Rendez-vous au bar
2 – Soumise à tous leurs désirs
par Vivien
Résumé de l’épisode 1 : Sandra a été contactée par la patronne d’un bar qui veut la
« présenter » à un de ses amis.
La femme vous emmène vers une porte à côté du comptoir. Ce sont les toilettes du bar.
– » Monte debout sur la cuvette, les mains sur la tête. Montre-nous ton cul de salope et pisse bien droit pour ne rien mettre à côté. Chaque goutte sur la cuvette sera
« récompensée » par trois fessées que tu recevras de chacun de nous deux. »
Vous montez sur la cuvette, les jambes un peu flageolantes, face au mur et vous mettez les mains sur la tête. Vous savez déjà que vous serez « récompensée ». Peut-être même
choisirez-vous volontairement de diriger votre jet un peu à côté… Ça ne vous déplairait pas de vous faire chauffer le cul…
Vous écartez un peu les cuisses pour mieux viser et commencez de pisser, doucement au début et puis vous ne pouvez plus vous retenir. Vous lâchez tout. Un jet d’urine tombe dans la cuvette dans
un bruit de douche. Les dernières gouttes n’ont pas encore fini de tomber qu’Irène vous met la main au con et vous badigeonne de votre pisse toute votre raie. L’homme ne perd rien du spectacle et
en profite pour s’occuper de vos nichons et vous caresse les fesses. Vous remarquez qu’il a quitté son pantalon et sa chemise. Il est entièrement nu, sa queue a déjà repris une certaine vigueur
ce qui vous laisse présager d’autres utilisations et peut-être d’autres arrosages. On peut rêver tout de même ! Vous avez encore le goût de son foutre sur la langue…
Vous vous retrouvez dans cette position inconfortable (toujours avec vos chaussures ! ) avec plusieurs doigts dans la chatte qui vous fouillent. Les doigts sont remplacés momentanément par un
objet qui vous parait de bonne dimension. On est en train de bien le mouiller avec votre jus et Irène le présente devant votre rosette.
– » Pointe bien ton cul en arrière petite chienne, que je puisse t’enculer comme il faut, bien à fond. Ton cul n’a encore rien eu, là tu ne vas pas être déçue ma salope »
Vous faites au mieux pour pointer votre cul mais ce n’est pas très facile en équilibre sur une cuvette de wc. L’homme vous écarte les fesses et vous sentez l’objet rentrer dans votre cul. Vous
reconnaissez immédiatement qu’Irène est en train de vous enculer avec un plug d’un bon diamètre. Il équivaut à une bonne bite bien bandée. Vous poussez même un peu le cul en arrière pour qu’il
rentre plus.
– » On va lui laisser le cul s’écarter un moment, dit Irène. Ce sera plus facile pour toi après. Regarde-moi ce cul, elle me fait mouiller cette petite pute et je vois que pour toi la trique
est revenue. Tu en auras besoin tout à l’heure. Pour l’instant, vérifions comment a pissé cette petite salope. »
Irène vous fait descendre du wc. Intérieurement vous la remerciez car vous commenciez d’avoir sérieusement mal au cuisses. Ils se penchent tous les deux vers la cuvette et commencent à compter
les gouttes de pisse qui ne sont pas arrivées jusqu’au fond.
– » 1, 2, 3, ……. 9 »
S’adressant à vous, Irène vous dit :
– » 9 gouttes ma salope, qu’on va multiplier par 3 pour moi et par 2 pour mon ami, ça nous fait un total de 54. Tu vas recevoir 54 fessées sur ton adorable cul rond. Nous allons avoir le
plaisir de le faire rougir »
Joignant le geste à la parole, elle vous file une bonne claque sur la fesse droite.
-« Allez, en position, tu vas en recevoir la moitié ici »
-« Mets-toi devant la cuvette, vous dit l’homme, les bras contre le mur, écarte les jambes. »
Vous vous exécutez et vous vous mettez en position debout, les jambes écartées, tournant le dos aux autres et vous mettez les mains contre le mur ce qui vous oblige bien sûr à mettre votre cul en
arrière.
