Marie-Paule Perez

Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:28

Caramel Par Marie-Paule Perez

cheval

 

C’était il y a deux ans, durant les vacances. Les prévisions météorologiques annonçaient une journée sous le signe du soleil… Je profitais du beau temps pour sortir le vélo et me rendre chez mes grands-parents. Le trajet dura un peu plus de vingt minutes. Ils habitaient en dehors de la ville, au milieu de la campagne. Je m’arrêtais devant l’écurie pour voir Caramel.

 

Caramel était un magnifique cheval au pelage brillant couleur de caramel, d’où son nom ! Je m’approchais de son box et posais ma main sur son encolure, mes doigts venant caresser sa crinière longue et touffue.

 

– Prêt pour une balade ? lui demandais-je.

 

Caramel approuva ma suggestion en poussant un léger hennissement. Je vérifiais son approvisionnement en nourriture avant de le seller. Puis, nous quittions le bâtiment pour nous retrouver au grand air. Je lui murmurais quelques mots doux à l’oreille puis le fit galoper.

 

– C’est bien mon grand, criai-je en lui adressant des petites tapes sur le flanc.

 

Nous avons emprunté un petit sentier de terre. Le ciel était complètement dégagé. Pas un seul nuage à l’horizon. Une légère brise me caressa le visage. Nous nous sommes arrêtés à proximité de la rivière afin de nous reposer un court instant. Je quittais le dos de ma monture et allais m’étendre près de l’eau, les pieds à l’air. Pendant ce temps, Caramel s’abreuvait tranquillement. J’étais heureuse. Oublié le boulot. Je disposais de deux semaines de vacances. J’avais rompu avec mon petit ami quelques jours plus tôt et je comptais bien me vider l’esprit, profitant des moments de détente comme celui-là.

 

Une heure plus tard, j’étais de retour dans la propriété de mes grands-parents. J’entrepris de nettoyer le box de Caramel avant de m’occuper de ce dernier. Je passais la brosse sur sa hanche quand mon regard se posa au niveau de son sexe. J’ai poussé un cri d’exclamation en voyant sa verge s’étirer lentement et grossir à n’en plus finir. Je n’avais jamais vu de pénis aussi gros. De son côté, Caramel jeta un coup d’œil dans ma direction. Peut-être avait-il noté mon changement de comportement ? Je reprenais le brossage, ma main toute proche de son entrejambe. Je sentis un léger picotement naître dans le bas de mon ventre. J’essayais de ne pas regarder son pénis mais étrangement mes efforts semblaient produire l’effet inverse. Et si je le touchai ? Depuis le temps que cette idée me trottait dans la tête…

 

J’en avais parlé à Céline, ma meilleure amie :

 

– Si tu as envie de le faire fais-le, tu me raconteras…

 

Son pénis était extraordinairement long et parcouru de grosses veines palpitantes. Mon estomac se contracta à cette simple vision et des gouttelettes de sueur se formèrent sur le haut de mon visage.

 

– Je suis complètement dingue, balbutiai-je, tremblante.

 

Ma main s’approcha doucement de son membre surdimensionné. Il était magnifique. D’un noir très sombre et luisant. J’éprouvais des difficultés à rester debout. Je respirais de plus en plus fort et une tache commença à se dessiner sur mon pantalon. Enfin, je saisissais le sexe de Caramel. Il était incroyablement doux et aussi très chaud. Je ne parvenais pas à en faire le tour tellement il était gros.

 

Voilà, je venais de le faire ! Je n’en revenais pas de mon audace. Ma conscience fut assaillie par des sensations nouvelles. Je décidais de le branler lentement, agissant avec mille précautions. Mon compagnon agita sa queue dans tous les sens, sans doute d’excitation, me fouettant au passage les fesses.

 

– Tu as l’air d’apprécier ça, canaille !

 

J’y allais maintenant de mes deux mains, faisant glisser mes doigts sur sa verge avec de plus en plus d’aisance. Je cédais à toute retenue, souhaitant lui donner un maximum de plaisir. Je retirais mon pullover et mon soutien-gorge. Je pouvais sentir la pointe de mes seins durcir et ma chatte couler comme jamais. Ma culotte était complètement trempée. A présent, j’approchais ma bouche de son engin, trop désireuse d’aller encore plus loin. Je devenais vraiment cinglée mais je m’en fichais éperdument. Je prenais un pied d’enfer. Lui aussi car il s’agita un bref instant. Je posais mes lèvres sur sa tige et la lécha de haut en bas. Je m’attardais un moment sur son gland, tentant de l’avaler entièrement malgré sa grosseur. Entre-temps, j’avais déboutonné mon pantalon et glissé deux doigts dans ma fente ruisselante de plaisir. J’allais jouir d’une seconde à l’autre.

 

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– Aaaaah, mon salaud ! Criai-je en agitant toujours plus vite mes doigts. Je viens !

 

Je poussais un long râle de satisfaction, frappée d’un orgasme foudroyant. Mon corps s’est raidi et je me suis retrouvée dans la paille, à moitié consciente tant le plaisir m’avait éprouvée. Le pénis de Caramel se contracta violemment, crachant du sperme à tout va. Une quantité importante s’écrasa sur mes seins nus, mon visage et dans ma bouche . Il continua de se déverser pendant ce qui sembla être une éternité. Finalement, je me redressais, plutôt groggy. J’arrangeais ma tenue le plus vite possible et adressai une dernière étreinte à Caramel avant de quitter son box.

 

Je grimpais sur le vélo en prenant la direction de la ville. Cette fois-ci le trajet me parût encore plus long. Un flot de pensées se bousculait dans ma tête. Est-ce que j’avais rêvé ? J’en doutais fortement car l’odeur du sperme, que j’avais essuyé tant bien que mal avec de la paille me collait au corps, j’avais encore le gout de son foutre chaud dans la bouche . Mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine. Qu’elle mouche m’avait piquée ? De retour à la maison je me dirigeais directement sous la douche. Le jet d’eau brûlant attaqua mon corps comme s’il souhaitait me purifier de mes actes. Je pensais à Caramel chaque fois que je fermais les yeux. Et inconsciemment, ma main rencontra mon sexe en feu.

 

Décidément, quelque chose ne tournait pas rond chez moi. Soudain, je me suis dressée sur la pointe des pieds (manquant de perdre l’équilibre) pour saisir le pommeau de douche et le placer entre mes jambes. Je fus secouée d’un nouvel orgasme presque aussitôt, criant ma jouissance comme jamais. Enfin, je m’écroulais contre le mur, chancelante. Il se faisait tard et les parents n’allaient pas tarder à rentrer du travail. Je sortais prestement de la cabine afin de rejoindre ma chambre qui se trouvait à l’autre bout du couloir. Au même moment, j’entendais la porte d’entrée se refermer.

 

– Tu as passé une bonne journée ? demanda ma mère, au rez-de-chaussée.

– Oui. Très agréable, répondis-je en enfilant des vêtements propres.

 

En réalité, je venais de vivre l’expérience la plus incroyable de toute mon existence. J’étais particulièrement heureuse. Durant le dîner, nous avons regardé une série télévisée avant de s’échanger les derniers potins. J’ai pris énormément de plaisir à relater mon après-midi en prenant soin de mettre de côté certains détails. Enfin, je quittais la table. J’ai rejoint ma chambre en moins d’une minute, fermant la porte derrière moi. Et ben, quelle journée ! Les images continuaient de défiler dans ma tête. Je revoyais le sexe de Caramel se raidir indéfiniment.

 

Je décidais d’entamer des recherches sur internet afin d’assouvir ma curiosité à propos de la zoophilie. Je me suis installée devant l’ordinateur afin de constater les premiers résultats. Il y avait des centaines de photos et de vidéos présentant des hommes et des femmes ayant des rapports sexuels avec des animaux. Durant mes investigations, je tombais sur un film mettant en scène un duo de femmes en train de s’accoupler avec un bel étalon. Une femme poussa un cri lorsque sa camarade enfonça le phallus de l’animal dans son cul. Pour ma part, je n’arrivais plus à tenir en place, frottant mes fesses contre le siège. Finalement, j’enlevais mon jean afin de poser mes jambes sur les accoudoirs, plongeant mes doigts sur mon sexe dégoulinant de cyprine. La vision de cette femme sodomisée par un cheval accentua mon désir. Je basculais la tête en arrière, la bouche grande ouverte.. Je cessais enfin de trembler, éreintée. Ma journée se résumait à combien d’orgasmes déjà ? Pas la moindre idée. Je doutais même de pouvoir m’arrêter.

 

C’est pourquoi je devais absolument me confier à quelqu’un. J’ai pris mon téléphone portable puis composa le numéro de Julie ma meilleure amie et confidente. Nous n’avions aucun secret l’une pour l’autre. Elle me comprendrait.

 

– Bonsoir, c’est Céline.

– Salut, choupinette. Comment va ? Répondit Julie sur un ton enjoué.

– Très bien. ça y est je l’ai fait !

 

Je lui ai tout raconté. Elle ne m’a pas interrompue une seule fois et s’est montrée particulièrement attentive et compréhensive..

 

– Ça te dit une sortie entre copines demain ? Me proposa-t-elle quand j’eus terminé mon récit. Et on rendra visite à Caramel, maintenant que tu l’as fait, j’ai bien envie d’essayer à mon tour.

– Hum, d’accord, j’en suis tout excitée d’avance !

 

Dix minutes plus tard, j’étais sous la couette, dormant à poings fermés.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Jeudi 7 juillet 2016 4 07 /07 /Juil /2016 06:57

Putain de contrat

par Marie-Paule Perez

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Bonjour la compagnie ! Je me prénomme Marie et j'en remercie mes parents, Que n'ais-je entendu derrière mon dos les quolibets les plus stupides : Marie-salope, Marie couche-toi-là ! Mais maintenant je n'entends plus rien, je ne travaille plus, mon époux ayant acquis une confortable situation, il se prénomme Pierre (original !) et travaille chez Zurglob-Export comme cadre commercial.

 

Description puisque c'est l'usage dans ce genre de récit : Je ne suis certes pas un top-model, mais pas non plus un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teint en blond, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne !

 

Ce soir Pierre tourne en rond, je lui parle, il ne me répond pas, il a envie de me dire quelque chose, je le connais l’animal, mais quelque chose dois le gêner.

 

- Il m’arrive un drôle de truc !

- C’est grave !

- Noooooon !

- A ben alors tout va bien ! C’est quoi ton truc bizarre alors ?

- Ben, j’ai été au restau avec Kurt Von Schtraffenberg.

- A tes souhaits !

- C'est un allemand de Frankfort Je ne sais pas comment il s’est débrouillé, mais il m’a dit que je devais avoir une femme ravissante, et patati et patata…

- Pourquoi ? C’est pas vrai ?

- Toujours est-il que je lui ai montré ta photo

- Tu parles elle doit dater de dix ans la photo de moi que t’as dans ton portefeuille... Et puis ?

- Et puis, il veut absolument qu’on l’invite chez nous avant de signer un super contrat !

- Bon d’accord, j’ai compris, c’est la corvée, alors d’accord je te le bichonne, ton client, mais tu me récompenseras, j’espère !

- Pas de problème ! Mais ce ne sera peut-être pas une corvée, il est plutôt bel homme !

- Et ben tant mieux !

 

Je pensais l’affaire empaqueté, mais non, il continuait mon ours de mari à faire le chiffonné comme s’il ne m’avait pas tout dit !

 

- Je vais t’en demander un tout petit peu plus !

- De quoi tu parles

- De Kurt Von Schtraffenberg

- Oui ?

- Je voudrais que tu t’habille sexy !

- Tu ne veux pas que je fasse la pute non plus ? Il y a des escorts pour ce genre de choses.

- Ben si justement !

 

La gifle le surprit !

 

- Je n’ai rien contre les putes, par contre les maquereaux j’ai quelque chose contre ! Je vais me coucher, bonsoir !

