Mathilda Stenberg

Dimanche 2 septembre 2018 7 02 /09 /Sep /2018 15:34

La mère de Caroline par Mathilda Stenberg

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Mon prénom est Mathilda et j'ai la trentaine. J'ai les cheveux châtains et les yeux verts, je suis assez grande et mince. Je suis bisexuelle. Après plusieurs déceptions sentimentales avec des hommes, je me suis consolée avec les femmes. Cela ne m'empêche pas d'apprécier de temps à autre une bonne bite que j'accueille volontiers dans ma bouche ou dans mon cul, mais plus question de liaison, j'ai donné ! J'ai gouté à pas mal de pratiques, je n'ai rien contre un peu de domination quand ça reste raisonnable et les jeux de pipi m'émoustillent. Je n'avais pas jusqu'ici oser franchir le pas de la scato… mais n'anticipons pas.

C'est dans un bar à gouines que j'ai fait la connaissance de Caroline. Je préfère les filles bisexuelles aux lesbiennes pures et dures, question de choix physique, je n'aime pas les look qui singent ceux des hommes. Caroline m'a tout de suite attiré avec ses gros seins et sa bouche pulpeuse. J'ai moi-même une assez grosse poitrine mais j'aime les femmes qui en ont une encore plus grosse. 

J'ai fréquenté Caroline plusieurs mois et un jour elle me dit :

- J'ai parlé de toi à ma mère, elle aimerait bien te rencontrer…

Je me rendit donc dans ce petit pavillon de banlieue où elles habitaient toutes les deux. C'était par un bel après-midi de fin de semaine. On était dans le jardin et on discutait. Quelques minutes plus tard, Caro et moi avons entendu une porte se fermer. Elle me dit : 

- C'est ma mère, tu vas voir, c'est une vraie putain ! 

Je trouvais qu'elle n'était pas très respectueuse, jamais je n'aurais dit quelque chose du genre à propos de ma propre mère. Mais quand je vis sa mère s'approcher, je compris alors ce que Caro voulait dire. La femme en question était grande, mince, blonde aux cheveux très longs avec (devinez quoi...) de très, mais alors de très gros seins. Elle portait une jupe très courte moulante avec un petit gilet lui aussi très moulant et très court. Pour être directe, la mère de mon amie était très belle et très excitante. Le fait qu'elle aille l'apparence d'une putain loin de me choquer, m'excitait au plus haut point. Caro prît la parole : 

- Mathilda je te présente ma mère Johanna, Johanna c'est mon amie Mathilda. 
- Bonjour chérie... me dit-elle avant de retourner à l'intérieur. 

Caro me dit alors : 

- Ma mère c'est la pire pute qui existe...T'as vu comment elle s'habille ? En plus elle couche avec tout ce qui bouge, parfois, elle me fout la honte... L'autre jour sa chambre n'était pas fermée, elle était avec deux hommes, l'un des deux l'enculait et l'autre se faisait sucer la bite…

Ce que Caro me disait m'excitait encore plus et elle s'en aperçut.

- Elle est trop belle, ta mère !
- Va la retrouver si tu veux, mais c'est à tes risques et périls ! Me prévint Caro, amusée.

Sous prétexte d'aller aux toilettes, je mis les pieds à l'intérieur, j'aperçu Johanna qui faisait un peu de ménage. Quand elle m'aperçut, elle me dit : 

- Je suis fière de ma fille, je trouve qu'elle fréquente de très jolies copines... 
- Vous me flattez !
- Tutoyons-nous ! Tu cherches les toilettes, je suppose ?

Je lui répondis d'un sourire timide. 

Elle m'accompagna jusqu'aux toilettes. Mais resta plantée devant moi, puis tout d'un coup, me dit, contre toute attente : 

- Tu aimes mes seins n'est-ce pas ? 

- Ils ont beaux !

- Caroline m'avait bien dit que tu étais une petite salope !

Je ne savais pas quoi répondre... Elle s'approcha vers moi et enleva son petit chandail. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient magnifiques, vraiment énormes et ronds. J'étais excitée comme jamais je ne l'avais été. La belle putain me dit : 

- Vas-y, caresse-les ! Mais assis toi sur la cuvette, il ne faut pas que ça t'empêche de pisser.

Je m'assis après avoir baissé mon pantalon et ma petite culotte et tandis que je laissais l'urine s'échapper de ma petite chatte, je pelotais les doux seins de Johanna.

-Tu veux les goûter n'est-ce pas ? Vas-y... 

Elle s'approcha plus près de moi me permettant ainsi de lui sucer ses gros tétons turgescents. Je m'empressai alors d'exécuter ce qu'elle me disait de faire. Je goûtais à ses seins merveilleux, ils étaient les plus belles choses que je n'avais jamais vus.

- Allez, suis-moi ! 

J'allais pour m'essuyer le minou !

- Mais non, ne t'essuie pas, ma langue s'en chargeras !

Elle me prit la main et m'emmena dans sa chambre, très grande et très spacieuse. Elle me coucha sur le lit et enleva sa jupe. Elle ne portait pas de petite culotte. Elle sortit des menottes d'un tiroir et me les enfila. J'étais tellement excitée, je voulais mourir tellement je la désirais. 

