Auteurs divers

Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:17

C’était le début
par Liouba

Fetish

J’étais déjà une bonne salope quand mon ami m’a proposé avant de vendre occasionnellement mes charmes, de m’en servir comme monnaie d’échange.

Il avait l’intention de remplacer son téléviseur et avait fait le choix d’un tout petit magasin, dont, l’unique vendeur était le patron (beau mec la quarantaine sportive)

L’accueil fut d’emblée chaleureux et pendant qu’il argumentait sur les avantages de chaque téléviseur, son regard ne manquait pas de plonger dans mon décolleté que mon ami avait voulu généreux pour l’occasion…

Quand son choix fut fait, le beau mec nous fit asseoir dans des fauteuils profonds en face son bureau. Je demeure convaincu que ces fauteuils avaient été choisis uniquement en pensant que des femmes y prendraient place car, à moins de s’asseoir sur le bord et de serrer les genoux, une femme, assise au fond du fauteuil, ne pouvait, si elle n’y prenait garde , empêcher certains regards indiscrets.

Liouba VToujours à la demande de mon ami je n’avais pas de culotte ne faisait rien, bien sur, pour empêcher le regard du maître des lieux de se glisser entre mes cuisses et je commençais à être très excitée A la coloration que pris son visage et à son sourire entendu, mon ami et moi avons tout de suite compris qu’il était sensible aux « arguments »que je lui proposais et qu’une certaine négociation était possible. J’avais laissé ma jupe remonter si haut sur mes cuisses que j’aurais pu tout aussi bien l’enlever.

Afin que la « négociation » soit discrète. Le vendeur ferma le magasin et nous invita à passer derrière dans son autre bureau. Mon ami proposa de payer la moitié en espèces et le reste en trois traites dont la première à encaisser tout de suite, sur le bureau. Mon ami avait dégrafé ma jupe qui était tombé à mes pieds et ouvert mon corsage Le type prit sa calculette et finalement après un coup d’œil sur ma nudité accepta la transaction. Les deux autres traites se réglèrent aussi bien sur par des coups de queues, après avoir sur le bureau encaissé la première.

C’était le premier pas, ensuite j’ai acheté plusieurs paires de chaussures en compagnie de mon ami de la même façon. A chaque fois j’étais tellement excitée, que quand mon ami m’a proposé de faire la pute, j’ai accepté sans aucune hésitation. Même le mot « pute » m’excitait et m’excite encore.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:11

Ghita par Youssef

Fathia

Elle s’appelait Ghita et était déjà là à mon arrivée au bureau, ce matin de Juillet.

Ghita était de ces brunes qu’on ne voit que dans les magazines, peau satinée, yeux marrons noisette et visage innocent, pour l’occasion de son entretien d’embauche, elle avait mis un magnifique tailleur écru, qui mettait encore plus en valeur son teint hâlé, sur une chemise blanche aux larges rayures noires…

24 ans, diplômée d’une grande école de commerce, Ghita postulait un poste dans mon département et avait passé avec brio l’étape des RH et du cabinet de recrutement.

Subjugué par son charme, je me suis avancé vers elle et ai balbutié mon nom, comme un jeune adolescent qui aborde une fille pour la première fois. Je sentais le regard pesant de l’assistante sur nous. Je me suis ressaisi. Et pour faire l’intéressant, je l’ai fait patienter un moment.

Je suis rentré dans mon bureau, ouvert les fenêtres pour aérer, ouvert mon ordinateur (pour faire sérieux)… j’étais dans un état tout à fait anormal.

Je l’ai ensuite fait venir, je lui ai proposé un café et nous entamâmes notre entrevue.

Sa voix si suave me faisait suer, je me perdais dans son regard, dans son magnifique décolleté… Elle m’interrompu à plusieurs reprises en me demandant si j’allais bien.

Evidemment, je l’ai retenue et lui ai demandé de commencer le lendemain matin, ce qu’elle accepta.

Cette nuit, j’ai pris ma femme comme une bête en fantasmant sur la jeune Ghita.

Le lendemain matin, je me suis réveillé de bonne heure et me suis mis sur mon 31. Je suis arrivé au bureau à l’heure (pour une fois) et suis tombé sur Ghita dans l’ascenseur. J’avais envie de la prendre là, à cet instant, devant tout le monde, mais je me suis retenu, non sans difficultés.

Ce jour-là, j’ai tout fait pour programmer une réunion tard dans la soirée avec un client et où j’ai invité Ghita pour son initiation.

Le soir arrivée, nous allâmes diner avec ledit client dans le restaurant d’un hôtel sympa. là encore, j’étais subjugué par son aisance, sa beauté, son style, ses cheveux, ses yeux, ses rondeurs, son sourire… Elle arriva à convaincre le client d’augmenter son budget de 15% rien qu’avec des arguments bidons, mais tellement convaincants.

