Marie-France V

Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:30

Quatuor sadomaso par Marie-France Vivier

 

 stamp slave

Comment me présenter ? Je suis Isabelle, j’ai 29 ans (en fait un peu plus) je suis brune, les cheveux mi-long bouclés, ma peau est légèrement mate et mes seins sont lourds, on me dit gentille et souriante, Cédric, mon compagnon est fin, blondinet, plutôt beau gosse et complètement obsédé.

 

L’échangisme est une pratique qui me gonfle ! C’est bien simple je ne veux pas en entendre parler ! Voir mon mari faire l’amour avec une autre femme est un éventualité que je trouve tout simplement insupportable ! Quant à m’envoyer un autre mec sous les yeux de mon époux, ben ça me gêne. C’est comme ça ! N’allez pourtant pas croire que je suis coincée ou arriérée ! Non, pas du tout, nous formons avec mon mari un couple très libéré, mais nous ne partouzons pas, du moins pas ensemble.

 

Mais… parce qu’il y a un mais…

 

Mais depuis quelques mois, nous avons découvert, je devrais dire redécouvert, les plaisirs des jeux SM, il faut croire que c’était latent chez nous car nous nous y sommes mis avec une ardeur très volontariste.

 

Cela a commencé par des petits trucs, des fessées très panpan cucul, puis des fessées plus sérieuses, puis on s’est acheté un martinet. Pareil pour les pinces, au début on faisait joujou à pinces-tétés, puis on a utilisé des pinces à linges, on en est maintenant aux pinces de sex-shop. On s’attache, on se fout de godes, on se pisse dessus et on se lèche le cul. Nous essayons d’être imaginatif en la matière, et nous amusons souvent à des petits jeux de rôles où chacun à notre tour nous pouvons assouvir nos penchants masochistes…

 

…et puis un beau jour Cédric me dit :

 

– Si on essayait de rencontrer un autre couple ?

– Je croyais qu’on était d’accord pour ne pas faire d’échangisme !

– Justement, ce n’est pas de l’échangisme !

 

L’idée était lancée, alors un jour nous avons passé une annonce sur Vassilia.net : « couple aimant la soumission recherche autre couple qui nous dominerait dans un esprit de respect mutuel. Voici les pratiques que nous aimerions mises en œuvre : fessées à la main, au martinet, à la ceinture, pinces aux seins et au sexe, cire de bougie, uro, nettoyage de cul, scato très légère, gifles, crachats, insultes, humiliations, emploi de mots vulgaires. Nous fantasmons aussi tous les deux sur la bisexualité »

 

Et on nous a répondu…nous avons sélectionné la réponse d’un couple pas trop loin de chez nous.

 

On échange deux mails, on se téléphone, on se donne rendez-vous.

 

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. On se présente, Dany est une belle jeune femme avec quelques rondeurs, les cheveux sont blonds décolorés mi-long et raides, on sent qu’elle s’est vêtue pour la circonstance, un pantalon en jean super moulant et un pull-over rose très décolleté, mettant bien en valeur une poitrine que l’on devine avantageuse. Mario est un grand moustachu frisé avec de grandes moustaches, en jean et tee-shirt. Ils ont l’air sympathique mais je les sens un peu anxieux.

 

– Je vous propose de prendre l’apéro, ça va nous permettre de mieux nous connaître et de voir ensemble comment on peut faire ça, cerner les limites et tout ça… nous prévient notre hôte.

– C’est moi qui donnerait le signal du début de la séance nous prévient Dany, et à ce moment là vous serez nos esclaves.

 

On approuve, on règle quelques détails pratiques, le temps passe vite et au bout de vingt minutes nos verres sont vides. Mario va pour nous resservir !

 

– Non tu ne les ressers pas ! Le prochain verre c’est tout à l’heure, maintenant le jeu commence ! Annonce Dany

 

Appréhension !

 

– Commencez par vous mettre complètement à poil tous les deux, vous faites ça sans un mot et quand ce sera fait vous vous agenouillerez ici

 

Je le fais, échangeant un regard avec Cédric, cherchant une étincelle de complicité, de réconfort, mais rien ne vient, il est aussi mal à l’aise que moi.

 

Nous sommes nus, à genoux : Dany n’a pas un regard vers mon mari, elle s’approche de moi, me toise avec un mépris, que j’espère simulé, et me crache au visage !

 

– Tiens poufiasse !

 

Après ce grand moment de romantisme, une gifle suit !

 

– T’es priée d’ouvrir la bouche quand je te crache à la gueule, espèce de pute et tu dois me remercier.

 

J’ouvre la bouche, avale le second crachat ! La situation commence à m’exciter.

 

– Merci, Dany !

– De rien ! Lève ton gros cul, pétasse, que je qu’examine la marchandise ! Qu’est ce que tu en penses, toi Mario ?

– Pas mal, jolie poitrine !

 

Il s’avance vers moi, me malaxe les nichons comme si on était à la foire aux bestiaux, me pince les bouts des seins, me les tord, je crie, mais c’est bon !

 

– Arrête de gueuler s’il te plait, la fête ne vient que de commencer ! Me dit-il en me giflant le sein ! Et tourne-toi qu’on voit un peu ton cul ! Penche-toi et écarte-moi tout ça, on a envie de voir ton trou à merde !

 

Je fis ce qu’il me demandait, m’excitant de prendre une pose aussi obscène !

 

– T’as dû en recevoir des bites dans ton cul de salopes ? Hein, réponds-moi !

– Ben pas tant que ça, en fait…

– Si, si ça se voit, mais je comprends que tu ne veuilles pas le dire devant ton mari, ton cocu de mari. Hummm, elles sont jolies, ces fesses !

 

Mario se mit alors à me fesser à mains nues, il tapait fort, plus fort que Cédric, mais ça restait supportable.

 

– Hum… elle me fait bander cette salope !

 

Il se recule, et ouvre sa braguette, libérant une belle verge bien tendue !

 

– Alors elle te plait ma bite ?

– Oui, elle est belle !

– T’aimerais bien la sucer, hein ?

– Oui, j’aimerais bien !

– Et devant ton mari, en plus, t’es vraiment une salope !

– Je sais !

– T’aimerais bien que je te la foute dans le cul aussi ?

– Pourquoi pas ?

– Et bien pas de bol, c’est pas pour toi ! Tiens, toi au lieu de rêver dans ton coin… dit-il en s’adressant à mon mari, vient donc goûter à ma bite !

 

Cédric ne se fit pas prier, s’avança et engouffra la bite de notre hôte sans aucun problème !

 

– Allez suce-moi bien, pédé !

 

Depuis le temps que mon mari m’en parlait, mais le voir réaliser son fantasme comme ça devant moi me faisait tout drôle !

 

– Tu as vu ce qu’il fait ton pédé de mari ? Il suce des bites ! M’invectiva Dany ! Dis-moi ce que ça te fait !

– Ça m’excite !

– Et ça va t’exciter aussi quand tout à l’heure Mario va bien l’enculer ?

– Je crois oui !

– Tu n’es qu’une grosse salope ! Ouvre la bouche !

 

De nouveau elle me cracha dessus !

 

– Merci !

– Bon, on fait un peu n’importe quoi ! Toi le pédé, arrête de sucer et viens au pied du fauteuil avec ta morue !

 

Dany s’assit, et retira ses mules !

 

– Maintenant vous aller me lécher les pieds tous les deux ! Et vous léchez bien, je veux que ça bave ! Mario passe derrière eux et fout-leur des claques sur les fesses pendant qu’ils font ça, ça va les stimuler !

 

Ce qui était évident c’est que ces pieds ne venaient pas d’être lavés, ils sentaient même assez forts, mais le premier mouvement de recul passé, je m’efforçais de lécher ce joli panard bien dessiné, en me concentrant sur les orteils, le gros surtout que je léchais comme s’il s’était agit d’une petite bite ! Quant aux coups que nous assénaient le grand frisé, cela m’émoustillait merveilleusement, d’autant qu’il les accompagnait d’insultes diverses :  » tiens prend ça, grosse pouffe, tiens gros pédé… et autres gentillesses ». Dany se leva, et alla chercher deux colliers de chiens qu’elle passa autour de mon cou et autour de celui de mon mari, Mario arrive alors avec une cravache et nous la fait « goûter » de deux brefs coups très secs, ensuite Dany tira sur les laisses et nous demanda de la suivre, mais en restant à quatre pattes. On emprunta un petit escalier, pas évident de descendre un escalier à quatre pattes. Heureusement Mario nous frappait modérément et sans nous presser.

 

– Voilà notre petit donjon ! Déclara fièrement Mario, en ouvrant ce qui avait dû être une ancienne cave, ça ne m’a pas coûté trop cher, j’ai bricolé moi-même les deux croix de St André et j’ai retapé une vielle cage à chien ! Ça vous plait, j’espère ?

 

Amusant, le type qui un moment abandonne son rôle de dominateur pour adopter le point de vue du propriétaire. La pièce est arrangée avec un certain goût, le mur a été reblanchi à la chaux, le sol recarrelé, il y a sur les planches tout un assortiment de godes, de pinces, de poids et d’autres trucs dont je ne comprends pas toujours la destination. Tout cela est très propre. Sur un petit guéridon est disposé un petit service de coupes à champagne, mais je ne vois pas de bouteille.

 

Ils nous avaient prévenus qu’ils n’étaient pas trop fétichistes, Dany est restée habillée, Mario aussi, bien qu’il soit toujours la braguette ouverte et le zizi sorti !

 

Ce dernier s’en va chercher deux petites pinces à linges toute roses et sans aucun ménagement me les accroche au bout de mes seins. Elles serrent un peu fort, je serre les dents, m’efforce de ne pas crier.

 

– Supporte, me dit-il ! C’est rien du tout !

 

Et tout en me parlant il les fait bouger dans tous les sens. Je crie, ça fait mal mais c’est bon ! Je commence à m’habituer mais Mario me les retire, les replace aussitôt ! Oh, là là, ça fait très mal, puis il recommence à les bouger, des frissons bizarres me parcourent le corps, instant particulier où la douleur et le plaisir se croisent en de larges frémissements. Il s’amuse à ouvrir et à refermer les pinces, plusieurs fois de suite, des dizaines de fois de suite… Je pousse des « Ah ! Ah ! » Tandis que mon entre-jambe devient tout mouillé !

