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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:56

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 4 – Docteur Paradis : Le retour

Massage3

 

Discussion

 

Marie est tellement excitée en arrivant chez elle, qu’elle va immédiatement dans la chambre, s’allonge sur le lit et se masturbe sans plus attendre. Il ne lui faut que quelques secondes pour jouir et elle pousse encore un grand cri rauque comme elle l’a déjà fait chez son amie. Épuisée, elle retire son chemisier et son soutien-gorge et sa jupe. Cela ne dure pas longtemps, elle se relève encore une fois, reprend son chemisier sans mettre de soutien-gorge et le boutonne. Elle commence alors à se toucher les seins à travers le chemiser. C’est agréable. Ses tétons se mettent rapidement à pointer et deviennent tout durs et sensibles. Elle s’allonge et continue de se caresser les seins. L’excitation monte à nouveau. Tandis qu’elle continue de se caresser la poitrine de la main gauche, sa main droite descend vers son sexe et commence à l’explorer. Cela va vite : deux doigts, trois doigts, puis quatre, elle mouille énormément et ne cesse de gémir. Quelques dizaines de secondes plus tard, elle jouit pour la troisième fois en moins d’une heure. Elle est épuisée, mais… qu’est-ce que c’est bon !

Après s’être reposée un bon quart d’heure, Marie se lève, retire son chemiser et quitte la chambre en direction de la salle de bains. Une douche bien fraîche lui permet de retrouver rapidement ses esprits. Elle ressort de la cabine de douche et prend sa serviette pour se sécher. L’envie de se caresser en même temps traverse son esprit, mais elle préfère néanmoins se retenir. Ses jouissances ont été assez intenses aujourd’hui, ce qui l’épuise un peu plus à chaque fois. Une fois bien sèche, elle quitte la salle de bains et retourne dans la chambre.

 

Quelle tenue va-t-elle bien pouvoir mettre ce soir ? Marie regarde l’heure sur le cadran de la radio. Déjà 17 heures, Philippe ne devrait plus tarder. L’armoire est grande ouverte, le choix n’est pas facile. Une jupe courte ou longue ? Ou alors une robe ? En tout cas, pas un pantalon. Quitte à ne pas porter de sous-vêtement, autant avoir le cul à l’air. Les idées se bousculent dans son esprit. Faut-il mettre des bas ou un collant ? Porter un collant sans culotte dessous, c’est assez excitant, mais on a moins les fesses à l’air. En plus, c’est beaucoup moins pratique en cas de rapport sexuel. Donc plutôt des bas. Avec un porte-jarretelles ? C’est plus excitant, mais sous un vêtement moulant c’est trop visible. Et d’ailleurs, quel vêtement choisir ? Pourquoi ne pas commencer par-là ?

 

Donc une jupe ou une robe, mais pas trop longue. Pas trop courte non plus, à moins de vouloir montrer sa chatte chaque fois qu’elle écartera un tant soit peu les jambes. Et si l’on commençait d’abord par essayer de choisir le haut ? Un chemisier ? Pourquoi pas… Il y en a un blanc, légèrement transparent qui serait du plus bel effet, en tout cas pour ce qui est de dévoiler discrètement ses seins en liberté. C’est vrai, après tout, quitte à ne pas porter de soutif, que faire ? Cacher ses seins derrière un haut opaque et épais ? Ou au contraire laisser deviner qu’on ne porte pas de soutien-gorge en laissant deviner leur forme derrière un tissu légèrement transparent, ou bien derrière un tissu opaque mais moulant ? Marie a le bout des seins qui pointent facilement, elle le sait, et les montrer à travers un tissu moulant ne serait pas pour lui déplaire. Elle pourrait aussi mettre un top à bretelles, elle en a plusieurs qu’elle n’hésite pas à mettre en été, quelquefois même sans soutien-gorge, pendant les vacances, loin de chez eux et du regard des voisins, la proéminence de ses tétons n’étant pas sans la gêner dans sa vie de tous les jours. Non, pas assez habillé, tant pis pour le top à bretelles.

 

Finalement, l’attention de Marie finit par se concentrer sur une robe moulante en satin noir. Descendant jusqu’au-dessus des genoux, elle a l’air assez sage, mais le décolleté en V qu’elle a dans le dos la rend nettement plus sexy lorsqu’on la regarde par-derrière. Elle l’enfile. Sans soutien-gorge, ses seins pointent effrontément à travers le tissu. Quand elle bouge, ils bougent aussi sous le tissu. On ne les voit pas mais on les devine facilement. Plus elle bouge, plus les tétons durcissent et pointent. À peine se passe-t-elle les doigts sur le bout des seins qu’elle se sent déjà mouiller. Bon, le choix est fait.

 

Marie redescend au rez-de-chaussée, va au salon et s’installe sur le canapé, les jambes serrées, une posture bien sage. Puis elle croise les jambes, les décroise, change de place. La constatation est terrible : quoi qu’elle fasse, où qu’elle se mette, qu’elle bouge ou pas, elle ne cesse d’être excitée. Pour l’instant, c’est agréable, mais à la longue cela pourrait finir par être pénible. Elle n’a pas le temps d’y penser plus longtemps, la porte d’entrée vient de s’ouvrir, Philippe vient d’arriver. Que va-t-il penser de cette tenue ? Faut-il tout lui dire ? De toute façon, il faut bien qu’elle lui annonce qu’ils sont invités ce soir. S’il ne veut pas être surpris, il faudrait le prévenir du thème de la soirée. Pour qu’il comprenne le sens de ce thème, il vaudrait mieux tout lui expliquer depuis le début. Ce serait plus simple.

 

Marie se lève alors et va à la rencontre de son mari.

 

– Bonjour, mon chéri.

– Bonjour, ma chérie.

– Alors, ce voyage ?

– Bien. Intéressant. C’est pour fêter mon retour ?

– Quoi donc ?

– Que tu t’es habillée comme cela ?

– Pas tout à fait. Mais on peut quand même le fêter.

 

Philippe prend sa femme dans ses bras et pose les mains sur son dos. Il a déjà remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui lui permet de lui parcourir le dos sans entrave. Il laisse alors descendre une de ses mains plus bas, pour lui caresser les fesses. Surprise ! Il ne ressent pas la couture de la culotte. Curieux, il descend plus bas, passe sous la robe et fait remonter sa main. Il parvient sans difficulté jusqu’au sexe abondamment mouillé de sa femme.

 

– Pas de culotte ? C’est une grande occasion ! Je sens que je ne vais pas pouvoir résister.

 

Philippe retire alors son pantalon et son caleçon, son sexe est déjà raide, en érection. Ne prenant pas le temps de retirer sa cravate, sa chemise et ses bas, il entraîne Marie vers la cuisine. Il lui remonte sa robe et l’assoit sur le bord du comptoir. Sans plus de préliminaires, bien qu’il adore cela, surtout quand il s’agit de donner du plaisir à sa femme en lui caressant les seins et la chatte, il s’introduit sans aucune difficulté dans le sexe détrempé de sa femme. Philippe se met aussitôt à la fourrer tandis que Marie ne cesse de crier très fort l’intensité de sa jouissance. Il ne tarde pas à jouir, remplissant de sperme la chatte de sa femme. Quand il se retire, la fente de Marie est toujours aussi dégoulinante d’un mélange de sa mouille et de sperme qui s’écoule lentement sur le comptoir. Épuisée par sa jouissance, elle ne parvient pas à bouger tandis que Philippe lui apporte quelques essuie-tout pour qu’elle se nettoie ainsi qu’il le fait lui-même.

 

Remis de leurs émotions, ils montent jusqu’à leur chambre. Tandis que Philippe range dans l’armoire les vêtements qui ne lui ont pas servi, Marie lui raconte sa nuit, puis sa journée. Cette énumération détaillée de tous les fantasmes de sa femme ne cessent de l’épater.

 

– C’est incroyable tout ce que tu as comme idées.

– Tu n’as pas été trop choqué ?

– Non, ça va. Pas trop. Encore que sucer Simon ou me faire enculer par lui, ça ne me tente pas vraiment.

– Vous êtes tous les mêmes, les gars. Quand il s’agit de regarder des femmes se manger la chatte, ça vous excite. Mais s’il s’agit que vous fassiez la même chose, il n’y a plus personne.

– Il ne faut pas exagérer. Il y a quand même des limites à ne pas dépasser. C’est une question de dignité humaine.

– Et pour nous, les femmes ? Il n’y a pas de limites ?

– Ce n’est pas pareil. Il y a de la sensualité. C’est ce qui rend un rapport sexuel entre femmes beau et esthétique. Tu sais, dans ce genre de rapport, tu as en même temps la femme passive et la femme active ! C’est ce qui rend ce fantasme si attrayant pour les hommes ! Entre hommes, ce n’est pas pareil.

– Évidemment. C’est toujours comme ça. Quand il s’agit de faire un effort, il n’y a plus personne.

– Mais je vais en faire des efforts. Repose-toi donc un peu, tu as l’air épuisée.

 

Marie s’allonge alors sur le lit tandis que son mari quitte la chambre. Qu’est-il parti faire ?

 

Peu de temps après, Philippe revient dans la chambre, suivi par le psy.

 

– Voilà, elle est ici. Je vous laisse.

 

Il repart aussi vite qu’il était arrivé, laissant sa femme avec le psy, ce qui ne manque pas de la surprendre.

 

– Docteur Paradis !!??? Que faites-vous là ?

– J’avais oublié votre ordonnance. Comme je passais dans le quartier, j’en ai profité pour m’arrêter chez vous.

– Une ordonnance ?

– Oui, des infusions de produits naturels que vous pourrez prendre pour calmer vos ardeurs.

– Bon.

 

Marie s’attend alors à ce qu’il quitte la chambre, mais il n’en est rien. Au contraire, il s’avance encore un peu plus vers elle.

 

– D’après vous, j’ai le sexe rasé ou pas ?

– Drôle de question. Qu’est-ce qui vous prend ?

– C’est la suite de votre traitement. Alors ? Rasé ou pas ?

– Je ne sais pas. Peut-être bien que vous êtes rasé.

 

Sans lui répondre, le psy retire sa chemise.

 

– Juste avec votre pantalon comme ça, vous avez le look d’un eunuque dans les contes des mille et une nuit. Tout ce qui vous manque, ce sont des souliers à pointe retroussée et une grosse plume pour servir d’éventail pour rafraîchir les femmes du harem.

– Ah, mais j’ai pas la petite voix qui vient avec le look !

 

L’instant de rigolade passé, il retire son pantalon sous les yeux étonnés de la jeune femme. Il ne semble pas très poilu sur le torse, en tout cas moins que bien des hommes avec les mêmes rondeurs. Après avoir également retiré ses bas, il ne lui reste plus que son caleçon. Il le fait alors glisser sensuellement avec le bout de ses doigts. Son pubis apparaît, on y voit des poils pubiens, foncés. Marie semble déçue. Il continue à faire descendre son sous-vêtement et son sexe se dévoile. Il est épilé. En fait, le psy n’a gardé qu’un carré de poils coupés court sur le pubis, tout le reste a été rasé. Son torse a un peu de poils, mais ses bras, ses jambes, tout son corps est imberbe, à l’exception d’un carré intime. S’épile-il tout le corps ? Marie ne va pas tarder à avoir la réponse à cette question incongrue qui lui a traversé l’esprit.

 

– Je pratique le naturisme, c’est pour cela que je m’épile tout le corps. C’est plus facile pour bronzer égale et mettre de la crème.

– Mais vous avez gardé des poils pubiens et une ligne sur le torse ?

– Oui, ça me plait bien comme ça !

– Mais vous avez quand même épilé le reste de votre sexe.

– C’est une question de préférence personnelle.

 

Alors qu’elle est en train de discuter, Marie ne s’est pas rendu compte qu’il s’est rapproché lentement d’elle pendant la conversation. Sa robe est suffisamment relevée pour que le psy puisse voir son sexe. Il approche ses mains des cuisses de la jeune femme et commence à les masser. Marie est surprise mais ne dit rien. Son regard est captivé par cette queue qui commence à grossir. Ce matin, elle n’avait rien remarqué de son pénis, mais c’est vrai qu’il était en grande partie caché par son pantalon. C’est quand il commence à faire remonter ses mains en direction de l’entrejambe de Marie qu’elle manifeste enfin son désaccord.

 

– Mais enfin ! Qu’est-ce qui vous prenez ?

– Je vous relaxe. Ça vous fait du bien ?

– C’est possible. Mais je ne veux pas que vous me touchiez.

– Pourquoi ?

– Ce n’est pas bien. Vous n’avez pas le droit. Si vous continuez, j’appelle mon mari.

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Il ne tient pas compte de ce qu’elle dit et continue son massage. Ses doigts arrivent au contact de la fente de Marie tandis que son sexe commence à être réellement en érection, une très belle érection. Marie ressent le contact de ces doigts étrangers qui cherchent à s’insinuer en elle à la recherche de son clitoris. C’est trop, elle ne peut pas laisser faire ça. Elle se met alors à crier.

 

– Philippe ! Chéri ! À moi ! Au viol !

 

Philippe arrive instantanément. Marie a l’impression qu’il était caché derrière la porte, peut-être en train d’observer ce qu’elle était en train de subir. Pourquoi n’est-il pas intervenu spontanément ? Prenait-il du plaisir à les observer ?

 

– Qu’est-ce qui se passe ?

– Ben, tu ne vois pas ce qui se passe ?

– Ton psy s’occupe de ton traitement.

– C’est comme ça que tu vois les choses ?

– Ben oui.

 

Le psy prend la parole.

 

– C’est vrai. C’est pour son bien. Il faut qu’elle laisse libre cours à ses désirs les plus profonds.

 

Marie est stupéfaite d’une telle réponse.

 

– Et là, quand vous me masturbez, c’est un désir de ma part ?

– Oui. Tout à fait.

– Et c’est quoi mon prochain désir ?

– Que votre mari me suce.

– Tu entends ça, chéri ? Maintenant, il voudrait que tu le suces !

 

Philippe corrige ce qu’elle vient de dire.

 

– Ce n’est pas lui qui le voudrait, mais toi.

– Pas du tout. Je n’ai rien dit.

– Monsieur connaît tes désirs. S’il le dit, c’est que c’est vrai.

 

Et, dans la foulée, Philippe s’approche du psy. Il s’agenouille devant lui, ouvre la bouche et y laisse pénétrer le sexe en érection du praticien.

 

Stupéfaite, Marie assiste alors à la fellation que son mari prodigue au psy. Et c’est que Philippe s’y prend bien, elle le voit faire, il pompe comme s’il l’avait toujours fait. Voir son mari comme ça lui donne les mêmes envies de se masturber que ce matin au téléphone avec Marie. Le psy apprécie visiblement les talents de Philippe, il ne cesse de gémir. Sur la fin, il en oublie même Marie, à la place il préfère utiliser ses mains pour tenir la tête de Philippe, qui se laisse faire, et lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Cela ne dure guère car, dans un dernier soubresaut accompagné d’un cri rauque et puissant, le psy éjacule dans la bouche du mari de Marie.

 

D’où elle est placée, elle ne remarque que le filet de sperme qui commence à couler le long de la bouche de son mari. Le jet a dû être considérable et il n’a pas pu tout avaler, à moins qu’il n’ait essayé de recracher. Le psy se retire alors de la bouche de Philippe et va vers Marie, le sexe encore érigé et couvert de restes de sperme. Marie recule.

 

– Qu’est-ce que vous voulez ?

– Que vous me léchiez la queue.

– Quoi ? Pas question.

 

Philippe essaye de la raisonner mais, la bouche pleine de sperme, sa diction n’est pas très claire. Il essaye d’en avaler le maximum pour parvenir à mieux parler.

 

– Enfin, ma chérie. Fais donc ce qu’on te dit. C’est pour ton bien.

 

Dégoûtée, Marie s’exécute quand même et lèche tout le jus souillant la verge du médecin. Elle ne peut pas s’empêcher de manifester son désaccord tandis qu’elle lui suce le gland.

 

– Je ne vois pas pourquoi ceci serait un de mes fantasmes. Après tout, cela pourrait aussi être le contraire.

– C’est exact. Monsieur… déshabillez-vous.

 

Philippe s’exécute et retire ses vêtements. Son sexe est intégralement rasé, ce qui surprend un peu plus Marie.

 

Une fois que Philippe a fini de se mettre nu et que Marie a terminé de nettoyer le sexe du psy, ce dernier s’approche du mari, le fait s’allonger sur le lit et se met à le sucer à son tour. Le gros bonhomme semble être un spécialiste de la fellation, il arrache immédiatement des cris de plaisir à Philippe. Marie qui est allongée à côté d’eux peut profiter à loisir du spectacle. Il a l’air de se débrouiller aussi bien que les cochonnes que l’on voit dans les films pornos et cela finit par l’exciter.

 

Machinalement, sans réellement s’en rendre compte, Marie laisse une de ses mains s’avancer vers son sexe et elle commence à se masturber tout en regardant ces deux hommes s’amuser ensemble. Elle ressent une gêne, mais aussi beaucoup de plaisir. Peut-être même que c’est la gêne qui entraîne le plaisir. C’est contradictoire, mais qu’est-ce que c’est bon… Philippe ne tarde pas à crier, de plus en plus fort, il ne crie jamais comme ça quand c’est sa femme qui le suce. Peut-être qu’elle ne sait pas s’y prendre ? Les cris de Philippe cessent soudain tandis que la bouche du psy se remplit de sperme. Son mari vient de jouir dans la bouche d’un autre homme, peu de temps après avoir lui-même fait jouir ce même homme dans sa bouche. Marie repense à tout ça, en observant le sperme de son mari couler sur la joue du praticien. Elle jouit à son tour, laissant échapper un cri de plaisir.

 

Le psy ne manque pas de remarquer ce cri et ce qui en est la cause. Il se relève et s’adresse à Marie, la bouche pleine de sperme, comme l’avait fait son mari auparavant.

 

– Vous voyez que ce sont bien vos désirs. Vous en avez même joui.

