Auteurs divers

Lundi 19 février 2024 1 19 /02 /Fév /2024 08:45

Janice, ma femme par ArthurX
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Commençons ce petit récit en vous décrivant un peu, Janice, celle qui partage ma vie.. Cette jeune brunette de 25 ans, très mignonne, possède des mensurations communes mais qui lui vont à ravir. Du haut de son 1m55, et sous ses 45 kg, c’est une féline aux seins de 85b qui se cache. Longtemps bloquée par son éducation puritaine, elle s’est rapidement découverte pour jouir des plaisirs du sexe.

Il faut dire qu’il s’agit de quelqu’un d’impudique, pas trop conformiste, qui, lorsqu’elle sort en boite de nuit, même seule, adore allumer les mecs, être regardée et se faire caresser. Janice, prend un malin plaisir sur la piste de danse à coller son cul bien moulé sur ceux qui la collent de près. Il est vrai qu’elle s’en sert à merveille, tantôt découvrant sa culotte lorsqu’elle est en jupe ou en robe courte ou en balançant de façon très provocante son arrière-train. Elle prend un malin plaisir à me raconter la façon dont un mec lui a peloté le cul ou touché des parties plus intimes afin de m’exciter et la sauter virilement.

Un soir, alors que nous étions depuis peu résidants parisiens, nous avons découvert dans une revue, l’existence d’endroits insolites sur la capitale. Nous avons donc décidé de nous rendre Porte de la Muette pour qu’elle reluque les queues de toutes sortes qui décorent les trottoirs. C’était une première et il faut dire que Janice est une cochonne qui n’aime pas les situations programmées et qui aurait refusé si je lui avais proposé cette sortie et ce qui l’y attendait.

Dans un premier temps, elle a été déçue de voir que les personnes qui se trouvent à cet endroit n’avaient pas un physique à sa convenance, elle regrettait qu’il n’y ait pas de jeunes mignons. Après plusieurs passages, la chatte à l’air et quelque refus de notre part aux vues de la personnalité de certain personnage, nous nous sommes retrouvés suivi par un véhicule dans lequel se trouvait un jeune homme qui lui a plus tout de suite. Arrivés à un feu, il s’est adressé poliment à Janice en lui demandant s’il était possible d’aller plus loin. Elle a accepté et nous nous sommes retrouvés dans un bois au milieu duquel nous ne nous sentions pas tout à fait rassurés. Janice a alors tout de suite pris la situation en main, gesticulant devant moi comme une chienne et voyant que je bandais, elle m’a descendu le pantalon pour me sucer magistralement. Pendant ce temps, ce jeune inconnu qui se trouvait face à son cul lui relevé la jupe, puis lui a descendu sa petite culotte qui pour l’occasion n’était pas très large. Voyant ce joli cul devant lui, il a sorti son chibre énorme de son caleçon et s’est branlé devant elle. Je la sentais transformée, poussant des gémissements comme jamais, se dandinant dans tous les sens.

JanicePensant que le spectacle ne suffisait pas à notre partenaire, j’ai retourné Janice qui a basculé sa tête sur mon épaule en tenant des deux mains sa jupe. J’ai alors vu les yeux du jeune homme se fixer sur sa petite chatte toute mouillée de plaisir. Le jeune homme lui a ensuite déboutonné son haut et lui a relevé son soutien-gorge pour se mettre à lui malaxer les seins.

Elle n’en pouvait plus, et nous non plus. Ce jeune homme n’avait vraisemblablement pas l’intention d’aller plus loin, il voulait toucher et la peloter, ce qui convenait parfaitement pour nous, novices dans cette pratique. Je l’ai ensuite enculé debout, en levrette jusqu’à ce qu’elle jouisse et je lui ai craché toute ma semence sur le cul. Les yeux exorbités par le plaisir elle s’et mise alors à pisser d’abondance en éclatant de rire.

Elle m’a avoué avoir pris son pied grâce à ce jeune homme qui était très poli et respectueux. Nous n’avons jamais eu d’autres expériences car comme je l’ai dit plus haut, elle se refuse des expériences programmées. Elle serait prête à tout si l’occasion se prêtait et malgré tout, continu à se faire régulièrement peloter, et mater en boite de nuit ou dans les magasins dans lesquels elle n’hésite pas à entraîner des voyeurs dans des rayons de petites lingeries pour les exciter et ne saurait protester quand on lui met gentiment la main aux fesses !

Quelle coquine ! Et quelle chance j’ai de vivre avec une telle coquine !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 14 janvier 2024 7 14 /01 /Jan /2024 20:11

Passage à l’acte avec mon fils par Sylvie
Mat Stamp

Bonjour à tous et toutes. Je me présente, je suis Sylvie, j’ai 40 ans, je suis divorcée et je vis à Marseille avec mon fils, Mathieu 18 ans. Je suis mince, je change souvent de coupe de cheveux, et même de couleur, je plais encore pas mal aux hommes qui n’hésitent pas à me le faire savoir.

Quelque temps après mon divorce, mon orientation sexuelle a un peu changé, je suis devenue bi et me suis tournée vers les femmes. L’amour avec une femme est plus doux, plus sensuel, plus érotique, du moins c’est mon avis. J’ai donc connu plusieurs femmes. Aucune n’a habité sous le même toit que mon fils et moi. J’ai fait en sorte de le préserver de tout ça, déjà que le divorce n’a pas été facile à vivre…

Un soir de printemps, alors que mon fils était chez son père pour le week-end, j’ai fait venir à la maison une femme, Delphine, rencontrée quelque temps auparavant, afin de passer une soirée en amoureuses. La soirée était douce, tout se passait pour le mieux. Delphine et moi étions nues, allongées dans le lit, nous nous livrions à un 69 torride, nous bouffant allègrement la chatte et le cul.

C’est alors que la porte de la chambre s’ouvre et que Mathieu apparaît, Delphine pousse un cri, moi je ne vous dis pas dans quel état de honte je me trouvais … et mon fils qui restait planté là, la bouche ouverte sans qu’un son n’en sorte … Delphine s’habille et rentre chez elle. Moi je parle avec Mathieu et essaie de lui expliquer la situation après qu’il m’ait expliqué avoir pris la décision de revenir à la maison après s’être pris la tête avec son père lequel n’a même pas jugé bon de m’avertir que notre fils avait quitté sa maison en pleine nuit, mais ça c’est un autre problème.

Et depuis, j’ai l’impression d’avoir basculé dans la 4ème dimension ! En effet, à partir de ce jour, l’attitude de Mathieu envers moi a complètement changé. Il ne me regardait plus du même œil, il essayait continuellement de me surprendre sous la douche. Le matin en se levant il n’avait aucun souci pour me montrer qu’il était en pleine forme… il lui arrivait même de se lever nu, de venir dans la cuisine où je préparais le petit-déjeuner et de passer derrière moi en faisant frôler voire frotter son sexe en érection contre mes fesses. Moi simplement vêtue de mon vieux peignoir en soie.

La situation devenait compliquée, j’ai essayé de lui expliquer que j’étais sa mère et qu’avec sa mère il y avait des attitudes à ne pas avoir etc…. Lui en échange m’a fait comprendre qu’il me désirait et qu’il voulait que l’on fasse l’amour ensemble !

