Confessions

Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:15

Confessions d’exhibitions

culmat


Fesses à l’air au bureau
par Jocelyne_D

 

Lisant un récit à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m’a fait penser à mon cas personnel et m’a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d’un an dans une agence d’une grande entreprise d’assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières.

Nous sommes quatre à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m’occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d’une cinquantaine d’années.

Lors de mon entretien d’embauche, le chef en question a été très direct et m’a dit que j’avais le choix entre être payée le smic ou un salaire de 2.300 € brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m’a expliqué sans se démonter que je gagnerais les deux mille trois cent roros si j’acceptais de venir travailler tous les jours en jupe… et sans culotte.

Bien sûr, j’ai été d’abord soufflée du culot du type et j’ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d’aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m’a rattrapée et s’est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-mêmes sans culotte sous leur jupe, qu’elles ne s’en portaient pas plus mal, et qu’il n’exigerait strictement rien de plus. Il m’a laissé jusqu’au lendemain pour réfléchir.

Rentrée chez moi, j’ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu’indécente. Un fils de 8 ans à charge, j’étais au RMI depuis plus de six mois, et les 2.300 € mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j’ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l’une de ses employées qui me raconte qu’effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c’est la condition pour bosser et qu’à part ça l’ambiance est sympa, Roger n’exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m’émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l’ambiance de travail.

Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n’hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu’en effet… Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations.

J’ai finalement accepté de tenter l’expérience, et j’ai effectivement été engagée à 2.300 € (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m’avaient pas dit à l’époque c’était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j’ai pu m’en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu’il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c’est exact qu’il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd’hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d’autant plus que le fait d’avoir les fesses à l’air et de ressentir une main s’y balader de temps en temps me maintient dans un état d’excitation permanent très agréable.

Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu’avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c’est d’ailleurs ce que j’ai pensé au début), mais il est des fois où ce « harcèlement » peut être très agréable, surtout s’il correspond à des fantasmes que l’on a, et si le chef est habile et sympa.

Je suis sûre que d’autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d’expérience au boulot.

Bisous à tous les lecteurs.

Au bord de la rivière par Mike67

C’est le printemps, nous allons souvent au bord d’une petite rivière passer l’après-midi. Tandis que je pêche, ma copine Yolande lit et bronze au soleil. L’endroit est très isolé, nous y sommes seuls tout le temps

 

Ce jour-là avant de partir, je lui suggère d’enfiler un débardeur très court et une minijupe ample très raz des fesses. Elle est nue dessous mais elle sait qu’où nous allons il n’y a personne. (du moins c’est ce qu’elle croit)

 

Je descends son sac pour le ranger dans le coffre, dans le garage je l’ouvre et vérifie ce qu’elle emporte. Il y a un maillot de bain et une serviette, je les retire du sac et les cache puis referme le sac et le remets dans le coffre.

 

Elle me rejoint et monte en voiture. Tandis que nous roulons je la félicite pour sa tenue sexy et la rassure de nouveau en lui rappelant que toutes les fois l’endroit est désert, elle me répond que c’est pour cette raison qu’elle a accepté de garder cette jupe sans culotte sinon elle n’aurait pas cédé car c’est vraiment trop court.

 

Nous arrivons à la rivière, je me gare et prends les sacs dans le coffre. Yolande est déjà engagée dans le petit sentier qui mène à la crique, elle s’est hâtée pour éviter d’être vue sur la route. Il y a 5 mn de marche encore à travers des buissons, je la regarde marcher, sa jupe est vraiment courte elle couvre à peine le pli des fesses et le vent qui s’est levé la lui soulève facilement découvrant ses rondeurs généreuses. Enfin nous arrivons, j’installe nos tapis sur les galets ronds, elle ouvre le sac et s’aperçoit qu’il n’y a pas de maillot:

 

– J’ai oublié mon maillot et les serviettes ! Dit-elle

– Ma pauvre, tu n’as pas de tête !

– C’est que tu étais tellement pressé de partir…

– Ça y est, ça va être de ma faute…

 

Elle ne répond pas et s’assoit sur son tapis.

 

– Tu vas pas rester comme ça ! Lui dis je

– Ben si, puisque je n’ai pas de maillot !

– T’as qu’à te foutre à poil ! Y’a personne !

 

Elle se met debout et quitte ses vêtements en les rangeant soigneusement dans le sac et va s’allonger au soleil sur une pierre plate au milieu du ruisseau. Je reste près des sacs à l’ombre pour lire un peu. Le temps passe, je vais voir Yolande et comme elle ne répond pas je lève ses lunettes de soleil, je constate qu’elle s’est assoupit, je la laisse dormir, le soleil est faible et avec la crème elle ne craint rien. Je me replace sur mon tapis et reprends ma lecture.

