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Envie pressante
par Marie-Paule Perez
Pour lecteur averti – Scato inside
Thémes abordés : coprolalie, domination soft, feuille de rose, lesbos, scato, uro
Qui suis-je ? Je me prénomme Lynn et je suis une vraie rousse, avec tout ce qui va avec, la peau laiteuse, les taches de rousseurs, la peur du soleil et parait-il l’odeur…
A l’époque je vivais avec un copain, ça marchait assez moyen et je savais déjà que nous ne nous éterniserions pas ensemble
Il faut aussi que je vous dise quels étaient mes rapports avant ces événements avec les fantasmes dont il va être question ici, c’est à dire l’homosexualité féminine, l’urolagnie et la scatologie.
Pour les femmes, je ne sais pas trop expliquer, je crois que c’est une expérience qui m’a toujours tentée, périodiquement en croisant une jolie femme, je me suis toujours dis que je ne dirais pas non si les circonstances… mais cela était resté un fantasme, les fameuses circonstances n’ayant jamais été réunies, et puis il faut dire que je ne cherche pas non plus, si ça vient tant mieux, mais je ne me vois pas faire les premiers pas…
L’uro c’est plus compliqué, j’ai vu les premières photos par hasard, alors que mon copain cherchait je ne sais quoi sur les sites pornos sur le net ! Curieuse réaction, je savais qu’on pouvait s’amuser à se montrer en train de pisser ou le contraire s’exciter en regardant quelqu’un uriner, mais là voir des gens se pisser dessus et même dans la bouche, je ne pensais pas que ça pouvait exister. Et mon premier sentiment a été le rejet, relayé d’ailleurs par mon copain qui ne cherchait pas ça… Mais ces images aperçues brièvement m’ont trotté dans la tête, une sorte de lutte incompréhensible entre la répulsion et la curiosité… C’est cette dernière qui l’emporta et entraîna l’uro dans mes fantasmes. Je ne voyais pas trop comment concrétiser tout cela d’autant que je n’avais pas non plus l’intention d’aller très loin. Je multipliais les signes auprès de mon copain, comme pisser avec la porte des toilettes ouvertes, m’essuyer de façon incomplète alors que je savais que nous allions faire l’amour ensuite… mais en vain… Je tentais aussi de lui sucer la bite alors qu’il venait juste de faire pipi, mais il refusa. Monsieur n’a pas beaucoup de fantasmes ou alors il les cache bien et monsieur n’a pas beaucoup de pratiques hors-normes, monsieur commence à m’ennuyer ferme… Mais je voulais tout de même savoir quel goût ça avait. J’ai dû mouiller mon doigt une bonne vingtaine de fois, puis l’approcher de ma bouche avant de me dégonfler, jusqu’au jour où je me suis lancée, j’ai trouvé ça pas mauvais, très particulier, alors j’ai l’ai refait plusieurs fois, parce que j’aime bien faire la cochonne et pour le reste, je rangeais l’uro dans mon tiroir à fantasmes
Quant à la scato, à part être tombée par hasard sur des photos Internet où des femmes faisaient ce genre de choses en toute décontraction, ce qui me provoqua un trouble bien réel, je ne pratiquais rien du tout. Mais cochonne pour cochonne, je me suis dit que ce que j’avais fait pour le pipi, je pourrais le faire pour le caca ! Ben mes amis, je vais vous dire, c’est loin d’être évident, j’essayais deux ou trois fois de m’imbiber le doigt avant de m’essuyer le cul et y renonçait aussi sec. Sauf qu’un jour je suis retombée sur des images Internet où des filles avaient l’air de se régaler. Excitée comme une puce, et ayant justement une petite envie, je refis l’opération doigt dans le cul, soupirais un grand coup, fermais les yeux et hop tout dans la bouche. Il n’y a effectivement pas de quoi s’enfuir en courant, j’ai gouté des aliments plus horribles que ça, et d’ailleurs ce n’est pas horrible, c’est particulier. Néanmoins je ne m’adonnais à cette pratique que dans mes moments de grande excitation solitaire. Et je ne l’avais jamais partagé.
