Léna Van Eyck

Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:46

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 8 – Le curé libidineux suivi du turc intrigantcure stamp2

La première semaine m’a permis de prendre mes marques. Le travail ne manque pas et je m’efforce de le faire aux mieux. J’ai dû répondre aux sollicitations sexuelles de Romain Conrad, ce fut rapide et sans imagination ce qui m’a quelque peu étonné. J’ai dû également me farcir plusieurs fois, Théophile, le fiston….

– Nous allons recevoir l’abbé Hurel, un curieux personnage avec lequel mon mari échange quelques menus services ! Précisa Madame Conrad. Il est… comment dire… assez libidineux, et avait ses habitudes avec Fernande, il est donc probable qu’il te sollicite.
– Bien Madame, j’espère me montrer à la hauteur.

L’abbé Hurel est un petit rondouillard dans la cinquantaine. Il est venu accompagné d’un jeune séminariste au physique ambigu.

– Ah monsieur Conrad, je vous présente Armand, j’aimerais que vous me rendiez un petit service…
– Si c’est dans mes cordes…
– J’ai écrit, sous un nom d’emprunt une petit roman licencieux, j’aimerais que vous fassiez le nécessaire pour qu’il soit publié.
– Et en échange ?
– Que pensez-vous d’Armand ?
– Ce serait donc lui la monnaie d’échange ?
– Si cela vous agrée.
– Ma foi, pourquoi pas ?
– Je vois que vous avez une nouvelle bonne ! Fernande n’est donc plus là ?
– La pauvre s’est cassé la jambe. Pauline la remplace. Et elle aussi coquine que Fernande.
– Dans ce cas prenons un peu de bon temps. Mais auparavant trinquons, je vous ai apporté un flacon de Bénédictine…

Je prends trois verres dans le vaisselier et les dispose sur la table en prenant bien soin de me pencher en avant de telle façon que le curé puisse constater que je ne porte pas de culotte sous ma jupette.

Non seulement il constate, mais il touche sans demander, ce gros cochon. Et sa main remonte très haut !

– Oh, monsieur le curé, qu’est-ce que vous me faites ? Fis-je semblant de m’indigner.
– Vous êtes une tentatrice, le diable vous habite !
– Si ça vous pose vraiment un problème, je peux m’éclipser.
– N’en faites surtout rien !
– J’ai du mal à vous suivre.
– Je ne suis qu’un pauvre pécheur, mais c’est sans doute la volonté de Dieu et comme les desseins de Dieu sont impénétrables….
– Pas comme moi !
– Pardon ?
– Si nous en venions aux faits, vous avez envie de me sauter si je ne m’abuse ?
– Hélas, la chair est faible !
– Pas grave !
– Mais regardez Monsieur Conrad et Armand ! Que font-ils donc ? Me demande-t-il alors qu’il le sait fort bien
– On dirait bien qu’ils se tripotent.
– Nous allons les regarder, cela me mettra en forme et ensuite nous batifolerons.
– Comme il vous plaira !
– Nous allons nous assoir côte à côte. Et surtout n’en profitez pas pour m’imposer des attouchements vicieux, je serais capable de me laisser faire !

En face de nous, Romain Conrad et Armand ont envoyés pantalon et caleçon sur leurs chevilles et se branlent mutuellement la nouille.

– Non, mais regardez-moi ces cochons ! Me dit le curé, vous croyez qu’il vont se sucer la bite ?
– Oh, monsieur le curé ! Sont-ce là des mots d’un homme d’église ?
– Il faudra que je me confesse mais répondez donc à ma question !
– Cela me paraît dans l’ordre des choses ! Répondis-je en plaçant ma main sur son entrejambe.
– Mais que fait votre main à cette endroit ?
– Tu le sais très bien, curé… Mais dis donc tu commences à bander comme un gros goret !
– C’est votre main impie…
– Oui, bon si tu arrêtais ta comédie ! T’es venu pour tirer un coup, alors laisse-moi faire et épargne moi tes propos de vierge effarouchée !
– Eh bien, vous avez un sacré tempérament, vous !
– N’est-ce pas ? Allez sors-moi ta bite de curé libidineux, j’ai hâte de voir à quoi elle ressemble !

Il se contorsionne pour baisser son pantalon sans se relever, idem pour le caleçon, le voilà la bite à l’air, demi-molle mais conséquente. Je la branlote un peu et en vérifie l’état. J’ai parfois des petits soucis avec les invités de Monsieur Conrad. Si la chose manque de netteté, je les invite le plus diplomatiquement possible à pratiquer un petit rafraichissement préalable. Mais sa bite est bien propre (bizarre, je n’aurais pas cru !). Je peux donc la sucer !

Pauline08Gloup !

Et me voilà avec la bite de l’ecclésiastique dans la bouche, il ne tarde pas à bander de fort belle façon comme un cochon. Je pourrais continuer jusqu’à ce qu’il jouisse, mais je me doute bien qu’il n’est pas venu pour une pipe rapide et qu’il va vouloir me baiser.

Afin de faire un peu diversion, je dirige un doigt vers son trou du cul.

– Oh ! Mais que fait ce doigt à cet endroit ?
– Que des bonnes choses !
– Vous allez me l’enfoncez ?
– Je vais le mouiller un peu avant, ça glissera mieux !
– Faites donc !

Je l’ai ainsi doigté quelques instants, le faisant se pâmer de plaisir avant de lui proposer autre chose :

– Et si tu me caressais la foufoune ?
– Tu ne m’as pas montré tes nichons ! Objecte le cureton.
– Tu as raison, corrigeons cette impardonnable erreur!

J’appréhende toujours cette situation, certains bonhommes ayant tendance à traiter les nénés comme s’ils étaient en pâte à modeler..

Effectivement il me les malaxe sans grande douceur. Je suis à deux doigts de lui envoyer une vanne, mais pour le moment je supporte. Et gatalement il s’en prend après mes tétons qu’il tortille à qui mieux mieux.

Un coup d’œil de l’autre côté de la pièce où les deux mâles sont maintenant entièrement nus. Armand, le jeune séminariste s’est baissé et à pris en bouche la bite de Romain Conrad qu’il suce avec voracité.

Il commence à m’énerver le cureton à me lécher les tétons de sa vilaine langue. Je décide donc de reprendre l’initiative.

– C’est bon, curé ! Tu voudrais m’enculer ?
– Pourquoi pas ? Mais pourquoi faire par derrière ce que l’on peut faire par devant ?
– Parce que je n’ai aucune envie de me retrouver dans neuf mois avec un bébé curé.
– Savez-vous que la sodomie est un péché mortel ?
– Oh ! Tu ne vas pas recommencer ! Tu m’encules ou tu te branles tout seul dans ton coin, c’est au choix.
– J’ai tellement péché dans ma vie, qu’un peu plus, un peu moins, présentez-moi votre cul ma douce que je vous enfile gaillardement.

