Auteurs divers

Mardi 23 août 2022 2 23 /08 /Août /2022 10:05

Ma mère et son esclave par Josepha
Fetish2

 

Je m’appelle Josepha, grande et brune, j’ai maintenant une trentaine d’année, mais l’histoire que je vais vous raconter eu lieu quelques mois après mon 18ème anniversaire

Mes premières sorties avec les garçons furent catastrophiques, mon dépucelage un non-évènement tellement la chose fut rapide et insignifiante. Je me demandais ce qui m’arrivais, mais la coupe fut pleine quand un grand benêt tout content de m’avoir baisé en moins de trois minutes, ne trouva rien de mieux que me planter en me traitant de pétasse. C’est ma prof de dessin qui voyant mon désarroi entreprit de me consoler. Quelques heures plus tard, chez elle, je broutais ma première chatte et m’en régalait. J’avais donc découvert mon orientation sexuelle. J’étais devenue amoureuse d’elle acceptant toutes ses turpitudes, ainsi il lui prenait parfois l’envie de me rougir les fesses avant de me prendre dans ses bras pour me consoler. Elle m’a fait également découvrir les jeux de pipi et prenait plaisir à chier devant moi. Quand elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus après qu’elle ait déféqué, j’ai fermement refusé, elle a su alors, à force de persuasion, me faire essayer, je ne l’ai pas regretté. Et puis un jour elle m’a appris que sa mutation en province était acceptée. J’ai pleuré.

Je n’ai jamais connu mon père, ma mère ne s’est jamais mise en couple et m’a donc élevé seule. Une belle femme, cadre dans l’administration. Peu pudibonde, il lui arrivait de se balader dans l’appartement à moitié à poil. Elle est remarquablement conservée pour ses 50 ans .Moi j’étais à l’époque beaucoup plus pudique qu’elle.

Quelque part, ma mère me faisait fantasmer… Mais que voulez-vous, une fille de 18 ans ne va pas aller l’avouer à sa mère. Le tabou de l’inceste et tellement ancré dans l’inconscient qu’il en devient irrationnel.

Un matin alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je vis ma mère en sortir complètement nue et aller s’installer sur la cuvette des toilettes. Manifestement elle avait une grosse envie de caca. Elle n’avait pas fermé la porte, et je restai là, subjuguée, à l’admirer. Quand je vis qu’elle s’aperçut de ma présence, je quittais les lieux envahie d’un profond trouble.

Ma mère ne fit aucune allusion à ce qui n’était même pas un incident.

Et un jour, alors que nous finissions de diner, ma mère me lança :

– Tu ne me parles jamais de tes petits copains ! Les garçons ne t’intéresse pas ?
– Pas trop, non !
– Ce sont les garçons qui ne t’intéresse pas ou c’est le sexe ?
– Tu m’embarrasse un peu, là !
– On est entre adultes, tu peux tout me dire… mais je ne t’oblige pas !
– En fait, je me demande si je ne préfère pas les femmes !
– Je m’en doutais un peu ! Tu vas finir par être aussi gouine que ta mère.

Enfin elle l’avouait, je le savais déjà, certaines des femmes qui lui rendaient visite le samedi ne laissaient peu de doutes quant à leur motivations. Deux femmes ne s’enferment pas dans une chambre à coucher pour faire du crochet !

– Je t’ai choqué ? Reprend-t-elle.
– Mais pas du tout !
– C’est si bon de brouter une bonne chatte, n’est-ce pas ?
– Ben oui…
– Tu sais ce que je fais quand je reçois Madame de Trévor ?
– Ben vous faites l’amour, je suppose ?
– Mais pas que ! Je la domine, elle est mon esclave, et je lui fais des petites misères, elle adore ça !
– Ah bon ! C’est de l’amour vache, alors ?
– Si tu veux ! Tu aimerais nous regarder ?
– Si j’aimerais vous regarder ? Quelle drôle d’idée ?
– Ça te dirait ou pas ?
– Je ne sais pas trop !
– On peut faire simple, tu assistes au début, si ça t’intéresse tu restes, si ça ne t’intéresse pas tu restes pas ?
– D’accord comme ça !

Et on a parlé d’autre chose. Le soir dans mon lit je me caressais en repensant à cette discussion surréaliste. J’avais été assez hypocrite en faisant semblant d’hésiter, en fait j’avais une envie folle de voir ma mère se gouiner avec la mère de Trévor.

Et le samedi Madame de Trévor arriva à 17 heures avec un joli bouquet de fleurs. Comment la décrire, look très BCBG, cheveux mi-court décolorés en blond platiné, lunettes fumées à grosses montures, rouge à lèvres de « pute »

– Bonjour Sixtine ! lui dit ma mère
– Bonjour Marie-France !

(Comme ça vous saurez leurs prénoms !)

– Aujourd’hui, lui dit ma mère, Ma fille assistera à notre petit jeu !
– Ah, bon ?
– Problème ?
– Mais non pas du tout !
– Alors à poil, morue !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Non on reste ici !

La Sixtine se déshabille dévoilant une très belle poitrine dont les tétons sont ornés de larges piercing en anneaux.

Ma mère sort d’une cassette un collier de chien qu’elle lui attache autour du cou…

– Il faut toujours rappeler leur conditions aux esclaves ! M’explique-t-elle.

Elle sort ensuite une chainette, qu’elle passe entre les anneaux puis me la tend.

– Vas-y torture lui les nichons, elle adore ça cette chienne !

Je me retrouve comme une andouille avec cette chainette dans la main, je tire un peu, provoquant chez ma victime une vilaine grimace.

– Continue comme ça, n’aie pas peur de lui faire mal !

Je titre sur la chainette puis m’amuse à faire d’autres mouvements comme la lever très haut ou l’envoyer sur côté gauche puis sur le côté droit. Sixtine hurle ! Ma mère la gifle et lui crache au visage !

– Je ne veux pas t’entendre, t’es là pour souffrir, alors tu supportes !

JosephaMa mère me tend une cravache.

– Vas-y tape la, tape la fort, vise ses seins, son ventre, ses cuisses, marque-la ! Défoule-toi !

Je tape !

– Non ma fille, tu ne fais pas assez fort, je vais te montrer.

Ma mère arme la cravache et lui cingle les seins, Sixtine hurle, un deuxième coup la fait hurler encore plus, Des larmes coulent de ses yeux entrainant le Rimmel.

– C’est ça, chiale, ça m’excite de te voir chialer.

Elle me redonne la cravache, et maintenant excitée comme une folle je tape à la volée lui zébrant les chairs.

– Retourne-toi, morue, on va s’occuper de ton cul.

Ma mère s’est saisie d’un gode, un truc très réaliste qui a vraiment la forme d’un bite et lui introduit dans l’anus sans aucune préparation, Sixtine hurle, puis s’accommode de la chose.

– Regarde-moi cette morue, elle est toute contente de se faire enculer par une bite en latex.

Elle retire le gode d’un mouvement vif, il ressort pollué du jus de son cul.

– Salope tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode, lèche moi tout ça !

Elle ne se fait pas prier et restitue le gode tout net, tout propre.

– Maintenant tape-la

Je tape les fesses, je tape le dos, ses cris et ses pleurnicheries ne m’arrêtent pas, bien au contraire.

– Stop, me dit ma mère, on ne va pas l’abimer non plus, je parie qu’elle mouille comme une fontaine. Vérifie Josepha !
– Que je vérifie ?
– Ben oui tu vérifie !

Sixtine se retourne pour me présenter sa chatte, j’y porte la main, effectivement c’est tout mouillée.

– Alors ?
– C’est mouillé !
– Tu devrais lécher un peu !
– Que je lèche ?
– Ben oui, c’est délicieux la mouille de vieille salope !

Je me baisse et lui lape la chatte, effectivement c’est délicieux. Mais ma mère m’arrête !