– C’est vrai. C’est indéniable.

– Et maintenant, vous allez sucer votre mari. Je pense que vous avez l’habitude.

– Oui, bien sûr.

 

Elle se penche vers Philippe et lui nettoie la bite de la même façon qu’elle l’a fait au psy peu de temps auparavant.

 

Une fois le sexe de son mari bien propre, elle termine d’avaler le sperme qui lui reste dans la bouche et s’allonge sur le lit, pensive.

 

Soudain, on lui tape sur l’épaule. Marie sursaute. Qu’est-ce qui se passe ? C’est Philippe, toujours à côté d’elle, qui vient de la réveiller. Le psy n’est plus là. C’était bien un rêve. Un 7ème…

 

– J’ai rêvé ?

– Oui, je crois bien.

– Comment tu le sais ?

– Tu as parlé en dormant. J’ai suivi presque tout ton rêve.

– Non ? !

– Si !

– Alors tu sais ce que tu as fait avec le psy dans mon rêve ?

 

Il lui répond tout en se levant pour faire le tour du lit.

 

– Oui. Je l’ai sucé et ensuite il m’a sucé. Ça t’a excité, tu t’es masturbée et tu as joui aussi.

 

Philippe a fait le tour du lit, Marie peut enfin le voir de face. Il a le sexe rasé ! Elle rêve encore !

 

– Non, pas ça ! Je veux me réveiller pour de vrai !

– Qu’est-ce qui t’arrive ?

– Je rêve encore ! Tu as le sexe rasé. Dans mes rêves tu as toujours le sexe rasé, mais dans la réalité, ce n’est pas le cas.

– Rassure-toi, tu ne rêves pas. Je viens de me le raser pendant que tu t’endormais.

– C’est vrai ?

 

Marie s’avance, sent le sexe de son mari, elle reconnaît l’odeur de la mousse à raser. C’est exact, il vient de se raser le sexe. Tout est trop réaliste pour être un rêve. Elle lui caresse le sexe, curieuse et ravie.

 

– Quelle bonne idée. C’est agréable comme tout.

 

Elle se penche en avant et commence à le sucer.

 

– Ça donne envie.

 

Philippe se laisse faire. Il retire la robe de Marie en un seul coup et elle se retrouve nue en moins de temps que pour dire  » ouf « . Le plaisir de Philippe monte rapidement, accompagné de gémissements rauques. Quelques minutes plus tard, il laisse éclater son plaisir en éjaculant sur les seins de sa femme. Ravi, Philippe se penche vers elle et l’embrasse alors qu’elle a les seins dégoulinant de sperme. Il se penche et lèche les seins de sa femme! Elle en est surprise.

 

– Mais enfin ! Qu’est-ce qui te prend ?

– Ben quoi ? Je goûte. Il vaut mieux que je me prépare.

– À quoi ?

– Au goût du sperme. Si je veux t’aider à suivre ta thérapie.

– Tu crois ?

– Oui. Je t’aime et je pense que c’est important. Je ne veux pas que nous nous séparions parce que tu aurais refoulé tes fantasmes.

– C’est gentil à toi.

– Et nous allons aller chez Nicole et Simon. Ça te fera le plus grand bien.

– Tu es sûr de ça ? Tu ne vas pas le regretter ?

– On verra bien. Le plus important, c’est que tu ailles mieux.

– Bon. Alors on va se préparer pour y aller.

 

Marie se rhabille de sa robe moulante. Elle ne porte toujours rien dessous. Philippe, toujours nu, se dirige vers la commode, en sort un boxer-short et des chaussettes et commence à s’habiller. Sa femme l’interrompt.

 

– Tu mets un boxer ?

– Oui. Pourquoi ?

– Tu pourrais ne pas en mettre.

– Pourquoi pas ? Si ça te fait plaisir.

 

Il range alors le boxer, ouvre l’armoire et choisit un pantalon ample et léger.

 

– Avec ça, j’aurai vraiment le pénis en pleine liberté.

– En effet. On peut presque le deviner tellement le tissu est léger.

– Je sens l’air me caresser les couilles. Le tissu aussi me caresse, c’est très agréable.

– Surtout avec le sexe rasé. Je connais.

– Oui, je pense que ça y est pour quelque chose. Je vais finir par bander, si ça continue.

– Attends d’être arrivé chez Simon et Nicole.

– Ça devrait aller. Tu viens de me vider, alors je peux attendre un peu.

 

Philippe termine de s’habiller, choisissant un polo de couleur pâle. On devine le contour de son corps quand il se place devant la lumière de la fenêtre. Marie le remarque et trouve cela aussi érotique qu’une femme habillée d’une robe moulante. Encore un fantasme ?

 

Il est donc 19 heures 30, Marie et Philippe sont plutôt nerveux, ils arrivent devant la maison de leurs amis pour y passer une soirée qui risque d’être assez chaude. Leur appréhension est grande, ils ne sont pas du tout adeptes de ce type de soirée. Ce qui les rassure un peu, c’est que leurs amis ne le sont pas non plus. Ce sera une découverte pour tout le monde. Ils sont certainement tout aussi nerveux qu’eux. Marie sonne. Les dés sont jetés.

 

C’est Nicole qui vient leur ouvrir. Sa tenue n’a rien à envier à celle de Marie. Elle porte un petit haut en dentelle noire et une minijupe, noire également. Les deux femmes s’observent. Chacune semble rassurée de constater que son amie a opté pour des vêtements tout aussi osés que les siens. Philippe observe également Nicole. Il ne peut s’empêcher d’observer la poitrine de la jeune femme, visible par transparence. Cela l’excite déjà pas mal mais, quand il se rappelle qu’elle ne porte certainement pas de culotte sous sa minijupe, cela achève de lui faire de l’effet. En l’absence de sous-vêtement, son sexe se redresse promptement dans son pantalon, il se forme alors une bosse très visible au niveau de sa braguette.

 

Les deux femmes se font la bise, puis c’est au tour de Philippe d’embrasser la copine de sa femme. Nicole remarque immédiatement l’érection de Philippe, elle est tellement visible qu’on ne voit que cela. Tout en l’embrassant, elle le complimente mais sans oser y toucher.

 

– Ben dis donc ! C’est moi qui te fais cet effet-là ?

– J’en ai bien l’impression.

 

Marie remarque à son tour la bosse dans le pantalon de son mari.

 

– Ça promet !

 

Tous les trois vont dans le salon. Simon ne tarde pas à arriver, une bouteille de vin en main. Un vin blanc de très bonne qualité, Bourgogne Montrachet 1987.

 

– J’avais cela dans ma cave depuis un certain temps, c’est ce soir qu’on se débarrasse de cette vieille affaire!

 

Philippe, qui apprécie le vin, connaît bien la valeur et la rareté de ce vin et ne dit pas un mot pour ne pas éveiller Simon et le faire changer d’idée.

 

– Ouin, ça risque d’être excellent ce vin, tu l’as acheté où ?

– Je l’ai eu quand j’ai acheté la cave de mon ex-associé

– Ah ok, je comprends

 

Côté vestimentaire, Simon a opté pour une tenue assez proche de celle de Philippe. Marie s’en rend compte.

 

– T’es habillé presque comme Philippe. C’est pareil en dessous ?

– C’est-à-dire ?

– Regarde.

 

Et d’un seul mouvement, elle montre la bosse dans le pantalon de son mari, la saisit à pleine main et entame un mouvement de masturbation qu’elle interrompt après quelques allers et retours. Il n’en faut pas plus pour qu’une bosse se forme également dans le pantalon de Simon, trahissant par là même le fait que lui non plus ne porte pas de sous-vêtement, ce que remarque Philippe.

 

– Toi non plus, tu n’as pas mis de caleçon ?

– Euh !!! Pas tout à fait, j’ai mis un J-string pour homme reçu en cadeau à Noël.

– Ah oui, mais c’est pas évident non plus il paraît ?

– C’est vrai. Alors, on ouvre cette bouteille !!??

 

Simon reste encore un instant à la cuisine, le temps de déboucher la bouteille qu’il vient d’apporter, et vient la poser sur le bar. Il rejoint alors ses amis qui ont pris place autour de la table du salon. Les deux femmes sont assises sur le sofa tandis que Philippe s’est vautré dans un fauteuil. Même si les deux femmes ont gardé bien sagement leurs jambes serrées, leurs tenues très courtes ne parviennent pas à masquer totalement leur intimité, dès lors que l’on est juste face à elles. Et c’est justement ce que fait Simon, il s’assied face à Marie et se penche ostensiblement. Il arrive ainsi à entrevoir en partie le pubis épilé de la copine de sa femme, ce qu’il n’hésite pas à dire à ses amis.

 

– Ouin !! Depuis que je te connais, tes seins ont toujours été à leur avantage mais pour le reste, je n’aurai pas dû attendre longtemps pour m’en rendre compte.

 

Marie ne comprend pas immédiatement.

 

– Quoi donc ?

– Que tu as fait comme Nicole.

– Tu as tout vu ?

– Pas tout. Juste un petit peu, mais c’est déjà un début.

 

Il se tourne alors vers Philippe, qui est placé entre lui les femmes, sur le côté de la table.

 

– Mais tu es mal placé où tu es. Viens donc ici, à côté de moi.

 

Philippe se lève et déplace son fauteuil.

 

– Je me mets où ?

– Ici, face à Nicole.

 

Après s’être déplacé, Philippe peut à son tour bénéficier d’une vue sur l’entrejambe de l’amie de sa femme. Il peut alors remarquer qu’elle semble elle aussi épilée, ce qui confirme ce que lui a dit sa femme.

 

Au cours de l’apéritif, le vin aidant, tout le monde commence à se détendre. Les deux femmes se contrôlent moins et il est de plus en plus facile pour Philippe et Simon de fixer les seins ou l’entrejambe de la femme de l’autre et cela commence à les exciter. Philippe commence même à discrètement se caresser le sexe à travers son pantalon, ce qui est facilité par sa tenue. Nicole s’en rend compte et décide de réagir.

 

– Et si nous passions à table ?

 

Philippe est déçu. Ça commençait à devenir intéressant. À moins qu’elle ne veuille plus de cette soirée débridée… Nicole se lève. Ce qu’elle lui glisse à l’oreille en passant le rassure.

 

– Pas si vite… La soirée ne fait que commencer.

 

Les quatre convives se dirigent donc vers la table ronde de la salle à manger.

 

Simon dit à Philippe de venir avec lui dans la cave à vin pour choisir les vins pour accompagner le repas.

 

Philippe se plait à admirer les nombreuses bouteilles couchées! Il s’arrête sur des bouteilles de Pétrus. Simon le voit regarder les bouteilles et dit

 

– Ça c’est mon vin préféré! Ça coûte cher, mais c’est super bon !

– Oui, je sais

 

Philippe pointe plusieurs bouteilles et s’aperçoit de la qualité des vins dans la cave de Simon. Il aperçoit un Bordeaux St-Julien Léoville-Barton 1997 et un Château Margaux 1990 !

 

– Ça serait pas mal ces deux vins-là !

– Ouin, c’est aussi bien de les sortir, trop vieux ça sera plus bien bon! Et ça devrait aller avec la bouffe.

– Ça vient de la cave de ton ex-associé ?

– En plein ça, ce n’est pas le genre de vin que j’achète habituellement

– Tu achètes quoi d’habitude?

– Je laisse le marchand de vin de la SAQ faire les choix pour moi et Nicole fait le reste.

– Ta femme a bien des talents dans ce cas

– Ça, je peux le certifier !!!

 

Le repas, qui fut préparé par Nicole et Simon, se déroule normalement et l’alcool ne tarde pas à monter à la tête de chacun. La discussion devient de plus en plus frivole et quelque peu grivoise. Le principal sujet est bien évidemment le sexe. Marie et Nicole sont de vieilles copines d’enfance. À l’occasion de cette journée, d’anciens souvenirs leur remontent à l’esprit. C’est Nicole qui en parle la première.

 

– Tout à l’heure, pendant que vous étiez à la cave, j’ai remémoré un souvenir de ma jeunesse à Marie. Quand nous avions fait du camping entre copines.

 

Les deux gars se concentrent alors sur les propos de Nicole

 

– Ça fait une quinzaine d’année, si je ne me trompe pas?

– Oui, c’est ça. Quinze ans. Nous avions été en vacances chez ma grand-mère, près de la mer.

– On avait mis la tente dans la cour de ta grand-mère.

– Et nous avions dormi ensemble.

– C’est vrai.

– Et on s’était masturbées avant de s’endormir.

– J’avais oublié cela

– C’est si loin. J’avais oublié avant que Nicole m’en parle tout à l’heure.

– C’est notre branlette de cet après-midi qui me l’a rappelé. Je me suis souvenue que nous nous étions déjà masturbées mutuellement.

– C’est vrai. On avait essayé pour voir l’effet que ça fait.

– Oui. C’était agréable.

 

A suivre

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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:52

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 3 – Travaux pratiques

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Confidences

 

Une fois sortie de chez le psy, Marie rentre chez elle et attend le début de l’après-midi pour aller chez son amie. Bien qu’elle lui ait déjà tout raconté par téléphone, elle est impatiente d’en discuter à nouveau avec elle, d’autant plus que Nicole ne sait pas encore ce qui s’est passé chez le psy.

Il n’est que quatorze heures lorsque Marie sonne à la porte de Nicole. Elle a l’impression de revivre un de ses rêves. Pourtant tout est normal, elle porte une jupe et un chemisier, après vérification sa culotte et son soutien-gorge sont toujours présents. Son amie ouvre la porte, elle aussi est normalement habillée, dans une tenue assez proche de la sienne. Elle n’est pas à moitié déshabillée comme dans ses rêves. Tout ceci a l’air visiblement réel, ce qui la rassure. Nicole invite alors son amie à entrer.

 

– Tu m’as l’air pressée de me voir. Je me trompe ?

– Non, non, tu as raison. J’ai vraiment besoin d’en parler avec toi. Je me retiens de venir depuis ce matin.

– Suis-moi. Les enfants jouent en bas et dans le jardin, on va monter pour en discuter tranquillement.

 

Les deux femmes vont donc dans la chambre de Nicole et Simon. Marie s’assied dans un fauteuil tandis que son amie s’allonge sur le lit.

 

Nicole entame enfin la conversation.

 

– Alors ?

– Il est bizarre, ton patron.

– Je sais, mais il est très compétent.

– Vraiment ? Tu crois que ce qu’il m’a dit, c’est vrai ?

– Probablement, mais je ne sais pas ce qu’il t’a dit.

 

Marie commence alors le récit de sa matinée, détaillant point par point tout ce qui lui est arrivé. Une fois ceci terminé, Nicole reprend la parole, plutôt déconcertée.

 

– En effet, c’était grave. Mais si je comprends bien, je devrais participer à ton traitement…

– Comment cela ?

– Je suis dans tes rêves. Logiquement, tu devrais faire dans la réalité ce que tu as rêvé.

– Et laisser ton mari enculer le mien ?

– On n’a peut-être pas à aller jusque-là. Commençons par tes principaux fantasmes. Si j’ai bien suivi, c’est la nudité sous les vêtements et l’épilation du sexe.

– Exactement.

– Qu’en est-il réellement ? Tu n’as pas de culotte ?

 

Nicole se penche pour essayer de deviner ce qui se cache à l’entrejambe de son amie.

 

– Si, si, j’en ai une.

 

Marie écarte les jambes, dévoilant un tanga en dentelle noire que son amie peut entr’apercevoir. Ceci fait, elle reprend.

 

– Par contre…

– Oui ?

– Je m’épile le sexe.

– C’est vrai !!? Tu ne me l’avais jamais dit.

– On n’a jamais eu de conversation réellement très intime au niveau cul.

– En effet.

 

Un silence s’installe dans la pièce. Marie n’ose pas continuer à livrer ses pensées. Nicole s’en rend compte et décide d’aider son amie à se livrer.

 

– Mais encore ? J’ai l’impression que tu veux encore me dire quelque chose ?

– C’est vrai. Mais je n’ose pas.

– Vas-y, lance-toi !

– Je ne voudrais pas te choquer.

– Mais non. Ne t’inquiète pas. De toute façon, si mon patron a dit que c’était pour ton bien…

– Bon. Eh bien, voilà ! Je voudrais savoir ce qu’il en est pour toi.

– À quel sujet ?

– Les sous-vêtements et l’épilation.

– En effet, c’est une question difficile. Je vais te répondre simplement, je porte toujours des sous-vêtements et je ne me rase pas le sexe.

 

Marie a l’air déçue.

 

– Vraiment ? Pas du tout ?

– Je me fais le maillot quand même.

– C’est un minimum.

– Et toi, tu rases tout ?

– Ce n’est pas du rasage, mais de l’épilation électrique. C’est plus efficace, ça dure plus longtemps et je n’ai pratiquement pas de boutons. Et, en effet, je suis tout épilée.

– Même le pubis ?

– Complètement, je te dis.

– Et pourquoi tu l’as fait ?

– En fait, c’est Philippe qui le voulait. Au début, c’était pour faciliter le cunnilingus, sans les poils c’est bien plus agréable. Progressivement, on a enlevé de plus en plus de poils car la peau est plus douce et plus sensible aux environs du sexe, mais il faut débroussailler pour s’en rendre compte. Maintenant, je suis entièrement lisse et c’est comme cela que je préfère.

– Et Philippe aussi ?

– Non.

– Pourtant dans tes rêves, il est épilé.

– C’est vrai. Peut-être une envie refoulée. Et Simon ?

– Non plus.

– Je dois rêver que tout le monde est épilé parce que je le suis moi-même.

– Probablement.

 

À nouveau, le silence vient envahir la pièce. Mais cette fois-ci c’est Nicole qui n’ose pas parler. Marie reprend alors la parole.

 

– Tu veux me demander quelque chose ?

– Tu t’en es rendu compte ?

– Oui.

– En fait, je serais curieuse de voir ton sexe.

– Pourquoi pas ? Mais dans ce cas, tu fais de même.