L’amour ensemble ! Lui et moi ! Un fils et sa mère ! Je restais stupéfaite devant son audace.

Ne pouvant en parler autour de moi, je me tournais donc vers Delphine qui ne trouva rien de mieux à me dire que de passer à l’acte ! Je me disais qu’elle devait être aussi folle que Mathieu ! Il est vrai que tout ce qui est interdit m’excite et si Mathieu n’avait pas été mon fils, je ne dis pas que je ne me serais pas laissé séduire. Mais Mathieu est mon fils…

Les jours et les semaines passèrent et Mathieu continuait ses gestes déplacés et ses exhibitions forcées. Puis, début juillet, je mis un plan au point pour faire comprendre à mon fils qu’il fallait qu’il cesse son comportement avec moi. Je décidais de le mettre au pied du mur !

Un matin où je me trouvais dans la cuisine, vêtue de mon peignoir de soie, j’attendais que Mathieu se lève. J’entends la porte de sa chambre qui s’ouvre. Moi, je suis devant l’évier et fais comme si de rien n’était. Il entre dans la cuisine, il est nu et me dit bonjour. Mathieu passe derrière moi pour prendre une tasse et colle son sexe tendu contre mes fesses. Là je me retourne, le repousse en arrière et lui dis :

– Bon maintenant ça suffit ! Tu arrêtes ton cinéma avec moi !

Et j’ouvre mon peignoir. Je suis nue devant mon fils ! Ses yeux font des allers retours sur mon corps : de mes seins, tendus vers lui, (je fais un 95 de tour de poitrine), en passant par ma chatte rasée. Et je lui lance en pleine face :

– Alors ? Tu fais quoi maintenant ?

Dans ma tête, je me dis qu’il va se dégonfler et s’enfuir en courant. Mais son sexe déjà tendu me semble devenir encore plus gros, je n’en reviens pas, il bande encore plus fort Il s’approche de moi, me saisit par les hanches, ses mains me tiennent fermement et colle sa bouche sur mes tétons. Inconsciemment je n’attendais que ça et je me laisse faire. Il me suce les seins, m’aspire les tétons, au même moment, je sens une main descendre et se glisser entre mes cuisses. Je lui demande d’arrêter tout ça. Sa main fouille ma chatte. Mes jambes se mettent à trembler. Je mouille ! Je suis trempée ! Deux de ses doigts entrent et sortent de ma chatte dégoulinante en faisant un curieux bruit !

A ce moment-là, il se recule et me dit :

– Et maintenant ? Tu fais quoi toi ?

Sylvie2L’enfoiré, il sait qu’il a gagné ! N’en pouvant plus, il m’a excitée, je me mets à genoux devant lui et prends son sexe en bouche et m’en régale. Après plusieurs allers retours, je me relève, on s’embrasse à pleine bouche. Je m’assoie sur le plan de travail de la cuisine, écarte les jambes. Mathieu approche, sexe tendu et me pénètre.

Après quelques minutes, il décharge en moi, je sens son sperme chaud… Il se retire et me pisse dessus, le cochon…

Vous vous vous doutez bien qu’on a recommencé dès le lendemain et que ce fut le début d’une longue histoire… Et puis je me suis plus fâchée avec Delphine, les trios ce n’est pas fait pour les chiens…
fin

Léger rewriting d’un texte anonyme trainant un peu partout sur le net.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 14 janvier 2024 7 14 /01 /Jan /2024 20:00

Au centre commercial Par Zazou

Gs2

Voici une petite histoire qui m’est arrivée la semaine passée. Par un après-midi automnal marqué par des nuages gris, des feuilles rouges et jaunes, une pluie fine et un thermomètre bien bas, je pris la direction d’un centre commercial, dont je ne citerai le nom. Les courses sont souvent pour moi un synonyme de corvée, cependant ce jour-là j’aurai pu passer des heures et des heures dans ce magasin. Après avoir parqué ma voiture j’ai pris d’un pas motivé la direction de l’entrée. Une fois à l’intérieur je pris mon chariot comme d’habitude, prêt psychologiquement à faire les achats de la semaine. Arrivé au premier rayon qui se trouvait être celui des légumes, je laissa mon compagnon à roulette afin de me renseigner sur le prix des poivrons. Je m’avance, satisfais ma curiosité et soudain mon regards et happé.

Une belle jeune femme, la trentaine cheveux bruns assez longs se tient à 3 mètres de moi, concentrée elle sur les l’aspect des concombres. Cette demoiselle était très jolie voire même sexy. Elle était vêtue d’un pantalon blanc moulant laissant deviner un string en dentelle et d’un petit top noir assez décolleté, ma fois pas tellement de saison mais très agréable à regarder. Malgré tout le charme que pouvait dégager cette cliente, mes yeux ne se sont pas déplacés pour cette raison. En effet cette femme a éveillé ma curiosité, devinez pourquoi ?

Elle Dansait !! Ou plutôt elle gigotait, car fréquentant les discos depuis des années je n’avais jamais vu ce mouvement sur une seule piste de danse. Mais qu’est-ce qu’elle avait à bouger pareillement ?? Curieux de nature, je ne pouvais laisser cette question sans réponse. Je repris les commandes de ma Mercedes à poivrons et suivis ma proie. Faisant mine de rien je la suivais dans tous les rayons, en gardant bien entendu mes distances, sans qu’elle s’aperçoive de rien. C’est aux rayons bonbons et chocolats que j’ai enfin eu ma petite idée. Avant cette illumination intellectuelle, la belle brune croisa les jambes mettant en même temps une main à la hauteur de son sexe. C’est à ce moment précis que j’ai tout compris.

« On dirait que Mademoiselle à une envie pressante de faire pipi. Va-t-elle tenir jusqu’au bout de ses commissions ?? » Me suis-je dit.

A nouveau, pour en avoir le cœur net, rien de plus facile. On continue notre poursuite discrète. Plus le temps passait et plus son chariot se remplissait mais à voir son comportement, sa vessie devait aussi avoir son niveau qui augmentait, car non seulement elle bougeait de plus en plus mais ses mains lâchaient sans cesse la barre du chariot pour revenir se positionner sur son intimité afin de diminuer l’envie pressante. A un moment donné je l’ai même entendu :

– « C’est pas possible je ne vais pas tenir !»

Enfin !! Nous voilà à la caisse, elle avec un chariot plein à ras bord et moi avec mes poivrons. Ayant choisi chacun une caisse différente inutile de vous dire qui a fini avant l’autre. Tout en faisant mine d’attendre quelqu’un je la regardais ranger ses achats dans des cabas qu’elle venaient de poser sur le tapis roulant. J’ai bien cru qu’elle lâcherait tout devant la caissière, mais non sa vessie de marbre lui a permis de payer et de rentrer toutes ces affaires. Soudain à mon grand étonnement, au lieu de prendre en vitesse la direction des WC, je vis partir ma brunette du côté du parking. A peine eut-elle le temps de poser une boite de petit pois dans son coffre qu’un homme l’interpelle :

– Eh ben tu n’es pas en avance toi !
– M’en parle pas je devrais déjà être chez Ghislaine.
– Comment ça se fait que tu aies autant de retard
– Ben je me suis endormie devant la TV et je suis partie en vitesse faire les achats pour demain. Au fait je ne saigne pas là ? (elle montrait son front)
– Non pourquoi ?
– Parce que j’ai un de ces besoins de faire pipi qui me fend le crâne (mon intuition était la bonne)

Son sens de l’humour faillit me faire démasquer. Resté à proximité, je faisais semblant d’envoyer un message avec mon portable, mais sa dernière phrase à bien faillit me faire exploser de rire.