 

Un homme surgit, il me salut en passant. Tandis qu’il continue de descendre la rivière , je fais mine d’être plongé dans ma lecture et l’observe discrètement. Il est debout sur la berge juste en face de Yolande et la regarde en se tripotant la braguette. Yolande est sur le dos, ses cuisses légèrement ouvertes dévoilent ses lèvres intimes, son pubis rasé la rend indécente, ses seins lourds aux larges aréoles roses sont bronzés mais invisibles pour le moment.

 

– Ne la réveillez pas ! Lui dis-je doucement en m’approchant.

 

Il se recule un peu gêné en me souriant et se sauve rapidement dans les buissons. Je reste seul déçu qu’il ne comprenne pas. Me retournant, je vois Yolande assise sur la pierre:

 

– Il est parti?’ demande t elle

 

Elle m’avoue s’être rendu compte qu’on l’observait et par peur elle est restée immobile.

 

– Tu vois c’est pas difficile de s’exhiber ! Lui dis je

– Oui, bon ! On ne va pas épiloguer…

 

Je m’approche et la caresse entre les cuisses, elle est vite excitée

 

– Tu as apprécié d’être matée on dirait ?

– Oui j’avoue… un peu… Mais tu ne vas pas me demander de recommencer ?

– Disons que c’est un jeu !

– Tu exagères !

 

Je lui pelote les fesses, elle se laisse faire en gémissant.

 

Un homme sort des buissons, il s’approche timidement. Je lui fais signe de venir plus près, sa braguette est ouverte.

 

– Tu ne la touches pas, mais si tu veux te branler, tu peux.

 

Le mec à sorti son chibre et se masturbe frénétiquement. Ça ne dure pas longtemps et il envoie son sperme sur les fesses de Yolande.

 

– Cochon ! Lui dit-elle.

 

L’homme disparaît.

 

– Salaud qu’est-ce que tu m’a fait faire ? me reproche-t-elle

– Mais je ne t’ai rein fais faire tu avais toute liberté pour l’envoyer promener , tu ne l’as pas fait!

– Ah, c’est vrai !

– Tu vas faire quoi maintenant ?

– Je vais attendre, dès fois qu’l vienne un autre cochon !

 

 

Glups !

 


Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 20 octobre 2022 4 20 /10 /Oct /2022 15:07

Confession incestueuses – 3
Mat Stamp

Brianna par Smith

Brianna a 25 ans,, c’est une ravissante rousse à la peau très pâle et aux yeux bleus, célibataire et fière de l’être, vivant de coups d’un soir. Elle est cadre supérieure dans grosse compagnie d’assurance et à la responsabilité de gérer les gros litiges.

Elle a en ce moment en charge un gros conflit impliquant une usine des Midlands de l’Ouest. L’affaire s’annonce compliquée et prendra plusieurs journées.

Au lieu de prendre une chambre d’hôtel, elle a demandé à ses parents qui habitent à Birmingham de la loger pendant la durée de ses investigation.

Elle est arrivée, la veille au soir, on a discuté, évoqué des anecdotes en dinant et on pas mal bu.
Le lendemain matin, Brianna est un peu vaseuse. Vêtue d’un peignoir prêté par sa mère et qu’elle a un mal fou à maintenir fermée elle débarque dans la cuisine.

Papa et maman sont aussi en peignoir et préparent le petit déjeuner.

On s’échange des banalités matinales et Brianna étale de la confiture sur sa tartine… et son peignoir s’ouvre de nouveau.

Matthew, le père n’en perd pas une miette.

– Tu n’as pas honte de mater ta fille comme un vieux cochon ? L’interpelle Jenny, la mère.
– Je regarde ce qui est beau !
– On dirait que tu ne m’as jamais vu ! Fait remarquer Brianna en essayant de refermer le peignoir
– Il y a si longtemps ! Soupire le père !
– On dirait que tu as grossis de la poitrine ! Faut remarquer Jenny.
– Ah ! C’est possible !
– Montre voir !
– Pas maintenant !
– Allons, allons je ne vais pas te manger…

Brianna consent alors à ouvrir son peignoir.

– Hum, joli ! S’exclame la mère en approchant sa main.
– Ben Maman !
– Je te fais mal
– Non mais c’est gênant.
– D’accord, j’arrête.
– C’est dommage c’était mignon ! Intervient le père.

Brianna est profondément troublée par ce court épisode et assaillie de pensées contradictoires. Elle n’a pas refermé son peignoir.

– Maman caresse moi encore ! Finit-elle par dire.