– D’accord.

 

Marie se lève et passe les mains sous sa jupe pour en retirer son tanga. Nicole fait de même et retire à son tour une jolie culotte en dentelle blanche. Ceci fait, les deux femmes, face à face, soulèvent leurs jupes, chacune dévoilant ainsi à l’autre son intimité cachée. Le sexe totalement imberbe de Marie ne cache absolument rien de son intimité, le haut de ses lèvres étant parfaitement visible. Pour ce qui est de Nicole, ce n’est pas la même chose, la touffe de poils bruns qui recouvre son pubis cache son sexe encore mieux qu’une culotte. Elles s’observent de longues secondes, silencieuses et immobiles. C’est finalement Nicole qui reprend la parole en premier.

 

– Troublant.

– L’épilation ?

– Oui. Je ne pensais pas que ça pourrait me faire un tel effet. Tu sais quoi ? Je voudrais bien savoir l’effet que ça fait.

– Tu veux te raser ?

– Non… Ce que je voudrais, c’est te toucher.

– Vraiment ?

– Oui.

 

Pendant que Marie retire sa jupe, Nicole laisse retomber la sienne. Elle se penche alors, approche sa main du pubis de son amie. Elle est nerveuse, ses doigts tremblent. Va-t-elle oser ? Quelques centimètres encore à parcourir, ses doigts n’ont jamais été aussi près du sexe de son amie. Elle finit enfin par atteindre le pubis rasé de Marie. Ses doigts commencent à le caresser, ressentant le plaisir qu’il y a à caresser une peau bien lisse. Ses doigts s’hasardent un peu plus bas et atteignent le haut des lèvres. Nicole n’ose pas aller plus loin, elle est déjà en sueur sous l’effet de l’émotion. Elle se relève et s’assied sur le lit, les jambes tremblantes, tandis que son amie, dans un état assez proche, fait de même.

 

Côte à côte sur le lit, les deux femmes reprennent leur souffle, cela dure de longues secondes. Nicole est la première à reprendre la parole, elle est impatiente de partager ses impressions.

 

– Eh bien, dis donc ! Je n’aurais jamais cru que ça pouvait me faire un tel effet!

– Moi non plus.

– Quelle drôle de sensation, c’est difficile à décrire.

– J’avais honte, mais j’étais aussi très excitée.

– Pareil, mais je crois que l’excitation était la plus forte. J’ai senti que je devenais toute humide.

 

Marie porte la main à son sexe avant de lui répondre.

 

– Incroyable, je suis toute mouillée.

 

Nicole fait de même.

 

– C’est aussi mon cas.

 

Des cris émanant du jardin parviennent jusqu’à la chambre en passant par la fenêtre entr’ouverte. Ce sont les enfants de Nicole qui appellent leur mère, elle se lève et s’adresse une dernière fois à son amie avant de quitter la chambre.

 

– Je vais voir ce qui se passe en bas. Allonge-toi si tu veux. Tu m’as l’air assez pâle.

– Je ne sais pas si c’est le manque de sommeil où ce que l’on vient de faire, mais c’est vrai que je ne me sens pas très bien.

– Repose-toi un peu. J’en aurai peut-être pour un certain temps.

 

Nicole a quitté la chambre. Marie, qui n’a pas eu le courage de remettre son tanga et sa jupe, s’est allongée sur le lit. Elle s’efforce de reprendre ses esprits et de se décontracter. Ça y est, la thérapie du psy a commencé à être appliquée. Il fait beau, l’air est chaud, il est agréable de rester allongée à ne rien faire.

 

Quelques instants plus tard, Nicole est de retour. Marie est plutôt surprise car son amie s’est entièrement déshabillée.

– Qu’est-ce qui t’arrive ?

– Il faisait chaud, alors je me suis mise à l’aise.

– En effet, tu t’es vraiment mise à l’aise.

– À propos… J’ai bien aimé ton épilation… J’essaierais bien, moi aussi.

– Tu as un épilateur électrique ?

– Non, mais j’ai un rasoir et de la mousse.

– Ça ira, mais le poil repoussera plus vite.

– C’est juste pour essayer, mais j’ai peur de me couper, je n’ai pas l’habitude.

– Tu veux que je t’aide ?

– Je veux bien. Tu m’accompagnes à la salle de bains ?

 

Les deux femmes ressortent de la chambre et traversent le couloir en direction de la salle de bains. Nicole, complètement nue, est suivie de Marie qui ne porte plus que son chemisier. Nicole entre la première et se dirige vers un placard où elle prend une serviette ; elle va ensuite à un autre placard d’où elle sort un rasoir et de la mousse à raser. Elle pose le tout au bord de la baignoire et se retourne vers son amie.

 

– Bon. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ?

– Voyons… Assieds-toi au bord de la baignoire, ce sera plus pratique.

– D’accord.

 

Tandis que Nicole prend place à côté de la serviette, Marie fait couler de la mousse à raser dans le creux de sa main. Elle s’approche ensuite de son amie et commence à recouvrir sa toison pubienne. Le contraste entre les poils noirs et la mousse blanche est net, mais le blanc prend progressivement le dessus. Marie prend alors le rasoir en mains et commence son travail de débroussaillage. Les poils noirs disparaissent au fur et à mesure de l’avancement du travail. Simultanément, sa fente commence à apparaître. Marie lui fait bien écarter les jambes pour accéder aux moindres replis, et du coup le sexe de Nicole s’entrouvre sous les yeux de Marie qui parvient difficilement à cacher son excitation.

 

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Par deux fois, Marie remet de la mousse pour affiner le rasage. À la fin, il n’y a plus de contraste entre le noir et le blanc, tous les poils ont disparu, la peau est à nu. Nicole enjambe alors la baignoire et se rince l’entrejambe à l’aide de la pomme de douche. Son sexe est devenu imberbe, plus aucun poil ne cache ses parties les plus intimes, et ce pour le plus grand plaisir de son amie qui ne peut s’empêcher de lui dévorer le sexe des yeux. Marie prend la serviette et se charge elle-même d’essuyer son amie, une façon très intime de la caresser. Elle repose ensuite la serviette et, sans un mot d’explication, se met à caresser le pubis de son amie puis, descendant vers le sexe, elle lui parcourt la fente de haut en bas. Bien qu’elle se laisse faire, car cela est très agréable, Nicole est néanmoins surprise de ce traitement.

 

– Qu’est-ce qui te prend ?

– Rien. Je vérifie si j’ai bien travaillé.

 

Ses doigts se font plus précis, elle commence même à en faire pénétrer un à l’intérieur de la fente de son amie, à la recherche de son clitoris. Toujours aussi surprise, Nicole ne peut s’empêcher d’être gagnée par le plaisir qui monte en elle.

 

– Attends. Pas ici. Allons plutôt dans la chambre.

 

Marie, qui entre temps a déboutonné son chemiser, le jette négligemment sur le fauteuil. Elle se retrouve alors totalement nue car elle ne portait pas de soutien-gorge. Les deux jeunes femmes se place d’abord à genoux devant l’une et l’autre. De cette façon, chacune peut explorer à loisir le sexe de son amie avec leur main. Les petites caresses du début se transforment rapidement en masturbation prononcée, chacune introduisant d’abord un doigt dans la chatte de sa partenaire, puis deux, puis trois. N’y tenant plus, Marie se couche sur le dos et Nicole monte sur Marie et les deux femmes se mettent à se lécher mutuellement le sexe sans retenue en 69. Les langues remplacent les doigts, parcourant les lèvres avec fébrilité, titillant le clitoris, s’insinuant au plus profond de l’intimité. Tout à coup, Marie ressent une présence, elle tourne la tête, un garçon et une fille sont sur le pas de la porte, les enfants de Nicole sont en train de les observer. Surprise et honteuse, elle tressaillit, pousse un cri et ouvre les yeux. Elle est seule dans le lit, plus personne à la porte, elle porte à nouveau son chemisier, elle vient de se réveiller. Tout ceci n’était qu’un rêve. Encore un rêve !

 

Nicole arrive quelques instants plus tard.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive ? Je t’ai entendue crier.

– J’ai encore fait un rêve.

– C’était un cauchemar ?

– Non. C’était plutôt agréable. On était ensemble, je t’avais rasé le sexe et puis nous avons fait un 69 sur le lit.

– Et c’est pour ça que tu as crié ?

– J’ai rêvé que tes enfants nous avaient surpris.

– Ne t’inquiète pas, ils sont partis jouer avec les enfants de la voisine, c’est pour cela qu’ils m’appelaient.

– Bon… En tout cas, encore un drôle de rêve.

– Plutôt prémonitoire. J’avais justement l’intention de me raser le sexe.

 

Marie regarde le pubis de son amie, il a l’air largement moins fourni que tout à l’heure.

 

– Tu as déjà commencé ?

– J’ai enlevé le plus gros avec la tondeuse de Simon. Comme j’ai vu que tu dormais, j’ai préféré ne pas te réveiller. Mais je veux bien que tu m’aides pour le rasage.

 

Une fois dans la salle de bains, Nicole s’assied au bord de la baignoire. La serviette, la mousse à raser et le rasoir sont déjà sortis. Marie a l’impression d’avoir déjà vécu cette scène.

 

– C’est curieux, c’est presque comme dans mon rêve.

– Alors, fais comme dans ton rêve. C’est ce que mon patron t’a dit de faire.

– Tu es sûre ? Dans ce cas, il faut que je te lèche et que tu fasses de même.

– On verra bien jusqu’où on ira, mais on peut toujours commencer par le début.

– D’accord.

 

Marie reprend alors la bombe de mousse en main et en fait couler sur ses doigts. Elle étale ensuite la mousse sur la toison pubienne de son amie jusqu’à ce qu’elle ait recouvert tous les poils. Pendant cela, Nicole écarte les cuisses pour faciliter le travail de son amie. Ce faisant, elle lui dévoile encore plus profondément ses parties les plus intimes. Ses lèvres s’entrouvrent, dévoilant partiellement son clitoris et le reste de l’intérieur de sa fente. Troublée, Marie se ressaisit et prend le rasoir en main pour passer à la partie la plus importante, la suppression totale des poils pubiens de son amie.

 

Tout en maniant le rasoir, Marie demeure pensive.

 

– C’est troublant, cette impression de déjà-vu.

– Moi, c’est plutôt que tu me rases le sexe qui me trouble.

– Je comprends, j’avais aussi cette sensation dans mon rêve.

– À propos de tes rêves. Je suis descendue sans culotte tout à l’heure.

– Oui, et alors ?

– C’est très excitant. Évidemment les enfants ne se sont doutés de rien, la voisine non plus. Je sentais l’air passer sous ma jupe et me caresser le sexe. Jamais je n’avais ressenti cela jusqu’à présent.

– Et ça t’a plu ?

– Beaucoup. Je pense que je vais recommencer. La plote à l’air!!! Tu devrais essayer toi aussi. Je sais, je suis vulgaire quand je parle de cul!!!!

– Pourquoi pas…

 

Tout en discutant, Marie a fini de raser le sexe de son amie. Il est dorénavant aussi lisse que le sien, aussi lisse que dans son rêve. Va-t-elle aller plus loin et continuer à faire ce qu’elle a rêvé ?

 

– Voilà, ça y est. C’est fini.

 

Nicole porte la main à son sexe et commence par se caresser le pubis, puis les lèvres, elle s’introduit ensuite nonchalamment un doigt devant les yeux éberlués de son amie.

 

– C’est très agréable. Je sens que je vais aimer. Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es toute rouge.

– Je te fais remarquer que tu es en train de te masturber devant moi.

– Et alors, ce n’est pas ce qui s’est passé dans ton rêve ?

– Non, c’est moi qui te masturbais.

– Alors, fais-le.

– Ah non. Je ne veux pas. Je ne suis pas lesbienne!

– Ça rien à voir! C’est pour ton bien. Tu dois suivre ta thérapie.

– Pas ici. Retournons plutôt dans la chambre.

 

Arrivée dans la chambre, Marie retire son chemiser comme elle l’a déjà fait dans son rêve. La seule différence c’est que, cette fois-ci, elle porte un soutien-gorge qu’elle retire également. Une certaine appréhension la gagne.

 

– Tu es sûre que tes enfants ne risquent pas de débarquer sans prévenir ?

– Aucun risque, ils sont chez la voisine.

– Et ton mari, il ne risque pas de rentrer ?

– Pas à cette heure-ci.

– Tu penses que c’est nécessaire ?

– C’est fini d’angoisser ? Mon patron est un très bon psy. S’il t’a dit ça, c’est que c’est vrai.

– Mais je ne voudrais pas t’obliger à faire des choses que tu ne veux pas faire.

– Je ne me force pas. Si je le fais, c’est que j’en ai envie. Tu vas bientôt arrêter d’angoisser ? Relaxe-toi et allonge-toi.

 

Obéissant à son amie, Marie s’allonge sur le lit. Nicole se place à côté d’elle. Les deux femmes se regardent, Marie commence à se calmer. Nicole approche sa main du corps de son amie et commence à le caresser. Tremblante et hésitante, Marie fait de même. Sa main touche enfin la peau de son amie, puis ses seins et elle se met alors à parcourir son pubis rasé. Nicole écarte les jambes pour faciliter les caresses qu’elle reçoit. Marie fait de même, ce qui permet à son amie de laisser pénétrer le bout de ses doigts entre ses lèvres. Elle laisse Nicole enfoncer progressivement un de ses doigts plus profondément, puis un second. Tandis qu’elle est partie à la recherche du clitoris de son amie, cette dernière se décide enfin à découvrir l’intimité de sa partenaire de façon plus approfondie. Les deux femmes ont maintenant chacune deux doigts dans le sexe de l’autre.

 

Le temps s’écoule tranquillement. La chambre est calme, les enfants étant sortis il n’y a plus de bruits qui viennent du jardin. Les deux femmes peuvent profiter pleinement du temps présent en se masturbant mutuellement. Les mouvements se font plus rapides et plus profonds. De deux doigts, on passe à trois. La caresse du clitoris se fait plus insistante et précise. Les deux femmes ne cessent de laisser échapper des petits cris de jouissance. De leur main libre, elles se caressent le corps et les seins. La tension monte encore, les cris se font plus forts. Maintenant elles se caressent mutuellement les seins de leur main libre tout en continuant de se masturber de l’autre. Les bruits qui émanent de leurs sexes laissent deviner qu’elles sont complètement mouillées, d’ailleurs leurs mains ruissellent de leur jus intime. L’excitation est à son comble. Marie ne pense plus qu’à son plaisir et à celui de son amie. Par moments, des flashs fugaces lui rappellent brièvement des extraits de ses rêves passés et cela l’excite encore plus.

 

C’est trop, elle n’en peut plus, elle ne cesse de gémir et de crier, tant la sensation de jouissance traverse son corps de part et d’autre. Un dernier cri. Violent. Rauque. Brutal. La jouissance aura été totale. Elle gémit encore tandis que Nicole jouit à son tour. Elle non plus ne ménage pas ses cris de jouissance. Intenses. Bruts. Bestiaux. Ils emplissent la pièce. Heureusement, les enfants ne sont plus dans le jardin, ils auraient tout entendu.

 

Épuisées, les deux femmes restent allongées sur le lit de longues minutes, la main dans la main, le temps de reprendre leurs esprits et de retrouver leur souffle. Sortant de sa léthargie, Marie reprend la parole la première.

 

– Qu’est-ce que c’était bon !

– Extra. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui ainsi.

– J’ai quand même un peu honte. On a eu des rapports lesbiens et j’ai trompé mon mari.

– C’était nécessaire pour ta thérapie. On n’a jamais fait qu’appliquer un traitement médical. Une masturbation mutuelle, c’est pas si pire !!

– Tu n’as pas l’impression d’en faire trop ?

– Pour une fois qu’un traitement est agréable et gratuit…

– Ça doit être ce que l’on appelle de la médecine douce…

– Pour sûr.

– Je pense que je vais en parler à Philippe.

– Alors je mettrai aussi Simon au courant, c’est mieux.

 

Alors qu’elles sont en train de se rhabiller, Nicole se tourne vers son amie.

 

– Je crois que je ne vais pas remettre de culotte.

– Vraiment ?

– Oui. C’était trop agréable. Tu n’as qu’à essayer.

– Je ne sais pas. Je ne me sens pas prête.

– Tu dois le faire, c’est pour ton traitement.

 

Dans le même temps, Nicole subtilise le tanga de son amie avant qu’elle ait eu le temps de l’enfiler.

 

– Comme ça, tu devras rentrer le cul nu.

– Rends-le-moi !

– Plus tard. Venez donc manger ce soir à la maison.

– Pourquoi ?

 

Tout en s’expliquant, Nicole raccompagne son amie jusqu’à la porte d’entrée.

 

– Pour suivre ton traitement. Je vais aller déposer les enfants chez la baby-sitter, nous serons tranquilles pour la soirée. Tu ne mets pas de sous-vêtements, je n’en mettrai pas non plus.

 

Alors qu’elle est en train de réajuster son soutien-gorge, Marie s’inquiète.

 

– Et le soutien-gorge ?

– Non plus. On ne met pas de soutien-gorge.

– Ce sont nos maris qui vont être surpris.

– Moi, je pense surtout qu’ils vont être excités.

– Bon. Si tu penses que c’est ce qu’il faut.

– J’en suis sûre.

– Alors, à ce soir.

– A ce soir.

 

Les deux amies se séparent. Sur le trajet du retour, Marie ne peut s’empêcher d’être perplexe. Que va-t-elle faire ? Jusqu’où cela va-t-il aller ? En tout cas, ce qui est certain, c’est que se balader dans la rue le cul à l’air, c’est très agréable. Le vent qui passe sous sa jupe lui caresse sans cesse les fesses et le sexe. Nicole avait raison, une fois de plus…

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:49

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 2 – Le docteur Paradis

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Initiation

 

Une fois de plus, Marie est en pleine campagne. Comme d’habitude, l’inconnu est également présent, mais accompagné d’un jeune homme. Il s’adresse immédiatement à Marie.

