Confessions

Samedi 23 janvier 2021 6 23 /01 /Jan /2021 10:24

Paroles de prostituées – 2
coin102

Je finance mes études par Erika

Ben oui…. je finance mes études… du moins c’est que je me disais jusqu’à présent… je commence à me demander si je ne vais pas faire un choix qui serait sans doute celui de la facilité…) L’être humain a besoin de communiquer. La prostitution est mon secret (quasiment non partagé) alors je le partage ici… Parce que la société ne me permet pas de le faire… Parfois il y a une bonne âme qui me demande comment je fais pour me payer de belles choses, des jolis fringues… je ne peux pas répondre la vérité, alors j’ai trouvé un truc ! Je dis que j’ai un amoureux qui a une très bonne situation et qui m’entretient (ça passe très bien, femme entretenue c’est bien vu, prostituée c’est mal vu) Evidement si l’andouille s’étonne que ce riche monsieur ne m’offre pas plus de bijoux, je réponds que c’est moi qui lui dit que je préfère des cadeaux en liquide… et miracle la conversation s’arrête… j’ignore si en face on a compris.. je dis que je m’en fous, mais je ne m’en fous pas… Derrière la petite Erika (pseudo), pute et fière de l’être, il y a une personne sensible…. Je crois à mes convictions.. le combat pour une reconnaissance des métiers du sexe Ce n’est pas le combat de quelques gagneuses mais il est aussi revendiqué par de vraies philosophes qui elles aussi se réclame du féminisme (mais ce n’est pas le même que celui dont on nous rabâche les oreilles) comme Elisabeth Badinter et surtout Marcella Iacub…. Mais que parfois ce combat est dur… :jap:

Le curé par Josy

J’ai un jour monté un monsieur avec une valise
– Tu as quoi dans ta valise ?
– C’est des panoplies, c’est pour mon fantasme
Il ouvre sa valise, à l’intérieur une panoplie de bonne sœur pour moi, une panoplie de curé en soutane pour moi.
Il a joué devant moi un petit sketch sans intérêt, je l’ai sucé et il s’est rhabillé, je l’ai fait trois ou quatre fois, je ne me souviens pas, puis je ne l’ai plus revue.
Un jour, une collègue voulait absolument que je l’accompagne à l’église, elle voulait mettre un cierge, je ne suis pas croyante, mais je savais pas comment refuser de l’accompagner. En plus son église n’était toute proche, il fallait prendre le métro…
Arrivé sur place elle achète un cierge l’allume et se met à prier, je fais semblant de faire pareil
Un curé passe dans l’allée, je lève les yeux par réflexe
C’étant mon curé qui était donc un véritable curé. J’ai failli éclater de rire

Prosse2

Handicap par Cynthia

J’attendais qu’un client daigne s’intéresser à ma modeste personne, et tout d’un coup je vis s’arrêter devant moi, un monsieur d’âge mur poussant une chaise roulante dans laquelle avait pris place un handicapé. Il m’a demandé si je pouvais m’occuper de son fils. Je lui a dit que je voulais bien mais lui demandais comment il allait faire pour monter. Il m’a répondu qu’il allait s’en charger et qu’il savait le conduire dans un escalier. Le père n’est pas entré et m’a indiqué qu’il reviendrais chercher son fils dans 20 minutes et m’a payé sur le palier.
Je me suis occupé de l’handicapé, il était tout content de ma prestation et l’a dit à son père quand il est revenu
Et après il y aura encore des conasses qui diront que la prostitution ne sert à rien !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Samedi 23 janvier 2021 6 23 /01 /Jan /2021 10:21

Paroles de prostituées – 1

coin102

 