Le récit maintenant :
Pour bien comprendre cette folle soirée que je vais essayer de vous décrire, il faut revenir plusieurs mois en arrière…
Je faisais de l’intérim à l’époque et j’avais reçu une invitation pour un pot célébrant le cinquième ou le dixième (on s’en fout) anniversaire de la boite. C’était un vendredi soir, et comme j’étais en fin de mission et que je tenais à retrouver du boulot, j’ai préféré y aller. Je ne connaissais pas grand monde, seulement quelques collègues croisés au hasard de mes missions. Le temps a passé assez vite, j’ai évité de boire trop d’alcool, mais j’en ai bu quand même, je me suis retrouvé face à face avec une bonne femme qui m’a raconté sa vie et dont j’ai eu un mal de chien à me débarrasser, c’était pour tomber ensuite dans les pattes d’un type qui voulait me draguer, il a dû mettre une demi-heure avant de comprendre que ça ne marcherait pas…
Puis, je me suis retrouvée, je ne sais pas trop comment, dans un groupe de commères que je connaissais à peine :
– Tiens, elle est là l’autre gouine ! Dit une première parlant de je ne sais qui ! Où est-ce qu’elle travaille en ce moment ?
– J’en sais rien, elle était chez Martin-Duval le mois dernier, il parait qu’elle s’est envoyée une nana dans les chiottes…
Allez donc savoir pourquoi ma curiosité s’est alors éveillée…
– C’est laquelle ? M’entendis-je demander.
– La pétasse en pull bleu, les cheveux longs avec un gros cul.
Ah, bon ! J’engrange l’information… et puis cinq minutes plus tard, je quitte ce groupe de cancanières aigries pour aller me servir un jus de fruit. Ce doit être inconscient, j’aurais pu faire ça n’importe où, ce ne sont pas les bouteilles qui manquent, non il a fallu que je me place à côté de cette fameuse fille en bleu. Echange de regards. Je souris, elle me sourit. J’engage la conversation, elle est un peu boulotte, mais mignonne, elle répond au doux nom de Sylvaine. On parle de tout et de rien, de nos missions, des anecdotes. Le courant passe bien, on reboit un coup, et puis bon l’heure passe…
– Il va falloir que j’y aille ! Finis-je par dire
– Moi aussi, tu m’attends, on va au métro ensemble ? Me propose la nana.
– Ok ! Faut que j’aille pisser
Il n’y a qu’une seule cabine, elle est occupée, j’attends…. Cinq minutes passent, toujours rien. Sylvaine vient me rejoindre :
– Ah, tu es là ! Je te croyais disparue !
– Non, mais les chiottes sont occupées !
– Frappe !
On y retourne, ensemble, je frappe à la porte.
– Une seconde ! Répond une voix féminine !
On attend, mais l’endroit ne se libère pas !
– Bon ben tant pis, j’espère que ça ira ! On y va ! Me décidais-je.
Et nous voici sorties, on cherche le métro, on se perd à moitié, l’envie d’uriner commence à me tenailler sérieusement.
– Il faut que je trouve un bistrot…
– Ok, je reste avec toi…
Pas grand-chose d’ouvert, mais on finit par en dégoter un… Un petit coup d’œil dedans… Je ne vous dis pas la faune, on se sauve en courant… Pas de solution, faire entre deux voitures, pourquoi pas, mais il y a toujours un peu de monde… Situation absurde ! D’autant que dans quelques minutes ça va être intenable et que je vais lui demander de faire le pet (quelle expression !) tandis que je vais faire mon petit pipi dans le caniveau…
Un taxi dans la rue ! J’ai une idée ! Je lui fais signe d’arrêter…
– Je te laisse ! Dis-je à Sylvaine ! A moins que tu veuilles profiter du taxi ?
Je prie le ciel qu’elle n’en profite pas ! Ça va me retarder, mon plan est simple, tenir jusqu’à la gare de Lyon, puis directo les toilettes des dames….
– OK ! Je viens, vous pouvez faire un crochet par la porte de Bagnolet ?
L’horreur ! Je ne tiendrais jamais ! Je serre les fesses, je serre les dents, je serre tout ce que je peux, dans un instant je vais éclater, je ne vais quand même pas pisser dans la bagnole…
– Ça ne va pas, Lynn ?