 

– Je me doutais bien que vous passeriez à nouveau. Permettez-moi de vous présenter mon jeune frère.

 

Marie est inquiète, mais elle préfère jouer le jeu.

 

– Bonjour.

 

Le jeune homme lui répond timidement, n’osant la regarder en face.

 

– Bonjour, madame.

 

L’inconnu reprend la conversation.

 

– Mon frère est plutôt inexpérimenté en matière de sexe. Grâce à vous, je vais pouvoir lui montrer comment l’on fait. Déshabillez-vous.

– Êtes-vous fou!! ? Vous n’imaginez pas que je vais me laisser faire !

 

Pendant ce temps, le jeune frère a déjà commencé à se déshabiller. Avec ses cheveux blonds et sa peau pâle, on ne distingue pratiquement aucun poil sur son corps. C’est quand il retire son boxer-short que Marie constate qu’il n’a pas plus de poils sur le sexe que sur le reste du corps. Elle en fait part à l’inconnu.

 

– Mais ce n’est qu’un adolescent.

– Pas du tout, il est majeur. Mais la tradition familiale veut que l’on soit intégralement épilé le jour de son dépucelage.

– De toute façon, il est hors de question que je couche avec lui. Je ne me déshabillerai pas.

– Mais si, d’ailleurs vous êtes déjà à demi-nue.

 

En effet, Marie n’a plus ses vêtements. Elle ne porte plus qu’une culotte, un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Toute cette lingerie est de couleur noire, parfaitement assortie à la couleur de ses cheveux.

 

Surprise, elle ne sait que faire. Son regard se porte aux alentours, à la recherche d’une solution, mais tout ce qu’elle remarque c’est un lit qui est placé au bord du chemin. L’inconnu continue à donner des ordres.

 

– Maintenant, allez-vous allonger sur le lit.

 

Subjuguée et ne sachant que faire pour échapper à cela, Marie se résigne à se diriger vers le lit, accompagnée par le jeune homme. Elle est à peine allongée qu’il commence à la caresser. Très timide, il commence par les épaules, mais son grand frère lui prend les mains pour les placer sur les seins de Marie. Il se met alors à palper cette poitrine, première grande découverte pour lui. Il prend rapidement du plaisir à tripoter cette chair ferme et douce, son sexe en est la preuve, il grossit rapidement. Pendant ce temps, le bout des seins de Marie s’est également durci, ce qui ne manque pas de surprendre le jeune homme.

 

L’inconnu continue à diriger les opérations.

 

– Maintenant, vous allez le sucer pour le mettre en érection.

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Obéissante, Marie s’avance vers le jeune homme et se met à lécher ce sexe déjà bien raide et qui continue à se redresser sous l’effet de ses coups de langue. Elle le prend alors entièrement dans sa bouche et le suce sur toute sa longueur. L’effet est immédiat, le sexe imberbe du jeune homme finit de se raidir entre les lèvres de Marie. C’est ensuite à lui de se pencher vers elle, de retirer la culotte de Marie et de découvrir de sa langue le plaisir de lécher un sexe de femme. Marie a le pubis rasé, quelle douceur ! Les lèvres entrouvertes, quel délice ! Toujours en érection, il semble réellement apprécier ce qu’il fait. Il titille le clitoris et insinue sa langue au plus profond de son intimité. Visiblement aussi excités l’un que l’autre, ils optent rapidement pour une position de 69 afin de se donner mutuellement du plaisir, Marie se retrouvant au-dessus.

 

Le jeune homme n’est pas expérimenté et son grand frère le sait bien. Il est grand temps qu’il passe à autre chose avant d’être victime d’une éjaculation précoce. L’inconnu sort de sa poche un préservatif qu’il donne à Marie.

 

– Vous savez comment faire???

 

Ne discutant pas les ordres qu’elle reçoit, elle sort la capote de son emballage et la déroule consciencieusement sur le sexe en érection du jeune homme. L’inconnu continue de donner ses directives mais, cette fois-ci, il s’adresse à son frère.

 

– Maintenant tu te places sur la dame et tu rentres ton sexe dans le sien. Ensuite, tu fais des allers et retours, comme tu as vu sur la vidéo que je t’ai prêtée.

 

Marie s’allonge sur le dos, prête à recevoir en elle le sexe du jeune homme, tandis que celui-ci vient se placer sur elle en position du missionnaire. Après quelques essais infructueux, il parvient enfin à s’insérer en elle. Il commence alors des mouvements de va-et-vient, d’abord timidement, sans doute par peur d’une sortie inopinée, mais l’assurance le gagne rapidement et il augmente alors l’amplitude de ses mouvements, la pénétrant de plus en plus profond. Marie commence même à ressentir du plaisir et à gémir sous l’effet de ces coups de bite, mais pas longtemps… Le jeune homme inexpérimenté jouit rapidement. Il se retire alors, ôte la capote et la confie à son frère. Ce dernier observe le contenu du préservatif avec intérêt, admiratif.

 

– Fort bien.

 

Puis il s’adresse à Marie.

 

– Voulez-vous goûter ?

– Non merci, sans façon.

– Alors, je vous remercie de votre collaboration. Vous pouvez disposer.

 

Sans plus attendre, Marie les quitte, espérant arriver au plus vite chez son amie. Quand elle arrive devant la maison, elle est à nouveau habillée. C’est Nicole qui lui ouvre et elle l’invite sans plus d’explications à la suivre jusqu’au salon. La stupéfaction de plein fouet lorsqu’elle découvre ce qui est en train de se passer sur le divan. Son… son mari est en train de sucer le mari de son amie.

 

– Mais, chéri, qu’est-ce que tu fais ?

 

Philippe lui répond comme il peut, le sexe de Simon dans sa bouche le gênant quelque peu pour parler.

 

– Commmm uh ois, ze uce Imon. (Comme tu vois, je suce Simon)

 

Sortant la queue de Simon de sa bouche, il ajoute;

 

– Tu n’as pas voulu le faire, alors je suis pris pour le faire à ta place.

– Mais enfin, ce n’était pas la peine !

– Si, c’est une question d’honneur.

– Ça pas de bon sens!

– Pas du tout, c’est très important.

 

On sonne alors à la porte et Nicole s’absente pour aller ouvrir. Quand elle revient, elle est accompagnée du jeune homme qui a fourré Marie au beau milieu des champs.

 

– Je vous présente mon neveu.

 

Marie en est surprise et le jeune homme s’en rend compte.

 

– Mon frère vient de m’expliquer comment effectuer une sodomie.

– Et alors ?

– Il m’a dit que vous pourriez à nouveau être ma partenaire.

 

Marie est outrée.

 

– Et puis quoi encore ? Une fessée ? Et devant mon mari en plus !

 

C’est alors ce dernier qui prend la parole.

 

– Justement, il faut bien qu’il apprenne. J’aimerais bien voir comment il y s’y prend, ce petit jeune. Tu es tellement serrée du cul que ce n’est pas toujours facile.

 

Puis, se tournant vers le neveu.

 

– Mais si tu en as une moins grosse que moi, ce sera plus facile.

 

Nicole se lève pour faire de la place à son amie.

 

– Vas-y, installe-toi là, tu seras mieux.

 

Sans trop savoir ce qu’elle fait, Marie se met à quatre pattes sur un des sièges qui fait face au divan. Nicole soulève la jupe de son amie, qui ne porte pas de culotte.

 

– Tu es toujours aussi salope, toi. Toujours prête à recevoir un coup.

– Mais non. Ce n’est pas vrai. Ne l’écoute pas, mon chéri. Je ne t’ai jamais trompé.

 

Il lui répond nonchalamment, la bite au coin de la bouche.

 

– Ce n’est pas grave, du moment que je suis au courant et que je connais ceux avec qui tu es.

 

Marie n’a pas le temps de lui répondre. Le neveu est déjà derrière elle et il lui introduit un doigt dans le cul sans plus attendre. Surprise, elle ne peut réfréner un cri. À peine a-t-elle le temps de s’habituer qu’il lui introduit un second doigt. Pendant ce temps-là, Nicole le suce pour le mettre en érection puis lui déroule un préservatif sur le sexe. Dès qu’il a atteint la raideur nécessaire, le neveu présente sa bite à l’entrée d’un trou arrière de Marie et s’introduit progressivement. Le troublant mélange de plaisir et de douleur qu’elle ressent la fait gémir malgré elle.

 

Simon regarde cette scène avec envie.

 

– Quel petit veinard, ton neveu, ma chérie.

 

Philippe lève les yeux vers son ami.

 

– Pourquoi ? Tu veux m’enculer ?

 

– Je dois avouer que ça me plairait bien.

 

Aussitôt, Philippe se retourne et se met en position pour recevoir la bite de son ami dans son cul. Sans plus attendre, Simon présente son sexe en érection face à l’anus de son partenaire et commence à appuyer pour en ouvrir le passage. La dilatation se fait progressivement, et au bout d’une minute Simon peut enfin faire pénétrer sa bite dans le fondement de son ami. Encore quelques efforts pour y pénétrer le plus profondément possible. Simon commence ses mouvements de va-et-vient, pénétrant son ami à grands coups de bite.

 

Restée seule, Nicole se masturbe tout en regardant ses amis en train de se faire enculer. Cela ne dure pas très longtemps, Simon a déjà été sucé pendant pas mal de temps et le jeune homme encore inexpérimenté n’arrive pas à se contenir longtemps. Les deux hommes jouissent donc presque en même temps, remplissant de foutre les entrailles de leurs partenaires.

 

Emportée par son plaisir, Marie ressent une jouissance qui la réveille. Le réveil affiche 6 h 30, le jour est en train de se lever. Elle porte la main à son sexe, il est encore trempé. Encore tout excitée par son rêve pervers, elle s’introduit deux doigts et commence à se masturber. Il ne lui faut pas dix secondes pour jouir encore une fois, une jouissance forte et intense qui lui arrache un grand cri qui semble résonner dans toute la maison.

 

– Eh bien… heureusement que les enfants sont en vacances chez les beaux-parents.

 

Ne souhaitant plus se rendormir, elle préfère se lever et va à la salle de bains prendre une douche fraîche qui achève de la réveiller pour de bon. La nuit aura été agitée, Marie espère bien que la journée sera plus calme.

 

Une heure a passé, mais Marie n’a toujours pas fini de se réveiller, ce qui devrait pourtant être le cas après une douche et le petit déjeuner. Juste vêtue d’une robe de chambre, elle quitte la cuisine et se dirige vers le salon tout en emportant le téléphone sans fil. Elle s’affale sur le canapé et compose un numéro de téléphone. Avec un pied sur le canapé et l’autre au sol, ses cuisses sont largement écartées. Sa robe de chambre s’ouvre et ne cache ainsi rien de ses seins et de son sexe intégralement épilé.

 

Son correspondant décroche enfin, il s’agit de son amie Nicole.

 

– C’est Marie, je ne te dérange pas ?

– Non, comment vas-tu ?

– J’ai passé une nuit atroce à faire des rêves bizarres.

– De quel genre ?

– C’est un peu spécial comme rêve. Très sexy. En plus tu étais dedans et ton mari aussi.

– Raconte, ça m’intéresse.

– Ok, si ça ne te gêne pas.

 

Marie lui raconte alors tous les rêves qu’elle a faits durant la nuit. Ce faisant, elle se masturbe machinalement tout en les racontant. La sensation de douceur de sa chatte rasée la porte a laissé sa main entre ses cuisses. De temps en temps, elle se rend compte qu’elle est en train de se caresser le sexe et s’interrompt alors, honteuse. Malgré tout, ses doigts retournent peu après explorer son intimité, presque malgré elle.

 

À la fin, Nicole reprend la parole

 

– Très excitants, tes rêves. Tu n’en aurais pas encore d’autres à me raconter ? Je me suis même caressée en t’écoutant.

– Toi aussi ? Heureusement que l’on était au téléphone.

– En effet…

– Bon. Eh bien, qu’est-ce que tu en penses ?

– Tu devrais aller voir un psy. Ça tombe bien, tu sais où je bosse. Je t’aurais bien pris un rendez-vous avec mon patron, mais je suis en vacances. Tu n’as qu’à appeler de ma part, ma remplaçante saura bien te trouver une case de libre dans la matinée.

– D’accord. Et je peux passer te voir cet après-midi ?

– Bien sûr, passe quand tu veux.

 

Après avoir raccroché, Marie s’arme de courage et compose le numéro de téléphone du cabinet du psychiatre. Elle parvient à obtenir un rendez-vous pour dix heures.

 

Le psy

 

Dix heures moins cinq. Marie sonne chez le psy. Une jolie fille aux longs cheveux blonds bouclés, vêtue d’une blouse blanche, avec de belle courbe au niveau de la poitrine, vient lui ouvrir la porte. Certainement la remplaçante de son amie Nicole. Elle fait entrer Marie et l’installe dans la salle d’attente.

 

Quelques minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvre. Un homme assez grand, un peu rond, l’air d’un bon bonhomme, apparaît et invite Marie à entrer. Ses cheveux complètement rasés le font ressembler à Kojak, une paire de petites lunettes fines lui couvre ses yeux. Il a la face ronde, la bouche souriante et les murs de son bureau sont couverts de livres. Il se présente;

 

– Bonjour, je suis le docteur Paradis, si vous le permettez, je vais vous parler un peu de moi et de mon approche et si cela vous convient on poursuivra la séance avec ce pourquoi vous êtes ici aujourd’hui.

 

Le médecin psychiatre fait alors une courte présentation de son vécu et de ses connaissances! Une fois que Marie lui eut donné son accord pour poursuivre, il lui demande de se mettre à l’aise et de s’asseoir sur le divan tandis qu’il engage la conversation en s’asseyant dans un fauteuil à côté d’elle.

 

– Vous êtes une amie de mon assistante, c’est bien cela ?

– Oui. Comment le savez-vous ?

– Elle m’a appelé pour que je prenne bien soin de vous.

– C’est gentil à elle.

– En effet… Alors, si vous me racontiez ce qui vous amène ?

 

Marie recommence son récit. Le même qu’elle a raconté il y a peu de temps à son amie.

 

Quand elle a terminé son récit, le psy se lève, marche vers elle et reprend la parole.

 

– Ce que vous avez n’est pas bien grave. Juste des fantasmes refoulés. Il faut faire quelque chose, sinon ils vont se transformer en obsessions et il sera encore plus difficile de les traiter.

– Et que faut-il faire ?

– Laisser libre cours à vos pulsions.

– Mais je n’oserai jamais.

– Vous en avez déjà parlé à deux personnes, c’est mieux que rien. Votre mari est-il également au courant ?

– Pas du tout. Vous pensez bien que je n’oserais jamais lui confesser de telles choses. Je n’imagine pas qu’il accepterait d’avoir des rapports avec un autre homme.

– Qu’en savez-vous ?

 

Marie marque un temps d’arrêt, pensive.

 

– En effet, je n’en sais rien.

– Il ne faut jamais juger les gens sans bien les connaître. Comment va votre vie de couple ?

– Nous nous entendons très bien.

– Je parle sexuellement.

– Rien de spécial.

– Vous vivez ensemble depuis combien de temps ?

– 10 ans.

 

Le ton du psy se fait alors plus grave.

– Vous êtes en train de passer un cap. Si vous ne savez pas le négocier, vous allez au-devant d’une crise grave.

– Et qu’est-ce que je dois faire ?

– Anticiper sur les problèmes. Aller de l’avant. Prendre l’initiative.

– C’est-à-dire ?

– Vous devez parler de ce rêve à votre mari. Vous avez besoin de vous épanouir sexuellement.

– Jamais je n’oserai.

– Je vais vous y aider.

 

Le psy vient se placer derrière elle, il pose la main sur les yeux de Marie tout en continuant à parler.

 

– Respirez calmement… Laissez vos yeux fermés…

 

Il retire sa main et se met à lui masser délicatement les tempes, puis la nuque.

 

– Ça va mieux ?

– Oui. Je me sens plus calme.

– C’est très bien. Vous pouvez rouvrir les yeux. Comment vous sentez-vous ?

– Bien.

 

Le psy fait à nouveau le tour du canapé et s’assied dans un autre fauteuil, face à Marie.

 

– Nous allons maintenant revenir sur divers points qui semblent jalonner vos rêves avec une telle régularité qu’ils pourraient bien finir par être obsessionnels. Tout d’abord votre tenue. Vous vous retrouvez régulièrement sein nue ou sinon vous ne portez pas haut, et si vous en avez un ce sont vos sous-vêtements qui font défaut. Est-ce quelque chose de fréquent chez vous ?

– Absolument pas.

– Vous n’avez jamais essayé ?

– Non.

 

Tout en continuant à parler, le psy penche la tête pour mieux observer les seins de Marie.

 

– Pourtant vous n’en portez pas aujourd’hui.

– Ce n’est pas possible.

– Puisque je vous le dis.

 

Marie se penche la tête pour vérifier. En effet, elle ne porte rien sur le haut. Ses seins sont complètement à l’air et entièrement dévoilé aux yeux du psy.

 

– Je ne comprends pas. Je suis confuse.

– Ce n’est pas grave. Dites-moi plutôt ce que vous ressentez en ce moment.

– Je suis troublée, je me sens bizarre.

 

Il s’approche alors très près d’elle, au plus près de son intimité.

 

– Et si je regarde vos seins avec insistance comme je le fais ?

– J’ai honte de le dire, mais j’en ressens du plaisir.

– Écartez les bras derrière la tête.

 

Sans se poser de question, Marie obéit. Le psy peut maintenant voir en détail toutes les formes des seins de la jeune femme, ses mamelons et les rondeurs de ses boules. Le bout de ses seins durs dévoile son excitation. Le psy se relève et reprend.

 

– Vous êtes tellement excitée que je suis certain que vous commenceriez à mouiller si je continuais à vous regarder.

– Peut-être bien.

– Vous pouvez vous masturber si vous voulez et vous caresser les seins aussi.

