Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 16:40

Confessions bisexuelles - 1 

 

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Tu parles d'un apéritif ! Par David.

Attention c'est un peu scato !

Bonjour je m'appelle David, j'ai 30 ans, légèrement bisexuel, j'aime sucer et lécher : les seins, les chattes, les bites, les culs… mais n'anticipons pas.

Je sonne chez mes amis vers 8 heures du soir. Mark vient me répondre, Michèle est occupée à arranger les derniers détails afin d'être sûre que nous passerons une bonne soirée !

- On a préparé un repas froid ! On peut s'amuser un peu en guise apéritif !

Ils sont tous les deux vêtus de leurs peignoirs de bain, on voit qu'ils reviennent de la piscine et d'après leurs yeux brillants, j'en conclus qu'ils ne m'ont pas attendu pour se donner du plaisir... Je peux entrevoir les jolis seins de Michèle et la queue durcie de Mark qui fait une bosse sur son peignoir... A cet instant Michèle nous dit :

- Allons tous à la piscine ! tout en détachant son peignoir

Je retire mon short et mon t-shirt, tout excité et la suis en commençant à bander... Mark me regarde mater Michèle et semble très excité aussi !

Nous sommes maintenant arrivés à la piscine et Mark tire une table basse à lui et pose des boissons fraîches dessus. Je viens de m'approcher de Michèle, complètement nue et ma queue se balance de droite à gauche, ce qui commence à l'exciter ! Elle me fait assoir, vient entre mes jambes, prend ma queue durcie de désir dans sa bouche et commence par lui donner de petits coups de langue... A ce moment, Mark s'approche de moi et me présente son membre épais et dur, que je commence à sucer avec passion... il se balance d'avant en arrière et fait entrer sa longue et bonne queue que je continue de sucer avec délectation.
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Michèle s'éloigne à cet instant car elle aime voir le spectacle de deux hommes se donnant du plaisir... et commence à se caresser la chatte qui devient vite trempée... Cela m'excite tellement que je dis à Mark d'arrêter pour que je ne vienne pas tout de suite car j'ai envie de baiser Michèle maintenant ! Je ne tarde pas à m'enfoncer profondément dans la chatte de Michèle et lui donne de bons coups de queue... Mark vient alors derrière moi et commence à me caresser le trou du cul avec un de ses doigts, qu'il a lubrifié d'un peu de salive... je lui dis :

- Oui, vas-y, encule-moi, fous-moi ta bite dans le cul pendant que je baise ta femme !

Mark ne ménage pas sa peine et chaque coup de bite qu'il me donne dans le cul est répercuté dans la chatte de Michèle avec la même force... Puis Michèle me dit qu'elle veut me sucer la bite pendant que Mark me bourre le cul.

Au bout de quelques instants, Mark se retire, sa bite est maculée de merde, je la nettoie avec ma bouche. J'aime bien faire ça !

Michèle veut maintenant que Mark la baise. Je suis derrière eux maintenant et je vois les fesses de Mark (très belles d'ailleurs) aller et venir alors qu'il bourre la chatte de Michèle. Je me dis que c'est mon tour de lui mettre un doigt dans le cul, après l'avoir lubrifié d'un peu de salive... J'entends un :

- Oh ! nique -moi, oui, vas-y, mets-la-moi bien profond !

Et pendant ce temps-là je m'enfonce dans le cul de Mark....

Michèle ne peut retenir sa jouissance plus longtemps et crie de plaisir, ce qui a pour effet de faire venir Mark puissamment dans sa chatte. A cet instant, j'envoie de bonnes giclées de sperme dans son cul et nous tombons ensemble sur l'herbe du gazon...

Michelle se relève, nous demande de ne pas bouger et nous pisse dessus. J'adore ce genre de jeux et j'avale de grandes lampées de sa bonne pisse. Elle se recule ensuite de quelques mètres et sans aucune pudeur se met à chier un gros boudin marron devant nous. Me revoilà en train de bander.

- Je n'ai pas pris de papier, David tu veux venir me lécher le cul !
- J'arrive !

Tu parles d'un apéritif !


A quatre, c’est bien ! par Henri


Laure, ma femme, a 25 ans, j’en ai 28. Nous nous aimons avec passion depuis 10 ans. Je me rappelle nos premières caresses malhabiles sur un matelas dans la cave pour ne pas que ses parents nous découvrent.


Rassurez-vous, rapidement ces caresses sont devenues plus habiles. Quel plaisir de caresser le corps parfait de Laure, de descendre de sa bouche charnue vers ses seins volumineux, de les prendre dans ma bouche tout en continuant de descendre vers sa chatte trempée de désir.