– Si, si ! Mais bon…
On se farcit un nombre incalculable de feux rouges, je vais craquer, je vais en foutre partout. J’arrive quand même à me retenir… Et on finit par arriver devant chez elle !
– Monte chez-moi, tu ne tiendras pas jusqu’à la gare !
– Je crois que je vais faire comme, ça, oui ! Vous pouvez m’attendre, j’en ai pour cinq minutes, dis-je au chauffeur !
– Oui, mais vous me payez déjà le bout de course et après je fais tourner le compteur.
Sylvaine paie le mec, je monte avec elle, je suis blanche comme un linge. Ça y est, on est sur le palier. Elle cherche ses clés, je sens que je vais me lâcher dans quelques instants. Elle les trouve ses clés, oui ou merde ? Enfin, la clé tourne dans la serrure, la porte s’ouvre… J’entre !
– C’est où ?
– Au fond…
Trop tard !
– Excuse-moi…
– Ce n’est rien…
Tu parles que ce n’est rien, mon jean est plein de pisse, je n’ai pas eu la volonté de faire ces derniers mètres.
– Me voilà fraîche !
– Ce n’est rien, on est entre femmes, ça aurait pu m’arriver aussi….
– Je vais finir là-bas, j’ai encore envie !
– Tu peux finir, ici, au point où tu en es ! De toute façon, faudra que je nettoie !
Hein ? Elle n’est pas bien celle-là ! Mais la surprise me cloue sur place, elle s’accroupit devant moi, me caresse les cuisses, étalant de la main l’urine sur mon pantalon…
– Tu vas croire que je suis folle, mais j’aime bien caresser les femmes… mais bon, je n’impose rien à personne… mais tu ne peux pas savoir comme cette situation m’excite.
– C’est parce que je pisse que ça t’excite ?
– Bingo !
Pour moi l’érotisme était bien loin depuis cette envie de pisser, et soudain le voici qui se rapproche, mon fantasme ressurgit, deux fantasmes… Je lutte… Pas avec cette fille qui ne m’attire pas, et puis entre les fantasmes et la réalité, ce n’est pas la même chose… Et puis je la vois faire, elle porte sa main humide d’urine à son nez, semble s’enivrer de l’odeur, puis la porte devant sa bouche, sa langue sort, elle lèche… mon dieu…
– Retire ton pantalon ! Dit-elle
– Et pourquoi ?
J’essaie de ne pas perdre top l’initiative !
– Parce qu’il est mouillé !
– Et je vais repartir comment ?
– En taxi, s’il n’est pas parti, Rigole-t-elle
– Et sans pantalon ?
– Je te prêterais un truc !
Je retire le bazar, toute mouillée, ma petite culotte est une vraie serpillière, mes cuisses sont trempées. Sylvaine me les lèche comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et moi grande idiote, je me laisse faire.
– La culotte ! Indique-t-elle
– Quoi, la culotte !
– Retire là !
– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Tout à fait, oui !
– Alors d’accord ! Dis-je en la retirant.
– Donne !
Je lui tends la culotte, elle la tord au-dessus de sa bouche, avale les gouttelettes chassées par l’essorage. Elle est folle à lier, et moi je suis excitée comme pas possible. Elle retire son haut mais conserve son soutien-gorge ! Dommage j’aurais bien aimé voir sa grosse poitrine. Je suis un peu bête, il me suffirait de lui demander, mais je suis comme ça, il faut toujours que je temporise, on ne me refera pas…
– Tu serais cap’ de me pisser dessus ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas !
– Quand on dit « je sais pas », c’est qu’on dit pas « non »
– On est folle toutes les deux !
– C’est pas grave ! Alors d’accord ?
Elle n’attend pas ma réponse, et retire son pantalon, puis sans crier gare, s’étale sur le sol dans la marre d’urine !
– Vas-y !
J’y vais ! Je me lâche, une véritable cascade jaunâtre lui dégringole sur le visage, elle ouvre la bouche, elle en avale une partie, rejette le reste. Je dois être en train de rêver. Le jet finit par se tarir… Elle se relève alors, elle dégage ainsi mouillée un érotisme auquel je ne suis pas insensible, les bonnets de son soutien-gorge sont tout humides, elle prend ses seins et les fait pigeonner pardessus… Pas très élégant, je préférerais qu’elle enlève tout… Alors je me surprends à me baisser pour passer mes mains derrière son dos afin de lui dégrafer le soutif. C’est la première fois que je défais le soutien-gorge d’une femme, il y a toujours une première fois.