Après le diner, le café, le client se retira et j’ai proposé à Ghita de fêter sa première victoire commerciale comme il se doit.

Nous sommes allés au bar de l’hôtel pour prendre un verre. Elle s’est excusée un instant et s’est retiré dans les toilettes, à son retour, j’ai remarqué qu’elle avait déboutonné sa chemise et mis en valeur son décolleté, elle avait réajusté sa jupe et quitté sa veste. Là, j’étais survolté, surexcité… était-ce là une invitation explicite ou s’était-elle simplement mise à l’aise après une longue et rude première journée de travail.

Elle arriva à mon niveau et me murmura à l’oreille :

– Peut-on changer d’endroit, je me sens observée.

Aussitôt dit, aussitôt fait, nous sortîmes du bar pour aller au lougne, plus discret, plus intime.

Je l’ai prise par la hanche dans un geste maladroit et crispé, elle mis sa main sur la mienne… j’ai cru un instant que la terre allait trembler tellement j’étais survolté, et au lieu de me retirer ma main, elle la réajusta, sans dire un mot.

J’ai choisi un table dans un coin retiré du lounge et nous nous sommes installés, face à face. Dans un mouvement subtile et d’une grande élégance, elle se glissa sur la banquette près de moi et feint de vouloir voir la carte.

J’ai à peine eu le temps de passer commande qu’elle me dit :

– Je suis très heureuse de vous avoir comme patron.

La phrase résonna dans tout mon être.

Nous nous sommes alors regardés, et comme si une force invisible nous poussait l’un vers l’autre, nos lèvres se sont effleurées, puis nos joues, puis nos langues… je n’ai jamais été embrassé aussi suavement de ma vie. à peine fûmes nous servis qu’elle prit un glaçon qu’elle mit dans sa bouche et m’embrassa le cou, derrière les oreilles, puis le cou puis les tempes, puis les joues, puis les lèvres.

Nous nous regardions, tels deux adolescents, perdus, excités, affamés… au bout d’une ou deux minutes de silence, elle me dit :

– As-tu réservé ici ou veux-tu qu’on parte ailleurs?

Prévoyant, j’avais déjà pris une chambre dans cet hôtel, que j’avais pris le soin de mettre sur le compte de l’entreprise.

Dans l’ascenseur déjà, je l’ai embrassé goulument, elle déboutonna ma chemise et entreprit de me lécher le torse.

A peine la chambre ouverte, je lui ai arraché sa chemise et elle fit de même pour la mienne, elle ouvra ma ceinture et retira ma verge, déjà toute raide et dégoulinante de désir. Elle entreprit alors une magnifique séance de flirt avec ma queue, de plus en plus raide et de plus en plus chaude. Elle la léchouillait, la mordillait, l’embrassait mais sans la prendre en bouche, ce qui augmentait mon excitation, je pris ma queue et l’ai guidé vers sa bouche mais elle esquivait magnifiquement. Soudain, pris par un désir indescriptible, je l’ai jeté sur le canapé et lui ai présenté ma verge toute excitée devant sa bouche, presque violemment, dans un geste directif.

Encore une fois, elle arriva à renverser la situation en me renversant sur le fauteuil, et cette fois, elle s’installa à genou devant ma queue et m’administra la meilleure fellation qu’il m’ai été donné de vivre, de voir et ou de décrire. Un parfait mélange entre succion et léchage, en trois temps deux mouvements, j’ai éclaté dans une jouissance magnifique.

Et comme si de rien n’était, mademoiselle continua sa succion, son léchage jusqu’au nettoyage complet de ma verge. Elle se mit ensuite debout, et dans un mouvement d’une rare sensualité, elle entama un strip d’enfer. Ses mouvements étaient tels que j’arrivais à imaginer la musique sur laquelle elle dansait, mélange entre du latino et de la soul.

Elle ôta sa jupe, toute tâchée de sperme, relâcha ses cheveux, ôta ses chaussures puis ses bas, mais garda ses soutiens et son string.

GhitaElle se rapprocha vers moi et sans dire mot, me repris la verge, encore toute raide, en bouche et réentama un va-et-vient sensuel. Ce faisant, elle m’aida à me défaire de mon pantalon, de mon caleçon et de mon marcel.

Et comme dans une chorégraphie parfaitement maitrisée, elle remonta, tout en se déhanchant, le long de mon ventre, puis mon torse pour arriver à mon cou. Je sentais son corps nu sur le miens, mais il y avait encore son soutien-gorge qui me dérangeaient, dans un geste fin, j’ai libéré ses magnifiques seins de sirène. Je pris ses tétons, déjà durs, dans ma bouche et j’ai essayé, tant bien que mal, de lui rendre sa succion, en les caressant du bout de la langue, elle me chevaucha, en gardant son string, et m’offrit sa poitrine dans une sensualité divine.