J’avais des dettes par Nat

Il est rare qu’on choisissent la prostitution comme métier, par contre on peut la choisir comme alternative. En ce qui me concerne, j’ai connu une période galère où tout m’est tombé sur le dos à la fois. Il m’a fallu quatre samedis de prostitution pour rembourser mes dettes. J’aurais pu m’arrêter, mais l’argent facile m’a grisé, pourquoi ne pas me payer des belles vacances, un beau blouson… j’ai donc continué un petit peu, les samedi sont devenus des semaines entières et deux ans après j’y étais toujours. Je pourrais d’ailleurs y être encore si un de mes clients ne m’avait pas proposé un job (je passe).
J’ai dû restreindre mon train de vie, parfois j’ai la tentation de reprendre, sous une autre forme (escort solo)
De ces mois de prostitution, j’en tire quoi ? D’abord aucune honte ! Ensuite le fait d’avoir rencontré des gens intéressants.
Alors les inconvénients :
Les « moches » : on fait avec, au début ça gène, après ça ne gène plus du tout, mais alors plus du tout. Dans les cas limites on refuse de monter le bonhomme, mais je ne suis pas une mauvaise fille
Les « sales : on est quand même capable de voir avant de le monter si le client est clean. Il m’est arriver une fois de virer un mec, il était propre dans ses habits, mais en dessous… Je lui est rendu son fric, on m’a expliqué que ça ne se faisait pas…qu’il fallait garder l’argent…pas grave
Les « méprisants »: Il n’y en a pas tant que ça ! On s’arrange pour limiter les croisements de regards et la pénétration se fait en levrette. Le service est minimum de façon à ce qu’il ne revienne pas. C’est typiquement le genre de mecs qui culpabilisent et qui racontent ensuite que les putes ne sont pas gentilles.
Les « violents »: Je n’en ai jamais rencontré, d’autres ont eu moins de chance que moi, mais l’immeuble avait un videur.

Le seul véritable inconvénient c’est les boules de croiser le regard de quelqu’un de mes anciennes connaissances. J’avais beau dire que je m’en foutais, je redoutais cet instant (qui n’est jamais arrivé) . Ça n’a rien à voir avec la honte, non, c’est irrationnel !
Je ne suis pas à plaindre. La prostitution est une proposition d’échange entre le sexe et l’argent, c’est tout. Elle a ses avantages, elle a ses inconvénients Et je ne parle que de mon cas personnel.

Enfin un mot à ceux qui ne mettent leur dignité que dans leur sexe ! Je ne pense pas un seul moment avoir jamais manqué de dignité, je fais ce que je veux de mon corps et que celui qui se permet de me juger se demande déjà s’il est parfait !

Prosse1

Le fantôme par Sylvia

Un jour je monte un client ! il m’explique qu’il a un fantasme, je dois faire semblant de dormir dans le lit, et lui c’est un fantôme qui arrive dans la chambre caché sous un drap, il me fait peur et il me prend ! Pourquoi pas ? Mais il a fallu que je lui explique qu’en chambre on ne défaisait jamais les lits, l’amour c’est sur le lit, pas dans le lit, et d’ailleurs il n’y a pas de drap. Le mec est dépité ! Je lui propose de revenir avec un drap !
Une semaine après il se repointe, il avait acheté deux draps, il les déballe, l’un pour me recouvrir mon corps allongé sur le lit, l’autre pour faire le fantôme !
Il commence à peine son cinéma en faisant des grands « bouuh », et voilà qu’il trébuche, il se cogne la tête contre l’évier, tombe par terre sans connaissance, le visage en sang !
Affolée, j’appelle les filles qui sont à côté, on fait venir le Samu, ils s’occupent du mec, l’embarquent à poil aux urgences, je me suis occupé moi-même de ses effets personnels que j’ai dû placer dans un sac poubelles…5 minutes après c’était les flics qui radinaient (mort de rire les flics) et puis plus de nouvelles, je ne savais pas son nom !
Il est revenu une quinzaine plus tard, avec un bouquet de fleurs gigantesque ! Il m’a dit « je voulais te remercier, on m’a dit que tu t’étais bien occupé de moi ! » J’en avais les larmes aux yeux, surtout que je n’avais rien fait de particulier… On a fait l’amour sans mise en scène, (juste une pipe d’ailleurs) et puis je ne l’ai plus revu

La rue ou l’escorting par Galoupiotte

1) Il y a des avantages dans la rue, on a tendance à l’oublier : on est pas seules, je ne sais pas si tout le monde se rend compte à quel point ça peut être important d’être soutenue quand ça ne va pas bien, à tous les points de vue d’ailleurs. Et puis, il y a ‘échange d’informations, de tuyaux, des ficelles du métier. Pas de gestion des correspondants (sauf les habituées) mais une fois finie la journée on est libre comme l’air, si on veut ne pas venir une journée ou arrive en retard no problèmes.

