Partager l'article ! Confessions scatos – 4: Confessions scatos – 4 Le salon de Catherine Valmurey, récit anonyme du 19ème siècle ...
C’est Vernouillet qui m’a fait connaitre le salon de Catherine Valmurey, il y avait les habitués, Rodineau, Chabert et son fils, nous étions donc cinq ce jour-là. La soirée commença par la lecture de poèmes grivois que chacun avait dégoté, voire écrit. Madame Valmurey outre le fait d’être une très belle femme se distinguait par ses traits d’esprits très pertinents.
Après qu’elle nous eut versé le champagne et que nous l’avions bu après avoir trinqué aux belles femmes et aux plaisirs qu’elles nous apportent, notre hôtesse après avoir ôté ses dessous monta sur la table, chacun a alors posé sa coupe sous son pubis afin de recueillir sa pisse. Quand toutes les coupes furent remplies, y compris la sienne, nous retrinquâmes. Sans bouger de la table elle demanda au fis Chabert de lui quérir une belle assiette à l’office. Et devant nous, la belle Catherine poussa une longue merde brune qui tomba dans l’assiette. Elle nous fit ensuite passer l’assiette afin que nous puissions contempler son œuvre de plus près. Rodineau commença et se contenta d’humer. J’étais le deuxième, Ce fut pour moi un plaisir exquis de lécher la bonne merde de Catherine Valmurey.
J’ai eu l’occasion d’être invité dans un petit club qui organise des soirées sans tabou (uro, sadomaso, scato et même zoo)
Joël, le maitre de cérémonie nous disposa en cercle autour d’une grand pièce, au fond de laquelle avait été disposée une croix de Saint André.
– Voilà nous sommes quatorze aujourd’hui, il ne viendra plus personne, Je rappelle la seule règle : entre vous, vous pouvez vous faire tout ce que vous voulez, mais vous n’intervenez pas au milieu de la scène sauf si on vous le demande. Et maintint je vous présente Belinda
C’était une très belle femme, brune aux yeux bleu, dans les quarante ans tout sourire, avec un rouge à lèvres cerise. Vraiment très belle, elle aurait pu faire du cinéma. Joel lui demanda de se déshabiller. A la vue de sa magnifique poitrine, j’imitais mon voisin qui avait sorti sa bite et me branlait nonchalamment.
Une femme blonde un peu forte mais au physique agréable se déshabilla à son tour puis après avoir attaché Bélinda sur la croix entreprit
de la flageller par devant. Les coups zébraient sa peau et elle gigotait et hurlait comme un beau diable mais semblait s’accommoder de ce traitement sadique.
Après cette petite mise en bouche, la blonde la détacha et les deux femmes s’embrassèrent sur la bouche. Belinda fut invitée à se coucher
par terre et la blonde lui pissa dans la bouche puis vint le clou du spectacle, se positionnant au-dessus de la bouche de sa soumise la blonde libéra un long boudin qui arriva directement dans la
bouche de Bélinda. Elle en garda un peu en bouche en regardant l’assistance d’un air de défi.
Voir une aussi jolie femme avoir un tel rapport avec la merde tout en gardant le sourire a quelque chose fascinant. je bandais comme un
malade.
On fit ensuite venir le chien, mais ceci est une autre histoire…
Grosse envie par Anna
L'autre samedi j'ai rencontré un jeune homme en boite fort charmant, il m'a proposé de me ramenée chez moi mais je voyais les choses autrement. j'avais très envie d'aller aux toilettes alors je lui ai proposé de l'emmener sur la plage, de le sucer et de partir comme ça sans rien de plus et il a accepté. Arrivé sur la plage je me suis mise a genoux et je me suis occupé de lui, il avait une très belle bite qui sentait un peu le pipi. Tout en le suçant je lui introduisit un doigt dans le cul, je sentis sa crotte et mon doigt est ressorti tout merdeux, je n'ai pas pu m'empêcher de lécher mon doigt jusqu') ce qu'il redevienne tout propre, sa merde avait un goût délicieux, mais ce qui était étrange c'est que le type ne se rendait pas trop compte de ce que je faisait. Et puis j'ai un comme un coup de folie, je me suis lâché dans ma culotte tout en sentant son sexe dans ma bouche et ses mains sur mon visage, moi je poussais dans ma culotte, ma position faisais que je me suis retrouvé très vite avec une énorme masse chaude aux fesses, j'ai continuer a pousser plus fort en le sauçant plus vite jusqu'à le faire jouir, il m'a regarder m'a dit merci et il est parti, moi je me suis relevée, la culotte pleine et mouillée. J'ai marché jusqu’à chez moi comme ça !
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