 

– On va rajouter des poids !

 

Marie France 

Est ce que je vais supporter ? Oui, mais ça commence à être dur. Sa femme arrive avec une autre paire de pinces à linge et les fixe sur mes grandes lèvres vaginales, puis y ajoute des pinces ! C’est trop je ne vais jamais supporter tout ça.

 

– A quatre pattes ! Ordonne Dany

 

Et, oui, dans cette position il n’y a rien qui puisse amortir le poids des plombs qui se balancent librement au bout des pinces, mes tétons et mes lèvres sont tiraillées par milles feux… Un coup de cravache vient soudain me cingler le cul !

 

– Avance, pute !

 

J’avance péniblement, avec toute cette quincaillerie ce n’est pas évident, mais les coups de cravache me font avancer. Trois fois ils me font faire le tour de la pièce. Je n’en peux plus. Faut-il que je leur dise ou seront-ils assez intelligents pour s’en rendre compte ?

 

– Relève-toi !

– Elle me fait bander, cette salope, confie Mario à son épouse !

 

Et en disant cela il entreprend de se déshabiller. Enfin ! Il est plutôt bel homme. Son érection est assez fantastique, j’ai soudain envie de lui sucer sa bite et pour la première fois l’idée d’un mélangisme non SM me traverse alors l’esprit. Il a dû s’apercevoir de mon regard, mais il ne dit rien d’abord m’enlevant plutôt délicatement les pinces. Le retrait est toujours douloureux le temps que le sang se remette à circuler

 

– Décidément, tu la voudrais bien ma bite ? Hein salope ?

– Oui ! J’aimerais bien te la sucer ! M’entendis-je répondre.

– On t’a déjà dit que c’était pas pour toi ! Et tu vas nous dire pour qui c’est, ma belle bite

– Pour mon mari je suppose ?

 

Je reçois une baffe !

 

– Ce n’est pas la bonne réponse

– Je ne sais pas

– Tu dois dire, « ta bonne bite, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari. »

– D’accord, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari. Répétais-je comme un perroquet

 

Dany s’est enfin déshabillé, elle est belle, ses seins sont assez lourds, pales, laiteux, terminés par des pointes déjà bien excitées, la chatte n’est pas rasée, et est plutôt assez fournie. Elle s’approche de moi.

 

– Tu n’as pas honte, petite pute de faire bander mon mari !

– Non pas vraiment ! Crus-je intelligent de répondre.

– Alors ouvre la bouche ! Ou plutôt non, demande-moi de te cracher à la gueule

– Crache moi dessus Dany, je le mérite !

 

J’ouvre un large bec et en reçois plein des gencives.

 

– C’est la première fois que tu te fais cracher dessus par une femme !

– Ben oui !

– Tu sais que tu m’excites ?

– Tant mieux, non ?

– T’es vraiment une salope !

 

Et la voilà qu’elle se colle à ma bouche, nous échangeons un long baiser baveux, qui n’a plus rien à voir avec de la domination. Puis elle se reprend et se dirige vers mon mari. Avec l’aide de Mario, il l’attache sur une des croix de St André, mais par devant. Il a immédiatement droit à une pince sur chaque téton et deux autres sur chaque testicule, il commence à faire un drôle de grimace. Ils accrochent les poids, ça devient spectaculaire, toute cette chair étirée. Puis Dany interroge son compagnon.

 

– Je le fais ou tu le fais ?

– Fais le c’est plus excitant !

– Oui, mais je suis moins douée que toi !

 

Qu’est ce qu’ils projettent donc de lui faire, à mon homme ?

 

– Justement, c’est ça qui est excitant !

– Bon, on y va, conclue Dany qui revient avec une cravache

– Tu devrais prendre le martinet, c’est plus pratique….

 

Elle change donc d’instrument, revient, prépare son coup et vise la poitrine de Cédric, la pince tremble. Il hurle ! Dany se demande un instant si elle n’est pas allée trop fort, échange un bref regard avec sa victime, non tout va bien. C’est reparti ! Et cette fois la pince bouge mais sans tomber. Nouveau hurlement, nouvel échange de regard, Troisième coup ! Rien ne se passe.

 

– Si tu n’y arrives pas tu vas avoir un gage ! Rigole Mario !

– Pourquoi pas ?

 

Quatrième coup, la pince saute et dégringole, elle ne laisse pas cette fois-ci Cédric récupérer, ajuste son coup sur la seconde pince et la fait sauter à son tour.

 

– Quatre coups c’est pas mal ! Se vante Dany ! Tu veux essayer de faire mieux ?

– Je devrais pouvoir !

 

La tête de Cédric ! Il va donc devoir supporter une nouvelle séance identique. Manifestement il hésite à dire quelque chose. Mais bizarrement on le détache, sans lui enlever ses pinces aux testicules, et c’est moi qui le remplace sur la croix ! Ah les salauds ! Comme si je n’ai pas assez dégusté tout à l’heure. Et c’est reparti, une pince à chaque sein avec son poids, une double pince sur chaque lèvre. Pas très rassurée, mais comme l’objectif est de faire moins de coups que sa femme, je devrais souffrir moins que mon mari. Ça y est, il arme son coup !

 

– Aieeeee !

 

Complètement raté, mais les coups de martinets sur les seins, ça n’a rien d’agréable. Deuxième coup ! La pince dégringole ! Il doit donc faire tomber la seconde pince sur le troisième coup !

 

– Allez, cingle-lui les nichons à cette pute ! L’encourage, Dany excitée comme c’est pas possible.

 

Mario assure son coup, ça part, ça cingle, ça fait mal, je crie, la pince est toujours là !

 

– Donne-moi ça ! Intervient Dany, lui reprenant le martinet.

 

Elle aussi rate son coup, elle ne tient pas compte de mes hurlements, et dans la foulée m’en assène un second, tout aussi mauvais, puis un troisième, je n’arrête pas de crier, ça y est la pince est tombée. J’ai mal, j’ai horriblement mal, les larmes me viennent aux yeux. Alors Dany s’approche de moi et me console avec un long baiser tout en n’omettant pas de me caresser partout. Quelle soirée. ! On me détache.

 

– Ça va ? Nous demande-t-elle.

 

On les rassure !

 

– Vous devez avoir soif, mes pauvres chéris ! Reprend-elle.

– Oui, ça nous ferait du bien !

 

Alors Dany, va chercher l’un des verres sur le petit guéridon et se met devant nous à pisser dedans ! Evidemment elle en met à côté, mais ça ne fait rien elle remplit encore un second verre.

 

– Tu en as foutu plein par terre ! Intervient Mario.

– Et alors, on a des esclaves pour nettoyer, non ? Répond-elle. Allez tous les deux lécher moi toute cette pisse, et plus vite que ça !

 

Nous voilà vautrés sur le sol à lécher le pipi de notre hôtesse d’un soir. Moi qui ne connaissais que le goût de celui de mon mari, j’avoue que celui-ci n’est pas mauvais, mais j’aurais préféré le boire à la source. Quelques coups de martinet sur nos fesses nous font accélérer. On se relève. Dany a ajusté les doses dans quatre verres différents. Elle nous distribue les nôtres. Nous trinquons ! Trinquer à l’urine, quelle drôle d’idée !

 

– Cul sec ! Ordonne Dany

 

Je manque de m’étouffer, mais je le fais, ça a un peu du mal à passer, d’habitude j’ingurgite ce curieux breuvage par toutes petites quantités à la fois, là ça fait beaucoup mais ça passe !

 

– Remets-toi à quatre pattes ! M’ordonne soudain Dany

 

Que va-t-elle encore inventer, là voilà qui me contourne, elle commence par m’embrasser les fesses, voici qui me conviens très bien, puis je sens sa langue fureter vers mon trou du cul.

 

– Dis donc, petite pute, ça ne sent pas vraiment la rose, ton trou du cul !

– Mais c’est comme ça que tu les aimes, non ?

– Impertinente ! Répond-elle ponctuant sa réponse d’une bonne claque sur la fesse. En fait, ça sent la merde ! Tu n’as pas honte de te balader avec un cul qui sent la merde ?

– Non, j’ai pas honte !

 

Nouvelle claque sur les fesses !

 

– Tu vas voir ce qui va t’arriver, petite salope, petite merdeuse ! Tu vois mon doigt, tu vas le lécher, et ensuite je vais te le foutre dans le cul et après quand je vais le rassortir tu vas le lécher à nouveau…. et même s’il est sale ! D’accord ?

– Vas-y !

 

Je lèche le doigt, elle me l’enfonce dans le troufignon, le fait tourner latéralement puis en va-et-vient, il ressort… assez pollué

 

– Berk, j’ai le doigt plein de merde, maintenant ! Allez suce !

 

J’ai eu peur qu’il y en ait de trop, mais là ça va, le contact âcre de la matière ne me dérange pas plus que ça, je lèche le doigt consciencieusement. Et je décide d’être provocatrice !

 

– Encore !

– Non, ça te ferait trop plaisir !

 

Puis elle me laisse et s’empare d’un gode ceinture avec lequel elle s’harnache.

 

– Allez toi la pédale, amène-toi, et viens me sucer cette jolie bite en plastique !

 

Cédric n’hésite même pas un instant et se met à sucer le gode comme s’il avait fait ça toute sa vie, il va falloir que je lui pose deux ou trois questions à ce zigoto quand nous aurons fini la séance.

 

– T’aime ça sucer des bites, hein ?

– Hummmm.

– Ne parle pas la bouche pleine, je ne demandais pas de réponse. Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois, on a deux couples d’amis dont les maris sont aussi pédés que toi, on va organiser un super truc et on te fera sucer toutes les bites, les unes après les autres.

 

A cette évocation, Cédric bande comme un mulet.

 

– Bon, assez sucé, maintenant tu te tournes et tu nous tends ton cul de salope !

 

Dany lui fait écarter les fesses et lui badigeonne l’endroit avec du gel, puis elle approche le gode, fit une première tentative, le gode ripe, je me marre, deuxième tentative, ça ripe encore. Mario vient l’aider à écarter les fesses et cette fois ça rentre. Ce n’est pas une brute, elle y va doucement

 

– Oumpfff ! Ompfff !