Jenny ne se le fait pas dire deux fois et se met de nouveau à caresser les seins de sa fille sauf que cette fois, profitant de la permission accordée, elle y va carrément, et se saisissant du téton elle le pince légèrement, provoquant chez Brianna un spasme de plaisir.

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Ravi par ce spectacle, Matthew ouvre son peignoir laissant apparaitre une belle bite bien bandée qu’il masturbe à quelques centimètre de sa fille.

– Oh, papa, tu bandes bien !
– Elle te plait ma bite !
– Elle est belle !
– Je suis sûr que tu aimerais la sucer, petite vicieuse
– Tu m’en crois incapable ?
– Tu vas le faire ?
– Approche toi !

Et Brianna emboucha la bite de son père, se régalant de cette douce texture et procédant par d’énergiques allers et retours, jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche. Voilà qui tombait bien, j’adore le sperme !

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Trio avec Gloria par Patrice

Je m’appelle Patrice, j’ai 19 ans et mes parents sont divorcés depuis 11 ans . Depuis 5 ans mon père est remarié avec Gloria une femme de 44 ans et qui a un fils de 20 ans prénommé Sylvain .

Gloria m’a toujours attiré car elle est extrêmement belle, elle mesure 1m 68, a les cheveux roux, les yeux bleus, des seins imposants jolis petits seins et un cul très attirant. Elle s’habille toujours avec des jupes très courtes et met rarement de soutiens-gorges, même à la maison elle ne porte qu’un t-shirt avec une culotte. Souvent en me branlant je pensais à elle en imaginant différents scenarios pour l’aborder et la baiser. Comme elle ne travaille pas elle est souvent à la maison avec moi mais le seul problème qui m’empêche de l’aborder c’est son fils ! Lui n’est pas du tout branché sexe mais plutôt jeux vidéo (du moins c’est ce que je pensais). Maintenant que vous savez tout je vais vous racontez cette fameuse nuit !

Mon père est un homme de 59 ans et il n’a plus tellement envie de faire l’amour à sa femme et c’est d’ailleurs à ce sujet qu’ils se sont engueulés ce soir-là, Gloria disait qu’elle avait des besoins et qu’elle en avait marre que personne ne puisse les combler, elle partit dans sa chambre et alla s’assoir sur le canapé pour fumer un cigarette. Je me levai de mon lit pour aller la rejoindre car cette engueulade, qui m’avait réveillée, m’a donné envie de fumer. J’étais en slip et elle en robe de chambre, je me suis assis à côté d’elle en lui demandant de m’expliquer ce qui se passait, elle fondit en larmes sur mon épaule en m’expliquant tout et en rigolant je lui dis que si elle voulait je pouvais la dépanner ! Elle rigola et elle s’interrompit vite en sentant ma main glisser sur sa cuisse, elle avait compris que j’étais sérieux et balbutia qu’elle ne pouvait pas ou du moins pas ici, je lui proposa alors d’aller dans ma chambre, sans penser à mon demi-frère.
Elle accepta et une fois dans la chambre, je me mis à la déshabiller et à la caresser, mes doigts fouillais sa chatte détrempée et elle poussait des petits gémissements qui intriguèrent son fils. Il entra dans la pièce et nous étions très gênés mais à ma grande surprise il ne dit rien et nous regarda pendant un moment
– Continuez, ne vous gênez pas pour moi ! Dit-il
Je baissais mon slip et j’allongeai Gloria en écartant ses cuisses, et d’un coup sec je la pénétra, elle poussa un petit gémissement et commença à se dandiner. D’un coup Sylvain se leva et alla s’assoir sur le lit à côté du visage de sa mère, il se mit à lui fourrer sa langue dans la bouche en lui malaxant les seins. Je me mis à la bourrer de plus en plus fort quand Sylvain sortit son sexe et lui mit dans la bouche en lui baisant la bouche comme une pute. De mon côté je ralentis le rythme pour admirer ce spectacle, quand d’un coup, dans un dernier coup de rein Sylvain lâcha son foutre dans la bouche de sa mère, elle avala tout sans en perdre une goutte et Sylvain me dit :
– Vas-y défonce-la cette salope !
Je ne me fis pas prier et je l’ai mis à quatre pattes, lui enfonçai ma queue dans son cul et je lui défonçai sa petite rondelle jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un cri strident, je ne mis pas longtemps à lui décharger mon sperme dans son anus tout mouillé . Elle nous dit merci en disant qu’on remettait ça quand on voulait . J’espère que ça viendra vite !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 14 août 2022 7 14 /08 /Août /2022 10:59

Confessions scatos – 4
scat

 

Le salon de Catherine Valmurey, récit anonyme du 19ème siècle

C’est Vernouillet qui m’a fait connaitre le salon de Catherine Valmurey, il y avait les habitués, Rodineau, Chabert et son fils, nous étions donc cinq ce jour-là. La soirée commença par la lecture de poèmes grivois que chacun avait dégoté, voire écrit. Madame Valmurey outre le fait d’être une très belle femme se distinguait par ses traits d’esprits très pertinents.

