous deux. Après deux ou trois verres de plus, on commençait vraiment à avoir la tête qui tournait. On est restées un petit moment avec eux. On chouchoutait le marié en l’embrassant de partout sur le visage, la bouche et dans le cou. J’ai aussi profité de l’occasion pour promener mes mains sur ses épaules, son ventre, son dos. J’ai également fait un très bref passage sur sa bite pour constater qu’il avait la forme. A cet instant ma copine m’a regardée avec de drôles de yeux, comme si elle était choquée.

 

Puis, la soirée a continué. Nous alternions entre la piste de danse, notre table et celle du groupe de mecs.

 

Alors que nous étions en train de prendre un nouveau verre avec eux, on nous fit une étrange proposition, probablement parce qu’ils considéraient que nous n’étions sûrement pas les plus frigides de la soirée :

 

– On souhaiterait faire une surprise au futur marié. Ça vous dirait de lui faire un strip-tease, en somme son dernier petit plaisir extra-conjugal.

– C’est-à-dire ? Précisez-nous un peu tout ça !

– On va chez Stéphane (un des mecs du groupe), et là on s’installe tous dans le salon avec lui au centre et vous commencez à lui faire un strip.

– Tu en penses quoi, Caro ?

– Non moi je ne le fais pas. Tu ne vas quand même pas y aller ?

– Je n’en sais rien. Ça pourrait être amusant. Allez lâche toi un peu. Ce sera notre secret à toutes les deux.

– Non je ne veux pas.

– Vous pouvez nous laisser un moment de réflexion ? On se concerte et on vous répondra.

 

Pendant un quart d’heure, j’ai essayé de la convaincre, mais elle avait un peu peur que ça tourne mal parce qu’ils étaient assez nombreux.

 

Vers les trois heures du mat’ la boite commença à se vider. Moi, ma décision était prise : je restais encore un peu. Caro partit me demandant de l’appeler dès le lendemain matin, pour la rassurer et aussi pour lui raconter.

 

Une fois seule, je retournai vers le groupe et m’approchai du mec qui m’avait fait la proposition.

 

– Caroline est partie ; elle ne voulait pas faire ça, mais moi je suis partante.

– Ouais super, il va être vachement surpris et content je pense.

– Seulement, je ne fais pas ça gratuitement !

 

Je m’étais dit que si je refusais, ils demanderaient à une professionnelle (il y en avait quelques-unes dans la boite) de le faire. Alors pourquoi ne me ferais-je pas payer ?

 

Il y a un petit moment de flottement avant qu’il ne demande :

 

– Combien tu voudrais ?

 

Je lui indique un prix, j’ai dû dire n’importe quoi car je ne suis pas du tout au courant des tarifs et ça a eu l’air de lui convenir.

 

Sans doute est-ce son regard de concupiscence qui me fit dire alors :

 

– Mais si on va plus loin, c’est plus cher !

 

Il me regarde autrement et reste dans le vague, sans doute s’imagine-t-il déjà en train de se faire sucer ou de me baiser.

 

– On verra sur place !

– Non, non, je veux savoir et être payée à l’avance.

– T’es une pute, alors ?

 

Touché ! Mais il a raison, sur ce coup-là je suis bien une pute.

 

– Et alors qu’est-ce que tu as contre les putes, tu es bien content de les trouver, non ? Rétorquai-je

 

Le gars s’éloigne, parle avec ses copains, puis revient. Ils sont d’accord.

 

Un peu plus tard, un premier groupe de quatre partit en voiture avec le futur marié, une autre voiture suivit avec quatre autres garçons. On me fit attendre cinq minutes et je partis avec les trois derniers de la bande.

 

Devant la porte de l’appartement, mes accompagnateurs frappèrent trois coups, c’était le signal convenu. La musique démarra et je fis mon apparition. La tête du futur marié en disait long sur sa surprise. Ils étaient tous assis d’un côté et lui était devant eux assis sur une chaise.

