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Un petit restau avec Myrène par Marie-France Vivier
Avertissement : Le texte d’origine est en langue anglaise, ce qui explique quelques bizarreries (le resto bondé à 17 h 30, le vin blanc en guise d’apéritif) Il en existait deux traductions : une correcte mais expurgée, une complète mais médiocre. J’ai donc complètement réadapté tout cela !
Bonjour ! Je me présente, je me prénomme Valérie ! J’ai 31 ans. Je suis plutôt grande (1 m 75) Vraie blonde coiffée au carré avec des yeux bleus, ma peau est pâle mais douce au toucher. Mes seins (puisqu’il faut toujours en parler) ne sont pas énormes, mais ils tiennent bien et sont terminés par de gros tétons roses pointant en permanence (en soutien-gorge, je prends du 90 C). Je ne suis pas trop mécontente ni de mon corps, hormis mes fesses, un tout petit peu trop grosses à mon goût, ni de mon visage malgré mes lèvres trop fines. Je suis hôtesse d’accueil dans une grosse boîte d’assurance et on m’impose la tenue permanente du tailleur, mais il paraît que je le porte bien. Je suis marié et mère de famille. Mon mari me fout une paix royale dont je ne profite guère. Je l’ai certes trompé quelques rares fois, mais n’ai jamais eu de liaisons durables. Ma sexualité est dans les actes d’un classique confondant. Dans ma tête c’est autre chose, les fantasmes se bousculent et arrivent à la rescousse quand l’envie de me masturber me prend. J’ai conscience qu’ils sont très bien dans ma tête et que vouloir les concrétiser risquerait de basculer mon existence.
C’est au travail, que j’ai sympathisé avec Myrène. Elle est devenue très vite mon amie, et même la meilleure d’entre-elles, les autres étant maintenant dispersées aux quatre coins de notre immense pays.
Myrène est brune aux cheveux courts, un tout petit forte, mais sans exagération, 1 m 65, contrairement à moi, elle est plus en poitrine qu’en fesses. Elle est de 10 ans mon aînée, divorcée et vivant seule, mais elle parle que fort peu de sa vie familiale. Elle est secrétaire de direction (un autre niveau que le mien, donc) et vient d’avoir une belle promotion.
Elle a souhaité l’arroser Nous sommes en été, il fait chaud et humide. Elle m’a donné rendez-vous au restaurant ce samedi en fin d’après-midi. Je me suis habillé d’une petite robe noire avec des bretelles très fines. Par cette chaleur, elle sera très confortable. J’ai rendez-vous avec ma copine à 17 h 30 devant les portes du resto. C’est un lieu assez chic. La décoration est super belle. La lumière toujours très douce, avec un éclairage aux bougies, qui donne une ambiance romantique. La cuisine y est excellente.
Me voilà arrivée, elle aussi est déjà là. Elle s’est mis une petite jupe en cuir noire (de cette chaleur, elle est folle !) et d’un chemisier tilleul dont le boutonnage volontairement non terminé laisse apparaître dans son échancrure juste ce qu’il faut de cette probable magnifique poitrine. Elle a les yeux pétillants, je sens qu’elle me cache quelque chose. Nous entrons, heureusement que nous avons réservé, la salle est bondée. Nous choisissons une table près de la fenêtre. Le serveur arrive : :
– Prendrez-vous un apéritif ?
– Certainement !
Notre choix; une bouteille de vin blanc. Il faut que je vous dise que le vin blanc me rend particulièrement chaude. Et ce soir-là j’ai découvert que Myrène aussi devenait très amoureuse avec le vin. Elle a toujours un petit air malicieux dans les yeux. Je lui pose la question. Elle me dit qu’il n’y a rien d’anormal. Tout d’un coup je sens une main qui me caresse les cuisses sous la table. Très surprise, je la regarde. Je n’ose bouger. Cette caresse me fait frissonner. Sans m’en rendre compte j’écarte lentement les cuisses. Sa main remonte doucement pour se retrouver près de ma chatte qui commence à mouiller, elle me lance un regard langoureux, je lui réponds d’un même regard avec le feu en plus.