– Et alors ils n’ont pas de toilettes au centre ??
– Si bien sûr, mais je suis tellement en retard que j’irai pisser chez Gigi.
– Comme tu veux, bon ben je vais te laisser alors.
– Oui d’accords bye David.

Ne pouvant plus rester là planté comme un clou je décidai d’aller poser le résultat de 45 minutes d’achats (3 poivrons rouges) dans le coffre de ma voiture. Une fois l’opération effectuée je vis ma demoiselle fermer la porte de son véhicule et mettre le contact en marche. J’attendais qu’elle fasse quelques mètres afin que je puisse sortir du parking en toute discrétion. Malgré ma démarche technique, une voiture avait pourtant réussit à se placer entre nous. Cela m’a permis de réagir plus vite par rapport aux directions qu’elle prenait. Malheureusement après trois carrefours notre voiture intermédiaire était toujours devant moi ; elle avait apparemment envie de suivre aussi notre belle inconnue à la vessie de marbre. C’est après le 5ème carrefour que nos deux voitures se sont enfin retrouvées l’une derrière l’autre. On roule, on roule et soudain on sort de la ville pour arriver dans un coin beaucoup plus rural. Je n’ai pas pu compter jusqu’à vingt que déjà je vis son clignoteur droit se mettre en marche. A ce moment-là j’étais comme un gamin et un énorme sourire devait se lire sur mon visage. N’étant pas censé connaître la raison de son arrêt, je l’ai suivie et j’ai arrêté ma voiture juste derrière la sienne à l’orée d’une petite clairière tranquille.

– Je peux savoir pourquoi vous me suivez ?
– Oh mais je ne vous suis pas, j’ai un besoin pressant et pensais trouver un petit coin pour me soulager avant de rentrer à la maison.

(Elle se mit à rire)

– Alors je crois qu’on est deux.
– Ça alors c’est drôle.
– Je suis désolée mais il faut que je fasse car là je ne tiens plus.
– Oh oui tout à fait; faite seulement mais. Dites-moi, pourrais-je vous regarder faire ?

Après avoir ouvert des yeux ronds comme des olives elle me répondit :

– Je vous demande pardon ?
– Ben oui s’il vous plait j’aimerai bien vous regarder faire pipi.
– Non désolé. Non seulement on ne se connaît pas, mais vous seriez mon mari que ça ni changerai rien, car je suis très pudique.
– Bon, très bien.

Je m’appuyai contre ma voiture tout en continuant à la regarder lui faisant comprendre que je ne lâcherai pas prise et que je ne m’en irai pas d’ici sans l’avoir vu se soulager.

– S’il vous plait je ne vais pas tenir. Partez Monsieur ou au moins tournez-vous…
– Pas trop envie. Désolé mais je resterai ainsi.

Elle avait déjà croisé et décroisé 5 ou 6 fois ces jambes

– Bon ça suffit maintenant allez-vous en il faut vraiment que je fasse pipi si non je…

Uro Nat04La pauvre n’a pas eu le temps de terminer sa phrase qu’une petite auréole se dessina très rapidement à la hauteur de son entrejambe. Une petite auréole qui devint très très vite gigantesque, laissant une immense trace d’urine qui descendait le long de son pantalon et qui commençait à former une belle flaque à ses pieds. Impossible de dire le nombre de litres que contenait sa vessie mais sa petite fontaine n’en finissait pas. Elle ne bougeait pas d’un poil elle regardait simplement ses pieds en contemplant avec honte le spectacle. Il y eu bien deux bonnes minutes avant qu’elle ne me dise :

– Bravo vous êtes content de vous ?
– J’avoue que ce n’est pas le spectacle auquel j’aurai voulu participer mais il n’était cependant pas déplaisant.
– Oh Monsieur fait dans l’humour. Vous n’êtes vraiment qu’un imbécile bon eh ben maintenant assumez vos conneries et venez m’essuyer
– PARDON ???

Cette fois ce fut à mon tour d’être étonné

– Tu as parfaitement compris. Allez viens me lécher la chatte gros cochon !

Ma petite brunette à la fois sexy et timide est subitement devenue cochonne et dominatrice (et se mit en plus de ça à me tutoyer). Etant grand amateur des jeux uros je ne me suis pas fait prier pour la rejoindre. J’abaissai son pantalon trempé de pisse ainsi que son petit string en dentelle qui était dans le même état. J’ai de suite collé ma bouche à son intimité afin de récolter le nectar qui perlait encore à ses lèvres charnues. Je me régalais.

– Mais c’est qu’il aime ça mon gros cochon allez vas-y bouffe moi la chatte lave la bien qu’elle soit toute propre. Mais j’y pense Monsieur n’a pas fait son pipi encore. Il doit avoir un gros besoin ?

A ces mots elle se coucha dans l’herbette enleva son top laissant apparaître une belle poitrine dans un magnifique soutien-gorge bleu roi.

– Maintenant mouillée pour mouillée. Autant finir le travail commencé. Pisse-moi dessus.

Sans avoir le temps d’être étonné j’abaissa ma fermeture et sorti mon sexe de mon pantalon. Du fait que je lui avais menti en lui faisant croire que je m’arrêtais moi aussi pour faire pipi, j’ai dû tout de même attendre un petit moment avant de pouvoir arroser de quelques gouttes cette jolie demoiselle.

– Regardez-moi ce pisseur. Mais il aime me pisser dessus en plus. T’es vraiment un gros cochon

Après avoir attendu que la dernière goutte soit tombée elle se précipita sur ma queue et la suça, la lécha, puis commença une fellation. A  deux doigts de me faire jouir elle s’arrêta net en me regardant avec des yeux pleins de malice.

– Tu es un gros cochon pas vrai ??
– Euhhh oui.
– Tu m’as fait pisser au froc par ta faute pas vrai ??
– En effet.
– Tu m’as aussi pissé dessus non ??
– Si, si !
– Bien. Alors pour tout ça tu mérites un gage que je vais te donner maintenant, Couche toi et enlève cette chemise.

Je m’exécutai selon ses ordres sans trop comprendre ce qu’elle voulait faire mais curieux de savoir quelle serait ma punition. Elle se tint tout d’abord debout à côté de moi à la hauteur de mes hanches, me donnant la superbe vue de ses petites fesses rondes. Elle se dévissa presque la tête pour me regarder droit dans les yeux.

– Prêt ??
– Prêt !!

Alors sans perdre une seconde elle m’enjamba, fléchit légèrement les genoux et se mis en position accroupie. Je me suis dit qu’elle devait très certainement avoir un petit reste de pipi qui n’était pas sorti et qu’elle allait se vider le fond de sa vessie sur mon sexe. Erreur !! Car ce n’était pas pour rien qu’elle me tournait le dos. A peine j’ai eu le temps de comprendre ce qu’il se passait que je vis son anus se dilater encore et encore pour enfin voir un bout d’étron brunâtre pointer le bout de son nez. Elle ne devait pas avoir une grande envie car je l’entendais pousser. Finalement un magnifique saucisson d’environ quinze centimètres vient atterrir sur mon torse.