Qu’est-ce qu’il est lourd, ce mec !

Je lui ai demandé de me lubrifier l’anus avec sa langue, ce qu’il a fait sans rechigner, j’en avais bien besoin car jusqu’à présent je ne mouillais pas du tout.

Il m’encula donc tandis qu’un peu plus loin Romain Conrad en faisait autant avec le jeune séminariste qui poussait des gloussements de plaisir.

– Sic itur ad astra ! S’écria-t-il en jouissant.
– Pardon ?
– C’est du latin, ma fille !!
– Je ne suis pas votre fille !

Ce fut quand même la première fois que j’entendis quelqu’un jouir en latin !

Quand le curé sortit sa bite mon cul, je n’avais aucunement l’intention de la lui rincer de ma bouche, Je lui indiquais donc que j’allais revenir et réapparu avec quelques débarbouillettes puis quittait le salon pour vaquer à d’autres activités beaucoup moins charnelles

Et la semaine suivante…

– Pauline, nous allons recevoir Can Guzel, l’attaché culturel de l’ambassade de l’empire Ottoman, tu ne l’aguicheras pas, c’est à lui de faire le premier pas, donc s’il te fait des avances, tu te laisses faire gentiment.
– Bien, monsieur !

Il n’est pas beau, ce Guzel, la cinquantaine, ventripotent, fines moustaches, cheveux gras, odeur de transpiration… berk.

Il est accompagné de deux types plus jeunes qui ressemblent davantage à des bandits de grands chemins qu’à des diplomates.

Je sers à boire à ces messieurs (du thé, pas d’alcool) qui me reluquent sans aucune discrétion.

Ils discutent sans que je comprenne la conversation. Pas grave, je m’en fiche.

Un moment, Guzel tend une feuille à monsieur Conrad qui la parcoure d’un air satisfait.

– Parfait, absolument parfait, je vais mettre ça au coffre de suite !

Pourquoi un tel empressement ?

– Venez avec moi, Pauline !.

Ah bon ?

Une fois dans le petit bureau Conrad me fait partager son agacement mais en parlant très doucement.

– Non seulement ces abrutis ne boivent pas de pinard, mais ils se montrent insensibles à tes charmes, ça se présente mal pour la suite…
– J’avais pourtant cru qu’ils me déshabillaient des yeux !
– Oui mais ça ne va pas plus loin…
– Que dois-je faire, monsieur ?
– Essaie quand même d’allumer Guzel ou l’un de ses sbires, mais sans insister, maintenant je vais mettre ce papelard au coffre, tout est bidon là-dedans, mais je ne vais pas leur dire que je m’en suis aperçu.

Qu’est-ce qu’il raconte ?

Conrad compose la combinaison permettant l’ouverture du coffre-fort, sort une chemise en papier et sent comme une un présence derrière lui, il se retourne, aperçoit Izmir, l’un des accompagnateurs de Guzel

– Oh, mais que faites-vous là Monsieur ?
– Je cherchais les commodités.
– Vous vous trompez de porte, Pauline accompagnez monsieur où il convient.

Je précède donc le dénommé Izmir en me tortillant le popotin.

– Aimeriez-vous que je vous la tienne ? Lui demandais-je.
– Me tenir quoi ? La porte ? Elle ne ferme pas à clé ?
– Non pas la porte !
– Que voulez-vous tenir alors ?

Mais il est con ce mec ou quoi ?

– Vous ne comprenez pas… je suis un peu coquine…
– Foutez moi la paix, créature lubrique !

Bon, ben c’est raté !

– Vous ne savez pas ce que vous perdez !.

J’attends derrière la porte qu’il ait terminé afin de le raccompagner au salon. Bizarrement je n’entends aucun bruit de pipi. Il est louche ce type !

Il finit par sortir.

– Je n’ai pas besoin de vous ! Me dit-il avec suffisance, je connais le chemin !.

On ne fait pas plus aimable !

L’affaire en resta-là du moins pour ce jour parce que deux jours plus tard…

J’étais allé faire quelques courses sans me rendre compte que j’étais suivie. C’est sur le chemin du retour, mon cabas rempli, qu’Izmir m’aborda avec un grand sourire.

– Mademoiselle Pauline ! Quel hasard ! Que le monde est petit. Décidemment Paris est un village…

Tu parles !

Je n’avais aucune envie d’être aimable avec ce citoyen.

– Passez votre chemin, monsieur, je ne vous connais point.
– Je n’ai pas été très aimable avec vous l’autre jour, veuillez accepter mes excuses.
– C’est ça, au revoir !
– Je voulais vous poser une question…
– Bon vous allez me foutre la paix ou j’appelle un sergent de ville.
– Combien gagnez-vous par quinzaine ?
– Et qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ?

Pour information je gagnais 1,8 franc par jour hors prestations spéciales, ce qui est au-dessus des salaires moyens pratiqués et qui nous fait la quinzaine à 25 francs.

– Et si je vous offrait 200 francs en échange d’un tout petit service ?
– Merde !
– Vous n’aimez pas l’argent ?

Ben si et du coup je suis dubitative, et bien malgré moi je ne peux m’empêcher de lui demander de quoi il s’agit.

Dans le coffre de vos patrons, il y a une chemise à sangle marquée EO (comme Empire Ottoman), Vous la subtilisez et vous me l’apportez. Pour ouvrir le coffre la combinaison c’est 2754.

Mon cerveau se met à fonctionner à toute vitesse, si je refuse, ça va mal tourner, le type n’en restera pas là et utilisera la menace. Si j’accepte, je me rends sans doute complice de quelque chose de grave. Je fais donc semblant d’accepter.

– OK, demain à 10 heures devant l’entrée de la Gare St Lazare, rue de Rome
– Demain je ne sors pas, ce sera après-demain.
– D’accord, vous aurez vos 200 francs à ce moment-là !

Revenu chez mes patrons je me suis empressé de raconter cette étrange rencontre. Il en est tout chamboulé, monsieur Conrad.

– Et il vous a indiqué quoi comme code ?
– 2754 !
– C’est le bon ! Nous avons donc eu affaire à un mentaliste, il faisait semblant de chercher les chiottes alors qu’il m’a vu faire la combinaison du coffre. Les ottomans jouent avec le feu, je vais essayer de régler çà.

