Mathilda Stenberg

Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:50

Draculot et Pinocchio par Mathilda Stenberg

 

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Bonjour. Je m’appelle Mathilda j’ai 26 ans, je mesure 1,65 m, je pèse 60 kg, je suis brune à la peau claire, mes mensurations sont 95-70-85 et je porte des lunettes à monture épaisse.

 

Lors d’une sortie en boîte avec des amies nous avons fait la connaissance de deux garçons. Nous avons dansé, discuté et échangé adresses et téléphones. Un soir l’un d’eux, Fernand, m’a appelée et demandé si je voulais boire un coup en fin d’après-midi avec lui. Je lui ai répondu que oui. Il m’a donné rendez-vous dans un café du quartier Latin. Nous avons parlé de tout et de rien puis au bout d’une demi-heure il m’a proposé de faire un tour chez lui.

 

La stratégie du dernier verre, je connais bien, mais Fernand, malgré la différence d’âge (il en avouait 39 mais devait en avoir plus) était fort attirant et j’acceptai l’offre sans problème. Son appartement est décoré avec goût, il me dit travailler dans le show-biz, il y en a qui ont de la chance ! Il met de la musique classique, tamise les lumières, on boit un verre et il commence à devenir entreprenant, mais je me laisse faire.

 

Un moment son portable sonne, il se lève pour répondre. Il ne fut pas long, mais en revenant il ouvrit son ordinateur… En voilà un comportement qu’il est bizarre !

 

– Viens voir c’est marrant ! Un copain vient de m’appeler pour me donner le nom d’un site, il parait qu’il s’en passe des bonnes.

 

Allons bon, je ne suis pas vraiment venue pour surfer sur Internet, mais que voulez-vous…

 

Le site en question est en fait un site de chat. Je m’installe à côté de Fernand, il nous inscrit tous les deux sous des pseudos. Il y a plein de mecs qui cherchent des plans cul : il y a ceux qui ne cherchent rien mais qui fantasment à mort, il a aussi des hommes avec des pseudos féminins qui finissent par se faire repérer car ils n’ont pas l’habitude d’accorder les mots au féminin.

 

On s’est branchés assez rapidement avec un dénommé Draculot, qui était assez délirant dans ses propos et comme quelques imbéciles venaient parasiter notre conversation nous avons rejoint un » salon privé ».

 

Et là, le gars devient très direct :

 

– On cherche un couple pour s’amuser une heure ou deux, on est deux mecs sympas.

– Vous êtes où ? Demande Fernand.

– Paris 5ème.

– On n’est pas très loin ! On peut avoir l’adresse ?

– Non, je ne donne pas d’adresse, mais pointez-vous devant le bistrot « Le Bar Hautes Chaises » Place Maubert. J’irai vous chercher, vous pouvez être là à quelle heure ?

– Dans 20 minutes.

 

Je suis un peu dubitative, mais Fernand m’explique que déjà il y a une chance sur deux pour que ce soit bidon, et que ce rendez-vous secondaire permettra de voir à qui nous avons affaire et de ne pas s’embarquer dans une aventure hasardeuse.

 

– Ils ont quitté le « chat », c’est bon signe ! Me confie Fernand en me laissant « garder l’appartement ».

 

Une demi-heure après, il revenait avec les deux types. Oups ! Bonnes bouilles, mais ils ont tous les deux la cinquantaine. On se présente. De Draculot nous ne connaitrons que son pseudo et son complice se fait appeler Pinocchio.

 

Nous avons commencé par prendre un verre, mais ce protocole (obligatoire ?) fut assez vite expédié..

 

– On fait quoi, on se met à poil ? Demanda Draculot qui sans attendre de réponse commença à se déshabiller. Pinocchio en fit de même. Ils avaient tous les deux une très belle bite. Mais j’étais un peu déroutée, attendant la réaction de Fernand pour réagir.

 

Fernand se déshabilla à son tour… Je me lançai donc à l’eau en retirant à mon tour mes vêtements mais sans me presser. Pendant ce temps Fernand s’était approché de Draculot et lui tripotait la bite. Je rêve ! Tous ces mecs seraient donc à voile et à vapeur ! Mais je n’étais pas au bout de mes surprises car bientôt Fernand se mit à sucer la bite du type. Et c’est qu’il avait l’air d’aimer ça, l’animal ! Pinocchio vint alors vers moi et entreprit de me retirer mon soutien-gorge, je me laissai faire, il avait l’air tout content de découvrir mes seins et se mit à les soupeser et à les tripoter. Il passa sa langue autour de mes mamelons qui se dressèrent. C’est bien la première fois que je me faisais peloter par un papy grisonnant !.

 

Ma main se dirigea vers son sexe et je le branlai un petit peu. Il se laissa faire pendant quelques instants, puis me demanda de le sucer. Sa bite sentait un peu la pisse et me fit venir à l’esprit quelques souvenirs plutôt salaces.

 

Nous avons sucé ces deux vieux cochons pendant quelques minutes, chacun le sien.

 

Puis soudain je vois que ça bouge à côté de moi, Fernand s’est relevé, Draculot prend une capote et se la met sur la queue. Ils ne vont quand même pas ? Ben si ! Fernand se retourne ! Quelle jolies fesses il a, celui-ci, j’aimerais bien les lui lécher, mais je pense que j’en aurai tout à l’heure l’occasion, la soirée n’est pas terminée…

 

Pendant que je regarde ces préparatifs, Pinocchio est venu s’accroupir entre mes jambes et me débarbouille la chatte avec sa langue, j’adore quand on me fait des trucs comme ça !