Je sentais ses reins se cambrer à chaque mouvement de ma langue, et à chaque caresse de mes mains.

Soudain, comme prise par une soudaine envie de baise, elle me jeta sur le canapé, pris ma verge de sa main et la présenta, tel un cadeau, à l’entrée de sa chatte, dégoulinant, en écartant le string, tout mouillé.

Je n’ai jamais, de ma vie, vue une fille se déhancher comme elle, elle entreprit un va-et-vient rythmé par les spasmes de son corps… tout à coup, elle s’arrêta net, me regarda dans les yeux et explosa dans une jouissance phénoménale. Instantanément, je jouis à mon tour en elle et nous nous écroulâmes l’un sur l’autre pour reprendre nos esprits.

Elle me regarda et me dit:

– Tu as aimé?
– Comment ne pas aimer le plus bel instant de ma vie?
– Et si tu avais à le valoriser, à combien le paierais-tu, si tu en avais l’occasion?

J’ai trouvé la question très bizarre, mais, je répondis, naïvement :

– A tout l’or du monde.
– OK, mais, concrètement, donne-moi un chiffre, en dirhams.
– Comme ça, je dirais 3.000 dirhams,
– OK, se sera désormais notre tarif !

Sa phrase fut d’une telle surprise qu’elle le remarqua et rétorqua :

– Cette fois, je te l’offre, car tu es mon patron. Allez, regarde ce qu’il y a dans le mini bar, reprend des couleurs, la nuit est longue.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:03

La signature du contrat par Fleur02
Stamp sodo2

Ce soir-là, mon mari avait invité à la maison un important client. Il m’avait demandé de me faire belle. Cette soirée comptait énormément pour lui. Il y avait à la clé un important contrat et de sa signature dépendait une belle promotion pour lui.

Je m’étais donc habillée sexy. Je portais une robe noire très courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes. Le haut, décolleté, laissait voir la naissance de mes seins. Un soutien-gorge noir en bandeau se distinguait à peine. En bas, j’avais mis un minislip noir en dentelles et une paire de bas auto-fixants.

A l’heure prévue, son invité est arrivé. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené des fleurs ce qui me fit très plaisir. Pour prendre l’apéritif, nous nous sommes installés au salon. Mon mari et cet homme se sont assis sur le divan. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d’eux. En m’asseyant, ma robe très courte est encore remontée dévoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n’a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J’ai surpris son regard et me suis mise à rougir. J’ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand résultat. J’ai quand même fait attention à garder les jambes serrées. L’apéritif s’est déroulé normalement, mon mari faisant le service.

Puis nous sommes passés à table. Mon mari s’est placé en face de son client et je me suis retrouvée à côté de lui. Au début du repas, je me suis occupée du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. Le repas était très agréable et les conversations ont vite dévié sur des sujets plus légers. Arrivés au fromage, mon mari s’est aperçu qu’il n’y avait plus de vin et s’est levé pour aller en chercher à la cave.

Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s’est alors mis à me complimenter. Je le remerciais lorsque j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe.

– Je vous en prie, arrêtez ! Mon mari va revenir, m’exclamais-je totalement surprise par ce geste.
– Allons, vous êtes tellement sexy. Laissez-vous faire. J’ai envie de vous caresser. Vous savez que vous me faites énormément d’effet ?
– Non arrêtez enlevez votre main.

Mais il avait déjà glissé sa main jusqu’au-dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson.

A ce moment-là, un bruit dans le couloir lui a fait enlever sa main. C’était mon mari qui revenait une bouteille à la main. Je me suis alors levée précipitamment pour aller dans la cuisine. Mon mari m’y a suivi, se doutant de quelque chose. Alors je lui ai raconté ce qui venait de se passer. Mais sa réaction ne fut pas celle que j’attendais. Il me dit :

Ecoute, chérie, tu fais comme tu veux et je ne t’oblige en rien mais pense au contrat que je dois signer. Il en va de ma carrière. Puis il m’embrassa et retourna dans la salle à manger. Je restai un moment seule me demandant si j’avais bien compris ce que je venais d’entendre. Puis je me décidai à rejoindre les deux hommes. Le repas se termina rapidement, les hommes faisant les frais de la conversation. Puis nous sommes retournés au salon pour prendre un digestif.

Mon mari avait légèrement tamisé la lumière et mis de la musique douce. Il m’invita alors pour un slow. Je l’accompagnai. Il me tenait serrée contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remontèrent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en-dessous. Je le laissais faire et sentais son désir grossir contre moi. Je tournais le dos à notre invité mais je suis sûre qu’il ne perdait rien du spectacle et devait apprécier de voir ma robe retroussée.