– Stop, le but n’est pas de la faire jouir, du moins pas de suite. Viens donc vérifier si moi je mouille aussi !
– Mais Maman, qu’est-ce que tu me demandes ?
– Je sais très bien ce que je te demande, et arrête de faire ta mijaurée, je sais que tu en meurs d’envie.
– Mais ça ne se fait pas !
– Eh bien nous on va le faire quand même, allez lèche moi, et en ce qui me concerne tu as le droit de me faire jouir.

Je reprend mon souffle et me mets à lécher la mouille de ma mère.

– Regarde Sixtine, regarde ce que me fait ma fille, elle me lèche la chatte, je suis vraiment la reine des salopes, tu ne trouve pas ?
– Si maîtresse !

Moi aussi, je mouille mais j’ignore si quelqu’un va s’occuper de moi. Tout naturellement ma langue a bifurqué sur le clito de ma mère que ma langue vient titiller. Maman hurle de plaisir ! Je viens de faire jouir ma mère, c’est dingue ça ! Elle m’enlace, elle m’embrasse, on se roule un patin ! Quand même je me demande quelles vont être nos relations après cet événement.

Ma mère se retourne et invite Sixtine à venir lui lécher le cul.

– Viens me lécher mon cul plein de merde ! Lui dit-elle. Quand elle vient, je ne me lave jamais le cul ! Me précise-t-elle

Sixtine lèche le cul de ma mère avec gourmandise. Mais au bout d’u moment elle l’a fait arrêter,

Ma mère se déshabille complétement et me demande d’en faire autant. Curieusement ça me gêne un peu de mettre nue devant Sixtine de Trevor.

– Ben alors t’attends quoi ?
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ce serait mieux.

Je l’ai donc fait.

– Allez, tout le monde dans la salle de bain pour le final.

Sans qu’on ne lui demande Sixtine s’est allongée de tout son long sur le carrelage de la salle de bain

– Pisse lui dessus ! Me dit ma mère.

J’avais justement une bonne envie, j’ai chevauché Sixtine de Trévor et me suis lâchée.

– Vise la bouche, donne-lui à boire, à cette salope, et si tu as envie de chier, ne te gêne pas.
– Je ne pourrais jamais faire ça !
– Essaie, tu vas voir comme elle aime ça !

Je pousse, je lâche un étron, je me retourne. Madame de Trévor a reçu mon « cadeau » en pleine bouche et le maintient entre ses lèvres d’un air satisfait ! C’est vraiment une grosse salope.

– Lèche bien l’étron ! Voilà comme ça ! C’est bon hein ?
– Humm !
– Allez la séance est terminée, viens m’embrasser, ma salope.

Les deux femmes se roulent alors un patin, un baiser au goût particulier..

J’ai maintenant la chatte en feu, ma mère rejoint le salon, tandis que Sixtine se livre à une petite toilette.

Je rejoins ma mère. Oserais-je lui demander de me calmer mon excitation ?

– Maman, j’aimerais que tu me fasse jouir !
– Mais certainement, ma fille, allonge-toi je vais te faire monter au ciel.

Maman est venu poser son visage sur ma chatte et a commencé à me brouter tandis que ses mains projetées en avant me pinçait me bouts de seins.

Cette douce étreinte n’a pas duré longtemps, excitée comme j’étais je n’ai pas tardé à jouir dans un geyser de mouille.

Madame de Trévor revient de la salle de bain, à poil, cette femme est décidemment très belle.

– Je peux la lécher, Maman ?
– Mais certainement ma fille, pendant ce temps-là je vais préparer l’apéro.

Fin

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Samedi 20 août 2022 6 20 /08 /Août /2022 13:27

Vicky par Kelya

scat

Avertissement : récit contenant des passages scatos explicites

Chapitre 1 : Contact sur le net

Mon copain venait de me laisser pour une autre. J’ai eu énormément de peine, je me suis enfermée sur moi-même. Je  » chattais  » de plus en plus sur Internet… sans trop savoir d’ailleurs ce que j’y cherchais… Puis un soir, j’y ai fait la connaissance de Vicky. On a parlé un peu de tout, mais comme très souvent sur le net, la conversation a bifurqué sur le sexe. Les choses allèrent alors assez vite. Elle me confia sa bisexualité et me demanda si de mon côté j’étais intéressée par ce genre de choses

– Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait ! Répondis-je alors.
– Mais si avais l’occasion d’essayer ?
– Je ne dis pas non, en fait, je n’en sais rien !
– Ecoute, je te propose une chose, je t’envoie ma photo, et toi tu fais pareil, si on se plait, on peut peut-être aller plus loin ! Me proposa Vicky.

Nous n’habitions pas si loin l’une de l’autre et le lendemain soir, je l’invitai à venir chez moi. Elle accepta, tout en précisant que ce serait une rencontre d’essai et qu’elle n’aurait pas beaucoup de temps. Elle vint vêtue d’un jean très moulant et d’un tee-shirt laissant voir subtilement ses jolies formes… Moi, j’étais en culotte et en nuisette. Pas de soutien-gorge, rien d’autres ! Vicky l’avait bien remarqué… Elle me regardait avec envie, l’ambiance était électrique !

– Bonjour, je suis Vicky !
– Ça je m’en doute bien ! Rentre donc !
– Tu es très belle !

J’allais répondre je ne sais plus quoi, mais je n’en ai pas eu le temps. Vicky s’est approchée de moi, je savais ce qui allait se passer, je l’ai accepté et nos lèvres se sont soudées. Nos langues se frôlaient, doucement, puis presque violemment. Je sentis les mains de Vicky soulever ma nuisette, puis me l’enlever… Elle me massait les seins, me les pressait. Je me décidai à lui enlever son tee-shirt et découvrit un joli soutien-gorge en dentelle. Je n’ai pas tardé à lui enlever ce soutif et lui presser à mon tour les seins fortement. Je la sentis très excitée et je lui baissais son jeans, sous lequel elle n’avait pas mis de petite culotte… Ma main descendit sur ses fesses, pour découvrir son vagin déjà tout mouillé. Je pris son jus dans ma main et massa ma visiteuse avec son jus. Puis je me mis à la lécher… N’en pouvant plus, elle enleva ma culotte et me serra fortement la chatte. Elle trouva rapidement mon clitoris, le pressa, il durcit. Je mouillai… Vicky m’a couché sur le plancher et elle commença à me lécher mon sexe. Je criais !! Je sentis sa langue pénétrer dans mon vagin… Je branlais de plaisir et lui tenais bien la tête entre mes cuisses pour ne pas qu’elle arrête…

Oh ! Mais elle n’a pas arrêté !!

Elle buvait mon jus, qui ne cessait pas de couler. Puis elle vint se coucher sur moi, m’embrassa, me pressa les seins… Elle me mordillait les mamelons. Et je me suis retrouvée sur Vicky. Je descendais tout en la léchant… Et je me retrouvais le nez devant son sexe que je caressais doucement et violemment avec mes mains débutantes. Elle était toute mouillée. Vicky criait des  » Continue !!  » J’introduisis ma langue dans son vagin, puis je la retirais, pour la réintroduire aussitôt, je fis ce petit manège plusieurs fois de suite. Vicky était au septième ciel !! On s’est arrêté là pour cette soirée mais ce n’était pas fini. Elle est partie après m’avoir invité à passer une fin de semaine à son chalet…

Chapitre 2 : Arrivée au chalet

Alors, comme prévu, nous nous sommes retrouvées au chalet de Vicky pour la fin de semaine. Elle était venue me chercher chez moi, ce n’était pas tout près, et j’avais malgré tout, une certaine appréhension de me retrouver dans un endroit quasi désert. Mais je me rassurai en pensant à la sensuelle femme qui m’accompagnait. Arrivé sur les lieux, elle me fit, comme le veulent bonnes manières et traditions visiter les lieux. En les découvrant, je m’amusais à scruter tous les endroits qui étaient susceptibles d’accueillir nos ébats. Elle me demanda ensuite si j’avais faim ?