Après qu’elle nous eut versé le champagne et que nous l’avions bu après avoir trinqué aux belles femmes et aux plaisirs qu’elles nous apportent, notre hôtesse après avoir ôté ses dessous monta sur la table, chacun a alors posé sa coupe sous son pubis afin de recueillir sa pisse. Quand toutes les coupes furent remplies, y compris la sienne, nous retrinquâmes. Sans bouger de la table elle demanda au fis Chabert de lui quérir une belle assiette à l’office. Et devant nous, la belle Catherine poussa une longue merde brune qui tomba dans l’assiette. Elle nous fit ensuite passer l’assiette afin que nous puissions contempler son œuvre de plus près. Rodineau commença et se contenta d’humer. J’étais le deuxième, Ce fut pour moi un plaisir exquis de lécher la bonne merde de Catherine Valmurey.

Club sans tabou par Marouzet

J’ai eu l’occasion d’être invité dans un petit club qui organise des soirées sans tabou (uro, sadomaso, scato et même zoo)

Joël, le maitre de cérémonie nous disposa en cercle autour d’une grand pièce, au fond de laquelle avait été disposée une croix de Saint André.

– Voilà nous sommes quatorze aujourd’hui, il ne viendra plus personne, Je rappelle la seule règle : entre vous, vous pouvez vous faire tout ce que vous voulez, mais vous n’intervenez pas au milieu de la scène sauf si on vous le demande. Et maintint je vous présente Belinda

C’était une très belle femme, brune aux yeux bleu, dans les quarante ans tout sourire, avec un rouge à lèvres cerise. Vraiment très belle, elle aurait pu faire du cinéma. Joel lui demanda de se déshabiller. A la vue de sa magnifique poitrine, j’imitais mon voisin qui avait sorti sa bite et me branlait nonchalamment.

a8008n1Une femme blonde un peu forte mais au physique agréable se déshabilla à son tour puis après avoir attaché Bélinda sur la croix entreprit de la flageller par devant. Les coups zébraient sa peau et elle gigotait et hurlait comme un beau diable mais semblait s’accommoder de ce traitement sadique.
Après cette petite mise en bouche, la blonde la détacha et les deux femmes s’embrassèrent sur la bouche. Belinda fut invitée à se coucher par terre et la blonde lui pissa dans la bouche puis vint le clou du spectacle, se positionnant au-dessus de la bouche de sa soumise la blonde libéra un long boudin qui arriva directement dans la bouche de Bélinda. Elle en garda un peu en bouche en regardant l’assistance d’un air de défi.

Voir une aussi jolie femme avoir un tel rapport avec la merde tout en gardant le sourire a quelque chose fascinant. je bandais comme un malade.
On fit ensuite venir le chien, mais ceci est une autre histoire…

Grosse envie par Anna

L'autre samedi j'ai rencontré un jeune homme en boite fort charmant, il m'a proposé de me ramenée chez moi mais je voyais les choses autrement. j'avais très envie d'aller aux toilettes alors je lui ai proposé de l'emmener sur la plage, de le sucer et de partir comme ça sans rien de plus et il a accepté. Arrivé sur la plage je me suis mise a genoux et je me suis occupé de lui, il avait une très belle bite qui sentait un peu le pipi. Tout en le suçant je lui introduisit un doigt dans le cul, je sentis sa crotte et mon doigt est ressorti tout merdeux, je n'ai pas pu m'empêcher de lécher mon doigt jusqu') ce qu'il redevienne tout propre, sa merde avait un goût délicieux, mais ce qui était étrange c'est que le type ne se rendait pas trop compte de ce que je faisait. Et puis j'ai un comme un coup de folie, je me suis lâché dans ma culotte tout en sentant son sexe dans ma bouche et ses mains sur mon visage, moi je poussais dans ma culotte, ma position faisais que je me suis retrouvé très vite avec une énorme masse chaude aux fesses, j'ai continuer a pousser plus fort en le sauçant plus vite jusqu'à le faire jouir, il m'a regarder m'a dit merci et il est parti, moi je me suis relevée, la culotte pleine et mouillée. J'ai marché jusqu’à chez moi comme ça !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 31 juillet 2022 7 31 /07 /Juil /2022 09:15

Confessions lesbos
bisou1719

 

 

Sophie dans le métro

Je m’appelle Sophie, j’ai 24 ans et je suis brune aux cheveux longs. Très brune, avec un système pileux assez développé, puisque j’ai même des poils sur les avant-bras et ne fait pas grand-chose pour les dissimuler.