Je décide de faire preuve d’audace, (d’audace ? De folie devrais-je écrire !) Et je me glisse doucement sous la table. Je m’agenouille entre ses cuisses. Et promène mes mains sur ses jambes, mon cœur bat la chamade.. Je me demande bien ce que je suis en train de faire. Je n’ai jamais eu de rapport sexuel avec une autre femme…. Mais j’ai cette envie qui me tenaille le ventre. Alors tout doucement je glisse mes doigts dans sa petite culotte. Elle est toute mouillée et j’en apprécie l’odeur un peu forte. Je m’approche de sa chatte et tranquillement ma langue titille son clitoris tout enflé par le plaisir que lui apporte mes caresses. J’entends le serveur qui approche, mais distingue mal les paroles de. Myrène, sans doute lui dit-elle que je suis partie aux toilettes. Elle a une drôle de voix, mes attouchements la trouble. Le serveur quitte la table avec la commande. Je pousse mon audace jusqu’à pénétrer ma copine avec mon majeur, tranquillement j’entame un mouvement de va-et-vient dans sa chatte brûlante, et avec ma bouche j’aspire son clitoris, elle se tortille sur sa chaise. Elle passe une main sous la table m’attrape par les cheveux, et appuie sur ma tête pour que j’accélère le mouvement de mon doigt et de ma langue. Je sens qu’elle va venir car son souffle est très court. J’adore le goût de sa chatte qui mouille. Sa liqueur est si bonne, c’est doux et salé en même temps, j’aime ce que je découvre, les sensations sont voluptueuses. Je n’aurais jamais pensé qu’une femme pouvait être si agréable à déguster. Elle explose dans ma bouche. Son nectar coule dans ma gorge. Cette saveur me surprend et je la trouve exquise.
Je retourne m’asseoir. Ma copine me regarde, elle a les yeux qui pétillent de plaisir. Elle me pique un clin d’œil et à son tour se glisse sous la table. A ce moment, des frissons me parcourent tout le corps. Je vis en ce moment, des sensations inoubliables. J’ai dû à regret la faire remonter car le serveur apportait les plats, mais tout doucement elle me murmura à l’oreille :
– Tu sais, on peut aller prendre notre dessert chez-moi ! .
Sans hésiter, je lui répondit par l’affirmative. En sachant très bien ce qui m’attendait.
Sur le trajet, je me suis bâti des scénarios. Que pouvait-elle bien mijoter dans sa tête ? Je le saurai bientôt, nous voilà arrivée chez elle. C’est la première fois. C’est joli, décorée avec goût mais sobre, j’ai l’impression que peu de gens ont l’honneur de pouvoir y pénétrer. Elle me suggère de prendre un bain, et entreprend de le faire couler. En attendant que la baignoire se remplisse, elle joue avec mes nerfs, et l’idée farfelue lui prend de me montrer les photos qu’elle avait prise l’ors de son séjour au Japon. Cela ne m’intéresse qu’assez peu, mais heureusement cela ne dure pas et la voici qui me déshabille, elle m’avoue que depuis le début de notre rencontre; elle voulait m’initier aux joies des plaisirs féminins. Elle n’osait pas me le proposer par peur de briser notre amitié. Je lui avoue que je la trouve exquise, et qu’elle me plaît énormément.
Nous nous glissons dans le bain chaud, remplie de mousse..
Hummmm !! C’est sublime !
Myrène s’avance vers moi et glisse ses lèvres sur les miennes, elle laisse sa langue se promener sur la mienne. Timidement je réponds à son baiser. Je ferme les yeux et goûte à cette tendresse féminine. En sortant du bain, elle m’entraîne vers son lit et caresse partout mon corps doucement, tendrement. Je la regarde dans les yeux et l’embrasse sans remords. Elle se glisse vers mon bas ventre, et encore plus bas. Je sens sa langue sur mon clitoris tout enflé par le désir, elle lèche mes lèvres toutes douces sa langue s’enfouit dans ma chatte.