Je ne sais pas comment elle a fait, mais voilà Sylvaine entre mes cuisses, sa langue cherche ma chatte, je me laisse faire, je suis si excitée que cela ne peut que me faire du bien. Elle me tire le bras, elle veut quoi ? Je comprends qu’elle souhaite que je me baisse, je me retrouve par terre, le cul dans la pisse, le visage de la petite grosse dans mon entre-jambe, elle lape, elle bave sur mon sexe, je le sens tout gluant, drôle d’impression, quand mon copain me fait un cuni, c’est beaucoup plus light, et puis elle concentre ses efforts sur mon clitoris, ça me démange un maximum, je sens que je vais exploser dans tous les sens, ça ne rate pas, je jouis comme je l’ai rarement fais, bruyamment et violemment.
Je regarde ma montre, ça fait combien de temps que je suis ici, à peine plus de cinq minutes… Je pense au taxi, ça m’étonnerait qu’il s’éternise, tant pis, je rentrerais comme je pourrais, mais quelle expérience !
– Ça va ? Demande-t-elle !
– Pas mal comme coup de folie !
– J’étais sûre que tu aimerais mes caresses !
– Comment tu pouvais être sûre ?
– L’habitude, il y a certains regards qui ne trompent pas, quand t’es venu me parler, je me doutais que tu essayais quelque chose…
– Ce devait être inconscient…
– Je ne dis pas le contraire ! J’avais envie de m’amuser, tu sais ce que je voulais faire ? Reprend-elle
– Non, dis ?
– Ben, je voulais éviter toute allusion sexuelle, jusqu’au moment de nous séparer, et là on se serait fait un bisou, et en fait de bisou je t’aurais roulé un patin !
– Génial !
– Mais ton envie de pisser a modifié mes plans… Je n’avais pas prévu que ça tourne en uro, mais quand je t’ai vu pisser dans ton pantalon, je suis devenue complètement folle. Ça passait ou ça
cassait, et il y avait bien plus de chances pour que ça casse, les filles qui aiment ce genre de choses ne sont pas si nombreuses…. Tu fais ça souvent ?
– Ben, c’est la première fois ! Avouais-je..
– Ok, je vois, bon tu sais j’aimerais bien jouir aussi…
Je ne sais pas trop ce que j’allais répondre, mais soudains ses lèvres se sont collées aux miennes, et voilà que nous échangeons un baiser baveux, c’est incroyable ce que cette fille peut sécréter comme salive…
– Et si tu te mettais à poil ? T’es pas trop pressée j’espère !
– Non, je vais juste passer un coup de fil à mon copain pour lui dire que ça dure plus longtemps que prévu.
– OK ! Passe-lui un coup de fil, et tout à l’heure tu lui en passeras un autre, tu lui diras que tu as raté le dernier train et que tu es allé coucher chez une copine…
– Ça ne marchera pas, il me dira de prendre un taxi…
– Mais si ça marchera…
Dingue ! Elle dispose de moi sans à peine me demander ce que j’en pense et moi je me laisse faire…
– T’aimes qu’on te domine ? Demande-t-elle alors
– Comment ça ?
– Ben par exemple je pourrais te donner des ordres, comme ça pour jouer…
– Je ne comprends pas bien.
– Par exemple, je peux te dire de nettoyer toutes tes cochonneries, et si tu ne vas pas assez vite, je te fesse le cul !
– Mais pour jouer ?
– Oui, pour jouer !
– D’accord, je veux bien !
– Tu vas être ma petite esclave, alors, tu feras tout ce que je te dirais !
– Tout, peut-être pas !
– T’inquiètes pas, je sais jouer ! Et si je te traite de tous les noms, ça ne va pas te traumatiser ?
– Ben non puisque c’est un jeu !
– Alors on y va ! Et je te signale que tu ne pas encore mise à poil !
Pas de panique, je ne sais pas dans quoi je m’embarque, mais quelque chose m’empêche maintenant de reculer, j’enlève le haut, dévoile mes seins à Sylvaine !