Il faisait chaud ce jour d’août, je portais une jupe stretch beige et un chemisier. Et le monde entrait et entrait toujours dans ce métro bondé.

Je suis debout tenant une barre pour ne pas tomber quand je remarque une femme, la quarantaine, qui me regarde fixement. Elle me fait carrément de l’œil ! Elle passe et repasse lentement la langue sur ses lèvres ! Encore une vieille lesbienne, pensais-je !

Elle se lève, s’approche de moi et me demande mon âge dans l’oreille.

– 24 ans, madame ! Répondis-je par réflexe
– Ecoute, me dit-elle, j’aime les jeunes femmes comme toi, réponds-moi dans l’oreille franchement à mes questions et je pourrais être très généreuse !

J’avais besoin d’argent et je répondis : « ok ! »

– Tu portes quoi sous ta jupe ?
– Une culotte en dentelle blanche.
– Est-elle transparente ? Réponds, tu m’excites !
– Oui il y a du lycra devant.
– Réponds-moi, est-ce que ta chatte est bien poilue ? Tu es bien brune, tu dois avoir une belle touffe ?
– Oui madame une grosse touffe !
– Humm et tes seins?
– 95 D madame
– Humm tu me fais mouiller, jeune fille ! Je serais très très généreuse si tu me suis chez moi et que tu te penches bien en avant que je te reluque le cul !
– Ok madame, tout ce que vous voudrez !

Arrivées dans l’escalier de son immeuble elle m’ordonna :

– Monte l’escalier devant moi, penche-toi bien, remontes ta jupe !

Je la remontais, laissant apparaître mes dim-ups et ma culotte moulant bien mon cul.

– Humm, fit-elle, je vois des poils dépasser de ton slip, cochonne ! Baisse-le et cambre-toi bien que je voie ta grosse moule poilue.

Je me penchais à fond, écartant les jambes et je sentais ma grosse chatte noire poilue dépasser de mon cul béant.

– Ahh, quelle grosse moulasse tu as petite pute, entre, je vais m’occuper de toi, et peut-être qu’après je vais appeler toutes mes vieilles copines gouines qui aiment les grosses chattes poilues !
– Si elles me paient, aucun problème.
– Tu es décidemment une petite pute !
– Oui, parfois, madame !

L’inconnue du petit bar par Alice

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Alice 31 ans, fausse blonde. J’étais entrée dans ce bistrot du Marais complètement par hasard. Je me dirige vers le bar et demande un demi panaché afin d’apaiser ma soif. Une nana est à côté de moi, assez imposante, visage agréable, la cinquantaine, mais attifée n’importe comment d’un pullover gris à grosses mailles

– Bonjour ! Me dit-elle

Je réponds à son bonjour par simple reflexe de politesse

– Vous cherchez une aventure ? Me demande-t-elle
– Pardon ?
– Vous ne cherchez pas ?
– Je cherche juste à me désaltérer, j’avais grand soif, voyez-vous.
– Alors je vous paie votre verre !
– Y’a pas de raison !
– Si, la raison c’est que vous êtes très belle !
– Vous ne seriez pas en train de m draguer, là ?
– Disons que je tente ma chance, il parait que je lèche bien !

Mais c’est qu’elle me trouble, la goudou !

– Je vais vous laisser ! Lui dis-je en terminant mon verre.
– Vous êtes si pressée que ça ?

Je ne sais pas comment elle s’est débrouillée, mais la voilà qui me caresse le bras… et elle le fait bien.

– Ecoutez, je ne suis pas gouine…
– Personne n’est parfait ! On fait ça aux toilettes ou je t’emmène chez moi.
– Mais enfin …
– T’as la peau douce et j’ai envie de toi, j’habite à 5 minutes. Je vais te faire jouir mieux qu’un homme.
– On dit ça, on dit ça !
– Essaie, ça ne te tuera pas !
– T’es gonflée quand même !
– Allez viens !

Je ne sais pas pourquoi je l’ai suivi, elle devait posséder un magnétisme.

Chez elle les choses n’ont pas trainées, elle s’est collée contre moi et nous nous sommes échangé un long baiser baveux, tandis qu’elle me pelotait ma poitrine. On s’est ensuite mises à l’aise, Pas mal foutue la goudou pour son âge, une jolie poitrine qu’elle m’invita à caresser et à lécher. On a continué sur le lit, on s’est caressé, on s’est léché, on s’est peloté. Et on s’est retrouvé en 69.