 

Draculot lèche la rosette de Fernand, le doigte (« un doigt, deux doigts…que c’est bon quand ça passe par là » comme le dit la chanson). Laquelle chanson se poursuit « Un doigt je suis heureux, mais sentir venir une bonne queue, c’est encore bien mieux ! » Et c’est exactement ce qui se passe : l’ami Fernand se fait enculer sur l’air du Boléro de Ravel ! (attention ça dure 17 minutes !)

 

– Et moi, alors ? M’écriai-je en soutenant le regard de Pinocchio.

– Tu voudrais que je t’encule ?

– Oui, je voudrais bien !

– Chère madame, vos désirs sont des ordres, présentez moi vos jolies fesses !

– Voilà ! Dis-je en me retournant, ces présentations vous conviennent-elles ?

– Je crois que je vais approfondir la question !

– Oh, oui vas-y approfondis moi !

 

Ce qu’il fit, et c’est parti pour une séance de pistonnage intensif. C’est qu’il a de l’endurance le Pinocchio, il ne fait pas semblant, il assure, et mon plaisir se diffuse partout dans mon ventre, je finis par hurler telle une louve une nuit de chaleur..

 

– Les voisins ! Les voisins ! S’inquiète Fernand.

 

Il est trop grave ce mec, de s’inquiéter des réactions du voisinage pendant qu’on l’encule !

 

Et puis tout d’un coup, Pinocchio se retire de mon cul, Draculot se retire de celui de Fernand, ils changent de capote et permutent. Pinocchio vient derrière Fernand et Draculot derrière moi !

 

Hé, Oh ! On aurait pu me demander mon avis, et puis c’est quoi ce cirque, qui a sifflé ce changement de partenaire ? Je prépare mentalement une protestation vacharde, mais j’ai déjà la bite de Draculot dans mon cul, alors… je me laisse faire.

 

Il ne baise pas de la même façon que son comparse, les coups sont plus secs et plus profonds, finalement j’aimais mieux l’autre, mais ce n’est pas mal quand même.

 

– Tu veux un sandwich ? Me demande mon enculeur

 

Mais qu’est ce qu’il raconte, ce n’est pas le moment de manger ! Mais comme je gémis de plaisir il a dû prendre ça comme une approbation. Et le voilà qui m’abandonne en plein climax. Où va ce pitre ? Dans la cuisine, chercher du pain et du camembert ? Pas du tout, il reste là. Petit conciliabule entre les trois bonhommes. Ils filent dans la chambre. Et moi, alors ? Du coup je les suis. Pinocchio se couche sur le dos et me fais signe de venir m’empaler sur lui.

 

OK, je crois avoir compris et vais pour présenter mon trou du cul au-dessus de sa bite.

 

– Non, ta chatte !

– Ben pourquoi ?

– Ton cul c’est pour Fernand.

 

Ah bon c’était ça le sandwich, la meilleure place c’est celle du jambon et en l’occurrence, c’est moi le jambon, une bite dans le cul, une autre dans le con. Ça pilonne de partout, je gémis de plaisir, et quand Draculot me présente sa queue afin de la mettre en bouche je ne peux la refuser, abondance de bites ne saurait nuire !

Mathilda

C’est la chevauchée fantastique, ce n’est plus le Boléro qu’il conviendrait de jouer mais la chevauchée des Walkyries. Je suis sûre que Wagner l’a composé en baisant ! (ou en se faisant baiser).

 

Cinq minutes plus tard, le lit s’étonnait d’avoir sur lui, trois hommes et une femme complétement exténués, couverts de sueur et sentant la baise.

 

Je me lève la première, demande où sont les toilettes, il faut absolument que je pisse.

 

– On va y aller ensemble ! Me dit Fernand, venez les gars on va faire une pipi party !

 

C’est quoi ça encore ?

 

– Accroupis-toi ! Tu n’as rien contre une petite douche dorée ?

– C’est quoi ?

– C’est très pervers, comme tu aimes !

 

Alors si c’est pervers !

 

Et voilà mes trois Marx Brothers qui se mettent à me pisser dessus, ce n’est pas ma première expérience uro, c’est ma seconde mais ils n’ont pas besoin de le savoir. La sensation de l’urine qui dégouline sur mon corps est délicieuse. J’en avale un tout petit peu au passage. J’en ai partout, je pisse à mon tour, sur le carrelage de la salle de bains, après ce qu’ils ont fait, je ne vais pas me gêner, mais ce n’est pas moi qui nettoierai.

 

Ils me laissent, c’est dommage, je serais bien repartie pour un tour. Je prends une douche vite fait, je me sèche et c’est là que j’entends des brides de conversation.

 

– Tu vas lui dire ?

– Non peut-être pas !

– C’est toi qui vois ! En tout cas bravo ! Super ta mise en scène ! On te laisse, bonne bourre ma poule !

 

OK ! J’ai compris, tout était prémédité, je me disais aussi : un rendez-vous sur le chat qui se concrétise aussi vite (et aussi bien, car de ce côté-là je ne vais pas non plus me plaindre) c’est quand même exceptionnel. Tu parles que c’est exceptionnel ! Ce que je n’admets pas c’est d’avoir été manipulée, je ne suis pas un jouet.

 

Je me rhabille sans un mot, Fernand est affalé dans son fauteuil un verre rempli de je ne sais quoi à la main, il a changé de disque et nous passe maintenant du jazz, un morceau très fin de nuit, de ce qui se joue quand on veut faire partir les derniers danseurs à moitié bourrés.