– Hum pas mal tes nichons ! Ce doit être un plaisir de leur tirer dessus !
– On peut les caresser sans leur tirer dessus ! Répondis-je par réflexe !
– Ta gueule, poufiasse ! M’interrompt-elle !
C’est vrai j’avais déjà oublié qu’on jouait… Elle m’attrape mes bouts de seins, les serre entre le pouce et l’index, un frisson me parcoure le corps, je soupire de plaisir, la pression s’accentue, elle tord à présent la petite excroissance de chair.
– Tu aimes ?
– Oui !
– Je savais bien que tu étais une petite salope…
Elle penche la tête, me lèche le sein, donne des coups de langue sur le téton, puis je sens ses dents qui me mordillent, j’espère qu’elle sait ce qu’elle fait… apparemment, oui, et cela n’a rien de désagréable….
– Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de m’occuper de ton gros cul !
Amusant, parce que mon cul est bien loin d’avoir la largeur du sien, mais je ne dis rien et obtempère.
– Joli cul, je vais me régaler en tapant dessus !
– Pas trop fort !
– Tu vas la fermer, oui, petite pute !
Un coup arrive, frappé du plat de la main sur ma fesse gauche. Ça fait un peu mal, mais quelque part j’aime bien, je cambre les fesses, attendant la suite
– Tu veux encore, hein ?
– Oui !
– Tu es bien une chienne !
– Je suis tout ce que tu veux, vas-y fais-moi tout ce que tu as envie !
– Hummm tu devrais pas me dire des choses comme ça, tu ne sais pas de quoi je suis capable !
Et la voilà qui me frappe à la volée, elle n’arrête pas, mon cul me fait mal, il est tout chaud, ça pique de partout, et en même temps ça m’excite, ce soir je suis une vraie chienne en chaleur et j’en ai conscience… mais jusqu’où vais-je aller ?
Sylvaine a arrêté sa fessée, et sa langue vient s’immiscer dans mon trou du cul ! Voilà encore un truc qu’on ne m’avait pas fait depuis belle lurette.
– Ouvre un peu tout ça que je mette la langue !
– Oui.
– Tu sais qu’il pue ton trou du cul ?
Voilà qui me surprend, ce n’est pas vraiment mon genre… mais peut-être me fait-elle simplement « marcher » ?
– Je suis désolée, tu veux que j’aille me le laver ? Proposais-je
– Sûrement pas, il est très bien comme ça ! J’aime bien qu’un cul ça sente le cul ! Mais le tiens, je te dis pas ! Tiens viens m’embrasser salope !
On se roule une nouvelle gamelle, c’est toujours aussi baveux, toujours aussi excitant…
– Ça t’excite de m’embrasser la bouche alors que je viens de foutre ma langue dans ton cul tout sale ?
Pour être honnête, non, et d’ailleurs je ne sens pas grande différence avec tout à l’heure mais je joue son jeu…
– Oh, oui ça m’excite !
– OK, alors on permute !
Et la voilà à son tour à quatre pattes, le cul tendu ! Je ne sais pas si je vais pouvoir faire ça ! Je m’approche, commence par lui caresser et embrasser les fesses, ça va, elle se laisse faire, elle n’est pas pressée, moi non plus, mais au bout d’un moment elle me rappelle à l’ordre :
– Bon, alors petite leçon d’anatomie, le trou du cul c’est au milieu ! Et c’est là que j’aimerais bien sentir ta langue !
Plus moyen de tergiverser, j’y vais, je lui écarte ses deux gros globes fessiers, je regarde, ça me semble mignon tout plein ce petit trou là, j’approche ma langue, l’odeur est un peu forte, mais ça n’a rien de repoussant ni même de gênant, Je lui farfouille l’anus ainsi pendant quelques minutes, sous ma caresse l’orifice s’ouvre légèrement, excitant ce truc-là !
– Bon, ça va, t’est une bonne lécheuse de cul ! Maintenant tu vas t’allonger par terre sur le dos, et je vais te faire pipi dessus.
– Moi, je veux bien mais c’est tout mouillé, il faudra que je prenne une douche avant de rentrer.