Oh mais j’avais faim mais pas juste de bouffe ! Ah la maudite, elle me faisait languir et elle le savait ! J’avais si hâte qu’elle s’approche de moi…

Mais elle devait avoir d’autre projet, elle s’en alla vers le coin kitchenette et en rapporta du pain et de la confiture. Puis elle prétexta une envie de pisser. Lorsqu’elle fut sortie de la salle de bain, j’avais devant moi une Vicky toute nue que je mourrais d’envie de dévorer. Elle s’avança vers moi, m’embrassa tendrement… Puis, elle prit de la confiture, s’en étala sur son sexe et m’ordonna d’essuyer ce  » dégât « . Elle ne m’a pas suppliée ! Vicky s’assit sur le bord du comptoir. Alors, je lui écartai les jambes et commençai à la lécher… Elle avait mis de la confiture jusque dans son vagin et même dans son anus ! J’ai tout léché… Vicky ne se contenait plus. Ahhh elle serrait la tête et s’accotait sur mon visage. Elle jouissait ! Je relevai ma tête, l’embrassai. Puis je montai sur elle, je m’assis sur elle. J’enlevai mon chemisier, puis mon soutien-gorge. Elle pressa mes seins…

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j’en voulais encore plus ! Puis je sentis sa main dans ma petite culotte… Alors j’enlevai cette culotte ! On s’est ôté de sur le comptoir pour se retrouver debout, collées l’une contre l’autre. Elle me dit de me coucher sur le divan et d’écarter mes jambes au maximum. Puis elle s’approcha et amena sa chatte toute mouillée contre la mienne… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Nos chattes se frottaient doucement puis violemment. On pouvait crier autant que nous le voulions puisque personne ne nous entendait ! Alors je me lâchais, je hurlais et ça excitait Vicky ! J’avais envie de la manger toute crue tellement je l’aimais!! Puis épuisées, nous nous sommes endormis l’une contre l’autre, par terre, mortes de fatigue.

Chapitre 3 : Lendemain au chalet

Vicky0424Le lendemain matin, je me réveillai la première. J’ai toujours été une lève-tôt. J’allai sur le bord de la porte-patio et contemplais la neige qui tombait. Il y avait un lac derrière le chalet de Vicky, il était bien dommage que nous soyons en hiver car j’aurais aimé me baigner avec Vicky. Ce sera pour l’été prochain, me dis-je, alors ! J’allai à la salle de bain, souhaitant prendre une douche j’ouvris alors ce que je croyais être une sorte de garde-robe mais je découvris une nouvelle pièce adjacente à celle-ci et découvrit un bain-tourbillon ! Quelques secondes plus tard, je sentis les bras de Vicky m’enrouler voluptueusement, et de sa voix sensuelle me proposa :

– Tu aimerais qu’on prenne un bain toutes les deux ?

Sans attendre ma réponse, elle fit couler l’eau et démarra le tourbillon. Elle m’invita à pénétrer dans cette eau très chaude… Elle vint me rejoindre et s’assit face à moi. Je fus un peu déçue qu’elle se place si loin de moi, elle le remarqua, elle jouait, alors elle descendit sous l’eau et je sentis ses mains caresser mes jambes sous la surface. Vicky réapparut hors de l’eau, son visage à quelques tous petits centimètres du mien. J’approchai mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassées passionnément. Mes mains se promenèrent sur son corps et s’attardèrent sur ses fesses. Je les caressais, les pinçais… Nous sommes sorties du bain.

Ma main lui chatouillant sa chatte. Je sentis que Vicky aimait mes caresses. Me voilà enfin sur sa chatte, je trouvai son clitoris et le titillais. Vicky me serrait très fort, ce qui signifiais que je lui procurais du plaisir. Lentement, j’approchais ma main de son vagin et j’introduis deux doigts, puis trois… Je fis des mouvements de va-et-vient qui faisait hurler Vicky de plaisir. Elle pressa maintenant mes seins alors que moi, de mon autre main, je m’attaquais à son anus. Je fis tourner mon index plusieurs fois autour de son petit trou, ce qui augmentait son plaisir. Puis mon index s’introduit dans son anus, je fis quelques mouvements de va et vient et j’introduis un deuxième doigt puis un troisième… Mes doigts touchaient sa crotte, j’hésitais à continuer mais le fis quand même, C’était tellement pervers. Mes doigts ressortirent légèrement merdeux.

– Lèche les, lèche ma merde !

Je le fis sans problème

– C’était bon ? Me demanda-t-elle.
– Humm, délicieux !
– Tu as déjà joué à des trucs scatos ?
– Seulement dans mes fantasmes.
– On peut essayer si tu veux ! Tu aimeras me voir chier ?
– Pourquoi pas ?
– Allonge-toi, on va faire ça !

Vicky me chevaucha et commença par me pisser dessus, je reçu plein d’urine sur les seins et me badigeonnais avec. Elle me proposa d’ouvrir la bouche et je pu me régaler de ce divin nectar.. Ensuite elle se retourna me présentant ses jolies fesses, Son anus s’écarta laissant passer un petit étron qui s’agrandit et me dégringola sur le ventre, un second suivit, puis un troisième.

Vicky ramassa l’un des étrons et le porta à ses lèvres pour le lécher, puis me le présenta. Je léchais sa bonne merde dans un état d’excitation inimaginable. Elle me badigeonna tout le corps avec la merde : les seins, le ventre, les cuisses, puis me demanda de lui rendre la pareille. Toutes enduites de merde, nous nous sommes embrassées à pleine bouche et léché les tétons. Que c’était bon !

Vicky se tordait de plaisir et laissa aller sa jouissance que je sentais retenue depuis quelques minutes. Elle s’écroula sur moi, sa tête sur mes seins. Je continuai à lui faire des caresses tout le long de son corps.

Quelques minutes plus tard, elle leva la tête pour m’embrasser avec passion. Ses mains côtoyaient ma poitrine qu’elle pressait. Mes seins raidissaient de plaisir. Ses mains descendaient doucement sur mon corps déjà tout excité par les caresses qu’elle me donnait. Elle sentit mon excitation et ne me fit pas languir, elle pénétra immédiatement deux ou trois doigts dans mon vagin. Dans un réflexe, mes jambes s’enroulèrent autour de son corps, lui disant de continuer. ses va-et-vient me firent immédiatement jouir…

Nous nous somme rincées dans le bain et nous nous sommes dirigées main dans la main vers le salon. Nous nous sommes assises sur le divan, toujours collées l’une contre l’autre. Je me suis assise sur elle, face à face. Elle mit ses mains sur mes fesses et moi mes bras étaient autour de son cou et nous nous embrassions avec fougue et amour

Nous ne sommes pas allées plus loin car la sonnerie de la porte qui retentit à ce moment-là, nous dérangea…

Chapitre 4 : Jonathan et Frédéric …

Vicky, toujours nue, se dirigea vers la fenêtre située à côté de la porte et regarda discrètement s’enquérant de l’identité de l’opportun, puis parut rassuré et toujours à poil alla ouvrir. Et tandis que j’essayais de couvrir ma nudité avec une serviette de bain qui traînait là, je vis deux sympathiques messieurs entrer. Vicky me les présenta :

– Kelya, je te présente Jonathan et Frédéric… Je leur avais demandé de passer vers midi… On va bien s’amuser, tu vas voir, ils sont un peu pédés tous les deux ! Vous êtes en avance les gars !
– Je sais, répondit Jo. On s’était dit qu’on pourrait peut-être faire les courses ?

Jo est un blond musclé, d’environ 1,70 m) avec des yeux verts, magnifiques ! Fred a le teint basané et les cheveux noirs. Il mesure presque 1,80 et il n’est pas très baraqué.