 

– Tu t’en vas ?

 

Je suis partie sans un mot ! Dehors il pleuvait, je n’avais pas de parapluie… c’est la vie !

 

FIN

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:41

Dessiner un sapin ! par Mathilda Stenberg

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Bonjour ! Moi c’est Mathilda.

 

Comment vous les trouvez mes petits nénés ? Ils sont mignons, non ? Un peu petits… on ne peut pas tout avoir…

 

Alors voilà, vous avez oublié d’acheter une carte de vœux pour envoyer à votre cousine, les magasins sont fermés, vous auriez bien fait un petit dessin mais vous n’avez ni pinceaux ni crayon de couleur, juste un pauvre surligneur jaune….

 

Comment faire, mais comment faire ?

 

Et bien Mathilda va vous expliquer.

 

.

 

1) Aspergez vous les poils de la chatte avec un spray colorant vert (et non toxique)

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2) Appliquez une feuille de papier pour faire une empreinte

 

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3) Voila le résultat !

 

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4) Ajoutez quelques traits de rouge à lèvres pour faire joli.

 

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5) Vous retournez, vous faite un tronc

 

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6) Avec le surligneur vous dessinez une étoile

 

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7) Un petit coup de spray à paillettes pour faire encore plus joli

 

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8) Vous vous rincez la minette !

 

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Hein qu’est ce que vous dites ?

Celles qui ont la chatte rasée comment elles font ?

Ben elles ne font rien ! Pas de poils, pas de sapin !

 

Bon je vois bien que vous vous en foutez de mes astuces, la seule chose qui vous intéresse c’est de voir mon cul ! Et bien le voilà !

 

 

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Bisous à tout le monde !

 

Mathilda

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:35

Campeur en rut par Mathilda

bondage flag

 

Bonjour cher lecteur du meilleur site d’histoires érotiques du WEB !!

 

Depuis quelques mois je viens lire toutes ces superbes histoires et me donne du plaisir en lisant tous cela !

 

Et aujourd’hui j’ai décidé moi aussi de vous raconter une petite histoire qui j’espère permettra d’exciter beaucoup de monde ! !

 

Je me présente avant tout : Je m’appelle Mathilde, j’ai 25 ans, je suis brune, cheveux longs, yeux bruns, je mesure environ 1,75 m, pèse 57 kg et possède de jolis petits seins rebondis (95B à l’époque). Voilà après ces petits détails je vais vous raconter mon fantasme ! !

 

Fermez les yeux et imaginez :

 

Cette histoire s’est passé il y a quelque temps.

 

Nous étions, moi et ma meilleure amie en vacances en Ardèche pour tout le mois de juillet et nous logions dans un camping juste à côté de l’eau. Ce camping était d’une taille moyenne et nous y trouvions des gens de tout âge, même s’il est vrai qu’il y avait une certaine dominance de personne d’une trentaine d’années.

 

Un après-midi quand je me bronzais au bord de l’eau toute seule, car mon amie devait faire un aller retour à Paris pour des raisons familiales imprévues, je fis une charmante rencontre. J’étais couchée par terre et tout d’un coup quelqu’un s’encoubla à côté de moi et s’affala royalement. Je me suis levée et lui ai demandé si tout allait bien, il me répondit qu’oui et nous commençâmes à engager la discussion. C’était un super mec, genre macho ténébreux, dès le premier coup d’œil il m’avait plu. Il s’appelait Christophe et il m’avait dit être en vacances pour un mois tout comme moi ici dans ce camping. Il était venu tout seul comme il me l’expliqua, pour se détendre et faire de nouvelles rencontres.

 

(P.S. les Campings sont je m’en rends compte aujourd’hui les plus grands baisodromes qui existent !).

 

Il portait un magnifique maillot de bain noir moulant, qui laissait imaginer par sa taille un joli organe dessous !

 

Christophe était blond, assez grand environ 1,85 m, musclé mais sans plus et de superbes yeux verts, il devait avoir dans les 40 ans. Je ne vous cacherai pas que quand il m’adressa la parole au tout début je ne savais pas quoi dire tellement j’étais hypnotisé par son charme et ce n’était pas si souvent que j’avais l’occasion de parler en tête à tête avec un tel mec en maillot de bain.

 

Il est vrai que j’étais une fille du genre timide au début mais avec le temps tout cela a changé comme vous le verrez après.

 

Ainsi nous discutâmes pendant un bon moment, de lui de moi et de la vie et le courant passa très bien entre nous deux malgré notre différence d’âge. Ça ne semblait pas le déranger de parler avec une fille plus jeune que lui alors qu’il aurait très bien pu discuter avec une tonne de femmes de son âge. Alors au bout d’un instant il me demanda si je voulais aller danser avec lui ce soir à la discothèque du camping. Cette proposition me surpris, et je ne savais d’abord quoi répondre, pourtant je lui dis « OUI que je serais très contente » et nous fixâmes de nous revoir à 22h30 devant l’entrée de la disco.

 

Après cela je suis allée dans ma tente, j’étais tout excitée à l’idée de faire la fête avec Christophe. Je ne savais pas comment m’habiller et j’avais un peu le trac ! C’était la première fois que j’allais sortir en disco avec un homme beaucoup plus vieux que moi. Je ne savais pas quoi choisir entre ma robe bleue ciel ou mon top noir avec mon petit pantalon moulant blanc. Je décidai d’opter pour la deuxième option. C’est ainsi vêtue (mon top noir et mon petit pantalon moulant blanc avec en dessous une toute simple petite culotte blanche et un soutien-gorge blanc), que je me suis rendu à mon rendez-vous.