– Qu’est ce qu’il y a, ça te plait pas ?

– Si, si mais faut que je m’habitue répond Cédric

– T’inquiètes pas, ça vient vite !

 

Dany accélère ses va-et-vient, mon petit mari à l’air aux anges, mais au bout de quelques minutes Dany s’arrête, et fait ressortir le gode !

 

– Ben dis donc, mon cochon, tu as vu dans quel état tu as mit le gode, il est tout merdeux !

– Je suis désolé ! Répondit-il histoire de dire quelque chose.

– A genoux et suce !

 

Je me demande s’il va le faire, on avait évoqué cette pratique tout à l’heure, entre nous on ne l’avait jamais fait… du moins pas à ce point, mais passer du fantasme à la réalité est parfois difficile. Il finit par le faire, d’abord assez timidement, puis de façon plus appliqué. Dany a l’intelligence de ne pas lui demander un nettoyage complet qu’il n’aurait peut-être pas assumé.

 

– Voilà, le passage est fait, Mario, tu peux enculer cette pédale.

 

Mario prend alors un préservatif, et vient se placer derrière mon mari ! Cette fois-ci ça rentre du premier coup ! Quel curieux spectacle de voir deux hommes qui s’enculent, j’en suis toute mouillée de voir ça ! Je ne vois pas le visage de mon mari qui s’est mis la tête entre les mains, mais les cris qu’il pousse sont très bon signe, tout va bien pour lui, je m’approche ainsi que Dany pour voir de près le mouvement de piston de cette bonne bite qui lui rentre et qui lui sort du cul. Puis soudain Mario décule, contourne Cédric, enlève très vite la capote et lui décharge sur le visage.

 

– Avale !

 

Cédric avale mollement ! L’autre respire !

 

– Tu veux jouir ? demande-t-il

 

« Qu’il se réserve pour me baiser ! » Pensais-je fortement à ce moment-là, « Mais non, ce grand couillon lui dit qu’il va se branler ! Et moi alors ? »

 

Un regard échangé avec Dany, on s’est comprise. Déjà elle m’enlace, elle m’embrasse, me suce les tétons, descend sur mon pubis, me lèche le sexe.

 

– Mets-toi par terre !

 

Je pose mon cul sur le carrelage ! Un instant après j’y suis allongée, Dany est sur moi, ses mains me parcourent la peau, j’en fais de même, nos bouches explorent nos corps. Je ne sais pas par quelle magie nous nous sommes retrouvées en soixante neuf, mais j’ai maintenant sa chatte dans ma bouche, je lèche, je suce, ça sent un peu la pisse, mais ce n’est pas gênant, je lui mettrais bien un doigt dans le cul pour lui rendre la politesse…

 

– Tu feras ça après, ça va me déconcentrer !

 

Dans ce cas je continue, je m’applique à la sucer, pas évident, car de son côté elle est redoutable et me fait de sa langue monter mon plaisir, je finis par venir dans un fracas impudique. Le temps de reprendre mes esprits ma langue reprend son travail, ses halètements sont bon signe, ça va venir, et ça vient. Elle ne bouge plus, reste comme ça avec sa chatte à dix centimètres de ma bouche et tout d’un coup c’est la pluie, la voilà qui pisse comme une fontaine et moi j’ouvre la bouche pour avaler tout ça !

 

On se relève !

 

– Vous avez été super ! Nous dit alors Mario. Je vous propose une petite douche et après on va se faire une petite bouffe ! Un bon roastbeef dans le filet avec des frites, vous n’avez rien contre ?

 

Pas de problème, je vais à la douche en premier avec Cédric !

 

– Dis donc mon salaud, tu aurais pu venir me prendre à la fin au lieu de te branler !

– J’ai pas osé leur proposer, mais tu n’as rien perdu au change, ça t’a permis de t’envoyer Dany

– Les deux ne m’auraient pas fait peur !

– Alors tu vas te venger ?

– Un peu, oui, tu vas voir à la maison, la petite séance à deux que je vais te faire !

– Chic alors ! Me répondit-il en m’envoyant une grande tape sur le cul.

 

C’est pas mal tout ça, c’est beau, tout s’est bien passé, n’est-ce pas ? Sauf que tout ce que vous venez de lire, c’est nous qui l’avons fantasmé en attendant le rendez-vous, parce que la réalité a été tout autre :

 

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. La dame nous ouvre avec un « Ah, c’est vous ? » peu avenant. Le mari arrive, je sens que quelque chose ne va pas, on dirait qu’il a bu un coup. Pas de présentations. Les photos qu’ils nous ont adressées, c’est bien eux, mais en vrai ils paraissent bien dégradés.

 

– Bon, mettez vous à poil, on arrive ! Nous ordonne le maître des lieux

– Ah bon ! On commence tout de suite ?

– Bien sûr qu’on commence tout de suite.

– On aurait pu discuter un peu avant ?

– Discuter de quoi, y’a pas besoin de discuter.

– Ben, parler de nos limites, de nos tabous.

– On en a parlé dans le mail.

– C’est resté vague…

– Bon, vous vous mettez à poil ou pas ?

– Attendez, on est bien d’accord, il y a un mot de sécurité ?

– Evidemment, mais on ne va vous tuer.

– C’est quoi le mot de sécurité ?

– Je sais pas moi : « sécurité ». Bon on y va ?

 

On se met à poil, eux reste habillées, ça me gêne un peu, le mec me regarde comme si j’étais un objet de consommation courante.

 

– T’es bien balancée, toi ! Dit-il en me pelotant les nichons sans douceur.

 

Il sort sa bite de sa braguette.

 

– Viens me sucer !

– Comme ça, tout de suite ?

– T’es une soumise ou pas, les soumises ça ne discute pas.

 

Je suis tétanisée, je ne sais pas quoi faire. Je croise le regard de mon mari qui à l’air aussi gêné que moi !

 

– Ben alors ? S’impatient le bonhomme, tu me suces ou tu attends la chute des feuilles.

 

Il me tire les cheveux, il me fait mal. Je respire un bon coup, approche ma bouche de cette bite, puis je me redresse, je ne peux pas. Je savais bien que dans le cadre d’une séance comme-celle-ci on me ferait sucer de la bite, mais je voyais ça comme un aboutissement de l’acte de soumission, pas comme un préalable. Et puis je ne sens pas ces gens-là, ils ne m’inspirent ni sympathie, ni confiance.

 

– Non, mais c’est pas possible, c’est pas la peine de passer des annonces pour ensuite faire des manières de chochotte. S’énerve le bonhomme

 

J’essaie de dire quelque chose, mais ça ne sort pas.

 

– Rhabillez-vous et foutez-moi le camps, bande de nazes.

 

On est parti, on a été se consoler en allant manger une pizza.

 

– On recommencera, des gens sympas qui font du SM, ça doit bien exister, non ? Me dit mon mari.

– Bien sûr que ça doit exister ! La prochaine fois on demandera un entretien préalable dans un bistrot.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:23

Un petit restau avec Myrène par Marie-France Vivier

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Avertissement : Le texte d’origine est en langue anglaise, ce qui explique quelques bizarreries (le resto bondé à 17 h 30, le vin blanc en guise d’apéritif) Il en existait deux traductions : une correcte mais expurgée, une complète mais médiocre. J’ai donc complètement réadapté tout cela !

 

Bonjour ! Je me présente, je me prénomme Valérie ! J’ai 31 ans. Je suis plutôt grande (1 m 75) Vraie blonde coiffée au carré avec des yeux bleus, ma peau est pâle mais douce au toucher. Mes seins (puisqu’il faut toujours en parler) ne sont pas énormes, mais ils tiennent bien et sont terminés par de gros tétons roses pointant en permanence (en soutien-gorge, je prends du 90 C). Je ne suis pas trop mécontente ni de mon corps, hormis mes fesses, un tout petit peu trop grosses à mon goût, ni de mon visage malgré mes lèvres trop fines. Je suis hôtesse d’accueil dans une grosse boîte d’assurance et on m’impose la tenue permanente du tailleur, mais il paraît que je le porte bien. Je suis marié et mère de famille. Mon mari me fout une paix royale dont je ne profite guère. Je l’ai certes trompé quelques rares fois, mais n’ai jamais eu de liaisons durables. Ma sexualité est dans les actes d’un classique confondant. Dans ma tête c’est autre chose, les fantasmes se bousculent et arrivent à la rescousse quand l’envie de me masturber me prend. J’ai conscience qu’ils sont très bien dans ma tête et que vouloir les concrétiser risquerait de basculer mon existence.

 

C’est au travail, que j’ai sympathisé avec Myrène. Elle est devenue très vite mon amie, et même la meilleure d’entre-elles, les autres étant maintenant dispersées aux quatre coins de notre immense pays.

 

Myrène est brune aux cheveux courts, un tout petit forte, mais sans exagération, 1 m 65, contrairement à moi, elle est plus en poitrine qu’en fesses. Elle est de 10 ans mon aînée, divorcée et vivant seule, mais elle parle que fort peu de sa vie familiale. Elle est secrétaire de direction (un autre niveau que le mien, donc) et vient d’avoir une belle promotion.

 

Elle a souhaité l’arroser Nous sommes en été, il fait chaud et humide. Elle m’a donné rendez-vous au restaurant ce samedi en fin d’après-midi. Je me suis habillé d’une petite robe noire avec des bretelles très fines. Par cette chaleur, elle sera très confortable. J’ai rendez-vous avec ma copine à 17 h 30 devant les portes du resto. C’est un lieu assez chic. La décoration est super belle. La lumière toujours très douce, avec un éclairage aux bougies, qui donne une ambiance romantique. La cuisine y est excellente.

 

Me voilà arrivée, elle aussi est déjà là. Elle s’est mis une petite jupe en cuir noire (de cette chaleur, elle est folle !) et d’un chemisier tilleul dont le boutonnage volontairement non terminé laisse apparaître dans son échancrure juste ce qu’il faut de cette probable magnifique poitrine. Elle a les yeux pétillants, je sens qu’elle me cache quelque chose. Nous entrons, heureusement que nous avons réservé, la salle est bondée. Nous choisissons une table près de la fenêtre. Le serveur arrive : :

 

– Prendrez-vous un apéritif ?

