Auteurs divers

Mercredi 1 août 2018 3 01 /08 /Août /2018 19:44

Apéritif très spécial par Paul et Julie

BiteFlag

Thèmes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, fétichisme du peid, feuille de rose, party, scato, spermophilie, uro. 

Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée… à moins que ce ne soit qu'un fantasme, allez savoir ?

Je ne m'attarderais pas sur la présentation, je suis Paul et je vis depuis plusieurs semaines avec ma copine, Julie, (une belle rousse aux yeux bleus, très délurée, très branché sexe, un rien allumeuse et exhibitionniste) nous nous entendons plutôt bien, et elle adore parfois me dominer. Etant de nature soumise, j'adore me laisser faire et jouer à ces jeux. Nous avions jusqu'à présent limité ce genre de fantaisie à notre sphère intime sans y mêler d'autres personnes, mais Julie me répétait sans cesse :

- Un jour je te dominerais devant un couple ! Tu voudras bien ? N'est-ce pas ?
- Je ne sais pas !
- Tu le feras pour me faire plaisir, pour m'exciter, et parce que tu m'aimes et que moi aussi je t'aime et puis je suis sûre que tu adoreras !
- Oui, bon, je te fais confiance !

Ce soir-là, nous étions Julie et moi invités chez des amis pour prendre l'apéro.

-Tu verras, ce sont des petits coquins, il se passera peut-être quelque chose ! M'avait prévenu mon amie !

Nos hôtes étaient Virginie, une belle fausse blonde avec un très joli visage, assez mate de peau et son copain Laurent. Ils étaient très sympathiques et très décontractés. La discussion aborda assez vite des sujets coquins et Julie cru pertinent de confier que j'avais le corps entièrement rasé ! Cela avait l'air d'intéresser nos interlocuteurs, et ma copine sans que j'y prenne gare demanda à Virginie s'il elle voulait me voir nue ! Celle-ci sur le ton de la plaisanterie lui répondit : "oui". Alors d'un ton autoritaire Julie m'ordonna :

- Alors qu'est-ce que tu attends ? Lève-toi et déshabille-toi ! Tu ne vas pas contrarier Virginie tout de même !

L'heure était donc arrivée ! Que faire ? Ne pas m'exécuter l'aurait vexé, et ma nature soumise reprenant le dessus, j'ai donc obéi, et me suis retrouvé nu sous les regards égrillards de Virginie et Laurent.

- Tourne-toi, montre-nous ton cul ! Dit ma copine.
- Ecarte-toi les fesses ! Ho ! Le joli trou de balle ! Mets-toi à quatre pattes et écarte mieux tes fesses ! surenchérit Virginie.
- Tu sais que tu as de belles miches pour un homme ! rigola Laurent.

Nos amis rigolaient vraiment et se moquaient de moi.

- Allez, montre-leur comme tu te branles le cul mon amour !

Les rires de nos amis redoublèrent. Moi, assez excité je l'avoue, je me suis léché un doigt et j'ai commencé à me masser la rondelle. Quand elle fut suffisamment lubrifiée je me la suis pénétrée de l'index, et j'ai commencé à me doigter par de petits mouvements.

- Une vraie salope mon mec hein ? (J'adore quand elle m'insulte)
- Tu l'as dit ! Reprit Virginie
- Tu as déjà enculé un mec, Virginie ?

Et sans attendre de réponse, Julie sorti de son sac notre gode ceinture.

- J'avais apporté ça, au cas où… Précisa-t-elle
- Whoua ! Le super truc ! Nous aussi on a un gode, mais il n'est pas comme ça, j'ai déjà enculé mon homme avec, mais jamais personne d'autre !
- Ça te dit, alors ?
- Hummm ! je crois bien que ça me dit !
Ça m'étonne pas t'es une belle cochonne, tiens tu m'excites…

Julie ne termina pas sa phrase, sa bouche avait collé celle de Virginie et nos deux coquines se roulaient un patin d'enfer avec une telle intensité que la salive dégoulinait sur leurs mentons respectifs.

- Allez, déshabille-toi et passe-toi ce truc ! Et toi grosse chienne prépare-toi à te faire enculer par une belle débutante !

Virginie s'exécuta et se retrouva très vite nue avec ce sexe artificiel. Je la contemplais m'attardant sur ces seins droits comme des obus et terminés par de larges et épais tétons rosés. Cette vue me troubla et me provoqua une vive érection. Aussi je me dis que me faire dominer par cette femme ne pourrait être qu'un plaisir…

- Attends, laisse-moi me régaler un peu ! Intervint encore Julie qui pencha sa bouche sur le bout des seins de la blonde pour les sucer, les lécher, les aspirer.