 

Là-bas je vis tout de suite Christophe, qui était habillé normalement (pantalon, chemise tout simple). Il me complimenta sur ma tenue vestimentaire et me dit que j’étais encore plus belle que sur la plage, je ne savais pas quoi lui répondre et ne put que lui lancer un petit sourire.

 

Après ceci la soirée fut complètement folle. Nous dansâmes des heures sans arrêter et nous bûmes aussi mais sans exagération. Au moment de la dernière danse qui était un slow, il me serra la taille et posa ses mains sur mes hanches tout doucement et il m’embrassa dans le cou. Je ne réagis pas tout de suite et après un petit moment je lui rendis son baiser mais cette fois ci je l’embrassais moi à pleine bouche et lui roulais un monstrueux patin ! Je ne savais pas ce qui m’était arrivée, pourtant je continuais et ça ne le dérangea pas du tout et nous continuâmes à danser, Christophe avais mit des mains plus bas, sur mes fesses et je pouvais sentir une petite excitation dans tout mon corps, mon corps qui au contact des mains de Christophe frissonnait !

 

A la fin de la chanson, nous sortîmes de la boîte de nuit et nous marchâmes doucement en nous tenant la main. Il me dit que j’étais belle et qu’il avait envie de moi. Moi je ne savais quoi lui dire. Il me dit qu’il n’avait jamais rencontré une fille aussi tendre, douce que moi. Alors je lui dis aussi sans réfléchir que j’avais envie de lui. Il me proposa d’aller au bord de l’eau, sous la pleine lune, marcher un petit peu, ce que nous fîmes et arrivé près de l’eau nous nous assîmes et nous nous sommes embrassées. Je me suis étendue par terre et il s’est couché à côté de moi. Il m’embrassa et en même temps je sentais ses mains qui se baladaient sur moi. Ses mains étaient sur mon ventre et le caressaient doucement puis au bout d’un moment il passa ses mains dessous mon top et remonta en direction de mes seins. J’eu un moment de doute mais il s’en alla très vite quand je senti à travers mon soutien-gorge ses doigts. Il me demanda si je voulais continuer et moi j’avais tellement envie que je lui dis OUI.

 

C’est à ce moment là que tout à commencé. Il me malaxait les seins doucement et puis il me dit de me déshabiller. Il tira sur mon top, enleva mon soutien-gorge et libéra mes deux melons. Il commença à la vue de ceux-ci à les lécher doucement avec sa petite langue en faisant de petits cercles. Il s’approchait de plus en plus près de mes tétons jusqu’au moment où il m’a sucé les tétons comme un bébé avec sa mère. C’était comme s’il voulait boire mon lait. J’étais toute chose moi, je tremblais de tout mon corps et il me dit de l’aider à le déshabiller, ce que je fis. Il enleva son pantalon et sa chemise et il resta debout. Il me demanda de me mettre à genoux devant lui. Ma tête était à la hauteur de son slip. Je pouvais voir que je l’excitais pas mal, car la bosse qui se dessinait sous son slip était assez grosse. Et il me dit « vas-y » ! Je lui descendis d’un coup son slip et prit sa bite dans ma bouche. C’était la première fois que je bouffai une bite de quadragénaire, mais on aurait dit que j’avais fait cela toute ma vie. Je commençai par lui sucer le gland doucement puis j’enfonçai plus au fond de ma bouche sa bite jusqu’à ce que son gland sorte au fond de ma gorge. Sa queue était très longue (environ 22 cm) Il était aux anges et il lançait d’immenses râles de plaisir. Son souffle était rapide et tout d’un coup il me dit « Voilà ! » Et là d’un coup je sentis tout son sperme dans ma gorge, c’était tout chaud et bon. Il éjacula trois fois dans ma gueule, mais pour moi cela paru une éternité tellement il y avait de jute. Après avoir eu son premier orgasme, sa bite était toujours aussi droite et dure, il me dit qu’il allait me rendre ce que je venais de lui donner. Il m’enleva mon pantalon, et ma culotte partit avec. Quand il vit ma chatte, il me dit en rigolant qu’il allait me défoncer.

 

Il me coucha par terre et il se coucha sur moi. Là il mit une capote et il dirigea sa bite à l’entrée de ma chatte. Je sentais son gland sur mes poils et soudainement sans rien dire, il me pénétra !

 

Je criai comme une chienne ! AHHH !

 

Il me pénétra de plus en plus vite avec force, à chaque coup, je sentais ses couilles taper contre moi. Et j’ai joui, je sentais le long de mes cuisses, toute ma mouille couler. C’était comme dans les films pornos où les filles dégoulinent de cyprine !

 

Au bout de 20 minutes de pénétrations folles il se déversa en moi et je senti à travers la capote ce liquide tout chaud. Il sorti sa bite de mon vagin et me regarda la chatte et là il me dit.

 

– T’as vu un peu comme j’ai assumé !