Me voilà avec une chatte devant ma bouche, ce n’est pas la première, j’ai dû me livrer à quelques fantaisies de ce genre pendant mes années collèges, mais depuis macache walou ! J’ai peur de passer pour une gourdasse, mais n’empêche que je me régale de cette chatte trempée, Son clito est énorme, on dirait une micro-bite, Ma langue s’en empare et le fait danser, Ma compagne de jeu gémit, je redouble d’efforts, elle pousse un cri. Super, un peu court mais super, n’empêche que j’aimerais bien jouir à mon tour, mais mon inconnue s’y attèle en profitant d’égarer son doigt dans mon petit trou intime et ce fut bientôt mon tour de m’envoler au ciel des amours saphiques.

Porte à porte par Janice

Je ne peux pas me qualifier de nymphomane, mais disons que je suis très portée sur le cul… J’ai eu souvent de torrides aventures avec des amants qui ont su me faire jouir jusqu’à ce que j’en frémisse de tout le corps. Mais bien que cela puisse paraître étrange, malgré que j’aie toujours été satisfaite à volonté dans la vie, mon aventure la plus excitante a été une aventure lesbienne.

Tout a commencé bien banalement… Je faisais du porte à porte pour vendre des encyclopédies. Je frappai à la porte d’une maison et ce fut très long avant que quelqu’un ne vienne répondre. J’étais sur le point de m’en aller quand une femme est venue ouvrir… Qu’elle ne fut pas mon étonnement de voir une femme d’environ 45 ans répondre (moi qui en a 25) et qui portait une robe de chambre attachée assez lâche pour que je puisse voir la courbe de ses seins et son triangle de poils brun foncé. La chose qui m’étonna plus encore fut de constater que ma chatte était excitée et mouillée. La femme m’invita à entrer chez elle… J’étais tellement bouche bée que je l’ai suivi sans rien dire jusqu’à son salon. Mal à l’aise, je commençai à lui expliquer le but de ma visite. Elle ne semblait pas tellement intéressée et pendant que je radotais inutilement, elle défit complètement sa robe de chambre et commença à se caresser

– Ça vous dirais de pendre un peu de bon temps ? Me demanda-t-elle avec un soutire enjôleur

J’étais paralysée. Elle comprit certainement que j’étais excitée juste à voir comment je la fixais et comment je me tortillais sur le divan. Elle me dit de me déshabiller sur un ton chaud mais autoritaire. Ce que je fis. Elle s’approcha de moi, et sans hésitation, elle alla directement d’une main sur ma chatte humide, et de l’autre, elle commença à pétrir mes seins avec force. Elle se mit à tracer des cercles sur mon clitoris avec trois de ses doigts. Les cercles étaient de plus en plus rapides et elle mettait de plus en plus de pression. Déjà je croyais m’évanouir tellement que j’étais excitée. Mais ça ne s’arrêtait pas là…Toujours en me pétrissant le clito de sa main experte, elle amena sa langue vers mon minou au comble de l’excitation. Je respirais très fort et poussait de petits cris. Elle léchait sans plus s’arrêter et mon vagin en entier vibrait à chaque coup de langue qu’elle me distribuait. Avec mon pied je lui chatouillais le minou et elle aussi je voyais bien qu’elle en raffolait.

Ma timidité commençait à fondre complètement. Je lui pressait la tête tellement j’étais excitée et là… j’ai eu le plus bel orgasme de ma vie. Je lui ai offert de lui rendre la pareille et sans rien répondre, elle s’est étendue en s’écartant les jambes pour me laisser voir sa petite langue rose qui ne demandait qu’à être embrassée. Nous ne parlions pas beaucoup, nous étions bien trop occupées à jouir ou lécher… Je la léchais et le jus que sa chatte produisait me fascinait. Après qu’elle eut crié de plaisir à son tour, nous avons essayé un autre truc…

Chatte contre chatte, nous avons commencée à nous frotter ensemble. Le contact de son poil frisé sur le mien m’électrisait. Elle me massait les seins avec vigueur et puis tout d’un coup elle s’est levée brusquement me laissant là, toute mouillée et excitée… Heureusement elle est vite revenue avec quelque chose à la main. C’était un vibrateur tout en relief. Du genre parfait pour faire jouir à la mort. Elle a commencé à me le pénétrer dans des mouvements lents de va-et-vient. Je lui disait d’aller plus vite, étant trop pressée de venir une nouvelle fois, mais elle ne m’écoutait pas et faisait prolonger mon plaisir. Elle faisait tourner le vibrateur en dedans de moi, et je sentais les reliefs du plastique qui me chatouillait. Elle commença soudainement à aller plus vite et de l’autre main, elle me branlait encore le clito. J’ai été très étourdie et je crois que j’ai vu noir un moment… Elle me lâcha un peu et se masturba devant mes yeux avides de spectacles avant de recommencer à me lécher de nouveau.

