Ma patronne est une garce… par Mathilda Stenberg
Ma patronne est une garce… mais je l’adore
Je me prénomme Fabienne et j’ai quarante-cinq ans. Je travaille dans un magasin de prêt-à-porter. Ma patronne, Julia est bien plus jeune que moi, n’ayant pas encore 30 ans. Elle est blonde, menue, fragile comme une porcelaine. Moi, je suis une vraie brune, large de fesses et de poitrine. Pour seul point commun nous avons toutes les deux le même tempérament explosif qui a besoin de jouir plusieurs fois par jour. Au début ce fut quelques attouchements furtifs pendant les heures creuses du magasin et quelques patins bien baveux, pour se donner quelques plaisirs dans la cabine d’essayage, puis nous sommes allées de plus en plus loin. C’était bon mais on n’avait pas assez d’aise, on se sentait frustrées. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à nos époux qu’on allait faire de la gymnastique dans un club privé, on est allé faire l’amour dans un petit studio que ma patronne avait loué spécialement à cet effet.
Malgré sa jeunesse elle était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minet à la pénétration par godemichés. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.
Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Un soir, elle m’a demandé si j’étais prête à tout accepter de sa part, y compris des punitions corporelles et des humiliations. Je lui ai répondu que je voulais bien essayer et que je pouvais être très soumise.
– La seule chose que je ne te ferais jamais c’est de t’attacher, tu seras toujours libre, tu pourras toujours quitter une séance et cela n’aura aucune conséquence pour ton travail. Mais réfléchis
bien, si tu te sauves, ça en sera peut-être fini de nos jeux érotiques ! Ce serait vraiment dommage.
– On verra bien !
Le soir même, arrivé au studio elle me demanda de me mettre complètement nue, elle restant habillée. Elle alla alors chercher une ceinture en cuir et m’en cingla les fesses en exigeant que je lui dise merci à chaque fois, j’ai eu un peu d’appréhension mais rapidement l’excitation me gagna et je sortis de cette séance toute mouillée… mais mes tourments n’étaient pas terminés, elle sortit d’un sac en plastique un cintre à jupes muni de deux pinces et voulut me le fixer sur la pointe de mes seins.
– Non pas ça, ça va faire trop mal !
– Tu n’en sais rien tu n’as même pas essayé.
– J’ai pas envie !
La gifle me surprit, j’aurais pu partir à ce moment-là, mais la situation m’excitait, je murmurais un simple merci.
– Allez, on essaie ! Reprit Julia revenant à la charge
Je me laissais faire cette fois, retenant mon souffle, la douleur était supportable et me provoquait même quelques frissons qui augmentèrent en intensité quand ma patronne se mit à jouer avec le cintre, le tirant vers elle, le faisant tomber puis y rajoutant des poids. Un quart d’heure plus tard, elle m’ôta l’instrument de mon supplice et nos langues s’unirent précédent nos corps pour une étreinte torride.
– Ouvre ta bouche, petite chienne, j’ai envie de te cracher dedans !
– Ça ne va pas, non ? Me rebellais-je.
– C’est quoi ces protestations ? Quand on s’est roulé une pelle tout à l’heure, tu as bien avalé ma salive, non ?
– Oui, mais…
– Mais quoi, je n’ai pas changé de salive , c’est toujours la même. Tiens j’ai une idée…
Et Julia se crache alors sur ses seins. laissant une trace dégoulinante.
– Nettoie-moi mes nichons.
J’ai un peu hésité et je me suis lancée, il y a juste un pas psychologique à franchir, et quand elle m’a craché dans la bouche, je l’ai accepté comme une douce humiliation qui m’a provoqué des frétillements entre les jambes.
On s’est reposé ensuite quelques instants, puis Julia, m’avertit de son intention d’aller faire pipi, elle voulait absolument que je la regarde. Le spectacle n’était pas déplaisant, ce petit jet doré sortant de sa petite chatte blonde était ma fois tout à fait charmant…
– Essuie !
J’attrapais une feuille de papier toilettes !
– Tu fais quoi ?
– Ben, je prends du papier !
– Non, c’est avec ta langue de pute que tu vas me nettoyer !
– Mais tu es folle ! Je n’ai jamais fait ça.
– Il y a un début à tout. Si tu aimes le goût de ma chatte, tu vas aimer, essaie !
J’avançais ma langue méfiante, mais c’est vrai que ça n’avait rien d’insurmontable, et ce petit côté défendu était même excitant…
– Tu y prends goût, tu es une vraie salope !
– C’est de ta faute tu me fais faire des trucs impossibles !
– J’ai encore envie d’en faire une petite goutte, ouvre ta bouche, je vais te pisser dedans !
– Non !
– On dis pas non, on dit » Ou, Julia »
– Je te préviens, je vais tout cracher !