– Oh comme c’est bon de faire caca surtout avec de tel WC !

« Prrrrout »

– Hummmm un petit pet maintenant. Allez, viens me nettoyer aussi le cul avec ta langue.

Je m’exécutai une nouvelle fois sans rien dire. Après avoir nettoyé avec perfection sa rondelle nous avons fait l’amour comme des fous dans cette petite forêt où je ne manquerai pas de retourner.

Je ne sais pas si Ghislaine aura eu la visite de cette femme, mais quoi qu’il en soit je n’ai jamais été aussi content d’aller faire les commissions ce jour-là.

Au fait ma petite brunette ne m’avait-elle pas dit être pudique ??? Pas tant que ça à mon goût !!

fin

Cet épisode à eu l’honneur d’être nommé Prix spécial extrême pour 2006

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 26 décembre 2023 2 26 /12 /Déc /2023 16:53

Rendez-vous au bar
3. UN CONCOURS TRÈS SPÉCIAL
par Vivien

 

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Résumé de l’épisode 2 : Sandra a été mise « à l’essai » par la patronne du bar. Elle s’est fait fesser, uriner dessus, sodomiser.
L’essai a été concluant…

Quelques jours plus tard, vous recevez un mail vous indiquant :
« Viens faire la pute et participer au concours d’arrosage de foutre à mon club, ce soir à 20 h. Habille-toi et maquille-toi en pute : rouge à lèvre vif, robe noire légère, courte et très décolletée, nue dessous, porte-jarretelles et bas noir et les chaussures de l’autre jour. Il vaut mieux que tu sois pile à l’heure… »

A 19 h 57, vous êtes en tenue demandée devant la porte du bar. Les rideaux métalliques des vitrines sont fermés. Vous poussez la porte, il est 20 h pile. Votre regard fait le tour de la salle. Rien à voir avec l’autre jour. Aujourd’hui, plein de monde, une douzaine d’hommes et six femmes de tous âges qui sont en train de boire. Vous voyez plusieurs affiches collées sur les murs :  » Aujourd’hui à 20 h, concours d’arrosage de foutre et de douche dorée.
Ouvert à toutes et à tous. Inscription : **** €  »

La patronne vous aperçoit. Elle est au bar avec une autre femme. Elle va descendre le rideau de la porte d’entrée.

 » Mesdames, messieurs, je vous présente la salope qui va vous servir ce soir à concourir. Afin que vous puissiez juger que je ne me moque pas de vous, elle va vous montrer ce qu’elle cache pour l’instant et que vous aurez tout loisir de voir et de toucher et plus, toute la soirée.
Allez, monte sur le billard, mets toi à poil et montre à tous mes clients que tu es une véritable salope  »

Vous montez d’abord sur une chaise, puis vous montez sur le billard. Avec votre petite robe, vous avez déjà presque l’impression d’être nue. Les clients vous regardent tous envieux et envieuses.

Vous faites glisser les brides de votre robe et la laissez tomber sur le billard. Vous voilà en porte-jarretelles, bas et chaussures, surplombant la salle et montrant votre anatomie à une vingtaine de personnes. Vous mettez les mains sous vos seins pour les rapprocher et les faire un peu gonfler, vous écartez les jambes et mettez en valeur votre cul en appuyant un bras sur votre cuisse et en le pointant en arrière.Les commentaires fusent, tous admiratifs de votre corps, les femmes vous envient, les hommes se régalent d’avance.

 » Voyez, je ne vous avais pas menti, dit la patronne. C’est un beau morceau. Je vous l’ai choisi avec tout ce qu’il faut. Pour l’avoir essayée, je peux vous dire qu’elle saura vous satisfaire, aussi bien vous messieurs, que vous mesdames.  »

S’adressant à vous, elle vous lance :

 » Pour mettre le jus à la bouche de mes clientes et mes clients, fais leur voir comme tu te branles bien et comme tu jouis en véritable salope  »

Toujours debout, vous écartez un peu plus les jambes et commencez de vous branler en fermant les yeux. De voir tous ces regards sur vous, vous excite. Vous sentez déjà votre con tout mouillé sous vos doigts qui vont et viennent du clito au trou, maintenant de plus en plus vite. Vous sentez que la montée ne sera pas longue, tellement cette situation vous excite. En effet, votre orgasme éclate rapidement, vos jambes vous lâchent et vous vous retrouvez à genoux, les cuisses largement ouvertes et la main dans votre con.

Vous sentez quelques mains qui tentent de frôler vos cuisses et vos nichons. Une plus hardie, se faufile dans votre raie du cul et vous sentez un doigt qui tente de s’introduire dans votre petit trou. Vous ouvrez les yeux. Vous voyez quelques hommes autour de vous qui vous pelotent et le doigt dans le cul appartient à une belle blonde aux cheveux mi-longs, assez jeune qui vous sourie et vous dépose un baiser sur les lèvres.

« Ça à l’air d’être bon et je pense qu’on va bien s’amuser avec toi  » vous dit-elle dans un grand sourire.

Vous n’avez pas le temps de déguster ces moments de plaisirs intenses et la patronne vous fait descendre du billard.

 » La suite se passe dans l’arrière salle. Ceux et celles qui veulent participer doivent payer leur cotisation en entrant. Toi ma petite garce, vas rejoindre ma collègue qui va te préparer  »

Vous arrivez dans l’arrière salle. L’éclairage est différent, moins cru, en indirect au plafond et sur les murs.

La femme qui était au bar tout à l’heure vous fait signe d’entrer.
 » Bien ta branlette tout à l’heure, tu m’as fait mouiller, salope. Je m’appelle Judith et j’aide Irène dans ses concours  »

Judith est assez grande, bien proportionnée, environ votre âge. Elle se trouve à peu près dans la même tenue que vous, sauf qu’elle porte en plus un string bordeaux qui lui monte très haut sur les hanches et lui dessine un joli triangle au dessus de la raie des fesses. Une particularité de ce string est que la ficelle qui lui passe entre les fesses remonte également entre les lèvres de la chatte et ce n’est qu’après le con que le triangle de dentelle s’élargie. Elle a les nichons libres, mais un peu moins gros que les vôtres.

 » Pour la première épreuve, je vais te bander les yeux. Tu vas faire ça « à l’aveugle »

Elle vous attache un bandeau large et noir sur les yeux. Les hommes et les femmes commencent à rentrer. Certains vous touchent, vous pelotent. Vous sentez déjà des mains un peu partout.

Soudain la voix de la patronne retentit :

 » La première étape du concours est ouverte à six hommes. Cette petite salope au gros cul (elle vous envie votre cul) va vous sucer tous les six. Vous allez rester debout. Elle passera à genoux devant chacun d’entre vous. Elle doit en quinze minutes maximum vous faire décharger tous les six et tout avaler. Vous n’avez pas le droit de vous branler. Si elle dépasse le temps, elle recevra autant de coup de fouet que de minutes dépassées, multipliées par quatre. Messieurs, si vous avez envie de voir ce gros cul se trémousser sous les coups de fouet que nous lui donnerons avec ma copine, retenez-vous et balancez lui votre foutre dans sa bouche de pute quand vous ne pourrez plus tenir. Les six autres hommes et les six femmes doivent rester spectateurs et ne pas gêner le bon déroulement du premier arrosage »

Les hommes se mettent en ligne face aux spectateurs et commencent de sortir leurs bites des pantalons. Il y a pas mal de modèles différents. Ça va de la bite assez petite et large en passant par la bite très longue et plus fine. Certaines sont décalottées, d’autres pas.Vous pensez dans votre tête : pourvu qu’ils soit longs à gicler, ça me fera quelques coups de fouet en plus.

