Mathilda Stenberg

Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:28

Ma patronne est une garce… par Mathilda Stenberg

 

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Ma patronne est une garce… mais je l’adore

Je me prénomme Fabienne et j’ai quarante-cinq ans. Je travaille dans un magasin de prêt-à-porter. Ma patronne, Julia est bien plus jeune que moi, n’ayant pas encore 30 ans. Elle est blonde, menue, fragile comme une porcelaine. Moi, je suis une vraie brune, large de fesses et de poitrine. Pour seul point commun nous avons toutes les deux le même tempérament explosif qui a besoin de jouir plusieurs fois par jour. Au début ce fut quelques attouchements furtifs pendant les heures creuses du magasin et quelques patins bien baveux, pour se donner quelques plaisirs dans la cabine d’essayage, puis nous sommes allées de plus en plus loin. C’était bon mais on n’avait pas assez d’aise, on se sentait frustrées. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à nos époux qu’on allait faire de la gymnastique dans un club privé, on est allé faire l’amour dans un petit studio que ma patronne avait loué spécialement à cet effet.

Malgré sa jeunesse elle était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minet à la pénétration par godemichés. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Un soir, elle m’a demandé si j’étais prête à tout accepter de sa part, y compris des punitions corporelles et des humiliations. Je lui ai répondu que je voulais bien essayer et que je pouvais être très soumise.

– La seule chose que je ne te ferais jamais c’est de t’attacher, tu seras toujours libre, tu pourras toujours quitter une séance et cela n’aura aucune conséquence pour ton travail. Mais réfléchis bien, si tu te sauves, ça en sera peut-être fini de nos jeux érotiques ! Ce serait vraiment dommage.
– On verra bien !

Le soir même, arrivé au studio elle me demanda de me mettre complètement nue, elle restant habillée. Elle alla alors chercher une ceinture en cuir et m’en cingla les fesses en exigeant que je lui dise merci à chaque fois, j’ai eu un peu d’appréhension mais rapidement l’excitation me gagna et je sortis de cette séance toute mouillée… mais mes tourments n’étaient pas terminés, elle sortit d’un sac en plastique un cintre à jupes muni de deux pinces et voulut me le fixer sur la pointe de mes seins.

– Non pas ça, ça va faire trop mal !
– Tu n’en sais rien tu n’as même pas essayé.
– J’ai pas envie !

La gifle me surprit, j’aurais pu partir à ce moment-là, mais la situation m’excitait, je murmurais un simple merci.

– Allez, on essaie ! Reprit Julia revenant à la charge

Je me laissais faire cette fois, retenant mon souffle, la douleur était supportable et me provoquait même quelques frissons qui augmentèrent en intensité quand ma patronne se mit à jouer avec le cintre, le tirant vers elle, le faisant tomber puis y rajoutant des poids. Un quart d’heure plus tard, elle m’ôta l’instrument de mon supplice et nos langues s’unirent précédent nos corps pour une étreinte torride.

– Ouvre ta bouche, petite chienne, j’ai envie de te cracher dedans !
– Ça ne va pas, non ? Me rebellais-je.
– C’est quoi ces protestations ? Quand on s’est roulé une pelle tout à l’heure, tu as bien avalé ma salive, non ?
– Oui, mais…
– Mais quoi, je n’ai pas changé de salive , c’est toujours la même. Tiens j’ai une idée…

Et Julia se crache alors sur ses seins. laissant une trace dégoulinante.

– Nettoie-moi mes nichons.

J’ai un peu hésité et je me suis lancée, il y a juste un pas psychologique à franchir, et quand elle m’a craché dans la bouche, je l’ai accepté comme une douce humiliation qui m’a provoqué des frétillements entre les jambes.

On s’est reposé ensuite quelques instants, puis Julia, m’avertit de son intention d’aller faire pipi, elle voulait absolument que je la regarde. Le spectacle n’était pas déplaisant, ce petit jet doré sortant de sa petite chatte blonde était ma fois tout à fait charmant…

– Essuie !

J’attrapais une feuille de papier toilettes !

– Tu fais quoi ?
– Ben, je prends du papier !
– Non, c’est avec ta langue de pute que tu vas me nettoyer !
– Mais tu es folle ! Je n’ai jamais fait ça.
– Il y a un début à tout. Si tu aimes le goût de ma chatte, tu vas aimer, essaie !

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J’avançais ma langue méfiante, mais c’est vrai que ça n’avait rien d’insurmontable, et ce petit côté défendu était même excitant…

– Tu y prends goût, tu es une vraie salope !
– C’est de ta faute tu me fais faire des trucs impossibles !
– J’ai encore envie d’en faire une petite goutte, ouvre ta bouche, je vais te pisser dedans !
– Non !
– On dis pas non, on dit  » Ou, Julia  »
– Je te préviens, je vais tout cracher !
– Essaie de ne pas le faire… demain tu en redemanderas !
– Allez, assez discuté ouvres-moi ta bouche de pute :

Il ne restais qu’une goutte, je l’avalais sans problème, regrettant presque qu’il n’y en eut pas davantage !

– Dommage que je n’ai pas envie de chier, tu m’aurais nettoyé le cul !
– T’es vraiment malade !
– Tu n’as jamais sucé tes doigts après que tu te les sois foutus dans le cul !
– Je ne fais pas ça !
– Il t’en reste des choses à apprendre ! Tourne-toi ! Je vais te montrer…

Alors Julia, m’introduit son index dans le trou de mon cul l’agitant de telle sorte que je me trémoussais de façon obscène. Puis brusquement elle le retira !

– Ferme les yeux et ouvre la bouche, tu vas me mouiller mon doigt !
– Non !
– Arrête de dire toujours non ! C’est énervant à la fin

Je refusais de fermer les yeux, j’aime bien voir ce qui m’arrive, Julia porta son doigt sous mon nez !

– Ça sent simplement l’odeur de ton cul !
– Il y a des odeurs plus agréables !
– Oui, mais celle-là elle est aphrodisiaque ! Regarde-moi je n’ai pas peur !

Et devant mes yeux effarés, je la vis sucer son doigt merdeux avec gourmandise, son manège dura un petit moment !

– Hum c’est délicieux ! conclut-elle

Elle me remit le doigt dans mon cul, cette caresse m’était très agréable, je savais ce qui allait se passer après, aussi ne souhaitant pas tergiverser cent sept ans, dès qu’elle le sortit, je pris les devants.

– Donne, je vais goûter !

J’affrontais l’épreuve, prête à tout cracher, à lui dire que décidément elle exagérait et à foutre le camp à toute vitesse. Or surprise, le goût sans être génial ne m’agressa pas. Je me surpris à conserver mon doigt dans la bouche !

– Alors ? me dit Julia
– Sorcière !
– Ben oui !