2) c’est une idée fausse de croire que les escorts (je ne parle pas des escorts haut de gamme) gagnent énormément plus que les filles de rues des secteurs traditionnelles. On ne travaille pas de la même façon, c’est tout !

3) Bien que d’une façon générale la prostitution soit un métier à risques, celui-ci est moindre dans la rue !

4) Le fric n’est pas forcément une fin en soi, j’ai toujours posé des limites, celui qui paie trop considère que ces limites n’ont plus cours ! Je refuse ce genre de raisonnent. Celui qui claque trop d’argent au point de le mépriser, méprise aussi celles qui l’acceptent.

5) L’escorting traditionnel comporte des contraintes qui ne m’intéressent pas, autant aller au restau avec un habitué me distrayait, autant y aller avec un mec qui m’a payé pour ça et que je vais être obligé de supporter en tête à tête pendant deux heures m’insupporte !

6) Et puis en ce qui me concerne j’ai pas trop réfléchi, j’avais besoin de fric, je savais qu’une copine connaissait quelqu’un …. et voilà…

Je ne dis pas que l’escorting n’a pas d’avantages mais chacune voit midi à la porte de sa petite chambre d’amour, n’est-ce pas ? ::

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mardi 24 novembre 2020 2 24 /11 /Nov /2020 13:07

Confessions gays
gay stamp

Au sex shop par Garance

La sex-shop a un sous-sol cinéma

J’y entre , tout excité à l’idée de ce que je vais découvrir dans la pénombre de la salle. Je m’assieds sur le fauteuil à ma droite, au fond. J’aperçois sur la banquette à ma gauche deux mecs assis côte à côte. L’un d’entre-deux a le pantalon baissé et branle sa queue très raide en jetant sur moi des regards concupiscents. Un mec se trouve dans la salle sur la deuxième travée en avant, il préfère manifestement s’isoler. Un mec mur assez enrobé arrive et s’assoie sur la grande travée du fond, juste devant moi. Il parait assez excité et se retourne fréquemment dès que je bouge un peu, les bruits accompagnant mes mouvements doivent lui laisser espérer des possibilités d’excitation et de rapprochements intimes. Je me branle. Il devient très intéressé. L’autre mec en érection et au froc baissé s’en est aperçu. Il se relève pour matter ce que fait l’invidu enrobé et, trouvant la scène et très probablement la bite à son goût, il vient finalement s’asseoir à ses côtés. Ils se rapprochent très vite l’un de l’autre, s’empoignent mutuellement la queue en une branle frénétique que je devine aux mouvements de leurs corps et à l’expression extatique de leurs visages. Puis le mec venu du fond le suce et l’autre le lui rend. S’en suit une partie de branle et de suce qui, vue par l’arrière, m’excite furieusement. Finalement le mec enrobé est agité de soubresauts orgasmiques, sa tête se cambre vers l’arrière avec des mouvements saccadés. Il jouit manifestement dans la bouche de son suceur expert. Ce dernier ne l’a pas accompagné dans sa jouissance et revient s’asseoir au fond, à côté de son voisin au comportement provisoirement passif.