 

J’ai horreur des mecs qui se ventent de leurs coups de bite ! Je pensais alors « profitons du moment, mais toi mon bonhomme, tu ne seras pas prêt de me revoir ! » Je lui répondis donc que c’était super et que j’en voulais encore. Christophe me dit que ce n’était pas du tout fini et que cela n’était qu’un début. Il se releva et plongea sa tête sur ma chatte et là commença à me lécher tout mon jus qui avait coulé. C’était super de sentir sa langue parcourir mon intimité, cette intimité qu’il venait de pénétrer comme un sauvage. Sa langue commença à se diriger vers mon petit bouton d’amour et à le titiller. Il jouait avec mon clito et celui ci devint tout gonflé, je respirais vite et il enfonça plus profond sa langue dans mon vagin, j’adorais cela. Et au bout d’un moment de ce traitement j’eu mon deuxième orgasme. Tout mon corps se cambra et je fus prise d’immenses spasmes. J’étais tellement excitée que je mis mes mains sur sa tête et appuyai sa tête contre ma chatte pour qu’il boive toute ma mouille de chienne. Je n’arrivais plus à me contrôler et je criais comme une folle tellement j’étais aux anges, il me dit de me calmer sinon nous allions avoir des problèmes, mais je ne pouvais pas faire autrement c’était tellement bon !

 

Et après ceci se fut le bouquet final !

 

Il me retourna et me mit à plat ventre. Il m’écarta les fesses et là je savais ce qui allait m’arriver, mais je n’osais pas y croire, moi qui adorait me faire sodomiser. Je me faisais une joie aujourd’hui à l’idée que j’allais sentir une bite dans mon cul de petite salope !

 

Je n’avais pas peur car je savais que mon trou pouvait recevoir sa bite, ce n’était pas la première et puis, je m’étais tellement fait du plaisir seul avec mes doigts, que je connaissais mes capacités. Mais quand il m’encula, ça était incroyable ! ! !

 

Tout mon corps devenu dur, très dur, mes seins était tout durs et tout tendus, mes tétons étaient tellement gonflés que j’avais mal qu’ils soient écrasés contre le sol. Christophe me lima le trou pendant une bonne demi-heure et à chaque fois je sentais ces boules contres me fesses. C’était super bon ! A la fin de cette super sodomie, il se déversa dans mon cul et je senti une nouvelle fois cette super chaleur au fond de moi. Humm que c’était bon. Je lui dis « encore ».

 

Je ne pouvais plus m’arrêter. Il me demanda si je voulais réaliser « son plus grand fantasme », il m’expliqua de quoi il s’agissait, je lui dis alors que « non, ça ne m’intéressait pas ».

 

Il parut contrarié, insista, moi je refusais toujours. Alors il me proposa de l’argent. (100 euros) Je lui répondis que je n’étais pas une pute. Il proposa 200. Je lui dis « non » Mais quand il tripla la mise pour arriver à 300 euros, je finis par accepter. »

 

– Allez, on y va !

– L’argent d’abord !

 

Il me tendit 6 billets de 50 euros en me disant que je n’étais qu’une pute, qu’une salope et d’autres mots dans le même genre. Je lui répondis que le fait de m’avoir payé ne lui donnait pas la permission de cesser de me respecter. Je cru qu’il allait lâcher l’affaire mais trop heureux de pouvoir accomplir son « fantasme » il me dit simplement « on y va »

 

Il rêvait de réaliser un super bondage à une femme et de la baiser comme un fou.

 

Je ne savais si j’allais vraiment aimer cela, mais je pouvais plus reculer

 

Nous allâmes jusqu’à sa tente et il prit un sac où il avait tout le matériel et il me dit que ça serait parfait dans un endroit bien isolé dans la forêt.

 

Et me voilà reparti pour de nouvelles sensations.

 

On s’est avancé dans la forêt avec l’aide d’une torche électrique. Arrivée dans une clairière qu’il avait du repérer auparavant, il disposa trois torches afin de l’éclairer convenablement.

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Il me coucha par terre sur le dos et il m’attacha les pieds si serré que je ne pouvais plus les séparer, puis il attacha aux cordes de mes pieds deux menottes et là il me dit de passer mes mains dessous mes fesses, de me cambrer plus et de mettre mes mains plus près de mes chevilles et la il m’enferma les poignets dans les menottes. Je sentais mes bras tout tendus et mes muscles me faisaient mal. Alors il m’ordonna de me mettre sur le ventre, ce que je fis et à ce moment là, ce fut incroyable. Mes mains étaient tendues en arrière avec mes jambes toutes étirées. Mon corps tout courbé comme un « U » et mes seins écrasés par le poids de mon corps.

 

Après cela il me passa une corde entre les fesses et fit un nœud juste au niveau de mon trou et il me l’enfonça dedans bien profond, puis il plaça la corde entre ma chatte et remonta vers mes mains et là il me l’attacha. Et ainsi à chaque fois que je tirai sur mes mains pour me soulager de cette position toute courbée, je tirais sur la corde et ça me tirai entre la chatte et dans le cul. Ce n’était pas très agréable et j’avais un peu mal. Il se mit alors à me fesser et de plus en plus fort et mes fesses étaient toutes rouges, brûlantes, moi je n’aimais pas, mais lui il adorait cela. Il s’occupa après de mes seins et il attacha tout autour de ceux-ci une corde et serra très fort ! Mes seins étaient tous comprimés et ça commençait à bien faire. J’essayai de me débattre mais la corde m’éclatait le cul et le vagin.

 

Lui complètement excité se masturbait comme un fou, je reçu son sperme sur la poitrine, après il me regarda d’une drôle de façon, je senti quelque chose de liquide et de chaud sur mon dos et mes fesses ! Il était entrain de me pisser dessus. Le salaud, il se déversa complètement dessus moi ! Je me demandais la séance était terminée ou pas ?

 

Puis il fouilla dans mon sac, repris ses billets, ramassa ses torches, quitta la clairière et me laissa dans cette position toute prisonnière au milieu de la forêt.

 

Je commençai à paniquer et tirai sur me liens, j’étais certaine d’arriver à me détacher, mais ce serait long et douloureux.