Mais voici que l’on sonne à la porte ! Je cours me passer un peignoir !

– Veut tu rester à poil ! m’ordonne ma patronne
– Mais…
– A quatre pattes, c’est un ordre, n’ai pas peur, il ne va rien t’arriver !

J’obéis, mais je n’en mène pas large.

– Guillaume, un ami, et lui c’est Jean-René, un autre ami…

Et après cette brève présentation ma patronne le plus naturellement du monde s’empare d’un godemiché s’arc-boute sur le montant du lit et commence à jouer avec …

Mais cette visite ne me plaisait guère. Les deux zigotos me palpent, j’ai la sensation de devenir une marchandise. Mais voilà que leurs grosses paluches me tripotent la chatte. Ça ne me fit pas grand-chose, aussi Julia leur conseille de s’occuper plutôt de mes tétons…

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris.

Du coup je me suis mise à mouiller et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard complice et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que Guillaume s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé Jean-René à m’astiquer le minet. Et elle m’a ordonné de retarder au maximum le moment de ma jouissance…

– Après ça n’en sera que meilleur !

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli crier mais au dernier moment, je me suis retenue. J’avais l’impression de planer dans un autre monde. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemiché et en demandant Jean-René de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer les queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de Guillaume dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux, a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place du mec, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

Jean-René fini par sortir de mon cul ! Il me contourna ! Je compris qu’il souhaitait finir dans ma bouche, mais pour l’instant il cherchait probablement un kleenex, effectivement sa bite était toute maculée de ma merde.

Alors regardant droit dans les yeux Julia qui venait de se faire jouir, je criai à mon enculeur qu’il n’avait pas besoin de s’essuyer, que je saurais le nettoyer de ma langue…

Aussi pris-je un plaisir masochiste à nettoyer toute la merde qui maculait cette jolie bite.

– T’es vraiment une trainée! Me traita Jean-René
– Oui, mais j’aime ça.

Julia ordonna ensuite à Jean-René de sucer la bite de son collègue. J’étais jalouse cette bite, je l’aurais bien sucé, moi ! Ensuite Guillaume lui pénétra le cul.

J’étais subjugué, c’est si beau de voir deux mecs s’enculer.

Mais je ne put continuer à regarder, ma patronne m’ayant entrainé dans un soixante-neuf torride, bien sûr je me régalais de cette bonne chatte ou persistait une tenace odeur d’urine.

Tout le monde ayant joui,  Julia confuse se leva pour aller chercher quatre coupes de champagne. Elle demanda aux deux hommes de pisser dedans avant que nous trinquions.

Mathilda Stenberg

E-mail: Xmathilda@hotmail.com

Ce récit a été restauré dans sa version intégrale en 2004

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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:24

Lola, son chien et son père par Mathilda Stenberg

scat

Ames sensibles, s’abstenir : scato explicite inside !

Coucou ! Je m’appelle Jade, j’ai vingt-cinq ans, fausse blonde, un peu dodue, 1,75 m. célibataire et salope à mes heures. Je suis bisexuelle et j’ai une copine attitrée qui a 45 ans et que j’adore, mais elle n’interviendra pas dans ce présent récit. J’aime sucer des chattes, des bites et des trous du cul, J’aime qu’on me pisse dessus et quand je suis très excitée, je m’adonne parfois à des choses un peu scato. Je vais vous raconter une histoire qui, je le sais, va sûrement choquer quelques personnes ici…

 

C’était l’état dernier, je devais passer par Poitiers et me souvenais qu’habitait là-bas Lola, une ancienne camarade de fac assez délurée, laquelle m’avait en son temps servi le traditionnel « si un jour tu passes dans le coin… »

 

Coup de fil à Lola. Aucun problème, elle m’attend… me donne l’adresse.

 

Lola est une brune, latine, avec un corps magnifique. Dans mes fantasmes je me disais que si par bonheur elle n’était pas insensible à mes charmes… Bref je verrais bien !

 

J’avais décidé pour l’occasion de m’habiller assez… sexy afin de pouvoir éventuellement l’allumer (j’étais loin de m’imaginer qu’en fait elle était encore plus salope que moi, mais n’anticipons pas…) J’ai donc mis une petite jupe noire assez courte et mon dos nu noir aussi, que je porte évidemment sans soutien-gorge et qui met donc ma poitrine assez imposante avec les tétons qui pointent, en valeur. J’ai complété tout cela par mes petites chaussures noires à lanières grimpantes (jusque mi tibia). Je me suis regardé dans la glace, j’avais l’air un peu pute, mais cela ne me dérangeait pas !

 

Après avoir trouvé une place de parking, j’arrivais chez mon amie et je fus quelque peu surprise lorsqu’elle m’accueillit en serviette de bain, prétextant un manque de temps pour se préparer.

 

Nous nous sommes embrassées et à ce moment la serviette mal attachée dégringola. Elle se réajusta aussitôt en riant mais la vision de sa nudité m’avait déjà émoustillée.

 

Elle avait un corps parfait, avec une poitrine assez imposante tout comme la mienne, et de plus elle était toute bronzée déjà en raison de ses origines italiennes.

 

Elle me proposa de m’asseoir dans le canapé le temps qu’elle s’habille. J’acceptai sans problème, m’installant sur le sofa et j’allumai une clope pour patienter, et son chien, un très beau labrador s’installa également à mes côtés. Un quart d’heure plus tard, (un quart d’heure pour s’habiller ! Vous vous rendez compte ?) elle revint, superbe, avec un pantacourt taille basse, un débardeur blanc super moulant et des Buffalo aux pieds. Je ne pus me retenir de rougir, elle était trop belle (bien plus que moi !) Elle me proposa à boire, j’acceptai volontiers car il faisait horriblement chaud.

 

On échange quelques banalités, elle m’apprend qu’elle s’est séparée de son mec et qu’en attendant de se trouver un logement, elle vit ici chez ses parents.

 

– Le paternel m’a demandé de laver le chien, il ne sent pas très bon et en plus avec la chaleur…

– Je peux t’aider si tu veux !

– Volontiers, mais finis ton jus d’orange !

 

Une fois fini, elle appela Globo (le chien) qui se montra récalcitrant. On finit quand même par le mettre dans la baignoire. Je devais le tenir, pendant que Lola, elle, faisait couler l’eau à la bonne température. Une fois la baignoire remplie, la séance de frottage et de lavage commença. C’est après quelques minutes de ce shampooing énergique, que l’on vit toutes deux en même temps, le sexe de Globo grossir énormément. On se regarda toutes les deux en rigolant. Lola n’hésitait pas à passer sa main dessus pour bien le nettoyer aussi. C’était vraiment très gros, et le chien avait l’air d’apprécier beaucoup nos caresses. Une fois rincé, on l’essuya énergiquement et il courut aussitôt finir de se sécher sur le canapé. Lola nettoya la baignoire… penchée comme elle était, je pouvais voir ses superbes seins ballotter dans son débardeur, et je ne me rendis même pas compte qu’un de mes seins, lui, était sorti de mon dos-nu pendant que je m’étais penchée. Lola me le fit alors remarquer en rigolant, je rougis de honte, et à ma plus grande surprise, elle s’approcha de moi, me regarda dans les yeux et me dit :

 

– Ce n’est pas grave, tu as une superbe poitrine !