Judith vous attrape par un téton et vous tire pour vous amener vers le premier homme.

 » Mets toi à genoux et attrape la queue qui est devant toi, tu peux bien sur y mettre les mains. Mais le doigt au cul des mecs t’est interdit. Le concours est ouvert et les quinze minutes commencent  »

Vous vous jetez sur la première bite bien raide et l’avalez en entier. Simultanément vous la branlez et attrapez les couilles du mec. Vous décidez de faire un premier passage sur les six bites pour les mettre toutes en forme et en état d’attente. Quand vous arrivez à la troisième vous la prenez en bouche, lui faites quelques va-et-vient et vous sentez le liquide annonciateur du foutre sur votre langue. Le mec ne tarde pas à tout vous envoyer. Il n’aura pas été long celui-là. Un précoce ! Vous le laissez bien se vider, avalez tout son foutre en le nettoyant bien, comme vous faites d’habitude. Vous n’aimez pas en perdre.

Vous finissez votre premier passage et commencez un deuxième dans l’espoir de vider quelques paires de couilles.

Les spectateurs ne perdent pas une miette de ce que vous faites. On voit les pantalons des autres hommes gonfler sous l’excitation. Les bites sont de plus en plus raides ! Les femmes croisent les jambes et se branlent le con sans y mettre les mains pour l’instant. Simplement en bougeant leurs cuisses. Les culottes doivent être bien trempées. Judith met carrément les doigts de chaque cotés de sa ficelle, y tire un peu dessus. On voit bien sa chatte toute brillante.

La quatrième bite vous éclate en bouche après trente secondes de pompage. Vous passez à la cinquième et à la sixième qui tardent à gicler. Vous revenez à la première et reprenez vos pipes, en essayant de les finir. Ça y est, le premier commence à râler et vous éclate au fond de la gorge. Il y a peu de volume mais vous vous attardez quand même. Vous passez au deuxième, toujours les yeux bandés et à genoux. Vous écartez inconsciemment les cuisses, car cette situation vous excite énormément. Vous le branlez avec les mains énergiquement et recevez son foutre sur les lèvres avant de le prendre en bouche. Vous lapez le maximum afin de ne pas en perdre une goutte. Vous vous déplacez à quatre pattes jusqu’au cinquième. Le salaud a débandé. Vous êtes obligés de le reprendre presque du début. II va vous faire perdre du temps celui-là, mais vous aurez quelques coups en plus. Vous le branlez, le sucer énergiquement, il rebande, vous continuez de le pomper, vous l’astiquez et le faites enfin gicler. Vous avez eu le temps d’enfourner sa bite dans la bouche, ce qui fait que vous avalez tout et rapidement.

Vous passez au sixième. Il a encore une bonne trique, bien dure, bien raide. Vous n’avez pas trop à en faire, mais il vous décharge son foutre trop rapidement. Vous l’attrapez sur le nez, le menton et le cou. Vous êtes obligée de vous nettoyer avec les doigts et de les lécher pour bien vous nettoyer.

 » La première étape est terminée, dit la patronne, quel est le temps Judith ?  »
 » Notre petite pute a mis exactement 29 minutes pour recevoir le foutre de ces six messieurs. Suivant le règlement, elle a dépassé de 14 minutes le temps réglementaire. Elle recevra donc 56 coups de fouet sur son gros cul de petite salope. Mais avant de se faire fouetter, elle va permettre à nos six spectatrices de se soulager sur elle. Mesdames, vous allez chacune à votre tour venir vous branler au-dessus de cette garce qui sera couchée par terre. Vous pouvez pisser sur elle où vous voulez. Je vais demander à quatre messieurs de tenir cette salope les bras écartés et les jambes écartées. N’hésitez pas à la remplir dans tous les trous »

La patronne vous enlève le bandeau des yeux et vous oblige à vous coucher par terre. Quatre hommes vous attrape les bras et les jambes et vous écartèlent. Votre con juteux s’ouvre en grand.

Une première femme s’avance. La trentaine, brune, un peu pulpeuse. Elle est entièrement nue, juste avec ses chaussures. Elle vous enjambe et se place au-dessus de vos seins, commence à se branler en bougeant les fesses de gauche à droite et d’avant en arrière. Elle ferme les yeux, se jette la tête en arrière. En écartant les lèvres de sa chatte et en avançant le bassin, elle vous envoie un jet d’urine d’abord sur vos nichons et votre ventre et continue sur le cou. En même temps qu’elle pisse, elle jouit fort et longtemps.

Elle est aussitôt remplacée par deux autres femmes. L’une a gardé sa robe et la soulève jusqu’à la taille, l’autre a enlevé son pantalon et se trouve cul nu. Elles se font face au-dessus de vous et tout en se roulant une pelle commencent à se peloter le con l’une de l’autre. Elles s’accroupissent sur votre ventre et se frottent la chatte, l’une sur votre pubis, l’autre sur vos nichons.

Elles ne sont pas longues à vous pisser dessus, tout en restant accroupies et continuant de se frotter sur vous. Ces deux femmes n’ont pas fini d’uriner qu’une autre vient prendre place juste au-dessus de votre figure. Vous ne voyez pour l’instant que son cul et ses mains qui écartent sa chatte.

 » Ouvre la bouche et bois tout petite pute  »

Vous reconnaissez la voix de la blonde qui vous a embrassé tout à l’heure sur le billard. A peine vous a-t-elle ordonné d’ouvrir la bouche qu’elle vous envoie son jet entre les lèvres. Vous avalez au fur et à mesure mais le jet est puissant. Ça déborde de votre bouche et vous manquez de vous étouffer, mais la fille continue de vous pisser sur la figure.

En même temps, vous sentez qu’on vous écarte encore un peu plus les cuisses. Vous sentez presque instantanément un liquide chaud vous remplir le con. Très vite la pisse de cette femme qui est en train de vous inonder la chatte vous dégouline dans la raie des fesses. La petite blonde a fini de vous inonder le visage, elle en profite pour se frotter la chatte contre votre bouche et votre nez. L’air vous manque, vous lui aspirez le clito et le sucez frénétiquement. En quelques secondes elle part dans un orgasme très bruyant et se retrouve vite à quatre pattes au-dessus de vous.

La sixième femme, que vous ne voyez pas parce que vous fermez les yeux de bonheur et de plaisir, vous arrose par petits jets de la tête au pieds, elle s’arrête et reprend pendant de longues secondes.