 

Sans plus attendre Marie s’introduit un doigt dans la chatte et caresse un de ses seins avec son autre main, et portant le bout de son sein à sa bouche. Il ne lui faut que quelques caresses sur sa chatte et quelques coups de langue sur son sein pour jouir bruyamment devant le praticien.

 

Le psy se relève, passe derrière elle et recommence à lui masser le cou tout en continuant la conversation.

 

– Le sexe rasé, c’est aussi une constante dans vos rêves. Êtes-vous épilée au niveau du sexe?

– Oui

– C’est par désir personnel ?

– À l’origine, c’est mon mari qui me l’a demandé. Mais je dois avouer que j’ai vite apprécié le confort que cela procure.

– Et votre mari, il s’épile aussi ?

– Pas du tout.

– Et vous trouvez cela normal ?

– Je ne me suis jamais posé la question.

– Vous êtes plutôt du genre soumise.

– Vous croyez ?

– Tout à l’heure, quand je vous ai dit d’écarter les bras, vous avez obéi sans discuter.

– Oui, mais j’étais très excitée, j’en avais envie mais je n’osais pas le faire.

– Vous venez à l’instant d’expliquer l’origine de vos rêves : des envies que vous n’osez pas faire aboutir.

– Vous croyez ?

– J’en suis certain.

 

Le psy commence à élargir le cercle de ses massages. Ce n’est plus seulement le cou, mais aussi les épaules dont il s’occupe. Les mains de l’homme se font plus précises, elles commencent à descendre vers la poitrine. Il finit enfin par atteindre le bout des seins. Il lui pétrie les seins. Marie, qui ne porte pas de culotte sens sa chatte devenir de plus en plus mouillée, et lorsqu’elle s’en rend compte, elle esquisse une plainte.

 

– Mais enfin, que faites-vous ?

– Je vous caresse.

– Je vois bien, qu’est-ce qui vous prends ?

– C’est pour votre thérapie. Si vous ne vous débattez pas, c’est que vous êtes consentante ou soumise. Vous appréciez ?

– Oui.

– Bien. Retirez donc votre jupe .

– Mais je vais me retrouver toute nue !

– Si vous ne voulez pas le faire, ne le faites pas.

 

Marie obéit malgré tout et retire les vêtements qui barraient encore la vue sur son corps dénudé. Elle se retrouve complètement nue, allongée sur le divan. Le psy se penche sur son bureau et décroche le téléphone pour faire venir son assistante. La jeune fille entre dans la pièce et, à la demande de son patron, va se placer de l’autre côté du divan. Ensuite, il reprend sa conversation avec Marie.

 

– D’après-vous, comment serait habillée mon assistante dans vos rêves ?

– Vu mes obsessions, je suppose qu’elle ne porterait pas de sous-vêtements et qu’elle aurait de beaux seins ferme et rond et qu’elle aurait le sexe épilé.

 

Le psy se tourne vers son assistante.

 

– Mademoiselle. Si vous voulez bien retirer votre blouse…

 

La jeune fille s’exécute et défait les quelques boutons qui maintiennent sa blouse fermée. Dès que celle-ci s’entrouvre, Marie entrevoit les gros seins ronds de la femme et le sexe de l’assistante. Celui-ci est épilé comme elle s’y attendait et, s’il est visible, c’est évidemment qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle ouvre ensuite entièrement sa blouse et la laisse tomber à ses pieds. En fait, l’assistante n’est pas intégralement nue sous sa blouse. Elle porte un porte-jarretelles assorti et une paire de bas blancs.

 

Tandis que son assistante reste debout les mains dans le dos à les regarder, le psy s’approche à nouveau de Marie et reprend ses caresses. Il lui parcourt le corps entier, de la tête aux pieds, n’hésitant pas à lui caresser les seins et même le pubis, mais n’allant jamais jusqu’à lui toucher le sexe. Tout en continuant ses caresses, il demande son avis à Marie.

 

– Vous aimez ?

– Oui, beaucoup.

– Vous voulez que je continue ?

– Oui.

– Vous en voulez plus ?

 

En guise de réponse, Marie laisse retomber chacune de ses jambes d’un côté du divan. Cela a pour effet d’ouvrir généreusement ses cuisses et de dévoiler ainsi complètement son sexe entrouvert. Le psy s’agenouille au pied du divan pour se rapprocher au plus près du pubis de Marie. Il lui lèche alors consciencieusement le sexe, parcourant toute la fente, les lèvres, le clitoris et allant même jusqu’à introduire sa langue au plus profond de l’intimité de la jeune femme.

 

– Visiblement vous aimez, vous êtes trempée tellement vous mouillez.

– Oui, c’est vrai. Continuez donc.

– Non, c’est mon assistante qui va me remplacer.

 

La jeune femme enjambe le divan et se place sur Marie en position de 69. Les deux femmes se mettent aussitôt à se lécher le sexe avec application. Pendant ce temps-là, le psy ouvre sa braguette et en sort son sexe, déjà à moitié en érection. Il commence à se masturber tout en regardant les deux femmes se manger. Marie regarde le psy se masturber, et le fait de sentir que le docteur est excité par ce qu’elle fait avec l’assistante lui fait augmenter son plaisir encore plus!

 

Elles ne tardent pas à jouir tandis que le psy continue à s’astiquer le manche. Dès que les deux femmes ont émergé de leur plaisir, l’assistante se relève et retourne se mettre debout à côté du divan. Marie reste les jambes écartées devant le psy qui se branle toujours en la regardant. Quelques instants plus tard il jouit à son tour, son sperme gicle sur elle, lui recouvrant le ventre et la poitrine de grands traits d’un épais jus blanc. Il se tourne vers son assistante et en quelques mots lui fait comprendre ce qu’il attend d’elle, son regard désignant clairement sa braguette.

 

– Mademoiselle, s’il vous plaît, dit-il en pointant du doigt sa queue.

 

La jeune femme s’avance aussitôt, s’accroupit et embouche le sexe de son patron pour le nettoyer. Ceci fait, elle se tourne vers Marie, se penche sur son ventre et lèche également tout le sperme disséminé sur son corps.

 

Marie s’insurge alors.

 

– Vous n’avez pas honte ? Traiter ainsi votre assistante !

– Je n’en suis pas responsable, c’est elle qui insiste pour tout avaler, elle aime cela!

– Et sinon, comment feriez-vous ?

– Comme cela.

 

Le psy s’avance vers sa patiente, se penche sur sa poitrine et commence à son tour à lécher le sperme qui y a coulé, son propre sperme. En se partageant chacun la moitié du travail, le psy et son assistante finissent rapidement leur tâche de nettoyage en léchant longuement les seins de Marie.

 

L’assistante quitte alors le bureau tandis que le psy repasse derrière Marie pour lui masser la nuque.

 

– Voilà, c’est terminé. Comment allez-vous ?

– Vous osez me demander cela ? Espèce d’obsédé !

– Calmez-vous et regardez, vous êtes habillée.

 

En effet. Marie n’est plus nue.

 

– Qu’est-ce qui s’est passé ?

– Vous venez de subir une séance d’hypnose.

– Il ne s’est donc rien passé ?

– Rien du tout. Enfin presque rien : vous m’avez tout raconté et vous n’avez pas arrêté de vous caresser.

– Je me suis caressée ?

– Oui. Et tout particulièrement les seins et le sexe.

 

Entendant cela, Marie se met à rougir. Le psy s’en rend compte et la rassure.

 

– Ne vous mettez pas dans un tel état. Votre comportement sous hypnose est tout à fait normal, enfin disons qu’il est désinhibé. Votre éducation, probablement assez stricte, vous a inculqué des valeurs qui ne sont pas compatibles avec une vie sexuelle parfaitement épanouie. Par exemple, l’influence de vos parents, qui poussent souvent les filles à être de parfaite petite fille tranquille ou à s’habiller comme une belle petite poupée gentille, sont des choses qui influencent le comportement. Ou encore en vous donnant le bain, la façon dont votre mère a pu vous regarder ou vous dire de laver votre vulve, peut venir influencer votre vie et vos relations sexuelles. Ceci a pour effet que par le biais de vos rêves, vous laissez échapper ce trop-plein de sensualité. C’est la première fois que vous avez ce genre de rêves ?

 

– Je ne sais pas trop. Certainement pas depuis des années, mais cette fois-ci, c’était tellement intense et réaliste.

– Vos fantasmes ont évolué avec le temps. Ils se sont exprimés cette nuit suite à un changement de situation.

– Mon mari était à l’extérieur cette semaine, il rentre ce soir. Les enfants sont chez leurs grands-parents depuis hier. J’étais donc seule à la maison cette nuit.

 

– Et cela fait longtemps que ça n’est pas arrivé ?

– C’est la première fois depuis la naissance du plus grand. Il a six ans.

– Vous imaginez donc tous les fantasmes qui ont dû s’accumuler en vous sans jamais pouvoir s’exprimer ni en rêve, ni dans la réalité. Cette nuit, le retard a été rattrapé, d’où l’intensité de ces rêves.

– Donc cela ne risque pas de se reproduire tant que je ne dormirai pas seule à la maison.

– Probablement. Mais ce n’est pas sans danger, vos fantasmes vont recommencer à s’accumuler. Vous allez ressentir une sensation de frustration intérieure grandissante. Tout cela peut mener à une rupture violente.

 

Marie commence à s’inquiéter.

 

– Et qu’est-ce que vous me conseillez ?

– Laissez libre cours à vos fantasmes.

– Mais je ne peux pas. C’est inconvenant.

– C’est votre éducation qui vous l’a présenté ainsi. Vos premiers fantasmes seront toujours anodins, puis ils deviendront de plus en plus pervers si vous les refoulez. Si vous ne vous laissez pas aller tout de suite, vous pouvez fort bien ressentir dans quelques mois des pulsions sado-masochistes. Comme celles-ci sont assez faciles à concrétiser, par exemple lors d’une scène de ménage, vous risquez de dévier vers ce genre de penchant.

– Vous me faites peur.

– Je m’en doute bien, mais c’est le but. Je préfère prévenir que guérir, il n’est pas trop tard pour prendre les devants et adopter une attitude volontaire.

– C’est-à-dire ?

– Laissez libre cours à vos fantasmes. Commencez par les plus anodins. Si cela suffit, tant mieux, mais je pense que vous serez tentée d’aller plus loin. Le tout c’est de trouver le juste milieu. Si vous allez trop loin, vous risquez aussi la rupture, mais cette fois-ci cela viendra de votre mari. Le mieux est de tout lui raconter.

– Je n’oserai jamais.

– Vous l’avez bien raconté à Nicole.

– C’est ma meilleure amie. On se dit tout.

– Vous n’aurez qu’à faire de même avec votre mari. De toute façon, j’ai profité de votre hypnose pour vous retirer plusieurs blocages qui empêchaient toute solution.

– Vous voulez dire que vous m’avez désinhibée ?

– Je n’irai pas jusque-là, c’est à vous de faire le chemin qui libèrera votre moi émotionnel. Ce que j’ai fait, c’est retirer les barrières qui s’étaient dressées en travers de ce chemin.

– Bien. Et maintenant ?

– La séance est terminée. Rentrez chez vous. Reposez-vous. Le cas échéant, passez voir Nicole et discutez-en avec elle. Le plus important est que vous vous prépariez pour ce soir, votre mari doit être mis au courant et accepter vos fantasmes.

– Merci, docteur. Au revoir.

– Au revoir.

 

Marie, inquiète et dubitative, quitte le cabinet. Que faire ? Comment le faire ? En repassant devant le bureau de l’assistante, elle ne peut s’empêcher d’observer la tenue de la jeune femme. On distingue aisément un chemisier sous sa blouse, elle n’est donc pas aux trois-quarts nue comme dans son rêve. Cela la rassure, mais en même temps une sensation curieuse l’envahit, probablement parce qu’elle a essayé de voir les dessous d’une autre femme. Encore un de ses fantasmes ? Si maintenant ceux-ci l’envahissent également en pleine journée, cela va rapidement tourner à l’obsession. Finalement, la thérapie proposée par le psy serait peut-être bien la moins mauvaise des alternatives.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 17:44

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 1 – Les trois premiers rêves

bisou1719

 

 

Un premier rêve

 

Dans une rue déserte de la banlieue de Montréal, une jeune femme marche sans but précis. Elle ne sait pas où elle est mais, ce qui est pire, c’est qu’elle ne sait pas non plus où elle va. Malgré tout, elle continue à marcher, espérant peut-être finir par arriver à un endroit qu’elle connaît. Ses cheveux bruns ondulés bougent au rythme de ses pas, elle est habillée d’un chemisier clair, d’une jupe noire et de chaussures à talons. Son errance l’amène à un carrefour, elle tourne au coin, c’est une voie sans issue mais une barrière permet d’entrer dans un grand parc arboré. Elle marche encore, traverse le parc et se retrouve soudainement à la campagne. C’est surprenant, car plus aucune trace de la ville n’est visible. L’endroit est calme et silencieux, totalement désert. Il n’y a autour d’elle que de grands champs plats et déserts. Elle continue à avancer droit devant elle sans but précis, sur un chemin de terre.

 

Soudain, quelqu’un l’aborde. D’où est-il venu ? Elle n’a pas le temps de se poser la question car cet inconnu engage immédiatement la conversation.

 

– Vous cherchez quelque chose, madame ?

– Je ne sais pas, je crois que je me suis perdue.

– Ça ne m’étonne pas, tout le monde se perd par ici… Avancez tout droit jusqu’à la fontaine et vous retrouverez votre chemin.

– Mais je suis où, là ?

– Le nom ne vous dirait rien. Mais je peux vous le situer par rapport à un village que vous connaissez.

– Je ne sais même pas d’où je viens.

– Allez à la fontaine, vous saurez alors où aller.

– Merci.

 

Marie reprend sa marche à travers champs. Heureusement pour elle, le sol est sec, car ses chaussures à talons ne sont pas très pratiques sur ce genre de chemin. Rapidement, des habitations réapparaissent, elle arrive alors sur une petite place au milieu de laquelle il y a bel et bien une fontaine, ce qui la rassure.

 

– Ça y est, j’y suis arrivée. Mais je ne sais toujours pas où je voulais aller.

 

Elle prend une rue au hasard. Et c’est alors qu’elle réalise où elle est.

 

– Voilà, je reconnais, je vais arriver chez Nicole.

 

Continuant sa marche dans la rue, elle finit par arriver une centaine de mètres plus loin devant le pavillon de son amie. Elle ouvre le portillon, traverse le jardin et va frapper à la porte d’entrée.

 

Quelques instants plus tard, une autre jeune femme entrouvre la porte. Ses cheveux bruns en désordre et ses yeux mi-clos donnent l’impression qu’elle vient de se réveiller. C’est bien son amie Nicole, ce qui ne manque pas de la rassurer. Par contre, ce qui la surprend, une fois la porte grande ouverte, c’est que son amie n’est vêtue que d’un pantalon. Celui-ci lui arrive au nombril, le haut de son corps est nu. Marie, bien que surprise, voire même choquée, ne peut s’empêcher de porter son regard sur les seins de son amie. Ceux-ci sont nus, bien fermes et ronds, avec des petits mamelons mais des gros bouts.

 

Nicole l’accueille ainsi, sans la moindre gêne.

 

– Bonjour, Marie. J’ai cru que tu avais un empêchement, je me suis même assoupie en t’attendant.

– Je suis venue à pied et me suis perdue.

– Tu ne sais plus venir ici ? Tu n’habites pourtant qu’à deux coins de rue.

– Oui, mais j’ai fait un détour.

 

Pensive, Nicole regarde son amie.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as l’air troublée.

– Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tu es toute nue.

– Pas du tout, je porte un pantalon.

– Mais tu ne portes rien en haut.

– Toi non plus.

– Quoi ?

 

Marie ne comprend pas mais, tout en répondant, elle penche la tête vers ses seins et se rend alors compte qu’elle n’a plus ni chemisier, ni soutien-gorge, mais qu’elle a cependant conservé sa jupe et sa culotte et ses bas auto-fixants. Ses seins sont gros, doux, à faire baver tous les hommes.

 

Sans réellement comprendre ce qui s’est passé, Marie commence à s’inquiéter tout en essayant pudiquement d’abriter ses seins derrière ses mains.

 

– J’ai dû perdre mes vêtements dans la rue, je vais aller les rechercher.

– Laisse tomber, je vais te prêter quelque chose. Entre donc.

 

Nicole s’absente pour aller chercher un vêtement. Pendant ce temps, Marie se balade à moitié nue dans le hall d’entrée, attendant un peu gênée le retour son amie. Quelques instants plus tard, Nicole redescend du premier étage, toujours les nénés à l’air. Elle rapporte un t-shirt qu’elle donne à Marie.

 

– Tiens, essaye cela. Ça devrait t’aller.

 

Marie enfile le t-shirt tout en restant debout. Elle lève les bras en l’air pour l’enfiler et une fois mis, le t-shirt fait ressortir encore plus ses seins. Pendant ce temps, son amie en profite pour observer chacun des mouvements que font ses seins. Marie sent bien où le regard de son amie se porte, elle pourrait se retourner pour se cacher d’elle, mais elle n’ose le faire de peur de la vexer. C’est pour cela qu’elle préfère rester face à Nicole pendant qu’elle se rhabille.

 

Après quelques ajustements, Marie semble presque satisfaite.

 

– Ça me va bien. Tu n’aurais pas un soutien-gorge à me passer aussi ?

– Je n’en mets jamais, tu le sais bien.

– Ah bon ? Je ne me souviens pas que tu me l’aies dit.

 

Tout en discutant, les deux femmes se dirigent vers le salon.

 

– Ce n’est pas grave. Assieds-toi et raconte-moi ce qui t’amène ici.

 

Marie s’assied sur le sofa, à côté de son amie. Ce faisant, le t-shirt lui fait montrer la fente de ses seins. La forme de ses seins se retrouve alors largement dévoilé. Marie ne semble pas y prêter attention, peut-être a-t-elle déjà oublié qu’elle n’a plus de soutien-gorge. En fait, elle est surtout concentrée pour tenter de répondre à la question de son amie, mais sans succès.