 

C’est à ce moment-là que je me dis qu’il allait peut-être se passer quelque chose…

 

D’un geste très décontracté, Lola pris mon sein dans ses mains et me le remit en place. Je lui adressa un sourire complice mais sans insister.

 

On regagna alors le salon après s’être lavé les mains.

 

La chaleur était étouffante dans le salon, alors cela lui servi de prétexte pour ôter son débardeur, laissant apparaître son soutien-gorge et ses magnifiques seins. Elle me dit alors :

 

– Tu sais, tu peux faire pareil, ne te gêne pas

 

J’en crevait d’envie, mais pour faire genre je lui répondis :

 

– Oui mais moi je n’ai pas de soutif en dessous, je suis seins nus après.

– Mais pas de problème ma chérie, attends, on est entre nous, je sais ce que c’est une poitrine quand même !

 

Alors à mon plus grand étonnement, elle défit le nœud arrière de mon dos nu, et celui-ci tomba tout doucement le long de mon corps, laissant apparaître ma poitrine face à elle.

 

– Wha ! Quelle merveille ! Je ne regrette pas de t’avoir ôtée ton dos nu, tu es superbe ma chérie !

– Tu parles j’ai quelques kilos en trop !

– Penses-tu ! C’est toujours mieux que les paquets d’os !

– Merci c’est gentil, tu es superbe aussi… autant que tu sois au courant, je suis un peu bi, mais n’ai pas peur je ne vais pas te sauter dessus.

– Si tu me saute dessus, je me laisserais faire,parce que figure-toi qu’il faut que je t’avoue que j’ai moi aussi une forte attirance pour les filles

 

Alors, je ne pus m’empêcher d’approcher mes lèvres des siennes et de l’embrasser sur la bouche en un long baiser aussi profond que baveux.

 

Elle en profita pour mettre sa main sur mon sein, m’agacer le téton et commencer à me peloter un peu partout… je gémis tout doucement, c’était trop bon…

 

Je lui retirai son soutien-gorge et la pelotais à mon tour, ma main glissa à l’arrière de son pantacourt et j’agrippais ses fesses, mon doigt venant fureter dans son trou du cul.

 

Nous étions donc théoriquement parties pour une petite séance d’amour saphique… mais l’imprévu survint :

 

Alors qu’on le croyait déjà en train de dormir, le labrador sauta sur le canapé près de nous, et on eut vite fait de voir que son sexe était toujours aussi gros que tout à l’heure, voire même encore plus. Lola rigola et me dit :

 

– Ben lui en tout cas il a la forme. Tu as vu sa bite ? C’est énorme ! Tu crois que ça fonctionne comme celle d’un mec ?

– Je sais pas du tout… j’ai jamais goutée ! Lui dis-je en rigolant

 

C’est alors qu’elle me dit :

 

– Chiche ?

– Chiche de quoi ?

– Ben de gouter !

 

Je fus énormément surprise de sa suggestion. J’aime bien suce des bites et j’adore le sperme, en avoir partout, en avaler… Mais bon une bite de mec et une bite de chien ce n’est pas la même chose !

 

Je répondis :

 

– Euh… bah… et toi ? Tu gouterais ?

– Bin je sais pas, répondit-elle avec malice, si tu oses, j’oses aussi… On pourrait déjà toucher sa bite pour voir, non ?

 

J’hésitai mais fini par acquiescer.

 

C’est alors qu’elle prit sa main et enroula le sexe de Globo, et commença des va-et-vient, les mêmes que l’on fait pour masturber un mec

 

Le chien qui était tout fou au début, eut vite fait de se calmer, savourant certainement cet instant.

 

– Wha, il grossit encore ! Me dit-elle, vas-y, touche.

 

Alors je pris ma main et fit pareil qu’elle. En effet, c’était gros et très chaud.

 

– Tu crois qu’il aimerait aussi qu’on le suce ? Demandais-je.

 

Je fus super surprise de sa réponse

 

– Je sais pas, ça doit avoir un gout bizarre, mais on va voir.

 

Je compris alors à son ton, qu’elle bluffait et qu’elle avait déjà pratiqué ce genre de choses.

 

Sans hésitation, alors que j’avais encore la main sur le sexe de l’animal, elle approcha sa bouche de son sexe et y posa les lèvres. J’ôtai ma main illico, qu’elle remplaça sans attendre par ses lèvres. Je voyais sa bouche remplie du sexe de Globo, je savais plus quoi faire.

 

Elle gémissait tout doucement, elle avait l’air d’apprécier énormément.

 

Elle dégagea sa bouche et me dit :

 

– Putain, c’est géant ! Essaye !

 

J’hésitai un peu… puis, je donnai mon accord, mais je préférais avant qu’on se mette par terre, car ce n’étais pas confortable sur le sofa et surtout pas pratique

 

Elle descendit le labrador et je me mit à quatre pattes, la tête sous le chien, et après quelques nouvelles secondes d’hésitation, je finis enfin par faire glisser le sexe de l’animal dans ma bouche. Elle fut vite remplie, son sexe était très gros. Je commençai alors à le sucer, faisant des va-et-vient avec ma bouche. Lola elle, se plaça sous moi et me pelota fort tout en me léchant mes nichons.

 

C’était trop bon…. Comme une petite salope, je suçais le chien, et la vision de me voir ainsi offerte et soumise m’excitait davantage

 

Elle me dit alors :

 

– Attend, pousse-toi, je vais essayer un truc

 

J’obéis. Elle allongea le labrador par terre, le sexe tendu vers le haut…

 

– J’ai trop envie d’me faire prendre ! dit-elle

 

Elle porta sa main à sa bouche, lubrifia son sexe et s’empala presque d’un coup sur le chien. Je ne savais plus quoi dire ni faire… mais mon instinct lesbienne me fis aussitôt m’occuper de ses seins sublimes qui ballottaient dans l’air. Elle faisait des mouvement de va-et-vient sur son sexe, engloutissant entièrement celui-ci.

 

Au bout de cinq minutes, elle se retira, se mit à quatre pattes. Le chien se redressa, se mit debout et d’un coup, s’étala sur Lola, les pattes en avant, et la prit sans ménagement. Lola hurlais de plaisir :

 

– Oh ouiiiii c’est trop bon… waf je suis une chienne… oh ouiiiii il me baise à fond. Vas-y mon chien, baise la bien ta salope !