– Certainement !

 

Notre choix; une bouteille de vin blanc. Il faut que je vous dise que le vin blanc me rend particulièrement chaude. Et ce soir-là j’ai découvert que Myrène aussi devenait très amoureuse avec le vin. Elle a toujours un petit air malicieux dans les yeux. Je lui pose la question. Elle me dit qu’il n’y a rien d’anormal. Tout d’un coup je sens une main qui me caresse les cuisses sous la table. Très surprise, je la regarde. Je n’ose bouger. Cette caresse me fait frissonner. Sans m’en rendre compte j’écarte lentement les cuisses. Sa main remonte doucement pour se retrouver près de ma chatte qui commence à mouiller, elle me lance un regard langoureux, je lui réponds d’un même regard avec le feu en plus.

 

Je décide de faire preuve d’audace, (d’audace ? De folie devrais-je écrire !) Et je me glisse doucement sous la table. Je m’agenouille entre ses cuisses. Et promène mes mains sur ses jambes, mon cœur bat la chamade.. Je me demande bien ce que je suis en train de faire. Je n’ai jamais eu de rapport sexuel avec une autre femme…. Mais j’ai cette envie qui me tenaille le ventre. Alors tout doucement je glisse mes doigts dans sa petite culotte. Elle est toute mouillée et j’en apprécie l’odeur un peu forte. Je m’approche de sa chatte et tranquillement ma langue titille son clitoris tout enflé par le plaisir que lui apporte mes caresses. J’entends le serveur qui approche, mais distingue mal les paroles de. Myrène, sans doute lui dit-elle que je suis partie aux toilettes. Elle a une drôle de voix, mes attouchements la trouble. Le serveur quitte la table avec la commande. Je pousse mon audace jusqu’à pénétrer ma copine avec mon majeur, tranquillement j’entame un mouvement de va-et-vient dans sa chatte brûlante, et avec ma bouche j’aspire son clitoris, elle se tortille sur sa chaise. Elle passe une main sous la table m’attrape par les cheveux, et appuie sur ma tête pour que j’accélère le mouvement de mon doigt et de ma langue. Je sens qu’elle va venir car son souffle est très court. J’adore le goût de sa chatte qui mouille. Sa liqueur est si bonne, c’est doux et salé en même temps, j’aime ce que je découvre, les sensations sont voluptueuses. Je n’aurais jamais pensé qu’une femme pouvait être si agréable à déguster. Elle explose dans ma bouche. Son nectar coule dans ma gorge. Cette saveur me surprend et je la trouve exquise.

 

Je retourne m’asseoir. Ma copine me regarde, elle a les yeux qui pétillent de plaisir. Elle me pique un clin d’œil et à son tour se glisse sous la table. A ce moment, des frissons me parcourent tout le corps. Je vis en ce moment, des sensations inoubliables. J’ai dû à regret la faire remonter car le serveur apportait les plats, mais tout doucement elle me murmura à l’oreille :

 

– Tu sais, on peut aller prendre notre dessert chez-moi ! .

 

Sans hésiter, je lui répondit par l’affirmative. En sachant très bien ce qui m’attendait.

 

Sur le trajet, je me suis bâti des scénarios. Que pouvait-elle bien mijoter dans sa tête ? Je le saurai bientôt, nous voilà arrivée chez elle. C’est la première fois. C’est joli, décorée avec goût mais sobre, j’ai l’impression que peu de gens ont l’honneur de pouvoir y pénétrer. Elle me suggère de prendre un bain, et entreprend de le faire couler. En attendant que la baignoire se remplisse, elle joue avec mes nerfs, et l’idée farfelue lui prend de me montrer les photos qu’elle avait prise l’ors de son séjour au Japon. Cela ne m’intéresse qu’assez peu, mais heureusement cela ne dure pas et la voici qui me déshabille, elle m’avoue que depuis le début de notre rencontre; elle voulait m’initier aux joies des plaisirs féminins. Elle n’osait pas me le proposer par peur de briser notre amitié. Je lui avoue que je la trouve exquise, et qu’elle me plaît énormément.

 

Nous nous glissons dans le bain chaud, remplie de mousse..

 

Hummmm !! C’est sublime !

 

Myrène s’avance vers moi et glisse ses lèvres sur les miennes, elle laisse sa langue se promener sur la mienne. Timidement je réponds à son baiser. Je ferme les yeux et goûte à cette tendresse féminine. En sortant du bain, elle m’entraîne vers son lit et caresse partout mon corps doucement, tendrement. Je la regarde dans les yeux et l’embrasse sans remords. Elle se glisse vers mon bas ventre, et encore plus bas. Je sens sa langue sur mon clitoris tout enflé par le désir, elle lèche mes lèvres toutes douces sa langue s’enfouit dans ma chatte.

 

Hummmmmmmm…

 

Je grogne de plaisir, je sais évidemment que je ne suis pas sa première partenaire. Elle est très douce et très sensuelle. Elle se tourne et m’offre sa chatte humide, elle est aussi bonne et parfumée qu’au restaurant ! Nous sommes en position de 69. Ses caresses m’enivrent. Malgré mon inexpérience, je lui arrache quelques grognements de plaisir. Ses doigts fouillent ma chatte d’un va-et-vient lent mais profond, de son autre main, elle enfonce un doigt dans mon anus, puis le lèche avec délectation. Je n’en peux plus, j’explose. Je lui embrasse les fesses. Lui lèche son joli petit anus frippé à mon tour et découvre ce goût un peu particulier mais loin d’être désagréable. Elle commence à se tortiller de plus en plus vite. Alors nous accélérons nos caresses mutuelles. Et nous explosons ensemble, en nous inondant du jus de jouissance féminine !!! Après quelques instants de repos, nous avons recommencé à nous caresser…

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En quittant Myrène, mon cœur était rempli de bonheur, les quelques jours qui ont suivi, j’ai rejoué dans ma tête et dans mon lit avec mes doigts, ma rencontre charnelle avec mon amie. J’étais excitée comme une folle au grand étonnement de mon mari, (mais il n’avait pas à se plaindre, il en profitait !). C’est après avoir fait l’amour avec ce dernier que commença à germer dans ma tête une folle idée :

 

Il fallait absolument que j’aille faire pipi, mais mon excitation n’était pas calmée. Assise sur le siège alors que mon jet doré clapote au fond de la cuvette, pressée de me toucher, ma main se mouille de mon urine. Je la relève, je la regarde, ça m’amuse. Je l’approche de mes narines, ça ne sent pas grand-chose, et puis comme ça sans aucune préparation, comme une idée qui passe dans la tête, je la lèche ! C’est bon ! J’ai découvert quelque chose ! Mon excitation qui n’avait vraiment pas besoin de ça est à son comble. Je me masturbe et je jouis très vite. Je suis à moitié pantelante quand je sors des toilettes. Mon mari me demande si je vais bien, je le rassure !

 

Je me suis amusée ainsi me pisser quelques gouttes sur les doigts à chacune de mes visites aux toilettes. Un vieux démon devait être enfoui dans ma tête et venait donc de se découvrir !

 

Merci Petit Diable ! Mais tu aurais dû venir plus tôt !

 

Une idée particulièrement perverse commençait à germer dans mon cerveau, mais il fallait que préalablement je m’assure que Myrène ne bloquerais pas dessus..

 

– Allô ! Myrène ! Tu sais l’autre jour, j’étais aux toilettes, je me suis branlée en pensant à toi, mais je me suis un peu pissée sur la main, et je ne sais pas ce qui m’a pris, je me la suis léchée ! Tu vas croire que je suis complètement folle ?

– Mais non ! Rassure-toi ! Il faudrait que tu sortes plus souvent ! Si tu veux la prochaine fois qu’on se verra, je te ferais goûter mon pipi et puis, je goûterais au tiens !

– Pas de problème ! Si tu veux, on se voit samedi au restaurant, cette fois c’est moi qui paie, et puis, je voudrais jouer à un jeu et te prouver que je peux être encore plus cochonne que toi.

– D’accord mais tu vas avoir du mal !

 

Me voilà arrivée, elle aussi est déjà là. Nous entrons, heureusement que j’ai réservé, la salle est bondée. Nous choisissons la même table que la fois précédente. Le serveur arrive et nous demande gentiment:

 

– Prendrez-vous un apéritif ?

– Non ! Pas ce soir ! Répondis-je à la grande stupeur de Myrène !

 

Et alors qu’après avoir pris commande des plats, le garçon s’en retourne aux cuisines j’ordonne à Myrène d’aller sous la table !

 

– C’est toi qui donne les ordres, aujourd’hui ?

– Tu as accepté de jouer ! alors vas-y

 

La voici sous la table. Sans doute pour la première fois de ma vie, je n’ai pas mis de culotte. Déjà sa langue agace mon clitoris. Mais cette partie-là du scénario, ce sera plus tard et ailleurs. Je me saisis d’un verre, et le lui tend par-dessous la nappe. Ne la voyant pas je ne sais si elle fut surprise, mais quelques secondes plus tard, le verre se trouvait où il fallait qu’il soit, à la sortie de ma chatte. Je le remplis alors de mon urine. Puis brusquement je serrais les cuisses, signifiant à ma complice qu’elle pouvait à présent réapparaître !

 

Je saisis le verre remplis de pisse et en reversait la moitié dans un autre ! Puis, je levais le mien :

 

– A la tienne !

 

Nous bûmes toutes deux « cul-sec » alors que le serveur qui apportait les entrées n’arrivait décidément pas à comprendre d’où sortait cet apéritif qu’elles n’avaient jamais commandé.

 

FIN DE L’EPISODE

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Maîtresse Marie-France

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Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:17

Cynthia ou le salon de coiffure était fermé par Marie-France Vivier

 

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Note liminaire : Cette très belle histoire SM est l’œuvre d’un auteur anglophone. Son récit se balade depuis 1997 sur le web dans différentes traductions bâclées et approximatives. Je l’ai complètement retravaillée en m’efforçant de ne rien trahir. Bonne lecture !