Mais le scénario se modifie sur la banquette du fond à deux places. Le mec énigmatique commence à caresser avec art la bite de notre bandeur forcené. Ce dernier apprécie, son visage est tendu dans un plaisir intense. Les gémissements et les soupirs se font audibles. Les choses se corsent lorsque notre pseudo voyeur se relève, baisse son pantalon, se met à genoux et entame une suce démente et prolongée de son voisin de banquette. Notre suceur fait preuve d’une grande dextérité, il prolonge l’accouplement bucco-génital avec gourmandise. Tout se termine dans un soubresaut accompagné d’un râle orgasmique. La jouissance a été totale pour deux participants lors de cette séance de vidéo pour adultes. Pour ma part je n’ai fait que me branler et voir, ce n’est pas si mal. La vidéo n’était qu’un prétexte et n’était guère intéressante. En fait, le spectacle est bel et bien dans la salle, le spectateur peut également y devenir un acteur.

Le mec enrobé toujours présent reprend sa branle, la séquence vidéo nouvelle semble lui plaire. Il se retourne vers moi en espérant manifestement un rapprochement de ma part. Mais malheureusement l’heure a tourné et je n’ai plus le temps d’une branlette réciproque, dommage car l’individu enrobé était un chaud capable de deux giclées successives. Ce sera pour une autre fois.confgay

Au ciné X par Botrel

C’est au fond de la salle que ça se passe, j’arrive, deux mecs sont côte à côte, Gauthier que je connais, et un autre mec très BCBG, barbe blanche, un habitué des lieux. Je les regarde de sucer chacun leur tour. Ça va être chaud ! Je déballe ma queue bandée et le barbu voyant mon engin, quitte la bite de Gauthier pour la mienne, j’en profite pour tâter et branler Gauthier, le plan à trois, un suceur et deux branleurs ! Alternativement le barbe nous suce l’un et l’autre et le sucé branle celui qui reste. C’est très chaud jusqu’à ce que Gauthier lâche sa purée dans la bouche du barbu qui avale tout. Il m’embrasse et nous nous partageons sa jute. Il me propose alors de nous rendre aux toilettes. Là dedans un type en encule un autre en cadence. Joli spectacle ! Je baisse mon froc et offre mes fesses au barbu qui se met une capote et m’encule ! Quel plaisir divin ! Il jouit dans mon cul et se retire. Un mec à la queue dépassant de sa braguette me tâte les fesses, il me ait comprendre qu’il aimerait bien m’enculer à son tout. Pendant qu’on y est…

Mon oncle par Ryder

Souhaitant devenir ingénieur en eaux et forêts, on me proposa un stage en Dordogne. Pour l’hébergement je comptai sur un vieil oncle que je connaissais à peine mais qui avait la bonne idée d’habiter dans le coin.

L’accueil fût sympathique, l’oncle vivait seul depuis son divorce. Un jour où il s’était absenté pour aller faire le marché, je jetais un coup d’œil dans sa bibliothèque. C’est bien connu les choses intéressantes dans les bibliothèques se trouvent en hauteur.. C’est ainsi que je tombais sur une pile de revues gays. Des truc très hards, avec des mecs qui se sucent la bite et qui s’enculent
Imaginez ma surprise.

Je commence à feuilleter tout ça me provoquant une érection du tonnerre de dieu

– Alors on se documente !

L’oncle venait de rentrer subrepticement

– Je cherchais un bon polar… balbutiais-je
– Ça ce n’est pas des polars c’est du sexe. T’aimes ce genre de choses ?
– Ce n’est pas mon truc, mais c’est troublant.
– Si ce n’est pas ton truc, pourquoi tu bandes ?
– Ce doit être une réaction purement mécanique
– T’as déjà fait des truc avec des mecs ?
– Oui, comme ça, vite fait, mais je préfère les filles.
– Et t’as fais quoi avec un autre mec, t’as sucé ?

Il m’embarrasse, je ne sais plus où me foutre.

– Faut pas avoir honte, moi aussi j’aime bien sucer des bites !

Ça devient glissant le conversation

– Si ça t’intéresse, tu peux me toucher ! Me dit-il en prenant ma main et en la collant sur sa braguette.

Je suis en pleine confusion. Mon oncle dézippe sa braguette, sors sa queue, la branle un petit peu pour la faire bien bander.