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J’étais surexcitée de la voir ainsi offerte. Je crevais d’envie d’essayer moi aussi.

 

– A moi, à moi ! lui dis-je.

 

Elle me regarda en souriant, je cru qu’elle ne voulait pas et préférait jouir de suite. Mais il n’en fut pas ainsi, elle repoussa le chien, et je me mis aussitôt à quatre pattes. Mon sexe dégoulinait de mouille, j’étais trop excitée, le chien n’eut aucun mal à venir sur moi à mon tour et à me pénétrer d’un coup. Je hurlai mon plaisir. Son sexe était dur et chaud, il n’arrêtait pas de me combler !’

 

C’est alors qu’à ma grande stupeur, je vis la porte s’ouvrir, et un type entrer… je voulu me retirer, mais le chien ne décollait pas… J’étais envahie par la honte me demandant comment me sortir de cette situation trop gênante

 

– Tout va bien ! Ne vous inquiétez pas pour moi ! Dit l’homme.

– C’est mon papa ! Me précisa Lola

 

Ah bon ?

 

– Eh bien, je vois qu’on s’amuse bien quand je suis pas là. Reprit le père. Tu me présentes ta copine ?

– C’est Jade, une amie de Paris.

– Bonjour Monsieur, répondis-je bêtement.

 

Tout en continuant à être prise par le chien, je vis le père de Lola, sortir de sa braguette une bite bien bandée.

 

– Oh ! Tu bandes bien Papa ! S’exclama Lola

– Si tu veux me sucer, j’aimerais bien.

– Mais bien sûr Papa !

 

Sans perdre une seconde Lola s’approche de son père, et lui baisse son pantalon.

 

– Si je veux lui mettre un doigt dans le cul, c’est plus pratique ! M’explique-t-elle.

 

Et elle commença à le sucer. J’étais trop étonnée de voir ça : Lola, sucer son propre père. Jamais je n’aurais pu imaginer ça… Quand je vous disais qu’elle était encore plus salope que moi !

 

Je me retirai du sexe du chien, et je me mis à le sucer de nouveau. C’était long, dur et chaud et ça dégoulinait bien…

 

Au bout de dix minutes de fellations respectives, Lola et moi n’avions qu’une envie, se faire jouir dessus. Elle abandonna le sexe de son père avec la bouche mais continua à le masturber, tout en se rapprochant du chien. Elle entrepris la fellation du labrador avec moi. Au bout de quelques minutes, le chien jouit, une quantité incroyable de sperme se déversa dans nos bouches et sur nos visages. Nos petites frimousses de salopes étaient recouvertes de sperme, de long fils blancs se dessinaient sur nos visages. J’avalais le plus de sperme que je pouvais, Lola en faisais de même.

 

A peine après avoir fini de s’occuper du sperme de Globo, on s’occupa de son père. On était déjà toutes couvertes de sperme, que son père n’a pas tarder à jouir aussi et tout nous mettre en bouche, sur le visage et les seins. Je rempli ma bouche avec le plus de sperme possible, puis, je recracha tout sur le visage de Lola qu’on avait maintenant peine à reconnaître. La petite vicieuse en fit autant, alors je me retrouvais également couverte.

 

Ensuite, on se lécha le visage, avec les mains on s’étalait toute cette quantité de sperme, nos seins brillaient avec tout le sperme qu’il y avait dessus

 

– Je vais vous rincer ! Dis le père.

 

Je ne compris pas de suite, mais Lola me demanda de mettre à genoux à côté d’elle. Le père se mit alors à nous pisser dessus d’abondance.

 

– Mais ouvre la bouche, voyons, me dit Lola.

 

Je le fis volontiers ! C’était bon.

 

Le père quitta les lieux suivi du chien nous laissant seules dans un drôle d’état mais satisfaites.

 

Nous nous sommes longuement embrassés.

 

– Y’a longtemps que tu fais ça avec ton père ? Lui demandais-je.

– Non, c’est depuis que je suis revenue chez eux, on s’est retrouvée nues avec ma mère dans la salle de bain, on a un peu déconné, puis on s’est caressé et on a fini par se lécher la moule. Quand elle va rentrer je te la présenterai, elle adore qu’on la lèche.

– Et ton père ?

– Ma mère lui a raconté ce qu’on avait fait ensemble alors il m’a carrément demandé… J’ai dit oui !

– Eh ben !

– Bon, on va se rincer pour de vrai, mais il faudrait que je fasse caca, avant.

– Tu vas faire où ?

– Ben dans les chiottes, à moins que tu ais une idée salace derrière la tête.

– J’aimerais bien voir !

– Pas de problème, je fais des jolis merdes, tu sais ! Tu veux que je me mette où pour faire ça ?

– Je voudrais te montrer que je peux être aussi cochonne que toi !

– Ça ne répond pas à la question !

– Chie moi dessus ma chérie !

– Ce n’est pas un problème, allonge-toi, je vais te gâter !

 

J’appréhendais quand même un peu, certes j’avis pratiqué un peu de scato mais cela n’avait été que léchage de doigts ou de gode. Je n’avais jamais été jusqu’à ce que l’on s’apprêtait à faire, mais ce défi que je me lançais à moi-même, je voulais l’accomplir.

 

La merde me tomba sur le visage. Par reflexe, je la dégageais, mais me reprenait aussitôt. Je saisit entre me doigt un petit bout de matière, le portait à mes lèvres et le suçait légèrement avant de le mettre dans ma bouche.

 

Je me relevais et fit signe à Lola de venir m’embrasser. Elle n’hésita pas une seconde et nous nous échangeâmes un long baiser merdeux. De la bave merdeuse dégoulinait de nos lèvres.

 

– Alors qui c’est la plus cochonne ?

– Match nul, ma chérie ! Mais tu as oublié de me lécher le cul…

 

Et la journée n’était pas terminée

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:18

Le jardinier du mois d’août par Mathilda Stenberg


Flag culote

 

C’était un mercredi d’août. Il faisait chaud ce jour là. Assise à ma table de jardin devant un verre de coca qui me rafraîchissait mal j’observais, depuis un moment Antoine, le jardinier que m’avait envoyé la société de service. Il travaillait; il était torse nu et musclé, la sueur faisait briller sa belle peau noire Je n’avais pas fait l’amour depuis longtemps et des idées cochonnes me traversais l’esprit.