 

Je me suis installée devant eux et ai commencé à danser lentement et lascivement. Il a tout de suite compris pourquoi j’étais là. J’étais son cadeau.

 

J’ai dansé comme ça environ cinq minutes puis je me suis arrêtée, lui faisant croire que c’était terminé.

 

– Et voilà, m’écriai-je.

– Merci beaucoup Mathilda. Je suis très content, dit-il avec un ton hésitant.

– Ah mais tu crois que c’est fini, non je déconnais. Rasseois-toi, ça commence juste

 

Et là, je recommence à danser en me déshabillant progressivement. Une fois en sous-vêtements, je fais un peu tour de salle pour leur faire admirer mon corps à tous ces mâles en rut, puis me place devant eux par terre et commence à me trémousser. Je me mets à quatre pattes puis sur le dos les jambes bien écartées, les positions devenant de plus en plus osées.

 

C’est à ce moment que je décide de me relever et de venir près de lui. Je feins de m’asseoir sur lui, il essaie de m’attraper mais je le repousse :

 

– Hop hop ! On touche avec les yeux !

 

Il est maintenant temps de tout quitter. Je commence par le soutien-gorge, ce qui m’attire quelques applaudissements et encouragements. Je passe ensuite à ma petite culotte. Je l’enlève et c’est une véritable ovation. Je la fais tourner au-dessus de ma tête et l’apporte sous le nez du futur marié qui la renifle comme si c’était la plus suave des eaux de toilettes.

 

Puis je reprends mes gestes au sol, ce qui avait l’air de vraiment lui plaire quand j’étais à quatre pattes et surtout quand j’étais en face de lui les jambes grandes ouvertes et la chatte offerte.

 

Je m’approche de lui pour m’asseoir sur lui. Je lui attrape les mains et les pose sur mes seins, puis les fait descendre sur mes fesses. Je bouge sur lui comme si j’étais en train de m’empaler sur sa bite.

 

Les autres commencent à être également passablement excités. Je me dis en moi :

 

– Et bien ma fille, depuis le temps que tu attends ce moment, vas-y jette toi à l’eau !

 

Et c’est ce que je fis. Je m’éloignai de lui pour m’approcher du reste du groupe.

 

– Alors les gars, vous avez l’air tout endormis. Réveillez-vous, y a une petite salope à votre disposition.

 

Une fois ces paroles lâchées, c’est la cohue. Ils se lèvent tous et veulent tous me toucher.

 

– Doucement, il y en aura pour tout le monde.

 

Des dizaines de mains sur moi se promènent et m’explorent. Mes seins et mon cul sont malaxés, je suce des doigts, ma chatte est doigtée et mes seins pincés et léchés.

 

Je leur demande de se déshabiller tous. Un des mecs va dans le couloir et revient avec des boites de préservatifs

 

– Placez-vous les uns à côté des autres, je vais vous sucer à la chaîne avec le marié en dernier !

 

A chaque fois que j’en suçais un, je branlais en même temps les deux qui étaient de chaque côté de lui. J’en profitais pour les compter, ils étaient 11 !

 

Je me suis bien évidemment attardée sur le marié. Dans le groupe, il y en avait trois dont deux blacks qui avaient des queues superbes et très grosses avec lesquelles je me suis régalée.

 

Ensuite, ils décidèrent de me baiser en levrette à tour de rôle. Une espèce d’organisation informelle s’était installée. En quelque sorte une ronde, où régulièrement les mecs se décalaient d’un rang.

 

Puis ils me posèrent sur le dos sur le canapé et me prirent là aussi chacun à leur tour, avant de commencer à m’enculer en levrette. Les coups de bites devenaient de plus en plus violents, me défonçant littéralement le cul.

 

Puis vint le moment des doubles pénétrations. J’empalais ma chatte sur un mec couché sur le dos, pendant qu’un autre m’éclatait le cul. Puis on inversa, et ce fut celui qui était couché qui m’enculait, l’autre me labourant la cramouille.