Les émotions remises, je me rhabillais et alla regagner ma piaule en repensant à cette aventure incroyable. Tout avait été trop bon et je ne regrettais rien. Je n’ai jamais eu après d’autres relations avec cette femme. J’ai eu quelques autre expériences lesbienne mais aucune ne rivalisa en intensité avec celle que je viens de vous raconter.

Et devinez où était ma main gauche pendant je l’écrivais ?

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 27 janvier 2022 4 27 /01 /Jan /2022 23:03

Confessions SM – 3
Fetish2

 

Que c’est bon d’être soumise par Erika

Un jour je me suis décidé à m’inscrire sur un site internet de rencontre car, divorcée, j’étais en manque de tendresse et de sexe. Après avoir éliminé pas mal de mecs bizarres, je suis tombée sur un homme qui sortait du lot. Nous avons longuement échangé sur nos envies et il m’a précisé qu’il aimait particulièrement diriger et dominer en douceur, sans aucune violence. Il aimait les jeux de soumission. Et puis un jour, nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes plus et nous avons passé un moment tendre. Très en douceur, il a commencé à me faire découvrir ce monde étrange pour lequel je devais avoir des prédispositions. Des menottes, un bandeau sur les yeux, des caresses différentes avec les mains ou des objets que je ne voyais jamais.

Un après-midi, il m’a bandé les yeux, posé un rosebud dans mon petit trou et emmenée en voiture je ne savais où. Nous avons roulé 15 ou 20 minutes, puis il m’a fait descendre. Où étions-nous ? Je l’ignorais, j’avais toujours les yeux bandés. Il m’a enlevé mon chemisier, mon soutien-gorge puis il a remonté ma jupe sous laquelle je n’avais que des bas, selon sa demande. Il m’a caressée. Je mouillais. Soudain, j’ai senti sur mes seins une seconde paire de mains. Il m’offrait à un autre. Une première pour moi. Tout s’emballait dans ma tête. En même temps, avec amour, il me tenait par la main. Je la serrais très fort. C’était bizarre, mais si agréable de lui faire plaisir. Ensuite, il m’a fait pencher sur une table ou un bureau (allez savoir ?) et donné une douce fessée sur mon cul qu’il aime tant. J’ai dû les prendre tous les deux en même temps en bouche. Nous sommes partis sans que je sache où nous étions allés. Une fois le bandeau enlevé, il était évident qu’à ses yeux je lui appartenais et que je l’avais rendu heureux.

Nous nous voyons régulièrement et je l’aime de plus en plus, je suis accro, complètement folle de lui. Une autre fois, après m’avoir bondagé les seins, il a posé une pince à linge sur chacun de mes tétons. C’était trop beau, je caressais sans arrêt mes grosses mamelles tellement elles étaient belles ainsi. J’étais fière. J’aimerais, un jour, aller à mon travail les seins ainsi attachés sous un chemisier.

Trop impatiente de le revoir, je l’ai invité chez moi la semaine suivante. Je n’en pouvais plus; il fallait qu’il s’occupe à nouveau de mon corps, de mes seins surtout. Une fois nue, il les a bondagé avec une cordelette fine et serrée. J’ai complètement kiffé. Mais d’un coup, j’ai eu très peur. Il a sorti des tapettes à souris en m’interdisant de mettre mes mains. Il les a posées en douceur sur mes tétons. Moi qui étais devenue maso des seins, j’allais être servie. Quelles sensations merveilleuses ! Je coulais littéralement, tellement c’était bon. Je suis restée ainsi plus d’une heure, je l’ai sucé, il m’a pissé dans la bouche et j’ai adoré boire son urine, il m’a baisé en levrette, puis enculé. J’ai dû nettoyer sa bite gluante de sperme et tachée de matière, mais je l’ai fait volontiers. Ensuite, il a dilaté mon cul en douceur avec un gode avant de m’en mettre un plus gros dans la chatte. Hummmm… Que c’est bon d’être soumise.

Erika

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La cave par Alice

J’étais au travail lorsque je reçu sur mon portable un sms venant de mon Maître. Il était sans équivoque et me laissa sans voix…

« Sois disponible à 17 heures, je viendrai te chercher au travail pour que tu sois mon jouet »

Il n’était que 13 heures et déjà je sentais la pression monter, savoir que mon Maître aller m’imposer un nouveau jeu me rendait toute moite … Qu’allait-il encore m’arriver ? J’avoue que j’ai vraiment eu du mal à terminer ma journée de travail, j’étais toute tremblante et mon esprit était accaparé par mon futur rendez-vous.