La patronne vous sort de votre rêve;

 

Sandra789

 » Maintenant que cette pute s’est bien faite arrosée de pisse de femelles, le spectacle de son cul rougissant va commencer. Messieurs, retournez-la et maintenez-la à genoux, les bras écartés. Je souhaite même qu’elle ait la bouche pleine pendant qu’avec Judith nous allons exercer nos talents de fouetteuses. N’hésitez donc pas à lui fourrer une ou deux bites dans la bouche et si vous avez encore envie de décharger, allez-y ! Elle ne demande que ça cette salope. Mesdames, je vous demande de ponctuer la séance en comptant à chaque coup jusqu’à 56  »

 

Judith a pris en main le fouet à 12 lanières, tandis que la patronne attrape une cravache en cuir. Le premier coup de fouet retentit dans la pièce. C’est votre cul qui l’a reçu. Vos fesses ont été ébranlées sous le coup. Sans attendre, c’est la cravache qui prend le relais, toujours sur le cul. Vous sentez que la peau commence de vous cuire. Le fouet se déplace un peu plus haut sur le dos, la cravache descend un peu plus sur les cuisses. La bouche pleine de bites bandée à mort ne vous empêche pas de crier sous les coups qui sont de plus en plus forts.

La cravache et le fouet s’abattent en alternance du dos à vos cuisses et vous mordent la peau cruellement. Des marques rouges commencent à apparaître.Deux hommes en ont déjà profité pour vous décharger dans la bouche pendant ces 22 premiers coups de fouet. Vous ne tenez
plus à genoux que par les bras vigoureux des deux hommes qui vous maintiennent par les bras. Ils en profitent pour vous peloter les nichons.

 » Retournez-la qu’on s’occupe un peu des mamelles de cette salope et écartez lui comme il faut les cuisses  »

Le premier coup de fouet sur votre nichon droit vous fait tressauter. Pourtant vous aviez vu Judith lever le bras. La violence vous a surprise. La cravache s’abat alors sur le devant de vos cuisses. Le fouet vient cingler votre sein gauche. Les hommes ont du mal à vous tenir tellement vous bougez, mais vous résistez quand même pas mal. Chaque coup vous fait crier.Maintenant il n’y a plus d’alternance, le fouet et la cravache vous frappent en même temps le ventre, les cuisses, les nichons. Les trois derniers coups sont pour votre con. Deux coups de fouet bien placés entre les cuisses viennent cingler votre chatte et l’intérieur des cuisses. Le dernier coup de cravache est donné bien dans l’axe de votre entrecuisse et s’abat sur votre clito. Vous criez de douleur, mais vous vous effondrez en même temps prise d’un violent orgasme.

 » Elle est résistante la garce. On l’a même fait jouir comme une chienne. Quelle salope ! On passe à la dernière étape du concours. Je vais demander à tous les mecs qui veulent gicler de venir se positionner au-dessus de cette femelle. Mesdames et mesdemoiselles, vous aurez le grand avantage de venir branler les bites de ces messieurs jusqu’à ce qu’ils arrosent de leur foutre cette pute  »

Judith vous a aidé à vous coucher sur le dos par terre. Le contact du sol contre votre peau meurtrie vous surprend, mais vous fait presque du bien. Elle vous écarte les cuisses en grand et pendant que la patronne continue d’expliquer le déroulement, elle vient s’accroupir contre votre bouche et, tout en écartant son string bordeaux, vous plaque sa chatte contre votre bouche. Vous introduisez votre langue le plus loin possible dans son con, vous lui aspirez le clito et l’étirez le plus possible. En quelques secondes, vous la faites monter et éclater. Elle vous inonde le visage de son jus.

Sept hommes se mettent autours de vous et sortent leurs bites. Certaines sont bien molles, d’autres encore sont déjà toutes raides. Les femmes se mettent à genoux à côté d’eux et commencent leurs branlettes. Certaines y vont tout de suite à la pipe, d’autres préfèrent l’action manuelle. Leurs mains de libres s’insinuent entre leurs cuisses écartées ou au contraire bien serrées. Les gémissements de plaisir sortent des gorges autant masculines que féminines. C’est troublant et très excitant de vous voir par terre en train de vous branler d’une main et de vous pincer un nichon de l’autre alors que treize personnes sont en train de prendre leur pied au-dessus de vous.

La première giclette de foutre vient de côté et vous arrive sur le ventre et sur votre bras. Les femmes gémissent de plaisir. On sent les orgasmes à fleur de doigts. L’ambiance dans cette arrière salle de ce bar est électrique et très chaude. Vous fermez les yeux pour ne plus sentir que cette impression du foutre qui vous éclabousse. Vous le sentez partout. Vos nichons sont souvent la destination de ces bites en pleine jouissance, votre con en reçoit aussi pas mal. Vous sentez des mains de femmes qui vous caressent le ventre, les seins et vous étalent tout ce jus reçu. Une main se glisse dans votre chatte, la pénètre tout de suite avec ses cinq doigts, tandis que le foutre continue de vous tomber dessus et que les mains vous l’étalent. Ce n’est plus que râles de plaisir, de jouissance, de cris d’orgasmes mélangés des hommes et des femmes et du votre qui n’en pouvez plus.

Petit à petit, les hommes s’éloignent. Heureusement que quelques femmes vous maintiennent dans cet état d’excitation qui vous fait oublier vos douleurs du fouet et de la cravache.Pendant que vous sentez des bouches, des langues et des mains sur vos seins, votre chatte, votre bouche et même votre cul, vous vous dites intérieurement « vivement le prochain concours !  »

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 26 décembre 2023 2 26 /12 /Déc /2023 16:49

Rendez-vous au bar
2 – Soumise à tous leurs désirs
par Vivien

coin102

Résumé de l’épisode 1 : Sandra a été contactée par la patronne d’un bar qui veut la « présenter » à un de ses amis.

La femme vous emmène vers une porte à côté du comptoir. Ce sont les toilettes du bar.

– » Monte debout sur la cuvette, les mains sur la tête. Montre-nous ton cul de salope et pisse bien droit pour ne rien mettre à côté. Chaque goutte sur la cuvette sera « récompensée » par trois fessées que tu recevras de chacun de nous deux.  »

Vous montez sur la cuvette, les jambes un peu flageolantes, face au mur et vous mettez les mains sur la tête. Vous savez déjà que vous serez « récompensée ». Peut-être même choisirez-vous volontairement de diriger votre jet un peu à côté… Ça ne vous déplairait pas de vous faire chauffer le cul…

Vous écartez un peu les cuisses pour mieux viser et commencez de pisser, doucement au début et puis vous ne pouvez plus vous retenir. Vous lâchez tout. Un jet d’urine tombe dans la cuvette dans un bruit de douche. Les dernières gouttes n’ont pas encore fini de tomber qu’Irène vous met la main au con et vous badigeonne de votre pisse toute votre raie. L’homme ne perd rien du spectacle et en profite pour s’occuper de vos nichons et vous caresse les fesses. Vous remarquez qu’il a quitté son pantalon et sa chemise. Il est entièrement nu, sa queue a déjà repris une certaine vigueur ce qui vous laisse présager d’autres utilisations et peut-être d’autres arrosages. On peut rêver tout de même ! Vous avez encore le goût de son foutre sur la langue…

Vous vous retrouvez dans cette position inconfortable (toujours avec vos chaussures ! ) avec plusieurs doigts dans la chatte qui vous fouillent. Les doigts sont remplacés momentanément par un objet qui vous parait de bonne dimension. On est en train de bien le mouiller avec votre jus et Irène le présente devant votre rosette.