 

Je claquais brutalement la porte.

 

Le lendemain matin mon mari, dépité me fit des excuses, il fut alors convenu que, certes je m’habillerais sexy, mais que l’affaire n’irait pas plus loin.

 

Admettons !

 

Je m'étais donc habillée sexy. Je portais une robe noire très courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes que j'avais gainées d'une paire de bas noirs auto-fixants. Le haut, décolleté, laissait voir la naissance de mes seins et j'avais renoncé au soutien-gorge. La culotte ? Quoi la culotte ? J'ai mis ce qui me tombait sous la main, je ne vais pas lui monter ma culotte tout de même !  

 

A l'heure prévue, Kurt Von Truc est arrivé. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené un gros bouquet de fleurs ce qui fait toujours plaisir. Pour prendre l'apéritif, nous nous sommes installés au salon. L’allemand et mon mari se sont assis sur le divan. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d'eux. En m'asseyant, ma robe très courte s'est encore remontée dévoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n'a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J'ai surpris son regard et me suis mise à rougir. J'ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand résultat. J'ai quand même fait attention à garder mes jambes serrées. L'apéritif s'est déroulé normalement, mon mari faisant le service.

 

Puis nous sommes passés à table. Mon mari s'est placé en face de Kurt Machin-chose et je me suis retrouvée à côté de lui. Au début du repas, je me suis occupée du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. L'allemand faisait honneur aux plats (en s'empiffrant un peu quand même) et les conversations ont vite dévié sur des sujets plus légers. Arrivés au fromage, mon mari s'est aperçu qu'il n'y avait plus de vin et s'est levé pour aller en chercher à la cave.

 

Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s'est alors mis à me complimenter. Je le remerciais lorsque j'ai sentis sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe.

 

- Je vous en prie, arrêtez ! Et rasseyez-vous, mon mari va revenir ! M'exclamais-je totalement surprise par ce geste.

- Allons, vous êtes dellement sexy. Laichez-fous faire. J'ai envie de vous carecher. Vous chafez que vous me faites énormément d'effets ? Dit-il avec un accent impossible.

- Non arrêtez ! Enlevez votre main !

 

Mais il avait déjà glissé sa main jusqu'au-dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson.

 

A ce moment-là, un bruit dans le couloir lui a fait stopper son geste. C'était mon mari qui revenait, une bouteille à la main. Je me suis alors levée précipitamment pour aller en cuisine. Mon mari m'y a suivi, se doutant de quelque chose. Je lui racontai ce qui venait de se passer. Mais sa réaction ne fut pas celle que j'attendais. Il me dit :

 

- Ecoute, chérie, il m’avait promis d’être sage... Je ne t’obligé à rien c’était notre accord, je ne reviens pas dessus ! Mais que veux-tu que je fasse, si je le mets à la porte, je perds mon contrat, et ma carrière va en prendre un coup. Par contre si tu es compréhensive, ça ne peut que nous rapporter à tous les deux. !

 

- Tu veux que je t’en foute une comme l’autre jour !

- Je t’ai dit que je ne t’obligeais à rien !

- Et si je ne le fais pas, tu vas me faire la gueule !

- Je ne vais pas sauter de joie après l’échec d’un contrat, mais si on doit en passer par là, tant pis, tout ce qui arrive c’est de ma faute, je me suis fait manipuler par ce type, il suffisait que je dise que je n’avais pas de photos de toi ou que tu étais devenu obèse ! Bon il faut prendre une décision Marie !

- Tu le vires !

 

Je suis sûre qu'il n'attendait pas une réponse si définitive. S'il le vire il perd son contrat de façon quasi certaine, il m'en voudra et il nous faudra gérer la suite. S'il ne le vire pas, ils vont se retrouver tous les deux en tête à tête, (moi je serais partie dans la chambre) l'allemand sera de mauvais poil et ne sera pas en bonne disposition pour signer le contrat, de plus on aura droit à une grave crise conjugale dont on ne ressortira pas intacts.

 

- Je peux peut-être lui demander de te laisser tranquille…

- Je n'ai pas l'impression que c'est-ce qu'il attend…

- Alors ?

- Alors tu le vires !

 

Pierre réfléchit à toute vitesse, il choisit la solution du moindre mal, pouvait-il faire autrement ?

 

- Bon d’accord je le vire !

 

Je reste dans le couloir, curieuse de voir comment les choses vont se passer !

 

- Monsieur Von Schtraffenberg, je crois que nous allons en rester-là, je vais vous demander de bien vouloir quitter les lieux. Cette invitation était un malentendu.

- Was ? Warum ? (Quoi ? Pourquoi ?)

- Vous le savez bien, foutez-moi le camp ! Kommen Sie heraus ! Schnel l! (Sortez ! Vite !)

 

L’allemand se lève, regarde autour de lui, se demande ce qu’il se passe, s’essuie la bouche avec sa serviette, enfile sa veste, et s’en va dans le coin de la pièce, récupérer sa sacoche ! C’est alors que ce produisit dans ma tête une sorte d'éclair, et alors qu’un instant plus tôt je m’amusais de la mine déconfite de notre invité, j’apparu dans la salle à manger avec un grand éclat de rire.

 

- Mais restez donc, Monsieur Von, enfin Monsieur Kurt ! c’est une blague, mon mari voulait vous faire une blague.

 

L’autre qui me regarde, de plus en plus dépassé par les événements.

 

- C’est une blague française, c’est très spécial, mais tout va bien, rasseyez vous

- Che ne gombrend pas !

- Ce n'est pas grave, tout va bien, qu'on vous dit.

 

L'allemand repose sa mallette, mais reste dubitatif.

 

- Ça va, Marie ? Demande Pierre un peu inquiet !

- Bien sûr que tout va bien !

 

On s'est tous remis à table, pour finir le fromage et boire un peu de vin, mais une certaine tension était perceptible.

 

Il me fallait prendre une initiative :

 

 - Venez au salon, on prendra le dessert sur la petite table.

 

On s'installe et je propose qu'on fasse une petite pause. Je tamise alors légèrement la lumière et passe une musique douce. Puis j’invitais carrément Kurt pour un slow.

 

- On peut flirter un tout petit peu, mon mari ne dira rien.

 

Il me tenait serrée contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remontèrent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en dessous. Je le laissais faire et sentais son désir grossir contre moi. Je tournais le dos à mon mari mais je suis sûre qu'il ne perdait rien du spectacle et devait apprécier de voir ma robe retroussée.

 

L'allemand me serra contre lui et plaça ses mains sur mes fesses. Je murmurai un "non" timide mais il commença à me peloter les fesses. Ses mains parcouraient le haut de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pouvais pas l'empêcher.

 

- On peut flirter plus ? Demanda-t-il.

- Faites comme chez vous !

 

Alors il se mit à me peloter les seins. En même temps il me murmurait qu'il avait très envie de moi, qu'il bandait comme jamais. D'un coup il fit glisser les bretelles de ma robe et me dénuda la poitrine.

 

Il se pencha vers moi et se mit à me lécher les bouts. Ceux-ci étaient déjà durs car j'étais excitée par la situation. Puis il se redressa et dégrafa son pantalon, le baissa avec son slip et je vis surgir sa queue tendue au maximum.

 

- Che peux fous baiser ?

- Baisez-moi, cher monsieur, baisez-moi.

 

Me poussant vers un fauteuil, il me fit me courber contre le dossier et releva ma robe sur mes reins. Il baissa brutalement mon slip et je sentis sa queue se frotter contre mes fesses. Puis, d'un coup sec, il me pénétra.

 

- Halt Kapott ! Criais-je en imitant l'accent allemand

 

Je me marre parce que des capotes on n'en a pas à la maison !

 

- Wo, Kondom ? (des capotes, où ça ?).

 

Et à ce moment-là devant mes yeux étonnés, je vois Pierre prendre une boite de préservatifs sur une planche de la bibliothèque. Il avait tout prévu ce salaud ! Il va m'entendre tout à l'heure !

 

Le teuton se capuchonne et revient vers moi ! Cette fois j'y ai droit, je m'offre.

 

Ses mouvements sont puissants et je le sens me labourer profondément. Pas repoussant l’allemand, non, mais un peu bourrin quand même.

 

Il trouve le moyen d'interpeller mon mari.

 

- Brofitez du spectacle ! Pranlez-fous la bite !

 

Je pensais que Pierre accepterait uniquement pour lui faire plaisir, mais quand il sortit sa queue, elle était déjà bien bandée. Quel cochon !

 

- T'as une cholie queue ! constata l'allemand, je la chusserais bien !

 

La tronche de mon mari !

 

- Allez-y, il adore ça ! L'encourageais-je.

 

Mon mari est coincé, il est blanc comme un linge, se demande comment réagir.

 

- C'est pas trop mon truc, mais si ça vous fait plai.. plai… plaisir… finit-il par bafouiller

- Ne l'écoutez pas, il adore ça, je vous dis.

 

L'instant d'après la bite de mon époux allait et venait dans la bouche de l'allemand.

 

- C'est bon ce qu'il te fait ? Demandais-je pour le provoquer.

 

Il ne me répond pas, se contentant d'afficher un sourire idiot. Mais il n'a pas l'air d'être traumatisé.

 

- Faut chafoir s'amucher ! Déclare l'allemand en interrompant sa fellation. Fous n'auriez pas un petit verre, j'ai beaucoup choif ?

 

Je retourne dans la salle à manger chercher à boire. Il avale son verre de Chevrey-Chambertin comme c'était de la limonade.

 

- Elle est bonne sa bite, vous ne devez pas vous ennuyer tous les deux ! Déclare-t-il en bavant.

 

Il va faire quoi maintenant ? J'espère qu'il va reprendre sa fellation et m'oublier un peu.

 

Ben non !

 

- Che peux t'enculer ?

 

Ça ressemble à une question mais il s'avance vers moi comme s'il était certain de ma réponse. Je ne peux pas faire autrement que d'assumer ce que j'ai déclenché, mais inutile de faire ça dans la précipitation, j'ai bien le droit de prendre mes aises.

 

- Une chegonde !

- Hein ? Dit-il

- Ne faites pas attention, j'essaie de prendre votre accent.

- Ach, encore humour fransouze.

- C'est ça, oui !

 

Je me débarrasse de ma robe et de ma culotte et me positionne en levrette sur la moquette, le visage tourné vers Pierre afin que je puisse bien le narguer… et allons-y la jeunesse !

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Kurt après avoir retiré son pantalon et son caleçon me pilonne le trou du cul en débitant des choses dans sa langue natale, je n'y comprends rien mais à mon avis ce ni du Goethe ni du Schiller !

 

J'ai connu des sodomies plus subtiles, mais je parviens néanmoins à y trouver quelque plaisir.

 

Pierre est là devant moi, la queue demi-molle, la mine aussi réjouie que celle de Droopy.

 

- Ben branle-toi, reste pas comme ça !

 

Les allers et retours de notre invité teuton durèrent bien dix minutes aux termes desquelles, il finit par jouir en soupirant.

 

Il se retire.

 

- Merci, cha fait du bien ! Fous j'êtes charmante.

- Ce fut un plaisir ! Répondis-je poliment en me relevant.

 

Kurt se sert à boire, je tente de récupérer ma culotte, mais il veut absolument la garder en souvenir. Si ça peut lui faire plaisir, je ne suis pas à une culotte près !

 

- Che foudrais picher !

- Pardon ?

 

Il mime l'action de faire pipi, là je comprends mieux.

 

- Au fond du couloir à droite…

- Fous pouvez me la denir, ché rigolo !

 

Effectivement, c'est d'un comique irrésistible.

 

On arrive devant la toilette, je lui tiens la bite.

 

- Baichez-fous c'est mieux !

- Que je me baisse ?

- Ché plus rigolo !

 

S'il le dit !