Laure adore que je promène ma langue sur ses lèvres, celles de sa chatte bien sûr ! J’aime ce goût indéfinissable et je ne me fais jamais prier. Je la pénètre ensuite en arrière à quatre pattes comme une bête. Nous aimons beaucoup… Mais au bout de dix ans nous commencions à trouver ces gestes biens répétitifs, quoique toujours très agréables.


Ce soir-là, nous avions un couple d’amis plus libérés que nous à dîner et je ne sais comment nous en sommes venus à parler de l’entente sexuelle dans le couple. Laurent, notre invité, nous dit l’air de rien que l’amour à quatre et la sodomie ont sauvé son couple de l’ennui.


Je regarde Laure d’un air gêné, et à mon grand étonnement celle-ci, très intéressée prend la balle au bond et demande à Catherine, la femme de Laurent si la sodomie n’est pas douloureuse. Celle-ci la rassure et lui garantit au contraire que cela procure une satisfaction vraiment intense.


Je m’enhardis à mon tour et fait remarquer à Laurent que l’échangisme n’a rien d’original. Celui-ci me répond que lorsqu’il disait amour à quatre il entendait également des caresses entre hommes et entre femmes.


Enfin Laure, visiblement très intéressée par le sujet et libérée par le vin, demande naïvement à Catherine comment elle s’y prend pour se faire sodomiser.


À ces mots Laurent se lève brusquement et commence à se déshabiller. Toute excitée, Catherine en fait autant et comme elle portait juste une fine robe de soie, se retrouve nue en quelques secondes. En voyant son pubis épilé, je suis pris d’une érection impressionnante et ne peux m’empêcher de caresser mon sexe.


Mais déjà Laurent commence à prendre Catherine offerte par derrière, le plaisir se lit sur leurs deux visages. Le sexe de Laurent va et vient dans le petit derrière de Catherine qui hurle de plaisir. N’y tenant plus, je lui avance mon sexe qu’elle engouffre dans sa bouche. À son tour Laure, vient caresser Catherine dont le corps de porcelaine se tord de plaisir dans tous les sens.


Laurent se retire alors et me regarde avec un doigt sur la bouche. Je me retire à mon tour et nous laissons nos deux femmes se caresser mutuellement, langoureusement, lentement en gémissant de plaisir. Pendant ce temps, Laurent prend mon sexe dans sa bouche et je découvre ce qu’il entendait par amour à quatre.


Ensuite il me propose de sodomiser Catherine et je découvre cette sensation délicieuse tandis que lui même bourre Laure par derrière et la salope apprécie. Je me retire pour éjaculer et ce sont Laure et Catherine qui viennent se battre pour mon foutre qu’elles avalent goulument.

Voyant que Laurent n’y tient plus non plus, totalement excité, je lui prends son sexe dans ma bouche et il éjacule en moi avec un râle de satisfaction.


Épuisés, nous éclatons tous de rires et sur proposition de Laure décidons de faire l’amour toute la nuit…


Dans les yeux de Laure je lis une satisfaction que je n’avais plus vue depuis longtemps et j’ai une petite idée de nos nuits pour ces dix prochaines années.


Rentrée plus tôt par Gisèle


A l'époque, j'avais 24 ans, en couple depuis 18 mois avec Paul un gentil garçon de deux ans mon aînée, dont j'étais follement amoureuse. nous avions une sexualité intense pimenté parfois par des fantaisies insolites. Ainsi un jour après qu'il m'eut acheté un gode, il me proposa de lui enfoncer dans le trou du cul. J'acceptais avec amusement, c'est là qu'il me dit :


- C'est super bon, mais ça ne vaut certainement pas une vrai bite.!


Je me gardais de répondre à cette réflexion insolite, mais du coup, le fantasme de voir mon chéri de faire enculer par une bonne bite me taraudait.


Notre vie sexuelle bascula un après-midi. J'avais rendez-vous avec une amie dans un café, mais alors que je l'attendais sirotant une menthe à l'eau, mon portable sonna. C'était Sonia, qui s'excusait de ne pouvoir venir, car sa voiture était en panne. En fait cela m'arrangeait, car c'était vraiment pour lui faire plaisir que je lui avais promis de l'accompagner faire les boutiques. Aussi sans plus attendre, je rentrais chez moi. 