Johanna m'enleva mes vêtements et m'embrassa tout le long de mes cuisses, puis elle commença à lécher tranquillement mes lèvres vaginales imbibées de mon pipi, pour ensuite s'occuper de mon clitoris. Elle le mordillait doucement... c'était le paradis ! Elle entrait ses doigts agiles dans ma fente pendant qu'elle embrassait le reste de mon sexe en entier. Puis, doucement, elle entra ses doigts dans mon petit trou. Elle entra quatre doigts, c'était douloureux, mais tellement jouissant en même temps. Quand elle les ressortit, ils étaient légèrement merdeux. Elle me dit :

- Lèche !

- Non, pas ça ! Protestais-je mollement

- D'accord ! Alors dis moi que tu es une petite salope !

- Je suis une petite salope !

- Et tu sais ce qu'elles font les petites salopes ?

- Euh…

- Les petites salopes, elle lèchent les doigts qui sortent de leur cul. Alors essaie !

doigts 

J'étais tétanisée, Johanna porta alors l'un de ses doigts à sa bouche et le lécha vicieusement.Je me lançais et décidai de l'imiter. Je n'ai pas été déçue, ce n'était pas mauvais du tout.

Johanna remit ses doigts dans mon trou intime, quand elle les ressortit, je cru qu'elle allait me les redonner à lécher, mais non, elle se les essuya sur les seins à présent recouverts d'insolites trainés marrons.

- Lèche mes seins, enlève la merde que j'ai mis dessus.

Je m'étonnais de la facilité avec laquelle j'acceptais de le faire. Et pour tout dire je me régalais.

Puis Johanna sortit d'un tiroir un vibrateur, très gros et très long qu'elle entra profondément d'abord dans ma fente puis dans mon petit trou. Elle y allait très fort, je me sentais comme un animal, mais qu'est-ce que c'était bon !!!! Je voyais ses seins balloter pendant qu'elle me faisait jouir comme une bête...C'était tellement beau à regarder, j'aurais voulu qu'elle continue pour toujours. Et tandis que l'orgasme le plus beau et le plus long de ma vie m'envahit, elle me fit lécher le gode ressorti tout merdeux de mon trou du cul. Elle me dit : 

- Tu es une vrai salope ! La prochaine fois, lorsqu'on aura plus de temps, je vais te dominer encore plus, tu seras mon esclave. 

Je ne dis rien mais avant de me rhabiller et de sortir de la chambre, je l'embrassai profondément alors que j'avais encore le goût acre de ma merde dans la bouche. 

Caro était dans la cuisine et m'attendait...

- On dirait que vous avez fait des bêtises toutes les deux ? Me dit-elle avec un air coquin !

- Elle est trop sympa ta mère !

- Oui, mais c'est une putain !

- Et ça te gène ?

- Mais pas du tout !

 Quelques jours seulement après ma petite aventure avec Johanna, je suis retournée chez mon amie Caroline. Mais ce n'était pas elle que j'avais envie de voir, vous vous en doutez probablement. Je savais qu'au moment où j'arriverais chez elle, Caroline serait chez le dentiste, mais je gardais ce petit secret pour moi. Donc je sonnai à la porte principale de la maison. Johanna ouvrit. Comme à son habitude, elle était très sexy. Elle portait une petite robe rouge très moulante et très courte. Quand elle m'aperçut, elle sourit : 

- Bonjour Mathilda, Caroline n'est pas là, elle avait un rendez-vous chez le dentiste.

- Ah...dommage, Lui dis-je avec un petit sourire timide. 

- Tu peux entrer quand-même ! Je vais te faire un petit café ! Me dit-elle. 

J'attendais patiemment dans le salon, curieuse de savoir si Johanna allait me proposer de recommencer nos folies de l'autre fois. Elle revint avec deux tasses de café. Elle ne s'assit pas et se mit à se caresser les seins par-dessus sa petite robe rouge. Ma bouche devient sèche.

- Arrête de faire ça, tu m'excites !

- L'autre fois tu ne m'as pas dit d'arrêter.

- Alors continue !

- Ça ne te dérange pas si je me mets plus à l'aise ? 

Je lui fit un signe négatif. A cet instant, elle enleva complétement sa robe, elle ne portait aucun sous-vêtement. Cela me troubla énormément, surtout que j'adorais son corps. Je ne dis rien, incapable de prononcer le moindre mot… 

- Je te sers un whisky ?

- Je n'ai pas fini mon café !

- Pas grave ! Il fait chaud ici, tu ne trouves pas Mathilda ? 

- Oui, c'est vrai, lui dis-je.

A cet instant, elle se versa du whisky sur le corps. Elle avait l'air d'apprécier ce doux frisson. Ses beaux seins durcirent au contact du liquide. 

- Approche Mathilda, tu peux goûter si tu veux... 

Je me suis alors approchée et j'ai goûté doucement au liquide... Je léchais doucement ses mamelons. Lorsque le liquide eut complétement disparu, je continuais à sucer ses mamelons. Johanna semblait apprécier la caresse, car elle gémissait comme une chienne en chaleur, ce qui m'excitait au plus haut point. Après, elle se leva et me dit de me coucher par terre sur le ventre, ce que je fis. Elle revint quelques minutes plus tard. 