Virginie poussait des petits cris de plaisirs, puis ma copine entreprit de passer derrière pour lui lécher les fesses. Du coup notre hôtesse m'ordonna d'avancer :

- Tu vas sucer cette queue d'abord ! Ordonna-t-elle

Chose que je fis pendant que Julie prenait mon relais et préparait mon petit trou à cette sodomie. Quand j'englouti le sexe artificiel au plus profond de ma gorge tout le monde applaudi, sauf Laurent qui avait les mains prises. Forcément, il avait sorti sa belle queue et commençait à s'astiquer.

- Bon ça suffit maintenant, tu vas de faire tringler, salope !

Virginie se plaça derrière moi et appuya le gode contre ma rosette. Puis me pénétra de quelques centimètres

- Tu la sens bien, ma queue ? Réponds-moi !

Et sur ces mots elle m'enfonça d'un coup violent le gode entier en moi m'arrachant un cri de douleur et de surprise.

- Oui, tu l'as senti, petite pute !

Elle commence elle aussi à m'insulter, pour mon plus grand plaisir ! Elle n'avait pas menti et n'avait certainement jamais enculé un mec avec un gode ceinture, (la technique étant différente qu'avec un gode ordinaire) ; car elle ne laissa pas le temps à mon petit trou de s'habituer au gode et commença déjà de violents va-et-vient qui me faisaient un peu mal… au début !

- Tu aimes mes coups de queue, hein ?

Et elle ponctuait chaque coup de rein par de petits cris :

- Han ! Han ! Han ! Han !
- Alors mon amour de pétasse tu te fais bien défoncer ? Demanda Julie
- Ho ! Oui ! Répondis-je sous les rires de l'assistance
- Dis donc Laurent, dit ma copine, on dirait que le spectacle te fait l'effet, c'est bien raide tout ça ! Je suis sûre que Paul aimerait bien te faire une petite gâterie n'est-ce pas ? Ça sera une première !

Laurent, pour toute réponse s'empressa de se déshabiller entièrement et se retrouva devant moi, sa jolie bite à dix centimètres de mon visage. J'hésitais un peu, cela était un de mes fantasmes mais il fallait franchir le pas.

- Allez suce-le ! M'encouragea Julie, suce-le comme une salope !
- D'accord, approche toi, Laurent je vais bien te la sucer ta bonne queue !

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Et il m'enfonça sa pine au fond de ma gorge et je commençai donc à le sucer. Ça avait un goût et surtout une odeur un peu forte mais pas désagréable

- Quelle poufiasse ! Non content que je lui lime le fion, (et elle avait accéléré le mouvement), il lui faut une queue dans la bouche. Hummm, j'aimerais bien qu'il le suce bien à fond ! Tu crois qu'il va le faire ? Demanda-t-elle à Julie.
- Bien sûr ! C'est une petite salope, et il va tout avaler !

Je crois que ces mots on eut raison de Laurent qui sortit de moi et me balança son sperme en pleine gueule. Chaque giclée atteignit une partie différente de mon visage si bien que j'étais recouvert complètement de foutre

- Maintenant avale ! Pétasse !

Laurent me caressait le visage de sa bite récoltant au passage un peu de cette semence, et m'introduisit sa queue pour que je goutte. C'était un peu amer mais sous les ordres des filles qui me demandèrent d'avaler, je m'exécutai. Laurent renouvela l'opération et me nettoya de cette façon tout le visage

Virginie sortit de mon cul et éclata alors de rire :

- Regarde-moi ça, il est complètement dilaté, il a du mal à se refermer. Tu vas me nettoyer ce gode ! Dit-elle alors, complètement excitée et en se frottant la chatte de ses doigts.

Voilà qui ne me disait pas grand-chose, l'engin était maculé de quelques traces brunes qui ne m'inspiraient pas vraiment. Aussi je commençais à protester. Mais Virginie insista :

- Dis donc pédale, tu ne vas pas nous faire une comédie pour trois traces de merde, après tout c'est la tienne ! Moi quand Laurent m'encule, je lui nettoie la bite, alors je ne vois pas pourquoi tu ne ferais pas pareil !
- Mais…
- Mais quoi ? Tu es une petite salope, et les petites salopes ça nettoie, n'est-ce pas Julie ?
- Absolument ! confirma ma copine.