 

Dix minutes s’étaient écoulées, je vois une lumière qui s’approche, j’ai peur je suis terrifiée, mais c’est Christophe qui revient, tout péteux. Il me détacha, je le gifle par pur réflexe. J’ai, à ce moment là, eu peur qu’il me batte, mais non, Il a encaissé sans rien dire et m’a rendu mes 300 euros.

 

– Excuse-moi pour ma conduite, tu dois me prendre pour un salaud ?

– Un peu, oui, mais faute avouée est à moitié pardonnée.

– Si tu veux je te paye le restau demain ?

– Non ! Je vais juste te demander de me raccompagner au camping, je ne sais pas comment me repérer, et après, on ne se connait plus, il ne sait jamais rien passé entre nous.

 

Fin et Gros bisous Mathilde !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:32

Anniversaire lubrique par Mathilda Stenberg

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Encore une histoire d’anniversaire ! S’écria le lecteur. Ben oui mais avouez que celles racontées sur ce site ne sont pas banales ! On y va ?

 

Bonjour, je suis Catherine, 35 ans, brune, cheveux frisés et les yeux bleus. Aujourd’hui, samedi, c’est mon anniversaire. Nous sommes seuls à la maison mon époux et moi. Seuls et plein d’idées coquines. Pour commencer, ce matin je me suis habillée sexy : moulée dans une petite robe de jersey qui souligne mes formes pleines. Mes seins sont prêts à jaillir du profond décolleté. Sous ma robe courte, je ne porte pas de culotte. C’est dans cette tenue que je prépare le brunch. En jouant à la soubrette sexy qui ondule du popotin. Dans le fauteuil en face de moi, Etienne me regarde en se tripotant la braguette et me fait des compliments un peu grossiers.

 

– T’as vraiment l’air d’une poufiasse en chaleur.

– Oui, mon chéri !

 

C’est fou ce que j’aime la grossièreté dans certaines situations. Il relève ma robe et embrasse mes fesses.

 

– Humm, tu pourrais te faire de l’or avec ton cul de salope !

– Oui, mon chéri !

 

Un coup de sonnette nous tire de nos jeux érotiques.

 

– Va donc ouvrir ! Me dit Etienne.

– Quoi ? Moi… dans cette tenue !

– Et alors ?

 

La sonnette continue à tinter, avec insistance et je me décide à ouvrir, un peu gênée de me montrer aussi peu habillée à un inconnu.

 

Mais l’homme sur le palier n’est pas un inconnu. C’est un collègue de mon mari, Steve, un beau garçon pour lequel j’ai d’ailleurs un faible avoué. Un sourire aux lèvres, il me détaille. Moi je m’éclipse vite à la cuisine, sous prétexte de leur préparer des boissons. J’entends les deux hommes qui ne font rien pour dissimuler leur voix et je sursaute.

 

– J’ai besoin de fric ces temps-ci, alors si tu veux baiser ma femme, c’est 300 balles.

 

L’autre tente de marchander

 

– Ecoute, c’est à prendre ou à laisser. Pour ce prix, je te la cède une heure entière… Tu verras, tu en auras pour ton argent !

 

Quand je les rejoins au salon, l’affaire semble conclue. Je ne sais si je vaux deux chameaux ou trois vaches laitières, mais les deux compères semblent satisfaits de leur affaire qui sent à plein nez la mise en scène, mais je suis prête à jouer le jeu.

 

– Ça te dirait de baiser avec mon collègue, il nous donnera 300 balles ?

– Pourquoi pas !

 

Steve soulève ma robe et caresse ma toison.

 

– Pour ce prix-là, elle te fera tout ce que tu veux ! Surenchérit Etienne. C’est une vrai salope, n’est pas Catherine.

– Oui, mon amour !

 

Et pour mieux tenter son collègue, il relève ma robe pour lui dévoiler mon joli derrière.

 

Les deux hommes se lèvent et Steve commence à caresser mes seins par-dessus ma robe. Et puis, en riant, il me fait ouvrir la bouche, il contrôle mes dents :

 

– Belle bouche ! Viens m’embrasser !

– Non les putes n’embrasse pas ! Précisais-je

– Elle n’embrasse pas mais tu as le droit de lui cracher dans la bouche ! Intervient Etienne.

 

Le salaud ! Mais je me laisse faire, en fait ça m’excite.

 

Bref, l’affaire est conclue.

 

Cette situation étonnante me met dans tous mes états. Mon fantasme enfin se concrétise, aujourd’hui je vais faire la putain.

 

L’homme me saisit par la main et je reprends mes esprits. Je le guide dans ma chambre, jusque vers l’armoire remplie d’accessoires érotiques.

 

En guise de bâillon, il me met une lanière de cuir avec à l’intérieur un gland en plastique. Je n’ai plus qu’à sucer et me taire.

 

Je retire mes escarpins et ma robe. Nue et tremblante, non pas de peur, mais d « émotion car je vais vivre mon fantasme, je me présente devant lui. D’une main il caresse mes seins, tandis que de l’autre il titille mon clitoris. Je mouille déjà et mon petit bouton durcit.

 

Il me fait monter sur le lit où je m’installe à quatre pattes. Il caresse ma croupe, il écarte mes fesses et y glisse un doigt mouillé de salive. Je frémis de plaisir. Alors doucement il enfile un petit godemiché qu’il fait aller et venir. Puis il me demande de m’installer sur sa verge en érection. L’opération est difficile. Je dois tenir le petit gode à l’intérieur de mon anus et en même temps m’accroupir sur son pieu. J’ai de la peine à maintenir toutes ces queues à l’intérieur, mais après trois essais, je trouve enfin la position adéquate. La bouche dilatée par le gland de plastique, l’anus rempli par le gode et la chatte travaillée par la grosse queue de Steve, je jouis comme une folle.