J’étaie en maillot de bain deux pièces et je le surprenais à regarder parfois dans ma direction. Je cherchais à le chauffer. Enlever mon soutien-gorge me paraissait trop direct. Il me fallait trouver autre chose…

L’idée me vint rapidement, et après avoir été chercher des capotes à l’intérieur (au cas où…) je me dirigeais vers un bosquet, le contournait, fit semblant d’hésiter, puis changeais de bosquet pour finalement revenir au premier. Mon manège finit par éveiller la curiosité du jardinier. Changeant une nouvelle fois de position, je fini par m’accroupir après avoir fait semblant de m’assurer qu’il ne me regardait pas. Je pris mon temps, puis écartait légèrement ma culotte par le côté, je dégageait ma chatte trempée et poussait pour pisser. Au bout de quelques instants un long filet d’or s’échappa de mon intimité pour arroser le sol. Un petit coup d’œil à droite : rien ni personne, à gauche, une tête venait de disparaître, mais pas assez rapidement. Je me relevais brusquement :

– Dites donc vous ?
– Moi madame ?
– Bien sûr vous, qui voulez-vous que ce soit d’autre ? Il me semble qu’on vous paie pour faire du jardinage, pas pour me mater en train de pisser !
– Je ne comprends pas…
– Bon, arrêtez de faire l’innocent, je vous ai vu !
– Non, non !
– Approchez-vous donc je vais vous expliquez mieux !

Il s’approcha, peu rassuré, sans doute craignait il (à juste raison) de recevoir une belle gifle ! Je n’avais pas pensé à cela, mais pourquoi pas ?… Si seulement il pouvait jouer le jeu ! Je suis moi-même très joueuse, la gifle pouvait avoir des effets que je ne souhaitais pas. Il pouvait partir, ou pire se rebeller, mais le fait qu’il se soit approché me paraissait bon signe ! La main partit, il encaissa.

– Pardon madame !
– Je te pardonne, ce sont des choses qui arrivent, surtout par cette chaleur.
– Je ne recommencerais plus !
– Ça t’a excité, on dirait !
– Que voulez-vous je suis un homme…

Brusquement je lui saisit la braguette et touchais à travers le tissu, son membre encore durci !

– Dis donc, c’est à toi tout ça !
– Madame, vous jouez avec le feu !
– Je sais ce que je fais ! Ecoute tu as envie, moi aussi, alors viens… occupe-toi de moi, mais si je te dis d’arrêter, tu arrêtes, d’accord !
– Oui, madame !

En quelques secondes il était là, il vint se serrer contre moi par derrière et commença à me peloter les seins à travers mon haut de maillot tout en m’embrassant dans le cou. Je pouvais sentir son sexe bandé frotter contre mes fesses : trop tard pour arrêter !

Il me fit faire demi-tour et décrocha rapidement mon soutien-gorge et se mit à caresser mes seins puis à les sucer, à les embrasser, à les lécher. Sa langue jouait avec mes tétons jusqu’à me faire gémir. Pendant ce temps une de ses mains descendit entre mes cuisses et glissa dans ma culotte toute mouillée depuis un moment, il commença à caresser ma chatte jouant avec mon clitoris. Puis il fit entrer un doigt dans ma chatte, puis un deuxième et les fit aller et venir. Je mouillais de plus en plus.

Il retira ses doigts et les porta à ma bouche pour que je goûte ma mouille ; je les léchai avec délectation puis il m’embrassa à pleine bouche pour en profiter lui aussi. Pendant que sa langue jouait avec la mienne il prit ma main et la reposa sur sa braguette; et je me mis à le caresser à travers le tissu. Puis il appuya sur mes épaules pour m’inciter à m’agenouiller. Sans plus attendre je lui enlevai son pantalon et son slip pour libérer une queue toute dure et dressée, d’une longueur et d’une grosseur impressionnante.

Inter0514 Je commençai par lécher son gland puis ma langue descendit le long de sa grosse bite. Je le branlais en lui malaxant les couilles. Puis je pris sa queue dans ma bouche (avec du mal car elle était vraiment grosse) et je commençais à le sucer. Il me maintenait la tête et donnait des coups de reins pour faire aller sa bite au fond de ma gorge, c’était bon une belle queue comme ça à sucer…

Il me fit me relever, fit descendre ma culotte détrempée de mouille et m’allongea sur la table de jardin.

Je lui tendis la capote et il me fit écarter les cuisses pour me pénétrer d’un seul coup. J’étais tellement excitée que j’eus un premier orgasme quand son engin entra dans ma chatte. il se mit à me ramoner, doucement au début puis de plus en plus vite, sa bite entrait de plus en plus profond il me remplissait complètement et j’aimais ça. Puis il se retira, me fit descendre de la table et me retourna pour que je m’appuie dessus. Brutalement il m’enconna de nouveau par derrière, sa queue allait et venait jusqu’au fond de mon vagin lubrifié par une mouille abondante. Ses couilles venaient battre contre mes fesses à chaque mouvement. Sans s’arrêter il prononça ses premières paroles :

– Je peux vous enculer ?
– Pardon ?
– Je peux vous enculer ! Répéta-t-il
– Non je ne veux pas, elle est trop grosse !
– Vous ne voulez pas qu’on essaie, si vous avez mal, je ne continuerais pas

Alors pris d’une impulsion subite je répondis :

– Oui, oui je la veux, fous la moi dans le cul

Il retira de ma chatte sa queue toute trempée, prit de ma mouille avec ses doigts et me l’appliqua sur mon petit trou. Il me fit me pencher un peu plus écarta mes fesses et pointa sa queue sur mon anus, à ce moment j’eus peur d’être allée trop loin : sa queue était énorme, il allait me déchirer…mais c’était trop tard. Il appuya progressivement pour faire rentrer sa bite dans mon anus. Je criais tellement j’eus mal, mais il ne s’arrêta pas et me pénétra entièrement. Une fois en place il commença à bouger. Une de ses mains était venue se poser sur mon clitoris et me caressait pendant qu’il me sodomisait. J’avais très mal mais sa caresse me faisait du bien et le plaisir reprit le dessus à tel point que je me mis à l’encourager :

– Vas-y tu peux y aller plus fort !
– Vous aimez ça madame ?
– Oui j’aimes ça allez défonce moi, oui comme ça c’est bon, oui encore, plus fort!

Il se mit à donner de grands coups de reins, si fort que sa queue ressortait parfois entièrement; mais ma rosette était tellement dilatée par son engin qu’il n’avait aucun mal à ma la remettre et à recommencer .Je n’aurais jamais cru que j’aimerais autant me faire enculer.

Au bout d’un moment je sentis l’orgasme venir et je jouis comme jamais en poussant un long cri !

Il retira la capote, dévoilant sa bite gluante de sperme. Je m’empressais de nettoyer tout cela de ma petit bouche vicieuse.

– Bon allez, viens dans la cuisine, je vais te verser à boire, tu peux te reposer un quart d’heure, mais après il faut retourner bosser, il faut que toutes les haies soient taillées ce soir !
– Bien madame ! Mais je voudrais aussi faire pipi !
– Et bien fais ici !
– Là ?
– Non pas là ! Là lui répondis-je en lui montrant mes seins !
– Madame est décidemment très cochonne !
– Gardez vos commentaires et pissez-moi donc dessus, gentil jardinier !
– Avec grand plaisir, Madame !