– » Pointe bien ton cul en arrière petite chienne, que je puisse t’enculer comme il faut, bien à fond. Ton cul n’a encore rien eu, là tu ne vas pas être déçue ma salope »

Vous faites au mieux pour pointer votre cul mais ce n’est pas très facile en équilibre sur une cuvette de wc. L’homme vous écarte les fesses et vous sentez l’objet rentrer dans votre cul. Vous reconnaissez immédiatement qu’Irène est en train de vous enculer avec un plug d’un bon diamètre. Il équivaut à une bonne bite bien bandée. Vous poussez même un peu le cul en arrière pour qu’il rentre plus.

– » On va lui laisser le cul s’écarter un moment, dit Irène. Ce sera plus facile pour toi après. Regarde-moi ce cul, elle me fait mouiller cette petite pute et je vois que pour toi la trique est revenue. Tu en auras besoin tout à l’heure. Pour l’instant, vérifions comment a pissé cette petite salope.  »

Irène vous fait descendre du wc. Intérieurement vous la remerciez car vous commenciez d’avoir sérieusement mal au cuisses. Ils se penchent tous les deux vers la cuvette et commencent à compter les gouttes de pisse qui ne sont pas arrivées jusqu’au fond.

– » 1, 2, 3, ……. 9  »

S’adressant à vous, Irène vous dit :

– » 9 gouttes ma salope, qu’on va multiplier par 3 pour moi et par 2 pour mon ami, ça nous fait un total de 54. Tu vas recevoir 54 fessées sur ton adorable cul rond. Nous allons avoir le plaisir de le faire rougir  »

Joignant le geste à la parole, elle vous file une bonne claque sur la fesse droite.

-« Allez, en position, tu vas en recevoir la moitié ici »
-« Mets-toi devant la cuvette, vous dit l’homme, les bras contre le mur, écarte les jambes.  »

Vous vous exécutez et vous vous mettez en position debout, les jambes écartées, tournant le dos aux autres et vous mettez les mains contre le mur ce qui vous oblige bien sûr à mettre votre cul en arrière.

– » Ecarte encore plus les jambes et pointe plus ton gros cul, je veux que tu sois encore plus salope  »

Il passe son pied entre vos jambes et vous écarte les pieds beaucoup plus que ce que vous aviez fait. Cette position vraiment écartelée vous ouvre encore plus les fesses et vous écarte le con encore plus luisant et brillant.

– » On va lui enlever le plug pendant qu’on lui claque le cul, lance Irène. On verra mieux comment réagit son trou de balle sous les coups.  »

Elle retire le plug de votre cul d’un coup rapide. Heureusement qu’il était encore bien lubrifié de votre mouille de chatte. L’homme vous annonce :

– » Dans un premier temps, tu vas recevoir 27 fessées à la main, ici, dans cette position.  »

Sans plus attendre, il commence une claque sur la fesse gauche, une claque sur la fesse droite, pas très fortes. Il continue gauche, droite, gauche, droite.

– » Ce sont des demi-fessées que tu lui donnes à cette pute. Elle a droit à des vraies. Vas-y, il faut que son cul rougisse.  »

En même temps qu’elle dit ça à l’homme, elle vous enfile sans aucune précaution trois doigts dans la chatte et les fait aller et venir, les fait tourner, les enfonce un peu plus, en met quatre, puis les cinq. Elle écartèle votre con à outrance pour y introduire sa main entière. Vous balancez votre cul latéralement pour bien faire rentrer cette main au fond de votre chatte. Vous sentez que la jouissance n’est pas loin. Vous faire fister le trou n’est pas pour vous déplaire. Au contraire.

L’homme continue ses claques sur votre cul. Mais cette fois, elles sont deux fois plus fortes. Des vraies fessées bien cuisantes et bien sonores. Le bruit que fait une main en train de vous fesser vous excite autant que la douleur. Vous commencez à crier, car votre cul vous cuit de plus en plus et vous n’en n’êtes qu’à 12. Qu’est ce que ce sera tout à l’heure !

– » Arrête, lui dit Irène, on va la faire taire. »

Elle retourne dans la salle et rapporte votre string noir coupé. Elle le secoue un peu, le roule en boule et vous le fourre dans la bouche. Elle défait un de ses bas, le met à double et en fait un bâillon.

– » Ecarte tes lèvres de femelle que je te bâillonne. Comme ça tes cris seront étouffés et on pourra s’occuper de ton cul sans être dérangés »

L’homme recommence son va-et-vient gauche – droite sur vos fesses rondes et bien tendues en arrière. La douleur est de plus en plus forte. Irène a recommencé de vous fister le con. Son poing tourne dans votre chatte, va d’avant en arrière, ses doigts bougent contre vos parois. Vous vous déhanchez de plus en plus, les claques continuent à tomber, 22, 23, le poing d’Irène fait des ravages, vous êtes à deux doigts de jouir, vous vous sentez flageoler, vous sentez votre jus couler à l’extérieur de votre con. A la 25ème fessée, vous partez dans un orgasme éblouissant, vous ne savez plus où vous êtes, vous ne sentez plus les deux dernières fessées sur votre cul et le poing d’Irène qui continue de vous transporter. Elle retire soudain sa main de votre trou.

– » Tu as vu comme elle a joui cette garce. Elle m’a complètement inondé le bras. Regarde, je suis mouillée jusqu’au coude. Quelle salope ! En plus, elle n’a même pas demandé l’autorisation de jouir cette chienne. Emmène la dans la salle »

Toujours bâillonnée, vous suivez l’homme dans la salle du bar. Il s’arrête au milieu, à côté du billard.

– » A genoux, salope »

Il vous agrippe par les cheveux et vous tire la tête en arrière. Il vous enlève le bâillon et votre culotte de la bouche.

– » Allez suce petite pute, redonne une bonne taille à ma bite »

En même temps que vous prenez, toujours à quatre pattes et les cuisses écartées, la bite du mec dans la bouche, vous sentez qu’Irène vous pénètre le con. Elle s’est équipée d’un gode ceinture et vous ramone le conduit à genoux derrière vous, son pubis venant claquer contre vos fesses à chaque fois qu’elle s’enfonce au fond de votre trou.

– » Fais-lui bien bander sa bite parce que c’est ton cul qui va l’utiliser. Tu vas te faire enculer comme une bonne pute que tu es ma salope »

Vous continuez d’enfourner jusqu’aux couilles cette queue qui devient de plus en plus grosse. Vous la léchez, l’aspirez. Irène vous prépare le trou du cul en y mettant une noix de beurre qu’elle passe tout autour, y entre un doigt puis deux.

– » Le cul de ta chienne est prêt si tu veux. Tu vas te régaler mon salaud »

L’homme se retire de votre bouche en même temps qu’Irène se retire de votre con. Il passe derrière vous et présente son gland à l’entrée de votre rondelle.

– » Pas d’hésitation, lance Irène, encule-la d’un coup et pistonne-la à fond. Elle l’a bien mérité  »

Il presse sa bite et vous la fait avaler dans le cul d’un coup. Il commence un ramonage en règle en prenant soin de toujours aller le plus profond possible. Irène se couche sur le dos face à vous et vous présente sa chatte entourée de poils bruns, heureusement pas trop longs. Elle a quitté son gode-ceinture pour que sa chatte soit plus accessible.