 

Sa bite est à présent à quelques centimètres de mon visage. Je ne comprends pas les détails mais en gros, il cherche à s'exciter pour remettre le couvert.

 

Je me fais une raison, on baisera une seconde fois et après ce sera fini, tout à une fin.

 

Pour lui montrer ma bonne volonté, je me passe la langue sur les lèvres, puis un doigt que je mouille avant de le porter à sa bite.

 

Je m'apprête à le prendre en bouche, mais il comprend tout de travers.

 

- Ach ! Fous aimez les cheux humides, alors ?

- Pardon ?

- Les golden showers.

 

Voilà qu'il parle anglais à présent ! Mais je ne suis pas plus avancé. Je finis par comprendre quand je le vois en train se préparer à pisser en visant non pas la cuvette, mais mon visage. J'ai déjà joué à ce genre de choses deux ou trois fois sans que cela m'offusque. Alors soyons fou. J'ouvre une large bouche et avale le pipi du monsieur.

 

Evidemment je m'en fous partout. Pas bien grave, j'avais l'intention de prendre une douche, une vraie.

 

Quand il eut fini, il m'invita à prendre sa bite en bouche que je suçais quelques instants afin de lui redonner une vigueur optimale.

 

- On va retrouver fotre mari ! Me proposa-t-il

- Je crains que ce ne soit pas une bonne idée…

- Mais chi !

 

On revient, Pierre a remis de l'ordre dans sa tenue et fume un petit cigare en sirotant un verre de vin.

 

- Je lui fais une petite pipe et on passe au dessert ! Annonçais-je.

 

L'allemand s'affale dans un fauteuil et je viens entre ses cuisses.

 

- Tu me chuche en même temps qu'elle ? Propose l'allemand à Pierre.

 

Oh, la la ! Ça se complique !

 

- Cela aurait été avec plaisir, mais j'ai une gingivite, c'est contagieux !

- Ach ! Che comprend !

 

Ouf !

 

- Tu feux que je te chuce pendant qu'elle me chuche.

 

Là, c'est plus facile à gérer.

 

- Bonne idée, viens Pierre !

- Je suis un peu fatigué…

- Mais non ! Ché la fête ! Objecte l'allemand.

- Après le gâteau.

- Après le gâteau, tu fas m'enculer avec ta belle bite !

 

Il est sérieux ou pas ?

 

Je fais signe à Pierre qu'il vaut mieux qu'il vienne maintenant afin de calmer ses ardeurs. Il me semble en effet que quand il aura joui deux fois, il nous foutera la paix.

 

Pierre se lève, retire son pantalon et son caleçon !

 

Etait-ce bien nécessaire ?

 

Il vient à la hauteur du visage de Kurt Von Machichose et se fait sucer.

 

- Quand elle sera bien raide, je te la fouterais dans le cul ! Lui-dit-il

- Jawohl !.

 

J'ai alors usé de tout mon savoir-faire, pour faire décharger l'allemand dans ma bouche.

 

- On rebrendra tout à l'heure ! Propose-t-il.

 

On reste tous à moitié à poil pour manger le gâteau. Je m'arrange pour que l'allemand ait constamment à boire. Puis j'ai servi le café, le pousse café, les cigares. Le temps a passé et manifestement la libido de notre teuton est descendue à la cave.

 

Il nous informe qu'il faut qu'il rentre à son hôtel, parce qu'il commence à avoir sommeil, et donne rendez-vous le lendemain à Pierre pour signer les contrats à 11 h 30 dans les salons de l'hôtel Galata.

 

- Nous irons au rechtaurant après, Madame est infitée auchi, nadurellment.

- Cela aurait été avec plaisir, mais demain je ne pourrais pas me dégager de mes obligations professionnelles

- Ah ! Tommage !

 

Une fois l'olibrius parti, je demandais à Pierre s'il aurait vraiment été jusqu’au bout.

 

- Avec ce qu'il y a à la clé, ça aide à se débarrasser de ses préjugés, je n'en serais pas mort, et de toute façon il ne faut pas mourir idiot… et toi ce brusque changement d'attitude, tu m'expliques

- Moi aussi j'ai compris ce qu'il y avait au bout.

- On des putes !

- Et toi en plus t'es un pédé !

- Et on n'a même pas honte !

- Pourquoi avoir honte, on a fait du mal à qui ?

- J'avais mis du champagne au frais, on ne l'a même pas débouchée, on le fait ?

 

On a trinqué, Pierre m'a pris dans ses bras et nous nous sommes embrassés tendrement. Quand je pense que tout à l'heure, je projetais de lui faire la gueule…

 

Le contrat a permis à mon mari d’avoir une grosse promotion, on a changé de voiture et on va déménager. Pierre m’a offert un manteau en fourrure et une croisière autour du monde ! J’aurais été idiote de refuser tout cela, et ça n’a même pas été une corvée

 

Le sexe n’est que le sexe, et si certains lui donne une importance démesurée, et bien j’ai appris ce soir-là qu’en en banalisant le rôle on pouvait en tirer des avantages et sans faire de mal qui que ce soit ! Drôle de morale diront d’aucuns, mais l’exclusivité sexuelle participe- t-elle à la morale ?

 

Et sur ce sujet de méditation philosophique, je vous remercie de votre attention

 

 

Marie-Paule Perez - juillet 2016 

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 24 avril 2011 7 24 /04 /Avr /2011 18:33

2 - En rentrant de l'Opéra

 

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Résumé du chapitre précédant : Ma voisine du dessous m'ayant fait garder son chien, les circonstances on fait que l'affaire a tournée en zoophilie. Bien évidemment, la voisine n'en a rien su et a tenu me remercier en m'offrant une place à l'Opéra.

 

On a donc été ensemble à l'Opéra, il n'a pas été difficile à mes voisins de deviner que j'adorais ça, je mets parfois mon ampli un peu fort. Je n'étais jamais allé à Garnier et j'en suis sortie enchantée. Serge et Carole eux étaient beaucoup plus nuancés, critiquant la mise en scène, la voix du ténor et d'autres choses encore... Je me doutais bien que cette invitation n'était pas tout à fait innocente mais ignorais bien sûr quel était dans ce cas, leur plan. Pour parer à toute éventualité, je m'étais donc habillée en robe ce qui chez moi reste exceptionnel, une petite robe noire un peu décolletée et laissant les épaules libres, mais ni pendant le spectacle ni pendant le retour en métro, mes voisins ne manifestèrent de velléités de drague. Je finis par me dire que je m'étais peut-être fait des idées, car ce n'est qu'au pied de l'escalier de notre immeuble que Serge me proposa de venir boire un verre chez eux.

 

Allons-y !

 

Chez eux, le chien m'accueillit avec un enthousiasme assez gênant en me suivant jusqu'aux toilettes, puis en m'attendant derrière la porte. Il me sauta sur les cuisses, me renifla l'entre jambe. Un vrai casse-pieds !

 

- Ce chien devient collant, en plus il est tout le temps en rut ! Déclara Serge.

- Que veux-tu, il est comme son maitre ! Répliqua Carole

- Pour qui vas-tu me faire passer ? Répondit l'homme faussement offusqué.

- Pour ce que tu es, mon chéri, mais je n'ai pas dit que je m'en plaignais.

 

Ah ! Les gros sabots de ces messieurs dames ! Il me paraissait évident que ce petit échange m'était destiné, le message étant "on est coquin, alors si ça vous intéresse…". Je ne relance pas, Carole est une femme agréable, mais son mari ne m'attire pas plus que ça.

 

- Souhaitez-vous qu'on enferme Dilos ? demande Carole.

 

Je suppose que Dilos, c'est le nom du chien.

 

- Oh, non, il ne me dérange pas du tout ! M'écriais-je.

- Merci, mais dites-moi, quelle enthousiasme !

 

Je rougis comme une tomate.

 

- Oui, on s'est bien amusé la dernière fois, le garder n'a pas été une corvée.

- Il est parfois très collant, des fois ça en est gênant ! Reprend Carole.

 

Je ne sais pas quoi répondre, je ne réponds pas.

 

- Quand je pense, relance-t-elle, qu'il a été jusqu'à vous voler des culottes dans votre bac à linge, c'est bien ça !

- Ben oui ! Mentis-je.

 

Voilà une réponse qui me libère, mais bon je me fais tout le temps des idées, comment auraient-ils pu deviner ce que j'avais fait avec le chien ?

 

Sauf que voilà que je m'excite à repenser à ce que j'avais fait. Et justement Dilos qui doit lire dans mes pensées se ramène et me fout son mufle entre les cuisses.

 

- Mais, arrête, arrête !

 

Sa maîtresse le rappelle sèchement.

 

- Dilos, couché ! Ça lui arrive de temps en temps, vous allez peut-être me trouver bizarre, mais ce n'est pas forcement désagréable.

 

Cette fois je suis rouge comme un nez de clown. J'ai deux solutions, ou bien ignorer la réplique, ou alors entrer dans son jeu. Je respire un grand coup.

 

- C'est vrai que ce n'est pas forcement désagréable ! Répétais-je bêtement.

 

Je regrettais immédiatement ma répartie. Et s'il s'agissait d'un piège pour m'humilier ?

 

- Il vous l'a fait quand vous l'avez gardé ?

 

Cette fois je n'ose répondre, mais Carole a compris mon embarras.

 

- Je ne cherche pas à vous mettre en difficulté, nous sommes sur ces sujets, très décontractés. Tenez regardez, je vais vous montrer.

 

Et là devant mes yeux effarés, je vois Carole qui se lève et qui baisse son pantalon. Elle appelle alors son chien qui accoure et se met à lui lécher la culotte. Je ne sais plus où me foutre.

 

- Bon, ça va maintenant, Dilos.

 

Elle referme ses cuisses, le chien se recule semble perdu, me regarde, j'ouvre mes cuisses, le chien hésite.

 

- Appelez-le ! me propose Carole.

 

Je le fais, le clébard est entre mes cuisses et cette fois, je me laisse lécher. Mais le chien se lasse et retourne sur le tapis.

 

- Hummm, Fabienne, ce petit spectacle m'a terriblement excité ! Me dit Serge en se tripotant la braguette.

 

Moi aussi je suis excitée, Serge est en train de lancer un ballon d'essai pour lancer la partouze. Je peux l'ignorer, mais c'est au chien que je pense, la dernière fois je n'avais pas réussi à me faire pénétrer, ici si toutefois ils vont jusque-là ça ne devrait pas poser de problème. Et puis bon, je n'ai pas sucé beaucoup de bites dans ma vie, (que voulez-vous je préfère les chattes) mais ça n'a jamais été une corvée.

 

Alors, je n'hésite plus, je pose ma main sur la braguette du bonhomme. Je palpe la marchandise qui grossit encore. Carole se lève, passe derrière moi et commence à me caresser les épaules. Elle veut me faire glisser la fermeture éclair de ma robe. Allons-y, je me positionne pour l'aider, je me lève, la robe tombe à terre, je me rassois mais sans m'adosser de façon à ce que Carole puisse si elle le désire me retirer mon soutien-gorge, ce qu'elle ne tarde pas à faire tandis que j'extrais la bite de Serge.

 

Elle n'est pas mal, cette bite, et le gland est joli, je donne un petit coup de langue coquine, puis un autre, Monsieur est enchanté. Une idée saugrenue me traverse alors l'esprit, je pense à la suite. Je vais devenir définitivement pour ce couple "la salope du dessous". Il faudra peut-être que je trouve le moyen de prendre mes distances, mais bon pour l'instant ma petite langue continue de faire joujou avec la bibite de Serge, tandis que Carole après m'avoir empaumés mes seins se met à me titiller les tétons.

 

J'ai soudain envie de me farcir la Carole, de la prendre dans mes bras, de la cajoler, de la peloter, de la lécher partout… mais bon je ne suis pas un poulpe, je n'ai que deux mains et qu'une bouche et cesser de m'occuper du sexe de monsieur serait considéré comme une impolitesse.