Puis brusquement mon mari s’arrêta de danser et déclara qu’il devait gagner son bureau afin de terminer de rédiger le contrat. Il proposa à son client de venir danser avec moi. Celui-ci ne se fit pas prier et prit de suite sa place.

J’eus juste le temps de rabaisser ma robe sur mes cuisses. C’était parti pour un autre slow. Manifestement, cet homme n’était pas resté insensible au spectacle donné avec mon mari car je sentais sa virilité durcie.

Il me serra contre lui et plaça ses mains sur mes fesses. Je murmurai un « non » timide mais il commença à me peloter les fesses. Ses mains parcouraient le haut de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pouvais pas l’empêcher.

Puis il me plaqua contre un mur et se mit à me peloter les seins. En même temps il me murmurait qu’il avait très envie de moi, qu’il bandait comme jamais. D’un coup il fit glisser les bretelles de ma robe et, accrochant au passage le soutien-gorge, il me dénuda les seins.

Il se pencha vers moi et se mit à me lécher les bouts. Ceux-ci étaient déjà durs car j’étais excitée depuis la danse avec mon mari. Puis il se redressa et dégrafa son pantalon, le baissa avec son slip et je vis surgir sa queue tendue au maximum.

Fleur

Me poussant vers un fauteuil, il me fit me courber contre le dossier et releva ma robe sur mes reins. Il baissa brutalement mon slip et je sentis sa queue se frotter contre mes fesses. Puis, d’un coup sec, il me pénétra analement. Ses mouvements étaient puissants et je le sentais me labourer profondément. Je me mis à jouir sans pouvoir me retenir. Il devait n’attendre que cela car il explosa à son tour. Je sentais son sperme jaillir à grands jets au fond de moi. Puis il se retira, alla quérir son portefeuille dans son veston e sortit trois billets qu’il me glissa dans mon bas sans que je réagisse.

Je me redressai, récupérai mon slip et me rendit à la salle de bains faire un brin de toilette. Quand je revins au salon, mon mari était à en train de lui faire signer le fameux contrat. Je les laissai et partis me coucher, seule. J’étais consciente d’avoir fait la pute, mais étonnement cela ne me traumatisait guère.

Le lendemain, mon mari m’a avoué qu’il m’avait regardé me faire sodomiser par ce client. Cela l’avait beaucoup excité et il s’était masturbé en me regardant. Il m’a dit avoir joui en même temps que moi.

fin

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Samedi 15 octobre 2022 6 15 /10 /Oct /2022 13:17

Le vampire du parc par Zoé
Batgirl

 

Vous aimeriez que vos rêves deviennent réels ? Moi, voyez-vous ce sont mes fantasmes que je voudrais voir se réaliser parfois. Lisez ce qui suit, vous allez comprendre !

Je suis assise dans un parc, le soleil me chauffe la nuque. C’est le printemps avec ses premiers rayons de soleil. Ceux qui font du bien parce qu’ils sont chauds et caressants. Je suis installée confortablement sur un banc de parc avec un livre. Le nez plongé dans mon roman quand tout à coup un étranger me demande.

– Madame avez-vous l’heure ?
– Oui, il est 13 h 30 ! Répondis-je un peu surprise

Je le regarde, ce jeune homme est très beau. Cheveux bruns, yeux noisette, et en plus une belle bouche sensuelle. Il est de grandeur moyenne avec un look étrange, Une grande cape noire avec un large cl montant de couleur rouge, une chemise blanche et un nœud papillon rouge. Mon esprit se met à bouillir.

– Seriez-vous un vampire ? Lui demandais-je
– Vous pouvez m’appeler Dracula

J’ai toujours entendu dire que les vampires sont insatiables au lit. Alors, laissez-moi vous dire que cette rumeur est belle et bien fondée. Ce personage est d’un naturel calme et serein et j’aime ce qu’il dégage. Il me donne des envies.

Je sens ses yeux qui me déshabille. Tout doucement il s’approche de moi, s’assoit à mes côtés. Il passe ses bras autour de mes épaules, et plonge son regard dans le mien. Pour je ne sais quelle raison, mon cœur s’emballe. Je suis sûre qu’il se rend compte de l’effet qu’il me fait. Je sens son souffle qui s’accélère dans mon cou. Doucement, il pose ses lèvres sur les miennes. Je suis surprise par la douceur de cet étranger. Il y a entre nous un courant qui me surprend énormément. Il me prend par la main et m’entraîne vers sa limousine. Nous nous asseyons sur la banquette arrière. Et je suis étonné de voir une jeune femme assise près de la portière. Une belle brune à la peau un peu pâle, les lèvres rehaussé d’un rouge à lèvres cerise. Elle est vêtue d’un imperméable rouge, mais mon regard est surtout attiré par sa généreuse poitrine. Mes yeux descendent vers ses jambes croisées, elles sont gainées par de magnifiques bas de soie noire. Je la soupçonne d’être en tenue très légère sous son imper. Elle me regarde d’un air moqueur et me dit :

– Bonjour, je suis Vampirella !