 

Mathida (mai 2006)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:12

La mutante par Mathilda Stenberg

StampCravate

 

Fille d’une longue série de mutation génétique, sur l’ancienne colonie abandonnée de Fozar-8, je suis invisible… quand je veux… Gourmande de sensations, j’utilise cette capacité pour prendre et surprendre. Je suis nymphomane et j’ai le cul en chaleur.

Je suis arrivée depuis peu sur cette planète avec une vieille soucoupe volante que je peux, elle aussi rendre invisible. Je suis arrivé dans la capitale, avec une furieuse envie d’assouvir mes désirs. Que choisirai-je aujourd’hui ? Tous ces gens qui me regardent… C’est vrai que je me fais trop remarquer avec ces porte- jarretelles visibles sous ma minijupe et qui ne doivent plus être à la mode sur ce monde… Je disparais…. Ah, enfin tranquille… Je mate…. un peu petit celui-là… je tâte… et je ris, celui-là était vraiment surpris d’avoir senti ma main ! Je ne sais même pas ce que je veux…Tiens, et celui-là qui a l’air casé et revenu de tout ? Si je lui faisais une petite surprise à ma façon ? Je lui emboite le pas, j’effleure ce renflement qui m’attire… pas mal pour un terrien… Il ne s’agirait pas d’être déçue, j’ai sur moi quelque chose qui a fort besoin d’être comblé. Où va-t-il ? Sans doute là-bas… un immeuble abritant des sièges sociaux de grandes sociétés… mon idée se précise. Son pas est fort, décidé.. si le reste suis ça risque de ne pas être triste… j’en suis humide de désir.

Il appelle l’ascenseur qui mène directement à son bureau. Impeccable, pas difficile à mettre en panne ce modèle-là. Et puis non, pas de panne franche… je ralentis juste la vitesse du mécanisme. Il serait temps de l’éveiller un peu… Je lui offre la vision fugitive d’un bas qui glisse… il cligne des yeux, pas sûr de sa vue… je dévoile juste un sein sortant de mon bustier noir… il ferme les yeux… puis les rouvre pour ne rien voir de plus. Mais son imagination travaille.

On est arrivé. Son bureau est un classique des bureaux actuels de directeurs : grand, sobre, il y a même un canapé, une table de réunion… Zut, un intrus, son supérieur on dirait. Tant pis, il ne me voit pas lui non plus, je me déshabille peu à peu gardant juste mes dessous, je relève un petit peu une jambe de son pantalon et je commence à l’effleurer de bas en haut du bout de mon sein. Il tressaille, puis se reprend. Je déboutonne son pantalon et commence à masser de ma bouche son membre qui s’affermit sous le tissu et commence à demander sa libération.

Heureusement pour lui, son boss n’a rien remarqué et sort après lui avoir donné des instructions dont je me fiche royalement. Il ferme les yeux, pousse un soupir de soulagement. Je lui chuchote (toujours invisible) de baisser les stores des vitres de son bureau. Il s’exécute en somnambule pas plus étonné que ça, il doit croire qu’il rêve. Il y a un store voilé, celui qui donne sur les autres bureaux, on ne voit pas grand-chose de toute façon.

Intrigué tout de même par ce qui vient de se passer il fait les cent pas, hésitant entre faire inspecter son bureau ou se laisser guider par ses instincts. Il finit par s’assoir sur la table de réunion, pensif. Je glisse ma jambe sous sa main. Elle joue avec les attaches du bas, il les défait machinalement presque… Les bas ont glissé par terre. Je fais glisser son pantalon, puis le slip, admire une fraction de seconde l’objet dressé devant moi, mourant de désir de l’enfourcher de suite.

Mais j’en veux plus. Je darde une langue coquine sur sa cheville, remontant lentement le mollet, la cuisse, l’autre, effleurant de ma joue son membre, comme par hasard, redescendant à l’intérieur de ses cuisses. Il me cherche des mains, je me laisse effleurer, m’échappe, le repousse sur cette table dure et froide. Je lui enlève ses derniers vêtements, et attache ses mains avec mes bas et monte sur la table au-dessus de lui. Mes deux seins encadrant son membre, je lèche le périmètre de son gland, le caresse du bout de mes dents. Ma respiration s’est accélérée, je suis tendue, ma forêt s’est fendue d’une rivière de désir. Elle est attirée comme un aimant vers son membre, le désir brouille mon invisibilité et il me voit par instants. Je résiste un peu, lui offre un peu de mon élixir en chevauchant juste le bout… Tout son corps se tend pour pénétrer le mien… pas encore…

Je redescends le sucer, il est de plus en plus dur, il se débat dans ses liens, j’ai senti une goutte amère… serait-il prêt ? Je suis brulante, tremblante, prête à l’accueillir en moi… Je l’abandonne tremblante de désir pour desserrer ses liens pour qu’il puisse se libérer aux moments les plus forts. Il ne sait plus où je suis lorsqu’il me sent à nouveau sur lui. Je le chevauche tout doucement… le plaisir me fait geindre… cela force un petit peu, je l’avais sous-estimé, je me retire de suite pour ne pas m’habituer, je le lèche à nouveau le long de son membre… je n’en peux plus. je me précipite, le chevauche violemment.

Je le veux au plus profond de moi, plus fort, je lâche un cri malgré moi. Je m’arrête et l’immobilise pour ressentir les pulsations de son membre en moi…. Il a déchiré mes bas. Enfin libre de ses mouvements, il prend le dessus et me lie les mains dans le dos avec sa cravate. Prisonnière il me fait languir, m’effleure les seins de son membre chaud et humide, darde à l’entrée de mon sexe, il me fait frémir du bout des doigts, y rentre un doigt, deux, trois… puis change d’orifice et vient explorer mon anus.

Il prend doucement le temps de me bander les yeux, de m’attacher les deux jambes bien écartées au bord de la table. Je ne sais pas ce qui m’attend. je suis là, offerte… Il ignore que je peux me détacher comme je veux, quand je veux.

Mutante 

Il est descendu de la table et me nargue en frôlant mes jambes avec son membre chaud… il m’abandonne dix secondes qui me paraissent une éternité… Soudain il me sodomise de toute la longueur de son membre avec une force qui m’arrache un râle, il prend un rythme de plus en plus fort, cherchant son plaisir à coup de butoir. Je perds tout repère pour ne plus ressentir que ce va-et-vient qui me fouille, m’écartèle, me remplit, s’accélère au rythme de mes cris. Je sens qu’il est près de jouir et lorsque que le sperme jaillit en moi, j’abandonne toute maitrise, je jouis, arque mon corps à la rencontre du sien et resserre mon intime étreinte par spasmes, comme pour sucer encore les autres jets qui arrivent par à-coup et brulent mes sens.

