Ma mère et son esclave par Josepha
Je m’appelle Josepha, grande et brune, j’ai maintenant une trentaine d’année, mais l’histoire que je vais vous raconter eu lieu quelques mois après mon 18ème anniversaire
Mes premières sorties avec les garçons furent catastrophiques, mon dépucelage un non-évènement tellement la chose fut rapide et insignifiante. Je me demandais ce qui m’arrivais, mais la coupe fut pleine quand un grand benêt tout content de m’avoir baisé en moins de trois minutes, ne trouva rien de mieux que me planter en me traitant de pétasse. C’est ma prof de dessin qui voyant mon désarroi entreprit de me consoler. Quelques heures plus tard, chez elle, je broutais ma première chatte et m’en régalait. J’avais donc découvert mon orientation sexuelle. J’étais devenue amoureuse d’elle acceptant toutes ses turpitudes, ainsi il lui prenait parfois l’envie de me rougir les fesses avant de me prendre dans ses bras pour me consoler. Elle m’a fait également découvrir les jeux de pipi et prenait plaisir à chier devant moi. Quand elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus après qu’elle ait déféqué, j’ai fermement refusé, elle a su alors, à force de persuasion, me faire essayer, je ne l’ai pas regretté. Et puis un jour elle m’a appris que sa mutation en province était acceptée. J’ai pleuré.
Je n’ai jamais connu mon père, ma mère ne s’est jamais mise en couple et m’a donc élevé seule. Une belle femme, cadre dans l’administration. Peu pudibonde, il lui arrivait de se balader dans l’appartement à moitié à poil. Elle est remarquablement conservée pour ses 50 ans .Moi j’étais à l’époque beaucoup plus pudique qu’elle.
Quelque part, ma mère me faisait fantasmer… Mais que voulez-vous, une fille de 18 ans ne va pas aller l’avouer à sa mère. Le tabou de l’inceste et tellement ancré dans l’inconscient qu’il en devient irrationnel.
Un matin alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je vis ma mère en sortir complètement nue et aller s’installer sur la cuvette des toilettes. Manifestement elle avait une grosse envie de caca. Elle n’avait pas fermé la porte, et je restai là, subjuguée, à l’admirer. Quand je vis qu’elle s’aperçut de ma présence, je quittais les lieux envahie d’un profond trouble.
Ma mère ne fit aucune allusion à ce qui n’était même pas un incident.
Et un jour, alors que nous finissions de diner, ma mère me lança :
– Tu ne me parles jamais de tes petits copains ! Les garçons ne t’intéresse pas ?
– Pas trop, non !
– Ce sont les garçons qui ne t’intéresse pas ou c’est le sexe ?
– Tu m’embarrasse un peu, là !
– On est entre adultes, tu peux tout me dire… mais je ne t’oblige pas !
– En fait, je me demande si je ne préfère pas les femmes !
– Je m’en doutais un peu ! Tu vas finir par être aussi gouine que ta mère.
Enfin elle l’avouait, je le savais déjà, certaines des femmes qui lui rendaient visite le samedi ne laissaient peu de doutes quant à leur motivations. Deux femmes ne s’enferment pas dans une chambre à coucher pour faire du crochet !
– Je t’ai choqué ? Reprend-t-elle.
– Mais pas du tout !
– C’est si bon de brouter une bonne chatte, n’est-ce pas ?
– Ben oui…
– Tu sais ce que je fais quand je reçois Madame de Trévor ?
– Ben vous faites l’amour, je suppose ?
– Mais pas que ! Je la domine, elle est mon esclave, et je lui fais des petites misères, elle adore ça !
– Ah bon ! C’est de l’amour vache, alors ?
– Si tu veux ! Tu aimerais nous regarder ?
– Si j’aimerais vous regarder ? Quelle drôle d’idée ?
– Ça te dirait ou pas ?
– Je ne sais pas trop !
– On peut faire simple, tu assistes au début, si ça t’intéresse tu restes, si ça ne t’intéresse pas tu restes pas ?
– D’accord comme ça !
Et on a parlé d’autre chose. Le soir dans mon lit je me caressais en repensant à cette discussion surréaliste. J’avais été assez hypocrite en faisant semblant d’hésiter, en fait j’avais une envie folle de voir ma mère se gouiner avec la mère de Trévor.
Et le samedi Madame de Trévor arriva à 17 heures avec un joli bouquet de fleurs. Comment la décrire, look très BCBG, cheveux mi-court décolorés en blond platiné, lunettes fumées à grosses montures, rouge à lèvres de « pute »
– Bonjour Sixtine ! lui dit ma mère
– Bonjour Marie-France !
(Comme ça vous saurez leurs prénoms !)
– Aujourd’hui, lui dit ma mère, Ma fille assistera à notre petit jeu !
– Ah, bon ?
– Problème ?
– Mais non pas du tout !
– Alors à poil, morue !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Non on reste ici !
La Sixtine se déshabille dévoilant une très belle poitrine dont les tétons sont ornés de larges piercing en anneaux.
Ma mère sort d’une cassette un collier de chien qu’elle lui attache autour du cou…
– Il faut toujours rappeler leur conditions aux esclaves ! M’explique-t-elle.
Elle sort ensuite une chainette, qu’elle passe entre les anneaux puis me la tend.
– Vas-y torture lui les nichons, elle adore ça cette chienne !
Je me retrouve comme une andouille avec cette chainette dans la main, je tire un peu, provoquant chez ma victime une vilaine grimace.
– Continue comme ça, n’aie pas peur de lui faire mal !
Je titre sur la chainette puis m’amuse à faire d’autres mouvements comme la lever très haut ou l’envoyer sur côté gauche puis sur le côté droit. Sixtine hurle ! Ma mère la gifle et lui crache au visage !