– » Ecarte encore plus les jambes et pointe plus ton gros cul, je veux que tu sois encore plus salope »
Il passe son pied entre vos jambes et vous écarte les pieds beaucoup plus que ce que vous aviez fait. Cette position vraiment écartelée vous ouvre encore plus les fesses et vous écarte le con
encore plus luisant et brillant.
– » On va lui enlever le plug pendant qu’on lui claque le cul, lance Irène. On verra mieux comment réagit son trou de balle sous les coups. »
Elle retire le plug de votre cul d’un coup rapide. Heureusement qu’il était encore bien lubrifié de votre mouille de chatte. L’homme vous annonce :
– » Dans un premier temps, tu vas recevoir 27 fessées à la main, ici, dans cette position. »
Sans plus attendre, il commence une claque sur la fesse gauche, une claque sur la fesse droite, pas très fortes. Il continue gauche, droite, gauche, droite.
– » Ce sont des demi-fessées que tu lui donnes à cette pute. Elle a droit à des vraies. Vas-y, il faut que son cul rougisse. »
En même temps qu’elle dit ça à l’homme, elle vous enfile sans aucune précaution trois doigts dans la chatte et les fait aller et venir, les fait tourner, les enfonce un peu plus, en met quatre,
puis les cinq. Elle écartèle votre con à outrance pour y introduire sa main entière. Vous balancez votre cul latéralement pour bien faire rentrer cette main au fond de votre chatte. Vous sentez
que la jouissance n’est pas loin. Vous faire fister le trou n’est pas pour vous déplaire. Au contraire.
L’homme continue ses claques sur votre cul. Mais cette fois, elles sont deux fois plus fortes. Des vraies fessées bien cuisantes et bien sonores. Le bruit que fait une main en train de vous
fesser vous excite autant que la douleur. Vous commencez à crier, car votre cul vous cuit de plus en plus et vous n’en n’êtes qu’à 12. Qu’est ce que ce sera tout à l’heure !
– » Arrête, lui dit Irène, on va la faire taire. »
Elle retourne dans la salle et rapporte votre string noir coupé. Elle le secoue un peu, le roule en boule et vous le fourre dans la bouche. Elle défait un de ses bas, le met à double et en fait
un bâillon.
– » Ecarte tes lèvres de femelle que je te bâillonne. Comme ça tes cris seront étouffés et on pourra s’occuper de ton cul sans être dérangés »
L’homme recommence son va-et-vient gauche – droite sur vos fesses rondes et bien tendues en arrière. La douleur est de plus en plus forte. Irène a recommencé de vous fister le con. Son poing
tourne dans votre chatte, va d’avant en arrière, ses doigts bougent contre vos parois. Vous vous déhanchez de plus en plus, les claques continuent à tomber, 22, 23, le poing d’Irène fait des
ravages, vous êtes à deux doigts de jouir, vous vous sentez flageoler, vous sentez votre jus couler à l’extérieur de votre con. A la 25ème fessée, vous partez dans un orgasme éblouissant, vous ne
savez plus où vous êtes, vous ne sentez plus les deux dernières fessées sur votre cul et le poing d’Irène qui continue de vous transporter. Elle retire soudain sa main de votre trou.
– » Tu as vu comme elle a joui cette garce. Elle m’a complètement inondé le bras. Regarde, je suis mouillée jusqu’au coude. Quelle salope ! En plus, elle n’a même pas demandé l’autorisation
de jouir cette chienne. Emmène la dans la salle »
Toujours bâillonnée, vous suivez l’homme dans la salle du bar. Il s’arrête au milieu, à côté du billard.
– » A genoux, salope »
Il vous agrippe par les cheveux et vous tire la tête en arrière. Il vous enlève le bâillon et votre culotte de la bouche.
– » Allez suce petite pute, redonne une bonne taille à ma bite »
En même temps que vous prenez, toujours à quatre pattes et les cuisses écartées, la bite du mec dans la bouche, vous sentez qu’Irène vous pénètre le con. Elle s’est équipée d’un gode ceinture et
vous ramone le conduit à genoux derrière vous, son pubis venant claquer contre vos fesses à chaque fois qu’elle s’enfonce au fond de votre trou.