- Tu peux regarder... 

Johanna s'était changée et était à présent vêtue en cuir noir. Le cuir moulait parfaitement à sa peau. Il laissait paraître ses seins encore plus gros qu'ils ne l'étaient en réalité. Elle me dit : 

- Ecoute, bien petite salope, tu mérites une punition, tu es une vraie garce et les garces dans ton genre doivent être punies. 

- Une punition, mais qu'est ce que j'ai fait ? Demandais-je en rentrant dans son jeu.

- Je m'apprêtai à regarder mon feuilleton à la télévision et toi tu es venue m'exciter ! Comme si tu ne savais pas que Caroline était absente ?

- Alors d'accord, punis-moi !

C'est alors qu'elle m'attacha ventre à terre. Elle lia mes poignets, puis immobilisa mes chevilles avec une barre d'écartement. Elle commença ensuite à me fouetter avec un martinet... le dos et puis les fesses. Pendant ce temps, elle me criait que j'étais une salope. Puis quelques instants après, je sentis un vibrateur pénétrer dans mon petit trou. Elle l'entra très fort et très violemment. Elle allait très vite et le ressortait de temps en temps afin que je le lèche et le nettoie des traces douteuses qui s'y étaient déposées. En même temps, elle me fouettait, mais heureusement, pas très fort. Après ces quelques ébats, elle me détacha et me retourna sur le dos. Elle se déshabilla, puis commença à se masturber devant moi. Elle touchait ses seins avec vigueur et elle jouait avec sa petite chatte. Puis elle me demanda d'ouvrir la bouche.

- Tu vas boire ma pisse, j'ai une grosse envie.

Sans hésiter j'ouvris la bouche, avalait le délicieux liquide doré. Et m'en régalait.

- Elle est comment ma pisse ?

- Délicieuse !

- Si tu as aimé ma pisse, tu va aimer ma merde ! Maintenant je vais te chier dessus ! Tu as quelque chose à dire ?

- Non, puisque c'est ma punition !

Une punition, non, un cadeau puisque rien de ce qui venait de Johanna ne pouvait être mauvais.

Elle s'accroupit au-dessus de moi et commença à pousser, un joli petit étron pointa et sa vue m'excita terriblement, je voulu le lécher, mais n'en eut pas le temps, car il s'agrandit et devint un long boudin qui dégringola sur moi en s'enroulant. J'étais aux anges.

- Merci Johanna !

Je n'avais pas entendu la porte s'ouvrir.

- Coucou, c'est moi !

C'était Caroline complètement nue ! Je ne comprenais pas, ou bien son rendez-vous dentaire était déjà terminé ou alors il n'avait jamais existé.

- Oh ! Ma petite maman je vois que je tu viens de chier un joli boudin sur cette salope de Mathilda..

- J'avais une grosse envie.

- Alors, laisse-moi te servir de papier à cul !

- Bien sûr ma fille, vient lécher le fion de ta mère et après tu me feras minette..

Caroline se précipita langue en avant pour nettoyer le trou du cul merdeux de sa génitrice. Evidemment en bonne copine, elle m'invita à partager.

Après ces moments de folies et après nous être échangé un long et baveux baiser merdeux j'interpellais mon amie.

- Tu ne pouvais me le dire que tu couchais avec ta mère, espèce de grande coquine ? 

- Tu crois que ce sont des choses faciles à avouer ?

- Où est le problème ! Vous ne faites de mal à personne !

- Je suis bien d'accord, mais va expliquer ça aux gens, toi !

Fin

Mathilda Stenberg librement inspiré d'un texte signé Joel, paru sur le site de Sophiexxx en 2000.


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Par Mathilda Strernberg - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mardi 4 juillet 2017 2 04 /07 /Juil /2017 08:17

Bernadette est une bonne esclave par Mathilda Stenberg

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Bernadette est une bonne esclave par Mathilda Stenberg

 

 

Ce jour-là, en arrivant chez ma copine Nicole, j'ai été accueillie par une drôle de soubrette. Une femme pulpeuse, la quarantaine épanouie, habillée d'une robe noire trop courte, avec un petit tablier blanc et une ridicule coiffe posée de travers dans ses cheveux. Mais surtout, elle avait une chaîne cadenassée à la taille, un morceau descendait jusqu'à des menottes qui lui entravaient les pieds. Elle baissait la tête et paraissait très gênée. Je l'ai complimentée sur sa tenue, ce qui l'a fait rougir encore plus.


Elle nous a servi le café, juchée sur des semelles compensées, elle trottinait dans un amusant bruit de chaînes. Nicole m'a expliqué que Bernadette était sa nouvelle employée, une femme célibataire, ne trouvant pas de travail après avoir été licenciée et qui avait déposé sur le net une curieuse annonce. Dès que Nicole avait testé les tendances masochistes de Bernadette, elle l'avait réduite en esclavage, changeant son prénom, lui imposant une tenue de soumission, des entraves et des punitions corporelles. Ce n'est pas pour rien que Nicole est ma meilleure copine, nous avons les mêmes goûts, lesbiennes branchées sadomasochisme, nous adorons les nanas soumises qu'on peut remodeler à notre guise.