– Je ne veux pas t’entendre, t’es là pour souffrir, alors tu supportes !
Ma mère me tend une cravache.
– Vas-y tape la, tape la fort, vise ses seins, son ventre, ses cuisses, marque-la ! Défoule-toi !
Je tape !
– Non ma fille, tu ne fais pas assez fort, je vais te montrer.
Ma mère arme la cravache et lui cingle les seins, Sixtine hurle, un deuxième coup la fait hurler encore plus, Des larmes coulent de ses yeux entrainant le Rimmel.
– C’est ça, chiale, ça m’excite de te voir chialer.
Elle me redonne la cravache, et maintenant excitée comme une folle je tape à la volée lui zébrant les chairs.
– Retourne-toi, morue, on va s’occuper de ton cul.
Ma mère s’est saisie d’un gode, un truc très réaliste qui a vraiment la forme d’un bite et lui introduit dans l’anus sans aucune préparation, Sixtine hurle, puis s’accommode de la chose.
– Regarde-moi cette morue, elle est toute contente de se faire enculer par une bite en latex.
Elle retire le gode d’un mouvement vif, il ressort pollué du jus de son cul.
– Salope tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode, lèche moi tout ça !
Elle ne se fait pas prier et restitue le gode tout net, tout propre.
– Maintenant tape-la
Je tape les fesses, je tape le dos, ses cris et ses pleurnicheries ne m’arrêtent pas, bien au contraire.
– Stop, me dit ma mère, on ne va pas l’abimer non plus, je parie qu’elle mouille comme une fontaine. Vérifie Josepha !
– Que je vérifie ?
– Ben oui tu vérifie !
Sixtine se retourne pour me présenter sa chatte, j’y porte la main, effectivement c’est tout mouillée.
– Alors ?
– C’est mouillé !
– Tu devrais lécher un peu !
– Que je lèche ?
– Ben oui, c’est délicieux la mouille de vieille salope !
Je me baisse et lui lape la chatte, effectivement c’est délicieux. Mais ma mère m’arrête !
– Stop, le but n’est pas de la faire jouir, du moins pas de suite. Viens donc vérifier si moi je mouille aussi !
– Mais Maman, qu’est-ce que tu me demandes ?
– Je sais très bien ce que je te demande, et arrête de faire ta mijaurée, je sais que tu en meurs d’envie.
– Mais ça ne se fait pas !
– Eh bien nous on va le faire quand même, allez lèche moi, et en ce qui me concerne tu as le droit de me faire jouir.
Je reprend mon souffle et me mets à lécher la mouille de ma mère.
– Regarde Sixtine, regarde ce que me fait ma fille, elle me lèche la chatte, je suis vraiment la reine des salopes, tu ne trouve pas ?
– Si maîtresse !
Moi aussi, je mouille mais j’ignore si quelqu’un va s’occuper de moi. Tout naturellement ma langue a bifurqué sur le clito de ma mère que ma langue vient titiller. Maman hurle de plaisir ! Je viens de faire jouir ma mère, c’est dingue ça ! Elle m’enlace, elle m’embrasse, on se roule un patin ! Quand même je me demande quelles vont être nos relations après cet événement.
Ma mère se retourne et invite Sixtine à venir lui lécher le cul.
– Viens me lécher mon cul plein de merde ! Lui dit-elle. Quand elle vient, je ne me lave jamais le cul ! Me précise-t-elle
Sixtine lèche le cul de ma mère avec gourmandise. Mais au bout d’u moment elle l’a fait arrêter,
Ma mère se déshabille complétement et me demande d’en faire autant. Curieusement ça me gêne un peu de mettre nue devant Sixtine de Trevor.
– Ben alors t’attends quoi ?
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ce serait mieux.
Je l’ai donc fait.
– Allez, tout le monde dans la salle de bain pour le final.
Sans qu’on ne lui demande Sixtine s’est allongée de tout son long sur le carrelage de la salle de bain
– Pisse lui dessus ! Me dit ma mère.
J’avais justement une bonne envie, j’ai chevauché Sixtine de Trévor et me suis lâchée.
– Vise la bouche, donne-lui à boire, à cette salope, et si tu as envie de chier, ne te gêne pas.
– Je ne pourrais jamais faire ça !
– Essaie, tu vas voir comme elle aime ça !
Je pousse, je lâche un étron, je me retourne. Madame de Trévor a reçu mon « cadeau » en pleine bouche et le maintient entre ses lèvres d’un air satisfait ! C’est vraiment une grosse salope.
– Lèche bien l’étron ! Voilà comme ça ! C’est bon hein ?
– Humm !
– Allez la séance est terminée, viens m’embrasser, ma salope.
Les deux femmes se roulent alors un patin, un baiser au goût particulier..
J’ai maintenant la chatte en feu, ma mère rejoint le salon, tandis que Sixtine se livre à une petite toilette.
Je rejoins ma mère. Oserais-je lui demander de me calmer mon excitation ?
– Maman, j’aimerais que tu me fasse jouir !
– Mais certainement, ma fille, allonge-toi je vais te faire monter au ciel.
Maman est venu poser son visage sur ma chatte et a commencé à me brouter tandis que ses mains projetées en avant me pinçait me bouts de seins.
Cette douce étreinte n’a pas duré longtemps, excitée comme j’étais je n’ai pas tardé à jouir dans un geyser de mouille.
Madame de Trévor revient de la salle de bain, à poil, cette femme est décidemment très belle.
– Je peux la lécher, Maman ?
– Mais certainement ma fille, pendant ce temps-là je vais préparer l’apéro.
Fin
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