Croyant, ou plutôt voulant croire que nous regardions la télévision, (allumée mais que personne ne regardait) nos deux compagnons s’installèrent sur le divan. Je regardai Vicky, nous étions nues, pas eux… Elle s’approcha de moi et me dit glissa à l’oreille :

– Et si nous leur faisons un petit spectacle ? Je lui souris…

Elle prit la télécommande et éteint la télévision. Les gars lâchèrent un hypocrite soupir de désappointement. Vicky se mit face à la télé et commença à se dandiner. Puis, elle me fit signe de venir la rejoindre. Elle m’attira vers elle et on s’embrassa. Nous nous caressions mutuellement et en passant ma main entre les jambes de Vicky, je remarquai qu’elle mouillait, moi aussi d’ailleurs… J’eus alors la surprise de voir les gars se caresser mutuellement les cuisses. Vicky me dit discrètement

– Je m’occupe de Jo, prends Fred…

Je m’approchai donc doucement de Fred qui, visiblement, n’attendait que ça. Je m’assis sur lui et l’embrassa tendrement. Pendant ce temps, je sentis ses mains me parcourir le dos sans descendre plus bas. Je lui enlevai son pull-over et couvrais son torse de baisers. Fred caressa mes seins d’une main et approcha l’autre de mon endroit intime. Sous son jeans, je sentais que son pénis allait bientôt manquer de place. Je dis donc à Fred de se lever et je lui enleva tranquillement son jeans en prenant soin d’embrasser tout ce que je pouvais. Le pénis de Fred était en pleine érection, j’y déposais une langue coquine qui eut tôt fait d’en accroître encore la raideur, mais, ce pénis je mourrais d’envie de le sentir en moi. Fred s’assit et je m’agenouilla sur lui. Son sexe me pénétra. Je fis des mouvements avec mon bassin qui aidait au pilonnage de mon vagin. Fred se cabra et éjacula en moi. Je me laissai tomber sur lui, son pénis toujours en moi.

Reprenant nos esprits, nous aperçurent alors Vicky et Jo embarqué dans des ébats qui n’avaient rien à envier à ceux que nous venions de, sauf qu’eux, ils le faisaient debout, Vicky ayant les jambes autour de Jo. Nous nous sommes alors approchés d’eux. Je me plaçai sous Vicky, la caressai et lui léchai l’anus alors que Jo pénétrait dans son vagin. Je me demandais bien ce qu’allait entreprendre Fred, les possibilités n’étant pas vraiment infini. C’est alors qu’il se plaça juste derrière Jo et, son sexe étant de nouveau en érection, il encula son ami. Moi, j’introduisis mes doigts dans l’anus de Vicky et je pus rejoindre en elle le pénis de Jo, puisque seule une mince paroi nous séparait. Vicky eut une énorme cri de jouissance. Jo la laissa tomber sur moi, par terre.

J’entourais Vicky de mes bras et mes jambes et lui donna des petits bisous dans le cou. Je vis les deux gars qui étaient maintenant en soixante-neuf. C’était la première fois de ma vie que je voyais deux hommes faire l’amour ensemble et j’étais particulièrement excité de les voir se sucer le sexe mutuellement.

Quelques minutes plus tard, Jo s’approcha de moi et me murmura :

– Dis-moi ma belle, est-ce que tu aimes te faire sodomiser ?
– Ben, quand c’est bien fait…

Je me mis à quatre pattes, comme une chienne. J’étais déjà tout excitée de l’étreinte que je venais de donner à Vicky. Et le pénis de Jo stimulé par les caresses que lui prodigué Fred se portait plutôt bien

Jo se mit donc derrière moi, par-dessus moi. Je sentis son gland frotter mon anus. Vicky aida Jo à me pénétrer. Lorsque le pénis de Jo me pénétra, je sentis une douleur si terrible… que je hurlais ! Mais le temps que dure mon cri, et le pénis de Jo était complètement entré dans mon cul. Il fit des mouvements de va-et-vient tout en me tenant les cuisses pour bien me tenir. J’étais incontrôlable, j’adorais ce qu’il me faisait ! Puis, il se cabra et éjacula dans mon cul… Vicky s’approcha et s’amusa à me lécher mes fesses dégoulinantes de sueur, de mouille et du jus de mon cul. Fred était assis sur le divan et se masturbait… Après avoir nettoyé avec sa langue le sperme qui imbibait la bite de son copain, Il s’approcha et moi et m’embrassa. Puis il me dit :

– C’était bon ! Tu as vu, je suis tout excité…

Je me lançai alors dans ses bras, croyant avoir la force de repartir vers de nouvelles fantaisies, mais tout ce que je réussis à faire c’est de poser mon visage sur son épaule et de m’y endormir, complètement épuisée…

Kelya

Ce récit a déjà fait l’objet d’une publication sur le site québécois sophiexxx, aujourd’hui disparu. Le récit a été un peu remanié pour cette double réédition (revebebe en juillet 2002, avant d’y être retiré et vassilia en octobre 2002)

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Lundi 11 juillet 2022 1 11 /07 /Juil /2022 11:03

Corinne et l’auto-stoppeur par Elros
zoo

 

La semaine est finie. Yohann a terminé cette mission compliquée en province. Prêt à partir, il apprend par la radio que le trafic ferroviaire est complètement arrêté suite à une grève surprise des conducteurs.

– Eh bien, il ne me reste plus qu’à faire du stop…

Yohann se dirige vers la route nationale, avec son sac à dos plein. Il fait chaud, sous ce soleil de début mai. Il a environ 500 mètres à faire à pied avant d’atteindre l’endroit stratégique. Une fois arrivé, il pose son sac et commence à attendre. Il y a peu de voitures.

Au bout d’un quart d’heure, une Golf rouge met son clignotant et s’arrête à sa hauteur. La vitre s’abaisse. La conductrice, une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années lui demande où il va. Elle lui dit se rendre à Annecy et lui propose donc de l’emmener. Yohann est d’accord.

Il ouvre la portière arrière et se retrouve nez à nez avec un chien imposant, un border collie.

– N’ayez pas peur. Posez votre sac et venez devant avec moi. Mon chien n’est pas méchant ! Dit-elle

Yohann pose son sac et vient s’asseoir à côté de la conductrice. Celle-ci démarre et commence à rouler.

– Cela ne vous dérange pas si nous prenons des petites routes ? J’ai horreur des nationales et autoroute.
– Non, non. Faites comme vous le souhaitez.
– Merci. Cela va nous prendre un peu plus de temps, mais c’est tellement plus sympa.

Ils roulent donc sur les petites départementale, tout en discutant. Il apprend qu’elle se nomme Corinne, qu’elle est célibataire et qu’elle fait le voyage tous les vendredis. Elle travaille à Gap et dispose d’une maison sur les hauteurs d’Annecy.

– Il fait vraiment chaud. Si on s’arrêtait au prochain village pour boire quelque chose ? Propose Corinne
– D’accord, mais c’est moi qui t’invite !
– OK.

Ils s’arrêtent donc au village suivant. Ils s’installent à la terrasse d’un café, situé en retrait de la rue, sous des platanes. Yohann commande une bière tandis que Corinne demande un diabolo menthe et de l’eau pour Jippy, son chien. Elle se lève et dit :

– J’ai un peu chaud comme cela. Je vais me changer. Tu m’attends ici avec Jippy ?
– Euh, il va être sage ? Bon, d’accord.

Elle revient, 5 minutes plus tard, vêtue d’une petite jupette et d’un débardeur.

– Ouf, comme cela, ça ira mieux !

Elle est face à Yohann. Alors qu’elle se penche sur le côté pour regarder son chien, Yohann peut alors distinguer sa poitrine par l’échancrure du débardeur. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Alors qu’elle se relève, leurs regards se croisent et elle comprend ce qu’il a vu.

