Partager l'article ! Confessions de travestis - 1: Confessions de travestis - 1 Première sortie par Marguerite Bonjour je sui ...
Bonjour je suis un jeune homme de 19 ans un
peu efféminé, mon prénom n’a aucune importance, puisque dans cette histoire je serais Marguerite. Et oui vous le devinez mon fantasme est de m’habiller en fille.
En chattant sur le net, j’ai fait connaissance d’un type qui m’a suggéré des sortes de gages que je devais exécuter. L’un d’eux consistait à m’habiller d’un soutien-gorge et d’une petite culotte
de fille sous mes vêtements de garçon et de sortir en ville faire les boutiques. Vola qui tombait très bien puisque cela rejoignait mes fantasmes. Si l’envie de me branler me prenais, je devais
me retenir le plus longtemps possible et enfin en désespoir de cause je pouvais me finir dans les toilettes d’un bistrot.
Décidant de réaliser ce gages, je me préparais donc à sortir, j’étais vêtue d’un jean, d’un T-shirt d’un blouson de jeans qui venaient par-dessus un soutien-gorge rose en dentelle blanche avec un
petit laçage devant et un string assorti. Dans l’ascenseur je me mirais dans la glace et me trouvais satisfaite de l’image qu’il me renvoyait
Je quittais le quartier puis me jugeant à bonne distance, j’enlevais mon blouson et pris un bus. Il était bondé et je m’avançais au milieu de cette foule en ayant l’impression que l’on voyait au travers de mon jean que tout le monde devinait ce que je portais. Je me demandais si l’un des passagers n’allait pas crier : « Oh le travelo ! » !
Soudain je vois un mec se diriger vers moi, il me fixe je sens son regard sur mes fesses je suis sûr qu’il va me mettre la main au cul, il s’engage vers la porte, il passe derrière moi, le revers de sa main effleure mes fesses, je sursaute littéralement secoué d’une décharge électrique, le mec est déjà dehors
A l’arrêt suivant je me dirige vers le premier bar venu, je rentre, commande un Orangina, et me dirige sans attendre vers les toilettes. Elle sont spacieuses, deux mecs pissent côte à côte, je m’avance poussée par je ne sais quel démon et là je constate qu’ils ne pissent pas, ils se branlent l’un l’autre. Je bande. L’un des types se retourne et me demande si ça m’intéresse, je me suis dégonflé.
Je l’ai regretté, maintenant J’ai besoin de jouir, ça m’obsède je ne vois plus rien, ma tête tourne je suis comme fou, il faut que je rentre chez moi me soulager, puis je reprends mes esprits. Je dois trouver mieux, je prends machinalement la route du bord de mer là où passe les touristes. J’entreprends de faire du stop, mais auparavant j’enlève mon t-shirt et met mon blouson de jean suffisamment entrouvert pour qu’on puisse voir mon soutif. J’arpentais ainsi la route espérant une rencontre, je n’avais pas fait 300 mètres, qu’un grosse Volkswagen break se gare sur le côté. Le conducteur m’interpelle avec un accent allemand à couper au couteau, je me dirige vers la voiture et remarque du même coup qu’il n’est pas seul dans la voiture, il y a sa femme, grassouillet mais le visage agréable.
– C’est Helga, elle ne nous dérangera pas, elle dore me regarder quand je suce un travelo !
Il me fait monter devant demandant à sa femme de passer derrière. Je m’assied ferme la portière, la voiture démarre. L’allemand me demande mon âge, ce que j’aime où je vais. Je me sens en confiance et du coup, j’écarte le pan de mon blouson dévoilant davantage un bout du soutif. La réaction du conducteur est immédiate il commence à lorgner sur le côté, sa main frôle mon genoux lorsqu’il passe les vitesses et pour finir il appuie sur la bosse qui déforme son entre jambe et remonte comme s’il dézippait une fermeture éclair. Malheureusement c’est là qu’on arrive en ville il me dit qu’il doit me déposer; mais prend bien soin de me dire qu’il va séjourner 15 jours au camping au club rose (est-ce une invitation ?) toujours est-il, que je reste là planté au milieux de la rue quelques secondes perplexe, puis je reprends mes esprit j’ai littéralement le feu au cul . Du coup je fonce chez moi, m’enferme à double tour dans la salle de bain et là devant la glace je m’enfourne un gros gode dans le cul…. Quelle joie et quel plaisir d’assouvir enfin mes pulsions : Le gode entre comme dans du beurre dans mon petit trou de salope et je le fait aller et venir pesant lentement sur chaque mouvement. Le miroir me renvoie mon image avec cette petite poitrine dessiné par le soutif rose, ma bite super tendue qui sort de ce petit slip dentelé et enfin ce pieu planter en moi… Je ne tarde pas à jouir dans un râle sonore et prolongé, je me laisse terrasser par la jouissance, de long jets de sperme éclaboussent le miroir et je m’effondre comme un sac sur le tapis de bain. Je reste bien quelque minutes le corps poisseux de sperme le gode toujours dans le cul puis je reprends mes esprits me dégage du gode, tout est fini je suis repu.
Demain j’irais faire un tour au club rose, j’espère que je rencontrerais l’allemand et que je pourrai lui sucer la bite avant qu’il ne m’encule.
En rencontrant Jany, Maggy et moi ne nous attendions pas à une soirée aussi surprenante.
Mon amie Maggy et moi sommes liée par une complicité quelque peu perverse qui nous permet de jouir de tous les plaisirs sexuels). Si nous ne courons pas les partouzes, notre excitation et notre jouissance sont chaque fois majorées par la rencontre d’un troisième partenaire.
Maggy tous en me faisant une pipe, aime se faire sauter par un gars qui lui plait, mais la plupart du temps c’est une demoiselle a qui ont fait appel pour se joindre à nos ébats amoureux.