 

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Les autres n’oubliaient pas de me remplir la bouche et les mains. Mais, je le sentais bien, un coup se préparait.

 

Les trois mecs qui étaient très bien montés s’étaient concertés et ce qui devait arriver arriva : ils se mirent tous les trois autour de moi, les autres restant un peu à l’écart. Ils les avaient surnommés « pine d’ours », « couilles d’éléphant » et « bite de cheval », je crois bien. Ils les encourageaient. Ils me prirent en sandwich à tour de rôle, le troisième s’invitant dans ma bouche. Je dois le reconnaître, depuis cette fois-ci, j’ai peu de fois été défoncée aussi fort, aussi longtemps et aussi bien.

 

Les autres étaient comme fous. Ils me traitaient de tous les noms. Les mots crus pleuvaient à flots.

 

Puis, ils jouirent quasiment tous les trois en même temps sur mon visage. Alors les autres revinrent me reprendre dans d’innombrables positions.

 

J’étais un véritable objet entre leurs mains. Ils me bougeaient et manipulaient dans tous les sens, parfois même avec un peu de brutalité.

 

Ils finirent par m’offrir un véritable déluge de sperme sur mon visage, mes seins et dans ma bouche.

 

Quand je vis l’un d’eux qui avait déchargé pointer sa queue demi-molle vers moi, je compris qu’il allait me pisser dessus. Je l’encourageai du regard et ouvrit la bouche. Je bus sa bonne pisse bien chaude avec gourmandise. D’autres l’imitèrent. J’avais le visage maculé de sperme et d’urine.

 

Quand je me rendis dans la salle de bains et que je vis mon visage, j’eus un sourire de satisfaction. J’avais enfin réalisé l’un de mes fantasmes les plus chers. J’étais épuisée et j’avais un peu mal au cul et à la chatte. Ils m’avait baisée pendant plus de deux heures.

 

Il était sept heures du matin passées.

 

Quand je revins dans le salon, ils étaient presque tous rhabillés et mes affaires étaient sur le canapé. Pendant, que je remettais mes vêtements, je voyais bien qu’ils se marraient en se foutant de moi. Puis un des mecs lâcha :

 

– T’es vraiment une petite pute, toi. Tu t’es fait éclater comme une salope que tu es et tu en es heureuse.

– Oui, c’est vraiment une garce, lui répondit un autre.

 

Je pris cela comme un compliment. Cela voulait certainement dire qu’ils étaient satisfaits de ma prestation.

 

Avant de partir, l’un des mecs s’approcha en me tendant un bout de papier.

 

– Mathilda, tu peux nous donner tes coordonnées ?

– Non, mais je viens régulièrement au « Chapeau Bleu ». Vous pourrez me trouver !

 

Puis je suis partie. Une fois arrivée chez moi, je me suis couchée, éreintée mais satisfaite. C’est vers midi que le téléphone sonna. C’était Caroline.

 

– Salut Mathilda, Alors tu es rentrée ?

– Oui ça y est. Je peux te dire que tu as loupé quelque chose de fantastique cette nuit.

– Ah oui, ça s’est passé comment ?

 

Je lui racontai tout dans les moindres détails. Elle n’en croyait pas ces oreilles. J’ai l’impression qu’elle pensait que j’étais folle d’avoir fait ça.

 

Elle me conseilla de faire attention à moi, et je la réconfortai sur les risques.

 

– Je n’en reviens pas que tu te sois fait payer, que tu aies fait la pute !

– Ça m’est venu spontanément, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ?

– Tu vas les revoir ?

– Je n’en sais rien, ils savent où me trouver !

– Ça me fait réfléchir ton truc !

– Hé, hé !

 

 

 

(À suivre, peut-être)

 

Mathilda Stenberg (qui remercie Mélanie au passage)

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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:59

Fautes de copines par Mathilda Stenberg

 

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Faute de copines..