Que voulez-vous faire devant de tels arguments ? Je respirais un grand coup et introduisit le gode dans ma bouche et entrepris de le nettoyer, heureusement le goût n'était pas très prononcé et je me surpris au bout de quelques courtes minutes à trouver un plaisir très pervers à cette tache bien particulière.

- Mais c'est qu'il aime ça ce gros vicelard ! Commenta Virginie. ! Alors c'était comment ?
- J'en sais trop rien, mais ça m'excite, tout ça !
- T'es qu'un enculé, un suceur de bite, et en plus tu suces la merde, t'es vraiment un gros porc ! Me dit ma copine !
- C'est bien vrai ça ! Répondis-je !
- Bon allez on se fait une petite pause et on va trinquer !

Je pensais bien sûr que cette pause me concernait aussi, mais Virginie assez déchaînée ne l'entendait pas de cette oreille !

- Non toi tu restes là à quatre pattes, et le cul bien ouvert, tu boiras plus tard, t'inquiète pas on te garde ta part !
- Quel pédé ton mec quand même ! dit Laurent !

Il disait cela sans aucun mépris, mais avec amusement et beaucoup de malice, je compris alors que les fantaisies n'étaient pas tout à fait terminées. C'est alors que Julie pris son air le plus vicieux possible pour lui répondre :

- En fait, pas complètement, moi je voudrais bien mais il faudrait qu'il se fasse enculer par un mec ! Ça te branche ?
- Pas de problème, enculer un joli petit cul de pédale, ça me convient tout à fait !
- Nos hommes sont des gros cochons commenta Virginie !
- Et nous on est des belles cochonnes, rétorqua Julie qui se baissa au niveau de son pubis et commença à lui lécher la chatte.

Virginie se laissa faire, mais jugea plus confortable de s'allonger sur le sol, les jambes ouvertes, laissant ma copine s'installer après qu'elle se soit déshabillée à toute vitesse… Celle-ci agitait sa langue en de rapides petits tourbillons au niveau du clitoris. Le spectacle de Virginie les yeux fermés s'abandonnant au plaisir, la peau rougissante et les tétons dressés était d'un érotisme très troublant et quand sa copine hurla sa jouissance la queue de Laurent avait atteint sa raideur maximum. Je compris que j'allais y passer !

Il commença, aidé par Julie à débarrasser la table du salon et m'y fit allonger sur le dos les genoux relevés sur les épaules, puis se saisit d'un préservatif. Je bandais moi aussi comme un fou, la bite dressée, autant que celle de Laurent qui s'approcha de mon intimité, et sous les encouragements des filles, il me pénétra violement. Je me sentis tout à coup envahi par sa queue qui resta quelque temps immobile dans moi.

- Je veux t'entendre dire que tu es une salope ! Tu es une salope, pas vrai ?
- Oui une grosse !
- Et tu aimes de faire enfiler ?
- Oui ! C'est bon une bonne bite dans le cul !

Et il commença des mouvements lents mais de grande amplitude tandis que tout le monde s'amusait à m'insulter.

- Pétasse ! Regardez comme il bouge
- Et sa bite de pute est super dure ! Enculé, va !
- Ho oui, tu es un vrai enculé maintenant ! Et tu aimes ma queue dans ton trou du cul hein ?
- Hum ! Une belle bite dans mon cul de salope oui !

Julie entretenait mon érection et me branlait délicatement, et là je ne sais ce qui passa par la tête de Virginie mais elle se dirigea vers mon visage et commença à me cracher dessus, ce qui m'humilia davantage. Laurent commençait à me faire mal et heureusement il dit aux deux filles qu'il n'en pouvait plus et allait se vider

- Balance tout sur sa bite ! demanda Julie

Alors Laurent s'exécuta, ôta sa capote et me balança sa purée pour la deuxième fois, mais ce coup-ci sur la queue. Les deux filles devant le spectacle applaudirent.

J'étais allongé, la rondelle dilatée, le ventre couvert de sperme, la figure pleine de salive !

Puis Virginie s'accroupit au-dessus de mon visage !

- Suce mon trou du cul ! Nettoie le bien, je suis une vraie cochonne, je n'ai jamais vraiment su m'essuyer à fond, j'ai toujours un peu de merde collée au cul.

Je pensais qu'elle exagérait, mais j'obéissais rencontrant une odeur assez acre mais qui ne me dégoûtait pas, et me livrait à ce très excitant petit nettoyage que l'on me demandait !

