Gang bang par Mathilda Stenberg
Nous étions sorties, Caroline et moi, comme pratiquement tous les week-ends. Après être passées boire un coup dans notre bar préféré, point de ralliement avant
toute soirée, nous étions allées danser en boite au « Chapeau Bleu ». La soirée se déroulait normalement. Nous avions légèrement abusé de la boisson et nous dansions comme des folles. En somme,
on s’éclatait.
Dans un coin de la boite, il y avait un groupe de mecs pas très discrets, qui visiblement fêtaient l’enterrement de vie de garçon de l’un d’eux. Je les avais
remarqués parce que certains étaient trop mignons.
A un moment, ils entreprirent de faire le tour de boite avec le futur marié attaché avec une corde au cou à laquelle était accroché un petit cercueil. Le but était
de récolter un peu d’argent, en le plaçant dans le cercueil. Il devait également glaner le plus de bisous possibles de la part des filles.
Une fois arrivé vers nous, il demanda une bise à ma copine et une petite pièce. :
– Je me marie la semaine prochaine. Je peux avoir une dernière bise, belle inconnue ?
– Oui sans problème !
Et là, je lui demande de fermer les yeux. Ce qu’il fit de suite.
Je m’approchai de lui et l’embrassai sur une joue puis sur l’autre pour enfin finir sur la bouche.
Il recula, surpris par mon geste.
– Ça ne t’a pas plu ? Lui demandai-je.
– Si bien sûr et même plus que tu ne le penses.
Ensuite ils nous invitèrent toutes les deux à boire un coup avec eux. Le futur marié vint s’asseoir entre nous deux. Après deux ou trois verres de plus, on
commençait vraiment à avoir la tête qui tournait. On est restées un petit moment avec eux. On chouchoutait le marié en l’embrassant de partout sur le visage, la bouche et dans le cou. J’ai aussi
profité de l’occasion pour promener mes mains sur ses épaules, son ventre, son dos. J’ai également fait un très bref passage sur sa bite pour constater qu’il avait la forme. A cet instant ma
copine m’a regardée avec de drôles de yeux, comme si elle était choquée.
Puis, la soirée a continué. Nous alternions entre la piste de danse, notre table et celle du groupe de mecs.
Alors que nous étions en train de prendre un nouveau verre avec eux, on nous fit une étrange proposition, probablement parce qu’ils considéraient que nous n’étions
sûrement pas les plus frigides de la soirée :
– On souhaiterait faire une surprise au futur marié. Ça vous dirait de lui faire un strip-tease, en somme son dernier petit plaisir extra-conjugal.
– C’est-à-dire ? Précisez-nous un peu tout ça !
– On va chez Stéphane (un des mecs du groupe), et là on s’installe tous dans le salon avec lui au centre et vous commencez à lui faire un strip.
– Tu en penses quoi, Caro ?
– Non moi je ne le fais pas. Tu ne vas quand même pas y aller ?
– Je n’en sais rien. Ça pourrait être amusant. Allez lâche toi un peu. Ce sera notre secret à toutes les deux.
– Non je ne veux pas.
– Vous pouvez nous laisser un moment de réflexion ? On se concerte et on vous répondra.
Pendant un quart d’heure, j’ai essayé de la convaincre, mais elle avait un peu peur que ça tourne mal parce qu’ils étaient assez nombreux.
Vers les trois heures du mat’ la boite commença à se vider. Moi, ma décision était prise : je restais encore un peu. Caro partit me demandant de l’appeler dès le
lendemain matin, pour la rassurer et aussi pour lui raconter.
Une fois seule, je retournai vers le groupe et m’approchai du mec qui m’avait fait la proposition.
– Caroline est partie ; elle ne voulait pas faire ça, mais moi je suis partante.
– Ouais super, il va être vachement surpris et content je pense.
– Seulement, je ne fais pas ça gratuitement !
Je m’étais dit que si je refusais, ils demanderaient à une professionnelle (il y en avait quelques-unes dans la boite) de le faire. Alors pourquoi ne me ferais-je
pas payer ?
Il y a un petit moment de flottement avant qu’il ne demande :
– Combien tu voudrais ?
Je lui indique un prix, j’ai dû dire n’importe quoi car je ne suis pas du tout au courant des tarifs et ça a eu l’air de lui convenir.