 

Mon mari est resté nous regarder, sa bite toute raide à la main. Il sort et revient nous apporter quelques rafraîchissements. Je suis toujours sur le lit, avec mon bâillon, et mon gode profondément planté en moi. Mon mari me regarde à peine, il s’adresse à son collègue :

 

– Alors satisfait ?

– Oui, oui, elle est aussi bonne que tu le disais !

 

On me retire enfin mon bâillon. Et j’enlève le gode.

 

– Qui t’as demandé de l’enlever ? Intervient Etienne simulant la colère. Veut-tu remettre ça tout de suite !

– Bon, bon !

– Alors dis-moi, reprend-il. Elle avait quel goût la bite d’Etienne ?

– Mais j’en sais rien, il ne m’a pas demandé de le sucer !

– Quoi ! Qu’est-ce que ça veut dire ? Une bonne putain, ça doit prendre les initiatives, une bonne putain, ça suce des bites ! T’as compris, morue ?

– Ben…

– Tais, toi, trainée, chienne lubrique, tu mérites une bonne punition, tourne-toi et présente-nous tes fesses de pute, prépare-toi à recevoir cinquante coups de martinet.

 

Nous jouons parfois avec Etienne à des petits jeux un peu SM, mais là je trouve que cinquante coups, ça fait quand même beaucoup. Mais je ne dis rien, je sais que je peux avoir confiance, ils ne vont pas me démolir.

 

C’est Steve qui se charge de la « punition ». Je sens qu’il n’a pas trop l’habitude et qu’il n’ose pas taper trop fort, mais bon, ça chauffe quand même mon joli petit cul.

 

– Insulte-là ! Lui dit Etienne, elle adore !

– Tiens, salope ! Tiens poufiasse, garage à bites, fille à soldats.

 

Le pire, c’est que je mouille !

 

Après m’avoir massacré mes fesses, Steve me tend sa bite, une jolie bite, assez longue et épaisse, bien droite, et parcourue d’une insolente veine bleue. Le gland est fièrement décalotté aussi violet que l’améthyste d’un cardinal.

 

Je lui balaie largement la verge avant de remonter vers le gland où je fais danser le bout de ma langue, puis je mets tout dans ma bouche et c’est parti pour une série d’aller et retour. J’essaie de le faire jouir, mais comme il vient de prendre son pied, ce n’est guère évident.

catherine

–Elle suce bien cette salope ! Commente Steve dans un grand moment de poésie.

– Oui, c’est suspect, ça ! Intervient Etienne. Où as-tu appris à sucer aussi bien ?

 

Et là je me lance dans un vrai délire et je réponds n’importe quoi faisant volontairement dans la provocation.

 

– Le jeudi soir quand tu vas à ton académie de billard, moi aussi je m’occupe des queues mais autrement, je fais la pute au Café des Sports, j’allume les mecs et je les suce dans l’arrière-salle, je me fais aussi baiser et enculer, ça me fait de l’argent de poche.

– Eh ben ! Commente Steve qui n’a pas compris que je bluffais et que j’étais tout simplement en train de fantasmer.

– Alors ? Reprend Etienne, détournant la conversation, tu peux me répondre maintenant : elle avait quelle goût la bite d’Etienne ?

– Mais pourquoi tu insistes tant ? Lui répond l’intéressé, si tu veux vraiment savoir comment elle est ,je t’autorise à me la sucer.

– J’en serais capable, tu sais !

– Ben vas-y !

– Sérieux, tu aimerais que je te suce ?

– Je ne sais pas si j’aimerais, mais ça ne me dérange pas ! Allez, qu’est-ce que t’attends.

 

Et devant mes yeux ébahis, je vois mon mari engloutir dans sa bouche la bite de son collègue et lui prodiguer une superbe fellation.

 

– T’aimes, ça sucer, ma bite, hein pédé ?

– Humpf, humpf !

– T’as raison, on ne parle pas la bouche pleine ! Eh, dis-donc, pendant qu’on y est, ça te dirait que je t’encule ?

– Ben oui, pendant qu’on y est.

 

Je n’en reviens pas, mon macho de mari se met à quatre pattes, écarte ses fesses et offre sa rondelle à Steve qui après avoir revêtu un préservatif tente de le pénétrer.

 

Comme je sens qu’ils ne vont pas y arriver, je cours dans la cuisine chercher un peu d’huile d’olive pour lubrifier tout ça. Et quelques instants plus tard Steve enculait mon mari qui se branlait pendant l’assaut.

 

Les deux hommes se regardent un peu gênés par ce que qu’il viennent de faire.

 

– Nous voilà pédés ! Constate Etienne

– Juste un peu, n’exagérons rien !

– C’est à cause de cette salope, elle nous a excité et nous a entrainé dans le vice.

– Un tel forfait ne doit pas rester impuni ! Déclare Steve dans une belle envolé littéraire.

– T’as raison ! Catherine, va dans la cuisine et allonge-toi par terre, on te rejoint tout de suite.

 

Et l’instant d’après, mes deux bonhommes me pissait abondamment dessus, je ne manquais pas d’ouvrir largement la bouche pour avaler ce délicieux breuvage.

 

Et voilà que Steve s’accroupit pour mettre sa rondelle en contact avec ma bouche.