Jusque-là, j'étais surtout attirée par les filles de mon âge, mais Bernadette m'a tout de suite fait de l'effet. Je n'allais pas me gêner avec une esclave, j'ai caressé les cuisses de Bernadette et j'ai relevé sa jupette pour regarder son gros cul, moulé dans un collant couleur chair. Je lui ai aussi demandé de se pencher devant moi, pour admirer sa poitrine comprimée par la petite robe, elle est bien bustée, comme on dit "il y a du monde au balcon".


Seulement voilà, Bernadette s'est penchée un peu top, et hop, un de ses nichons a glissé hors du décolleté. Nicole n'attendait que ça, elle s'est mise à traiter son esclave de tous les noms. La tête basse, Bernadette a apporté une cravache, et s'est docilement mise à genoux. Nous avons donné des coups de cravache sur son gros sein blanc. Nous l'avons aussi pincé, entre deux on roulait une pelle à Bernadette, et on lui crachait dans la bouche. Son menton dégoulinait de salive.


Cette situation nous excitait, et Nicole a eu l'idée de faire venir son chien, un labrador beige, et elle a ordonné à Bernadette de lui sucer la bite. Elle s'est acquittée de cette tache sans broncher, pompant la pine du chien avec gourmandise. Du coup je l'ai viré et j'ai pris sa place, moi aussi j'aime bien sucer les bites des chiens. Nicole est venue m'aider à faire jouir le chien et ensuite nous nous sommes échangées ce que contenait nos bouches en un long baiser baveux.


J'avais envie de pisser. Pourquoi se servir des toilettes quand on a une esclave pour nous servir de chiottes ? Bernadette s'est couchée par terre, je lui ai foutu ma chatte sur la bouche et on lui a ordonné de tout boire. Après je lui ai roulé une pelle avec le gout de mon urine dans sa bouche.


En esclave bien dressée, Bernadette nous remerciait de la punir. Elle m'excitait beaucoup, son gros nichon était couvert de belles marques rouges, Nicole était dans le même état d'esprit et nous avons fait l'amour, pendant que la boniche était au coin, nez au mur. Quand je suis partie, Bernadette avait encore un sein à l'air, mais en plus on lui avait mis des pinces à linges dessus, un vrai hérisson.


Je suis retournée plusieurs fois chez Nicole, pour m'amuser avec Bernadette. Je la faisais mettre torse nu et je triturais ses gros nichons. Elle avait une honte terrible, je l'insultais, je lui crachais dessus, je lui faisait lécher son gros cul par le chien, elle devait ensuite me lécher les pieds, sous les bras, le trou du cul que je ne m'essuie jamais complétement quand je viens, et, pour finir, la chatte jusqu'à la jouissance.


Un jour, Nicole m'a dit qu'elle était en train de soumettre une pulpeuse blonde, dont elle voulait faire son amante-boniche. En conséquence, elle me proposait de lui " racheter " Bernadette. Je n'avais personne, l'idée me plaisait.


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Bernadette a passé quelques bons moments, nous la faisions mettre toute nue et nous examinions la marchandise sous toutes les coutures. On lui regardait les dents, et pour rire on discutait le prix, on la pesait. Nicole voulait la vendre au poids. L'esclave faisait mine de protester, mais elle est tellement masochiste que la mouille coulait sur ses cuisses. Finalement nous sommes tombées d'accord sur un prix. Nicole me la vendait contre 50 coups de martinet. J'ai trouvé que c'était une bonne affaire. J'ai demandé à Nicole si on pouvait payer en deux fois, pour toute réponse, elle m'a foutu une paire de claque et m'a dit que puisque c'était comme ça elle montait le prix à 100 coups de martinets. J'ai dit d'accord et je me suis laissé faire.


J'avis le cul tout rouge mais j'étais contente de mon "achat"


J'ai mis mon achat dans le coffre de la voiture et je suis rentrée avec un mal au cul pas possible. (C'est qu'elle tape fort, Nicole, je n'aimerais pas être son esclave !) Je ne regrette pas mon investissement. Bernadette est très docile, elle obéit au doigt et à l'œil, elle est très soumise et accepte les brimades et les punitions que je m'amuse à lui inventer. Et avec moi, elle est servie, je m'occupe de ses gros nichons, je pose des élastiques dessus, jusqu'à les faire ressembler à des gros boudins obscènes,


Je l'arrose de cire chaude, partout je la tape, j'adore lui rougir les fesses, lui mettre des pinces partout, l'autre jour je lui est mis une pince à linge sur le bout de la langue, ce que j'ai pu rire ! Dans le jardin j'ai conservé à son intention un petit carré d'orties. Je m'amuse parfois à la pousser dedans, ça la démange bien, mais je suis bonne fille, après je l'attache pour l'empêcher de se gratter. Puis, je la fourre avec un gode-ceinture, elle couine de plaisir, la truie ! Quand je lui fous dans le cul, le gode ressort avec de la merde, alors je l'oblige à le lécher jusqu'à ce qu'il soit propre comme un sou neuf. Je lui rappelle toujours sa condition, je lui explique qu'elle a été réduite en esclavage, et qu'elle ne retrouvera jamais sa condition antérieure. (Ce qui est complètement faux, mais nous sommes très joueuses).