 

Il devait être grosso-modo 20 H 45. J’entrais dans le salon de coiffure. C’était presque l’heure de la fermeture. Le salon était vide, à l’exception d’une femme qui balayait. Elle était grande avec une longue chevelure blonde frisée, mince avec des formes… sculpturales. Elle me regarda avec un air contrarié — sans doute parce que ma présence devait signifiait qu’elle allait devoir finir de travailler plus tard. Cela ne dura qu’un bref instant et c’est avec plein de gaîté dans la voix qu’elle me demanda.

 

– Est-ce que je peux vous aider ?

 

J’hésitais, avalant péniblement ma salive

 

– Je viens de la part de…Christine.

 

Elle me toise littéralement, me regardant de haut en bas, puis me fixe du regard. Je suis plutôt petite, 1 m 60, mince, cheveux bruns mi-courts, yeux bruns. J’ai un petit cul, de beaux seins. Je suis mignonne et gaie. C’est ainsi que les gens me décrivent. J’ai 28 ans, mais en parai 5 de moins. On croit souvent que je suis encore étudiante.

 

– Très bien ! Et elle vous a dit de demander quoi ?

 

Je regarde le sol, mon cœur palpite.

 

– Le… le traitement complet !.

 

– Comment c’est intéressant !

 

Un éclair d’excitation traverse son regard, mais cela ne dura qu’un instant.

 

– Je m’appelle Cynthia. Assis-toi !.

 

Elle tapotait nerveusement le dossier de la chaise. Je m’assoie. Allant à la porte, elle retourna la pancarte – OUVERT- pour indiquer que le salon était maintenant fermé. Elle baissa lentement le store de la porte et des vitrines. A présent le monde extérieur n’exista plus, et nous étions éclairées par des spots fluorescents et bourdonnants.

 

– Tenez-vous droite ! dit-elle.

 

Cynthia sortit de mon champ de vision et alla chercher quelque chose. J’attendais, cœur battant, Je respirais mal de façon nerveuse un peu comme avant une crise d’asthme. Malgré l’air conditionné, je transpirais et je frissonnais. Soudain la chaise pivota, interrompant mes rêves.. Elle était de retour et m’avait placé devant un miroir. Elle plaça un doigt sous mon menton, et appuya, me forçant à soulever mon visage et à me redresser. Son doigt glissa le long de ma mâchoire, puis lentement sur ma joue. Juste ce contact. Un doigt le long de mon visage, c’était si sensuel.

 

Puis elle passa derrière moi et caressa ma chevelure.

 

– Joli tignasse !.

 

Lentement et si doucement et de façon si fluide que cela semblait sortir d’un songe, Cynthia glissa un velcro autour de mon poignet et le serra. Je saisissais déjà l’accoudoir. Une autre m’attacha le coude. J’essayais de remuer le bras, en vain. Mon bras gauche était bel et bien attaché. Elle détacha mes cheveux. Elle tira mon tee-shirt hors de mon pantalon. Elle continua à le tirer de côté jusqu’à ce qu’il atteigne mon visage, le fit glisser sur mon bras droit puis le long du bras gauche où il resta coincé par le velcro. J’avais un joli petit soutien-gorge blanc qui me couvrais encore ma poitrine, mais déjà, je me sentais nue. Elle attacha rapidement mon bras droit de la même façon. Hésitant à croiser mon regard, elle fit tourner un peu la chaise, m’observa dans le miroir. Je fis de même et celui-ci me renvoyait l’image d’une jolie fille impuissante. Ca aurait pu être quelqu’un d’autre ! Etait-ce réellement moi ?

 

Cynthia défit le bouton de mes jeans et baissa la fermeture éclair, puis partit quelques instants laissant exprès mon jean suggestivement ouvert, lubrique. En revenant, elle se mit à genoux devant moi

 

– Lève ton cul ! dit-elle sèchement

 

Je soulevais mon cul, et elle descendit mon pantalon, dégagea mon pied droit, mais laissa le reste autour de ma cheville gauche. .

 

– Relève encore !

 

Ma petite culotte pris le même chemin. J’avais à présent la chatte à l’air.

 

Cynthia s’assit ensuite par terre, s’empara de ma cheville gauche, et l’attacha quelque part dessous de la chaise. Elle fit de même avec ma cheville droite. Cette position me faisait ouvrir largement les jambes. Je pouvais, certes, encore fermer mes genoux, mais au prix d’un effort pénible et inutile. Maintenant je n’étais habillé que de mon seul soutien-gorge.

 

C’est à ce moment-là que le bruit d’une personne activant la poignée de la porte retentit comme une explosion. A la pensée que quelqu’un puisse me voir dans cet état, un vent de panique m’envahit. La porte s’entrouvrit. Le verrou n’avait pas été fermé !

 

Blang ! La chaîne de sécurité ! Elle n’avait pas verrouillé la porte, mais la chaîne était attachée. Ouf ! Elle courut.

 

– Je suis désolé, c’est fermé !

 

Ils échangèrent quelques mots que je ne pouvais entendre. J’avais rapproché mes genoux autant que possible. Je n’étais pas dans le champ de vision direct de la porte et on ne m’avait sûrement pas vu. Elle s’excusa à nouveau, ferma et verrouilla la porte.

 

Cette interruption l’avait agacée et quand elle revint, ce fut avec une pointe de méchanceté dans le sourire.

 

– Bon ! On en étais où ? Ah oui ! Voici les règles. Tu devras me vouvoyer et m’appeler « Maîtresse ». Si la situation devient vraiment insupportable pour toi, le mot de sécurité est Houba-Houba. OK ?

 

– Oui, Maîtresse. Répondis-je en inclinant la tête !

 

Elle se pencha vers moi si près que je pouvais sentir son haleine chaude !. L’air conditionné bourdonnait. Mes tétons étaient dressés comme des gommes de crayon. Elle fit courir son doigt le long de mes seins, puis sur mes tétons, puis, baissant sa main, elle la plaça entre mes jambes.

 

– T’as un joli buisson (elle souriait) Il a déjà été taillé, mais il a repoussé. Je crois que tu as besoin d’un petit rasage. Mais d’abord…

 

Cynthia dégrafa mon soutien-gorge et le laissa tomber par terre. J’étais à présent complètement nue (l’espace d’un instant l’idée saugrenue que je ne l’étais pas, puisqu’ayant conservé mes petites boucles d’oreille me traversa l’esprit). Elle fouilla sur l’étagère derrière le miroir, hors de mon champ de vision. Elle revint avec dans ses mains des pinces à cheveux en métal.. Sans aucun préambule elle en claqua une sur mon téton gauche.

 

– Ahhhhhhhhh ! J’haletais. Ca mordait cruellement.

 

Dans la foulée elle en accrocha un autre à mon téton droit.

 

– S’il vous plaît !

 

Je respirais fort ! Un velcro auquel était attachée une cordelette souple fut placé autour de mon genou. Elle passa derrière mon dos, autour de la chaise. Un système identique immobilisa l’autre genoux. Impossible maintenant de serrer les jambes. J’étais épinglée serré, exposée et impuissante. Quand soudain une troisième pince se referma sur mon clitoris !

 

– Aiiiiiiiiiiiiiiiiie ! Je hurlais.

 

Les larmes débordèrent de mes yeux. Je me mordais ma lèvre.

 

– S’il vous plaît, maîtresse.

 

– Je t’en enlève deux Tu peux choisir celui que tu gardes !

 

– Le téton gauche alors !

 

Elle respecta mon choix. Lorsqu’elle les enleva sans aucune douceur, la douleur augmenta brusquement puis finit par disparaître

 

Encore une fois elle disparue de ma vision. J’entendis un lavabo se remplir. Elle revint avec une petite cuvette contenant de l’eau chaude d’où s’échappait une légère buée !. Elle me fit soulever les fesses, et plaça un oreiller en dessous. Elle trempa une serviette, puis en mouilla mon entre jambes. L’eau légèrement trop chaude me fit tressaillir. Elle insista sur mes poils pubiens, augmentant la friction humide sur ma chatte. Elle m’appliqua ensuite du gel à raser et me montra un rasoir neuf.

 

– Ne bouges pas ! dit-elle.

 

Cynthia s’agenouilla et commença à raser les poils de mon pubis. Elle essuya avec la serviette tiède. Puis de nouveau, le gel, et un autre passage du rasoir. L’eau chaude piquait ma chatte tout nouvellement dénudée, mais le gel la rafraîchissait simultanément. Bientôt j’étais complètement rasée, et essuyée proprement.

 

– Lisse comme une petite fille, dit-elle.

 

Cynthia rangea alors les ustensiles, et s’agenouilla de nouveau entre mes cuisses. Maintenant j’étais encore un peu plus nue. Sa langue courait tout le long des endroits que le rasage avait découvert. Elle saisit mon cul et me tira vers elle. Sa langue virevolta dans les replis de ma chatte, sur mon clitoris, et plus loin dans moi, lentement. Lentement, puis un petit peu plus vite, lentement de nouveau. Je fus surprise… En un temps étonnamment court, je jouissais, vagues de plaisir après vagues de plaisir. Je me sentais comme une étoile qui vient juste d’exploser. J’haletais. Elle se leva.

 

– Et bien sûr, après le rasage, il y a …l’après rasage !

 

Sur la tablette du miroir, elle pris un flacon, avec l’éclairage il paraissait vert. Elle mis sa main en coupe et versa un peu de liquide près de mon visage. C’était fort, trop fort en tous les cas pour être de l’après rasage. Cela piquait mes narines, et je n’osais en imaginer l’effet sur mon pubis tout frais rasé !

 

– Non, s’il vous plaît !

 

Je pleurais. Elle se mit entre mes jambes, et frotta sa main contre mon pubis. Ce fut comme une piqûre, suivi par une vague chaude.

 

– Aiiiiiiiiiiiiiiiiie !!! Je criais. Salope !! Un silence remplit la pièce.

 

– Comment est-ce que tu m’as appelé ?

 

– Je suis désolé, Mmmm maîtresse !

 

Je sanglotais à moitié. Elle versa dans ses mains une nouvelle poignée de liquide de feu et en enduisit mes tétons, puis mon clito. Je sentis d’abord le frais du liquide, puis une sensation de pincement ! J’ouvris ma bouche, mais aucun son ne sortit. Lentement la vague de douleur retomba. Ma chatte picotait encore. Soudain elle replaça les pinces qu’elle avait ôtés tout à l’heure Mes seins et mon clitoris sentirent la morsure du métal.