 

– Je ne sais pas. Je crois que je suis venue ici par hasard.

 

Nicole s’avance au bord du divan pour admirer la tenue de son amie. En penchant un peu la tête, cela lui permet d’admirer également le haut des seins de Marie. Elle le fait sans grande discrétion mais Marie ne semble toujours pas s’en rendre compte.

 

– Tu sais que tu es excitante quand tu t’habilles comme ça ? Où l’as-tu achetée ?

– Quoi donc ?

– Mais ton t-shirt, voyons !

– Enfin, c’est toi qui viens de me le passer.

– Ce n’est pas possible, je n’en porte jamais.

– Pourtant, tu viens de me le donner.

– Ah bon ?

– Et tu t’habilles comment, alors ?

– Comme ça.

– Mais tu es à moitié nue !

– Et alors ?

 

Marie n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette situation absurde. La porte d’entrée vient de s’ouvrir. C’est Simon, le mari de Nicole qui rentre de son travail. Après avoir déposé sa veste dans la garde-robe de l’entrée, il se rend au salon et y découvre les deux femmes assises côte à côte. Simon s’avance et embrasse sa femme sur la bouche, puis fait la bise à Marie.

 

– Bonjour, chérie. Bonjour, Marie.

 

Il s’installe alors sur le divan à côté de sa femme.

 

– Bon sang, je suis crevé.

 

Machinalement, il place sa main sur l’épaule de sa femme, le bout des doigts arrivant tout juste au niveau de la clavicule de Nicole. Tout en la caressant, il commence à discuter avec Marie.

 

– C’est sympa de passer nous voir.

– Oui. Enfin, le problème c’est que je ne sais toujours pas pourquoi je suis venue.

– Ce n’est pas grave. Tu as dû avoir un trou de mémoire.

– Peut-être.

– Tu restes avec nous pour manger ?

– Je ne pense pas. Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne sait pas où je suis.

 

Pendant cette discussion, Nicole a bombé un peu le torse au fur et à mesure que son mari lui caressait l’épaule. Simon se penche alors vers la poitrine de sa femme et se met à lui lécher les seins sous les yeux ébahis de Marie qui se sent monstrueusement gênée. Nicole se rend alors compte que le visage de son amie est devenu rouge.

 

– Qu’est-ce t’arrive ? Ça ne va pas ?

– Ben…

– J’ai compris. Nous sommes égoïstes. Mon chéri, occupe-toi donc de Marie.

 

Simon quitte alors la poitrine de sa femme, relève la tête et se déplace à genoux en direction de Marie. Celle-ci n’arrive pas à resserrer ses cuisses, elles sont grandes ouvertes, et elle ne peut placer ses mains sur ses seins. Arrivé à sa hauteur, Simon retire le t-shirt à Marie et avance la tête en direction des deux magnifiques seins de Marie. Marie ne veut pas, mais elle ne peut rien faire pour l’empêcher, elle n’arrive même pas à parler. Il n’est plus qu’à quelques centimètres, sa langue est sortie, prête à jouer avec les deux boules de la jeune femme.

 

Marie pousse un cri.

 

Soudain, elle se réveille en sueur. Ouf ! Ce n’était qu’un rêve !

 

– Qu’est-ce qui m’arrive ?… Quel rêve débile…

 

Endormie, elle sort de son lit, elle est vêtue d’un pyjama. Elle ouvre la porte de la chambre et va jusqu’à la cuisine où elle se sert un verre d’eau qu’elle boit lentement pour se remettre de ses émotions. De là, elle va aux toilettes satisfaire un petit besoin. Tout en retournant vers sa chambre, à moitié éveillée, elle repense encore à ce rêve troublant.

 

– Bizarre… C’est peut-être parce que Philippe n’est pas là depuis le début de la semaine.

 

De retour dans la chambre, elle remet rapidement les draps en ordre, se recouche et éteint la lumière, espérant retrouver un sommeil apaisé.

 

Sursaut

 

Marie se retrouve à nouveau au milieu des champs, toujours habillée d’un chemisier et d’une jupe. Elle aperçoit au loin le même inconnu que la fois précédente. Continuant sa marche, elle se rapproche de lui. Elle le distingue mieux et sa tenue lui semble bizarre. Encore quelques dizaines de mètres et elle se rend compte qu’il est complètement nu. Son physique est quelconque, ni sportif, ni gros. L’homme est légèrement poilu sur le torse, son sexe est caché en partie par les poils abondants de son pubis. Il ne semble pas se rendre compte qu’il est nu, à moins que cela ne lui importe pas. En fait, il se comporte exactement comme s’il était habillé.

 

Lorsque Marie arrive à sa hauteur, l’inconnu lui adresse immédiatement la parole.

 

– Vous vous êtes encore perdue ?

– Non, ça va mieux. Mais vous par contre…

– Qu’est-ce qu’il y a ?

– Vous êtes tout nu.

– Ne vous inquiétez pas, je n’ai pas froid.

– Je ne m’inquiète pas, mais vous êtes obscène.

– Dites donc, soyez polie, vous ne vous êtes pas vue.

 

Une appréhension la gagne alors qu’elle baisse le regard vers ses pieds. A-t-elle encore perdu son chemisier ? Non, c’est pire ! Elle se rend compte avec stupéfaction qu’elle ne porte plus qu’une nuisette blanche transparente en coton et dentelle, ainsi que des bas et un porte-jarretelles assortis.

 

– Qu’est-ce qui m’arrive ? J’étais habillée il y a un instant.

– Moi, tout ce que je sais, c’est que vous m’excitez, comme ça.

 

Tout en disant cela, l’inconnu commence à s’approcher d’elle, le sexe en érection et les mains tendues vers ses seins. Marie voudrait fuir, courir loin, mais elle est pétrifiée, incapable du moindre mouvement.

 

– Ne m’approchez pas !

– Qu’est-ce qui vous arrivez ?

– Ne me touchez pas !

– D’accord. Je ne vais pas vous toucher. Mais tout à l’heure, chez votre copine, vous devrez faire comme elle.

– Comment ça ?

– Si elle fait quelque chose, vous devrez faire la même chose.

 

Marie repense à l’expérience précédente. Si elle doit rester chez sa copine les nénés à l’air, ce n’est pas bien grave. Si Simon veut lui lécher les seins, après tout pourquoi pas ? Ce sera toujours un moment agréable.

 

– Bon, d’accord.

– Mais attention ! Si vous ne respectez cet engagement, vous me reverrez bientôt.

 

Délivrée de l’emprise de cet inconnu, Marie reprend son chemin à travers champs, soulagée mais néanmoins pensive. Ce qu’il vient de dire l’angoisse quand même un peu. Jusqu’où va-t-il falloir aller ? De toute façon, c’était ça ou se faire violer par cet inconnu.

 

– Après tout, ce sera peut-être agréable.

 

Quelques minutes plus tard, Marie arrive devant la maison de Nicole. Elle est à nouveau habillée, même qu’elle porte le t-shirt que son amie lui a précédemment prêtée. Arrivée sur le seuil de la porte, elle frappe, attendant qu’on lui ouvre.

 

Quand Nicole apparaît derrière la porte, Marie est presque surprise qu’elle ne soit pas nue. En effet, son amie porte un pantalon moulant en cuir noir, un bustier noir et elle a attaché ses cheveux en arrière. Tout ce noir et ses cheveux bruns, cela lui donne comme un air sévère.

 

– Salut, Marie, tu tombes bien, as-tu déjeuné ? Simon allait faire des crêpes. Je crois que tu adores ça ?

– Oui. C’est vrai.

– Alors entre et suis-moi.

 

Les deux femmes vont à la salle à manger. Simon est en effet derrière la séparation, dans la cuisine, en train de préparer des crêpes. On ne le voit qu’en partie mais, ce qui surprend Marie, c’est qu’il fasse la cuisine torse nu. Mais, après tout, étant donné la température actuelle… pourquoi pas ? Les deux femmes vont s’asseoir côte à côte sur le divan du salon. La table basse face à elles semble idéalement placée pour déguster de bonnes crêpes bien chaudes. Des assiettes sont déjà disposées, ainsi qu’un sucrier et plusieurs pots de confiture.

 

Lorsque Marie s’assied, sa minijupe remonte le long de ses cuisses. Du coup, son sexe se dévoile, mais ni elle ni personne d’autre ne semble s’en rendre compte. D’ailleurs son amie est occupée à regarder son mari préparer les crêpes. Quant à Marie, si elle n’a pas remarqué l’indécence de sa propre tenue, c’est qu’elle profite du fait que son amie regarde ailleurs pour observer sa tenue de façon plus approfondie. Le bustier noir de Nicole est en dentelle, il est légèrement transparent et l’on parvient à deviner sa poitrine dont les contours se dessinent à travers le tissu. Découvrir les courbes de Nicole derrière ce bustier est encore plus agréable pour Marie que lorsque qu’elle ne portait rien.

 

Simon vient de terminer les crêpes. Il prend alors la grande assiette sur laquelle elles sont empilées et sort du coin cuisine pour les amener sur la table basse du salon. Marie peut alors le voir en entier, elle se rend compte ainsi qu’il ne porte pour tout vêtement qu’un petit tablier blanc de soubrette. Une fois les crêpes posées sur la table, il reste debout tandis que les deux femmes et lui-même commencent la dégustation de ce déjeuner improvisé.

 

Nicole ne peut s’empêcher d’admirer la tenue sexy de son mari et de faire partager son point de vue à son amie.

 

– J’adore quand il s’habille comme ça. Il est excitant, n’est-ce pas ?

 

Marie est à nouveau gênée, elle essaye alors de changer de conversation.

 

– Oui. Tout à fait. Dis donc, elles sont drôlement bonnes ces crêpes.

 

Simon lui répond tandis qu’il termine gloutonnement la sienne.

 

– C’est normal, j’ai un petit secret de fabrication. Je mets du sperme dans la pâte.

 

Marie, qui ne s’attendait pas à une telle réponse, manque, sous l’effet de la surprise, de recracher ce qu’elle a dans la bouche. Elle réussit à l’éviter mais il s’en faut de peu qu’elle ne s’étouffe. Après quelques quintes de toux, elle réussit à reprendre son souffle tandis que ses amis s’inquiètent pour elle.

 

– Ça va mieux ?

– Oui. J’ai juste été un peu surprise.

– Bon.

 

Tandis que Simon se sert une seconde crêpe au sperme, Nicole ne peut empêcher sa curiosité de s’exprimer.

 

– Et tu fais comment pour préparer la pâte ?

– De la farine, du lait, des œufs…

 

Nicole l’interrompt :

 

– Non, je veux dire : pour le sperme, comment tu fais ?

– Facile : je me masturbe au-dessus du bol de pâte et je fais tout gicler à l’intérieur.

– Et… tu en manges aussi ?

– Pourquoi pas ? Elles sont bonnes !

 

Et tout en disant cela, Simon termine sa seconde crêpe. Marie se tourne alors vers son amie.

 

– Ça ne va pas ? Tu ne termines pas ta crêpe ?

 

Nicole regarde la crêpe au sperme qu’elle a dans la main. Après tout elle en a déjà mangé la moitié et ça n’a pas vraiment le goût de sperme. Elle la reprend donc dans sa bouche, un peu comme une bite, et termine de l’avaler.

 

Simon s’approche un peu plus de sa femme. Celle-ci pose sa main sur le tablier de son mari et se tourne à nouveau vers son amie.

 

– J’adore lui caresser le sexe à travers le tissu du tablier.

 

En même temps, elle prend dans sa main le sexe de son mari à travers le tissu et commence à le masturber. Le sexe, qui prend rapidement de l’ampleur, commence à soulever le tablier. Nicole semble épatée par l’effet que cela fait à son mari.

 

– Tu as vu comme il aime ça ? Moi aussi j’adore. Ça me fait mouiller. Et toi, tu as déjà essayé ?

 

Marie s’inquiète d’une telle question, elle se dit que les ennuis vont bientôt commencer.

 

– Non.

– Alors, essaye. Tu vas voir, c’est génial.

 

Il faut bien qu’elle fasse comme son amie si elle veut éviter de se faire violer par l’inconnu en pleine campagne. Après tout, ce n’est qu’une petite masturbation de rien du tout. Elle prend donc le sexe de Simon entre ses mains. La gêne l’envahit, elle se met à trembler légèrement. Prenant son courage à deux mains, elle commence à le masturber timidement. Elle sent alors que la bite de Simon est en train de grossir encore plus dans sa paume. Marie s’enhardit et se met à le masturber de plus en plus généreusement. Son amie, toujours à côté d’elle, la regarde faire avec un vif intérêt.

 

– Alors c’est bien ?

 

Marie essaye de lui répondre le plus naturellement du monde même si elle a du mal à articuler plus de deux mots.

 

– C’est super.

– Il bande ?

– De plus en plus.

 

Pour confirmer ce qu’elle vient de dire, Marie lâche la bite du mari de son amie. Le sexe de Simon est tellement redressé que son tablier ne cache plus ses testicules. Marie constate alors avec surprise qu’elles ne semblent pas avoir de poils. Pendant qu’elle est perdue dans ses pensées, Nicole pousse son amie vers l’avant.

 

– C’est encore mieux de le sucer. Allez, vas-y.

 

Ce qui ne manque pas de surprendre Marie.

 

– Quoi ?

– Tu as l’air surprise. Tu n’as jamais sucé un homme ?

– Si, mais…

– Je ne te crois pas, sinon tu n’hésiterais pas à le prendre dans ta bouche. Il a une bite très agréable à sucer.

 

Nicole soulève le tablier. Marie a alors la confirmation de ce qu’elle pensait. Simon s’épile le sexe, pas un poil sur les testicules ni sur le pénis. Même les alentours sont proprement rasés. Cette belle verge bien lisse ne manque pas de la captiver, mais quand même pas au point de la sucer. Ce n’est pas son mari, elle a la sensation désagréable de commettre un adultère. Cependant, son amie continue à la pousser en avant.

 

– Vas-y, qu’est-ce que tu attends pour sucer mon mari ? Il a une si belle queue. Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu hésites?

 

Comme Marie n’esquisse pas le moindre mouvement, Nicole pousse avec force la tête de son amie vers le sexe redressé de son mari.

 

– Tu le vas sucer, salope ? Elle ne te plaît pas assez, la bite de mon mari ? Elle n’est pas assez bien pour toi ?

 

Marie se réveille en sursaut.

 

Sa peau est à nouveau couverte de sueur. Son pyjama lui colle au corps. Les draps sont en vrac au pied du lit, elle a dû énormément bouger durant son rêve.

 

– Encore ce rêve, mais qu’est-ce qui m’arrive ?

 

Elle essaye de respirer un peu d’air pour se rafraîchir l’esprit, mais c’est peine perdue, il fait trop chaud dans la chambre. Tant pis, elle tapote son oreiller, tire le drap sur elle et se retourne dans l’espoir de se rendormir plus sereinement.

 

Glissade

 

Marie est encore au beau milieu des champs. Mais cette fois-ci complètement nue. L’inconnu est toujours là, quelques dizaines de mètres plus loin. Cette fois-ci, c’est lui qui est habillé. Il se rapproche lentement de Marie tandis qu’elle entame la conversation.

– Vous êtes encore là ?

– Évidemment, vous devriez vous y attendre.

– Cette fois-ci, vous êtes habillé.

– Ne détournez pas la conversation, vous n’avez pas respecté votre engagement.

– Quoi donc ?

– Vous n’avez pas fait tout ce que faisait votre amie.

– Mais si, j’ai masturbé son mari.

– Mais vous n’avez pas voulu le sucer.

– C’est dégueulasse ! Je ne vais quand même pas sucer le mari de mon amie.

– Si ! Il le fallait. Vous allez donc être punie.

– Je ne suis pas d’accord. D’ailleurs, elle ne l’a pas sucé. Je devais faire ce qu’elle faisait.

– Elle vous a dit qu’elle aimait le faire, ça revient au même. Vous n’avez pas respecté ce que j’avais dit. Je vais donc pouvoir profiter de votre corps.

– Quoi ! ? Pas question !

 

Tout en disant cela, elle se met à courir pour tenter de lui échapper mais l’homme la poursuit.

 

– Toute fuite est inutile, je vous rattraperai.

 

Le chemin de terre est irrégulier, dans de telles conditions une paire de chaussures à talons n’est pas l’idéal pour courir. Marie finit par trébucher au bout d’une dizaine de mètres et chute dans une grande flaque de boue. Elle essaye de se relever mais ça glisse. Tout ce qu’elle parvient à faire, c’est se retourner dans la flaque. Elle se retrouve couverte de boue de la tête aux pieds. Angoissée, elle sait que l’inconnu s’approche d’elle tranquillement, inexorablement. Il a la ferme intention de la violer, mais elle ne peut plus rien faire pour lui échapper.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? Je n’arrive plus à bouger.

– C’est normal, je vous avais prévenue, toute fuite est inutile.

 

Arrivé à sa hauteur, il se penche sans se presser et commence à palper ce corps couvert de boue.

 

– Vous savez, vous avez de la chance d’être pleine de boue, je ne ferai que vous caresser.

 

Ce massage de l’ensemble de son corps finit par la décontracter. Les mains de l’inconnu se font alors plus précises et convergent vers le sexe de la jeune femme. Il commence par lui effleurer la fente, puis il introduit un doigt, puis deux. Ses doigts, pleins de boue, s’insinuent entre les lèvres de Marie, viennent lui exciter le clitoris puis s’introduisent dans son sexe. Quand il les ressort, ses doigts sont propres, complètement nettoyés.

 

– Je vois que vous appréciez. Vous mouillez tellement que cela a enlevé toute la boue que j’avais sur les doigts.

 

Et, disant cela, il porte les doigts à son nez pour les sentir, puis il les introduit dans sa bouche et les lèche. Le murmure admiratif qu’il laisse échapper permet de deviner qu’il apprécie le goût du sexe de Marie.