Bien sûr avec moi toutes mes envies de pisser se termine dans sa bouche, elle y a pris goût la garce. Je lui ai dit qu'un jour je lui ferais bouffer ma merde. Comme ça n'avait pas l'air de la choquer plus que ça, un jour j'ai chié devant elle et je lui ai dit que dorénavant je ne me servirais plus de papier à cul, que c'est elle qui me nettoierait l'anus avec la langue. Elle m'a superbement bien nettoyée, la salope. Le lendemain, pendant que chiais, je l'ai appelé pour qu'elle puisse me contempler et je lui ai gardé pour elle mon dernier étron que je lui ai carrément chié dans la gueule. Après nous nous sommes échangées un long baiser merdeux.


Des fois, le matin, je prends mon tube de rouge à lèvres et j'écris sur son front, sur ses seins, sur ses cuisses, sur son ventre, sur ses fesses, un peu partout quoi… ce que je pense d'elle, des mots gentils comme salope, boudin, morue, garage à bites, chienne…et elle reste avec ça toute la journée. 


L'autre jour, j'ai mangé un cassoulet, j'adore ça, mais ça me fait péter. Quand j'ai senti venir le deuxième prout, j'ai baissé ma culotte et j'ai demandé à Bernadette de venir humer mon trou de balle. Comme ça je lui ai pété en plein dans la tronche ! Comme elle a oublié de me remercier j'ai été obligé de la gifler ! Qu'est-ce qu'on peut perdre comme temps en formalités avec ces esclaves mal élevés !


Une fois à la tombée de la nuit, nous sommes allées au bois avec Nicole et nos esclaves respectives, nous leur avons demandé de faire les putes. Nous les avons regardé sucer des bites pendant que nous nous tripotions tellement nous étions excitées. Elles devaient sucer dix bites chacune, c'était le tarif. On s'est amusé comme des folles et ça nous a fait de l'argent de poche.


Je l'ai emmené chez le perceur pour lui faire trouer les tétons, et je lui ai acheté deux magnifiques boucles qui s'enfilent dedans, c'est bien plus pratique quand je veux jouer avec ses nichons. Comme quoi je peux être généreuse, parce que ce n'est pas donné ! J'ai demandé au perceur de me faire demi-tarif et en compensation il pourrait enculer Bernadette. Evidemment ce gros cochon a accepté.


Voilà la vie que je fais mener à mon esclave, je suis dure, mais Bernadette y trouve largement son compte, et me prouve souvent son attachement. 


Avant de me coucher hier, j'ai proposé à Bernadette que nous inversions les rôles pendant 24 heures. Cela a eu l'air de l'amuser.


Le réveil sonne, il est 7 heures du matin, je m'étonne que Bernadette ne m'ait pas encore servi mon petit déjeuner au lit. Et puis je me souviens, aujourd'hui c'est moi l'esclave. Alors je retire mon pyjama je mets à genoux sur la moquette et je sonne ma maîtresse d'un jour.


Qu'est-ce que je vais prendre ! J'en mouille déjà !


Bernadette arrive, elle m'intime l'ordre de me coucher par terre et d'ouvrir la bouche, elle s'accroupit au-dessus de moi, son anus s'écarte, une petite crotte demande à sortir, j'ouvre la bouche.


Voilà une journée qui commence bien !

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Fin du récit


 

Mathilda Stenberg

 

 

Mathilda Stenberg

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Samedi 2 juillet 2005 6 02 /07 /Juil /2005 17:02

Delphine est mal fringuée
par Mathilda Stenberg

 

 

scat

Thémes traités : feuille de rose, lesbos, party, scato, trio, uro.
Attention, scato explicite dans ce texte.

Bonjour, je m’appelle Mathilda, je suis brune, on ne me trouve pas mal même si je suis un peu forte et que je devrais perdre quelques kilos ! J’ai 26 ans. Parler de mon boulot ne vous intéressera pas, mais à l’époque de ce récit, j’accomplissais une mission de longue durée dans la région languedocienne, et j’avais trouvé une colocation chez une femme charmante, une antillaise d’une bonne quarantaine d’année, plutôt du genre plantureuse qui se prénommait Agnès. Une grande complicité s’est vite établie entre nous. Parfois elle me parlait de sexe, me disait qu’elle aimait s’amuser et m’avait confié qu’elle n’avait rien contre les femmes. Je n’avais jamais relancé, ne pensant pas que je pouvais l’intéresser. En ce qui me concerne j’avais rompu depuis plusieurs mois avec mon petit copain, et ne vivait que d’aventures sans lendemain. Quant aux femmes, j’avais eu une aventure un soir de fête avec une fille, le trip sexuel avait été parfait, mais ma partenaire n’avait pas souhaité donner suite. Ce fut mon unique expérience en la matière

Au moins une fois par semaine, nous partagions notre dîner avec Delphine, une fille blonde d’une vingtaine d’année, c’est la fille d’une ancienne voisine d’Agnès. Je n’ai jamais compris ce qu’elle fabriquait, mais cette nana était en perpétuelle galère, compétemment fauchée et s’habillant n’importe comment avec des vêtements que lui donnait les gens. Pas maquillée et coiffée sommairement. C’était dommage parce qu’un peu arrangée, on aurait certainement pu la classer parmi les « mignonnes ».