Arrivée à la maison, des gloussements de plaisir me parvinrent de la chambre, je n'avais pas fait de bruit pour rentrer. Et quelle fut ma surprise en regardant par la porte entrebâillée de voir mon homme avec un jeune blondinet au lit. Cela me choqua un instant, puis la curiosité prit le dessus. Je me résonnais, c'est vrai j'aurais pu être jalouse d'une autre femme, mais d'un garçon, c'était différent… et puis il y avait mon fantasme… La scène commençait à m'exciter. Paul était allongé sur le dos, les yeux clos, savourant la fellation qu'était en train de lui pratiquer le jeune homme. Accroupi, les reins cambrés, offrant à mes yeux de belles fesses musclées. 


Ouvrir la porte en hurlant ? M'en aller discrètement ou participer avec l'homme de ma vie à ses plaisirs interdits. 


Je choisis la troisième solution. Je me déshabillais complètement derrière la porte, le plus silencieusement possible, puis, je pénétrais dans la chambre. Je m'approchais doucement du jeune garçon. Lorsqu'il me vit, il fut bien sûr surpris, mais sans doute rassuré par ma nudité, il continua son travail, sa bouche quitta le gland gonflé de plaisir puis sa langue descendit le long de la verge jusqu'au couilles qu'elle lécha délictueusement quelques instants puis s'enfonça dans l'anus de Paul. Il m'invitait à le rejoindre. Lorsque mes lèvres enveloppèrent le magnifique membre, Paul ouvrit les yeux, puis me voyant moi sa femme participer heureuse et amoureuse à ce qu'il me cachait depuis toujours, il s'écriât simplement  :


- Ben toi alors !


Je me sentis pour la première fois libre, totalement épanoui. Je venais d'enterrer définitivement tous les tabous ancestraux qui font de notre vie un enfer de culpabilité. Je pompais goulûment la berge bandée de mon homme. Le blondinet me regardait et m'encourageait d'une voix douce :


- Suce le bien, mets tout dans ta bouche


Ma chatte dégoulinait de plaisir et je n'en revenant pas moi-même l'énorme bite s'engouffra entièrement dans ma bouche. Son gland était au fond de ma gorge et je jouissais. 


- C'est bon ma chérie me dit-il, regarde maintenant ton homme comme il suce bien lui aussi. 


Paul était toujours allongé sur le dos, le sexe dur comme du béton. Et le blondinet baisait sa bouche. Ma chatte était en feu, je me mis à califourchon sur Paul, son membre pénétra en moi, ma bouche vint rejoindre la sienne. Le blondinet baisa tout à tour nos deux bouches puis, il jouit entre nos langues entremêlées autour de son énorme gland. Paul ne pouvant plus se retenir, éjacula dans mon ventre ce qui me provoqua un merveilleux orgasme. Nous étions exténués de plaisir, tous les trois


Paul m'expliqua que depuis quelques mois, il avait des désirs de garçon, et que de temps en temps il s'offrait une fantaisie gay. N'osant pas me l'avouer de peur de me perdre, il était maintenant soulagé que la fatalité qui me fit rentrer cet après-midi à la maison, ne brise pas notre couple mais bien au contraire le renforce. Et je lui avouais que j'avais toujours eut le fantasme de faire l'amour avec deux gays. 


Nous étions bien tous les trois nus sur le lit. Les deux membres vidés de leur semence était au repos. Mais je n'étais pas encore rassasiée, je voulais jouir, jouir et jouir encore. Paul s'était levé pour boire une mousse et se griller une cigarette. Lorsqu'il revint au bout de quelques minutes de la cuisine. Il me trouva entrain de caresser les belles fesses musclées du blondinet. Il ouvrit le tiroir de la commode et en sortit le godemiché qu'il me tendit sans dire mot. Puis il s'assit sur une chaise et s'alluma une nouvelle cigarette. Paul voulait me voir m'éclater avec son ami. Il n'allait pas être déçu, car j'étais devenu une vraie salope. Je me mis à lécher le cul du blondinet qui s'ouvrait comme une chatte en chaleur. Lorsque son anus fut bien dilaté, je me saisis du gode et lui introduisis au plus profond de son plaisir. J'entrepris de le sucer tout en continuant à le baiser. D'abord d'un rythme lent, très lent, j'avalais sa queue tout en enfonçant le gode au plus profond de ses entrailles puis j'accélérais le mouvement. Quand je sentis qu'il était prêt à jouir, je proposais à Paul de se mettre en position de levrette afin que le blondinet puisse l'enculer.! 


Ce fut bref mais géant 


- Je t'aime ma salope ! Me dit-il

 

- Moi aussi mon enculé !

 

 

 

 

  

Par inconnu - Publié dans : Confessions
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