Je me libère, récupère mes vêtements et redeviens invisible, j’urine un long jet dru qui vient former une flaque incongrue sur la moquette.

Il se rhabille et appelle la femme de ménage. Elle comprend qu’il s’agit de pisse mais ne comprend pas.

– Ce doit être un chat ! Dit-elle
– Ou une chatte !

Je profite de la porte ouverte et redescend pas l’ascenseur.

FIN

 

Variation sur un texte paru en 1999 sur le site de Sophiexxx et signé O2X, l’esprit et le concept ont été conservé, les fautes ont été corrigées.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:09

La bite du collègue par Mathilda Stenberg

BiteFlag

 

 

Je me prénomme Mathilda, J’ai 36 ans, je suis brune, les cheveux longs et frisés, pas très grande, des lunettes, assez quelconque mais avec des formes qui plaisent. Je suis mariée et fidèle mais, comme toutes les femmes, j’ai des fantasmes mais je ne pensais jamais pouvoir les réaliser.

 

Robert, mon mari a un très bon collègue de travail qui venait souvent avec son épouse dîner à la maison. Nous nous entendions très bien tous les quatre, sans qu’il n’y ait jamais eu aucune allusion sexuelle dans nos relations.

 

Mais un jour Hervé (le copain de mon mari) a dû, pour des raisons professionnelles quitter la région. On s’est retrouvé alors tous les quatre dans un espèce de repas d’adieu, nous promettant de nous revoir à la première occasion, mais sachant aussi sans le dire que peut-être nous ne nous reverrions jamais.

 

C’est environ deux mois après son déménagement qu’Hervé du revenir dans notre région pour régler d’obscurs détails administratifs. Il nous téléphona pour nous dire qu’il passerait à cette occasion nous dire bonjour, qu’il serait sans madame, et en profita pour nous demander de lui réserver une chambre d’hôtel car le voyage étant long, il avait décidé de ne repartir que le lendemain dans la matinée.

 

– Une chambre d’hôtel pourquoi faire ? Tu n’as qu’à venir coucher à la maison ! Lui proposa mon mari.

 

Du coup après avoir fait ce qu’il avait à faire, le soir il nous invita au restaurant pour nous remercier. Je m’habillais un peu pour la circonstance, troquant mon éternel pantalon pour une petite jupette et des bas autofixants. La table était excellente et je dois dire que la soirée fut assez arrosée. En rentrant mon mari nous proposa une dernière coupe de champagne. Je trouvais Hervé de plus en plus séduisant et il dut le sentir car son regard était de plus en plus malicieux. Robert, qui lui est très amoureux quand il a bu, commençait à me faire des bisous dans le cou et avoir les mains baladeuses. Hervé souriait mais n’en manquait pas une pour essayer de voir mes dessous et cela m’excitait de plus en plus. Je décidais donc de l’exciter lui aussi en écartant les jambes de plus en plus souvent. Il faut dire que ma jupe noire était assez courte et que ma culotte blanche et transparente devait bien ressortir en dessous. Je croyais que mon mari n’avait rien remarqué de notre petit jeu mais, alors que j’étais à la cuisine pour rapporter une deuxième bouteille de champagne, il déboula derrière moi et, en me mettant la main aux fesses, me dit

 

– Ça te dirais une petite baise à trois ma chérie ?

– Tu es fou…

– Mais non on va s’éclater… Excite-nous et ça devrait se passer tout seul… Répondit-il en ressortant de la cuisine.

 

Dans un premier temps j’étais choquée et, en même temps, je sentis ma chatte s’inonder. Je traînais un peu dans la cuisine cherchant des biscuits pour le champagne et quand je revins au salon, mon mari avait allumé la télévision et, je n’en croyais pas mes yeux, il avait mis un film porno. Je les voyais rire tous les deux et les commentaires allaient bon train  » Regarde cette salope si elle suce bien… Quel cul ! Elle me fait bander cette garce… « . L’ambiance était chaude, vraiment très chaude, mon mari me dit :

 

– Viens t’asseoir entre nous deux ma chérie, des fois où j’aurais les mains baladeuses, que je ne caresse pas Hervé !

– Oh, tu sais, moi, ça ne me dérange pas ! Rétorqua ce dernier !

 

Et, bien voilà qui promettait ! Plus le film avançait, plus la bouteille se vidait et je mouillais de plus en plus. Mon mari commença à me caresser les cuisses et, sûrement dans un réflexe de pudeur, je les resserrais. Mais la pression des mains de Robert me les écarta à nouveau et me voilà les jambes écartées entre les deux hommes. La main remonta un peu plus haut jusqu’à la limite de ma culotte et, tout à coup, je sentis la main de Hervé qui me caressait discrètement les fesses sans que mon mari ne s’en aperçoive. Je n’en pouvais plus, mais que faire ! Je n’osais pas bouger et je décidais de me laisser faire et de voir venir. La main de mon mari montait maintenant sur ma culotte et il se rendit compte qu’elle était toute trempée. Il me regarda et sourit en me faisant signe de m’occuper de mon voisin mais je ne pouvais pas bouger, j’étais paralysée.

 

C’est alors Robert qui prit l’initiative en disant :

 

– Je vais aux toilettes, n’en profitez pas pour vous toucher tous les deux !

 

Cela fit rire tout le monde. Mais à peine fut-il parti que Hervé me retourna vers lui et m’embrassa sur la bouche. Je sentis sa langue en moi et sa main sous ma jupe qui me caressait par-dessus mon slip. Il me prit ma main et la posa sur son sexe raide comme un bâton, je le caressais de plus en plus fort en oubliant mon mari.

 

J’étais au bord de l’extase quand, tout à coup, j’entendis mon mari sortir des toilettes. J’eus un réflexe de recul et de panique mais il me dit :

 

– Continuez, ça m’excite de voir ma femme se faire tripoter par un autre devant moi !

 

Nous reprîmes nos caresses et je sentis les doigts de Hervé s’infiltrer sous ma culotte et s’enfoncer dans ma chatte toute trempée. Mon mari s’approcha et me souleva la jupe sur le ventre pour mieux voir les doigts de Hervé dans ma culotte, je le sentais tout près mais je ne voyais rien, j’étais trop occupée à défaire la braguette d’ Hervé et d’en sortir son sexe. Je le découvris . Il avait une très jolie bite, légèrement mate, la verge parcouru d’une belle veine très apparente, le gland un peu proéminant, brillant et de couleur lie-de-vin, au bout perlait déjà une goutte de liquide séminal. Je le masturbais alors délicatement

 

– Suce le chéri, il en meurt d’envie !

