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L’hôtesse de l’air – 9 – L’institut des filles perdues par Air Hostess
Pendant ce temps à New-York, dans l’appartement de Nick, Gene, Shannah, Nick et Tim rappelé d’urgence tiennent un conseil de guerre. Nick dit :
– Depuis la demande de rançon, formulée par ces gangsters, plus aucune nouvelle. Le F.B.I n’a retrouvé aucune trace. La communication téléphonique des gens qui prétendent avoir enlevé Gene a été émise à partir d’une cabine de Central Station. Vu le nombre de voyageurs qui prennent le train, aucun espoir de ce côté-là de retrouver ces crapules.
– Je suis sûre qu’ils croyaient vraiment m’avoir enlevé. Pauvre Françoise, ils ont dû s’apercevoir de leur erreur. Dieu sait ce qu’ils ont pu lui faire ? intervient Gene
– J’espère que ces bandits vont demander une rançon pour Françoise. Mais ce ne sera pas une preuve de ce qu’elle soit toujours en vie ! J’ai prévenu l’Oncle Gabriel. Déjà il m’a envoyé un employé de l’ambassade. Tous les moyens sont mis en œuvre pour la retrouver. Ajoute Tim.
Depuis plusieurs jours, les amis de l’hôtesse de l’air se réunissent pour comparer leurs intuitions. Tim s’est Installé au Waldorf avec Souria et le bébé. Il a prévenu tous les indicateurs du milieu, qui ne sont au courant d’aucune affaire concernant Françoise ou Gene.
– Je pense qu’il s’agit de terroristes étrangers, une équipe totalement inconnue des autorités.
Françoise se dispose enfin à se laver. Débarrassée du collier, elle retire les menottes et les chaînes qui reliaient ses poignets, en utilisant sa lime à ongles, retrouvée dans son sac. Elle se hâte de délivrer Michel du carcan rouillé. Après une heure d’efforts, les maillons cèdent. La jeune fille voudrait profiter des dernières lueurs du jour pour sa toilette, mais Michel ne peut résister à l’odeur puissante qu’elle dégage. Tandis qu’il la fouille d’une bouche insistante, passant du clitoris à l’anus en s’excitant du parfum sauvage qu’elle émet, elle réfléchit à cette préférence inattendue.
« Les êtres humains sont curieux, je m’efforce d’être toujours d’une propreté scrupuleuse et j’aime les hommes bien rasés, parfumés, hygiéniques. Et je m’excite et je jouis à faire l’amour à des partenaires sales, puants. Je trouve du plaisir à me faire baiser brutalement, même avec sauvagerie. »
– Soit plus brutal ! Crie-t-elle à Michel qui la pénètre.
Ensuite, elle entreprend d’enfoncer deux puis trois doigts dans l’anus de son compagnon surpris, mais qui ne tarde pas à jouir sous sa caresse. L’eau froide du seau les rafraîchit, après une rapide ablution qui lui permet de constater que les blessures de Michel sont toutes cicatrisées, elle retire son sac à main de l’embrasure. Un gros clip blanchâtre sert de fermoir, il dissimule une lampe puissante. La cloison secrète réouverte, ils s’engagent tous les deux dans l’escalier en vis, en dégageant des nuages de poussières. Au bas des marches, trois portes, une seule s’ouvre sans difficulté sur un couloir voûté qui descend dans les ténèbres. Après un parcours de plusieurs centaines de mètres, une partie du conduit est remplie d’eau claire. Ils progressent avec de l’eau jusqu’aux genoux, puis de nouveau un couloir sec qui remonte et atteint des marches de pierre. Un escalier, semblable au premier les amène à une trappe de chêne. Leurs efforts conjugués permettent de la soulever. La petite lampe vacillante éclaire des barriques défoncées et des bouteilles vides. La porte de cette cave n’étant pas fermée à clé, ils gagnent un escalier de moellons et se retrouvent dans un grand couloir d’un bâtiment habité. Est-ce là que se cachent les membres de la bande ?
Une exploration prudente les conduit au premier étage. L’escalier de chêne débouche sur un couloir muni d’une veilleuse. Une porte vitrée donne accès à un grand dortoir. Ils entendent des rires étouffés, des voix de jeunes filles et prennent le risque d’ouvrir la porte. Un spectacle curieux se déroule sous leurs yeux.
Une quinzaine de jeunes filles, complètement nues, étendues sur des lits individuels se donnent du plaisir. Rassemblées par deux ou par trois, certaines solitaires, se masturbent en regardant les autres. Leur entrée crée un remue-ménage indescriptible. La plus proche de la porte, une brune piquante qui se fait lécher le sexe par une petite blonde rondouillarde, qui doit avoir dix-huit ans et les fixe effrontément, sans cesser d’offrir ses cuisses écartées à la blonde qui absorbée par son travail n’a rien vu. L’index sur la bouche, Françoise recommande le silence et vient s’asseoir à côté de la brunette.