 

La chaise bascula soudainement, me mettant presque à l’horizontale, les jambes en l’air, ma chatte rasée et désinfectée baillant aux étoiles. Elle chevaucha la chaise par derrière. Les genoux de chaque coté de ma tête, elle se baissa, jusqu’à s’asseoir sur mon visage. Les fesses au-dessus mon front. Sa chatte mouillée descendait lentement vers ma bouche.

 

– Mange-moi ! Commanda-t-elle.

 

Et je le fis. Tous mes sens percevaient son sexe. Mon visage, ma bouche, mon nez, et même les sons de ma bouche remplissaient mes oreilles. Les cheveux de Cynthia chatouillaient ma poitrine, et elle tirait sur mes seins. Durement. Une des pinces tomba. Mais cela ne me soulagea pas beaucoup.

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Ma langue peinait. Et tout cela commençait à devenir sérieusement long. Il était évident qu’elle appréciait mon œuvre, à voir la façon dont elle basculait sur mon visage. Mais elle mettait du temps à jouir, et pour ce faire. Je dus travailler longtemps et durement Quand enfin vint sa jouissance, sa mouille devint plus abondante. Ma bouche s’en remplit avec son goût acide. Elle pressait mes seins dans ses spasmes.

Elle descendit. Elle berça ma tête, m’embrassa sur les lèvres, la langue traînant sur mon visage, léchant son jus répandu sur moi.

 

– C’était merveilleux ! Sauf que tu m’as traité de salope !

 

J’ouvrais ma bouche, mais ne dit rien, attendant.

 

– Nous nous reverrons demain matin.

 

Elle alla vers la porte, en claquant des talons. Puis finit par revenir, habillée.

 

– Non maîtresse ! Ne me laissez pas ici toute la nuit !

 

Il y eu un petit ronronnement électrique quand elle pris un petit appareil. Un petit vibrateur, qu’elle glissa dans ma chatte mouillée. Je grognais.

 

– Oh ! ne t’affoles-pas, les piles seront mortes dans deux ou trois heures…

 

Cynthia me regarda dans les yeux, faisant semblant de s’inquiéter.

 

– Oh, ne t’inquiéte-pas, tu es en sécurité ici ! Quoique…

 

Elle marqua un temps d’arrêt

 

– Quoiqu’il y a six mois on a eu un cambriolage…Mais quelles sont les chances que ça arrive de nouveau cette nuit ? Je parie que s’ils te trouvaient ici, ils oublieraient la caisse.

 

Elle souriait cruellement.

 

– Mais Non, ça n’arrivera pas. Je serai là demain matin aux aurores. Du moins, enfin, je pense, parce que je ne me rappelle plus, j’ai peut-être ma matinée demain. Je vais vérifier tout ça en rentrant à la maison. Sinon, ben c’est Sally qui te trouvera ici ! Ca lui fera une surprise ! Allez ! Fait de beaux rêves !

 

Clack clack clack ! Le bruit de ses talons, puis le claquement de l’interrupteur. Je me retrouvais dans l’obscurité. Elle disparut en verrouillant la porte. L’obscurité. Graduellement je devenais consciente du faux tic-tac claquement de l’horloge électrique murale, et de la faible lueur de la bande de néon qui l’entourait.

 

Je suis là, couchée, attachée fermement sur la chaise inclinée. Nue, mais avec divers vêtement et sous-vêtements rassemblés autour des chevilles et coudes. Frémissante sous l’air conditionné frais. Une pince en métal attaché sur chaque téton et une autre sur mon clitoris. Un god bourdonnant dans ma chatte rasée et qui me pique encore. Et mon visage humide du plaisir de ma Maîtresse.

 

23H00. La nuit allait être longue !

 

– Houba-Houba ! murmurais-je !

 

Fin

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Marie-France V.

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Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:12

Des orties pour Elodie par Marie-France Vivier

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Encore une traduction anglaise que j’ai reprise et adaptée…

 

J’entrais dans la chambre d’Elodie ! Elle était là simplement vécue d’une sorte de nuisette qui découvrait ses épaules et ne cachait rien de sa généreuse poitrine. Toujours aussi « appétissante » avec sa peau qu’elle évitait d’exposer au soleil, ses cheveux bruns négligemment pincés, ses yeux bleus comme l’océan et sa belle bouche pulpeuse recouverte d’un vrai rouge à lèvres. Elle était assise au pied de son lit, les mains attachées par une corde fixer à la barre. Je fermai la porte à clef, et m’installa dans un fauteuil. J’attendis un peu, je n’étais pas pressée !

 » Alors ? La correction de ce soir ?  » Demandais-je à Elodie.

 » Ce soir maîtresse, je voudrais que vous me fouettiez les épaules et les seins avec un petit bouquet d’orties fraîches que j’ai cueilli ce matin. Et après vous me donnerez douze coups de martinet sur les fesses

« . A nu ?

« . Oui maîtresse ! .

Je n’avais pas à approuver ou à désapprouver ce programme, puisqu’elle me payait pour être sa maîtresse. Parfois il m’arrivait de lui proposer de le modifier, mais ce soir il me convenait parfaitement. J’aimais fouetter ! . Elle me désigna de la tête une boite en carton dans laquelle se trouvaient minutieusement rangée une dizaine de tiges d’ortie bien garnies de feuilles. Elodie avait eu la prévenance d’en gratter les bouts afin d’éviter de me piquer. Je dénouai les rubans qui retenaient sa nuisette aux épaules, elle tomba sur la moquette laissant nue ma consentante victime. Un instant je m’égarais en contemplant ses épaules, son dos gracieusement incurvé, sa merveilleuse poitrine au galbe parfait, ses seins bombés, droits et blancs. Un petit fourmillement caractéristique apparut dans mon entre jambe ! L’envie de laper d’un petit coup de langue ses petits tétons érigés me démangea un moment. Mais ce n’était pas dans nos accords. Je me repris !

.  » Baisse la tête ! Et surtout pendant la correction, je ne veux pas entendre un murmure. Tu n’as qu’à serrer les dents !

M’emparant du bouquet d’orties, je commençais à flageller mollement les épaules les seins, le ventre, le dos et les flancs d’Elodie. Elle se mit à gémir tout doucement tout en gigotant dans tous les sens sous l’action cuisante des orties.

 » Je t’interdis de bouger ! Baisse la tête et si tu continue, tu auras droit à vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze! ».

Elodie finit par obéir. Sa peau était à présent entièrement rouge. Elle en avait eu assez, je stoppais donc la flagellation aux orties.

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 » A présent tu va bien me tendre tes fesses. Tu seras une bonne fille, n’est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante? . Penche-toi encore un peu, je vais te foutre les douze coups de martinet sur tes fesses ».

 » – Allez-y maîtresse, n’ayez pas peur de me faire mal, j’aime tellement ça ! »

Elodie se pencha en avant. D’ordinaire, je fouettais de loin, c’est plus facile et plus efficace. Mais ce soir, j’avais envie de sentir le contact de sa peau, j’optais pour une position très « spanking » et Je lui passais la main gauche sous le ventre, pour la soutenir et munie du martinet, je lui demandais de compter les coups. Le premier coup, donné en travers de ses fesses tendus, je l’appliqua très bas, presque sur les cuisses. Elodie en le recevant rebondit en tressaillant.

Et tandis que l’on entendit le bruit de grêle des six lanières du martinet s’abattre, presque simultanément et d’une voix étouffée Elodie compta « un ! ». Le second coup suivit presque aussitôt, puis le mouvement se précipita. Elodie fut fouettée avec force et rage, sans que je laisse une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup appliqué sur ses fesses rouges et boursouflées et Elodie prononça avec soulagement « douze ! ». Je posais le martinet sur le lit. Je palpais un instant la partie fouettée, prétextant qu’il fallait bien voir si elle était suffisamment échauffée. Je détachais les mains d’Elodie qui alors se frictionna sans pudeur. Puis dans un geste de soumission, elle s’agenouilla et dans cette position s’avança vers moi, me pris mes mains et me dit

« Merci maîtresse ! Merci pour cette l’excellente fouettée ! ».

Puis elle se tût ! J’attendais une invite, quelque chose ! Mais non ! Elle était satisfaite comme ça, je me retirais donc. Je la violerais un autre jour !

Fin

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Maîtresse Marie-France

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Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

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Mercredi 28 septembre 2016 3 28 /09 /Sep /2016 16:48

Drôles de nurses par Marie-France Vivier

 

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Thémes abordés : bisex masculine, domination hard, médical, transsexuelles, uro.

Je m’appelle Placido Bahamontes. Je ne sais plus quel âge j’ai, entre
soixante et soixante dix peut-être. Je dormais tranquillement devant la
petite piscine quand le bruit m’a réveillé.

- C’était quoi ce bruit, d’abord ? Ca n’a duré que quelques secondes, de la
musique, sans doute un essai de sonorisation, mais pourquoi faire ? Je n’ai
pas commandé de spectacle  » sons et lumières  » à ce que je sache !

Il y a des jours ou je me rappelle les choses mieux que d’autres. Tout
allait bien, les affaires, la famille, le sexe aussi. Une vie heureuse sans
difficultés majeures. Bien sûr, certains convoitaient mes richesses, mais de
là à dire que ces jalousies me causaient réellement des problèmes, il y a un
pas que je ne franchirais pas !
Et puis tout a basculé, le jour de cette réception, c’était mon anniversaire
(lequel ?). Tout le gratin local était réuni et même un peu plus, puisque
certains ambassadeurs m’avaient fait l’honneur de se déplacer. Et celui du
Guatemala avait emmené sa fille. Et j’avais flashé sur elle, sur sa beauté,
sur l’éclat de sa jeunesse ! Je me souviens lui avoir fait des avances. Je
me souviens qu’elle les avait repoussé ! Je me souviens avoir insisté, je me
souviens la gifle publique. Mais, je ne me rappelle pas l’avoir violé !
C’est pourtant ce que l’on m’a reproché !
On ne jette pas en prison Placido Bahamontes pour viol ! Ce serait une
aberration dans mon pays. Par contre dire que Placido Bahamontes est devenu
subitement fou, cela fait fort civil !