J’ai droit à un magnifique sourire et à un clin d’œil, elle doit savoir ce qui se passe, ce n’est pas le cas pour moi… Il semble que je sois victime d’un coup monté, mais comme j’aime les défis, je les regarde et leur rend un sourire en signe d’approbation. Alors Dracula recommence son petit manège. Je sens que je ne pourrai résister à toute cette tension sexuelle. Dracula fait glisser ses lèvres sur mon cou. Il descend sur mes épaules. Tout en me regardant dans les yeux, il détache mon chemisier. La jeune femme se glisse sur la banquette avec nous, elle promène sa langue sur le lobe de mon oreille. Elle se débarrasse de son imper dans le fond de l’auto, mon pressentiment était bon, elle est nue impudique et provocante, tout doucement elle me caresse la nuque. Les doigts de Dracula tremblent d’excitation, il a beaucoup de difficulté à détacher les boutons de mon chemisier mais voilà ma poitrine s’offre à son regard, il recule et contemple la nudité de mes seins. Mes mamelons se dressent. Il s’en approche et les fait rouler sous sa langue, j’adore cette caresse. Il glisse ses mains sous mes reins et me fait glisser sur la banquette. Vampirella s’approche de moi et s’agenouille sur ma figure, m’offrant ainsi sa chatte rasée, doucement je glisse ma langue dans son tunnel d’amour je me régale de sa chaleur humide. Dracula se penche sur moi pour me retirer ma jupe et ma petite culotte, la tension monte dans le creux de mon ventre, c’est vraiment inouï. Je me relève pour finir de me déshabiller.

En même temps Vampirella m’aide à le dénuder complètement. Vampirella s’attarde sur la nuque de Dracula avec la pointe de sa langue. Nous sentons les frissons parcourir le corps de notre amant. J’ose détacher la boucle de sa ceinture, j’aperçois une bosse énorme dans son pantalon, nous sommes trois à être excités. Je défais la fermeture éclair et je descends son pantalon, j’ai l’impression que son slip va se déchirer sous la pression de son sexe ! Il enlève lui-même le dernier rempart de tissus, Hummm… il a un membre très respectable tendu et dur, avec un gland qui est une invitation aux caresses, je ne résiste pas, et je fais glisser ma main sur cet organe qui me donne des envies, je promène mes doigts sous ses testicules. Elles sont douces et chaudes, Vampirella lui caresse les flancs ce qui fait grogner Dracula, il adore nos caresses, il retire ma main, et descend sa bouche vers ma chatte en feu il écarte mes lèvres et pose sa langue sur mon clitoris enflé par le désir. Vampirella va s’installer derrière Dracula, elle commence à lui lécher les couilles et à lui caresser le dos de ses deux mains, Dracula continue à exécuter de petits ronds très lentement sur mon clitoris, mes reins se cambrent, je sens qu’il accélère sa caresse, ma chatte se mouille de plus en plus, elle devient brûlante. Je grogne de plaisir. Il introduit un doigt dans mon vagin et entame un mouvement de va-et-vient rapide, je suis secoué de soubresauts. Je sens que l’orgasme monte en moi et je lui crie ‘:

– Ouuuiiiiiiii, ça vient !

Je sens monter ce plaisir comme un raz-de-marée du fond de mon ventre et j’explose comme un volcan lorsqu’il atteint mon clitoris. C’est incroyable ! Je n’ai jamais eue de jouissance aussi violente. Je me relève et je fais asseoir mon amant sur la banquette de l’auto. J’ai juste une envie, c’est de sucer cet organe gonflé par le désir. Je me retiens pour ne pas le faire venir immédiatement. Vampirella se joint à moi pour donner du plaisir à notre beau vampire. Je commence par promener ma langue tout autour de son gland, je descends le long de sa verge, j’approche ma langue de ses couilles et je lui sers le même manège. Je fais tourner ma langue sur ses deux belles boules chaudes et pendant ce temps elle lui suce le gland, il grogne de plaisir son érection augmente encore plus, il va finir par exploser tellement il est gonflé.