– Excuse-moi, nous avons été kidnappées par des gangsters, peux-tu me dire, où nous sommes, quel est le nom de cette localité ?
Entraînée par ses habitudes, elle pose tout en parlant, sa main sur le sein le plus proche et le caresse doucement.
– L’institut se trouve à 15 milles de Corcaigh.
Françoise comprend difficilement le gaélique, elle apprend qu’elle se trouve à proximité‚ de Cork, un port sur la mer d’Irlande. Les gestes remplacent les paroles, la bouche de l’hôtesse savoure un petit téton rose, et ses doigts effilés viennent rejoindre la bouche de la blonde sur le sexe dilaté. Michel apparait dans l’embrasure de la porte, deux filles qui regardaient avec intérêt les trois filles, s’élancent à sa rencontre et le traînent sur le second lit. Le dortoir est éclairé par quelques bougies tremblotantes dans des bougeoirs de fortune. La directrice du pensionnat ferme tout l’éclairage à partir d’un tableau, mais lorsqu’elle fait une ronde de surveillance, elle rallume d’abord le tableau, quand elle arrive dans le dortoir du premier étage, tout est calme. Les filles font semblant de dormir. Les bougies sont retournées dans les tables de nuit, les pensionnaires dans leur propre lit. Ça sent la bougie, comme dans une église, la directrice doit fermer les yeux. Michel, déculotté en moins de deux, exhibe un pénis mou, qui ne tarde pas à relever la tête, sous les attouchements des deux femmes. Mais déjà, tous les lits se vident, les pensionnaires entourent le trio et s’excitent en regardant le sexe de Michel. Chacune veut sucer, pour retrouver le goût délectable de la bite, dont elles sont privées depuis qu’elles sont enfermées. La tête serrée entre les cuisses d’une certaine Jenny, forte fille, poilue, aux cheveux noirs, Michel se sent aspiré par la file des pensionnaires qui font la file pour quelques instants d’activité. Toutes sucent en tenant la queue de la main droite et en se masturbant de la gauche. Michel en battant l’air, de tous côtés, les grosses cuisses de sa partenaire l’empêchant de voir, attrape soit un sein, soit un pubis soyeux. Jenny interrompt les opérations, une seule fille est restée prostrée sur son lit, une petite rousse, crispée qui baisse la tête et entoure ses genoux de ses bras protecteurs.
– La vierge n’est pas venue ! lance Jenny.
Michel est porté en triomphe sur le lit de Meg, qui n’a jamais connu d’homme. Il est mis en demeure de déflorer la seule pensionnaire encore vierge. Il se penche sur la roussette et lui parle à l’oreille.
– Je voudrais savoir si tu es d’accord avec ce qu’elles disent ? Je te respecterai, si tu désires conserver ta virginité ?
– Oh ! Non, Monsieur, prenez-moi. Elles se moquent toutes de moi, comme cela je serai comme tout le monde ici. Mais ne me faîtes pas trop mal.
– Rassure-toi, tu ne sentiras presque rien.
Pour la mettre en condition, il entreprend de caresser doucement les petits seins pointus et d’explorer avec douceur une belle toison roussâtre qu’elle lui abandonne avec pudeur. Pendant ce temps, Françoise a repéré‚ une jeune fille qui la regarde intensément. Chinoise ou Vietnamienne, ses yeux en amandes et son corps souple retiennent son attention, délaissant ses deux partenaires, elle s’assied sur le lit de l’Eurasienne. Elle entoure ses épaules d’un bras protecteur et lui levant le menton, elle l’embrasse tendrement sur la bouche. Les yeux noirs s’agrandissent, la fille happe la langue de Françoise pour y coller la sienne. La succion qu’elle pratique éveille des sensations impossibles à refouler pour l’hôtesse. La langue mime une fellation, comme si l’organe de notre amie s’était transformé en bite. La sensation puissante accompagne l’ouverture des cuisses qui accueille la main bienfaisante qui prend le chemin du clitoris. Le petit bouton bien dégagé mesure trois ou quatre centimètres, érectile il grandit sous les doigts de la française, bientôt remplacés par une bouche éperdue de plaisir. May-Lee, nom de l’eurasienne, hurle de jouissance, son jus, au goût épicé comme toutes les orientales, excite la langue de Françoise qui se place sous la fille, pour ne rien perdre du jus divin. Pendant ce temps, Michel, lèche avec tendresse, les beautés mises à sa disposition. Du clitoris au petit anus rose et resserré, il mouille tout l’entre-jambe. Il perçoit l’ouverture progressive du vagin et du cul sous sa caresse. La fille gémit doucement, entourée par un cercle de compagnes qui l’encouragent, tout en se masturbant mutuellement. Michel se couche sur le lit, et place Meg accroupie de face.