– Elle te plait ?
– Elle est belle !

Et c’est vrai qu’elle était magnifique, bien droite ,le gland violacée, les couilles insolentes

– Suce !

Je n’ai pas trop cherché à comprendre et me suis précipité vers ce bel organe me régalant de sa texture, de son odeur musquée, je procédais par de lents va-et-vient qui semblaient combler d’aise le tonton.

– Maintenant je vais t’enculer, baisse-moi ton froc
– Mais bien sûr tonton !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 31 juillet 2020 5 31 /07 /Juil /2020 12:52

Confessions candaulistes - 1 

 

cuckold

 

Au parc par Karine

 

Je m’appelle Karine. J’ai 28 ans. On me trouve jolie. J’adore faire l’amour et j’aime m’exhiber. Mon copain me laisse vivre mes petits fantasme…L’été dernier nous avions décidés d’aller nous promener dans un parc près de Québec. Cette journée étant très chaude je m’habille de façon très provocante. Petit short moulant mes parties intimes avec un petit débardeur tout blanc laissant deviner l’aréole de mes seins.

Après une demi-heure de marche sous un soleil suffocant nous nous arrêtons près de la rivière. Il y avait là un homme d’une soixante d’année, d’une belle prestance comme je les aime… Je décide avec l’approbation de mon copain de me baigner. Je souris à l’homme assis. Tout excitée je me baigne sachant très bien que mon débardeur deviendrait complètement transparent. L’homme me regardait intensément ce qui m’excitait d’autant plus. Mon copain quant à lui avait retiré son short pour ne garder que son petit maillotmoulant sa verge gonflée et très apparente. J’étais au bord de l’orgasme. Je décidai alors de retirer mon débardeur et de sucer mon copain devant cet homme. Alors que je pompait l’homme s’approcha et avec le sourire approbateur de mon copain, il me caressa les seins. Mon copain ne tarda pas à éjaculer. Je pris tout ce bon nectar dans ma bouche et alla embrasser notre visiteur sur la bouche. Il sembla apprécier. Je me penche alors et avale sa verge plus petite que celle de mon copain je réussis à tout prendre jusqu’au bourses. Mon copain se plaça alors sous moi et me l’écha la chatte et l’anus (J’adore ça).Le gars éjacula dans ma bouche Je gardai tout et recrachai le tout sur mes seins. Quel spectacle ! J’étais inondée Je fus secouée alors d’un puissant orgasme. Je décidai de remettre mon débardeur par-dessus mes seins tout mouillé de sperme et de salive. J’embrassai le vieil homme et nous sommes partis. Mon copain dit :

– Tu es vraiment une petite salope !

– Oui, je suis ta salope et j’aime ça !

 

Vacances au Mexique par Fred

 

Bonjour je m’appelle Fred, je suis marié à une belle femme châtaine et très bien faite avec de gros seins que j’aime tripoter. Comme beaucoup d’hommes j’avais le fantasme de voir ma femme se faire toucher par d’autres hommes, mais ce n’est pas si facile, elle et très cochonne avec moi mais plutôt prude ailleurs. J’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de soutien-gorge pour aller dans un petit bar que l’on avait repéré dans la journée. La veille j’avais parlé à un Mexicain assez gentil sans que ma copine nous voie et lui avait proposé un jeu de rôle.

Il s’est caché dans une petite ruelle sombre où l’on devait passer pour revenir à notre hôtel. Après notre soirée, on était pas mal fatigués, on est parti à pied, ma copine et moi quand nous sommes passés par la petite rue, le Mexicain nous a barré la route avec un grand sourire, ma copine a crié

– N’ai pas peur ma chérie, ce jeune homme ne nous veut aucun mal !

– C’est vrai, je ne suis pas méchant, je vous trouve très belle mademoiselle, cela me ferait beaucoup du plaisir si je pouvais vous caresser.

– Non mais ça ne va pas, non ? Proteste-t-elle

– Laisse-toi faire ma chérie, ça peut être amusant et même très excitant !