Vampirella se relève, et offre sa chatte toute chaude à la langue experte de cet amant du royaume des tènebres. Je remonte sur son gland et l’enfonce dans ma bouche, il est très dur mais j’ai du plaisir à le sentir au fond de ma gorge, je manque presque d’étouffer. Mes lèvres ainsi que ma main montent et descendent le long de sa tige que je le masturbe, il bouge son bassin simulant le mouvement d’une pénétration. Sur les derniers instants de ma fellation, j’augmente mes mouvements, celui de ma bouche et celui de ma main. Il me prend par les épaules et me demande de le faire jouir, ce que je fais avec plaisir. Je laisse ma bouche entrouverte prête à recueillir sa semence. Il explose enfin ! J’attrape tout son sperme au fond de ma gorge, c’est délectable, chaud et salé. J’adore sa jouissance…

ZoeJe pensais pouvoir me reposer mais voilà qu’il se glisse sur ma chatte, cette fois il enfonce sa langue au plus profond de moi. Il me masturbe avec sa langue. Sa belle complice s’installe derrière moi, et m’enfonce un doigt dans l’anus. Wowww ! Une série de frissons me parcourt le corps. Il est de nouveau en érection, est-ce mes cris de plaisirs qui le stimule ainsi ?. D’un coup sec il me retourne sur le ventre. Vampirella vient s’étendre devant moi, ouvre ses cuisses et écarte les lèvres de sa chatte pour que je glisse ma langue sur son clitoris, je ne me fais pas prier bien longtemps. Je lui titille le clitoris, je le suce, l’aspire, tout en lui enfonçant un doigt dans son intimité brûlante, pendant ce temps je sens le membre de Dracula frotter mes entrecuisses, il me fait cambrer les reins et enfonce sa queue dans mon anus. Doucement il commence un mouvement de va-et-vient qu’il accélère et je sens déjà un deuxième orgasme me gagner. Je lui demande d’accentuer sa pénétration d’aller encore plus vite et plus profond. Nous explosons tous en même temps. Je me laisse glisser sur le côté. Je n’en peux plus… Je suis vidée ! La tête me tourne

Dracula approche ses dents de mon cou, il me mord….

Mais il me fait mal ce con ! Je crie !

Je sens la présence d’un homme à mes côtés. Doucement il me tape sur l’épaule :

– Quelque chose ne va pas, Madame ?
– Ce n’est rien, je viens d’être piqué par un moustique.
– Il ne vous a pas loupé, vous devriez acheter un produit en pharmacie.
– O.K ! Bonne journée !
– Souhaitez-vous que je vous accompagne !
– Non merci, j’ai besoin de solitude.

Oui, je veux être seule pour me remémorer ce beau rêve pendant qu’il est encore présent dans mon esprit !

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 23 août 2022 2 23 /08 /Août /2022 10:05

Ma mère et son esclave par Josepha
Fetish2

 

Je m’appelle Josepha, grande et brune, j’ai maintenant une trentaine d’année, mais l’histoire que je vais vous raconter eu lieu quelques mois après mon 18ème anniversaire

Mes premières sorties avec les garçons furent catastrophiques, mon dépucelage un non-évènement tellement la chose fut rapide et insignifiante. Je me demandais ce qui m’arrivais, mais la coupe fut pleine quand un grand benêt tout content de m’avoir baisé en moins de trois minutes, ne trouva rien de mieux que me planter en me traitant de pétasse. C’est ma prof de dessin qui voyant mon désarroi entreprit de me consoler. Quelques heures plus tard, chez elle, je broutais ma première chatte et m’en régalait. J’avais donc découvert mon orientation sexuelle. J’étais devenue amoureuse d’elle acceptant toutes ses turpitudes, ainsi il lui prenait parfois l’envie de me rougir les fesses avant de me prendre dans ses bras pour me consoler. Elle m’a fait également découvrir les jeux de pipi et prenait plaisir à chier devant moi. Quand elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus après qu’elle ait déféqué, j’ai fermement refusé, elle a su alors, à force de persuasion, me faire essayer, je ne l’ai pas regretté. Et puis un jour elle m’a appris que sa mutation en province était acceptée. J’ai pleuré.

Je n’ai jamais connu mon père, ma mère ne s’est jamais mise en couple et m’a donc élevé seule. Une belle femme, cadre dans l’administration. Peu pudibonde, il lui arrivait de se balader dans l’appartement à moitié à poil. Elle est remarquablement conservée pour ses 50 ans .Moi j’étais à l’époque beaucoup plus pudique qu’elle.

Quelque part, ma mère me faisait fantasmer… Mais que voulez-vous, une fille de 18 ans ne va pas aller l’avouer à sa mère. Le tabou de l’inceste et tellement ancré dans l’inconscient qu’il en devient irrationnel.