 

Je choisis donc d'engloutir la bite de Serge, elle sent la pisse, mais ce n'est pas pour me déplaire. Je choisis d'être provocatrice et je lui dis :

 

- Cher, monsieur, votre queue a un petit arrière-goût de pipi que je trouve bien agréable !

- Coquine ! Répond-il. Tu aimes le pipi !

 

Tiens il m'a tutoyé !

 

- J'adore !

 

Voilà un aveu qui n'était pas tombé dans l'oreille de sourds, mais n'anticipons point.

 

Je continue à le pomper. Cela ne me déplairait pas de le faire jouir ainsi car à vrai dire je n'ai pas trop envie de me faire baiser. Mais c'est lui qui met fin à ma fellation. Zut alors, il va donc falloir que je passe à la casserole.

 

- Viens t'occuper de moi ? Me propose Carole.

 

Voilà une partie de programme qui me convient bien, nous nous approchons l'une de l'autre, nos visages se touchent, nos lèvres se rencontrent, nos bouches s'ouvrent, nos langues batifolent. Le baiser est long, chaud, et d'une portée érotique inouïe, des frissons de plaisirs me pénètrent, et ma culotte se mouille de nouveau.

 

Je la déshabille n'importe comment à la sauvage, elle a de beaux seins un peu lourds avec de larges aréoles. Je suce tout ça avec avidité. Mais ce n'est pas possible, je suis trop excitée, il va falloir que je jouisse. L'idéal serait qu'on se mette en 69. Mais elle est plus rapide que moi.

 

- Si on allait dans la chambre !

 

On y va, on finit de se déshabiller et nous voici tous les trois sur le lit. Je tiens à mon 69 et je grimpe sur Carole lui offrant ma chatte tandis que je commence à butiner la sienne. Serge a pris son parti d'attendre son tour et me tripote négligemment les fesses.

 

Ah ! La chatte de Carole ! Quel régal ! Elle mouille, mais elle mouille. Je me marre parce que dans sa précipitation, elle a oublié de mettre une serviette sur le lit, il va donc leur falloir changer tous les draps avant d'aller se coucher !

 

Sa mouille a un goût légèrement sucré, un peu comme du miel. Mon plaisir monte, je me raidis, me doigts se referment sur les draps comme les pattes d'un chat sur une pelote de laine. Ça vient, ça vient, ça y est, je ne me contrôle plus, je hurle, je reste un moment à demi inconsciente, puis j'attaque le clitoris de Carole, tandis que le doigt de Serge entre dans mon trou du cul. Faut surtout pas qu'il se gêne celui-ci, ce n'est pas marqué entrée libre. Mais bon, je me laisse faire, ce n'est pas désagréable. Carole ne tarde pas à jouir elle aussi, mais de façon moins démonstrative que moi.

 

Serge est donc le seul à ne pas avoir joui, et il me paraît évident que c'est à moi et non à sa femme qu'incombera cette tâche. Il s'approche d'ailleurs de moi et m'embrasse goulument, je me laisse faire. Mon plan c'est de tenter de plonger vers sa bite et de le sucer à fond afin d'éviter la pénétration. Mais les choses ne se passent pas comme ça. Carole le branle un peu pour assurer son érection puis lui passe un préservatif. Je suis à quatre pattes dans le lit. Il ne me demande pas de m'allonger, mais passe derrière moi :

 

- Je peux ?

 

Monsieur a de la classe, il n'aurait plus manqué qu'il le fasse sans demander, ça ne va pas la tête ?

 

- J'aurais préféré vous sucer à fond ! Répondis-je. (Je n'arrive pas à le tutoyer)

- Alors juste un peu, et tu me finiras avec ta bouche.

 

Monsieur est un habile négociateur. Je me laisse donc faire, mais reste en levrette. Ça y est, j'ai son gros machin dans la chatte, et allons-y que j'avance et que je recule, ce n'est pas désagréable mais que voulez-vous je suis une incorrigible clitoridienne. Je ne simule pas, je ne l'ai jamais fait, je ne vois pas pourquoi je le ferais aujourd'hui.

 

Il n'est d'ailleurs pas dupe, et finit par se retirer, je pensais être tranquille, mais le voilà qui me pelote les fesses, les écarte, avance un doigt vers l'anus.

 

- Humm, que c'est mignon par-là !

- Ben, oui, il ne lui manque que la parole !

- Je crois que je vais lui faire un bisou

 

Ce n'est pas vraiment un bisou, en fait il me lèche le cul. Je me laisse faire, me demandant quand même si la dernière fois que je me suis soulagé, je me suis essuyé à fond, mais lui ne se pose pas de question, il lèche, et continue de lécher. Et le voilà qu'il ose de nouveau un doigt.

 

Je ne suis pas folle, j'ai deux solutions, l'une étant de changer immédiatement de position afin de lui faire cesser ses fantaisies, puis de reprendre (éventuellement) ma fellation. L'autre solution c'est de me laisser faire, et pour l'instant c'est ce que je fais, en fait la situation m'excite, je me demande s'il a envie de m'enculer, je me demande comment il va me le demander, je me demande comment je vais lui répondre.

 

Son doigt s'active à présent en de secs va-et-vient.

 

- Tu aimes ?

- Vous aimeriez bien y mettre autre chose, non ?

- Pas sans ta permission.

- Alors vas-y encule-moi ! Encule-moi bien devant ta femme, allez vas-y !

 

Il ne s'attendait manifestement pas à ce que je l'encourage en ces termes, mais du coup il n'hésite pas, et après avoir pris les précautions d'usage le voilà qui me sodomise.

 

Je me garde bien de lui dire que c'est la première fois. Oh, certes, mon cul n'est pas si vierge que ça, des godes je me m'en suis enfilée pas mal, sois seule soit avec une amie, mais c'est néanmoins la première fois qu'une bite vient y faire de la visite.

 

Serge essaie de se contrôler, mais l'excitation est trop forte, il s'agite comme un damné, commence à me faire mal, puis se retire. Il n'a pas jouit dans mon cul, il le fait maintenant en se branlant sur mon anus ouvert.

 

Je m'apprête à changer de position, mais Carole intervient :

 

- Bouge pas, je vais te nettoyer.

 

Mais voilà qu'on gratte à la porte.

 

- Ouvre-lui ! Demande Carole à son mari.

 

Et voilà Dilos le chien libidineux qui saute sur le lit et qui sans hésiter une seconde vient lécher le sperme que Serge a répandu sur mon cul.

 

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Une fois ce nettoyage insolite terminé, Carole couche le chien sur le côté et commence à donner de grands coups de langues sur sa bite, elle me fait signe de la rejoindre et je ne me fais pas prier, nous voici donc en train de pratiquer une double fellation à ce labrador.

 

- Tu voudrais qu'il te prenne ? Me demande-t-elle

- J'aimerais bien essayer, oui !

- Serge, tu veux bien aller chercher des chaussettes.

 

Des chaussettes ? Pourquoi faire, des chaussettes ?

 

Quand il revient, Carole enfile une chaussette à chaque patte du chien.

 

- C'est pour éviter qu'il te griffe !

 

Oui, bon, ben ça va, j'avais compris !

 

On me fait mettre en levrette, j'attends. Derrière ces messieurs dames s'activent à motiver la bestiole… et tout d'un coup j'ai ses pattes sur les épaules tandis que sa bite me pénètre et s'active à qui mieux mieux.

 

Drôle d'impression : physiquement parlant c'est du grand n'importe quoi, un gode ferait mieux… En fait c'est psychologiquement que c'est excitant, je suis là en train de me faire prendre comme une chienne par un chien.

 

Et puis tout d'un coup ça se termine, le clébard s'en va à l'autre bout de la chambre et s'enroule pour s'endormir. Ben oui, ce n'est qu'un chien ! Qu'auriez-vous voulu qu'il fasse, qu'il me prenne dans ses pattes et qu'il m'offre une cigarette ?

 

Je regarde autour de moi. Petit moment de flottement.

 

- Et bien quelle fin de soirée ! S'exclame Carole, histoire de dire quelque chose.

- Oui, on s'en souviendra ! Je vais vous laisser, je vais monter me coucher, répondis-je.

- D'accord, dis Carole, je voulais te faire goûter ma pisse, mais ce sera pour une autre fois.

- A moins que tu ais une petite envie, là tout de suite, rétorquais-je.

- J'ai même une grosse envie !

- Alors viens dans la salle de bain, tu viens aussi, Serge ?

 

On y va, on y va.

 

- Voilà, baisse-toi, on va te faire un super arrosage !

 

Je m'accroupis, j'attends, c'est Carole qui m'envoie son jet la première sur le corps, j'en reçois partout sur les seins, sur le ventre, j'ouvre la bouche.

 

- Mais c'est qu'elle veut en boire, cette cochonne, tiens bois, ma salope, bois ma bonne pisse !

 

Et voilà que Serge se met à son tour à pisser, le goût est légèrement différent, plus musqué. J'en avale une bonne rasade, j'en recrache une partie. Les jets se sont taris.

 

- Tu me fais un petit nettoyage ? Me propose Serge.

 

J'en étais sûr de celle-là ! Je ne vais pas lui dire non, d'autant que cette séance de pissette a réactivé mon excitation, j'embouche le dard de monsieur et le pourlèche en de larges coups de langue. Le Serge ne tarde pas à rebander de fort belle façon.

 

Bander c'est bien, mais jouir ce n'est pas mal non plus, et manifestement monsieur se bloque. Il interrompt ma fellation afin de se branler frénétiquement, le regard fixé sur ma poitrine pleine de pisse. Des gouttes se sperme ne tardent pas à atterrir sur mes nénés. Je n'attends pas qu'il me demande un nouveau nettoyage, je prends les devants et avale les dernières gouttes de sperme trainant sur sa bite.

 

Ouf ! Je suppose qu'il va falloir que je nettoie madame à présent. Ce ne sera pas une corvée.

 

Mais Madame a un autre plan :

 

- T'as pas une petite envie de pipi, toi ?

- J'sais pas, j'ai fait tout à l'heure, mais je veux bien essayer.

 

C'est que pisser devant quelqu'un n'a rien d'évident, je n'ai jamais fait ça, moi ! Carole fait couler l'eau du robinet du lavabo pour "m'aider". Je ferme les yeux je me concentre.

 

- Viens !

 

Elle se colle à ma chatte, je lui fais quelques gouttes dans la bouche, manifestement, elle est contente avec ça, se relève et m'embrasse. Voilà un bisou baveux avec plein d'arrière-goût divers et variés, et je suis de plus en plus excitée.

 

Trou de mémoire

 

Je ne me souviens plus comment on s'est retrouvées sur le tapis de bain, toutes les deux, en soixante-neuf, nous léchant comme des forcenées. Je me souviens du goût de sa mouille dégoulinante, je me souviens de l'odeur de son cul, je me souviens n'avoir jamais joui comme j'ai jouis cette fois-ci.

 

J'ai soif, j'ai faim, j'ai sommeil, j'ai envie de prendre une douche. Je fais ça dans quel ordre ?

 

- Tu veux grignoter quelque chose avec nous ?

- Ben, oui, je veux bien !

 

Ces messieurs dames ont passé un peignoir, moi je me suis rhabillée, le grignotage a été fort sage et après quelques échanges de peu d'intérêt, Carole prit la parole

 

- Serge est muté à Bordeaux, on va visiter l'appartement de fonction et remplir quelques formalités ce prochain week-end. Donc sauf imprévu de dernière minute nous déménagerons dans le courant de la semaine prochaine.

 

Etonnant qu'alors la traduction dans mon esprit, ne fut qu'un moment de contrariété en pensant que je ne reverrais probablement jamais plus Dilos.