– Pourquoi veux-tu rentrer ? Tu ne veux plus que je te garde pour la nuit ?
C’est qu’elle insiste ! Je ne réponds pas, je m’allonge dans ma pisse à présent refroidie. Sylvaine m’enjambe au niveau de mon ventre et remonte vers mon visage.
– Pas sur le visage !
– Pourquoi tu ne veux pas goûter à mon champagne.
– J’ai déjà gouté du pipi, mais là il va y en avoir de trop !
– Dis donc, qui c’est qui commande, ici ? Répond-elle !
J’avais oublié son jeu idiot !
– Bon écoute pisse-moi dessus si tu veux, mais pas sur le visage, tu n’as qu’à m’asperger les seins ou le ventre…
– Si tu n’essaie maintenant pas tu n’essayeras jamais…
Mais, elle se recule, se concentre un moment, puis elle m’arrose le nombril ! Drôle d’impression c’est tout chaud, c’est amusant, finalement ça me plait bien ce truc-là ! Et puis elle s’arrête, je suis persuadée qu’elle se retient… Elle se baisse, humecte son doigt avec l’urine qui stagne sur mon corps, puis le pointe vers ma bouche.
– Suce !
– Mais, je…
– Juste ça, ça ne va pas te tuer…
– Arrête !
– Obéis, obéis à ta gentille maîtresse, cela lui ferait tellement plaisir !
Quelle chieuse ! Effectivement ça ne va pas me tuer, je fini par lui lécher le doigt, son urine me paraît plus forte que la mienne… Mais ça n’a rien de désagréable. Le problème c’est qu’elle va vouloir savoir ce que j’en pense, et que si je lui dis la vérité elle va s’entêter à chercher à m’en faire avaler de vraies rasades….
– Alors ?
– Alors, bof !
– Deuxième essai
Deuxième doigt, je m’habitue au goût de sa pisse, cette fois si, il y a l’effet de surprise en moins.
– Allez je vais te donner deux ou trois gouttes !
Elle s’accroupit, la chatte à quelques centimètres de mon visage… Je ne lui ais pas dis que j’étais d’accord, elle fait ce qu’elle veut, et moi, je n’ai rien refusé malgré mes résolutions, on ne se refait pas…
– Ouvre la bouche !
– Juste un peu, hein !
– T’inquiètes pas !
Un petit filet d’urine me dégringole dans le gosier, drôle d’effet, je ne suis pas obligée d’avaler, je peux tout cracher, mais j’avale… amusant, excitant et délicieusement pervers… Allez ça marche, le pas est franchi, maintenant il faut assumer !
– Encore ! Lui demandais-je par pure provocation
– On y prend goût, hein ?
– C’est excitant, j’avoue !
J’ai plein de pisse dans le gosier, Bon dieu que je suis excitée.
– Ça fait du bien faire pipi ! Commente-t-elle, maintenant je ferais bien caca. T’aimerais me regarder faire ?
Elle est folle !
– Non, peut-être pas !
– Je demandais juste comme ça !
Elle a dû sentit mon trouble car elle me relance
– On dirait que tu hésites ?
– En fait, oui !
– T’as jamais fait des trucs comme ça ?
– Si je me suis déjà léché les doigts…
– Et c’était bon ?
– On va dire que c’était pas mauvais
– Je suis sûre que tu aimerais me regarder chier ?
– On peut toujours essayer.
Fallait vraiment que je sois super excitée pour répondre ça !
– J’aime bien qu’on me regarde chier, j’aime bien regarder aussi.
Oui, bon, ça va, j’avais compris !
Elle s’accroupit, me présentant ses jolies fesses bien rebondies, l’anus s’ouvre, un petit bout de crotte apparaît, ça grossit, l’étron devient boudin et dégringole. Il est joli, bien moulé, je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est attendrissant mais le fait est que je suis plus fasciné que révulsé.
– Alors ? Me dit-elle
– Ben alors je ne sais pas trop quoi dire !
– N’empêche que tu mouilles !
– Ben oui je mouille !
Sylvaine ramasse son étron et le prend dans ses mains, je ne sais pas ce qu’elle à l’intention de faire mais j’interviens.
– Non on passe à autre chose !