Hier soir Delphine est arrivée avec une jupe à bretelles sortant de je ne sais où, mais en plus, elle était tellement courte qu’on voyait ses collants filés et le bas de ses fesses, heureusement qu’elle avait recouvert tout cela d’une espèce de gabardine…

On a d’abord mangé, bu un petit peu ! On s’est mise à déconner sévère… Puis Agnès s’est souvenue que l’anniversaire de Delphine tombait dans une dizaine de jours !

- Est-ce que tu aimerais qu’on te paie des fringues ?
- Pourquoi pas, mais je ne sais pas trop ce qui me va ou pas !
- J’ai une idée, dis alors Agnès, comme tu fais à peu près la même taille que Mathilda, tu vas essayer quelques-unes de ses fringues, comme ça tu pourras nous dire ce qu’il te plait, et la semaine prochaine on ira faire les achats.

Nous nous sommes donc installées dans ma chambre et avons choisis quelques vêtements.

Agnès demande à Delphine de quitter sa jupe et d’essayer une petite robe bleue mignonne comme tout. Elle s’exécute et passe la robe par-dessus son chemisier et son pull. On rigole et on lui dit de quitter tout pour essayer comme il faut.

Delphine se retrouve donc en soutien-gorge et collant devant nous, et remet la robe. Une fois enfilée elle tourne devant nous, toute heureuse.

- Le problème c’est qu’avec le soutif que tu as, ça fait un peu bizarre ! dit Agnès. Laisse-moi arranger ça, on est entre femmes, non ?

Alors, sans autre cérémonie elle lui baisse la robe jusqu’à la ceinture, puis dégrafe son soutien-gorge ! Delphine se retrouve alors la poitrine nue devant nous et son réflexe est de se la cacher en mettant ses mains dessus.

Agnès, en riant lui attrape les bras et les lui place le long du corps.

- Tss, tss, je t’ai dit qu’on était entre femmes… Mais tu as une poitrine superbe ma fille !

Et elle lui met une main sur un sein et le caresse .Puis elle passe derrière elle et la saisit par sa poitrine à pleine mains qu’elle pelote ostensiblement devant moi.

Moi ça me fait rire de voir Delphine se trémousser, se demandant quelle attitude adopter, alors qu’Agnès continue à lui malaxer fermement ses gros nichons.

- Tu rigoles, petite garce, mais je suis sûre que tu n’as pas d’aussi jolis seins ! Me lance l’antillaise avec un sourire complice.
- Chiche que l’on compare ! Dis-je pensant que l’affaire en resterait là.
- Chiche ! Réplique Agnès !

Du coup je rentre dans le jeu et aussitôt dit, aussitôt fait, je tombe ma robe, quitte mon chemisier et mon soutien-gorge et me met en face d’elles, le torse gonflé, les seins en avant.

- Vas-y ! Compare !

Je suis en petite culotte devant Delphine et Agnès lui lâche un sein et commence à me caresser le mien.

- Difficile à dire, ils sont aussi doux et fermes !

Agnès nous fait nous plaquer l’une contre l’autre et nos poitrines se touchent, téton contre téton, ce qui a pour effet de me donner la chair de poule et instinctivement, je me frotte contre la blonde. Je la prends par la taille et me serre contre elle. Je sens alors mes pointes se durcir tandis que Delphine envahie par la chair de poule ne dit plus rien, mais se laisse faire. On se reste comme ça quelques instants, Agnès s’assoit un moment et nous regarde toutes les deux :

- Finis donc de lui enlever sa robe ! Me demande-t-elle

Je m’exécute lentement en lui caressant les hanches. La robe tombe à ses pieds.

- Laissez-moi vous guider toute les deux, mes petites chéries…

Pas de réponse mais nous sommes face à face, troublées et je tiens Delphine par les hanches.

- Bon ma biche, quitte lui son affreux collant.

Une nouvelle fois, je m’exécute lentement, et pour mieux faire, je me mets à genoux devant elle et saisissant l’élastique du collant, je le tire vers le bas. Je sens la peau des fesses douces et lisse, tire plus fort, la culotte viens avec, mais, trop occupée des réactions de Delphine je baisse tout jusqu’à ses pieds et elle se retrouve nue devant moi, son sexe à hauteur de mes yeux. Une sorte d’élan pervers fait alors que je ne peux m’empêcher de passer mes lèvres sur son pubis et de l’embrasser. Ça sent un peu fort, mais ça ne me gêne pas. Delphine réagit en me caressant les cheveux, et moi je laisse traîner ma bouche sur son ventre et sa motte gonflée tout en lui caressant les fesses. Agnès nous regarde faire, puis au bout d’un moment dit :

- A toi Delphine !
- Pardon ?
- Quitte lui sa culotte !

Je me suis relevée et Delphine, timidement se met à genoux devant moi et descend ma culotte sur mes pieds. Elle met du temps pour le faire et je sens ses mains s’attarder sur mes fesses puis sur mes cuisses. Elle fait exprès de me toucher le pubis et sous prétexte de descendre la culotte, passe sa main entre mes jambes et touche furtivement mon sexe. Instinctivement, j’ai d’abord serré les jambes, mais sous sa pression les ai desserrées et même ouvertes légèrement.