 

Fin

 

24/04/2011

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

 

Le première partie de ce texte écrite en 2004 a eu l'honneur d'être désigné comme premier prix du meilleur récit extrême pour l'année en question

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 24 avril 2011 7 24 /04 /Avr /2011 18:00

Labrador

Fantasmes de femmes - Fantasmes interdits

par Marie-Paule Perez

 

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Je m’appelle Fabienne, je suis brune et j’ai 28 ans, je suis célibataire et vit seule dans un petit studio dans un immeuble ancien dans un quartier assez bourgeois. Je suis traductrice dans une maison d’édition. Je suis d’origine portugaise et si je trouve débile les blagues qui sont faites sur mes compatriotes de naissance, il n’en reste pas moins vrai que je suis dotée d’une pilosité supérieure à la moyenne de l’esthétiquement correcte, ce qui m’a valu durant ma scolarité quelques vexations de la part de mes camarades qui m’ont marquées à vie. Bien sûr, je me suis vite mise aux manches longues et aux pantalons, n'empêche que les heures de sports étaient pour moi un véritable enfer !

 

C’est ainsi que je me suis écarté très vite de la gent masculine dont l’imbécillité à l’âge de l’adolescence me paraît encore aujourd’hui effarante. Corollairement je me suis rapprochée des filles, puisqu’au moins l’une d’entre elles savait me consoler quand certains allaient trop loin. Et par effet de spirale cela renforça encore mon isolement, non contente de m’entendre reprocher à longueur de journée mes poils et mon origine, voilà maintenant qu’on m’attachait le qualificatif de gouine.

 

Il a fallu que je lutte pour redevenir bien dans ma peau, je me suis aperçu que des poilues il y en avait d’autres et que cela n’avait pas empêché certaines de faire du cinéma (Alyssa Milano, Christina Applegate, Sarah Michele Gellar...) que les surabondances pubiennes pouvaient s'enlever facilement, mais aussi que certains hommes aimaient ça ! Mais le mal est fait, je ne suis vraiment pas pressée de trouver l’âme sœur, l’idée de vivre avec un mec me paraît d’une incongruité totale, quant aux femmes, si je n'ai rien contre, il faut bien admettre qu'il n’y a que dans les films ou dans les récits érotiques que l’on trouve des lesbiennes ou des femmes bisexuelles qui ressemblent à "madame tout le monde" à chaque coin de rue ! Je ne refuse pas les occasions, mais ne me lie pas. Cela dit j’aime le sexe, mais me suffit la plupart du temps à moi-même.

 

L’histoire peut à présent commencer

 

Nous sommes au mois de Juin, un samedi en milieu d’après-midi. Il fait chaud et je suis nue, j’adore être nue.

 

Je n’ai pas de projet pour le week-end, j’ai envie ce soir de me faire un grand plat de nouilles, et après je me "ferais" un opéra, je me suis équipée en home cinéma et j’adore le soir me passer une œuvre lyrique dont je suis l’unique spectatrice. Voici une activité qui a le don d’élimer toute la dose de stress accumulée au cours de la semaine...

 

...mais pour l’instant je termine le ménage, j’ai hâte de finir, car cette activité me gonfle, mais je ne la néglige pas ! Une envie de pipi commence à me tenailler depuis tout à l’heure, je fais avec, il y a un certain plaisir masochiste à se retenir jusqu’à ce que la chose devienne impossible.

 

"- Encore cinq minutes !"

 

N'empêche que je commence à serrer les cuisses. Je décide alors de jouer à l'un de mes petits délires favoris, je vais chercher une petite culotte et je l'enfile... Puis je finis de passer l'aspirateur...

 

Ouf, le ménage est presque fini, il me restera la salle de bain à ranger, mais je ferais ça après ma douche, mais pour l'instant il faut que je gère mon envie de pipi qui devient intenable, je me lâche alors, mais juste quelques gouttes, puis j'arrête ! Résultat, le devant de ma culotte devient trempé et de l'urine me coule sur les cuisses, j'adore ça ! Je suis une petite cochonne et j'adore me sentir cochonne ! J'ai envie de me passer un peu de musique, un peu de jazz cet après-midi serait très bien, je vais chercher une serviette éponge et m'assois dessus dans un bon fauteuil bien moelleux. Pas longtemps, il faut que je pisse encore, je me relève et refais le même manège, cette fois ma culotte est trempée, et la pisse coule jusqu'au sol ! Pas bien grave, c'est du carrelage, je vais chercher de quoi éponger. D'habitude j'arrive mieux à contrôler mes petits pipis, j'ai peut-être trop attendu ! Mouillée pour mouillée je décide alors de finir tout ça dans l'endroit approprié, je vais donc m'asseoir sur la cuvette, mais en gardant ma culotte ! J'adore pisser dans ma culotte ! L'effet de l'urine chaude sur mon corps a le don de m'exciter, et déjà je sens que je vais me farcir une bonne petite branlette, bien comme il faut !

 

Pour l'instant j'attends que la culotte ne s'égoutte plus avant de me lever du siège, j'en profite pour me caresser les bouts des seins, qui sont, les coquins, déjà dressés comme des petites bites... Bon ça y est, ça ne goutte plus, je me relève, je décide de rester un moment avec ma culotte mouillée, après on improvisera. Vive les petits bonheurs simples !

 

- Dring !

 

Ça c'est la sonnette de la porte ! A cette heure-ci, ça ne peut être qu'un emmerdeur ! J'enfile une robe de chambre et je vais ouvrir !

 

C'est Madame R, la bourgeoise du dessous, une grande blonde avec les cheveux ramassés sur la tête, joli visage et beau sourire mais peu communicative, jusqu'à présent nos échanges n'ont pas été plus loin que des "bonjour bonsoir" Elle m'a l'air angoissée ! Qu'est-ce qu'elle me veut ? Peut-être me reprocher de passer mes opéras trop forts ?

 

- Je suis désolée de vous déranger, mais il n'y a personne dans la maison cet après-midi, et je cherche quelqu'un pour me rendre service !

- Oui, quel genre de service ?

- Ben voilà, avec mon mari on est obligé de partir précipitamment, là tout de suite, en province pour régler une affaire de famille, je pense qu'on sera revenu demain en fin de matinée. Heu, vous restez chez vous ce week-end ?

- Je n'ai rien de prévu, mais...

- C'est à cause de mon chien, on ne peut pas l'emmener.

 

A ben voilà autre chose, elle me demande de garder son clébard ! J'aime pas trop les chiens, mais il est vrai que le sien n'a rien d'une bête féroce, mais bon... vite trouver un prétexte.

 

- Ça aurait été avec plaisir, mais c'est que j'ai un chat...

- Oh, vous savez, il adore les chats, il ne leur fait jamais de mal. Je peux peut-être le monter pour voir... Vous êtes la seule personne à qui je peux demander, sinon il va falloir que je retarde notre départ... et bon je ne vais pas vous raconter ma vie, mais...

- Bon, allez le chercher, on va voir !

 

J'ai toujours été bonne poire ! Mais j'espère quand même que mon matou va lui manifester sa haine en lui crachant dessus... Je sais qu'un service en vaut un autre, mais bon...

 

Et voilà la dame qui revient, elle ne doute de rien, elle a remonté non seulement la bestiole, un grand labrador fauve, mais aussi un sac avec de la bouffe, le panier, la laisse...

 

Le chat rapplique, renifle l'intrus, le chien s'approche et veut contourner le chat, lequel se recule et manifeste une royale indifférence et s'en va regagner son propre panier. Pas d'incident, je suis coincée !

 

- Vous me rendez un fier service, nous saurons vous remercier, soyez en assurée ! Vous n'aurez à le sortir que dans la soirée et demain matin, ce sera suffisant ! Voilà, tenez-le sinon il va vouloir me suivre.

 

Je me retrouve avec la laisse dans la main, l'autre s'en va. Je ne me suis pourtant pas entendue dire "oui"... et me voilà avec un chien à garder jusqu'au lendemain midi ! J'aurais dû faire semblant de ne pas entendre la sonnette ! Mais avec des si....

 

Je ne sais même pas comment il s'appelle, ce labrador ! Le voilà qui se met contre la porte d'entrée, il ne comprend pas ce qu'il fabrique ici, il se met à aboyer, il ne manquait plus que ça ! Je le caresse, me veut rassurante.

 

- Elle est parti faire un tour ta maîtresse, mais elle va revenir....

 

Il finit par se calmer, entreprend de faire un tour dans l'appartement. Pas gêné ! Du coup mes intentions masturbatoires sont désormais devenues assez lointaines. Je me débarrasse malgré tout de ma robe de chambre qui me donne chaud. J'hésite... prendre ma douche maintenant ou...

 

Et voilà le chien qui se radine devant moi ! Qu'est-ce qu'il me veut ? Le problème c'est qu'il a son mufle juste devant ma culotte... C'est sans doute l'odeur de l'urine qui l'attire !

 

- Bon, tu vas te coucher, machin !

 

Pas très obéissant la bestiole ! Il se rapproche un peu plus ! Non mais ce n'est pas possible ils m'ont refilé à garder un chien vicelard !

 

- Allez, couché !

 

Je dois manquer d'autorité... et voilà que je sens une large langue balayer ma culotte. Le chien est en train de me lécher le pubis à travers le tissu ! Ça va pas non ? Il est trop grave ce chien ! Déjà j'ai l'idée d'enfiler ma robe de chambre et de redescendre ce clébard à sa propriétaire en lui expliquant que je ne vais pas passer mon temps à garder un chien obsédé... Mais quelque chose me retient, cette langue n'est à la réflexion pas du tout désagréable ! Un curieux sentiment m'assaille ! Je me suis souvenue à ce moment là d'une réflexion que j'avais écrite sur un forum de discussion "Je ne me vois pas faire l'amour avec une bête mais le fantasme m'intéresse" Oui, et bien, pour l'instant le fantasme il est entre mes cuisses et je suis en train de devenir toute chose, moi qui voulait me faire une séance de branlette, voilà que je me fais lécher par un chien ! Lécher par un chien ! Fabienne, reprend toi ma fille !

 

Je me recule, décidemment je suis ballottée entre des sentiments contradictoires, je retire ma culotte, et la jette à l'autre bout de la pièce. Si cet abruti de chien veut s'amuser avec ma culotte qu'il le fasse mais qu'il laisse ma chatte tranquille !

 

Le chien, cours après l'objet, le renifle, le met dans sa gueule, elle va être foutue la culotte ! Et il me la ramène ! Il est vraiment con ! Je la relance, même réaction, il commence par m'emmerder, du coup je la garde en boule dans ma main, et voilà le toutou qui reprend ses mouvements de langue, mais du coup je n'ai plus rien pour me protéger ! Et ça y va les coups de langue, un vrai gant de toilette !

 

Folie, pour folie, autant assumer, je vais m'asseoir sur le fauteuil, où j'ai laissé ma serviette et j'écarte les jambes.

 

- Bon allez, régale toi !

 

Je n'ai pas besoin de lui dire deux fois, évidemment il fait ça un peu n'importe comment et je dois me surélever un peu pour que sa langue descende jusqu'à ma vulve ! Hein ! Je suis en train de réaliser que je l'aide à me lécher, je suis complètement folle. Il lèche, il lèche, c'est surtout la situation qui m'excite, je me tords le bout des seins, je vais finir par jouir comme ça sous les coups de langue d'un labrador d'un couple de bourgeois ! Je délire !

 

J'ai joui tellement fort que j'ai dû perdre conscience quelques instants. Je plane, me retrouve en train de caresser le toutou, le traiter de brave chien... Bon, ce n'est pas tout ça, mais il faut absolument que je me douche surtout après ce débarbouillage canin !

 

Il ne sait rien passé d'autre ce samedi, c'est déjà pas mal me direz-vous ! Le clébard est parti roupiller, je l'ai sorti, lui ai fait faire le tour du pâté de maison, je me suis mis mon opéra, il est venu à mes pieds ronfler de nouveau et je me suis couchée, beaucoup plus troublée par cette expérience canine que je voulais bien me l'avouer. J'ai pas mal fantasmé en essayant de m'endormir me promettant le lendemain de me laisser aller à mes pulsions si elles étaient encore là.