– Ç’a t’a plu ? Tu pourrais quand même vérifier l’écuelle de Jippy de temps en temps !

Yohann se penche pour regarder l’écuelle sous la table, Il voit alors Corinne, les jambes bien écartées. Elle ne porte pas de culotte non plus. Il découvre son sexe, rasé de prés. Il se redresse brusquement, et se cogne la tête sur le bord de la table. Corinne éclate de rire.

– Alors, on redemande de l’eau ou pas pour Jippy ?
– Je ne sais pas. Je n’ai pas eu le temps de voir.!

Corinne rit et se trémousse sur sa chaise. Ils boivent leur consommation, payent et repartent, sans avoir échangé un mot de plus. Ils roulent à nouveau, quand Corinne met son clignotant et tourne dans un petit chemin de terre, à droite.

Elle roule pendant 1 à 2 kilomètres et tourne encore une fois à droite dans un petit chemin herbeux. Elle roule pendant environ 500 mètres. Ils arrivent dans une sorte de clairière, avec une grange dans le fond. Elle s’arrête et coupe le moteur.

Yohann un peu inquiet demande :

– Qu’est-ce que tu fais ? On est où là ?
– Ne t’inquiètes pas. Ici, on est tranquille et personne ne viendra nous déranger.

Elle ouvre la portière arrière et Jippy sort de la voiture. Il commence à courir tout autour. Pendant ce temps, Corinne retire son débardeur. Ses seins, ronds et fermes apparaissent complètement. Ils possèdent une auréole fine et des tétons fièrement dressés.

– Corinne, tu… , enfin je… mais quand même, tu vas pas… si on fait…

Elle sort alors de la voiture et retire sa jupe. Elle est là, dehors, totalement nue. Yohann sort aussi et se dirige vers elle.

– Si c’est ce que tu veux, alors d’accord. Suce-moi !

Elle se met à genoux devant lui et commence à lui défaire sa ceinture. Puis elle attaque la braguette. Elle lui descend le pantalon sur les chevilles. Elle retire alors son slip. La verge de Yohann apparaît devant elle, tendue, les reflets du soleil brillant dessus. Elle le caresse, prenant ses couilles dans une main. Elle approche ses lèvres, et commence à le sucer. Elle mordille son gland, s’amuse avec sa langue. Puis elle se relève et se couche, dos au capot de la voiture.

– Lèches moi. Prépare-moi bien, que je mouille.

Yohann s’approche de cette chatte offerte et commence à promener sa langue sur les lèvres. Puis, il l’immisce entre les lèvres, à la recherche du clitoris. Il enfonce ses doigts dans la chatte et commence à la branler. Elle mouille de plus en plus. Elle se redresse et lui dit :

– Arrête maintenant. Je vais te sucer à nouveau. Appuis-toi à la voiture.

Et elle se met à quatre pattes devant lui, prends sa bite dans une main et siffle.

– Jippy, approche !

Yohann constate alors que le chien était là, assis en train de les regarder. Sa bite sortait du manchon, rouge. Il approche de Corinne et commence à lui lécher la chatte. A ce moment, elle avale complètement le sexe de Yohann. Le chien monte alors sur son dos et commence à donner des coups de reins. Il veut la baiser. Elle crie :

– Oui mon chien. Prends-moi bien pendant que je le suce. Enfonce-toi en moi. Fais-moi jouir !

Elle prend la bite de Yohann dans la bouche et passe sa main libre sous elle. Elle prend alors le manchon de son chien, le pousses à fond, vers les couilles, dégageant complètement le sexe rouge et gonflé. Cette pine, pointue est aussi grosse que celle d’un homme. Elle la prend dans la main et la dirige vers l’entrée de sa chatte. Le chien donne toujours de petits coups de reins. Petit à petit, son sexe la pénètre. Le chien se rétablit sur son dos, enfonçant sa queue un peu plus profondément. Il s’active de plus en plus, tandis que Corinne pompe de plus en plus la bite de Yohann. Le chien halète lentement au début, de plus en plus vite. Il bave sur le dos de Corinne.

Sa pine ressort de la chatte de Corinne. Il s’active essayant de la pénétrer à nouveau. Les seuls effets sont de frotter sa verge sur les fesses de Corinne, l’enculant presque. Corinne essaie alors de la reprendre par la main pour la remettre dans sa fente. Le frottement sur son cul associé au toucher de la main le font jouir. Il halète énormément et crache son foutre. Celui-ci, plus liquide que le sperme humain, gicle en longs jets qui vont s’écraser dans le dos, jusqu’au cou et dans les cheveux blonds. Il couine un peu. Plusieurs jets conséquents de sperme se répandent ainsi dans le dos.

Devant ce spectacle, Yohann n’en peut plus. Il se raidit, entrant sa pine au fond de la gorge de Corinne qui se rétracte. Le premier jet de sperme s’écrase au bord de sa bouche et sur ses joues. Elle ouvre la bouche en grand et le jet suivant va s’écraser à l’intérieur. Elle referme la bouche pour l’avaler et relève alors la bite de Yohann. Les jets suivants s’écrasent alors sur ses yeux et ses cheveux. Puis, elle se caresse le visage avec le gland, étalant le sperme, pendant que Jippy se retire et va s’allonger à côté de sa maîtresse.

Corinne se relève alors et va le caresser. Il s’allonge alors sur le dos et écarte les pattes. Elle lui caresse les bourses et le sexe, penchée en avant.

Yohann voit alors sa chatte d’où s’écoule un peu de sperme. Puis elle se met debout, s’approche de lui, lui prend la main et l’entraîne vers la grange. Elle lui dit :

– Reposes toi un peu à l’ombre. Je reviens tout de suite.

Il s’allonge sous un arbre et ferme les yeux. Jippy vient le rejoindre. Il s’approche de lui et commence à lui sentir le sexe. Il lui lèche les couilles et la bite. Yohann se redresse alors et le repousse gentiment, c’est quand même un chien. Mais Jippy recommence. Corinne revient alors, tirant un âne derrière elle. Elle s’approche de Yohann et lui dit :

– Je vois que Jippy t’aime bien. Ma chatte lui est réservée. Que dirais tu de jouir dans mon cul maintenant ? Moi, je sucerais Milon ! Dit-elle en désignant l’âne.
– Là, maintenant ?
– Oui, pas dans deux heures. Alors ?
– Euh, bon d’accord. Mais il faut que tu m’aides ?
– Jippy va s’en charger. Hein Jippy ? Suce-le !

Le chien se précipite alors sur le sexe de Yohann et se met à le lécher frénétiquement. Sa langue lui lèche aussi le cul. Cela semble plaire à Yohann car sa bite se redresse petit à petit. Pendant ce temps, Corinne est passée sous le ventre de l’âne et lui a saisi le sexe. Elle commence à le branler lentement à travers le manchon et l’on voit le sexe s’allonger et grossir progressivement. Elle le dégage progressivement. Sa bite est noire, assez grosse. Elle en suce le gland puis toute la partie découverte. Elle le branle lentement. Elle se tourne par moment pour contrôler l’érection de Yohann. Au bout d’un moment elle dit :

– Branles toi un peu, maintenant Jippy va me préparer. Jippy ! Viens là ! Lèche-moi le cul !

00CorinneEt en disant cela, elle se met à quatre pattes, écartes les jambes et tend son cul vers l’arrière. Jippy se tourne et se précipite vers sa maîtresse. Il pose sa truffe entre ses fesses et commence à la lécher. Pendant ce temps, Corinne essaie d’avaler la bite de Milon. Elle ne parvient qu’à enfourner légèrement le gland. Elle passe constamment sa langue sur cette pine énorme et noire. Elle titille le gland et essaie d’écarter le méat urinaire avec sa langue. On voit la poitrine de l’âne se soulever de plus en plus rapidement. Avec sa jambe, elle écarte Jippy et dit :

– Yohann, viens maintenant. Prends-moi dans le cul.