Sans doute est-ce son regard de concupiscence qui me fit dire alors :
– Mais si on va plus loin, c’est plus cher !
Il me regarde autrement et reste dans le vague, sans doute s’imagine-t-il déjà en train de se faire sucer ou de me baiser.
– On verra sur place !
– Non, non, je veux savoir et être payée à l’avance.
– T’es une pute, alors ?
Touché ! Mais il a raison, sur ce coup-là je suis bien une pute.
– Et alors qu’est-ce que tu as contre les putes, tu es bien content de les trouver, non ? Rétorquai-je
Le gars s’éloigne, parle avec ses copains, puis revient. Ils sont d’accord.
Un peu plus tard, un premier groupe de quatre partit en voiture avec le futur marié, une autre voiture suivit avec quatre autres garçons. On me fit attendre cinq
minutes et je partis avec les trois derniers de la bande.
Devant la porte de l’appartement, mes accompagnateurs frappèrent trois coups, c’était le signal convenu. La musique démarra et je fis mon apparition. La tête du
futur marié en disait long sur sa surprise. Ils étaient tous assis d’un côté et lui était devant eux assis sur une chaise.
Je me suis installée devant eux et ai commencé à danser lentement et lascivement. Il a tout de suite compris pourquoi j’étais là. J’étais son cadeau.
J’ai dansé comme ça environ cinq minutes puis je me suis arrêtée, lui faisant croire que c’était terminé.
– Et voilà, m’écriai-je.
– Merci beaucoup Mathilda. Je suis très content, dit-il avec un ton hésitant.
– Ah mais tu crois que c’est fini, non je déconnais. Rasseois-toi, ça commence juste
Et là, je recommence à danser en me déshabillant progressivement. Une fois en sous-vêtements, je fais un peu tour de salle pour leur faire admirer mon corps à tous
ces mâles en rut, puis me place devant eux par terre et commence à me trémousser. Je me mets à quatre pattes puis sur le dos les jambes bien écartées, les positions devenant de plus en plus
osées.
C’est à ce moment que je décide de me relever et de venir près de lui. Je feins de m’asseoir sur lui, il essaie de m’attraper mais je le repousse :
– Hop hop ! On touche avec les yeux !
Il est maintenant temps de tout quitter. Je commence par le soutien-gorge, ce qui m’attire quelques applaudissements et encouragements. Je passe ensuite à ma petite
culotte. Je l’enlève et c’est une véritable ovation. Je la fais tourner au-dessus de ma tête et l’apporte sous le nez du futur marié qui la renifle comme si c’était la plus suave des eaux de
toilettes.
Puis je reprends mes gestes au sol, ce qui avait l’air de vraiment lui plaire quand j’étais à quatre pattes et surtout quand j’étais en face de lui les jambes
grandes ouvertes et la chatte offerte.
Je m’approche de lui pour m’asseoir sur lui. Je lui attrape les mains et les pose sur mes seins, puis les fait descendre sur mes fesses. Je bouge sur lui comme si
j’étais en train de m’empaler sur sa bite.
Les autres commencent à être également passablement excités. Je me dis en moi :
– Et bien ma fille, depuis le temps que tu attends ce moment, vas-y jette toi à l’eau !
Et c’est ce que je fis. Je m’éloignai de lui pour m’approcher du reste du groupe.
– Alors les gars, vous avez l’air tout endormis. Réveillez-vous, y a une petite salope à votre disposition.
Une fois ces paroles lâchées, c’est la cohue. Ils se lèvent tous et veulent tous me toucher.
– Doucement, il y en aura pour tout le monde.
Des dizaines de mains sur moi se promènent et m’explorent. Mes seins et mon cul sont malaxés, je suce des doigts, ma chatte est doigtée et mes seins pincés et
léchés.
Je leur demande de se déshabiller tous. Un des mecs va dans le couloir et revient avec des boites de préservatifs
– Placez-vous les uns à côté des autres, je vais vous sucer à la chaîne avec le marié en dernier !
A chaque fois que j’en suçais un, je branlais en même temps les deux qui étaient de chaque côté de lui. J’en profitais pour les compter, ils étaient 11 !
Je me suis bien évidemment attardée sur le marié. Dans le groupe, il y en avait trois dont deux blacks qui avaient des queues superbes et très grosses avec
lesquelles je me suis régalée.