 

Dimanche matin :

 

Une drôle de contrainte ces bestioles, moi qui aime traîner le dimanche matin, à poil ou presque et qui aime prendre ma douche qu'en fin de matinée, me voilà obligée de changer toute mes habitudes, tout ça pour que cet andouille à quatre pattes puisse satisfaire ses fonctions naturelles dans les caniveaux de la ville ! Pourquoi n'a-t-on jamais essayé de les dresser comme les chats, c'est quand même plus simple à gérer ! Et d'ailleurs c'est plus doux !

 

On rentre ! Je me refous à poil, mais je garde ma culotte. J'ai envie de savoir si le chien va refaire son numéro de la veille. Pas trop envie de pipi mais j'arrive à faire quelques gouttes qui finissent par faire une tache fort sympathique sur le devant. J'appelle le quadrupède. Pas de réaction ! Me voilà presque déçue. Je retire la culotte et lui jette. Il me la rapporte. Bravo, ça il sait faire ! Je reprends la culotte et me frotte le pubis avec tout en caressant la bestiole. Et hop ! Le revoilà qui me lèche avec sa langue baveuse ! Je vous dis je suis folle ! Je me laisse faire quelques courtes minutes, puis mes idées biscornues qui me sont venues dans la tête dans mon lit hier soir ressurgissent avec force, je m'accroupis, ma main en le caressant se déplace sous lui, je trouve sa bite, je suppose qu'il bande, je regarde mieux, c'est bizarre une pine de chien, ça n'a rien de la beauté d'une bite d'homme (enfin certaines) mais ça n'a rien non plus de répugnant, c'est même assez rigolo, alors je la tripote un petit peu. Le chien se laisse faire sans vraiment réagir. L'essentiel c'est qu'il ne soit pas malheureux et il n'a pas l'air de l'être. Je sens que d'une minute à l'autre je vais faire quelque chose qui pourra me faire dire qu'un jour j'ai osé transgresser le tabou de la zoo !

 

Je m'allonge sous le labrador, j'approche mon visage de son membre, mais ce n'est pas évident, le chien ne tient pas en place, j'ai alors l'idée de tenir son pénis à la base avec une main. Je respire un grand coup ! Vas-y ma fille ! De toute façon tu en meurs d'envie ! J'ouvre la bouche, refermant mes lèvres sur l'organe de la bestiole.

 

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Ça y est j'ai la bite du chien dans la bouche, je la suce, j'ai un peu peur qu'il éjacule, je ne suis pas trop prête pour ça ! Alors je vais essayer autre chose. J'ai lu sur Internet qu'il fallait recouvrir les pattes inférieures avec des moufles afin d'éviter de se faire griffer ! Des moufles ? Est-ce que j'ai une tête à porter des moufles ? Mais je dois avoir quelque part des grosses chaussettes de laine "spéciale montagne", il faut quand même que je farfouille dans trois valises pour les retrouver, je vous dis, je ne suis pas nette ! Je passe les chaussettes au chien qui se demande ce qui se passe ! Imaginez un chien en chaussettes rouges ! Puis je me mets à quatre pattes, croupe offerte, j'écarte mon trou du cul, si d'aventure il préfère cet endroit à l'autre. J'attends. Le chien ne vient pas ! Comme je commence à mouiller un peu, j'en ramasse un peu et lui tend ma main humide, il vient la lécher, je pose ma main sur mon cul, il me le lèche de deux ou trois coup de langue, puis s'en va ! Bon ça ne marche pas, il va falloir que je me documente pour savoir comment on fait ! J'ai bien dis "il va falloir que je me documente..". J'ai donc bien franchi un pas ! Je quitte ma position, m'empare à nouveau du sexe de l'animal, je m'aperçois alors que sa bite est manipulable et peut se placer à contre sens, complètement dirigée vers l'arrière, c'est peut-être ça la solution, mais je n'arrive pas à trouver la bonne position et le chien n'a pas trop envie de rester en place. Il m'énerve, du coup tout en laissant sa bite dans cette inclinaison insolite, je la remets dans la bouche et recommence à sucer, curieux goût décidément un peu fort mais ça n'a rien de désagréable, en fait ça sent le chien mouillé

 

Je continue à sucer, je sens le sexe grossir, puis soudain quelque chose me mouille la bouche, le chien est en train d'éjaculer, je recrache ce que j'ai dans la bouche et lâche son sexe d'où du sperme continu à s'écouler. Il se retourne, lèche son propre sperme puis s'en va regagner son panier. C'est un peu simplet les chiens je trouve ! N'empêche j'ai sucé un chien, j'en suis disons le assez fière ! L'occasion n'est pas prête de se représenter, j'ai bien fait d'oser l'expérience, ça me fera un souvenir. Je pars dans la salle de bain me masturber sous la douche en repensant à tout ça...

 

Un peu avant midi, la bourgeoise est venue récupérer le clébard.

 

- J'espère qu'il a été sage !

- C'est un amour ! Répondis-je !

- Je passerais demain soir pour vous remercier mieux, vous serez là ?

 

Epilogue

 

- Voilà, je voulais vous remercier, je sais que vous aimez l'opéra, voilà une très bonne place à Garnier, c'est le 16, vendredi soir, ils passent 'La Traviata", mais si vous voulez changer la date...

- Mais il ne fallait pas... mais bon, je ne vais pas refuser, le 16 ça m'ira très bien.

- Nous irons aussi, donc on pourra y aller ensemble... Ok ?

- D'accord !

- Au fait, j'ai vu que vous aviez donné des chiffons au chien pour qu'il joue avec, je les ai retrouvé dans son panier. Je me suis permis de les passer en machine !

- Des chiffons ?

 

Elle me tend alors un sac en plastique, je découvre à l'intérieur ma culotte de la veille et celle de samedi ! Je deviens rouge comme une tomate ! Madame R me fait alors un clin d'œil.

 

- Je vous remercie encore, vous pouvez m'appelez Carole, c'est mon prénom !

- Ben moi c'est Fabienne, bonne soirée alors.

 

Je referme la porte ! Plein d'idées trottent dans ma tête ! Bien sûr que je suis contente d'aller à l'opéra, mais c'est surtout sur l'après que je fantasme, peut-être me proposeront-ils le fameux dernier verre chez eux, peut-être que tout cela va finir en partouze, peut-être que ce soir-là, ils m'aideront à me faire prendre par le chien....

 

MP Perez (en plein délire) Novembre 2004

 à suivre

 

  Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

 

<i>Ce texte a eu l'honneur d'être désigné comme premier prix du meilleur récit extrême pour l'année 2004</i>

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 10 avril 2011 7 10 /04 /Avr /2011 17:39

Envie pressante

par Marie-Paule Perez

 

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Pour lecteur averti – Scato inside

Thémes abordés :  coprolalie, domination soft, feuille de rose, lesbos, scato, uro

Qui suis-je ? Je me prénomme Lynn et je suis une vraie rousse, avec tout ce qui va avec, la peau laiteuse, les taches de rousseurs, la peur du soleil et parait-il l’odeur…

A l’époque je vivais avec un copain, ça marchait assez moyen et je savais déjà que nous ne nous éterniserions pas ensemble

Il faut aussi que je vous dise quels étaient mes rapports avant ces événements avec les fantasmes dont il va être question ici, c’est à dire l’homosexualité féminine, l’urolagnie et la scatologie.

Pour les femmes, je ne sais pas trop expliquer, je crois que c’est une expérience qui m’a toujours tentée, périodiquement en croisant une jolie femme, je me suis toujours dis que je ne dirais pas non si les circonstances… mais cela était resté un fantasme, les fameuses circonstances n’ayant jamais été réunies, et puis il faut dire que je ne cherche pas non plus, si ça vient tant mieux, mais je ne me vois pas faire les premiers pas…

L’uro c’est plus compliqué, j’ai vu les premières photos par hasard, alors que mon copain cherchait je ne sais quoi sur les sites pornos sur le net ! Curieuse réaction, je savais qu’on pouvait s’amuser à se montrer en train de pisser ou le contraire s’exciter en regardant quelqu’un uriner, mais là voir des gens se pisser dessus et même dans la bouche, je ne pensais pas que ça pouvait exister. Et mon premier sentiment a été le rejet, relayé d’ailleurs par mon copain qui ne cherchait pas ça… Mais ces images aperçues brièvement m’ont trotté dans la tête, une sorte de lutte incompréhensible entre la répulsion et la curiosité… C’est cette dernière qui l’emporta et entraîna l’uro dans mes fantasmes. Je ne voyais pas trop comment concrétiser tout cela d’autant que je n’avais pas non plus l’intention d’aller très loin. Je multipliais les signes auprès de mon copain, comme pisser avec la porte des toilettes ouvertes, m’essuyer de façon incomplète alors que je savais que nous allions faire l’amour ensuite… mais en vain… Je tentais aussi de lui sucer la bite alors qu’il venait juste de faire pipi, mais il refusa. Monsieur n’a pas beaucoup de fantasmes ou alors il les cache bien et monsieur n’a pas beaucoup de pratiques hors-normes, monsieur commence à m’ennuyer ferme… Mais je voulais tout de même savoir quel goût ça avait. J’ai dû mouiller mon doigt une bonne vingtaine de fois, puis l’approcher de ma bouche avant de me dégonfler, jusqu’au jour où je me suis lancée, j’ai trouvé ça pas mauvais, très particulier, alors j’ai l’ai refait plusieurs fois, parce que j’aime bien faire la cochonne et pour le reste, je rangeais l’uro dans mon tiroir à fantasmes

Quant à la scato, à part être tombée par hasard sur des photos Internet où des femmes faisaient ce genre de choses en toute décontraction, ce qui me provoqua un trouble bien réel, je ne pratiquais rien du tout. Mais cochonne pour cochonne, je me suis dit que ce que j’avais fait pour le pipi, je pourrais le faire pour le caca ! Ben mes amis, je vais vous dire, c’est loin d’être évident, j’essayais deux ou trois fois de m’imbiber le doigt avant de m’essuyer le cul et y renonçait aussi sec. Sauf qu’un jour je suis retombée sur des images Internet où des filles avaient l’air de se régaler. Excitée comme une puce, et ayant justement une petite envie, je refis l’opération doigt dans le cul, soupirais un grand coup, fermais les yeux et hop tout dans la bouche. Il n’y a effectivement pas de quoi s’enfuir en courant, j’ai gouté des aliments plus horribles que ça, et d’ailleurs ce n’est pas horrible, c’est particulier. Néanmoins je ne m’adonnais à cette pratique que dans mes moments de grande excitation solitaire. Et je ne l’avais jamais partagé.

Le récit maintenant :

Pour bien comprendre cette folle soirée que je vais essayer de vous décrire, il faut revenir plusieurs mois en arrière…

Je faisais de l’intérim à l’époque et j’avais reçu une invitation pour un pot célébrant le cinquième ou le dixième (on s’en fout) anniversaire de la boite. C’était un vendredi soir, et comme j’étais en fin de mission et que je tenais à retrouver du boulot, j’ai préféré y aller. Je ne connaissais pas grand monde, seulement quelques collègues croisés au hasard de mes missions. Le temps a passé assez vite, j’ai évité de boire trop d’alcool, mais j’en ai bu quand même, je me suis retrouvé face à face avec une bonne femme qui m’a raconté sa vie et dont j’ai eu un mal de chien à me débarrasser, c’était pour tomber ensuite dans les pattes d’un type qui voulait me draguer, il a dû mettre une demi-heure avant de comprendre que ça ne marcherait pas…

Puis, je me suis retrouvée, je ne sais pas trop comment, dans un groupe de commères que je connaissais à peine :

– Tiens, elle est là l’autre gouine ! Dit une première parlant de je ne sais qui ! Où est-ce qu’elle travaille en ce moment ?
– J’en sais rien, elle était chez Martin-Duval le mois dernier, il parait qu’elle s’est envoyée une nana dans les chiottes…

Allez donc savoir pourquoi ma curiosité s’est alors éveillée…

– C’est laquelle ? M’entendis-je demander.
– La pétasse en pull bleu, les cheveux longs avec un gros cul.