Yohann s’approche alors, la bite à la main. Il se place derrière Corinne et lui pose la bite sur l’anus, complètement mouillé et légèrement dilaté. Jippy approche son museau et redonne quelques coups de langue. D’une poussée, Yohann entre son gland dans ce cul, rond et chaud. Il s’enfonce progressivement.

Jippy, est maintenant passé sous Corinne et lui lèche la chatte. Yohann sent ses coups de langue sur ses testicules. Corinne branle toujours l’âne qui se met à braire et qui décharge. Son sperme abondant et liquide va se répandre sur le visage et les cheveux de Corinne. Elle tente d’en avaler un peu. Elle semble jouir car elle se trémousse et pousse de nombreux cris. Yohann, entre les mouvements de son cul et la langue de Jippy, n’en peux plus et éjacules dans son cul. Il s’enfonce le plus profondément possible et décharge, en longs jets brûlants. Il râle et sa jouissance est immense. On entend couiner le chien qui décharge dans la main de Corinne qui était en train de le branler.

Tout le monde se relève alors et Corinne, dégoulinante de sperme, prend Milon par le licol et va le ranger dans la grange. Lorsqu’elle revient, elle semble un peu plus propre.

Il y a là-bas un peu d’eau. J’ai pu me débarbouiller. Mais maintenant, il faut repartir.

Ben oui, les meilleures choses ont une fin !

Léger rewriting d’un texte paru en 2000 sur le site de Revebebe, puis passé à la trappe. Les modifications effectuées l’ont été en respectant l’esprit du récit original

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 9 juillet 2022 6 09 /07 /Juil /2022 11:43

Le travesti et le dalmatien par TransMonique
coin102

 

Bonjour, voici un récit de pure fiction qui m’a été inspiré par certaines bonnes lectures sur ce site.

C’est parti !

J’ai 29 ans, je me travesti et suis artiste de cabaret. Alors inévitablement, on finit par être sollicité par des clients qui souhaitent des prestations « extérieures ».

Au début j’étais plutôt réticent et puis j’ai fini par me dire qu’il serait bête de refuser de l’argent aussi facile. Et outre les rendez-vous pris à l’intérieur du cabaret, je passais aussi quelques annonces.

Donc me voilà un peu pute !

Je m’en vais donc vous narrer l’une de ces rencontres, la plus insolite, pourrait-on dire.

Aujourd’hui c’est perruque blonde, petit caraco rose, string assorti, minijupe en vinyle noir, porte-jarretelles et bas résille, escarpins vertigineux de chez Louboutin. Je suis rasé de près partout, savamment maquillé et les ongles manucurés. Je me contemple dans le miroir. Je m’adore comme ça !

Je passe sur le luxe de précautions que m’a fait prendre mon client du jour, parce qu’après tout, quel intérêt !.

Je n’ai jamais su le nom de ces gens. C’est le grand luxe, pavillon en meulière, jardin fleuri parfaitement entretenu, escalier bordé de statuettes…Une femme mature très classe et ma foi fort appétissante me fait entrer. Elle est en robe de chambre, du satin rouge quand même…

Ça pue le fric là-dedans, meubles de style, tableaux sur les murs, objets tape-à-l’œil et j’en passe. La musique diffuse des valses de Johan Strauss. J’ignore si c’est de circonstance, mais ça ne me déplait guère.

– Mon mari arrive de suite, il finit de se laver la bite

Je suppose que cette vulgarité est volontaire et j’esquisse un sourire qui se voudrait complice.

– Votre rétribution est dans l’enveloppe sur la cheminée, vous avez le droit de recompter.

Elle me laisse seul un instant. Je ne recompte pas les sous, mais jette un coup d’œil, puis madame revient, suivi du mari et du chien.

Mon regard va d’abord sur l’animal, c’est un dalmatien, et je sais ce qu’il me faudra faire avec le moment venu.

Le mari, est en blazer bleu marine, chemise blanche et cravate. C’est dingue ça de rester en cravate à la maison ! Quelle manque de décontraction.

– C’est donc vous, Monique ! M’interpelle-t-il.
– Ben oui, c’est moi !
– Vous êtes une très belle pute !
– Merci monsieur !
– Un petit rafraichissement avant de passer aux choses sérieuses ?
– Avec plaisir !
– Le pipi de madame vous conviendrait-il ?.
– Pourquoi pas ?
– Vous ne boirez pas à la source, il serait dommage d’abimer votre beau maquillage, nous allons procéder différemment

Il se dirige vers un guéridon sur lequel ont été déposés fort opportunément sur un plateau d’argent trois verres à pied en cristal.

La femme se débarrasse de sa robe de chambre sous laquelle elle est entièrement nue. Jolie femme, belle poitrine incitant à la caresse..

– Me trouvez-vous baisable ? Me demande-t-elle.
– Oui, madame vous êtes très belle !
– Ce n’était pas ça, la question !
– Oui, vous êtes baisable, madame !
– Dites-moi que je suis une belle salope !
– Vous êtes une belle salope, madame !
– Une morue, un garage à bites…
– Oui, vous êtes tout ça madame !
– Et vous allez boire ma pisse de pute !
– Avec plaisir, madame.

Elle s’empare de l’un des verres, le porte sous sa chatte et pisse dedans.

J’aime bien les jeux uro pour leur côtés coquins (pour ne pas dire pervers), j’aime qu’on m’urine sur la bite, ou dans la bouche. Boire de l’urine dans un verre fait, pour ce qui me concerne, perdre de l’intérêt à la chose. Mais bon, il serait déplacé de faire une quelconque remarque, après tout, ces gens-là m’ont grassement payé !

Je bois donc le pipi de la dame, ces messieurs dame ne trinquent pas avec moi, pas bien grave..

– Ma femme va vous sucer la bite et quand elle sera bien raide, vous allez m’enculer ! M’informe Monsieur.
– Pas de problème. Je suis à votre disposition.

Je suis d’ordinaire davantage passif qu’actif dans mes rapports sexuels, mais je sais m’adapter.

– A toi de jouer, salope !

Comment il parle à sa femme, ce mec !

Je retire ma mini-jupe et écarte mon string afin de laisser sorti mon zigouigoui, et la dame vient y poser ses douces lèvres.

Oh ! Mais c’est qu’elle suce super bien la bourgeoise, et très vite ma bite bande comme une baguette de tambour. (une grosse baguette) .

– Il est prêt, je crois ! Constate-t-elle en se redressant.
– Bel engin en effet !

Monsieur pose alors son blazer sur un dossier de chaise, puis retire son pantalon et son caleçon. Par contre il conserve chemise et cravate ! Dingue ça, je vais enculer un mec en cravate !

– Il se tourne, me montre son cul !
– Alors ma chère, comment trouver vous mon cul ?

Il est moche son cul ! Mais je ne vais pas lui dire.

– Hum il me plait bien je vais avoir grand plaisir à vous enculer !
– N’est-ce pas que j’ai un cul d’enculé !
– Absolument, vous avez un cul d’enculé !
– Préparez-moi ! Un peu de langue, un peu de doigts

J’ai connu des anus plus sympathiques, mais bon en fermant les yeux, ça le fait, je lui lèche donc le troufignon avec application, à ce point que son trou du cul se met à bailler. J’en profite pour lui introduire un doigt que je fais aller et venir, puis je fais entrer un second doigt, puis un troisième. Voilà qui fait miauler notre homme.

– Ça suffit les doigts, enculez-le maintenant ! M’ordonne la dame.

Puisque c’est demandé gentiment… On me tend une capote et une dosette de gel. Et allons-y la jeunesse !