 

Katia est une jeune et jolie coquine

Qui ce soir-là attendait ses deux copines

La première est Paula une grande blackette

Qui parfois sent un peu fort de la minette

L’autre se prénomme Angela, elle est rousse

Elle aime les chattes baveuses, les chips et les mousses

On s’était fait un plan gamahuchage lesbos

On avait prévu des bières et des olisbos

Je me suis mise toute nue pour gagner du temps

Juste un kimono qui s’ôte facilement

Le téléphone sonne, au bout, c’est Paula

« La voiture est en panne On ne sera pas là

Remettons alors à une fois prochaine

Je propose par exemple dans une semaine »

Je peste, je rage, je vocifère, j’ai la haine

Moi qui mouillais déjà comme une fontaine

Karli c’est mon chien à moi, mon beau labrador

Je le prends à témoin, lui dit que je l’adore

On dirait qu’il comprend la raison de mon émoi

Il remue sa queue en cadence et vient vers moi

Il s’approche tout près de mes douces cuisses

Et veut de sa langue, me lécher mes orifices

Mon petit trou du cul ou bien ma jolie chatte

Impertinent canin ! Donne-moi plutôt la patte

Mais non c’est bien de me lécher qu’il veut faire

Alors, qu’à cela ne tienne, je n’en mourrais guère

Sa large langue qui frétille est diabolique

Il me fait jouir telle une nonne lubrique

Sa grosse bite bande de joie et m’attire

Ma main s’y égare, je la fais reluire

Allons jusqu’au bout et folie pour folie

Ma voici en train de lui lécher le zizi

Concluant en beauté, me mettant en levrette

Voilà qui me pénètre de sa grosse quéquette.

Moralité

Un bon chien vaut mieux que deux tu l’auras

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:55

Essai gothique et inclassable par Mathilda De Saint-Cloud aka Mathilda Stenberg

 

Batgirl

A la suite d’une folle nuit un peu (pas mal) S.M., je me suis réveillée toute cloutée de partout dans cette grande pièce située au sous-sol de la maison de Jessica !

Je me suis dit que j’étais devenue à présent la reine des clous :

 

Ma vocation était là ! J’allai voir ma tante, (celle qui à du fric) et lui dis que j’avais un grand projet d’entreprise lié aux start-up et à la nouvelle économie !

 

Je n’allais pas, bien sûr lui dire que je voulais en fait, acheter un studio pour faire du sado avec les masos et me procurer aussi tout le matériel qui va avec…

 

Je mis un bon mois à m’occuper de tout cela et quand ce fut fin prêt, je me fis faire des cartes de visites, et passai des annonces dans la presse spécialisée.

 

A cause de mes clous : j’avais pris comme pseudonyme :

 

MATHILDA DE SAINT-CLOUD

 

Puis vint mon premier client, un beau monsieur un peu timide et très pale de visage, qui avait beaucoup d’argent ! Il s’appelait Paul.

C’est là que je m’aperçus que par manque d’expérience je ne me contrôlais pas. J’y allai trop fort et le type s’évanouit. J’essayai de lui faire respirer des sels mais peine perdue : il était dans le coltard ! Alors j’appelai une ambulance. En attendant cette dernière, je me dis quand même, que je pourrais lui vider son portefeuille. Je le fis ! Sans aucune vergogne !

 

5 minutes après, l’ambulance arrivait (pin-pom ! pin-pom !)

 

L’ambulancier était un bel homme barbu au teint mat, je me souviens qu’il se prénommait Denis et qu’il y avait avec lui un autre type d’origine asiatique. J’allai leur désigner la victime quand il se passa quelque chose d’extraordinaire. Paul, mon client tel un vampire que l’on réveille se redressa soudain et prononça ces mots en pointant un doigt accusateur :

 

– Emmenez-là ! Elle est complètement folle !