Roman Conrad se fait conduire en calèche au Quai d’Orsay et demande à rencontrer d’urgence le ministre des Affaires étrangères, Jules Ferry

– Je ne vois pas d’autre solution que de faire procéder à l’élimination de cet individu ! Explique Conrad. Je crois savoir que vous avez à votre disposition des gens qui savent faire !
– Je ne peux pas écarter le risque qu’un petit malin découvre le rôle des services secrets français… dans ce cas les conséquences diplomatiques peuvent être catastrophiques. C’est donc un refus, monsieur. Conrad.
– Je suis déçu, monsieur le ministre, mais je comprends votre point de vue. Dans ce cas je peux m’occuper moi-même de trouver un voyou qui se chargera de l’affaire.
– Je vous le déconseille, si après son forfait votre voyou est appréhendé, il parlera et l’enquête remontera jusqu’à vous. Je vous déconseille expressément cette procédure. En aucun cas nous ne souhaitons des problèmes avec les diplomates ottomans.
– Et que me conseillez-vous ?
– Je n’en sais rien, moi, recommandez à votre domestique de dire que le code de votre coffre a changé…
– Je crains dans ce cas que l’individu revienne à la charge…
– Il ne pourra pas !
– Si ! Il emploiera la menace, le chantage et mettra en danger la vie de ma domestique.
– Et qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse, Excusez-moi monsieur Conrad mais je dois me rendre d’urgence à Matignon. Ne faites rien d’inconsidéré !
– Merci de m’avoir reçu, monsieur le ministre.

« Quel con ce Ferry ! » se dit Conrad en sortant du ministère.

En revenant à son domicile, l’esprit d’escalier avait effectué son travail et Conrad avait un plan.

Il me l’expliqua. Ça ne me disait pas grand-chose, mais j’avais une certaine confiance en lui, j’acceptais donc.

– Après il te faudra disparaitre par mesure de sécurité, ça te plairait d’être vendeuse ?
– Pourquoi pas ?
– Je vais t’écrire une lettre de recommandation pour le chef du personnel du « Bonheur des dames »…Mais d’abord la mission…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:41

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 7 – Chez les Conrad
Stamp sodo2

Auguste se demande où j’ai bien pu passer, il arpente les rues, entre dans quelques rades pour en ressortir aussitôt, visite les squares, bref il ne sait quoi faire et s’apprête à rentrer, il passe devant la gare et ça fait tilt dans sa pauvre tête.

Il entre dans le hall, achète un ticket de quai et rejoint les quais, et plus précisément celui destiné à recevoir les trains allant à Paris.

Et justement sur ce quai, j’y étais, et voilà que le train arrive et que je me dirige vers la porte afin d’y monter à l’intérieur.

Auguste me voit, il aurait pu monter me rejoindre et me suivre jusqu’à Paris, puisque le train va marquer cinq minutes d’arrêt, mais Auguste ne saurait voyager sans billet, il est comme ça Auguste.

Remarquez, heureusement car s’il m’avait rejoint l’histoire que vous lisez aurait pris une tout autre tournure. Admettez que cela eut été dommage !

Cinq heures de train, un machin qui s’arrête partout conduit par une locomotive aux fumées fort peu discrètes. Je suis près de la fenêtre dans un compartiment occupé par un couple chic avec un gosse braillard et turbulent, il y a aussi un prêtre entre deux âges à moitié endormi et un jeune homme en casquette. J’essaie de m’intéresser au paysage qui défile, mais décidemment ça défile trop vite, alors j’essaie de dormir, mais avec le môme infernal, c’est peine perdue.

La mère sort du compartiment avec son gosse, je suppose qu’elle l’accompagne aux toilettes. Une belle femme, pour qui apprécie les grandes brunes. Le curé somnole, je me demande comment il a pu s’endormir avec un tel barouf.

Le père du gamin m’interpelle.

– Vous allez jusqu’à Paris ?
– Oui, je cherche un emploi !
– Quel genre ?
– Peu importe, je ne suis pas difficile. Un emploi de maison me conviendrait volontiers

Il fouille dans son portefeuille et me tend une carte.

– Romain Conrad ! Se présente-il. Voici mon adresse, présentez-vous après 20 heures, je vous trouverai quelque chose… et ne vous inquiétez pas pour mon épouse, je m’arrangerai !
– C’est gentil, mais pourquoi cette soudaine sollicitude ?
– J’aime faire le bien et puis j’aime les jolies femmes !
– Je ne sais comment vous remercier !
– Je suis un homme et je suis très sensible aux charmes féminins si vous aviez l’obligeance de me montrer vos cuisses, je serais le plus heureux des hommes.

Ben voyons…

– Mais enfin, monsieur, je ne suis pas celle que vous croyez ! Me défendais-je fort hypocritement.
– Epargnez moi votre couplet d’effarouchée, ça ne prend pas avec moi !
– Alors soit, puisque vous tenez à me pervertir, je vais vous faire un tour de catin.

Je retire ma chaussure droite, soulève ma jupe jusqu’à mi-cuisse et lance ma jambe vers la braguette du père Conrad qui ne s’attendait pas à ça.

Mon regard se déporte un moment vers la gauche où le curé fait très mal semblant de dormir, sa main descendant en bas de son ventre et ce n’est pas son missel qu’il tripote.

Il a vu que je l’ai vu et change d’attitude.

– Ce n’est point le lieu pour faire de telles cochonneries. Vous vous croyez où ? S’exclame-t-il.
– Si ça vous gêne tant que ça, vous n’avez qu’à pas regarder ! Lui répond sèchement Conrad.
– Vous n’avez donc aucune moralité, vous devriez avoir honte !
– Et de vous tripoter la bistouquette en nous regardant du coin de l’œil, ça ne vous gêne pas ? Intervins-je.
– Calomnies ! Basses calomnies !

Mais voici que la porte du compartiment s’ouvre, je retire subrepticement mon pied et ajuste ma jupe.

– Madame ! Dit alors le curé, il est de mon devoir de prêtre de vous informer que votre époux s’est livré en votre absence à des gestes que la morale réprouve en compagnie de cette créature.
– Et ça ne vous gêne pas de proférer de tels propos devant un enfant ? Rétorque Madame Conrad.
– D’autant que c’est même pas vrai ! Intervient le jeune homme en casquette.
– Maman c’est quoi, une créature ? Demande le mioche !
– Demande au curé il va essayer de t’expliquer.

Il est tout rouge le curé, mais ne se dérobe pas.

– C’est une femme de mauvaise vie !
– C’est quoi une femme de mauvaise vie ? insiste le gamin.
– Un personne qui ne respecte pas les commandements de notre seigneur en matière de luxure.
– C’est quoi une luxure ?