– » Fais-lui bien bander sa bite parce que c’est ton cul qui va l’utiliser. Tu vas te faire enculer comme une bonne pute que tu es ma salope »
Vous continuez d’enfourner jusqu’aux couilles cette queue qui devient de plus en plus grosse. Vous la léchez, l’aspirez. Irène vous prépare le trou du cul en y mettant une noix de beurre qu’elle
passe tout autour, y entre un doigt puis deux.
– » Le cul de ta chienne est prêt si tu veux. Tu vas te régaler mon salaud »
L’homme se retire de votre bouche en même temps qu’Irène se retire de votre con. Il passe derrière vous et présente son gland à l’entrée de votre rondelle.
– » Pas d’hésitation, lance Irène, encule-la d’un coup et pistonne-la à fond. Elle l’a bien mérité »
Il presse sa bite et vous la fait avaler dans le cul d’un coup. Il commence un ramonage en règle en prenant soin de toujours aller le plus profond possible. Irène se couche sur le dos face à vous
et vous présente sa chatte entourée de poils bruns, heureusement pas trop longs. Elle a quitté son gode-ceinture pour que sa chatte soit plus accessible.
– » Bouffe-moi le con salope, bouffe-le moi pendant que tu te fais ramoner le cul. Espèce de pute, fais moi jouir, donne-moi du plaisir, mords-moi le clito. Mets-moi un doigt dans le cul
petite garce, fais-moi gicler »
Vous avez le cul bien ouvert et accueillant. L’homme y prend plaisir. En même temps qu’il vous encule, il en profite pour vous filer quelques claques sur les fesses. Celles-la ne sont pas
comptées. Elles vous rappellent simplement que vous avez encore le cul rouge et cuisant.
Vous sentez que contre votre bouche et sous votre langue, Irène est en train de monter, et l’homme derrière vous est en train de vous astiquer de plus en plus rapidement. Vous sentez à
l’intérieur de votre cul les premiers soubresauts annonciateurs de la jouissance de l’homme. Vous avez l’impression qu’il s’enfonce de plus en plus loin et soudain vous sentez une certaine
chaleur vous envahir le cul. L’homme jouit assez fort, dispense son foutre au fond de votre trou, en plusieurs saccades et il vous semble qu’il ne débande pas.
Irène ne tarde pas à se cambrer en vous attrapant la tête. Son orgasme remplit votre bouche de son jus, jus beaucoup plus liquide que la mouille habituelle. Vous avez le visage inondé du jus
d’Irène et le cul remplit du foutre de l’homme. Vous voilà comblée. L’homme vous décule et Irène se relève doucement
– » Et bien ma salope, je vais te garder comme pute de service, toi. Tu te débrouilles vraiment pas mal. Remets-lui sa culotte dans la bouche et le bâillon car, si je me rappelle bien, il
lui reste 27 fessées à recevoir. Et il est hors de question que cette garce qui a pissée à côté ne reçoive pas toute sa récompense »
Elle vous indique d’aller derrière le comptoir et vous amène vers l’évier en inox.
– » Prends la position que tu dois connaître maintenant »
Vous vous mettez debout, écartez largement les jambes et les cuisses, pointez bien votre cul en arrière, ce qui vous ouvre bien les fesses et dégage votre con rendu bien visible. Votre trou du
cul se retrouve lui aussi encore tout ouvert de l’enculade de tout à l’heure.
– » Appuie tes nichons sur l’évier et mets les mains derrière le dos. Je vais te faire voir comment je traite une sale petite pute qui a joui tout à l’heure sans autorisation »
Irène défait son deuxième bas de son porte-jarretelles, le double et vous attache les poignets derrière le dos, assez haut au-dessus des fesses. Elle attrape dans un tiroir un grand concombre
bien luisant, d’un diamètre bien équivalent à la bite de tout à l’heure, vous le fourre dans la chatte pour le mouiller, (et y a de quoi le mouiller), le ressort presqu’aussitôt et vous l’enfile
sans précautions dans le cul. Des 30 cm du concombre, on n’en voit plus que 10.