- Très bien les filles, vous étes super belles comme ça !

Agnès nous a rejoint et a relevé la blonde. Maintenant elle nous caresse toute les deux, les seins, le ventre, les fesses et nous nous laissons faire avec toutes les deux la chair de poule. Puis en même temps, Agnès passe sa main entre nos cuisses et nous caresse le minou. Je sens ses doigts s’infiltrer en moi et je vois que pour Delphine, c’est la même chose. Je m’accroche à ma partenaire et ouvre un peu plus mes cuisses. Delphine vient se frotter ses seins contre moi et je lui caresse les fesses. Elle aussi a ouvert davantage ses jambes et la caresse d’Agnès se transforme en une masturbation en règle pour toutes les deux. Nous nous embrassons et jouissons ensemble sous la caresse.

Après nous avoir faites jouir Agnès, toujours habillée, s’est rassise, a ouvert ses jambes et se caresse en nous regardant avec un petit sourire moqueur.

- Restez comme ça mes chéries, regardez-moi si vous voulez et continuez de vous toucher.

Agnès a maintenant quitté sa culotte et jupe relevée, jambes ouvertes se doigte devant nous, très vite elle rejette la tête en arrière et commence à jouir, ce qui ne l’empêche pas de continuer à se doigter et s’exciter toute seule. Alors, on s’est approché d’elle, et on l’a caressé d’abord timidement, sur les cuisses, puis j’ai découvert sa superbe poitrine noire que j’ai pris plaisir à parcourir de ma paume et de mes doigts puis de ma bouche. Delphine a remplacé la main d’Agnès par sa propre main sur son sexe gluant.

Puis, abandonnant les seins d’Agnès, je suis passée derrière la blonde, approchant ma bouche de ses fesses, lui écartant les globes, dirigeant ma langue vers son petit œillet ! Ça sent fort, cette fille a dû oublier de s’essuyer le cul après avoir été chier ! J’ai un réflexe de recul !

- Ça pue !
- Qu’est ce qui pue ? demande Agnès.
- Son, cul, ça pue la merde !
- Ah, ouais, attends je vais me rendre compte moi-même !

Sans doute vexée par mon attitude, Delphine se dégage et va pour ramasser ses vêtements ! Agnès se penche vers elle, lui caresse le dos !

- Tss, tss, Mathilda est une méchante fille, elle n’y connaît rien, montre-moi tes fesses, moi je suis sûre que je vais les aimer !
- Non, laissez-moi tranquille !
- Mathilda disait ça pour rire ! N’est-ce pas Mathilda ?

Je ne voudrais pas qu’il y ait un drame, aussi j’abonde dans le sens d’Agnès !

- Bien sûr que je disais ça pour rire !
- Je sais bien que je suis un peu sale… mais j’avais pas prévu que la soirée finirait comme ça, sinon j’aurais pris une douche !
- Tu ne me comprends pas ! Repris-je ! En fait, l’odeur ne me dérange pas tant que ça…
- Alors continue de lui lécher le cul ! Me coupe l’antillaise, me mettant au défi.
- J’arrive !

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour éviter un drame ! Je ne sais pas si je vais en être capable, je me verse un grand verre du vin blanc qui traînait sur la table et reviens butiner le trou du cul de Delphine. Ça pue toujours, ça pue toujours la merde, mais bon, on s’habitue, on s’habitue même très rapidement. J’essaie de lécher, quelque part maintenant cette situation m’excite, je lèche maintenant avec frénésie, je ne me reconnais plus ! Il faut dire objectivement que l’odeur ne persiste pas, et que les traînées brunâtres qui me tombent sous la langue sont certes un peu âcres mais n’ont rien de pestilentielles ! Alors je décide que j’en veux encore, ma langue est dans son trou du cul, je le fore, je l’explore je m’en enivre !

- Alors ? Me demande Agnès ? Tu te régales ?
- Super ! C’est vraiment super de lécher un trou du cul qui pue !
- Tu m’en as laissé ?
- Je te laisse la place !

La langue d’Agnès remplace donc la mienne dans le troufignon de Delphine !

- On ne sent plus grand-chose ! C’est dommage, il n’y a que quand je suis super excitée que je peux faire des trucs pareils.

Agnès plonge un doigt dans le trou de Delphine, le ressort au bout d’un moment, tout merdeux et le lèche !

- Hum c’est délicieux ! Tu veux goûter, Mathilda ?

Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre.

- Vous êtes vraiment dégueulasses, toutes les deux, dit alors Delphine pour se moquer !
- Ça c’est vrai !

Agnès replonge une nouvelle fois son index dans l’anus de la blonde, puis me le tend.

Je ferme les yeux et j’ouvre la bouche, l’instant d’après je léchais avec passion, je ne me reconnais plus… Puis Delphine se dégage…

- Faut que j’aille pisser !
- Bonne idée on va te regarder ! Réplique Agnès !
- Tu veux voir mon pipi ?
- Tu as dit voir ou boire ?
- J’avais dit boire, non j’avais dit voir, je ne sais plus !

On se met toutes à rigoler !

- Bon vous voulez quoi ? demande Delphine
- Tu vas nous pisser dessus propose Agnès ! Ça te dit, Mathilda ?