– Mais vous êtes de mèche tous les deux ou quoi?

– Non, non pas du tout, Mentis-je dans grande conviction

– Je vais juste vous toucher les seins ! Dit le Mexicain

– Laisse toi faire chérie

– C’est un traquenard, tu ne perds rien pour attendre.

J’ai maintenu les poignets de ma copine, ce qui a permis au Mexicain de lui déboutonner sa chemise. Puis il a commencé à lui prendre les seins, lui tirant sur les bouts tout en la traitant de petite pute. Elle s’est rapidement prise au jeu, elle a pris ses mains dans son dos pour me prendre ma queue qui bandait très fort.

Le Mexicain a entré une main sous sa jupe et lui a baissé sa culotte, il a relevé la jupe et a admiré sa chatte rasée et mouillée. il lui a entrer deux doigt dans la chatte et les a fait entrer et sortir, elle se trémoussait devant lui pendant qu’il riait et la traitait de salope. Elle jouissait très fort alors il la fait se mettre à genoux et lui a demandé de le sucer ce quel fit sans hésiter et bien à fond jusqu’à l’éjaculation, puis elle avala tout son sperme.

– Si vous avez encore besoin de moi, je suis à votre service ! Nous dis le Mexicain avant de disparaître. .

 

La nuit de la Saint-Jean par Kevin

c caud

Il commençait à faire noir et nous attendions le début du spectacle, il y avait un millier de personnes au moins. Je vis soudain une jeune fille blonde, avec une poitrine superbe. Je commençai à bander aussitôt et à rougir aussi, tellement je fus pris par surprise, d’autant plus qu’elle remarqua la bosse dans mon pantalon que je cherchais à cacher tant bien que mal. Elle fit un sourire, ce qui me détendit et je m’approchai d’elle au point de la toucher avec mon épaule, elle ne broncha pas, au contraire elle frôla son épaule contre la mienne comme une caresse invitante. Je lui passai la main derrière le dos et le lui caressai, elle ferma les yeux à moitié. Je continuai de plus belle et je descendis jusqu’à ses fesses, elle me releva la main et elle vint se mettre derrière moi et me plaça ma main sur son jeans à la hauteur de sa chatte. J’eu une énorme frisson qui me parcourut le corps. Je lui flattait la sexe sur son pantalon et elle dégageait tout ce qu’elle pouvait d’énergie sexuelle. Je n’en pouvais plus, je la pris par la main pour l’emmener à l’écart derrière un bâtiment et nous nous embrassâmes comme deux bêtes, à s’en peter les babines. Je parcourrai la rondeur de ses seins et j’y introduis une main je ne sais comment et mon autre main alla directement dans sa petite culotte, jamais avant je n’avais eu un tel désir pour une fille, si violent et si puissant. Je sortit mon pénis qu’elle s’empressa de mettre dans sa bouche. Elle me suça comme une furie a m’en pèter les couilles, elle ne se contrôlait plus et moi non plus, je jouissait comme jamais avant, je la relevai pour lui descendre son jeans et sa culotte, mais elle enleva tout au risque d’être vu, je lui enfilai ma queue dans son vagin mouillé comme une mare et je la baisai au plus profond d’elle-même farouchement, sauvagement, elle criait à chaque coup que je lui donnait et plus elle criait plus je lui plantais mon dard au plus profond de son sexe. Dans un geste, je la retournai de bord et je la penchai en avant pour l’enculer, mon pénis entra d’un coup dans son petit trou brun et comme un coup de canon nous sommes venus comme des bêtes fauves, criant et gémissant. Je sortis ma queue et je finis d’éjaculer sur elle, je lui en mis partout où je pus, je voulais l’asperger de mon jus.