Traîne à côté de l’évier une petite planchette de bois rectangulaire avec une sorte de poignée. Elle l’attrape et sans vous laisser le temps de réfléchir, commence à vous fouetter le cul avec une
cadence rapide, ne vous laissant pas le temps de reprendre votre souffle. Cette fois, rien dans votre chatte qui pourrait vous faire jouir. Vous êtes là pour être récompensée. L’homme vous
regarde en train de vous faire fouetter par cette femme. Il se branle et le spectacle que vous donnez doit lui plaire car il bande joli.
Tout en vous fouettant avec sa planchette et un peu essoufflée par ses gestes, Irène vous lance :
– » Tu as un cul fait pour être fouetté, salope, tu as le cul parfait, qui réagit vraiment bien ma petite garce. Un cul de pute comme ça, je ne vais pas le laisser trop longtemps au repos,
il faut qu’il serve un maximum »
Elle ne compte même plus les claques et a du largement dépasser les 27 prévues. Votre cul bien rouge maintenant vous cuit, mais des réactions descendent jusqu’à votre chatte. Votre cul bien
rempli par le concombre, les claques de la planchette, le contact de l’inox sous vos nichons et vos tétons font que vous sentez monter un plaisir de l’intérieur.
Irène doit s’en apercevoir car elle arrête d’un coup les claques et demande à l’homme :
– » Est-ce que tu as envie de pisser ? »
– » Si je débande, certainement »
– » Tu vas pisser sur la pute, l’arroser sur tout le corps de façon qu’elle soit pleine de pisse. Après je lui réserve une petite surprise »
Elle vous fait relever et vous emmène dans la salle.
– » Etends-toi sur cette table et écarte les cuisses »
Toujours bâillonnée et les poignets attachés derrière le dos, vous vous couchez sur la table, bien inconfortablement.
– » Ça y est, j’ai débandé, ça pourra sortir »
– » Monte debout sur la table et arrose la partout et remplit lui le con, je lui tiendrais les cuisses ouvertes »
L’homme monte au-dessus de vous, attend quelques secondes et commence à lâcher un jet de pisse, d’abord sur vos nichons, puis sur le ventre et descend vers votre chatte. Irène vous écarte les
cuisses au maximum ce qui a pour effet de vous ouvrir largement le con. L’homme dirige son jet à l’intérieur de votre trou et le rempli, il déborde. Irène y enfouit sa main entière sous les
dernières gouttes de pisse qui tombent de la bite de l’homme.
– » Enlève-lui le bâillon et sa culotte de la bouche »
L’homme défait le bas, enlève votre string. Irène monte sur la table et pataugeant dans la pisse qui vous entoure, vient se positionner accroupie juste au-dessus de votre visage.
– » Ouvre la bouche salle pute que je te pisse dedans,
bois mon jus doré, avale salope, avale chienne »
L’homme n’est pas en reste et se positionne entre vos cuisses et vous broute la chatte en vous enculant de trois doigts. Vous recevez la pisse d’Irène sur le visage. Ça vous oblige à fermer les
yeux, vous ouvrez la bouche et avalez de grandes gorgées d’urine. Les dernières gouttes tombées, Irène plaque son con contre votre bouche et se frotte sur vous. Elle vous attrape les tétons en se
penchant légèrement en arrière et vous les pince sans retenue, les étire au maximum.
Le contact de sa chatte sur votre bouche et l’étirement de vos nichons la font partir dans une jouissance longue et bruyante. De vous faire brouter le con et enculer une autre fois vous porte
cette fois vers un orgasme difficilement contenable. Irène redescend et vous fait asseoir au bord de la table.
– » Détache-lui les poignets et rends-lui ses habits. Aujourd’hui, c’était pour vous tester. Le test est concluant. Je vous rappellerai dans les jours prochains, car j’organise un concours
d’arrosage de foutre pour une soirée privée. Aujourd’hui nous étions en petit comité. La prochaine fois, nous serons plus nombreux et je vous demande de venir faire la pute, comme vous savez si
bien faire. C’est vous qui serez la cible du concours et à la merci de toutes les personnes participantes. Vous recevrez des instructions la veille. »
Irène vous fait mettre debout et écarter les jambes. Elle attrape votre string noir et vous l’enfile dans le con. Vous remettez votre jupe et votre corsage. Vous sentez la pisse et le foutre et
vous sortez du bar.
(à suivre…)
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