 

Bien décidé à aller plus loin, il retire ses vêtements sans se presser. Une fois nu, il s’allonge au sol à côté de Marie et se roule à son tour dans la boue pour s’en recouvrir le corps tout en se masturbant. Son sexe grossit rapidement jusqu’à l’érection tandis qu’il continue de caresser la jeune femme d’une main et de se masturber de l’autre. Au bout de quelques minutes, il sent qu’il va bientôt jouir. Il se redresse alors sur les genoux en continuant de braquer son sexe en érection vers le corps maculé de la jeune femme. Quelques allers et retours de la main serrée sur sa bite sont encore nécessaires pour qu’il arrive à la jouissance finale. Son éjaculation est abondante, le ventre, les seins, le cou et même le visage de Marie sont recouverts du jus tiède et visqueux qui gicle par saccades au rythme de ses gémissements.

 

L’inconnu lui caresse encore le corps une dernière fois, ce qui a pour effet de mélanger son sperme et la boue en un mélange marron et gluant. Il se lève alors et s’en va, laissant Marie dans sa flaque de boue. Progressivement, elle peut à nouveau bouger ses membres et finit par se relever et reprendre son chemin.

 

Une fois revenue en ville, personne ne semble prêter attention à sa tenue. Pourtant, nue et couverte de boue, elle ne devrait pas passer inaperçue. Quand elle arrive enfin chez Nicole, cette dernière remarque immédiatement l’état dans lequel est son amie.

 

– Mais qu’est-ce qui t’es arrivé ?

– C’est toute une histoire. Mais je peux prendre une douche d’abord ?

– Oui, bien sûr, suis-moi.

 

Les deux femmes montent au premier étage jusqu’à la salle de bains. Alors qu’elle ouvre un placard pour en sortir une serviette de bain, Nicole se rend compte qu’elle a également de la boue sur elle.

 

– Je ne sais pas comment j’ai pu m’en mettre.

 

Tout en disant cela, elle sort une serviette pour elle aussi. Pendant ce temps-là, Marie est déjà passée sous la douche, en train de faire couler l’eau chaude. Elle dirige la pomme de douche sur son corps tout en frottant. Nicole, qui a fini de retirer ses vêtements, rejoint son amie sous la douche. Les quelques taches qu’elle a sur les bras ne semblent pas vouloir se décoller si facilement que cela.

 

– Dis donc, elle colle cette boue, il faut sacrément frotter.

 

Impression confirmée par Marie qui peine à se nettoyer le dos.

 

– En effet, ça ne part pas facilement.

– Attends, je vais t’aider, ce sera plus facile.

 

les288

Nicole se met alors à frotter consciencieusement le cou et le dos de son amie. La boue part progressivement, il ne faut pas être pressé. Elle s’occupe ensuite de la taille et des fesses de son amie, qu’elle se met à frictionner énergiquement. La boue enfin évacuée, ses frottements se muent progressivement en caresses. Elle remonte ses mains le long du corps de son amie. Arrivée aux épaules, elle les fait passer de l’autre côté et redescend lentement, sensuellement. Puis elle lui caresse les seins et le ventre. Agréablement troublée, Marie se laisse faire tandis que Nicole continue de lui caresser la poitrine d’une main et que l’autre main s’approche progressivement de son sexe. N’y tenant plus, gagnée par le désir, Marie se retourne et lui rend ses caresses de face. Elle porte alors sa bouche sur les seins de sa partenaire et lèche, mordille, suce et embrasse chacun des deux seins de Nicole! Nicole finit par parcourir le sexe de son amie de ses doigts, caressant cette fente ruisselant de l’eau de la douche. Portée par son désir, excitée par le ruissellement de l’eau sur leur corps respectifs, Marie se laisse aller et rend la pareille à son amie.

 

Soudain, Simon entre dans la pièce, juste au moment où Marie vient d’écarter les cuisses pour que son amie puisse s’insinuer plus profondément dans son intimité. Déjà nu et en érection, il pénètre sans un mot dans la cabine de douche et referme la porte derrière lui. Sans plus attendre, il écarte les fesses de sa femme et s’introduit en elle par-derrière sous les yeux ébahis de Marie. À chacun de ses coups de bite, Nicole est projetée contre son amie qui subit donc indirectement les assauts de Simon. Nicole se retourne alors vers son mari qui lui soulève une jambe pour la pénétrer par-devant. Simon maintient un rythme soutenu, sa verge ne cesse d’entrer et de ressortir de la chatte de sa femme qui, à chaque coup de queue, laisse échapper des cris de jouissance. Nicole part alors à la recherche des mains de son amie, les saisit et les porte sur sa poitrine. Marie comprend que son amie souhaite qu’elle lui caresse les seins, ce qu’elle se met à faire, ce qui a pour effet de décupler les cris de Nicole. Simon ne tarde pas à jouir, il ressort sa bite à temps pour que tout son sperme gicle sur le ventre et la poitrine de sa femme, et bien sûr sur les mains de Marie. Ceci fait, Nicole se penche vers sa bite et la suce pour la nettoyer. Simon sort alors de la douche, s’essuie rapidement et repart aussi vite qu’il était arrivé.

 

Marie est surprise de ce comportement.

 

– Ben, dis donc, il n’est pas bavard, ton mari.

– Oh, tu sais, c’est un grand timide.

– Ah bon ? Il n’en a pas l’air pourtant.

 

Nicole se retourne vers son amie et se colle contre elle. Le sperme de Simon s’étale sur les corps des deux femmes tandis qu’elles se caressent mutuellement le dos et les fesses. Marie étend sur le dos de son amie le sperme qu’elle a reçu sur les doigts. Nicole, toujours excitée, s’écarte de son amie et se met à lui lécher le corps pour y collecter tout le sperme qui y est étalé. Pour finir, elle introduit ses doigts pleins de sperme dans le sexe de Marie, qui jouit immédiatement, inondant de mouille la main de son amie. Nicole porte alors sa main à sa bouche pour goûter au jus de son amie. C’est à ce moment-là que Marie se réveille en sursaut.

 

– J’ai encore rêvé. Et cette fois-ci, je crois même que j’ai joui.

 

Mue par la curiosité, elle porte une main vers son entrejambe, son pantalon de pyjama est trempé au niveau de son sexe.

 

– Et il n’y a pas que dans mon rêve que j’ai joui.

 

Marie retire son pantalon, dévoilant ainsi son sexe intégralement épilé, comme dans ses rêves. Puis elle se retourne, recherchant en vain un sommeil plus calme.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 23:03

Les filles du lac (les âges farouches 2) par De Dontun 

n26a

Temps préhistoriques. Quelque part dans le massif alpin. 

 

Comme convenu, on vint les réveiller dès le lever du soleil. Moldar, le sorcier du village scruta alors le ciel, il allait faire beau, il fit signe à Olniak, son apprenti que l'épreuve aurait bien lieu aujourd'hui. Il s'équipèrent tous les deux pour cette journée d'expédition et donnèrent l'ordre au jeune garçon de les suivre. Ce dernier n'était guère rassuré. Avait-il au moins conscience qu'il ne lui restait sans doute que quelques heures à vivre ?

 

Ils marchèrent longtemps, ils étaient maintenant loin de la vallée, au fond de laquelle se trouvait leur village de chasseurs, et avaient pénétré dans les épaisses forêts des hauteurs les plus proches. La journée était resplendissante, et le soleil chauffait la peau des hommes en se frayant un chemin parmi la végétation luxuriante. Quand l'astre solaire fut presque à son zénith, et qu'il eurent atteint une petite clairière lumineuse, Moldar décréta la fin de la marche, Il détacha alors une petite branche d'un arbuste, la débarrassa de ses aspérités les plus voyantes à l'aide d'un couteau de pierre, la planta en terre au milieu de l'endroit et se livra à d'incompréhensibles et grotesques incantations. En fait, il regardait simplement évoluer l'ombre du bâton. Il ramassa ensuite un petit caillou et le plaça près du bout de bois, puis interpella le gamin.

 

- Voilà, tu dois attendre que l'ombre du bâton atteigne le caillou, à ce moment-là tu te mettras en route pour retrouver le chemin du village. Tu devras être revenu avant la nuit qui suivra cette nuit, sinon c'est inutile, tu ne serais accueilli qu'à coup de pierres !

 

Le jeune garçon regarda le sorcier d'un air apeuré. Moldar et Olniak le laissèrent là et prirent le chemin du retour 

 

- Il ne réussira pas l'épreuve, ça se sent ! Plus personne ne la réussit ! Il va être incapable de retrouver son chemin ! 

- Qu'est-ce qu'il va devenir, alors ? 

- J'en sais rien, la région n'est pas dangereuse, il n'y a pas de bêtes qui attaquent l'homme, il n'y a pas de tribus ennemies, il n'y a pas de zones dangereuses à traverser avec des sables mouvants, des rivières infranchissables, non rien de tout cela ! Il va s'affaiblir faute de trouver assez de nourriture, trop faible il va devenir vulnérable et les dieux le reprendront. 

- Si tous nos jeunes garçons périssent en subissant cette épreuve, pourquoi la maintenir ? 

- Parce que cela nous permet d'éliminer ceux qui ne pourront jamais être des guerriers, un guerrier qui ne sait pas retrouver son chemin ? On a vu ça où ? 

- Mais ils sont tous jeunes, personne ne leur a expliqué !

 - Non, Olniak tu as encore beaucoup à apprendre, tu as toi-même passé cette épreuve et tu l'as réussi !

 

Devait-il lui dire qu'on l'avait alors aidé ?

 

- Le sorcier avant moi avait un autre sorcier avant lui, et ainsi de suite, l'un de ces sorciers a fréquenté les dieux. Et les dieux lui ont dit :  "une tribu ne doit jamais se refermer sur elle-même faute de quoi ses enfants deviendront idiots !" Il nous faut du sang neuf, sinon la tribu, n'aura plus de relève et elle mourra avec ses vieillards ! 

- Il faut faire quoi, alors ? 

- Aller chercher du sang neuf ? 

- Mais comment ? 

- Ce sera ta mission, Olniak ! Je sens dans mes chairs, des douleurs étranges, sans doute est-ce l'appel de ma mort ? Si tu réussis, tu me remplaceras. 

- Qu'est qu'il faut-il que je fasse ? 

- Que tu ramènes autant de femmes que tu as de doigts dans la main, des femmes en âge de pouvoir faire encore beaucoup d'enfants. Tu partiras dès demain !

 

Olniak ne discuta pas, parce qu'on ne discute pas les ordres du sorcier. Ses décisions étaient comme celles du destin, inéluctables. Sa mission lui avait indiqué Moldar pourrait durer plus d'une lune. Il devrait s'équiper en conséquence. Alors dans une besace en peau, il rassembla quelques tranches de poisson séché et quelques noisettes, il prit de quoi chasser, il prit de quoi allumer le feu. Cette nuit-là, il eut du mal à trouver le sommeil et au petit matin, alors que le soleil commençait juste à éclairer la terre, il se prépara à partir. D'instinct, à moins que ce soit par superstition, il choisit d'aller vers le couchant. Là où le soleil prend ses repos, il ne pouvait y avoir que de bonnes terres où il pourrait accomplir sa mission. L'autre direction lui faisait peur, parce qu'il savait que là-bas c'était la fin de la terre et qu'il avait du mal à imaginer ce que cela pouvait bien être. Il passerait donc par les montagnes. Il huma l'air de son village une dernière fois et se mit en marche. La première journée se passa sans histoires, les territoires qu'il traversait lui étaient connus. Il ne trouva aucune bestiole à chasser, mais cela ne l'étonna pas, il savait cette zone pauvre en gibier. Il trouva néanmoins de quoi boire, les sources ne manquaient pas, et suffisamment de baies pour se nourrir sans entamer sa réserve. Il se confectionna pour la nuit une sorte de lit suspendu en réunissant à l'aide de ramures souples, deux branches basses voisines sur un arbre trapu.

 

Il dormit calmement et fut réveillé par les insupportables trilles d'oiseaux qui saluaient à leur façon le lever du soleil. Puis il se mit en route, cette fois, les territoires inconnus étaient devant lui, il marcha, marcha et marcha encore. Il lui faudrait quand viendrait le moment du retour retrouver son chemin. Pour cela il s'arrêtait régulièrement et tentait de mémoriser la paysage environnant. Il découvrit que la chose était ainsi beaucoup plus facile à la montagne que dans le plat où pour ce faire, il fallait à tout bout de champ rechercher l'existence d'un parfois impossible talus. Sa reconnaissance visuelle se complétait d'une autre pratique, elle consistait à repérer un objet sortant de l'ordinaire, un gros rocher, ou un arbre très volumineux et à le marquer. Olniak prenait alors un silex et gravait sur l'écorce ou dans la pierre une sorte de marque oblongue. Ça ressemblait vaguement à une feuille allongée, ou alors à un poisson. Lui-même ne savait pas ce que cela représentait et ne se posait pas la question. C'était tout simplement de signe de sa horde.

 

Il se demandait pourquoi le sorcier l'avait envoyé seul pour cette mission sensée sauver sa tribu. Il aurait été, pensait-il, plus simple d'envoyer une expédition guerrière qui après un travail de reconnaissance aurait effectué une razzia suivie de l'enlèvement des femmes. Certes, un échec aurait été fatal, la horde ne pouvant plus se permettre de perdre des guerriers chasseurs. Et puis l'opération, avait précisé Moldar, devait se dérouler avec le minimum de contrainte…

 

C'est le sixième jour, en arrivant au sommet d'un petit mont, qu'il découvrit le lac. Le temps était resplendissant et l'eau miroitait d'un bleu éclatant à ce point qu'Olniak fut saisit par la beauté du spectacle.

 

Ses yeux de chasseur scrutèrent l'endroit, il ne se trompait pas, il voyait bien des sortes de huttes à moitié bâties sur l'eau, construites sur des piquets. Il y avait deux groupes d'habitation, un peu éloignés l'un de l'autre Sa mission aurait donc lieu ici ! Il fallait maintenant passer à la suite, et ce n'était pas le plus facile. Il se mit en marche… les distances sont trompeuses en montagne, et il mit un certain temps avant d'être relativement près de huttes. Le soleil ne tarderait pas à se coucher. Finalement ce contretemps l'arrangeait, il n'avait aucun plan, il bivouaquerait ici pour la nuit et peut-être que le lendemain matin les dieux l'auraient inspiré.

 

Le lendemain matin, il n'avait toujours pas de plan, lorsqu'il entendit des rires, des rires de femmes. Comme cela faisait du bien d'entendre à nouveau des êtres humains après tous ces jours de solitude ! Il s'approcha à pas de loup. En contrebas, plusieurs jeunes femmes se baignaient nues près de la rive du lac. Olniak entreprit de les compter. A cette distance, cet exercice lui était difficile d'autant que les filles bougeaient sans arrêt. Il réussit malgré tout à se rendre compte qu'il y en avait un peu plus que de doigts dans ses deux mains. La réussite de sa mission était là, à sa portée, maintenant, il décida d'y aller, il devrait vérifier la présence de possibles guerriers, éventuellement les neutraliser, puis il expliquerait aux femmes la volonté de Moldar. Après tout, qui irait contre les décisions d'un sorcier, d'un grand sorcier, de la race de ceux qui parlent aux dieux ?

 

Dévaler la pente qui menait au bord du lac s'avérait dangereux, il fallait qu'il fasse un léger crochet par la droite. Qu'importe, il n'était plus à quelques instants près, désormais ! C'est pendant ce chemin qu'il entendit des sons étranges, des sons humains. Une femme ! C'était une femme. Il avait parfois, rarement plutôt, entendu ces sons d'halètements que les femmes produisent parfois pendant l'accouplement. Le sorcier lui avait expliqué qu'il pouvait arriver qu'en ces circonstances les femmes deviennent foldingues. Mais heureusement ça ne durait pas ! Il y avait donc un couple derrière ces arbustes. Un couple dont la femme était pour l'instant foldingue. On doit éviter de regarder un couple qui copule, mais là, il était en mission et tout renseignement glané pouvait être profitable. Plus il approchait, et plus il était perplexe, il était maintenant certain de distinguer deux halètements différents, deux halètements féminins. Un homme était-il donc en train de s'accoupler avec deux femelles ? Il s'approcha davantage, puis pila, stupéfait ! Il n'y avait pas d'homme. Il y avait deux femmes étendues dans la mousse de la clairière. Deux femmes qui se léchaient mutuellement le sexe en haletant comme des foldingues.

 

Ces deux femmes étaient magnifiques, et encore plus l'une d'entre elles dont les longs cheveux bruns contrastaient avec la blancheur inhabituelle de sa peau. Bizarrement, Olniak, sentit sa verge se redresser sous son pagne. Il ne savait que faire. Il ne comprenait plus. Deux femmes ne pouvaient s'accoupler ! Cela n'avait aucun sens ! Alors pourquoi le faire ? Et tandis qu'il ne pouvait empêcher sa bite de bander, il tenta de réfléchir. Ou bien c'était des foldingues, de vraies foldingues… …Parfois dans le village, des hommes ou des femmes devenaient foldingues. Alors on les attachait une nuit de pleine lune après un arbre et si le lendemain ils étaient encore foldingues on les chassait à coup de pierre. Certains arrivaient à survivre en ermites, jamais très longtemps…

 

L'autre solution, c'est qu'il s'agisse de sorcières ! Peut-être que les sorcières pouvaient s'accoupler ? Il avait décidément beaucoup de choses à apprendre ! Le mieux serait de leur demander. Et puis cela lui permettrait de les observer de plus près. Et puis, qui sait, si c'était réellement des sorcières et non pas des foldingues peut-être que l'une d'entre-elles accepterait sa virilité dont la raideur devenait gênante ! Il n'en avait pas peur, n'était-il pas lui-même l'envoyé d'un grand sorcier !