 

Et me voilà le sexe dans la bouche, je le suçais comme l’autre petite cochonne dans le film, ce qui rendait mon mari fou d’excitation. Il s’approcha de ma chatte et se mit à me lécher comme un fou entre les doigts de Hervé. Celui-ci sortit sa main de ma culotte et me caressa les seins au travers de mon soutien-gorge. Mon mari m’ôta ma culotte pendant que Hervé libérait mes seins de leur étoffe de dentelle.

collegue

En quelques secondes j’étais nue entre mes deux amants. C’est mon mari qui le premier me pénétra pendant que je suçais son copain. Il jouit rapidement en moi, puis ce fut le tour de Hervé de se mettre entre mes cuisses. Mais, au lieu de me prendre de suite, je sentis sa langue sur ma chatte pleine de sperme de mon mari et il me lécha comme ça jusqu’à ce je jouisse dans sa bouche. Je n’en pouvais plus mais j’avais envie de continuer ce rêve. Moi qui d’ordinaire suis si pudique, je m’entendis dire à Hervé  »

 

– Viens mon chéri, viens me bourrer la chatte avec ta grosse bite.

 

Mon mari me regarda, sourit et me dit

 

– Tu te régales ma salope, tu en rêvais de te faire défoncer par deux mecs, tu prends ton pied cochonne et tu vas voir ce n’est pas fini, attend un peu que je rebande…

 

C’est alors que Hervé porta négligemment sa main sur la bite de mon mari.

 

– Si tu veux je peux t’aider à te faire rebander !

 

Je crus alors que Robert allait l’envoyer promener, mais pas du tout !

 

– Et comment tu vas t’y prendre, tu ne vas pas me sucer quand même !

– Tu ne m’en crois pas capable ?

– Oh, avec toi on peut s’attendre à tout, mais tu ne m’avais jamais dit que tu étais à voile et à vapeur !

– Je ne sais pas trop ce que je suis, en fait j’adore les femmes, mais quand je vois une belle bite, tu peux pas savoir ce que ça me fait, et la tienne elle est vraiment superbe, mes félicitations madame !

 

J’éclatais de rire devant l’insolite de la scène. En fait j’ignorai si c’était des mots en l’air ou s’il allait vraiment le faire. Je décidais de m’en mêler.

 

– Ben, vas-y suces-le, moi j’aimerais bien regarder, on ne voit pas ça tous les jours !

– Bon, à deux contre un je suis obligé de me laisser faire ! Allez viens me sucer ma bonne queue, viens petit pédé !

 

Hervé ne se le fit pas redire deux fois et engloutit la bite de son mari dans sa bouche, laquelle bite se mit à retrouver sa belle vigueur avec une rapidité fulgurante.

 

– Hum, elle est bonne ! Finit-il par dire après cinq minutes de fellation appliquée. Tu ne veux pas qu’on inverse les rôles ?

 

J’ai senti mon mari hésiter, si j’étais intervenu, je pense qu’il l’aurait fait, une prochaine fois peut-être… me dis-je… mais j’ignorais que j’allais avoir droit à encore mieux dans quelques minutes :

 

Robert me demanda de me mettre à quatre pattes et dit à Hervé :

 

– Vas-y, défonce-lui le cul, elle en meurt d’envie !

 

Et je sentis sa grosse queue pénétrer mon anus. Mon mari fit alors ce que j’avais toujours rêvé (Il le savait, nous en parlions dans nos fantasmes), il passa sous moi et se mit à me lécher la chatte pendant que Hervé m’enculait.. Ce fut l’explosion, j’ai joui comme jamais je ne jouirai, en sentant Hervé décharger dans mon conduit anal.

 

Il ressortit sa bite gluante de sperme et maculée de matière. Complètement déchaînée, je nettoyais sa queue me régalant du sperme de mon amant de ce soir et de ma propre merde.

 

Crevés, on a voulu faire une pause, mais il n’y avait pas de troisième bouteille de champagne. De plus une envie d’uriner me taraudait. Seule avec mon mari je n’aurais pas hésité, mais j’ignorais si Hervé goûtait de ce fantasme !

 

– Jus de fruit ou eau gazeuse ? Proposais-je

– A moins que tu ne veuilles déguster le champagne de ma femme ? Proposa Robert !

– Non, vous faites ça aussi !

– Disons que ça nous arrive !

 

Hervé se coucha alors sur le carrelage !

 

– Viens, Mathilda, viens me pisser dans la bouche !

 

Je positionnais alors mon bassin au-dessus de son visage et lâchait tout d’un coup incapable de contrôler le débit de mon urine. Il avalait ce qu’il pouvait, bavait le reste, créant une insolite flaque jaunâtre sur le plancher !

 

– Quelle soirée ! Finit-il par dire !

 

J’allais chercher une serviette afin qu’il s’éponge un peu le visage et le haut du corps, ce qu’il fit, puis il s’assit sur le canapé complètement exténué, et il s’y endormit en moins d’une minute.

 

– C’était super ! Dis-je alors à Robert en l’embrassant tendrement !

 

J’ignore comment je me suis couchée dans le lit conjugal, ce que je sais c’est que j’ai dormi d’une traite comme un bébé.

 

Le matin, je cherchais Robert, mais il n’était pas à mes côtés, il était donc déjà levé. Je m’étirais et me levais afin d’aller faire un gros pipi et me dirigeais entièrement nue vers les toilettes.

 

J’entendis du bruit, je m’approchais à pas de loup et ouvrit subrepticement la porte, et là un spectacle inattendu m’attendait :

 

Robert penché en avant se faisait sodomiser par Hervé et avait l’aire de trouver la chose à son goût. J’étais fascinée, l’excitation me gagnait. Mon mari finit par me voir !

 

– C’est trop bon, ce qu’il me fait, c’est trop bon de se faire enculer ! Me dit-il ! Tu n’es pas choquée, chérie j’espère.

 

Non , la « chérie » n’était pas choquée ! Aurais-je dû ?

 

Les deux hommes terminèrent leur affaire, je me frayais un chemin jusqu’à la cuvette des toilettes, il fallait absolument que je pisse, et pendant ce temps, les deux hommes se désemboîtant après qu’Hervé est joui dans un râle, Robert se retourna et offrit sa bite bandée comme un arc à son collègue qui la prit en bouche et la fit juter en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

 

– Et moi alors ? protestais-je

 

Ben moi, je n’eu droit à rien, Hervé ne voulait pas se mettre en retard et mon mari devait partir au travail, je les laissais se préparer mais ne me rhabillais pas.

 

J’embrassais mon mari avant qu’il ne parte

 

– Bonne journée mon petit enculé ! Lui dis-je

– C’est vrai tu ne m’en veux pas ! Demanda-t-il de nouveau, il devait être un peu honteux.

– Non, mais achatie moi donc un gode ceinture, ce soir c’est moi qui t’enculerais !

– Chic alors !

 

Mathilda Stenberg – janvier 2005

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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