– Voilà, j’introduis ma verge, et toi, tu te glisses dessus. Je te guide, mais je ne tiens pas. Si tu as mal, retire-toi.
Meg dont le con laisse couler des filets de jouissance, se place doucement sur le pénis de Michel. Timidement, elle sautille et se soulève dès que l’introduction s’avère difficile. Peu à peu sa respiration s’accélère, on voit ses seins se soulever et son visage s’éclaire d’un large sourire. Elle puise le courage de s’empaler, elle ferme les yeux et place ses mains sur sa poitrine. Son corps glisse sur le sexe dressé, elle pousse un cri et se retrouve le clitoris planté dans le poil de Michel. Elle jouit avec une intensité dramatique, la queue lui parait traverser ses entrailles, labourer son ventre en faisant jaillir des sensations étranges, inconnues auxquelles, elle ne peut s’arracher. Longtemps, elle reste enfilée sur le pénis, le ventre de l’homme se colore du sang du sacrifice. La joie de la fille est indescriptible, elle embrasse l’israélien, elle serre son visage sur ses seins en criant :
« Merci ! Oh ! merci !
Dans un autre lit, May-Lee jouit toujours dans la bouche de Françoise, puis saisissant dans son tiroir un énorme godemiché, elle l’introduit dans le vagin de sa partenaire. La française, excitée par le jus étrange tient le clitoris entre ses dents, le gode bien en place dans son sexe. La porte s’ouvre avec fracas et les battants se cognent contre le mur. Une grosse dame fait son apparition, en chemise de nuit, elle tient un fusil qu’elle braque sur Michel
– Quelle honte, petites salopes ! Je savais bien que vous faisiez vos saletés derrière mon dos. Où avez-vous trouvé cet homme ? Allons debout. Levez-vous. Je vais appeler la police. Vous serez moins faraud devant un constable.
Michel debout devant elle, nu et désarmé regarde avec détermination, la grosse femme, aux lunettes de myope, son corps boudin‚ gonfle la chemise à fleurs qui est son unique vêtement. Sur un signe du canon du fusil, il récupère ses vêtements épars. Les bougies éteintes, le calme revenu, la Directrice du home des filles perdues n’a pas remarqué Françoise, elle ramasse dans le couloir sa lanterne sourde, referme la porte et intime à Michel de la précéder dans le couloir.
Françoise profite du calme relatif pour disposer son sac à main balise, sur l’appui d’une fenêtre, l’antenne dirigée vers le ciel. Elle regagne le lit de la petite asiatique, mais son excitation tombée, elle pense à Michel et au sort que lui réserve la grosse dame. Celle-ci, maintenant toujours Michel sous la menace de son fusil de chasse à double canon, le pousse dans une chambre du deuxième étage, éclairée et chauffée, visiblement la sienne. Michel a remarqué que les chiens de l’arme ne sont pas levés, d’ailleurs l’état du fusil suggère une arme de collection non chargée.
– Laisse tes vêtements dans le fauteuil et couche toi dans le lit.
L’honorable correspondant du Mossad obéit à l’injonction, tandis que la dame dépose son arme, retire ses grosses lunettes de myope et fait glisser sa chemise de nuit par-dessus la tête. Nue, elle paraît moins lourde, elle s’installe dans le lit à côté‚ de Michel.
– Montre-moi ce que tu sais faire !
Ses yeux bleus de myope regardent dans le vide, elle approche son visage et entrouvre les lèvres dans un sourire appétissant. L’homme se saisit des gros seins étonnants par leur fermeté. Elle chevauche le corps de Michel et bouche à bouche, elle parcourt son corps de ses doigts boudinés. Dans une masse de poils châtain foncé, on devine la dépression du sexe, cerné par des bourrelets de chair rose. Tout à coup, elle saisit la verge :
– Tu as du sang sur ta queue.
– Oui ! J’ai dépucelé la vierge, tu en vois la marque.
La directrice se penche et gobe le pénis.
– C’est délicieux, ce jus a la fraîcheur d’une jeune fille.
La fellation entraîne un brusque raidissement du membre. La grosse dame se hisse sur le gland et le fait glisser lentement dans son conduit étroit. Avec un certain doigté, elle accompagne ses sautillements sur la queue qui la pénètre, par des pincements des tétons masculins.
à suivre
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