C’en est trop, j’éclate !

– Une luxure, c’est un accident musculaire… et si vous continuez à emmerder le monde, j’appelle le contrôleur et je vais lui raconter que vous n’êtes qu’un curé libidineux.
– Il ne vous croira pas !
– Si, il me croira car j’irais aussi dans ce sens ! Intervint Conrad.
– Et moi aussi ! Ajoutent à l’unisson Madame Conrad et le jeune en casquette.
– Dis Maman, il est méchant le curé ?
– Très méchant, mais maintenant il va se taire et nous ficher la paix.

Et ce fut alors le silence dans le compartiment… jusqu’à Vernon où le curé descendit, suivi du jeune en casquette.

– Bonne fin de voyage messieurs-dames ! Mademoiselle vous êtes charmante. Indiqua ce dernier.
– Merci vous êtes un gentleman !

Et Madame Conrad put enfin interpeller son époux.

– Je peux savoir ce que ce curé te reprochait exactement ?
– Eh bien, figure-toi qu’ayant échangé quelques mots avec mademoiselle, celle-ci m’a fait part de sa volonté de chercher un emploi de maison. Et comme notre pauvre Fernande qui s’est cassé la jambe n’est toujours pas remplacée…
– Mais le curé a parlé de gestes immoraux.
– C’est lui qui est immoral !
– Vous pourriez refaire ces gestes que je me rende compte ? Insiste Madame
– Quels gestes ? Demandais-je innocemment.
– Refaite-le ! Me propose alors le mari. Cela amusera mon épouse.

Je rêve ou quoi ?

– Moi je veux bien, mais je n’ai pas envie de recevoir une gifle ! Et puis il y a l’enfant !
– C’est si cochon que ça ! Théophile mon petit, va jusqu’au buffet et rapporte-nous des bonbons à la menthe !
– Oui maman ! Je peux prendre des gaufrettes aussi !
– Bien sûr mon chéri, maman va te donner des sous.

Me voilà au pied du mur ! Bien sûr je pourrais refuser mais je ne l’ai pas fait.

Je lance mon pied comme précédemment sauf que je ne vise pas la braguette mais la cuisse.

– Votre pied était ailleurs ! Me signale Conrad.
– Il était où ? Demande Madame.

Ils commencent à me saouler ces deux-là. Alors advienne que pourra je déplace mon pied au « bon endroit ».

– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine, ce n’est pas pour me déplaire ! M’indique Madame Conrad. Mais savez-vous tenir une maison ?
– On dit que je suis bonne cuisinière.
– Vous savez servir ? Vous savez repasser ?

Il fallut donc que je lui explique que je suis mariée… mais en fuite…

– Et la raison de cette fuite ?
– Mon père m’a surpris en galante compagnie. Le galant a craint un mauvais coup et a un peu bousculé mon père. Je me suis dit alors que quand mon mari apprendrait ça, j’allais passer un sale quart d’heure…
– Vous être donc une femme infidèle ! Me demande-t-elle avec un sourire étrange.
– Pas vraiment. Ce fut ma première infidélité C’est l’occasion qui fait la débauchée.
– Et bien je crois que nous allons t’embaucher à l’essai ! D’accord Romain ?
– Approuvé !
– Vous savez, reprend Madame Conrad, personne n’est parfait…

Pourquoi me sort-elle ça ?

– Euh…
– Je veux dire que tout le monde fait des bêtises.
– Ah… oui…
– Donc si vous restez à notre service, vous ferez des bêtises…
– Je m’efforcerais de ne point en faire.
– Certes, mais vous en ferez quand même ! Quand notre belle Fernande faisait des bêtises nous la punissions…. Quelques fessées le derrière nu… ça lui remettait les idées en place.
– Ah bon ?
– Vous avez des vilains patrons lorsque leur domestiques font des bêtises, ils ne trouvent rien de mieux que leur infliger une amende en déduction de leur appointements. Nous ne sommes pas comme ça, au contraire vous serez payée au-dessus des tarifs habituels, mais en cas de bêtises ce sera panpan cucul ! Cela vous convient-il ?

Ils m’ont l’air un peu frappés ces deux-là mais ne me paraissent pas méchants, alors j’ai accepté.

– Alors, reprit Madame Conrad, embrassons-nous pour sceller cette embauche !

Et ce ne fut pas le baiser de politesse, non ce fut plutôt un roulage de galoche en règle. Elle embrasse divinement la madame et j’en suis tout excitée.

– T’as déjà été au lit avec une femme ? Demande-t-elle.

(On remarquera le passage au tutoiement.)

– Oui !
– Et ça te plait ?
– Quand la femme est douce oui !

Mais cette très intéressante conversation fut interrompue par le retour de Théophile avec ses bombons à la menthe et ses gaufrettes.

– Maman c’est qui la dame ?
– C’est… euh c’est quoi ton prénom ?
– Pauline.
– C’est donc Pauline qui va être notre nouvelle bonne.
– Et t’as déjà oublié son prénom, maman ?
– C’est quoi cette impertinence ? Je confisque les gaufrettes.
– Ouin !

Madame Conrad me demande où j’allais dormir ce soir, et comme je n’en savais rien du tout, elle me fournit tout de suite la solution.

– Alors, tu dormiras à la maison et tu commenceras à travailler dans la foulée.

Arrivé à Paris Saint-Lazare je les ai accompagné à pied jusqu’à leur bel appartement situé rue de Rome à quelques centaines de mètres de la gare.

Après m’avoir offert un petit rafraichissement, Madame Conrad a tenu à mettre les choses au point.

– Nous allons faire un essai, repose-toi une demi-heure ensuite il faudra faire un peu de ménage, c’est fou comme la poussière s’accumule ici., Vers 18 heures tu partiras en courses puis tu prépareras le repas du soir, je te dresserais une liste. Et si tu as encore du temps, il y a du repassage en retard, je ne te dis pas de tout faire, mais fais-en un peu afin que je me rende compte comment tu te débrouilles. Après la vaisselle, tu pourras allez te coucher, je vais te montrer ta chambre. Ta journée d’essai te sera payée quoiqu’il arrive. Viens avec moi !

La chambrette est minuscule, juste la place pour un lit d’une personne, une petite commode, une armoire, une chaise et une petite table. On fera avec.

– Voilà une tenue de soubrette, elle devrait te convenir essaie-là !
– Maintenant ?
– Bien sûr.

Elle reste devant moi, telle une statue, je me retourne pour me déshabiller.

– Pourquoi tu te tournes ? Je ne vais pas te mordre.
– C’est un réflexe !
– Tu m’as dit que tu étais déjà allée avec des femmes ?
– Oui madame, ça m’est arrivé !
– Tu le ferais avec moi ?