– Ça te plait de te faire enculer, Hubert, espèce de gros pédé ! Le nargue son épouse.
– Oh, oui ! Je ne suis qu’un pédé qui se fait enculer par un travelo devant sa salope de femme.
– T’est qu’une morue, une tafiole !

Je suis tombé sur des poétes !

– Et toi le travelo, tu ne jouis pas, les réjouissances ne sont pas terminées !

Ben oui, je sais ce qui m’attends, donc je décule.

– Oh ! Qu’est-ce c’est bon une bite dans le cul ! Commente Monsieur.
– Je suis bien d’accord avec vous !
– Je ne comprendrais jamais les gens qui refusent de se faire enculer ! S’ils savaient ce qu’ils perdent ! Poursuit ce grand philosophe.
– Bon, on passe à la suite ? Demande Madame.
– On y va !

Madame s’assoit sur le canapé et m’invite à venir à ses côtés.

– Pelotez moi les nichons, jeune fille !

C’est moi la « jeune fille ! »

Je lui caresse ses jolis seins, j’agace un peu ses gros tétons érigés.

– Mieux que ça, plus fort ! Pincez-moi, mordez-les, je ne suis pas en sucre !

Et pendant que je maltraite les nénés de la bourgeoise, son mari s’est emparé d’une carotte (elle sort d’où la carotte ?) et se ramone le cul avec.

– Fouille moi la chatte maintenant ! Me demande la dame !

C’est tout mouillé là-dedans, j’enfonce un doigt qui émet un étrange bruit de floc-floc

– Ça va être bon ! Viens Lancelot !

C’est qui Lancelot ? C’est le chien. Il vient lécher mémère avec frénésie.

– Ah que c’est bon, je plains les nanas qui ne connaissent pas ce plaisir ! Aaaah !

Ma parole elle va jouir ! Déjà ? Ben oui ! Et c’est guère discret.

Elle souffle un peu, puis récupérant un peu de sa mouille ave sa main elle m’en badigeonne ma bite.

Ce n’est pas ma première expérience zoo, mais les deux autres fois le chien ne m’avait pas léché. C’est donc un pas à franchir !

TransMoniqueMoment fatidique ! Un peu d’appréhension, en principe un chien ne mord jamais dans ces moment-là, il se contente de lécher, mais sait-on jamais, un coup de folie… et hop, plus de bite !

De sa main gluante, Madame dirige le chien vers mon sexe, et le voilà qui me lèche ! Putain quelle langue. Non seulement c’est excitant « physiquement », mais la situation est quand même super bandante. Je crains de partir trop vite et en prévient la dame.

– O.K, on va faire un petite pause, couché le chien ! Mais j’y pense, je manque à tout mes devoirs ! Je ne vous ai pas montré mon cul !
– Je ne crois pas non !
– Les aimez-vous un peu sales.
– Disons que ça ne me dérange pas !
– Eh bien, ça tombe à pic, figurez-vous que ce matin, j’ai chié un gros boudin et je ne me suis pas torché. Je me suis dit que peut-être vous pourriez me le nettoyer ?
– Je suis à votre disposition, madame !

Elle se lève, se retourne et m’exhibe son cul, un joli cul ma foi, à ceci près qu’il est mal torché.

– Allez, servez-vous de votre langue !

J’avais craint un moment que le tableau serait catastrophique, ce n’est pas le cas, quelques traces marrons quand même. Un odeur d’andouillette qui n’a rien d’insurmontable, j’approche ma langue, je lèche ! En fait je suis loin de détester ça.

– Alors ? Vous appréciez ?
– Oui, madame, votre merde est délicieuse.

Je continue à lécher, puis ma langue vient fureter dans le petit trou.

– Je suppose que c’est terminé ?
– Oui, madame !
– Votre bouche doit avoir le gout de ma merde ?
– Probablement, madame !

Et là se produisit l’impensable, la dame approche sa bouche de la mienne et me roule un patin d’enfer, un patin tellement baveux que de la salive dégouline sur mon menton.

« Merde mon maquillage ! »

– On peut reprendre, maintenant ? Me propose-t-elle.

Elle rappelle Lancelot, passe sa main sous son ventre afin de l’exciter en lui tripotant le sexe. Quand il fut sorti de son fourreau, convenablement bandé elle le fait passer entre ses cuisses et l’embouche sans autre forme de procès.

– Vous, je veux vous voir sucer la bite de mon chien !

Pas de problème, je l’ai déjà fait, et me met à sucer cette queue rouge et visqueuse, je m’en régale tellement la chose est perverse.

– C’est bon la bite de chien, n’est-ce pas ?
– C’est divin madame !
– Et maintenant il va vous enculer !
– Oui, madame !
– Et vous n’avez pas honte ?
– Euh… que dois-je répondre ?
– Ce que vous voulez !
– Alors j’ai honte, mais ça m’excite !
– Vous n’êtes qu’une salope !
– Oui madame !
– Comme moi !
– Oui madame, nous sommes deux salopes qui baisons avec les chiens.
– Alors en position !

La bite du dalmatien est de taille convenable, visqueuse comme elle est je ne vais pas avoir besoin de lubrifiant. Je me mets en levrette, la dame aide le chien à entrer sa bite dans mon cul… et c’est parti. Dans mes expériences précédentes j’avais juste sucé, mais le fantasme de me faire prendre était resté tenance.

Curieuse sensation, l’animal me lime avec une cadence infernale, à ce point qu’au début c’est carrément gênant, après ça va mieux et des ondes de plaisir ne tardent pas à m’envahir.

La dame met fin à l’acte, afin, me dit-elle que je ne reste pas bloqué, et m’indique que si je veux me soulager, je peux lui juter au visage et sur sa poitrine.

Je ne m’en suis pas privé et bientôt mon sperme vint tapisser les nichons et la frimousse de cette charmante personne.

Pendant ce temps, monsieur, la carotte toujours flanqué dans son cul jouissait dans un kleenex.

On m’a proposé une boisson (une vraie) on m’a appelé un taxi.

Je suis rentré, pas mécontent de cette expérience. Avec les sous qu’ils m’ont donnés, je vais pouvoir m’acheter plein de petits trucs afin que je sois encore plus belle !

fin

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Lundi 18 avril 2022 1 18 /04 /Avr /2022 11:33

Sapristi
par Etranges 
Délires

zoo

 

Suite aux réactions des lecteurs après la publication de « Ditar » nous publions un autre récit zoo, nous publierons désormais les bons textes sur le sujet

 

Maryse se frottait doucement le clitoris en pensant à Philippe. C’était l’été et dans l’appartement il régnait une chaleur moite et étouffante. Elle essayait d’imaginer Philippe entre ses cuisses, la tête penchée vers son intimité, en train de la lécher. Et elle fermait les yeux pour mieux rêvasser, pour sentir sa langue le long de sa chatte, ses lèvres contre son bouton d’amour.

Philippe était un bel étudiant d’université promis à un bel avenir. Ils se connaissaient depuis l’enfance. Ensuite, leurs chemins avaient divergé et tandis que lui poursuivait de brillantes études, elle se retrouvait elle à remplir les rayons dans un supermarché. Mais depuis toujours elle flashait sur lui et depuis toujours elle espérait qu’un jour ils seraient ensemble pour de vrai.

Un jour qu’ils étaient, lui, elle et deux anciens copains du collège en train de discuter au troquet, il avait bu trop de bière et était légèrement éméché. Du coup, sa langue s’était déliée et il se mit à dire des insanités. Du style qu’il aimait bien les salopes, que l’autre jour justement il en avait rencontré une en boîte et qu’elle avait voulu à tout prix qu’il la prenne sur le capot de sa voiture. Et lui en avait profité pour la prendre par derrière par le cul. Et ce disant, il regardait Maryse en riant et en reluquant sa poitrine, semblant signifier par-là : « Toi aussi tu dois n’être qu’une salope ! ». Mais elle ne lui en tînt pas rigueur pour si peu. Elle voulait bien être SA salope après tout si c’est ce qu’il désirait. Le seul problème c’est qu’il ne se décidait jamais… Humm ouiii, et elle qui avait toujours la chatte en feu pour lui !!!