Quand j’ai voulu lui proposer de boire un verre elle m’a dit qu’elle n’était pas seule, et que son copain s’était bien excité en nous regardant baiser. Il s’est approché de nous, m’a félicité pour ce que j’avais fait et ils m’ont proposé de me payer le restau. J’ai refusé, envahi par des sentiments partagés, je l’ai ensuite regretté, on est con parfois.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 31 juillet 2020 5 31 /07 /Juil /2020 12:48

Confessions incestueuses – 2

Mat Stamp

 

Triolisme avec maman par Ric

 

J’habite une petite chambre d’étudiant. Amelie me téléphone pour me demander si elle peut passer ? Bien sûr quelle peut passer ! Une demi-heure plus tard, elle sonna à la porte, j’ouvris seulement vêtu d’un caleçon car je savais que ça l’existait beaucoup. Je la fit entrer et aussitôt qu’elle eut le dos tourné, je la poussai sur le divan où je la déshabillait le plus rapidement possible

Je commençai à l’embrasser langoureusement et ce qui devait arriver ne se fit pas attendre, elle commençais à mouiller la salope (elle adorait ces mots-là) alors mes mains descendirent vers sa toison d’or et commencèrent à frotter son clito pour la faire gémir de plus en plus. Elle eut un premier orgasme. Moi mon érection était de plus en plus visible et elle le sentait. Alors elle retira mon caleçon et prit mon sexe à deux mains et commença à faire des va-et-vient qui ont fait sortir une goutte de sperme. Elle se délectait de cet avant-gout et elle en voulait plus. Elle se mis à me pomper comme une déchaînée et j’eus une premier orgasme, tout mon liquide chaud et salé lui coulait lentement et abondamment entre les deux seins et elle me dit .

– Nettoie moi ça tout de suite !

Je ne me fit pas prier pour attendre et je me mis à lécher tout ce qu’elle avait sur elle et en m’attardant bien sûr sur ses gros seins qui avaient des mamelons si fermes que je pouvais me crever un œil. Ensuite j’allais chercher une capote, elle me l’enfila et je commençais à l’enculer et elle eut un autre orgasme en même temps que moi

Alors que je me retirais, le téléphone sonna, c’était ma mère qui était dans le quartier et qui me demandait si elle pouvait passer me faire un petit coucou. Je cherchais à tergiverser mais Amélie intervint :

– Tu m’a bien dit que ta mère était une salope…

– Oui, mais…

– Dis-lui de venir et en attendant on va continuer à baiser, on verra bien comment elle va réagir

Nous découvrant nus couchés l’un sur l’autre ma mère se déshabilla aussitôt et sauta sur nous, nous embrassant tous les deux. Je proposais aux deux femmes de faire l’amour ensemble et pour corser la chose j’allais chercher le petit godemichet que je m’introduit parfois dans le trou du cul, et le leur confiait. Elles commençaient à s’embrasser, puis ma mère se mis à quatre 4 pattes pour se faire défoncer. Moi sur l’autre divan, je les regardais en me masturbant. Ma mère jouit en premier, ensuite elles inversèrent les rôles jusqu’à ce qu’Amélie jouisse à son tour.

Et moi j’éjaculais en faisant couler mon sperme sur mon torse, les deux coquines voyant ça se précipitèrent sur moi et commencèrent à me lécher le torse pour gouter à ma semence. Puis ma mère se mit à me sucer ce qui provoqua une autre réaction de mon membre viril.

 

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La mère de Didier par Sophie

 

Moi, Sophie et mon copain Didier vivons provisoirement chez sa mère en attendant que nous nous trouvions une piaule. Évidemment, cette situation imite nos ébats amoureux…

L’autre jour, nous étions tous les deux dans le salon en train de regarder des sites pornos un peu extrêmes. Et à force de mater nous avons commencé à nous exciter.

J’étais assise près de lui et en me laissant descendre doucement sur ma chaise, j’ouvre mon robe de chambre sous laquelle je suis nue et écarte légèrement les cuisses. Didier me regarde et me fais un beau sourire. Mon entre-cuisse est tout juteux et il ne peut s’empêcher de venir y coller ses lèvres. Il me lèche, suce mon clitoris et moi je me tortille sur ma chaise et je ne peux gémir car sa mère dort dans la pièce à côté. Hummmm c’est tellement bon ce qu’il me fait !