Bon, j’ai compris, elle veut me sauter. Je ne pense pas que ce sera une corvée !

– Pourquoi pas, vous êtes une belle femme !
– Alors retourne-toi, j’ai envie de te caresser.
– Avec plaisir, madame !
– Hum, c’est pas mal tout ça ! T’as une jolie poitrine !
– Merci madame !

Elle me la caresse, me pince les pointes, me les tortille, puis décide de se déshabiller à son tour.

Elle est vraiment jolie cette madame Conrad.

– Ben ne reste pas comme une andouille, occupe-toi de moi !

Alors à mon tour de lui caresser ses jolis seins. Je suis saisie d’une folle envie de les embrasser, j’avance mes lèvres sans qu’elle ne proteste, je lui suce les tétons., Ça me plait bien et je me surprend à mouiller.

– Occupe-toi un peu de mon cul, dit-elle en de retournant.

Son cul est bien agréable, je l’embrasse d’abord chastement puis j’en écarte les globes afin d’accéder au pourtour de l’anus.

Le moins que l’on puisse dire c’est que l’endroit n’est pas d’une netteté évidente. Elle a dû se torcher le cul avec un courant d’air. Comment une femme à l’allure aussi distinguée peut-elle se négliger à ce point ,

Cela dit ça ne me dérange pas outre mesure, ma petite expérience avec madame Berthe a vaincu les inhibitions en la matière (c’est le cas de le dire)

Donc je lèche tout ça sans problème.

– Oh ! Quelle langue tu as ! Continue !

Bien sûr que je continue, Je le demande si elle ne va pas me faire un trip comme madame. Berthe (voir le chapitre précédent). En fait non. Elle se retourne et m’offre sa chatte dégoulinante à lécher.

Elle mouille comme une éponge et c’est bien agréable de lécher tout ça.

– Attend, il faut que je pisse ! M’interrompt-elle.

Je me recule.

– Ma pisse t’intéresse ?
– Oui bien sûr.
– Cochonne !
– J’aime bien !
– Alors tu ne vas pas être déçue, ouvre bien la bouche !
– Aaaaah. !

Hum, délicieux son pipi. J’en ai bu plein et m’en lèche les babines.

– T’est vraiment une petite catin
– Oui madame !

J’allais reprendre mon broute minou quand soudain la porte s’ouvre.

– Ben alors, on fait des cochonneries ici, qui est cette charmante personne, je n’ai pas eu l’honneur d’être présent& ?

Le nouveau venu est un grand échalas blond d’une vingtaine d’années, un poil efféminé.

– Théophile, mon fils. Indique Madame Conrad, elle c’est Pauline notre nouvelle bonne, on vient de l’embaucher. Elle n’est pas mal, non ?
– Enchanté, souhaitez-vous que je me retire ?
– Mais non, répond la bourgeoise, quand il y en a pour deux, il y en a pour trois.

On ne me demande pas mon avis, pourquoi le demanderaient-ils, je ne suis que la boniche.

Le Théo se déshabille, exhibant son sexe en étendard.

– Il a une belle bite, mon fils. !. Croit devoir commenter madame Conrad. Suce-là !

Pauline07Je suppose que ces petites fantaisies me donneront droit à un petit pourboire, alors je suce la bite de fiston.

– Wha ! Quelle technique, Où as-tu appris à faire ça ?
– Quand je me suis enfuie de chez moi, je ne savais où aller, il fallait bien que je vive, alors j’ai travaillé dans un rade comme serveuse montante.

Il fallait bien que je leur dise un jour, maintenant c’est fait !

– Et pourquoi tu n’e pas resté ? Demande le Théo décidément trop curieux.
– Ecoutez, c’est promis je vous raconterai ça par le détail, mais plus tard, je ne peux pas à la fois raconter et sucer.

Et je reprends ma fellation, Madame Conrad viens à mes côté et réclame sa part de pipe. La voilà donc qui suce la bite de son fils. Me voilà donc tombée sur une famille tuyau de poêle. Ça ne me traumatise pas !

– Maman, est-ce que je peux t’enculer
– Mais bien sûr, mon fils. Pauline place-toi devant moi pendant que mon fils m’encule, je vais te brouter la chatte. »

Quelle famille !

Théophile pénètre d’un coup d’un seul le cul de sa maman et j’approche ma chatte de son visage pour qu’elle me la lèche.

Sauf que la position n’est pas si évidente, Théo donne de tels coups de boutoir dans l’intimité rectale de sa mère que celle-ci n’arrive pas à coller correctement son visage contre ma foufoune.

J’attends donc que le fiston ait pris son pied pour me faire lécher correctement.

Mais les choses se passèrent quelque peu différemment.

– A ton tour ! Me dit-il en sortant sa bite du con de sa mère

Ah bon ? Je me mets donc en position. J’espère simplement qu’il ne va pas me défoncer, la fougue avec laquelle il a enculé sa mère n’étant pas faite pour me rassurer.

– Faut peut-être lubrifier un peu avant ! Suggérais-je
– Tu n’es quand même pas vierge du cul ! On voit bien qu’il y a eu du passage !
– S’il vous plait ! Quelques coups de langue devraient suffire !
– Fais ce qu’elle te demande ! intervient Madame Conrad.

Théophile est un garçon obéissant et il m’humecte convenablement la rosette avant de m’enfoncer son machin dans le trou.

Madame Conrad passe derrière lui et lui introduit un doigt dans le cul ! Pourquoi faire ? Pour le stimuler ! Je ne pense pas qu’il en ait besoin ! Non il apprécie tout simplement que sa maman lui doigte le cul !

Ça n’a pas duré bien longtemps et je n’ai même pas joui. Il se retire, la bite poisseuse de sperme et d’autre chose aussi. Maman Conrad s’empresse de nettoyer tout ça, et il s’en va se rhabiller avant de disparaître de la chambre.

Me revoilà donc en tête à tête avec Madame Conrad. Un tête à tête qui s’est rapidement transformé en tête à chatte.

Excitée comme nous étions, nous avons jouis rapidement avant de nous enlacer comme des vieilles copines.

– T’es une bonne fille, mais autant que tu le saches, pour chaque prestation dans laquelle tu feras la putain, ce sera une enveloppe. D’ailleurs je vais t’en donner une tout de suite. Tu seras sollicité par mon mari et par mon fils mais aussi par des gens que nous recevons. Si tu es réticente, il faut nous le dire de suite et nous ne retiendrons pas.
– Je ne suis pas réticente !
– D’accord ! Nous recevons parfois des gens très importants dans le cadre des activités de mon époux, il convient donc de les contenter sans rechigner. Tout le monde doit y trouver son compte, l’invité car il se sent comblé, mon époux parce que ces situations font avancer les choses et toi parce que le pourboire sera bon.