Quel plaisir pour moi d’enculer l’une ou l’autre pendant qu’elles se mange !!!!!!…..
En rentrant un soir du travail, Maggy m’a dit avoir fait la connaissance dans une boutique de lingerie sexy, d’une jeune femme brune avec un charme exceptionnel : les yeux verts et des taches de rousseur se mariant très bien à une chevelure auburn assez court, petits seins dont on devinait les aréoles roses et les pointes érigées sous sa chemise, fesses rondes et musclées sous une mini-jupe moulante .
Elle a accepté une invitation à diner pour le lendemain et j’ai partagé l’excitation de Maggy dans l’attente de cette rencontre .
Jany étais en effet une rousse au charme indéfinissable (que j’adore). De plus elle était grande, avec des épaules larges et des hanches étroites. Sa voix un peu rauque étais prenante et j’ai vite été persuadé que cette femme androgyne étais dotée d’une sensualité propre à nous ravir, mon amie et moi .
Après une conversation qui devint osée à la fin du diner, Maggy assise à côté de notre invitée sur le divan, entreprit de lui caresser les seins tous en l’embrassant.
Sans se dérober, Jany garda son regard rivé au mien, ce qui m’incita à les rejoindre.
Une main de notre amie s’est alors portée sur mon sexe qui durcissait .
Abaissant mon pantalon, elle délaissa la bouche de Maggy pour me sucer. En commençant par son haut, mon amie déshabilla Jany et, sous une ravissante petite culotte de dentelle noire, elle découvrit à notre étonnement un sexe d’homme qui bien que modeste, bandait fièrement, c’est un travesti qu’avait dragué Maggy sans le savoir (du moins c’est ce qu’elle m’a laissé entendre)
Son excitation redoubla et elle saisit cette petite queue entre ses lèvres charnues .
Le va-et-vient qu’elle entreprit mit du temps à déclencher l’orgasme de notre invitée, alors que depuis un moment déjà, j’avais joui dans sa bouche .
Après une période calme, Jany me demanda si je serais d’accord pour le sucer. J’hésitais un peu mais Maggy m’encouragea, je me retrouvais donc avec ce délicieux pénis dans la bouche, puis au bout d’un moment, saisi d’une pulsion folle, je me retournais et lui offrais mes fesses tandis que Maggy se branlait compulsivement.
Cette histoire se passe dans les années 80, à l’époque je venais d’avoie 18 ans
Avec un ami cela faisait plusieurs temps que l’on avait une relation. Un jour en discutant il me dit qu’il aimerait bien me voir porter des vêtements féminins. Tout en me disant ça il m’explique qu’il a trouvé des sous-vêtements affriolant dans les affaires de sa mère.
Je lui dis que cela serait très intéressant donc on prit rendez-vous un jour où nous serions sûr d’être seul, un après-midi complet. Le jour convenu j’arrive chez lui là nous allons directement dans la chambre de sa mère où il a déjà sorti tous les habits qu’il voulait que je porte.
Je me déshabille pour mettre la tenue qu’il a choisie pour moi, je commence par enfiler une guêpière puis les bas qui vont avec, pour les chaussures nous regardons dans le placard par chance sa mère fait la même pointure que moi, je prends une paire d’escarpins avec des talon de 7 cm, une fois vêtu il me fait défiler devant lui pour voir le résultat.
Après on se dirige vers sa chambre, il se déshabille on s’assied sur le lit, je le rejoins et m’agenouille devant lui. On commence à se caresser tous en s’embrassant, je sens ses mains sur mon corps, son sexe qui grossit contre mon torse. Il s’allonge sur le lit, je viens prendre son sexe en bouche, je le fais aller et venir en variant l’allure, lui pendant ce temps me prépare l’anus en le lubrifiant et en me pénétrant avec ses doigts.
Quand je sens que je suis prêt je viens m’empaler sur son sexe qui rentre en moi sans effort, je le sens bien au fond de moi; là je commence à monter et descendre sur sa queue puis au bout de quelques minutes il me fait mettre à quatre pattes et me pénètre, ses mouvement sont plus puissants, il me défonce le cul.
Tous en me prenant il me traite de pute, de chienne, moi je lui dis que j’aime être pris comme ça, que je suis sa chienne. Il se retire de moi me tend sa queue pour que je le suce et pour recevoir son sperme au fond de ma gorge.
Le temps de prendre un petit café pour nous remettre, je me glisse sous la table pour aller prendre son sexe en bouche. Grâce à mes aller-retour sa queue reprend de la vigueur et devient bien raide.
Il me demande de me relever, je place mes mains sur la table et lui présente mes fesses qu’il commence à malaxer puis il sort de la pièce pour aller chercher des objets.
Quand il revient il a plusieurs objets différents il prend le premier qui est une brosse à cheveux il commence à me taper sur les fesses avec, je sens les coups qui au début sont désagréables puis au fur et à mesure cela devient très agréable puis il m’enfonce le manche de la brosse avant de le faire entrer et sortir en le tournant dans mon anus.
Puis il prend un morceau de manche à balai qu’il m’introduit à la place de la brosse il l’enfonce de plus en plus profondément en moi et recommence les allers retours. Avec la brosse il me tape sur les fesses, je sens le plaisir monter, je lui demande de me prendre. Il retire le manche et me pénètre d’un seul coup je sens son sexe qui rentre en moi jusqu’à la garde il commence à me pilonner de plus en plus vite, puis il me demande de m’allonger par terre les jambes bien relevées.
Là il me défonce comme si j’étais une femme je sens son sexe qui grossit en moi, son sperme qui gicle dans mon cul en plusieurs jets, pour finir il me donne sa queue à sucer.
Voilà comment ce termine ma première journée en travestie !
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