 

Il se créa une belle confusion ! Paul se jeta sur moi, et me mordit violemment au niveau du cou !

 

Les 2 ambulanciers renonçant à comprendre, nous ceinturèrent tous les deux, nous immobilisèrent à l’aide de camisoles de force et nous emmenèrent chez les fous !

 

Je restai 6 mois à l’asile d’aliénés ! On m’a retiré tous mes piercings ! J’ai d’abord hurlé qu’ils n’avaient pas le droit ! J’ai pleuré comme une malheureuse petite fille à qui on retire ses pauvres jouets. Et puis on est venu m’expliquer que ce n’était pas beau ! Mais qui sont ces gens qui savent mieux que les autres ce qui est beau et ce qui ne l’est pas ? Le pire c’est que quelques semaines plus tard, je me rendis à leurs arguments ! Ils sont vraiment très forts !

 

Après ma libération, je crus devoir faire une visite d’amitié à Jessica, ne serait-ce que pour la remercier de m’avoir laissé tomber pendant 6 mois. Elle fut surprise de me voir décloutée et me proposa de me les remettre :

 

– Des clous ! lui ai-je répondu !

 

Et avant qu’elle ait le temps de dire ouf, je la mordis au cou de la même façon que Paul m’avait mordue.

 

Je suis rentrée à la maison et là j’ai compris que mon destin était dorénavant tracé.

 

Je sais à présent qu’une nouvelle génération de vampires a fait surface, qu’ils sont toujours aussi assoiffés de sang, mais surtout de sperme. Ils peuvent être partout, affamés et insatiables. Et si je parle de cela c’est parce que je sais maintenant que j’en suis un ! (je devrais dire une !)

 

Et il me faudra toujours rechercher mes victimes !

 

Mes victimes !

 

– Toi qui me lis en ce moment, tu en seras une bonne, toi !

 

– Laisse-toi faire !

 

Alors suis-moi, nous entrons dans ma crypte. Je te laisserai fantasmer sur moi alors que je serais partie me préparer. Je reviendrai vêtue d’une robe en latex moulante mauve. Je commencerai par t’embrasser langoureusement, nos langues ne feront plus qu’une. Pour te mettre en mon pouvoir, je te mordillerai les oreilles, te les lècherai. T’embrasserai de nouveau. Je descendrai tout doucement. J’arrête à la hauteur de tes couilles, je les lèche tout doucement. Je prends tes deux boules en ma bouche. Je joue avec ma langue et tes couilles.

 

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Puis je m’enfonce ton pieu jusqu’au fond de ma gorge, puis je remonte et descends et remonte à une vitesse inimaginable puisque je suis surhumaine. Tu ne peux plus te retenir tu me gicles dans la face, puis je lèche le tout sans en laisser. Je te laisse te reposer un peu pendant que je m’envole juste au-dessus de toi. Je commence à entrer un doigt puis deux et je commence mon mouvement de va et vient sous tes yeux. Mon jus coule dans ta figure. Puis peu à peu ton érection reprend. J’en profite pour me laisser tomber directement sur ton pieu. Toi, tu cries de douleur et moi de jouissance. Je commence par monter lentement et redescendre.

Je bouge de plus en plus vite. De plus en plus vite. De plus en plus vite. En un rien temps tu me gicles en dedans. Je décidai de te nettoyer la bite, je la léchai. Et pour finir par le dessert, je te pissai dessus. Et toi qui avais vu tous les vampires au cinéma, tu n’avais pas encore compris que les Dracula, les Nosfératu, les Blacula, les Bartosy avaient aussi parfois envie de pisser !

Je te laisse sombrer dans l’inconscience. Demain nous serons deux à rechercher une victime.

 

Une victime !

 

– Toi qui me lis en ce moment,  tu en serais une bonne, toi. !

 

– Laisse-toi faire !

 

– …Et quand ça s’arrêtera ?

 

– … Jamais !

 

 

 

Mathilda

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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