– J’ai parfaitement compris, je pense pouvoir faire l’affaire.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:37

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 6 – Les turpitudes de Madame Berthe

scat

Attention chapitre comprenant un passage scato explicite

N’empêche que je suis bien obligée de faire comme la tôlière me demande, je n’ai pas envie de me faire virer.

– Quel cul ! S’exclame-t-elle en y portant la main. Il me donnerait presque envie de le fouetter. Je vais me déshabiller, je préfère être nue quand on me lèche.

La voilà à poil ! Elle dit à tout le monde qu’elle a 50 ans, en fait elle doit en avoir 60, mais il faut bien reconnaitre qu’elle a de beaux restants

– Alors ça va, je suis encore consommable ? Me nargue-t-elle.
– Vous êtes une belle femme !
– Evidemment, tu ne vas pas me dire le contraire !

Elle se retourne :

– Et mon trou du cul, qu’est-ce que tu en penses ?

Je ne suis pas une spécialiste en trou du cul, je n’en ai pas vu de près tant que ça dans ma vie, mais il faut bien admettre qu’il est plutôt agréable à regarder, avec sa jolie couleur brune et son aspect plissé.

– Il est mignon ! Finis-je par murmurer.
– Alors lèche !

On y va. ! Ça ne sent pas vraiment la rose, mais ça ne saurait me gêner. Je suis une fille de la campagne et je ne partage donc pas les dégouts effarouchés des bourgeoises de la ville.

– Hum, c’est bon ce que tu me fais, mais je me demande si je n’ai pas envie de chier.

Elle se dégage et se dirige vers son pot de chambre au-dessus duquel elle s’accroupit.

– Tu peux regarder ou te tourner, c’est comme tu veux.

Je ne réponds pas, mais ne me tourne pas..

– Tu ne vas pas être déçue, en principe je fais de beaux boudins bien moulés ! Croit-elle devoir me préciser.

Elle est de dos accroupie sur le vase et après avoir pissé abondement, se met à pousser. Je suis tétanisée par ce spectacle complétement inattendu… et voilà qu’un long boudin sort de son anus.

– Oh, que ça fait du bien ! Commente-t-elle. Tu veux m’essuyer ?

Je cherche des feuilles de papier, je n’en vois pas…

– Avec ta langue, idiote !
– Je ne suis pas sûre…
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé, allez vas-y, lèche-moi ma merde !

Je suis dans un état second, ma langue s’approche de son trou du cul, je ferme les yeux, ça y est la pointe ma langue entre en contact avec ses traces de caca.

A ma surprise, le goût n’a rien de repoussant, on peut même le trouver assez agréable… Du coup je lèche tout avec gourmandise, je dois être devenue complètement folle.

– Alors, elle est comment ma merde ?
– Délicieuse, madame, délicieuse.

Pauline06Mais Madame Berthe n’en avait pas terminée, sans doute excitée par ma réaction elle voulait aller plus loin, aussi ramassa-t-elle un morceau de son étron dans le pot de chambre et le prit en main avant de le lécher, puis me le tendis afin que je le lèche à mon tour.

Madame Berthe se badigeonna ensuite les seins avec la matière et m’invita à lécher.

Je ne sais combien de temps a duré ce moment de pure folie pendant lequel je me demandais si j’étais bien moi-même, mais toutes deux excitées comme des puces, le corps souillée d’urine et de merde nous nous sommes retrouvées en soixante-neuf pour nous faire jouir et je n’ai pas besoin de vous préciser que ce fut intense.

Je me suis demandé après coup, le pourquoi ce cette convocation. Me préparer pour un client amateur de ce genre de choses ? Non même pas, Madame Berthe avait tout simplement envie de délirer avec moi !

Je suis restée deux semaines dans ce rade, j’en ai vu des vertes et des pas mûres ! Les clients ? Cela a été beaucoup de gens convenables mais aussi quelques parfaits abrutis. Quant aux fantaisies, j’ignorais que le catalogue fut si large, on m’a demandé de pisser mais on m’a aussi pissé dessus, certains voulaient qu’on leur lèche le cul, d’autres qu’on les maltraite ou qu’on les insulte. Il y avait ce grand échalas qui me léchait les pieds en s’astiquant la tige. Ou ce grand bourgeois qui se faisait talquer les fesses comme un bébé. Un autre se déguisait en femme et puis celui-là qui se faisait sodomiser par son compagnon pendant qu’il me faisait subir les mêmes outrages. Et j’en oublie !

Si pour certains, je n’étais qu’une pute, autrement dit pas grand-chose dans leur pauvres esprits étriqués, d’autres étaient respectueux, voire charmants.

Robert, l’un d’entre eux, grand amateur de fessées, sans me l’avouer explicitement était tombé amoureux de ma modeste personne, généreux et attentionné, ce riche grainetier m’avait laissé son adresse « en cas de besoin »…

Et ce jour-là, redescendant après avoir fait un client rapide, j’aperçois une silhouette de dos qui me dis quelque chose.

Juste ciel ! Mon frère Auguste !

Affolée, je remonte en vitesse, Berthe, la mère maquerelle qui ne comprend évidemment pas mon attitude, me file le train.

– Tu fais quoi ?
– Il y a mon frère dans la salle, je ne veux pas qu’il me voit.
– Il est où ?
– Le petit moustachu près du poêle.
– Ah, ouais ? On le voit de temps en temps. Ce genre de situation c’est une source d’histoires, or ici on ne veut pas d’histoires, alors on va faire comme ça, je viendrais te prévenir quand il sera parti, ensuite tu prendras tes cliques et tes claques et tu t’en iras tapiner ailleurs
– Mais…
– Il y a pas de mais, on fait comme ça.

Auguste se demande s’il n’a pas eu la berlue. Dans le grand miroir qui est devant lui il a cru reconnaitre furtivement ma silhouette. Par reflexe il s’est très vite retournée, mais j’étais déjà partie.

Alors il attend…

« Elle va bien finir par redescendre, il faut que j’en ai le cœur net ! »

Il attend pendant une heure… pour rien, il attend encore, puis passablement énervé, il interpelle l’une des serveuses.

– La fille en vert, je serais bien monté avec elle, mais je ne la vois plus…
– Damme, c’est parce qu’elle est occupée !
– Depuis deux heures ?
– Elle est très demandée.
– Elle s’appelle comment ?
– Eugénie.
– Ah ? Et c’est possible de la réserver.
– Je vais voir !