– » Bouffe-moi le con salope, bouffe-le moi pendant que tu te fais ramoner le cul. Espèce de pute, fais moi jouir, donne-moi du plaisir, mords-moi le clito. Mets-moi un doigt dans le cul petite garce, fais-moi gicler »

Vous avez le cul bien ouvert et accueillant. L’homme y prend plaisir. En même temps qu’il vous encule, il en profite pour vous filer quelques claques sur les fesses. Celles-la ne sont pas comptées. Elles vous rappellent simplement que vous avez encore le cul rouge et cuisant.

Vous sentez que contre votre bouche et sous votre langue, Irène est en train de monter, et l’homme derrière vous est en train de vous astiquer de plus en plus rapidement. Vous sentez à l’intérieur de votre cul les premiers soubresauts annonciateurs de la jouissance de l’homme. Vous avez l’impression qu’il s’enfonce de plus en plus loin et soudain vous sentez une certaine chaleur vous envahir le cul. L’homme jouit assez fort, dispense son foutre au fond de votre trou, en plusieurs saccades et il vous semble qu’il ne débande pas.

Irène ne tarde pas à se cambrer en vous attrapant la tête. Son orgasme remplit votre bouche de son jus, jus beaucoup plus liquide que la mouille habituelle. Vous avez le visage inondé du jus d’Irène et le cul remplit du foutre de l’homme. Vous voilà comblée. L’homme vous décule et Irène se relève doucement

– » Et bien ma salope, je vais te garder comme pute de service, toi. Tu te débrouilles vraiment pas mal. Remets-lui sa culotte dans la bouche et le bâillon car, si je me rappelle bien, il lui reste 27 fessées à recevoir. Et il est hors de question que cette garce qui a pissée à côté ne reçoive pas toute sa récompense »

Elle vous indique d’aller derrière le comptoir et vous amène vers l’évier en inox.

– » Prends la position que tu dois connaître maintenant »

Vous vous mettez debout, écartez largement les jambes et les cuisses, pointez bien votre cul en arrière, ce qui vous ouvre bien les fesses et dégage votre con rendu bien visible. Votre trou du cul se retrouve lui aussi encore tout ouvert de l’enculade de tout à l’heure.

– » Appuie tes nichons sur l’évier et mets les mains derrière le dos. Je vais te faire voir comment je traite une sale petite pute qui a joui tout à l’heure sans autorisation »

Irène défait son deuxième bas de son porte-jarretelles, le double et vous attache les poignets derrière le dos, assez haut au-dessus des fesses. Elle attrape dans un tiroir un grand concombre bien luisant, d’un diamètre bien équivalent à la bite de tout à l’heure, vous le fourre dans la chatte pour le mouiller, (et y a de quoi le mouiller), le ressort presqu’aussitôt et vous l’enfile sans précautions dans le cul. Des 30 cm du concombre, on n’en voit plus que 10.

Traîne à côté de l’évier une petite planchette de bois rectangulaire avec une sorte de poignée. Elle l’attrape et sans vous laisser le temps de réfléchir, commence à vous fouetter le cul avec une cadence rapide, ne vous laissant pas le temps de reprendre votre souffle. Cette fois, rien dans votre chatte qui pourrait vous faire jouir. Vous êtes là pour être récompensée. L’homme vous regarde en train de vous faire fouetter par cette femme. Il se branle et le spectacle que vous donnez doit lui plaire car il bande joli.

Tout en vous fouettant avec sa planchette et un peu essoufflée par ses gestes, Irène vous lance :

– » Tu as un cul fait pour être fouetté, salope, tu as le cul parfait, qui réagit vraiment bien ma petite garce. Un cul de pute comme ça, je ne vais pas le laisser trop longtemps au repos, il faut qu’il serve un maximum »

Elle ne compte même plus les claques et a du largement dépasser les 27 prévues. Votre cul bien rouge maintenant vous cuit, mais des réactions descendent jusqu’à votre chatte. Votre cul bien rempli par le concombre, les claques de la planchette, le contact de l’inox sous vos nichons et vos tétons font que vous sentez monter un plaisir de l’intérieur.

Irène doit s’en apercevoir car elle arrête d’un coup les claques et demande à l’homme :

– » Est-ce que tu as envie de pisser ? »
– » Si je débande, certainement  »
– » Tu vas pisser sur la pute, l’arroser sur tout le corps de façon qu’elle soit pleine de pisse. Après je lui réserve une petite surprise »

Elle vous fait relever et vous emmène dans la salle.

– » Etends-toi sur cette table et écarte les cuisses »

Toujours bâillonnée et les poignets attachés derrière le dos, vous vous couchez sur la table, bien inconfortablement.

– » Ça y est, j’ai débandé, ça pourra sortir »
– » Monte debout sur la table et arrose la partout et remplit lui le con, je lui tiendrais les cuisses ouvertes »

L’homme monte au-dessus de vous, attend quelques secondes et commence à lâcher un jet de pisse, d’abord sur vos nichons, puis sur le ventre et descend vers votre chatte. Irène vous écarte les cuisses au maximum ce qui a pour effet de vous ouvrir largement le con. L’homme dirige son jet à l’intérieur de votre trou et le rempli, il déborde. Irène y enfouit sa main entière sous les dernières gouttes de pisse qui tombent de la bite de l’homme.

– » Enlève-lui le bâillon et sa culotte de la bouche »

L’homme défait le bas, enlève votre string. Irène monte sur la table et pataugeant dans la pisse qui vous entoure, vient se positionner accroupie juste au-dessus de votre visage.

 

Agneta Helle31

– » Ouvre la bouche salle pute que je te pisse dedans, bois mon jus doré, avale salope, avale chienne »

 

L’homme n’est pas en reste et se positionne entre vos cuisses et vous broute la chatte en vous enculant de trois doigts. Vous recevez la pisse d’Irène sur le visage. Ça vous oblige à fermer les yeux, vous ouvrez la bouche et avalez de grandes gorgées d’urine. Les dernières gouttes tombées, Irène plaque son con contre votre bouche et se frotte sur vous. Elle vous attrape les tétons en se penchant légèrement en arrière et vous les pince sans retenue, les étire au maximum.

Le contact de sa chatte sur votre bouche et l’étirement de vos nichons la font partir dans une jouissance longue et bruyante. De vous faire brouter le con et enculer une autre fois vous porte cette fois vers un orgasme difficilement contenable. Irène redescend et vous fait asseoir au bord de la table.

– » Détache-lui les poignets et rends-lui ses habits. Aujourd’hui, c’était pour vous tester. Le test est concluant. Je vous rappellerai dans les jours prochains, car j’organise un concours d’arrosage de foutre pour une soirée privée. Aujourd’hui nous étions en petit comité. La prochaine fois, nous serons plus nombreux et je vous demande de venir faire la pute, comme vous savez si bien faire. C’est vous qui serez la cible du concours et à la merci de toutes les personnes participantes. Vous recevrez des instructions la veille. »

Irène vous fait mettre debout et écarter les jambes. Elle attrape votre string noir et vous l’enfile dans le con. Vous remettez votre jupe et votre corsage. Vous sentez la pisse et le foutre et vous sortez du bar.

(à suivre…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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