Ensuite, ils décidèrent de me baiser en levrette à tour de rôle. Une espèce d’organisation informelle s’était installée. En quelque sorte une ronde, où
régulièrement les mecs se décalaient d’un rang.
Puis ils me posèrent sur le dos sur le canapé et me prirent là aussi chacun à leur tour, avant de commencer à m’enculer en levrette. Les coups de bites devenaient
de plus en plus violents, me défonçant littéralement le cul.
Puis vint le moment des doubles pénétrations. J’empalais ma chatte sur un mec couché sur le dos, pendant qu’un autre m’éclatait le cul. Puis on inversa, et ce fut
celui qui était couché qui m’enculait, l’autre me labourant la cramouille.
Les autres n’oubliaient pas de me remplir la bouche et les mains. Mais, je le sentais bien, un coup se préparait.
Les trois mecs qui étaient très bien montés s’étaient concertés et ce qui devait arriver arriva : ils se mirent tous les trois autour de moi, les autres restant un
peu à l’écart. Ils les avaient surnommés « pine d’ours », « couilles d’éléphant » et « bite de cheval », je crois bien. Ils les encourageaient. Ils me prirent en sandwich à tour de rôle, le
troisième s’invitant dans ma bouche. Je dois le reconnaître, depuis cette fois-ci, j’ai peu de fois été défoncée aussi fort, aussi longtemps et aussi bien.
Les autres étaient comme fous. Ils me traitaient de tous les noms. Les mots crus pleuvaient à flots.
Puis, ils jouirent quasiment tous les trois en même temps sur mon visage. Alors les autres revinrent me reprendre dans d’innombrables positions.
J’étais un véritable objet entre leurs mains. Ils me bougeaient et manipulaient dans tous les sens, parfois même avec un peu de brutalité.
Ils finirent par m’offrir un véritable déluge de sperme sur mon visage, mes seins et dans ma bouche.
Quand je vis l’un d’eux qui avait déchargé pointer sa queue demi-molle vers moi, je compris qu’il allait me pisser dessus. Je l’encourageai du regard et ouvrit la
bouche. Je bus sa bonne pisse bien chaude avec gourmandise. D’autres l’imitèrent. J’avais le visage maculé de sperme et d’urine.
Quand je me rendis dans la salle de bains et que je vis mon visage, j’eus un sourire de satisfaction. J’avais enfin réalisé l’un de mes fantasmes les plus chers.
J’étais épuisée et j’avais un peu mal au cul et à la chatte. Ils m’avait baisée pendant plus de deux heures.
Il était sept heures du matin passées.
Quand je revins dans le salon, ils étaient presque tous rhabillés et mes affaires étaient sur le canapé. Pendant, que je remettais mes vêtements, je voyais bien
qu’ils se marraient en se foutant de moi. Puis un des mecs lâcha :
– T’es vraiment une petite pute, toi. Tu t’es fait éclater comme une salope que tu es et tu en es heureuse.
– Oui, c’est vraiment une garce, lui répondit un autre.
Je pris cela comme un compliment. Cela voulait certainement dire qu’ils étaient satisfaits de ma prestation.
Avant de partir, l’un des mecs s’approcha en me tendant un bout de papier.
– Mathilda, tu peux nous donner tes coordonnées ?
– Non, mais je viens régulièrement au « Chapeau Bleu ». Vous pourrez me trouver !
Puis je suis partie. Une fois arrivée chez moi, je me suis couchée, éreintée mais satisfaite. C’est vers midi que le téléphone sonna. C’était Caroline.
– Salut Mathilda, Alors tu es rentrée ?
– Oui ça y est. Je peux te dire que tu as loupé quelque chose de fantastique cette nuit.
– Ah oui, ça s’est passé comment ?
Je lui racontai tout dans les moindres détails. Elle n’en croyait pas ces oreilles. J’ai l’impression qu’elle pensait que j’étais folle d’avoir fait ça.
Elle me conseilla de faire attention à moi, et je la réconfortai sur les risques.
– Je n’en reviens pas que tu te sois fait payer, que tu aies fait la pute !
– Ça m’est venu spontanément, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ?
– Tu vas les revoir ?
– Je n’en sais rien, ils savent où me trouver !
– Ça me fait réfléchir ton truc !
– Hé, hé !
(À suivre, peut-être)
Mathilda Stenberg (qui remercie Mélanie au passage)
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