 

Alors il s'avança, provoquant un cri d'effroi des deux jeunes femmes qui disparurent des lieux en courant. C'était donc bien des foldingues. Des sorcières n'auraient pas agi de la sorte ! Il continua son chemin. Après tout qu'importe, ce qui comptait à présent, c'était le contact avec les filles qui se baignaient dans l'eau. Il fallait d'ailleurs qu'il se dépêche. Elles n'allaient probablement pas s'y baigner toute la matinée. Alors, il avança, il était maintenant tout proche, il regarda le groupe de femmes. Il les trouva magnifiques. Elles avaient toutes un vague air de ressemblance. Elles n'avaient rien à voir avec les filles de la clairière. Non, celles-ci avaient la peau beaucoup plus brune et les cheveux bien plus frisés. Certaines étaient enceintes, ce qui plairait au sorcier peut être inquiet de la fécondité des femmes capturées ! Sa verge durcit plus encore. Dans sa tribu, les femmes enceintes étaient particulièrement recherchées pour l'amour : plus de risque de pollution par l'impureté du sang menstruel qui effrayait tant le sorcier.

 

Il s'approcha du groupe de femmes pour les détailler davantage avant de leur parler… Dès qu'elles le virent, elles esquissèrent un mouvement de fuite, puis s'apercevant qu'il était seul et sans intentions belliqueuses évidentes, elles restèrent dans l'expectative, les yeux des plus jeunes filles intensément fixés sur la virilité turgescente qui écartait les lanières de son pagne de sparterie. Alors il prit la parole : 

 

- Je suis Olniak, je suis envoyé par Moldar, notre sorcier pour vous chercher. Nous avons besoin de vous pour faire vivre notre tribu. Notre tribu est riche et puissante. Venez avec moi, je vous laisse vous préparer ! 

 

Les femmes se regardèrent, circonspectes, puis deux d'entre-elles se parlèrent, l'une de celles-ci se retourna et se baissa, offrant à Olniak la vision excitante d'une amande très brune fendue de rose, au bas de fesses particulièrement rebondies. L'homme troublé en avalait sa salive, il ne remarqua pas tout de suite que la jeune femme ramassait un caillou dans l'eau. Elle pivotât brusquement, le jeta sur Olniak. Le tir était heureusement mal ajusté et l'objet tomba dans l'eau, éclaboussant sa cible. Mais elles se mirent alors toutes à lui lancer des cailloux. Il dut fuir, figure un peu ridicule avec son sexe devant lui refusant de débander. Certaines tentèrent même de le poursuivre, mais n'insistèrent pas. Il courait plus vite !

 

Il s'assit, s'adossant à un large tronc d'arbre. Les choses ne se passaient pas bien. Il fallait changer de tactique, mais il en avait aucune autre pour le moment. Il se mit à réfléchir, il ne trouva rien et finit par s'assoupir. Un raclement de gorge très appuyé le fit se réveiller. Il faillit sursauter. Les deux foldingues étaient là devant lui. Et puis, il s'en voulait d'avoir été si imprudent jusqu'à se laisser surprendre par le sommeil. Si ces deux-là l'avaient trouvé, les filles du lac auraient aussi pu le faire et le tuer.

 

Les deux femmes ne s'étaient même pas revêtues, elles étaient là devant lui, la chatte à l'air et cela le troubla de nouveau 

 

- Moi, Goulvene ! Dit la plus jolie des deux. Elle ! Soyene ! 

- Moi, Olniak ! répondit le guerrier 

- Nous avons entendu ce que tu as dit aux filles ! Nous voulons bien partir avec toi ! 

 

Il devait fournir un effort pour les comprendre, leur langage ressemblait au sien, mais ne faisait que ressembler. Il réfléchit. D'abord, ça ne faisait pas le compte, et ensuite il était hors de question de ramener des foldingues dans la tribu. Que faire ? Leur demander si elles étaient foldingues ne servait à rien, les foldingues ne savent pas qu'ils sont foldingues ! 

 

- Etes-vous des sorcières ? 

- Non ! Nous sommes les femmes du harem ! 

- Du harem ? 

- Le harem de Chalès ! 

- Chalès ? 

 

Alors elles expliquèrent. La tribu lacustre où il avait abouti était commandé par ce Chalès. Le village était physiquement séparé en deux parties, la tribu proprement dite d'une part et les huttes des femmes du harem entourant la demeure du chef d'autre part.

 

Goulvene raconta que Soyene et elle-même ainsi que d'autres filles avaient été capturées lors d'une des nombreuses expéditions de Chalès et de ses guerriers. Goulvene avait été longtemps la favorite, la première femme du chef. Jusqu'au jour où revenant d'on ne sait où, Chalès ramena Wona, ses sœurs et ses cousines. Olniak compris alors à la description que Wona était la plus belle des filles du lac Chalès avait alors négligé Goulvene au profit de Wona qui devint sa nouvelle favorite. Puis quelque temps après elle fut répudiée. Quand une fille était répudiée du harem, elle devait rejoindre le village et devenait la propriété d'un guerrier, avec tout ce que cela comportait : les coups, les humiliations, les travaux pénibles… Mais en ce moment Chalès et ses guerriers étaient en expédition, alors le matin elle venait voir sa copine Soyene qui elle, faisait toujours partie du harem. 

 

- Mais tu fais quoi avec elle ? 

- On se donne du plaisir ! 

- Du plaisir ? 

- Oui, les hommes sont souvent partis, ici ! 

 

Olniak renonça à comprendre, il leur expliqua qu'il voulait bien les emmener, mais qu'il fallait avant, qu'il s'assure qu'elles n'étaient pas foldingues. Elles lui répondirent sur ce point d'un grand éclat de rire… Mais il y avait un autre problème, c'est qu'emmener deux filles, ça ne faisait pas le compte…

 

Ils décidèrent de camper position assez près du lac, mais assez loin tout de même afin que l'on ne puisse pas deviner leur présence. C'est alors qu'Olniak préparait des branchages destinés à la construction d'une petite hutte provisoire qu'il entendit un étrange clapotis. Une petite source coulait sur une pierre ! Il chercha d'où venait le bruit et découvrit ahuri Goulvene à quelques pas devant lui en train de pisser sans se cacher et en lui adressant de grands sourires. Alors Olniak se fâcha ! Seul, des foldingues peuvent ainsi pisser sans se cacher ! Il la réprimanda, mais n'obtint comme réponse qu'un grand éclat de rire. 

 

- Partez, je vous chasse ! 

 

Cette fois, Goulvene devint grave : 

 

- Non, tu ne nous chasses pas ! C'est nous qui partons ! Si c'est pour retrouver le même genre d'hommes qu'ici, toujours à critiquer ce que nous faisons, ça ne sert de venir avec toi ! 

 

Le temps d'assimiler cette étrange réplique, les deux filles avaient disparues. Il finit de construire sa hutte en maugréant. En attendant que les choses deviennent plus claires, il décida d'aller se chercher à manger. Il regretta de ne pouvoir aller vers le lac sans se découvrir, il aurait bien mangé du poisson. Bah ! Il trouverait bien un lapin à attraper. Il ne trouva pas de lapin, mais un fort bel écureuil. Il ne perdait pas au change, c'était délicieux. Le feu qui servirait à le faire cuire ne se distinguerait pas de la cité du lac. Au moins sur ce point, tout allait bien !

 

…Sauf qu'en revenant à sa base, les deux filles y étaient revenues, en pagne cette fois. 

 

- On t'a apporté du poisson et des fruits ! Dit alors Goulvene. 

 

Etait-ce une offrande ou une soumission ? Voulaient-elles se faire pardonner leur folie de tout à l'heure ? Ne sachant que penser, il agit brusquement, mais sans violence. Goulvene se retrouva pliée en avant, prisonnière du bras gauche du chasseur qui relevait par derrière le pagne de la jeune femme, tandis que de la main droite bien ouverte il la fessait bruyamment. Il n'eut pas le temps de pousser plus loin ses interrogations. Soyene posant au sol la nourriture, se colla carrément contre lui et entreprit de le fesser à son tour !

 

"Ce doit être un gage d'amitié !" Se dit Olniak ravi de la tournure des évènements. Son pagne valsa, son sexe fut pris entre des doigts agiles qui ne tardèrent pas à le faire bander. Ils roulèrent tous les trois au sol. Olniak plaqua alors Goulvene dans la mousse et s'apprêta à la pénétrer. Soyene l'en empêcha alors le tirant par les cheveux, il se retrouva alors sur le dos et ce fut Goulvene qui alors s'empala sur son sexe. Il n'avait jamais pratiqué cette position étrange, mais résolu de se laisser faire. Par contre quand Soyene s'assit sur son visage, chatte contre bouche, il ne comprit pas et cette dernière abandonna l'affaire avec une moue de dépit. Et alors que sa jouissance montait, Goulvene se mit à haleter. Pour la première fois, il se demanda si elle était réellement foldingue.

 

Ensuite, quand cela fut fini, Goulvene et Soyene l'une à côté de l'autre se mirent à pisser, voulant signifier par-là à Olniak qu'elles entendaient bien rester avec lui, mais en faisant ce qu'elles voulaient. Olniak, décidément imperméable aux coutumes locales, ne comprit pas le message, mais pour la première fois, il douta, se demandant si finalement Moldar était un si grand sorcier que ça ! Comment se pouvait-il que tant de choses puissent échapper à son savoir ?

 

Le lendemain les deux filles lui fournirent le plan qu'il ne parvenait pas à trouver afin de persuader les filles du lac de venir avec lui. Il laissa Soyene et Goulvene à la base et s'approcha du lac. Il dû attendre longtemps, il en profitait pour dévorer Wona des yeux. Cette fille était trop belle ! Il fallait absolument qu'il la ramène. Elle deviendra sa femme. Elle serait donc la femme du sorcier, puisqu'il serait celui qui remplacerait Moldar. Mieux que le chef, puisque c'est lui qui le désignerait. Il arrêta sa rêverie. Les filles avaient apparemment terminé leurs jeux d'eau, et elles regagnaient leur hutte en empruntant un petit chemin naturel qui les obligeaient à marcher les unes derrières les autres. C'est exactement ce qu'avait prévu Goulvene.

 

WonaLe chemin comportait un petit virage. C'était le moment, il sauta sur la dernière fille de la file, la bâillonna de la main et l'entraîna plus loin. Les autres n'avaient rien vu pour l'instant, mais il fallait faire vite. La fille tremblait comme une feuille secouée par le vent. Quand il se jugea suffisamment en sécurité, il relâcha son étreinte : 

 

- Ecoute-moi, je ne te veux aucun mal ! Je veux que tu écoutes ce que j'ai à te dire et après je te relâche ! 

 

La fille acquiesça, tout heureuse de s'en tirer à si bon compte 

 

- Quand Chalès va revenir, ce sera avec des femmes ! L'une d'entre-elles sera sa nouvelle favorite, alors Wona sera répudiée, et vous autres un petit peu plus tard, alors vous serez battues, humiliées. En venant avec moi, vous éviterez tout cela. Vous n'aurez sans doute pas d'autres occasions comme celle-ci ! Maintenant file, et va répéter cela aux autres. Si vous voulez me retrouver, je suis devant le gros rocher là-bas !

 

Personne ne vint le lendemain. 

 

- Ne t'inquiète pas, elles viendront ! Le rassura Goulvene. 

 

N'ayant rien d'autre à faire, ils firent l'amour à deux, à trois, dans les positions les plus invraisemblables faisant définitivement perdre tout repère à ce pauvre Olniak qui n'en pouvait mais… Trois nuits passèrent, et ce matin-là Goulvene et Soyene s'étaient absentées rechercher de la nourriture, quand Olniak entendit un brouhaha se rapprocher. Les filles du lac venaient à lui. Un frisson lui parcourut le corps. Il avait accompli sa mission ! …Enfin presque !

 

Toutes les filles du lac étaient là ! C'était inespéré ! Certaines avaient emmené leurs gamins en bas âge. Il n'avait pas prévu ce détail. Tant pis, il ferait avec ! Wona s'avança vers lui : 

 

- Nous avons choisi, nous venons avec toi ! 

- C'est bien ! 

- Je suis à toi ! Tu peux me prendre, maintenant si tu veux ! 

 

Alors, Wona retira son pagne et dans un geste qu'il trouva obscène, écarta les jambes pour présenter son sexe. Obscène, peut-être mais Olniak banda néanmoins ! 

 

- Viens ! Répondit simplement ce dernier. 

- Mes sœurs et mes cousines ne me dérangent pas ! Cru devoir répondre Wona. 

- Moi, ça me dérange ! Répondit l'homme rageant de constater qu'une fois encore il était tombé sur des foldingues.

 

Une fois à l'écart, celle-ci se mit à quatre pattes, en levrette, cuisses ouvertes, un bras passant par en dessous pour dilater les lèvres du sexe avec le pouce et le majeur. Olniak fut satisfait de retrouver cette position à laquelle il était habitué. Il se mit debout derrière la jeune femme, fléchit les jambes sur ses genoux, et abaissant sa verge de la main droite pénétra le vagin dilaté en une lente poussée. Il jouit rapidement mais refusa ensuite de donner suite à l'invitation de sa partenaire qui lui demandait de la lécher. Ils regagnèrent alors la petite troupe, lui satisfait, et elle d'assez méchante humeur. 

 

- On ne part pas ? 

- J'attends deux femmes.

 

Personne ne posa de questions, mais quand, un peu plus tard, Soyene et Goulvene revinrent, Wona rentra dans une folle colère : 

 

- Quoi ! Ce sont elles que tu attendais ? 

- Oui ! 

 

Wona se mit alors à invectiver Goulvene :

 

 - Tu te mets encore en travers de mon chemin ? 

 

Et puis tout alla très vite, les deux filles furent l'une sur l'autre, se combattirent en un corps à corps sans cadeau. Wona était sans doute plus en nerf que sa rivale, mais moins puissante physiquement. Elle s'épuisa rapidement et finit par abandonner le combat. Les sœurs et les cousines réunies en cercle attendaient alors un geste fatal de la part de Goulvene pour intervenir. Cette dernière eut l'intelligence de n'en rien faire. Elle releva sa rivale à bout de force, lui passa la main sur la nuque, et l'accompagna un peu plus loin pour conclure le pacte de paix, sa main glissant lentement des épaules de Wona jusqu'aux fesses nues de la sauvageonne en sueur…

 

Ils prirent le chemin du retour.

 

Olniak fut accueilli en héros. Mais l'euphorie fut de courte durée. Les guerriers valides n'étaient plus si nombreux, les jeunes mâles se comptaient eux sur les doigts d'une seule main. Les femmes furent donc distribuées entre les mâles capables de les engrosser, les deux femmes enceintes confiées au sorcier. Des rivalités, des mesquineries, puis des bagarres ne tardèrent pas à éclater. Il ne pouvait y avoir de terrain d'entente amiable entre ces femmes éprises de libertés et ces hommes qui contrairement aux promesses les battaient, les humiliaient les méprisaient. Et puis, il fallait parfois rationner la nourriture. Elles n'avaient jamais connu cela, la réserve de poisson du lac semblant inépuisable.

 

Wona et Goulvene n'étaient pas les plus malheureuses. Devenues les femmes d'Olniak, celui-ci leur foutait une paix royale et elles prenaient pour exagération les récriminations de leurs compagnes. C'est Soyene qui un jour vint trouver Olniak : 

 

- Unissons nos tribus, partons tous vers le lac, là-bas il y aura à manger pour tout le monde !

 - Tomber sous la coupe de Chalès ! Certainement pas ! 

- Il suffit de ne pas lui permettre de reprendre sa place à son retour !

 

Olniak rapporta cette proposition à Moldar qui entra dans une fureur incroyable, menaçant même de déclarer foldingue son protégé. Alors le lendemain, les filles du lac partirent, emmenées par Soyene. Quelques heures plus tard, alors que le village se divisait sur la tactique à adopter, Wona et Goulvene déclarèrent partirent les rejoindre. Quand ils demandèrent à Olniak de les accompagner, il ne discuta même pas et leur emboîta immédiatement le pas.

 

Il fallut deux jours et deux nuits pour que la horde accepte que ce qui restait de ses meilleurs guerriers se mette à la poursuite des fugitives et du traître Olniak. Moldar ferait, lui aussi partie de la traque. Ils fabriquèrent à la hâte des sortes de filets qui permettraient d'attraper les fuyards et de les ramener sans surveillance excessive.

 

Ceux-ci furent rattrapés en pleine nuit, alors qu'ils somnolaient, la sentinelle ayant été trop facilement maîtrisé. Tout ce petit monde se retrouva donc prisonnier. Les guerriers voulaient en découdre et souhaitaient la peau d'Olniak, mais le sorcier fut inflexible. 

 

- On ne peut pas se passer d'un guerrier tel que lui, il est devenu foldingue, mais à présent il va mieux. Qu'on le libère et qu'il regagne nos rangs ! Dormons ! Demain, nous reviendrons au village ! 

 

Olniak ne supportait pas de voir ses femmes emprisonnées. Il ne parvint à trouver le sommeil, son projet était de les libérer et de détruire les filets. Mais alors qu'il libérait la dernière, quelqu'un se réveilla, il s'ensuivit une bagarre générale. Des guerriers périrent, des femmes périrent et Moldar eut la tête tranchée. Il n'y eut ni vainqueur, ni vaincu, et chaque groupe s'en alla vers la direction qu'il avait choisi.

 

C'est ainsi que Wona, Goulvene, Soyene et Olniak regagnèrent le village des lacs.

 

Le jour ou un éclaireur annonça le retour de Chalès, un groupe de volontaires emmené par Olniak et ses femmes lui tendirent une embuscade et il mourut ainsi que toute son escorte sous un déluge de flèches.

 

Olniak fut alors proclamé chef du village du lac. Il en avait juste le titre, c'était en fait ses femmes qui prenaient les décisions, il était, lui incapable d'en prendre, il était devenu foldingue, définitivement foldingue.

 

Ne cherchez pas de moralité, il n'y en a pas ! Cette histoire n'est qu'une tranche de vie parmi d'autres de ces âges farouches

 

© De dontun 2001 de_dontun@hotmail.com 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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