Hummmmmmmm…
Je grogne de plaisir, je sais évidemment que je ne suis pas sa première partenaire. Elle est très douce et très sensuelle. Elle se tourne et m’offre sa chatte humide, elle est aussi bonne et parfumée qu’au restaurant ! Nous sommes en position de 69. Ses caresses m’enivrent. Malgré mon inexpérience, je lui arrache quelques grognements de plaisir. Ses doigts fouillent ma chatte d’un va-et-vient lent mais profond, de son autre main, elle enfonce un doigt dans mon anus, puis le lèche avec délectation. Je n’en peux plus, j’explose. Je lui embrasse les fesses. Lui lèche son joli petit anus frippé à mon tour et découvre ce goût un peu particulier mais loin d’être désagréable. Elle commence à se tortiller de plus en plus vite. Alors nous accélérons nos caresses mutuelles. Et nous explosons ensemble, en nous inondant du jus de jouissance féminine !!! Après quelques instants de repos, nous avons recommencé à nous caresser…
En quittant Myrène, mon cœur était rempli de bonheur, les quelques jours qui ont suivi, j’ai rejoué dans ma tête et dans mon lit avec mes doigts, ma rencontre charnelle avec mon amie. J’étais excitée comme une folle au grand étonnement de mon mari, (mais il n’avait pas à se plaindre, il en profitait !). C’est après avoir fait l’amour avec ce dernier que commença à germer dans ma tête une folle idée :
Il fallait absolument que j’aille faire pipi, mais mon excitation n’était pas calmée. Assise sur le siège alors que mon jet doré clapote au fond de la cuvette, pressée de me toucher, ma main se mouille de mon urine. Je la relève, je la regarde, ça m’amuse. Je l’approche de mes narines, ça ne sent pas grand-chose, et puis comme ça sans aucune préparation, comme une idée qui passe dans la tête, je la lèche ! C’est bon ! J’ai découvert quelque chose ! Mon excitation qui n’avait vraiment pas besoin de ça est à son comble. Je me masturbe et je jouis très vite. Je suis à moitié pantelante quand je sors des toilettes. Mon mari me demande si je vais bien, je le rassure !
Je me suis amusée ainsi me pisser quelques gouttes sur les doigts à chacune de mes visites aux toilettes. Un vieux démon devait être enfoui dans ma tête et venait donc de se découvrir !
Merci Petit Diable ! Mais tu aurais dû venir plus tôt !
Une idée particulièrement perverse commençait à germer dans mon cerveau, mais il fallait que préalablement je m’assure que Myrène ne bloquerais pas dessus..
– Allô ! Myrène ! Tu sais l’autre jour, j’étais aux toilettes, je me suis branlée en pensant à toi, mais je me suis un peu pissée sur la main, et je ne sais pas ce qui m’a pris, je me la suis léchée ! Tu vas croire que je suis complètement folle ?
– Mais non ! Rassure-toi ! Il faudrait que tu sortes plus souvent ! Si tu veux la prochaine fois qu’on se verra, je te ferais goûter mon pipi et puis, je goûterais au tiens !
– Pas de problème ! Si tu veux, on se voit samedi au restaurant, cette fois c’est moi qui paie, et puis, je voudrais jouer à un jeu et te prouver que je peux être encore plus cochonne que toi.
– D’accord mais tu vas avoir du mal !
Me voilà arrivée, elle aussi est déjà là. Nous entrons, heureusement que j’ai réservé, la salle est bondée. Nous choisissons la même table que la fois précédente. Le serveur arrive et nous demande gentiment:
– Prendrez-vous un apéritif ?
– Non ! Pas ce soir ! Répondis-je à la grande stupeur de Myrène !
Et alors qu’après avoir pris commande des plats, le garçon s’en retourne aux cuisines j’ordonne à Myrène d’aller sous la table !
– C’est toi qui donne les ordres, aujourd’hui ?
– Tu as accepté de jouer ! alors vas-y
La voici sous la table. Sans doute pour la première fois de ma vie, je n’ai pas mis de culotte. Déjà sa langue agace mon clitoris. Mais cette partie-là du scénario, ce sera plus tard et ailleurs. Je me saisis d’un verre, et le lui tend par-dessous la nappe. Ne la voyant pas je ne sais si elle fut surprise, mais quelques secondes plus tard, le verre se trouvait où il fallait qu’il soit, à la sortie de ma chatte. Je le remplis alors de mon urine. Puis brusquement je serrais les cuisses, signifiant à ma complice qu’elle pouvait à présent réapparaître !
Je saisis le verre remplis de pisse et en reversait la moitié dans un autre ! Puis, je levais le mien :
– A la tienne !
Nous bûmes toutes deux « cul-sec » alors que le serveur qui apportait les entrées n’arrivait décidément pas à comprendre d’où sortait cet apéritif qu’elles n’avaient jamais commandé.
FIN DE L’EPISODE
© 2000 – Adaptée de l’anglais par Maîtresse Marie-France
maitresse_marie_france@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000
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