Ah, bon ! J’engrange l’information… et puis cinq minutes plus tard, je quitte ce groupe de cancanières aigries pour aller me servir un jus de fruit. Ce doit être inconscient, j’aurais pu faire ça n’importe où, ce ne sont pas les bouteilles qui manquent, non il a fallu que je me place à côté de cette fameuse fille en bleu. Echange de regards. Je souris, elle me sourit. J’engage la conversation, elle est un peu boulotte, mais mignonne, elle répond au doux nom de Sylvaine. On parle de tout et de rien, de nos missions, des anecdotes. Le courant passe bien, on reboit un coup, et puis bon l’heure passe…

– Il va falloir que j’y aille ! Finis-je par dire
– Moi aussi, tu m’attends, on va au métro ensemble ? Me propose la nana.
– Ok ! Faut que j’aille pisser

Il n’y a qu’une seule cabine, elle est occupée, j’attends…. Cinq minutes passent, toujours rien. Sylvaine vient me rejoindre :

– Ah, tu es là ! Je te croyais disparue !
– Non, mais les chiottes sont occupées !
– Frappe !

On y retourne, ensemble, je frappe à la porte.

– Une seconde ! Répond une voix féminine !

On attend, mais l’endroit ne se libère pas !

– Bon ben tant pis, j’espère que ça ira ! On y va ! Me décidais-je.

Et nous voici sorties, on cherche le métro, on se perd à moitié, l’envie d’uriner commence à me tenailler sérieusement.

– Il faut que je trouve un bistrot…
– Ok, je reste avec toi…

Pas grand-chose d’ouvert, mais on finit par en dégoter un… Un petit coup d’œil dedans… Je ne vous dis pas la faune, on se sauve en courant… Pas de solution, faire entre deux voitures, pourquoi pas, mais il y a toujours un peu de monde… Situation absurde ! D’autant que dans quelques minutes ça va être intenable et que je vais lui demander de faire le pet (quelle expression !) tandis que je vais faire mon petit pipi dans le caniveau…

Un taxi dans la rue ! J’ai une idée ! Je lui fais signe d’arrêter…

– Je te laisse ! Dis-je à Sylvaine ! A moins que tu veuilles profiter du taxi ?

Je prie le ciel qu’elle n’en profite pas ! Ça va me retarder, mon plan est simple, tenir jusqu’à la gare de Lyon, puis directo les toilettes des dames….

– OK ! Je viens, vous pouvez faire un crochet par la porte de Bagnolet ?

L’horreur ! Je ne tiendrais jamais ! Je serre les fesses, je serre les dents, je serre tout ce que je peux, dans un instant je vais éclater, je ne vais quand même pas pisser dans la bagnole…

– Ça ne va pas, Lynn ?
– Si, si ! Mais bon…

On se farcit un nombre incalculable de feux rouges, je vais craquer, je vais en foutre partout. J’arrive quand même à me retenir… Et on finit par arriver devant chez elle !

– Monte chez-moi, tu ne tiendras pas jusqu’à la gare !
– Je crois que je vais faire comme, ça, oui ! Vous pouvez m’attendre, j’en ai pour cinq minutes, dis-je au chauffeur !
– Oui, mais vous me payez déjà le bout de course et après je fais tourner le compteur.

Sylvaine paie le mec, je monte avec elle, je suis blanche comme un linge. Ça y est, on est sur le palier. Elle cherche ses clés, je sens que je vais me lâcher dans quelques instants. Elle les trouve ses clés, oui ou merde ? Enfin, la clé tourne dans la serrure, la porte s’ouvre… J’entre !

– C’est où ?
– Au fond…

Trop tard !

– Excuse-moi…
– Ce n’est rien…

Tu parles que ce n’est rien, mon jean est plein de pisse, je n’ai pas eu la volonté de faire ces derniers mètres.

– Me voilà fraîche !
– Ce n’est rien, on est entre femmes, ça aurait pu m’arriver aussi….
– Je vais finir là-bas, j’ai encore envie !
– Tu peux finir, ici, au point où tu en es ! De toute façon, faudra que je nettoie !

Hein ? Elle n’est pas bien celle-là ! Mais la surprise me cloue sur place, elle s’accroupit devant moi, me caresse les cuisses, étalant de la main l’urine sur mon pantalon…

– Tu vas croire que je suis folle, mais j’aime bien caresser les femmes… mais bon, je n’impose rien à personne… mais tu ne peux pas savoir comme cette situation m’excite.
– C’est parce que je pisse que ça t’excite ?
– Bingo !

Pour moi l’érotisme était bien loin depuis cette envie de pisser, et soudain le voici qui se rapproche, mon fantasme ressurgit, deux fantasmes… Je lutte… Pas avec cette fille qui ne m’attire pas, et puis entre les fantasmes et la réalité, ce n’est pas la même chose… Et puis je la vois faire, elle porte sa main humide d’urine à son nez, semble s’enivrer de l’odeur, puis la porte devant sa bouche, sa langue sort, elle lèche… mon dieu…

– Retire ton pantalon ! Dit-elle
– Et pourquoi ?

J’essaie de ne pas perdre top l’initiative !

– Parce qu’il est mouillé !
– Et je vais repartir comment ?
– En taxi, s’il n’est pas parti, Rigole-t-elle
– Et sans pantalon ?
– Je te prêterais un truc !

Je retire le bazar, toute mouillée, ma petite culotte est une vraie serpillière, mes cuisses sont trempées. Sylvaine me les lèche comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et moi grande idiote, je me laisse faire.

– La culotte ! Indique-t-elle
– Quoi, la culotte !
– Retire là !
– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Tout à fait, oui !
– Alors d’accord ! Dis-je en la retirant.
– Donne !

Je lui tends la culotte, elle la tord au-dessus de sa bouche, avale les gouttelettes chassées par l’essorage. Elle est folle à lier, et moi je suis excitée comme pas possible. Elle retire son haut mais conserve son soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir sa grosse poitrine. Je suis un peu bête, il me suffirait de lui demander, mais je suis comme ça, il faut toujours que je temporise, on ne me refera pas…

– Tu serais cap’ de me pisser dessus ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas !
– Quand on dit « je sais pas », c’est qu’on dit pas « non »
– On est folle toutes les deux !
– C’est pas grave ! Alors d’accord ?

Elle n’attend pas ma réponse, et retire son pantalon, puis sans crier gare, s’étale sur le sol dans la marre d’urine !

– Vas-y !

J’y vais ! Je me lâche, une véritable cascade jaunâtre lui dégringole sur le visage, elle ouvre la bouche, elle en avale une partie, rejette le reste. Je dois être en train de rêver. Le jet finit par se tarir… Elle se relève alors, elle dégage ainsi mouillée un érotisme auquel je ne suis pas insensible, les bonnets de son soutien-gorge sont tout humides, elle prend ses seins et les fait pigeonner pardessus… Pas très élégant, je préférerais qu’elle enlève tout… Alors je me surprends à me baisser pour passer mes mains derrière son dos afin de lui dégrafer le soutif. C’est la première fois que je défais le soutien-gorge d’une femme, il y a toujours une première fois.

Je ne sais pas comment elle a fait, mais voilà Sylvaine entre mes cuisses, sa langue cherche ma chatte, je me laisse faire, je suis si excitée que cela ne peut que me faire du bien. Elle me tire le bras, elle veut quoi ? Je comprends qu’elle souhaite que je me baisse, je me retrouve par terre, le cul dans la pisse, le visage de la petite grosse dans mon entre-jambe, elle lape, elle bave sur mon sexe, je le sens tout gluant, drôle d’impression, quand mon copain me fait un cuni, c’est beaucoup plus light, et puis elle concentre ses efforts sur mon clitoris, ça me démange un maximum, je sens que je vais exploser dans tous les sens, ça ne rate pas, je jouis comme je l’ai rarement fais, bruyamment et violemment.

Je regarde ma montre, ça fait combien de temps que je suis ici, à peine plus de cinq minutes… Je pense au taxi, ça m’étonnerait qu’il s’éternise, tant pis, je rentrerais comme je pourrais, mais quelle expérience !

– Ça va ? Demande-t-elle !
– Pas mal comme coup de folie !
– J’étais sûre que tu aimerais mes caresses !
– Comment tu pouvais être sûre ?
– L’habitude, il y a certains regards qui ne trompent pas, quand t’es venu me parler, je me doutais que tu essayais quelque chose…
– Ce devait être inconscient…
– Je ne dis pas le contraire ! J’avais envie de m’amuser, tu sais ce que je voulais faire ? Reprend-elle
– Non, dis ?
– Ben, je voulais éviter toute allusion sexuelle, jusqu’au moment de nous séparer, et là on se serait fait un bisou, et en fait de bisou je t’aurais roulé un patin !
– Génial !
– Mais ton envie de pisser a modifié mes plans… Je n’avais pas prévu que ça tourne en uro, mais quand je t’ai vu pisser dans ton pantalon, je suis devenue complètement folle. Ça passait ou ça cassait, et il y avait bien plus de chances pour que ça casse, les filles qui aiment ce genre de choses ne sont pas si nombreuses…. Tu fais ça souvent ?
– Ben, c’est la première fois ! Avouais-je..
– Ok, je vois, bon tu sais j’aimerais bien jouir aussi…

Je ne sais pas trop ce que j’allais répondre, mais soudains ses lèvres se sont collées aux miennes, et voilà que nous échangeons un baiser baveux, c’est incroyable ce que cette fille peut sécréter comme salive…

– Et si tu te mettais à poil ? T’es pas trop pressée j’espère !
– Non, je vais juste passer un coup de fil à mon copain pour lui dire que ça dure plus longtemps que prévu.
– OK ! Passe-lui un coup de fil, et tout à l’heure tu lui en passeras un autre, tu lui diras que tu as raté le dernier train et que tu es allé coucher chez une copine…
– Ça ne marchera pas, il me dira de prendre un taxi…
– Mais si ça marchera…

Dingue ! Elle dispose de moi sans à peine me demander ce que j’en pense et moi je me laisse faire…

– T’aimes qu’on te domine ? Demande-t-elle alors
– Comment ça ?
– Ben par exemple je pourrais te donner des ordres, comme ça pour jouer…
– Je ne comprends pas bien.
– Par exemple, je peux te dire de nettoyer toutes tes cochonneries, et si tu ne vas pas assez vite, je te fesse le cul !
– Mais pour jouer ?
– Oui, pour jouer !
– D’accord, je veux bien !
– Tu vas être ma petite esclave, alors, tu feras tout ce que je te dirais !
– Tout, peut-être pas !
– T’inquiètes pas, je sais jouer ! Et si je te traite de tous les noms, ça ne va pas te traumatiser ?
– Ben non puisque c’est un jeu !
– Alors on y va ! Et je te signale que tu ne pas encore mise à poil !

Pas de panique, je ne sais pas dans quoi je m’embarque, mais quelque chose m’empêche maintenant de reculer, j’enlève le haut, dévoile mes seins à Sylvaine !

– Hum pas mal tes nichons ! Ce doit être un plaisir de leur tirer dessus !
– On peut les caresser sans leur tirer dessus ! Répondis-je par réflexe !
– Ta gueule, poufiasse ! M’interrompt-elle !

C’est vrai j’avais déjà oublié qu’on jouait… Elle m’attrape mes bouts de seins, les serre entre le pouce et l’index, un frisson me parcoure le corps, je soupire de plaisir, la pression s’accentue, elle tord à présent la petite excroissance de chair.