Au point où en en est… Une fois un de mes ex m’a pissé sur les seins alors que je prenais mon bain, ça m’avait fait rigoler ! On s’allonge Agnès et moi sur le carrelage, l’une à côté de l’autre ! Delphine nous chevauche au niveau de nos ventres :

- Serrez-vous bien l’une contre l’autre, je n’ai pas des jambes de basketteuse !

Et le pipi sort, j’en reçois plein sur le ventre, c’est chaud, c’est rigolo, Agnès se marre comme une bossue tandis que la pisseuse s’avance vers nos seins, puis vers nos visages, je ferme la bouche instinctivement mais quand je vois l’antillaise avaler une rasade, je me décide à goûter ! Ça ne vaut pas le muscadet mais ça se boit…

- Bougez pas, je crois bien que je vais chier…

Non elle ne va pas faire ça ! Ben si et personne ne bouge, j’ai son sphincter à trente centimètres de mon visage ! Et Agnès qui attend la bouche ouverte, elle est folle ! Et moi je ne bouge pas, tétanisée.

- Ah ! Vous auriez bien voulu !

L’anus s’écarte, un étron brun commence à sortir. Je le regarde fasciné. Un long boudin descend à présent du cul de Delphine et dégringole sur les seins d’Agnés.

Elle rigole, elle prend l’étron dans sa main et en porte l’extrémité à sa bouche comme s’il s’agissait d’une bite, puis donne des coups de langue.

- Tu veux goûter ! Me propose-t-elle.
- Non peut-être pas !
- Juste un coup de langue, comme ça, pour voir !

Je ne sais ce qu’il m’a poussé à le faire mais je le fais.

- On lui nettoyer le cul toutes les deux !

Je m’acquitte de cette tâche avec une facilité et une décontraction que je n’aurais jamais imaginé. C’est vrai que tout cela est dans la tête, on s’attend à un goût abominable alors qu’il n’en est rien du tout.

- A ton tour de me lécher le cul, maintenant ! Lui dit alors Agnès, je crois qu’à cette heure-là il ne devrait pas sentir la rose !

      fdr-l1176

Et tandis que la blonde prodigue une jolie feuille de rose à la belle black mature, je reste allongée, ma tête me tourne un peu ! Cinq minutes plus tard, Agnès revient vers moi et me caresse.

 

- Viens me rejoindre, Delphine ! On va s’en occuper à deux !

Elles m’ont alors exploré tout le corps, dans ses moindres détails. Tout n’était que caresses et douceur. Mise sur le ventre, Delphine sous moi, nous étions sexe contre sexe, puis suivant les conseils d’Agnès, tête bêche, bouche coutre sexe. Agnès me caresse le dos descend sur mes fesses, me les malaxent, passe sa main entre le sillon, s’arrête un instant, trouve mon petit trou et le caresse, le masse. Cette caresse, doublée de la langue de Delphine sur mon bouton me fait me cambrer et elle en profite pour de nouveau me pénétrer avec son doigt. L’antillaise profite de la situation et le massage de mon anus devient insistant et pénétrant. Je sens son doigt me pénétrer doucement puis se retirer. Je me cambre davantage, l’appelle. Il revient et rentre facilement plus loin et commence un doux va-et-vient alternatif avec celui de Delphine Je suis comme folle, comme une chienne et me cambre encore, suis à quatre pattes, ouverte, offerte et encore plus. Je jouis, me frotte la poitrine sur la motte de Delphine. Le doigt d’Agnès disparaît dans sa bouche, elle est partie. Mon corps désespéré l’appelle !

J’ouvre mes fesses, me frotte plus fort contre mon amie. Miracle, Agnès est de retour, elle me caresse, j’ouvre mes fesses l’invite. Je sens de nouveau son doigt, il pousse, entre, se retire et de nouveau entre par la petite porte. Je crie, j’en veux plus, je la lèche.

Le « plus » c’est Agnès que me l’offre. Son doigt s’est retiré et je sens la pression de quelque chose sur mon petit trou affamé. C’est gros, énorme et ça rentre lentement, je suis écartelée et heureuse, ça vibre en moi et provoque une décharge électrique si intense que je me vide, ma chatte n’est que ruisseau, fontaine. Jamais je n’ai été si comblée, pourtant l’engin que m’a enfoncé Agnès est plus que respectable par sa taille. Maintenant il me fait peur à voir, mais au fond de moi une envie de le remettre me poursuit et en plus mon trou me fait mal, il me brûle et en redemande…

Je m’empare du gode et je le lèche, le nettoie de toute ma merde. Je suis chienne et j’aime ça…

Agnès me roule un patin, j’ai l’impression que sa bouche a conservé l’odeur de ce qu’elle a léché, mais j’en ai cure, ce baiser est trop bon. Delphine vient s’immiscer, c’est amusant de mélanger nos langues à trois.

je crois que je vais dormir un peu… Non peut-être une douche avant…

Mathilda Stenberg 2005

Rewriting de « ma meilleur amie et ma belle-mère » paru jadis sur Sophiexxx sans mention de nom d’auteur, ni la moindre correction

Par Mathilda Strernberg - Publié dans : Mathilda Stenberg
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