Elle en était là de ses réflexions quand Sapristi, le jeune labrador que ses voisins lui avait demandé de garder pendant une semaine, fit irruption dans la chambre. Situation délicate puisqu’elle était en train de se masturber, allongée sur le lit sans petite culotte. L’animal fit le tour du lit et vint s’asseoir juste près d’elle en la regardant. Elle s’arrêta un instant pour lui caresser la tête, espérant qu’après ce geste affectueux il allait repartir et la laisser continuer. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Il restait là à l’arrêt devant elle à la reluquer en tirant la langue comme un soiffard.

Mais après tout ce n’était qu’un chien et qu’importe s’il la voyait la main dans la culotte. De toute façon il ne dirait rien à personne. Aussi, elle reprit ses caresses, insistant un peu plus sur ses seins aux durs tétons dressés. Sa poitrine était assez forte, bien galbée, bien pleine et très gracieuse, sans doute ce qu’elle avait de mieux réussi chez elle. Une main donc sur ses seins et l’autre sur son pubis, elle recommençait à se caresser en fantasmant à Philippe, en s’imaginant même à la place de la fille en train de se faire enculer sur le parking. Humm, ouiii elle était prête à tout lui donner. Du coup son doigt vint s’égarer vers son anus, elle aimait ce contact.

Soudain Sapristi se redressa en aboyant. Surprise, elle le caressa à nouveau en lui intimant l’ordre de se coucher. Mais il se dégagea et entreprit de lui lécher les doigts, ses doigts qui devaient à coup sûr sentir la mouille. Quelle sensation étrange… Déjà le jeune chien avait posé ses pattes sur le lit et était en train de renifler son corps, ses aisselles et ses seins. Et bientôt elle sentit la langue rappeuse de l’animal sur ses nichons… De nouveau sensation étrange… Mais agréable ! Serait-ce ainsi lorsque Philippe lui lècherait les seins ? Non, là ce n’était qu’un animal. Elle voulut alors repousser Sapristi, mais l’animal revenait sans cesse à la charge et ne répondait plus à ses injonctions. Il lui montra même les dents lorsqu’elle se montra un peu trop agressive.

Désormais, il lapait ses seins et bavait sur son ventre et elle ne contrôlait plus très bien la situation. Mais malgré la peur provoquée par cette situation cocasse, elle était malgré tout excitée, trop excitée d’ailleurs. Et la langue rappeuse de l’animal sur ses tétons lui procurait un plaisir qu’elle n’arrivait plus à nier. Une dernière fois elle tenta de l’arrêter mais il n’y avait rien à faire…

Et puis après tout ce n’était pas grave. Même lorsqu’il est venu avec sa langue jusqu’à sa chatte pour le laper. Oui c’était là que ça sentait bon, il en était visiblement particulièrement excité. Et à Maryse, cela lui faisait du bien, un bien fou, mieux qu’avec ses propres doigts, cette grande langue humide qui la léchait partout c’était divinement bon. Toute cette bave aussi mélangée à sa mouille. Le chien lapait partout, indistinctement, ses cuisses, sa chatte, son clito, son anus… Elle écarta encore plus les cuisses pour mieux le laisser faire… D’être ainsi dévorée lui procurait des sensations partout et pas uniquement dans l’entrecuisse. Des frissons zébraient tout son corps de jeune femme. C’était tellement bon qu’elle en voulait encore plus. Elle avait complètement oublié qu’il s’agissait d’un animal et pensait être aux mains d’un redoutable amant. Elle ne pensait même plus à Philippe, juste à cette langue qui lui provoquait un plaisir inouï ! Elle était déjà presque au bord de l’orgasme. Ça arrivait, très fort entre ses cuisses, très fort et très profond, du plus profond de ses entrailles, une série de spasmes incontrôlables qui lui la firent couiner comme une truie. Un flot de mouille s’écoula de sa chatte se mêlant à la bave de l’animal, un torrent tel qu’elle crut un instant qu’elle était en train d’uriner sur le lit.

z654Sapristi, à cet instant-là, sauta carrément sur le lit, à quatre pattes au-dessus d’elle, pour continuer à laper de plus belle, semblant apprécier au plus haut point l’odeur forte de son liquide intime. Et c’est là qu’elle s’aperçut qu’il était lui aussi excité, son vit était en parti sorti de sa gaine. Elle regarde, médusée, c’était la première fois qu’elle voyait d’aussi près le pénis d’un chien en érection. Et, alors que cela ne se fait pas, qu’il est de bon ton de dire que c’est inconvenant et incorrect, elle a eu tout de suite envie de le toucher. Humm… et lui qui continuait à lécher sa mouille… Elle cambra même ses reins pour aller au-devant de cette langue. Et, se tournant lentement sur le lit pour être légèrement en 69, elle tendit sa main vers le braquemart de l’animal. Après tout n’avait-il pas droit lui aussi à sa part de plaisir ?

Elle caressait donc doucement le pénis de l’animal, s’attardant sur ses couilles puis revenant sur sa pine. Il avait l’air d’apprécier l’attention et son engin gonflait encore un peu plus. Un pénis bien rouge, bien long, qu’elle essayait de caresser au mieux dans l’espoir de lui donner du plaisir. Elle le branlait désormais, fascinée par ce beau vit, approchant peu à peu son visage. Non, il ne fallait pas, c’était dégueulasse… Mais malgré tout elle avait envie, envie de lécher tout ça de lécher partout, de lui rendre la pareille… Et elle était en train de sucer une bite de chien. Et, loin de la dégoûter, ce goût fort dans la bouche ne faisait que l’exciter encore plus. Elle avait envie qu’il la baise, d’être sa chienne, qu’il la baise comme une chienne.

Elle a donc pris l’initiative de se mettre à quatre pattes pour se faire saillir et l’animal a tout de suite compris ses intentions et est naturellement monté sur elle en cherchant maladroitement sa cible. Elle a senti le dard de l’animal frotter entre ses cuisses mais il était à côté et avait besoin d’aide. Aussi elle l’a saisi entre ses doigts et l’a guidé vers son trou. C’était plus gros et plus long qu’elle ne l’aurait imaginé de prime abord et elle eut un peu de mal à se l’enfoncer. Mais, une fois bien calé en elle, les pattes sur son dos, elle sentit qu’il la grimpait. Et elle aimait ça, se faire prendre par cette bête. Elle adorait même ça, cette sensation d’être aussi dépravée, son excitation était au comble, elle se tortillait de plaisir.

Chaque poussée du chien la faisait partir un peu plus, le pénis de l’animal était en train d’éclater sa vulve, de l’exploser. Et lui donnait envie de se frotter le clito de l’autre main. Elle se l’astiquait à s’en faire mal tellement elle était dépravée. Elle n’en pouvait plus, c’était trop, trop bon, trop fort… Et soudain elle a senti le liquide s’écouler en elle, lui remplir le vagin, des jets saccadés qui lui éclaboussaient les entrailles… La semence animale, ultime signe de sa perversité… Et là ainsi, collée à l’animal, n’importe qui aurait bien pu arriver, c’était vraiment trop fort et trop bon d’être ainsi saillie…

Un peu plus tard, Maryse écrivit sur son journal intime : « Aujourd’hui, je me suis fait prendre par le chien du voisin, j’ai aimé, je recommencerai. »

Une version quasi identique avait été publiée (aujourd’hui retirée) sur Revebebe en 2/2000 sous le titre  » rêve animal  » (et le chien s’appelait « Démon ») Nous avons précédé à quelques corrections mineures.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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