Un matin alors que je me dirigeais vers la salle de bain, je vis ma mère en sortir complètement nue et aller s’installer sur la cuvette des toilettes. Manifestement elle avait une grosse envie de caca. Elle n’avait pas fermé la porte, et je restai là, subjuguée, à l’admirer. Quand je vis qu’elle s’aperçut de ma présence, je quittais les lieux envahie d’un profond trouble.

Ma mère ne fit aucune allusion à ce qui n’était même pas un incident.

Et un jour, alors que nous finissions de diner, ma mère me lança :

– Tu ne me parles jamais de tes petits copains ! Les garçons ne t’intéresse pas ?
– Pas trop, non !
– Ce sont les garçons qui ne t’intéresse pas ou c’est le sexe ?
– Tu m’embarrasse un peu, là !
– On est entre adultes, tu peux tout me dire… mais je ne t’oblige pas !
– En fait, je me demande si je ne préfère pas les femmes !
– Je m’en doutais un peu ! Tu vas finir par être aussi gouine que ta mère.

Enfin elle l’avouait, je le savais déjà, certaines des femmes qui lui rendaient visite le samedi ne laissaient peu de doutes quant à leur motivations. Deux femmes ne s’enferment pas dans une chambre à coucher pour faire du crochet !

– Je t’ai choqué ? Reprend-t-elle.
– Mais pas du tout !
– C’est si bon de brouter une bonne chatte, n’est-ce pas ?
– Ben oui…
– Tu sais ce que je fais quand je reçois Madame de Trévor ?
– Ben vous faites l’amour, je suppose ?
– Mais pas que ! Je la domine, elle est mon esclave, et je lui fais des petites misères, elle adore ça !
– Ah bon ! C’est de l’amour vache, alors ?
– Si tu veux ! Tu aimerais nous regarder ?
– Si j’aimerais vous regarder ? Quelle drôle d’idée ?
– Ça te dirait ou pas ?
– Je ne sais pas trop !
– On peut faire simple, tu assistes au début, si ça t’intéresse tu restes, si ça ne t’intéresse pas tu restes pas ?
– D’accord comme ça !

Et on a parlé d’autre chose. Le soir dans mon lit je me caressais en repensant à cette discussion surréaliste. J’avais été assez hypocrite en faisant semblant d’hésiter, en fait j’avais une envie folle de voir ma mère se gouiner avec la mère de Trévor.

Et le samedi Madame de Trévor arriva à 17 heures avec un joli bouquet de fleurs. Comment la décrire, look très BCBG, cheveux mi-court décolorés en blond platiné, lunettes fumées à grosses montures, rouge à lèvres de « pute »

– Bonjour Sixtine ! lui dit ma mère
– Bonjour Marie-France !

(Comme ça vous saurez leurs prénoms !)

– Aujourd’hui, lui dit ma mère, Ma fille assistera à notre petit jeu !
– Ah, bon ?
– Problème ?
– Mais non pas du tout !
– Alors à poil, morue !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Non on reste ici !

La Sixtine se déshabille dévoilant une très belle poitrine dont les tétons sont ornés de larges piercing en anneaux.

Ma mère sort d’une cassette un collier de chien qu’elle lui attache autour du cou…

– Il faut toujours rappeler leur conditions aux esclaves ! M’explique-t-elle.

Elle sort ensuite une chainette, qu’elle passe entre les anneaux puis me la tend.

– Vas-y torture lui les nichons, elle adore ça cette chienne !

Je me retrouve comme une andouille avec cette chainette dans la main, je tire un peu, provoquant chez ma victime une vilaine grimace.

– Continue comme ça, n’aie pas peur de lui faire mal !

Je titre sur la chainette puis m’amuse à faire d’autres mouvements comme la lever très haut ou l’envoyer sur côté gauche puis sur le côté droit. Sixtine hurle ! Ma mère la gifle et lui crache au visage !

– Je ne veux pas t’entendre, t’es là pour souffrir, alors tu supportes !

JosephaMa mère me tend une cravache.

– Vas-y tape la, tape la fort, vise ses seins, son ventre, ses cuisses, marque-la ! Défoule-toi !

Je tape !

– Non ma fille, tu ne fais pas assez fort, je vais te montrer.

Ma mère arme la cravache et lui cingle les seins, Sixtine hurle, un deuxième coup la fait hurler encore plus, Des larmes coulent de ses yeux entrainant le Rimmel.

– C’est ça, chiale, ça m’excite de te voir chialer.

Elle me redonne la cravache, et maintenant excitée comme une folle je tape à la volée lui zébrant les chairs.

– Retourne-toi, morue, on va s’occuper de ton cul.

Ma mère s’est saisie d’un gode, un truc très réaliste qui a vraiment la forme d’un bite et lui introduit dans l’anus sans aucune préparation, Sixtine hurle, puis s’accommode de la chose.