Soudain il me fait mettre debout et me retourne, me faisant prendre appui sur le dossier de la chaise, j’ai le visage dans le passage et je peux guetter si sa mère se lève. Didier me caresse les fesses, j’entends son jeans descendre et je sens son gland qui vient taquiner l’entrer de ma chatte .je le supplie de ma baiser, là .tout de suite, ce qu’il fait avec ardeur et le voilà qui me laboure, me baise, me pilonne. Ses va-et-vient me font monter très vite et j’ai envie de crier mais je ne peux pas. La sueur coule sur mon visage, dans mon cou .mon dos s’humidifie lui aussi. Didier me pénètre de plus en plus vite et je l’entend me glisser à l’oreille qu’il jouira lui aussi très bientôt. Je lui demande de m’enculer.

Et là sur le pas de la porte, je vois sa mère en train de nous observer.

– Ne vous gênez pas pour moi, vous êtes très beaux tous les deux.

Je panique, mais contre toute attente Didier propose à sa mère de venir nous rejoindre. J’ai du mal à comprendre, mais l’instant d’après la mère avait la bouche se son fils dans la bouche.

Un moment j’ai pensé faire ma valise en vitesse et quitter ce lieu de perdition, mais les caresses de la maman sur mes cuisses m’ont tétanisé, je me suis laissé faire et quand elle m’a offert ses lèvres je les ai acceptés.

Sans doute est-ce l’insolite de la situation mais j’étais soudain excitée comme une puce, et je me suis retrouve en soixante-neuf en train de lécher la bonne chatte de la mère de mon copain. J’étais en dessous et elle au-dessus.

Et que croyez-vous que fit Didier ? Il a enculé sa maman qui a joui comme une damnée.

– Il y a longtemps que tu baises ta mère ? Lui demandais-je

– Oh je ne sais plus, le temps passe si vite !

 

La bite à Papa par Julien

 

Je suis Julien, j’ai 19 ans. Mon père rentre dans ma chambre et allume la lumière.

– Tu as bien sucé ton cousin, hier ?

Effectivement, quand mon cousin passe à la maison nous regardons des films pornos et quelques fois, nous nous branlons et nous nous suçons la bite

– Ben quoi , je suis majeur… Tu ne vas pas de dire que tu es homophobe quand même ?

– Non, mais figure toi que je vous ai vu, la porte était mal fermée et ça m’a excité

– Ah ?

– T’aimes ça les bites, hein ?

– J’avoue !

– Tu me sucerais la mienne ?

– En voilà une question inattendue !

– Mais tu ne m’as pas répondu.

– Disons que c’est un peu particulier.

– C’est juste une proposition !

– Hum

– Tiens regarde !

 

Il baisse son pyjama et sa queue sort déjà toute droite.

 

– Elle est belle !

– Ben suce-là !

 

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Il s’approche de moi et me plante son sexe dans la bouche. Je le suce et ma foi, c’est pas dégueulasse. Sa queue durcit encore plus entre mes dents. Au bout de quelques minutes, il me fait me retourner à genoux et sans me dire un mot, il m’enfonce son engin dans les fesses. Je ne peux retenir un cri, mon anus me crie : « stop ! J’ai l’impression d’éclater de l’intérieur. Il ne retient pas ses mouvements tellement il est excité. Soudain, je sens du chaud monter en moi et ses mouvements se font plus lents. Son sperme m’inonde le cul et ressort de mes entrailles.

– Mets-toi sur le dos et branle-toi !

J’obéis. Il me remet son sexe dans la bouche.

– Nettoie, maintenant !

Je goûte à ce mélange de sperme qui sort de mon cul et rends ce sexe qui se ramollit aussi propre qu’au début.

J’ai bien jouit, mon père m’embrasse.

– Ça t’a plus ?

– Super ! Mais la prochaine fois frappe avant d’entrer.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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