A cette époque, j’avais 49 ans, et j’étais déjà une femme mature que l’on peut qualifier de soumise et de cougar, car oui, je ne vivais que pour les délires de mon Maître, et oui je préférais les hommes plus jeunes que moi. Mon Maître avait deux ans de plus que moi, et il prenait un malin plaisir à me faire baiser par des hommes ayant l’âge de mes fils… L’heure arriva, péniblement, et je sortis de travail. Il était déjà là, m’attendant dans sa grosse bagnole. J’entrai dans la voiture, et le saluai d’un. « Bonjour Maître ». Il ne répondit pas, et me regarda d’un air salace. Il me tendit une microrobe et des talons de 15 cm.

– Tiens enfile ça petite pute ! me dit-il.
– Oui maître !
– C’est bien, tu es une bonne salope ! me répondit-il

Je m’exécutai sans broncher. Nous arrivâmes dans les quartiers périphériques, là où les tours HLM se suivent et se ressemblent. Il trouva une place et se gara. Il m’ouvrit la porte, et m’ordonna de sortir. Là il me mit un bandeau sur les yeux, et me guida. D’après ce que je ressentais, nous étions en direction d’un immeuble. Il ne parlait pas, ne disait rien, ce qui me faisait frémir de désir … Je ne savais vraiment pas ce qui allait arriver. Nous avons descendu un escalier. Soudain il me dit :

– Voilà petite pute, on est dans une cave, et il va falloir que tu suces ce jeune mec qui est venu se faire vider.

Je ne voyais rien … Je me mis à genoux, difficilement, et j’ouvris la bouche… Et là, la queue arriva. Je n’avais d’autre choix que de sucer, mon Maître me tenait par les cheveux et me lançait des insultes, j’entendais également le jeune mec me qualifiant de « bonne salope », de « bonne pute cougar », de « bonne vide couille soumise » .de « vieille morue » et j’en passe.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais ma bouche était pleine de sperme au bout de quelques instants. Je me sentais humiliée, comme à chaque fois lors des jeux de mon Maître. Il m’a ordonné de conserver la bouche ouverte, l’inconnue me pissait dessus, je m’efforçais d’avaler mais j’eu un haut de cœur, non pas parce que c’était mauvais mais parce qu’il y en avait de trop. Soudain, il n’y eut plus aucun bruit. Il me releva, et nous partîmes enfin de ce lieu glauque. Arrivés dans la voiture il m’enleva mon bandeau, et me tendit une lingette pour essuyer le sperme et l’urine qui coulaient encore sur mon visage
.
– C’est bien, tu es vraiment une bonne salope ! Me dit-il.

Et il me tendit un billet

– C’est quoi ?
– Ben tu as fait la pute, c’est normal .qu’il te paie, non ?

Et il m’a ramené chez moi

Alice

Le club par Pozzi

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J'ai pendant plusieurs mois fréquenté un espèce de club qui organisait des soirées avec humiliation d'esclave. On était une vingtaine de spectateurs, des hommes seuls mais aussi des couples, y compris des couples de lesbiennes. c'était assez cher, un ticket bleu permettait uniquement d'assister, un tiquet rouge permettait de participer mais c'était plus cher. L'humiliation concernait de 1 à 3 filles suivant les séances. Ça commençait de façon classique (si j'ose dire) insultes crachats, pinces, et cravaches et humiliations en tout genre (faire le chien, ramener la balle) puis les filles se faisaient pisser dessus (il n'y avait pas de scato, réservé à des séances spéciales où je n'ai pas eu l'occasion de me rendre) puis après c'était sexe à gogo avec les gens qui avaient un ticket rouge. moi je n'en ai jamais pris, mais une fois un mec m'a gentiment prêté sa femme en me disant que je pouvais lui faire tout ce que je voulais (authentique),Le gars m'a tout de même demandé de le remercier en lui suçant la bite, je ne pouvais pas lui refuser ça. A la fin d'une des dernières séances à laquelle j'ai participé, on a "obligé" les filles à sucer les bites de deux gros chiens. Quel spectacle, je n'avais jamais vu ça, ensuite les deux filles se sont mises en levrette et une assistante est venue les aider à se faire pénétrer par les chiens. Inutile de dire que je me suis branlé comme un sauvage. A la fin de la séance les deux soumises sont venues remercier le public comme au théâtre !.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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