– Regarde-moi cette morue, elle est toute contente de se faire enculer par une bite en latex.

Elle retire le gode d’un mouvement vif, il ressort pollué du jus de son cul.

– Salope tu m’as foutu plein de merde sur mon joli gode, lèche moi tout ça !

Elle ne se fait pas prier et restitue le gode tout net, tout propre.

– Maintenant tape-la

Je tape les fesses, je tape le dos, ses cris et ses pleurnicheries ne m’arrêtent pas, bien au contraire.

– Stop, me dit ma mère, on ne va pas l’abimer non plus, je parie qu’elle mouille comme une fontaine. Vérifie Josepha !
– Que je vérifie ?
– Ben oui tu vérifie !

Sixtine se retourne pour me présenter sa chatte, j’y porte la main, effectivement c’est tout mouillée.

– Alors ?
– C’est mouillé !
– Tu devrais lécher un peu !
– Que je lèche ?
– Ben oui, c’est délicieux la mouille de vieille salope !

Je me baisse et lui lape la chatte, effectivement c’est délicieux. Mais ma mère m’arrête !

– Stop, le but n’est pas de la faire jouir, du moins pas de suite. Viens donc vérifier si moi je mouille aussi !
– Mais Maman, qu’est-ce que tu me demandes ?
– Je sais très bien ce que je te demande, et arrête de faire ta mijaurée, je sais que tu en meurs d’envie.
– Mais ça ne se fait pas !
– Eh bien nous on va le faire quand même, allez lèche moi, et en ce qui me concerne tu as le droit de me faire jouir.

Je reprend mon souffle et me mets à lécher la mouille de ma mère.

– Regarde Sixtine, regarde ce que me fait ma fille, elle me lèche la chatte, je suis vraiment la reine des salopes, tu ne trouve pas ?
– Si maîtresse !

Moi aussi, je mouille mais j’ignore si quelqu’un va s’occuper de moi. Tout naturellement ma langue a bifurqué sur le clito de ma mère que ma langue vient titiller. Maman hurle de plaisir ! Je viens de faire jouir ma mère, c’est dingue ça ! Elle m’enlace, elle m’embrasse, on se roule un patin ! Quand même je me demande quelles vont être nos relations après cet événement.

Ma mère se retourne et invite Sixtine à venir lui lécher le cul.

– Viens me lécher mon cul plein de merde ! Lui dit-elle. Quand elle vient, je ne me lave jamais le cul ! Me précise-t-elle

Sixtine lèche le cul de ma mère avec gourmandise. Mais au bout d’u moment elle l’a fait arrêter,

Ma mère se déshabille complétement et me demande d’en faire autant. Curieusement ça me gêne un peu de mettre nue devant Sixtine de Trevor.

– Ben alors t’attends quoi ?
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ce serait mieux.

Je l’ai donc fait.

– Allez, tout le monde dans la salle de bain pour le final.

Sans qu’on ne lui demande Sixtine s’est allongée de tout son long sur le carrelage de la salle de bain

– Pisse lui dessus ! Me dit ma mère.

J’avais justement une bonne envie, j’ai chevauché Sixtine de Trévor et me suis lâchée.

– Vise la bouche, donne-lui à boire, à cette salope, et si tu as envie de chier, ne te gêne pas.
– Je ne pourrais jamais faire ça !
– Essaie, tu vas voir comme elle aime ça !

Je pousse, je lâche un étron, je me retourne. Madame de Trévor a reçu mon « cadeau » en pleine bouche et le maintient entre ses lèvres d’un air satisfait ! C’est vraiment une grosse salope.

– Lèche bien l’étron ! Voilà comme ça ! C’est bon hein ?
– Humm !
– Allez la séance est terminée, viens m’embrasser, ma salope.

Les deux femmes se roulent alors un patin, un baiser au goût particulier..

J’ai maintenant la chatte en feu, ma mère rejoint le salon, tandis que Sixtine se livre à une petite toilette.

Je rejoins ma mère. Oserais-je lui demander de me calmer mon excitation ?

– Maman, j’aimerais que tu me fasse jouir !
– Mais certainement, ma fille, allonge-toi je vais te faire monter au ciel.

Maman est venu poser son visage sur ma chatte et a commencé à me brouter tandis que ses mains projetées en avant me pinçait me bouts de seins.

Cette douce étreinte n’a pas duré longtemps, excitée comme j’étais je n’ai pas tardé à jouir dans un geyser de mouille.

Madame de Trévor revient de la salle de bain, à poil, cette femme est décidemment très belle.

– Je peux la lécher, Maman ?
– Mais certainement ma fille, pendant ce temps-là je vais préparer l’apéro.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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