La fille qui n’est pas au courant de mon départ précipité commence par me chercher et ne me trouvant pas s’en va se renseigner auprès de madame Berthe.

– Je m’en occupe ! Répond cette dernière qui s’en va à la rencontre d’Auguste. Bonjour monsieur, vous cherchez, m’a-t-on dit après cette délicieuse Eugénie.
– En effet.
– Eugenie n’est pas disponible pour le moment !
– Je peux attendre.
– Je vous le déconseille, elle ne sera pas disponible avant un bon bout de temps.
– Je ne comprends pas !
– Normal, mais je ne vous dois aucune explication. Nous avons plein d’autres filles qui vous donneront entière satisfaction, d’ailleurs vous le savez bien.
– Mais enfin, elle était là tout à l’heure et vous me dites qu’elle est devenue indisponible, ça ne tient pas debout.
– Je vous répète pour la seconde et dernière fois que je ne vous dois aucune explication !
– Eugenie, c’est son vrai nom ?
– Bon, ça va les questions. N’insistez pas vous ne saurez rien de plus et si ça ne vous plait pas, la porte c’est juste en face !

Et Auguste sortit du rade en maugréant.

Quant à moi; me revoilà dans la rue, comme une âme en peine, mon baluchon à la main

Où aller ? Pourquoi pas solliciter le concours de ce Robert dont j’ai l’adresse.

Je trouve assez facilement l’emplacement de sa demeure cossue.

Une bonne femme pas toute jeune, genre balai dans le cul vient m’ouvrir.

– C’est à quel sujet ? Me demande-t-elle de toute sa hauteur malgré qu’elle soit plus petite que moi.
– Je viens rendre visite à Monsieur Robert…
– Monsieur Robert ? il n’y a pas de monsieur Robert, Robert c’est pour les intimes, sinon la personne à laquelle vous faite allusion doit être mon fils, monsieur Montignac. Mais ça ne répond pas à la question ? Vous lui voulez quoi ?
– Madame, avec tout le respect que je vous dois, je n’ai pas à vous répondre. Je souhaite rencontrer Monsieur Robert et le reste ne vous regarde pas !
– Vous êtes une de ses putes ?

C’en est trop, j’éclate :

– Ça t’arrive d’être aimable ? Vieille peau !

Shlack.

Je n’ai pas vu venir la gifle, et pas la petite chiquenaude, non la grosse mandale, celle qui fait mal… et le temps de trouver une riposte la vieille sorcière avait déjà claqué sa porte.

Que faire ? Il y aurait eu un banc dans le coin j’aurais attendu que Monsieur Robert entre ou sorte de chez lui, mais il n’y a ici ni banc ni autre chose pour poser mon modeste fessier. Alors faire les cent pas ? Ça me prend la tête…

Et si j’allais à Paris ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:34

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 5 – Passe à quatre
coin102

Et quand nous somme redescendus, les deux voyageurs étaient fin prêts…

– Alors Messieurs, lequel d’entre vous monte avec moi ? Demande Antoinette
– On pourrait faire ça tous les quatre dans la même chambre ce serait amusant ! Nous dit l’un des types.
– Pas de souci.

En chambre, on se déshabille, on leur nettoie la bite…

– Si vous voulez on peut vous offrir un petit spectacle goudou pour bien vous exciter, leur propose Antoinette.

Ça ne les intéresse pas (ils ne savent pas ce q’uils perdent !) De plus les deux hommes ne semblent pas d’accord sur le fait de savoir qui va prendre qui. Apparemment il me voudraient bien tous les deux. Et ça discute, et ça discute et ça n’en finit pas..

– Tirez donc à pile ou face ! Leur propose Antoinette.

Suggestion adoptée !

J’hérite du gros, j’aurais préféré l’autre, plus classieux. Reste à savoir ce qu’ils veulent exactement.

Les deux mecs se sont affalés sur le lit et nous attendent, Antoinette se faufile entre les cuisses du plus maigre et commence à le sucer, j’en fais donc de même avec mon gros patapouf.

Ça ne dure pas bien longtemps, le bonhomme m’invite à me coucher sur le dos et vient me peloter les seins…

Les seins, toujours les seins…

Pauline05Et puis sans crier gare, il me pénètre et me pilonne en cadence tandis qu’à côté de moi Antoinette subit les mêmes outrages. Son partenaire sue à grosses gouttes et finit par prendre son plaisir, durée de la pénétration, moins de trois minutes. Il se relève et part dans son coin s’essuyer la bite et se rhabiller.

Le mien continue de me labourer, mais manifestement il n’y arrive pas, je gigotte un peu pour l’aider mais rien n’y fait. Antoinette voyant le tableau vient derrière le bonhomme et lui frôle l’anus de son doigt. Provoquant une réaction d’humeur du type.

– Touche pas à mon cul !
– Bon, non, je voulais rendre service.

Et il continue de me baiser, je ne le sens plus, j’ai l’impression qu’il a débandé… et après quelques dernières tentatives, il se dégage, penaud.

– Je n’y arrive pas, j’ai dû trop boire de bière !
– Ça arrive à tout le monde mon gros loulou !
– Je ne suis pas ton gros loulou !

Il se rhabille à son tour et ils disparaissent tous ls deux sans prononcer une seule parole.

Pas vraiment intéressants ces bonhommes, malgré leurs beaux habits. Mais heureusement j’ai eu l’occasion de me rendre compte que tous les clients ne sont pas de cette cuvée !

Quel enchaînement ! Mais la suite fut plus calme, je continuais mon service jusqu’à pas d’heures, puis après avoir soupé, je gagnais ma chambre afin de m’offrir une nuit de repos bien méritée.

Au début de la matinée je fus réveillée par l’une des filles de la maison qui m’indiqua que la mère maquerelle souhaitais me voir.

Je me dirigeais vers son repaire qui lui servait à la fois de bureau et de salle de repos. Le mobilier sentait la récup, un canapé en bout de course, une table en mauvais état, deux fauteuils fatigués et détail trivial un pot de chambre en porcelaine.

– Alors cette première journée ?
– Ça va !

Qu’est-ce qu’elle voudrait que je lui dise d’autre ?

– Tes clients avaient l’air satisfaits, sauf le dernier, mais Antoinette m’a expliqué… ça mérite une récompense
– Ah ?
– Oui ta récompense ça va à être de me lécher la figue, déshabille-toi !

Tu parles d’une récompense !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 10:31

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 4 – Premières passes

coin102

On a donc continué à servir comme des gentilles serveuses. Il y en a qui ont une sacrée descente, je me demande comment ils peuvent encore tenir debout ? Et je vous dis pas les mains aux fesses ! Ça aussi ce doit être une coutume locale. Nous avions instruction de laisser faire sauf si le type devenait lourd.