Et on poussa même les dites civilités jusqu’à me permettre d’organiser
moi-même une partie des conditions de mon enfermement. (Les braves gens !)

Mais ces quoi tous ces papelards que l’on m’a fait signer ce matin ?
C’étaient qui ces gens qui anxieux me tendait un stylo, qui attendaient,
dubitatif que je signe ? Et que faisaient mes deux gendres au milieu de ces
inconnus ?

J’avais décidé, de m’installer dans une de mes résidences secondaires, un
petit manoir avec une jolie petite piscine. On avait médicalisé au mieux la
modeste demeure, trois nurses s’occupaient de moi, deux la journée et une la
nuit. Un médecin passait au moins une fois par jour.

Je ne manquais de rien, la musique, les films, les livres, la bonne chère et
le bon vin ! De quoi devrais-je me plaindre ! J’étais chouchouté comme pas
deux !

- Ah, oui le sexe ! Comment voulez-vous que je bande avec tous les trucs et
les machins qu’on me fait avaler ? Mais j’ai une devise : « Je ne peux plus
mais ça m’intéresse encore ! »

Et oui, on naît obsédé, on meurt obsédé ! Et je vais vous dire, je n’ai même
pas honte, mais je ne suis pas un violeur ! Je n’ai pas violé la fille de
l’ambassadeur !

- Vous vous en foutez de mon passé, hein ? Je le sais bien ! Tiens je vais
vous parler d’autre chose, je vais vous décrire mes deux nurses de la
journée.

La première est brune, elle s’appelle Soledad, elle est grande, la peau
mate, le regard de braise et la peau lisse comme de la soie. Elle a un joli
visage ovale, les lèvres ourlées magnifiquement et le nez joliment dessiné.
Son sourire m’enchante, sa voie me berce. C’est une magicienne. Ses formes
sont parfaites. Je lui ai offert une fortune rien que pour apercevoir sa
poitrine, elle n’a pas dit non, mais elle ne l’a pas fait, elle me dit qu’on
a le temps ! Elle peut-être ? Pas moi !

L’autre est blonde, c’est une anglaise, paraît-il, plus petite que Soledad,
elle se prénomme Ingrid. Le visage est moins joli, mais elle n’est pas sans
charme. Ses formes valent celle de sa collègue et surtout elle est moins
farouche. Elle me l’a montré, elle, sa poitrine. Oh ! Pas longtemps ! Mais
assez pour me charmer !

- Je crois que je vais me rendormir. Je suis bien sur ma chaise longue
devant la piscine, sous le soleil radieux de septembre.

La musique reprend !

- Non, mais ce n’est pas fini ce cirque, je voudrais bien ronfler
tranquille, je suis chez moi après tout !
En plus c’est quoi cette musique ? De la disco répétitive à souhait avec des
basses impossibles et une voix féminine qui anone je ne sais quoi en anglais
!
Mais ! Qu’est ce que c’est ? C’est quoi, ça ?

Ca, il faut que je vous raconte :

A l’autre extrémité de la piscine, donc à 25 mètres devant mes yeux qui n’y
croient pas, devinez un peu ce que je vois ?

Mes deux infirmières, Soledad à droite, Ingrid à gauche, elles sont debout,
séparée l’une de l’autre de quelques mètres à peine, les jambes légèrement
écartées, le regard droit vers moi. Elles sont en blouse blanche de travail,
légèrement entr’ouvertes, (quoique depuis quand les blouses de travail
sont-elles aussi courtes ?) La tenue ne serait pas complète sans le
stéthoscope autour du cou, mais il faut y ajouter ces impossibles bottines
qui les rendent plus grandes d’environ dix centimètres. Si leur coiffure
fait faussement négligé, leur maquillage paraît impeccable et leur yeux sont
masqués derrière d’épaisses lunettes de soleil. Et puis ce détail
invraisemblable : au rythme de la musique et de façon parfaitement
synchrone, elles rythment la cadence en se tapant (mollement) la main gauche
avec l’extrémité d’une longue cravache qu’elles tiennent de leur main
droite.

- Mais que faites-vous ?

Pas de réponse ! Il se passe des choses bizarres ici. Ca dure, ça dure… Ca
dure en fait tant que le morceau de musique n’est pas terminé. Ca devient
lancinant ce truc !
Enfin la musique cesse, un peu de calme à présent ! Même pas ! Un autre
morceau succède à la folie disco, il s’agit cette fois du chœur des esclaves
de Nabucco. C’est quand même moins dingue…
Et voilà que les deux créatures se placent dos à dos et démarrent très
lentement, chacune de leur côte, la cravache battant toujours la mesure dans
la paume de leur main.
Elles finissent par se rejoindre devant ma chaise avant que le chant soit
achevé. Alors elles se plantent là et continuent leur petit manège comme des
automates. Elles me regardent droit dans les yeux m’obligeant à baisser les
miens. Mais si mon regard est gêné, ma libido se réveille doucement à la vue
de ces si belles femmes. Je prends le parti de n’intervenir d’aucune façon
!. On verra bien, pour l’instant je suis au spectacle
Le chœur cesse à son tour ! Je vais avoir droit à quoi à présent ? A du rock
and roll ? A du rap new-yorkais. Non il s’agit d’une musique baroque que je
n’identifie pas, mais dont la mélodie est apaisante.Salma Hayek02b

Ces demoiselles posent alors leur cravache à terre, avec une délicatesse
exagérée (elles ne vont pas se briser, leur cravache !)
Puis, toujours droite comme des poteaux, elles déboutonnent leur blouse.
Dessous, Ingrid a une petite jupe en velours dont les motifs imitent la peau
d’un improbable fauve taché de brun. Ses seins sont gardés par un soutien
gorge en vinyle noir.
Soledad à un ensemble noir en tissu pailleté, un bustier pour le haut, une
courte jupe à pans pour le bas.
Elles commencent par se caresser chacune de leur côté, d’abord les cuisses,
puis les seins, les attrapant à pleines mains par dessus le vêtement et les
faisant gigoter.
Les deux femmes se sont maintenant rapprochées et ont quitté leur lunettes
de soleil. Ingrid saisit alors Soledad par la nuque avec infiniment de
douceur, lui place la cravache sur le cou, tapote pour jouer, puis fait
traîner l’instrument sur sa chair comme délivrer une caresse. Soledad ouvre
la bouche, sa gorge se sèche, sans doute est-ce l’excitation qui naît ?
Voici une expression qui lui va très bien ! Avez-vous remarqué combien les
femmes étaient belles, la bouche légèrement entr’ouverte ?

 

Ingrid fait alors semblant de cravacher le sein de sa partenaire, abandonne
ensuite l’objet et les lui malaxe avec les mains. Visiblement elle doit
faire un effort pour se reprendre afin de ne pas précipiter les choses, et
se calme en jouant avec le stéthoscope sur la base du cou de Soledad. C’est
alors que celle-ci sans doute frustré de voir l’action se diluer se libère
brutalement le sein gauche !

Il est magnifique ce sein qu’aucune trace de non-bronzage ne vient enlaidir.
L’aréole est très brune et le téton s’érige fièrement. Du coup Ingrid
déplace son stéthoscope et vient se le coller sur cet appendice offert à son
désir.
Puis Ingrid s’éloigne d’un pas, elle s’assoit par terre de façon très
chaste, multipliant les gestes qui me permettraient de voir en dessous de sa
jupe. Soledad n’a pas ce genre de pudeur, elle s’accroupit quelques
instants, puis retire cette jupe qui la gêne, Je peux voir alors son petit
slip en vinyle dont le tissu lui rentre dans la fente de sa chatte rasée.
Prestement, elle se débarrasse du slip. Je m’étais trompé, le sexe est bien
glabre, mais pas le pubis orné d’une touffe brune toute symbolique. Elle
regarde Ingrid d’un œil coquin, comme si elle se préparait à passer à
l’attaque !
- Viens ! Lui dit l’autre, faisant entendre pour la première fois le son de
sa voix.
- Peut-être ! Répond-elle, n’en faisant rien et se pelotant son sein gauche,
le caressant d’abord du plat de la main, puis d’un geste nerveux pinçant le
bout, le tirant, le tournant jusqu’à s’arracher un cri de douleur !

Soledad se met à quatre pattes, elle relève son fessier m’offrant une vue
magnifique de ses deux globes fessiers au grain de peau parfait se reflétant
au soleil et au milieu desquels trônent ses magnifiques orifices d’amour.
Mon trouble grandit, mais je n’étais pas au bout de mes émotions, continuez
à lire ce récit, continuez…

Soledad me regarde comme tout à l’heure, et j’ai toujours du mal à le
soutenir. Par contre l’effet est garantie et je sens mon sexe qui maintenant
bien réveillé se tend doucement, appâté par la probable érection qui va s’en
suivre. Ah ! Cette délicieuse bouche ouverte comme j’y placerais bien ma
propre langue ! Comme j’y placerais bien mon sexe ! Comme elle saurait le
faire durcir !
Un bref signe à sa compagne. Un ordre sec :
- Ecarte !

C’est alors que l’irréel se produit. Ingrid oubliant sa récente pudeur, sans
quitter sa position assise au sol, écarte les deux jambes relevant du même
coup sa jupe. Il n’y avait aucune culotte en dessous. Mais, ce n’était pas
cela la surprise ! La surprise c’est ce magnifique sexe masculin a demi
bandé, rasé de tous poils et doté d’une paire de testicules authentiques.
Ainsi Ingrid était un transsexuel. Me voici qui tombe des nues. Et non
seulement je n’en reviens pas, mais la situation m’excite et miracle de la
nature, mon pénis est à présent complètement bandé.

Je ne vais pas me refuser ce plaisir, ni laisser cette érection
m’abandonner, je me débraguette prestement, libère mon membre et entame une
lente masturbation.

C’est alors que Soledad s’apercevant de la chose se redresse tel un diable
d’une boite à surprise et tend un doigt accusateur vers mon membre viril !
- Tu n’as pas l’autorisation de te masturber !

De quoi ? Qu’est ce qu’elle me dit, je fais ce que je veux chez moi, jusqu’à
présent ! Ce n’est pas une nurse, qu’elle soit en chaleur ou pas qui va me
donner des ordres ! Et en me tutoyant en plus ! Je vais la rabrouer comme il
convient !
- Je n’ai pas besoin d’autorisation…
- Alors d’accord ! Coupe Soledad, continue ta branlette, mais nous on s’en
va !