 

– Lèche lui le trou ! Me dit Etienne.

 

Je m’applique si bien avec ma petite langue que l’œillet s’entrouvre, je me rends compte alors qu’il est en train de pousser. Il ne va tout même pas oser faire ça ! Etienne s’en aperçoit et intervient :

 

– Vas-y soulage toi, mais ce sera 100 balles de plus.

– Pas sur le visage ! Précisais-je simplement.

 

Non mais, j’ai peut-être mon mot à dire, non ?

 

Alors, Steve m’a chié sur mes gros nénés, juste une petite crotte ridicule et risible.

 

Plus tard, nous sommes partis tous les trois bras dessus bras dessous, au restaurant pour fêter mon anniversaire.

 

Au dessert Etienne a profité du fait que Steve aille aux toilettes pour me faire cadeau d’un très joli bracelet.

 

– Je t’aimes ma belle putain !

– Moi aussi mon petit enculé !

– Tu as vu le serveur comme il te mate ?

– Oui, oui !

– Tu veux que je te négocie une passe avec lui !

– Salaud, ça te fait bander de me voir faire la pute !

– C’est aussi ton fantasme, non ?

– Alors d’accord, mais l’argent ce ne sera que pour moi !

– Pas de problème, ma chérie !

 

Fin

 

Mathilda

 

Rewriting d’un texte retrouvé dans mon fouillis et signé cvorard

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:27

Anne par Mathilda

bisou1719

 

C’est Valérie qui m’a fait découvrir l’amour entre femmes. J’y suis très attachée. C’est d’ailleurs elle qui m’a conseillé de vous écrire pour raconter notre histoire.

 

J’ai vite compris que si je voulais la contenter, et donc la garder, il me fallait exploiter ses vices et ses penchants. Au début c’était seulement pour lui faire plaisir que je l’embrassais et la caressais en public. Ça l’excitait beaucoup et quand nous rentrions, ou dès que nous étions seules, elle jouissait très fort. Elle était quelquefois si pressée qu’elle me demandait de la branler dans la voiture ou dans l’ascenseur que je bloquais entre deux étages.

 

Quand nous faisons l’amour chez nous, à cause du vis-à-vis, les rideaux ne sont jamais tirés. Valérie s’allonge face à la fenêtre, écarte généreusement les cuisses, et me demande de la branler ou de la sucer. Récemment je me suis rendu compte qu’un type nous mâtait au deuxième étage. Ce devait être un étudiant car il était jeune et très souvent chez lui. Je ne sais pas quelles études il prépare, mais côté anatomie féminine, il doit connaître son programme sur le bout des doigts. Car je me suis aperçue que ce salaud se branlait en nous regardant. Et ce jour-là mon plaisir a été si ravageur, que j’ai compris que j’étais moi aussi une exhibitionniste. Et que ce qui m excitait vraiment, c’était de baiser devant des mecs qui se branlaient. Pourtant j’ai vraiment pas envie qu’ils me touchent ou viennent nous rejoindre.

 

J’en ai évidemment parlé à Valérie. On se dit tout. Le lendemain elle a acheté une paire de jumelles qu’elle a fait livrer à notre voyeur. De chez nous on surveillait l’arrivée du livreur. Pour une fois on avait tiré les rideaux. Quand on a été certaines que notre petit cadeau était bien en sa possession, c’est moi qui me suis allongée sur le lit, face à la fenêtre. Valérie s’est attaché notre godemichet double. C’est une fantaisie que nous aimons beaucoup. Après avoir sucé Valérie pour la faire mouiller, elle s’enfonce une des deux bites artificielles. Elle fixe et boucle les lanières autour des hanches et des cuisses. Elle s’est mise juste au coin de la fenêtre et j’ai ouvert les rideaux.

 

Anne Valerie

D’où il était notre voyeur ne pouvait voir que cette queue qui dépassait. Comme avec son gland, sa texture et sa couleur elle imite parfaitement celle d’un homme, il y avait de quoi le mystifier. Je me suis agenouillée et j’ai sucé le gode. Le gland d’abord puis toute la tige. J’imaginais la tronche que devait faire l’autre derrière ses jumelles. La situation et la scène m’excitaient beaucoup. Régulièrement je passais mes doigts dans ma fente pour recueillir ma mouille et en badigeonner la tige. Le mélange du jus et de la salive est un grand aphrodisiaque. J’ai fini par ne plus tenir et je suis allée m’allonger sur le lit. Cuisses largement écartées pour que mon voyeur n’ignore rien des plus petits replis de ma chatte.

 

Valérie est venue me rejoindre. Elle portait un jean et une chemise kaki comme était souvent vêtu notre voyeur. Ses vrais cheveux étaient dissimulés sous une perruque qui ressemblait à s’y méprendre à la coupe et à la chevelure de celui qui nous observait. J’imaginais sa réaction quand, un quart de seconde, il a eu l’illusion d’être à la fois chez lui et dans notre chambre. Valérie m’a pénétré. Vraiment comme un homme. Sous ses coups de reins je criais et je me tortillais. J’étais trop excitée pour lutter contre l’orgasme qui montait en moi comme un ras de marée. Je me suis laissée emporter et, tout en jouissant, j’ai imaginé que sa queue, entre ses doigts, giclait sa semence. C’était si fantastique que j’ai noué mes jambes autour des hanches de Valérie qui venait aussi de jouir, et je lui ai demandé de me baiser longuement.

 

Vous voyez qu’avec elle la vie et le plaisir sont loin de tomber dans la monotonie.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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