– Essaie de ne pas le faire… demain tu en redemanderas !
– Allez, assez discuté ouvres-moi ta bouche de pute :
Il ne restais qu’une goutte, je l’avalais sans problème, regrettant presque qu’il n’y en eut pas davantage !
– Dommage que je n’ai pas envie de chier, tu m’aurais nettoyé le cul !
– T’es vraiment malade !
– Tu n’as jamais sucé tes doigts après que tu te les sois foutus dans le cul !
– Je ne fais pas ça !
– Il t’en reste des choses à apprendre ! Tourne-toi ! Je vais te montrer…
Alors Julia, m’introduit son index dans le trou de mon cul l’agitant de telle sorte que je me trémoussais de façon obscène. Puis brusquement elle le retira !
– Ferme les yeux et ouvre la bouche, tu vas me mouiller mon doigt !
– Non !
– Arrête de dire toujours non ! C’est énervant à la fin
Je refusais de fermer les yeux, j’aime bien voir ce qui m’arrive, Julia porta son doigt sous mon nez !
– Ça sent simplement l’odeur de ton cul !
– Il y a des odeurs plus agréables !
– Oui, mais celle-là elle est aphrodisiaque ! Regarde-moi je n’ai pas peur !
Et devant mes yeux effarés, je la vis sucer son doigt merdeux avec gourmandise, son manège dura un petit moment !
– Hum c’est délicieux ! conclut-elle
Elle me remit le doigt dans mon cul, cette caresse m’était très agréable, je savais ce qui allait se passer après, aussi ne souhaitant pas tergiverser cent sept ans, dès qu’elle le sortit, je pris les devants.
– Donne, je vais goûter !
J’affrontais l’épreuve, prête à tout cracher, à lui dire que décidément elle exagérait et à foutre le camp à toute vitesse. Or surprise, le goût sans être génial ne m’agressa pas. Je me surpris à conserver mon doigt dans la bouche !
– Alors ? me dit Julia
– Sorcière !
– Ben oui !
Mais voici que l’on sonne à la porte ! Je cours me passer un peignoir !
– Veut tu rester à poil ! m’ordonne ma patronne
– Mais…
– A quatre pattes, c’est un ordre, n’ai pas peur, il ne va rien t’arriver !
J’obéis, mais je n’en mène pas large.
– Guillaume, un ami, et lui c’est Jean-René, un autre ami…
Et après cette brève présentation ma patronne le plus naturellement du monde s’empare d’un godemiché s’arc-boute sur le montant du lit et commence à jouer avec …
Mais cette visite ne me plaisait guère. Les deux zigotos me palpent, j’ai la sensation de devenir une marchandise. Mais voilà que leurs grosses paluches me tripotent la chatte. Ça ne me fit pas grand-chose, aussi Julia leur conseille de s’occuper plutôt de mes tétons…
Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris.
Du coup je me suis mise à mouiller et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard complice et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.
Elle a exigé que Guillaume s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé Jean-René à m’astiquer le minet. Et elle m’a ordonné de retarder au maximum le moment de ma jouissance…
– Après ça n’en sera que meilleur !
Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli crier mais au dernier moment, je me suis retenue. J’avais l’impression de planer dans un autre monde. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemiché et en demandant Jean-René de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.
J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer les queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de Guillaume dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux, a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place du mec, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.
Jean-René fini par sortir de mon cul ! Il me contourna ! Je compris qu’il souhaitait finir dans ma bouche, mais pour l’instant il cherchait probablement un kleenex, effectivement sa bite était toute maculée de ma merde.
Alors regardant droit dans les yeux Julia qui venait de se faire jouir, je criai à mon enculeur qu’il n’avait pas besoin de s’essuyer, que je saurais le nettoyer de ma langue…
Aussi pris-je un plaisir masochiste à nettoyer toute la merde qui maculait cette jolie bite.
– T’es vraiment une trainée! Me traita Jean-René
– Oui, mais j’aime ça.
Julia ordonna ensuite à Jean-René de sucer la bite de son collègue. J’étais jalouse cette bite, je l’aurais bien sucé, moi ! Ensuite Guillaume lui pénétra le cul.
J’étais subjugué, c’est si beau de voir deux mecs s’enculer.
Mais je ne put continuer à regarder, ma patronne m’ayant entrainé dans un soixante-neuf torride, bien sûr je me régalais de cette bonne chatte ou persistait une tenace odeur d’urine.
Tout le monde ayant joui, Julia confuse se leva pour aller chercher quatre coupes de champagne. Elle demanda aux deux hommes de pisser dedans avant que nous trinquions.
Mathilda Stenberg
E-mail: Xmathilda@hotmail.com
Ce récit a été restauré dans sa version intégrale en 2004
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