– Tu aimes ?
– Oui !
– Je savais bien que tu étais une petite salope…

Elle penche la tête, me lèche le sein, donne des coups de langue sur le téton, puis je sens ses dents qui me mordillent, j’espère qu’elle sait ce qu’elle fait… apparemment, oui, et cela n’a rien de désagréable….

– Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de m’occuper de ton gros cul !

Amusant, parce que mon cul est bien loin d’avoir la largeur du sien, mais je ne dis rien et obtempère.

– Joli cul, je vais me régaler en tapant dessus !
– Pas trop fort !
– Tu vas la fermer, oui, petite pute !

Un coup arrive, frappé du plat de la main sur ma fesse gauche. Ça fait un peu mal, mais quelque part j’aime bien, je cambre les fesses, attendant la suite

– Tu veux encore, hein ?
– Oui !
– Tu es bien une chienne !
– Je suis tout ce que tu veux, vas-y fais-moi tout ce que tu as envie !
– Hummm tu devrais pas me dire des choses comme ça, tu ne sais pas de quoi je suis capable !

Et la voilà qui me frappe à la volée, elle n’arrête pas, mon cul me fait mal, il est tout chaud, ça pique de partout, et en même temps ça m’excite, ce soir je suis une vraie chienne en chaleur et j’en ai conscience… mais jusqu’où vais-je aller ?

Sylvaine a arrêté sa fessée, et sa langue vient s’immiscer dans mon trou du cul ! Voilà encore un truc qu’on ne m’avait pas fait depuis belle lurette.

– Ouvre un peu tout ça que je mette la langue !
– Oui.
– Tu sais qu’il pue ton trou du cul ?

Voilà qui me surprend, ce n’est pas vraiment mon genre… mais peut-être me fait-elle simplement « marcher » ?

– Je suis désolée, tu veux que j’aille me le laver ? Proposais-je
– Sûrement pas, il est très bien comme ça ! J’aime bien qu’un cul ça sente le cul ! Mais le tiens, je te dis pas ! Tiens viens m’embrasser salope !

On se roule une nouvelle gamelle, c’est toujours aussi baveux, toujours aussi excitant…

– Ça t’excite de m’embrasser la bouche alors que je viens de foutre ma langue dans ton cul tout sale ?

Pour être honnête, non, et d’ailleurs je ne sens pas grande différence avec tout à l’heure mais je joue son jeu…

– Oh, oui ça m’excite !
– OK, alors on permute !

Et la voilà à son tour à quatre pattes, le cul tendu ! Je ne sais pas si je vais pouvoir faire ça ! Je m’approche, commence par lui caresser et embrasser les fesses, ça va, elle se laisse faire, elle n’est pas pressée, moi non plus, mais au bout d’un moment elle me rappelle à l’ordre :

– Bon, alors petite leçon d’anatomie, le trou du cul c’est au milieu ! Et c’est là que j’aimerais bien sentir ta langue !

Plus moyen de tergiverser, j’y vais, je lui écarte ses deux gros globes fessiers, je regarde, ça me semble mignon tout plein ce petit trou là, j’approche ma langue, l’odeur est un peu forte, mais ça n’a rien de repoussant ni même de gênant, Je lui farfouille l’anus ainsi pendant quelques minutes, sous ma caresse l’orifice s’ouvre légèrement, excitant ce truc-là !

– Bon, ça va, t’est une bonne lécheuse de cul ! Maintenant tu vas t’allonger par terre sur le dos, et je vais te faire pipi dessus.
– Moi, je veux bien mais c’est tout mouillé, il faudra que je prenne une douche avant de rentrer.
– Pourquoi veux-tu rentrer ? Tu ne veux plus que je te garde pour la nuit ?

C’est qu’elle insiste ! Je ne réponds pas, je m’allonge dans ma pisse à présent refroidie. Sylvaine m’enjambe au niveau de mon ventre et remonte vers mon visage.

– Pas sur le visage !
– Pourquoi tu ne veux pas goûter à mon champagne.
– J’ai déjà gouté du pipi, mais là il va y en avoir de trop !
– Dis donc, qui c’est qui commande, ici ? Répond-elle !

J’avais oublié son jeu idiot !

– Bon écoute pisse-moi dessus si tu veux, mais pas sur le visage, tu n’as qu’à m’asperger les seins ou le ventre…
– Si tu n’essaie maintenant pas tu n’essayeras jamais…

Lynn Sylvaine Mais, elle se recule, se concentre un moment, puis elle m’arrose le nombril ! Drôle d’impression c’est tout chaud, c’est amusant, finalement ça me plait bien ce truc-là ! Et puis elle s’arrête, je suis persuadée qu’elle se retient… Elle se baisse, humecte son doigt avec l’urine qui stagne sur mon corps, puis le pointe vers ma bouche.

– Suce !
– Mais, je…
– Juste ça, ça ne va pas te tuer…
– Arrête !
– Obéis, obéis à ta gentille maîtresse, cela lui ferait tellement plaisir !

Quelle chieuse ! Effectivement ça ne va pas me tuer, je fini par lui lécher le doigt, son urine me paraît plus forte que la mienne… Mais ça n’a rien de désagréable. Le problème c’est qu’elle va vouloir savoir ce que j’en pense, et que si je lui dis la vérité elle va s’entêter à chercher à m’en faire avaler de vraies rasades….

– Alors ?
– Alors, bof !
– Deuxième essai

Deuxième doigt, je m’habitue au goût de sa pisse, cette fois si, il y a l’effet de surprise en moins.

– Allez je vais te donner deux ou trois gouttes !

Elle s’accroupit, la chatte à quelques centimètres de mon visage… Je ne lui ais pas dis que j’étais d’accord, elle fait ce qu’elle veut, et moi, je n’ai rien refusé malgré mes résolutions, on ne se refait pas…

– Ouvre la bouche !
– Juste un peu, hein !
– T’inquiètes pas !

Un petit filet d’urine me dégringole dans le gosier, drôle d’effet, je ne suis pas obligée d’avaler, je peux tout cracher, mais j’avale… amusant, excitant et délicieusement pervers… Allez ça marche, le pas est franchi, maintenant il faut assumer !

– Encore ! Lui demandais-je par pure provocation
– On y prend goût, hein ?
– C’est excitant, j’avoue !

J’ai plein de pisse dans le gosier, Bon dieu que je suis excitée.

– Ça fait du bien faire pipi ! Commente-t-elle, maintenant je ferais bien caca. T’aimerais me regarder faire ?

Elle est folle !

– Non, peut-être pas !
– Je demandais juste comme ça !

Elle a dû sentit mon trouble car elle me relance

– On dirait que tu hésites ?
– En fait, oui !
– T’as jamais fait des trucs comme ça ?
– Si je me suis déjà léché les doigts…
– Et c’était bon ?
– On va dire que c’était pas mauvais
– Je suis sûre que tu aimerais me regarder chier ?
– On peut toujours essayer.

Fallait vraiment que je sois super excitée pour répondre ça !

– J’aime bien qu’on me regarde chier, j’aime bien regarder aussi.

Oui, bon, ça va, j’avais compris !

Elle s’accroupit, me présentant ses jolies fesses bien rebondies, l’anus s’ouvre, un petit bout de crotte apparaît, ça grossit, l’étron devient boudin et dégringole. Il est joli, bien moulé, je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est attendrissant mais le fait est que je suis plus fasciné que révulsé.

– Alors ? Me dit-elle
– Ben alors je ne sais pas trop quoi dire !
– N’empêche que tu mouilles !
– Ben oui je mouille !

Sylvaine ramasse son étron et le prend dans ses mains, je ne sais pas ce qu’elle à l’intention de faire mais j’interviens.

– Non on passe à autre chose !

J’ai dit ça par réflexe, je l’ai aussitôt regretté mais Sylvaine a reposé le caca.

– Allez, viens me faire une rincette !
– Une rincette ?
– Ben oui, tu me nettoies la chatte avec ta langue !

Sylvaine s’installe sur le dos. Allez, on se dégonfle pas, on y va ! Bien sûr que sa chatte sent la pisse, bien sûr que je lape tout ça, allant jusqu’à regretter que le petit goût particulier disparaisse aussi vite. Elle a un gros clito, il doit faire le double du mien, je le lèche, je le suce, je l’aspire, je joue avec. Sylvaine se crispe, ses cuisses deviennent toute raides, sa respiration ressemble à celle d’un teckel qui respire les traces d’un lapin. Le problème c’est que je jouirais bien encore une fois. L’idée c’est de me mettre en soixante-neuf… On y va !

– Non continue !

Elle est chiante la Sylvaine. D’accord je reste en place. J’active ma langue jusqu’à m’en faire mal, elle jappe maintenant, elle coule sur ses cuisses, et sentir son excitation monter dédouble la mienne. Je crains un moment de ne pas arriver à la satisfaire. Il va falloir que je fasse une pause, sinon je vais me faire mal à la langue. Encore un petit effort… Et boum, la voilà qui orgasme comme une damnée, elle hurle, semble partie on ne sait où pendant de longues secondes puis me sourit, m’enlace, m’embrasse, me serre dans ses bras. On rigole, on est heureuses toutes les deux.

– A toi ! Lui demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi, mais dis donc espèce de vilaine, tu m’as nettoyé la chatte mais pas le trou du cul.
– Ben, c’est-à-dire…
– C’est-à-dire quoi, fais moi plaisir, et comme t’es excitée comme une puce, ça va être le pied.

Alors je me suis lancée et je lui ai nettoyé son trou du cul merdeux pendant que ma chatte dégoulinait de mouille.

J’avoue avoir pris un plaisir intense à lui nettoyer l’anus.

Puis comme promis, elle m’a de nouveau fait jouir, on est allé se doucher puis se coucher avec pleins d’idées salaces dans la tête, mais aussi crevées l’une que l’autre, on s’est endormi de suite et on a dormi comme des souches.

Au réveil, Sylvaine est restée gentille, mais ce n’était plus la même, elle m’a fait comprendre qu’elle avait été ravie de passer un moment de folie en ma compagnie mais qu’elle ne souhaitait pas prolonger cette relation. Un instant je m’étais fait des illusions, mais je n’étais que son « coup d’un soir ». J’ai encaissé le coup, on s’est embrassée plutôt chastement quand je l’ai quitté. Dans l’escalier, j’ai versé une larme.

Je n’ai jamais revu Sylvaine

Devant la porte de l’appartement de mon copain, deux valises et un sac poubelle. Il y a un petit mot aussi, je le découvre :

« Tu t’es bien foutu de ma gueule, puisque tu as trouvé mieux que moi cette nuit, reste avec lui et ne cherche plus à me revoir, je te fais cadeaux des valises. »

J’aurais pu entrer, j’avais la clé, je ne l’ai pas fait, j’ai embarqué tout le bazar et je suis retourné chez moi, là où je n’avais pas mis les pieds pendant six mois. J’ai défait les valises, mon ordinateur portable y était. Alors je l’ai branché, je me suis mise à poil, pas complétement puisque j’avais conservé ma petite culotte, je me suis amusé à pisser dedans. Puis je suis allé sur un site d’annonces, j’ai regardé si quelque chose me branchait, et comme ce n’était pas le cas, j’ai décidé d’en poster une.

« Jeune femme ayant découvert récemment les plaisirs saphiques et uro recherche relation suivie basée sur le respect mutuel et la tendresse, peut être donneuse ou receveuse… scato légère possible »

Epilogue

Le lendemain j’avais rendez-vous avec Annabelle, 28 ans. On a tout de suite sympathisé. Cela fera 10 ans demain que nous vivons ensemble, je suis heureuse, même s’il m’arrive d’avoir parfois une pensée nostalgique pour Sylvaine.

Fin

 

© Marie-Paule Perez et Vassilia.net. Tout droit réservé avril 2011, complété en 2018

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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