J’ai dit ça par réflexe, je l’ai aussitôt regretté mais Sylvaine a reposé le caca.
– Allez, viens me faire une rincette !
– Une rincette ?
– Ben oui, tu me nettoies la chatte avec ta langue !
Sylvaine s’installe sur le dos. Allez, on se dégonfle pas, on y va ! Bien sûr que sa chatte sent la pisse, bien sûr que je lape tout ça, allant jusqu’à regretter que le petit goût particulier disparaisse aussi vite. Elle a un gros clito, il doit faire le double du mien, je le lèche, je le suce, je l’aspire, je joue avec. Sylvaine se crispe, ses cuisses deviennent toute raides, sa respiration ressemble à celle d’un teckel qui respire les traces d’un lapin. Le problème c’est que je jouirais bien encore une fois. L’idée c’est de me mettre en soixante-neuf… On y va !
– Non continue !
Elle est chiante la Sylvaine. D’accord je reste en place. J’active ma langue jusqu’à m’en faire mal, elle jappe maintenant, elle coule sur ses cuisses, et sentir son excitation monter dédouble la mienne. Je crains un moment de ne pas arriver à la satisfaire. Il va falloir que je fasse une pause, sinon je vais me faire mal à la langue. Encore un petit effort… Et boum, la voilà qui orgasme comme une damnée, elle hurle, semble partie on ne sait où pendant de longues secondes puis me sourit, m’enlace, m’embrasse, me serre dans ses bras. On rigole, on est heureuses toutes les deux.
– A toi ! Lui demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi, mais dis donc espèce de vilaine, tu m’as nettoyé la chatte mais pas le trou du cul.
– Ben, c’est-à-dire…
– C’est-à-dire quoi, fais moi plaisir, et comme t’es excitée comme une puce, ça va être le pied.
Alors je me suis lancée et je lui ai nettoyé son trou du cul merdeux pendant que ma chatte dégoulinait de mouille.
J’avoue avoir pris un plaisir intense à lui nettoyer l’anus.
Puis comme promis, elle m’a de nouveau fait jouir, on est allé se doucher puis se coucher avec pleins d’idées salaces dans la tête, mais aussi crevées l’une que l’autre, on s’est endormi de suite et on a dormi comme des souches.
Au réveil, Sylvaine est restée gentille, mais ce n’était plus la même, elle m’a fait comprendre qu’elle avait été ravie de passer un moment de folie en ma compagnie mais qu’elle ne souhaitait pas prolonger cette relation. Un instant je m’étais fait des illusions, mais je n’étais que son « coup d’un soir ». J’ai encaissé le coup, on s’est embrassée plutôt chastement quand je l’ai quitté. Dans l’escalier, j’ai versé une larme.
Je n’ai jamais revu Sylvaine
Devant la porte de l’appartement de mon copain, deux valises et un sac poubelle. Il y a un petit mot aussi, je le découvre :
« Tu t’es bien foutu de ma gueule, puisque tu as trouvé mieux que moi cette nuit, reste avec lui et ne cherche plus à me revoir, je te fais cadeaux des valises. »
J’aurais pu entrer, j’avais la clé, je ne l’ai pas fait, j’ai embarqué tout le bazar et je suis retourné chez moi, là où je n’avais pas mis les pieds pendant six mois. J’ai défait les valises, mon ordinateur portable y était. Alors je l’ai branché, je me suis mise à poil, pas complétement puisque j’avais conservé ma petite culotte, je me suis amusé à pisser dedans. Puis je suis allé sur un site d’annonces, j’ai regardé si quelque chose me branchait, et comme ce n’était pas le cas, j’ai décidé d’en poster une.
« Jeune femme ayant découvert récemment les plaisirs saphiques et uro recherche relation suivie basée sur le respect mutuel et la tendresse, peut être donneuse ou receveuse… scato légère possible »
Epilogue
Le lendemain j’avais rendez-vous avec Annabelle, 28 ans. On a tout de suite sympathisé. Cela fera 10 ans demain que nous vivons ensemble, je suis heureuse, même s’il m’arrive d’avoir parfois une pensée nostalgique pour Sylvaine.
Fin
© Marie-Paule Perez et Vassilia.net. Tout droit réservé avril 2011, complété en 2018
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