– T’es nouvelle, toi ? Me dit un gros lard (en me touchant les fesses évidemment)
– Oui, je suis Eugénie.
– Tu m’emmènes ?
– Oui !

Antoinette qui a entendu se ramène :

– Eugénie est nouvelle, c’est son premier jour, je la chaperonne un peu, je vais monter avec vous, ce sera sans supplément. D’accord ?

Évidemment qu’il est d’accord.

– Je le connais, il s’appelle Félicien, ça va aller vite, il va vouloir te voir à poil, il va te peloter les nichons et après il va te baiser à la pépère. Avant toute chose tu lui laves la bite, ils sont rarement propres, ces types. S’il veut t’embrasser sur la bouche tu refuses, ce n’est pas dans nos usages !

Mon premier client, celui dont on se souvient toujours. Je l’aurais préféré plus jeune, plus beau, mais je n’ai pas eu ce choix.

Je me déshabille, lui aussi, il dégage une forte odeur de mâle, mais ça n’a rien d’insurmontable , il se laisse laver la bite sans rouspéter, mais c’est vrai que c’est un habitué du lieu.

– Tu ne te fous pas à poil ? Demande-t-il à Antoinette.
– Je peux mais dans ce cas ce sera avec supplément.
– Alors soyons fou. Allons-y pour un trio.
– Et on paye d’avance, lui précise ma collègue.
– Bien sûr, bien sûr.

Antoinette et moi gagnons le lit, Félicien ne sait par où commencer, il est là à nous regarder, bave aux lèvres et bite en étendard, je me retiens de rigoler.

Et le voilà qu’il arrive, il en veut à mes nichons. Et vas-y que je les pelote, que je les malaxe, que je bave dessus comme un crapaud. Faut surtout pas se gêner. Brutal ? Non on ne peut pas dire, mais bourrin, oui assurément !

Il me laisse un moment tranquille pour aller peloter Antoinette qui l’encourage de façon très professionnelle.

Puis il revient vers moi.

– Ecarte tes cuisses ma jolie, je vais te baiser bien comme il faut.

Certes il m’a baisé, quant à dire que c’était bien comme il faut, ce serait aller bien vite en besogne.

Il a pris son plaisir en grognant comme un porc puis s’est rhabillé en oubliant de se rincer la bite .

Et voilà, le pas est franchi. Pute d’un jour, pute toujours dit-on. Et croyez-moi si vous voulez, ça ne me traumatise pas le moins du monde.

Je n’aurais pas appris grand-chose avec ce type. On est redescendu, les deux voyageurs ne semblent pas encore prêts, mais un quidam en redingote vient de s’attabler

– Jamais vu celui-ci ! Me confie Antoinette, on va se le brancher..

Elle s’approche avec un gros sourire coquin, je l’imite.

.- Qu’est-ce qui vous ferais plaisir, monsieur ?
– Peut être un moment avec vous…
– Avec nous deux ?
– Pourquoi pas ? Au diable l’avarice !

Le bonhomme est d’humeur joyeuse, d’autant qu’il a manifestement bu un petit coup.

Après le déshabillage, il nous demande de nous assoir sur le bord du lit et s’installe entre nous.

A tous les coups, il va nous peloter les seins. Ça ne rate pas, la main gauche pour ceux d’Antoinette, la main droite pour les miens

– Il faut toujours honorer les seins, m’a dit monsieur le curé.

Il doit sortir ça à chaque fois qu’il monte en chambre, mais nous sommes bonnes joueuses et faisons semblant de trouver son trait irrésistible.

– Si vous me suciez ? Suggère-t-il.

Pauline04
On est là pour ça, non ? Alors allons-y pour une pipe à deux bouches. Voilà qui n’est pas désagréable d’autant que sa bite fleure bon. Il a du se la laver à l’eau de Cologne.

Elle est marrante Antoinette profitant de l’occasion pour m’envoyer des petits coups de langue

– Passons à autre chose. Nous indique le bonhomme, j’adore la sodomie.
– Avec un petit billet en plus tout est possible. Lui précise Antoinette.

Le gars s’en va sortir ce qu’il faut de son portefeuille et revient vers nous alors que nous nous sommes placées toutes deux en levrette, le croupion relevé.

– Euh, non, je me suis mal fait comprendre, c’est moi qui souhaite être sodomisé ! Nous précise-t-il.
– Ah ! Ce n’est pas un problème ! Lui répond Antoinette. Et on fait ça avec le doigt ou tu préfères un godemiché.
– Le gode, j’aime bien.

Il y en a justement deux dans le tiroir du chevet, un gros et un petit, le client choisir le gros. Le client est un gros cochon.

Le miché se met en levrette en frétillant du cul. Antoinette lui tartine du trou du cul avec de la vaseline pis introduit le gode.

Ça lui fait de l’effet, au monsieur qui pousse de longs râles de plaisir pendant qu’Antoinette fait aller et venir le machin dans son trou de balle.

– T’aimes ça te faire enculer ! Hein gros vicieux ? Le nargue Antoinette.
– Ouin, oui !
– T’as déjà essayé avec une vrai bite ?
– Non, non ! C’est pas du tout mon fantasme.
– Qu’est-ce t’en sait puisque t’as jamais essayé ?
– Arrête de parler de ça, ça va me déconcentrer.

Alors Antoinette se tait et continue d’agiter le godemiché, Puis elle me passe le relais.

– Allez bosse un peu. Voilà comme ça pas trop vite, mais pas trop lentement non plus, tu l’enfonces, tu le fais revenir et tu l’enfonces encore.

J’essaie de faire de mon mieux, il faut croire que je me débrouille pas si mal. Le client se saisit de son membre et se met à le masturber comme un malade, il gicle une énorme quantité de sperme. Heureusement on avait placé une serviette.

Il se rhabille en silence, mais avant de franchir la porte il s’adresse à Antoinette.

– Ce n’est pas parce que j’aime les godemichés que je suis homosexuel ! Faut pas croire des choses.
– Mais il n’y a aucun soucis, cher monsieur.

Il s’en va pour de bon, et nous rhabillons.

– Un homo refoulé, ça arrive de temps en temps ! Me confie Antoinette.
– Et s’il nous avait dit qu’il aimait les bites, on aurait fait quoi ?
– S’il était prêt à lâcher un supplément on descendait voir Madame Berthe, elle sait arranger ce genre de choses…
– J’aimerais bien voir ça !
– Tu en auras l’occasion…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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