Et là voilà qui commence à ramasser ses affaires…
- Non, je vous en prie, continuez, je vous promets d’être sage !
- O.K ! Tu vas être bien sage, et après tu auras peut-être ta récompense,
d’accord !
Et sans attendre ma réponse, Soledad reprend sa position, redresse à nouveau
son cul et se dirige vers l’entre jambe d’Ingrid ou l’attend sa verge à demi
tendu..

[Note de l'auteur : Nous savons donc, cher lecteur qu'Ingrid est un
transsexuel. Doit-on dire il ou elle ? Nous avons décidé de respecter ce qui
semble être la tradition du récit érotique, c'est à dire continuer de la
conjuguer au féminin.]

Elle lui met une main sur le sexe, le masturbe quelques instants, en dégage
bien le gland, puis approche sa bouche, sort sa langue, en enrobe
l’extrémité, l’humecte bien, puis se fourre tout ce qu’elle peut de cette
jolie quéquette dans sa bouche gourmande.

Ingrid se laisse faire, et je trouve incongrue que pendant qu’elle se fait
si bien sucer, elle ne trouve rien de mieux à faire que de se mettre à jouer
avec son stéthoscope sur le dos de sa copine. Bon, mais après tout chacun
son truc ! Soledad s’applique alternant les gestes de masturbation sèche,
pendant lesquelles elle se redresse légèrement le torse et ceux de la
fellation où on ne voit plus grand chose tellement le pénis du transsexuel
est enfoncé dans sa bouche.

Ce qui est assez fabuleux c’est le plaisir avec lequel ces deux créatures
sont en train de s’occuper. Elles sont certes en « services commandés » mais
cela n’a pas l’air de leur coûter de trop ! D’ailleurs les voici qui
croisent leur regard, c’est magique d’observer le débordement de tendresse
et de passion qu’elles ont l’une pour l’autre. Soudain leur visage se
rapproche, leur bouche se soude et leur langue s’acoquine.
Mon érection s’était maintenue malgré le rabrouement dont j’ai été l’objet,
avec des hauts et des bas, si j’ose dire, mais ce spectacle a pour effet de
remettre tout cela au top.
Pendant qu’elles s’embrassent, Ingrid a aventuré ses doigts dans la chatte
de sa complice, qui se laisse faire en se trémoussant légèrement. Le baiser
fini, notre travesti aura ce geste inouïe de donner ses doigts imprégnés de
mouille à sucer. Soledad loin de refuser l’offrande s’en régala, traitant
les doigts comme elle l’aurait fait de petites bites et leur imposant une
simili fellation.

Enfin, Ingrid dégage un sein, il est ma foi, fort réussi et n’a pas cet
aspect toc qu’ont parfois les organes siliconés. Soledad, pour sa part s’est
débarrassée du soutien gorge qui depuis tout à l’heure n’accomplissait plus
que la moitié de sa fonction, et la voilà complètement nue. Non, il reste
les chaussures, mais elle les quitte aussi. Elle est à plat ventre tout au
bord de la piscine, tellement désirable… elle se tripote ses seins,
s’acharnant encore sur ses tétons turgescents.
Ingrid s’avance, l’enjambe, se met sur elle, attend la caresse de sa
partenaire, se laisse cajoler les jambes tandis que Soledad trempe ses pieds
dans l’eau toute proche provoquant des clapotis incongrus qui me font
échapper un sourire.
J’ignore si c’est mon sourire qu’elle a capté, mais une nouvelle fois encore
la brune Soledad me regarde, alors je la piège, au lieu de fixer ses yeux,
je fixe sa bouche, elle est magnifique. Elle voit bien que je triche, elle
rigole, c’est la première fois, je lui rends son rire, nous rions tous les
deux, ça fait du bien, ça détend l’atmosphère. Quant à Ingrid, elle n’a pas
capté l’affaire et nous regarde avec de grands yeux étonnés et histoire de
se replacer dans le trip redonne ses doigts à sucer à Soledad avant de
l’embrasser avidement de sa bouche friande.

Soledad s’est à présent allongée derrière Ingrid. Elles sont sur le côté, le
corps légèrement courbe, rangée l’une derrière l’autre. Il me revient en
mémoire la réponse d’une amie à qui je demandais quel nom pouvait avoir une
telle position et qui m’avait répondu sans se départir de son sérieux
habituel, que cela s’appelait « les petites cuillères » !
Elles se font de tendres caresses, sur les bras, sur les jambes, sur les
seins et sur les tétons, puis elles s’embrassent les épaules et le haut des
bras Ingrid caresse le cou de la brune, lui fait se relever la tête, et de
l’autre main lui pelote la cuisse. Soledad finit par s’allonger sur le dos,
écartant ses jambes, elle offre sa chatte à Ingrid qui vient la laper, la
langue lui nettoie le sexe, la ramasse de sa mouille accumulée dont les
filets visqueux restent accrochés quelques instants mélangés à la salive.
Soledad va jouir, je le sais, elle me regarde à nouveau, et je souris
encore, je ne me lasse pas de son visage, et ma raideur est à nouveau
maximale. Ingrid a abandonné un instant le travail de sa langue, elle la
remplace par un doigt fureteur tandis que ses lèvres vont titiller la pointe
du sein offert à son envie. Le plaisir de Soledad monte… monte.
Brusquement Ingrid se retourne complètement adoptant une position de 69,
voulant que sa bouche soit contre cette chatte au moment de sa jouissance.
Et la brune explose !

J’attends qu’elle se calme, j’attends son regard. Il fut long à venir, mais
il vint. Soledad sans cesser de me fixer s’accroupit, semble se concentrer
sur je ne sais pas quoi, je crois comprendre, elle ne va tout de même pas ?
Oh, si ! Elle va le faire ! Quelques gouttes dorées s’échappent de sa chatte
pour aller former une petite flaque. Sur le carrelage du bord de la piscine.
Que cette pluie dorée m’excite ! Si j’osais… si j’osais…
- S’il vous plait !
- Tu n’aurais pas du demander !
- Je suis désolé !
- Je vais te laisser une chance, je m’en garde un peu !

Je ne dis rien, j’attends. C’est quoi, cette deuxième chance ?
- Viens-là ! Déshabille-toi, et en vitesse !
J’obéis, je suis dans un rêve, je pose mes vêtements délicatement sur la
chaise longue !
- Si tu ne te dépêche pas un petit peu, on te largue !
- Je me dépêche, je me dépêche, j’arrive !

Elles rigolent !
- Maintenant à quatre pattes et relève ton croupion !
Aussitôt fait, le premier coup tombe, il fallait bien que la cravache
finisse par servir, un deuxième coup, un troisième, j’ai un peu peur je n’ai
rien contre les flagellations, mais je préfère le martinet ou les mains
nues. Le danger de la cravache c’est les impacts superposés, mais Soledad
doit être une professionnelle. Au dixième coup elle arrête !
- Et maintenant tu vas sucer Ingrid !

J’ouvre la bouche, y enfourne la verge du travesti. Savent-elles que cela
n’a rien pour moi d’une épreuve et qu’au contraire je me délecte de cette
absolue perversion qui est celle de sucer une « femme à bite » ? J’espère
simplement qu’elles vont m’épargner la sodomie que j’apprécie bien moins.

- Attend ! Me dit simplement Ingrid.
Et tandis que je desserre mon étreinte, elle change de place et comme je le
craignais viens se placer derrière moi ! Je décide de jouer le jeu et
m’écarte mes globes fessiers au maximum, je sens le gland revêtu de latex
qui cogne pour entrer dans mon anus. Je m’ouvre un peu plus. Et les coups de
boutoir commencent. Elle me laboure ! Je voudrais contempler le corps ou le
visage de Soledad pendant cette épreuve, mais elle est hors de mon champ de
vision. La sodomie prend fin, c’est presque dommage, je commençais à m’y
habituer. A nouveau Ingrid me fait face. C’est d’un geste quasi théâtral
qu’elle ôte et jette son préservatif, et qu’elle me remet pratiquement de
force son pénis en bouche. Je recommence ma fellation, quelques instants
plus tard, je sens son membre atteint de soubresauts, sa semence me remplit
le palais.
- – Viens te rincer ! Met-toi à plat ventre !
Soledad s’accroupit alors sur ma bouche et tandis qu’elle me signifie enfin
l’autorisation de me masturber, je reçois sa douche dorée dans les
profondeurs de ma gorge. Il y en a une quantité, j’avale tout ce que je
peux, mais je ne vais pas m’étouffer non plus, et puis tout cela s’arrête.
Je sens la jouissance qui monte, je jouis, je suis à moitié inconscient, je
ferais bien un roupillon !

EPILOGUE

Je me suis rhabillé, Ingrid est restée nue, Soledad a hélas recouverte sa
magnifique poitrine, Maîtresse Marie France nous a rejoins, une petite table
ainsi que des chaises ont été installée sur le bord de la piscine avec
quatre flûtes.

 

< /center>
- Allez André, à toi l’honneur de le déboucher !
- O.K !
- Ca t’as plu ?
- C’était divin, j’ai adoré cette mise en scène ! Tu t’es surpassée… mais
ou vas-tu chercher tout cela ? Me faire appeler Placido Bahamontés, quelle
drôle d’idée ! Mais j’étais vraiment dans la peau du personnage !
- Ah ! Ah ! Ce n’est pas trop difficile quand on a des assistantes aussi
douées !
Je servis les coupes et nous avons trinqués. Je le porte à mes lèvres,
Marie-France m’interrompt
- Tu es sûr que tu le veux comme ça !
- C’est à dire ? Le jeu est terminé, non ?
Pas tout à fait pour Ingrid, qui trempe son zizi dans le champagne et qui
s’approche de moi !
- Tu suceras bien un petit boudoir ?

 

FIN

Maitresse_Marie_France@hotmail.com
Pour une fois, ce texte n’est pas une traduction, il est de moi toute seule,
enfin presque, car il n’aurait pas vu le jour sans les précieux conseils de
Boris V.

Par Marie-France Vivier - Publié dans : Marie-France V
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