Julie proposa à Virginie de me terminer et elle accepta, elle se releva et passant devant mon cul ne put s'empêcher de me le trifouiller du pied, m'introduisant même un orteil. Elle cracha sur ma pine et commença à me branler d'une main tandis que l'autre je vous le donne en mille, me pénétra de deux, trois doigts et je pense même plus. Mon excitation était telle que vingt secondes plus tard mon sperme gicla et Virginie s'amusa à le mélanger à celui de Laurent

- Cette salope de Paul va goûter cette mixture ? demanda une Virginie que je ne reconnaissais plus. Et elle me demanda de lui nettoyer la main je m'exécutai et franchement le goût ne changeais pas vraiment.

Julie m'embrassa

- Je t'aime ma salope ! Tu es couvert de sperme, un vrai vide couille ! Il faut nettoyer maintenant !

Et sur ces mots elle se mit au-dessus moi et me pissa sur le corps. Quand elle eut fini, elle fit signe à nos deux amis qui comprirent et en firent autant. Laurent se mit debout derrière moi et me pissa de grands jets dessus, insistant sur mon trou du cul. Virginie elle vint carrément sur mon visage et m'inonda de son urine.

- Ouvre la bouche ! Bois ma bonne pisse.

J'en avalais une bonne rasade, mais fut quelque peu surpris lorsque je constatai qu'une fois sa miction achevée, Virginie ne quitta pas sa position, avança juste de quelques petits centimètres et se mit à pousser.

- Qui c'est qui va recevoir un joli caca sur la figure ? Me nargua-t-elle.

Au point où j'en étais, j'acceptais le cadeau qui me dégringola sur la tronche. Virginie m'en débarrassa, je trouvais d'abord le geste délicat avant de comprendre que cette diablesse s'étant salie les mains pendant opération m'invita ensuite à les lui lécher.

Ce fut tout pour le sexe ce soir-là, nos amis se livrèrent à un petit ménage tandis que j'allais prendre une douche, puis nous avons retrinqué ensemble en grignotant des petits amuse-gueules, (ça creuse tout ça !)

Un peu plus tard, en partant sur le pas de la porte Julie précisa qu'évidemment elle leur rendrait l'invitation ce qui acceptèrent avec de grands sourires.

Nous sommes donc partis main dans la main et elle me dit :

- Je t'aime Paul !
- Moi aussi ma chérie. Tu sais j'ai bien aimé lécher le cul de Virginie, on n'a jamais fait ça tous les deux.
- Je n'avais jamais osé te le demander, mais maintenant que ça te branche, on va pouvoir incorporer ça à nos petits jeux.

On s'embrassa et l'on se demanda quand on pourrait les inviter, mais nous savions déjà que ce serait le plus rapidement possible

Paul et Julie

(Réédition améliorée et enrichie d'un texte paru anonymement sur Sophiexxx en 2000 sous le titre " un fantasme…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 16 septembre 2017 6 16 /09 /Sep /2017 18:21

Ma femme me trompe d'une manière bien crade
par Roger01

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Attention texte contenant de la scato explicite

Bonjour, je m'appelle Roger, j'ai 41 ans et je suis marié à une femme prénommée Anne qui a 36 ans. Je suis un adepte des sites de cul sur internet et en particulier l'extrême (uro, scato…), tout le contraire de mon épouse qui malgré qu'elle soit chaude et qu'elle aime le cul, trouve cela dégueulasse et me le répète assez souvent.

Sauf qu'un jour l'histoire qui va suivre va nous démontrer le contraire et vous prouver que ma femme cachait bien son jeu et qu'elle était en réalité une véritable cochonne adepte du hard-crade.

C'était un mardi…

Tout d'abord, je plante le décor : nous habitons un petit village de 1200 habitants au centre de la France, je suis grand (1 m 77), brun, les yeux verts et une queue pas bien grosse. Mon épouse elle, est châtain, mesure 1 m 72, un peu forte (trois grossesses l'y ont aidées), a les yeux bleus, de gros seins qui pendent avec des gros bouts, un cul bien large et une chatte vachement velue.

Dans ce village, elle a une amie d'une cinquantaine d'année qui se prénomme Karine, elle-même mariée à un chauffeur routier répondant au doux nom de Max.

Voilà le décor est planté !!! Donc ce jour-là, en rentrant du boulot assez crevé, j'étais monté dans notre chambre faire une petite sieste, puis réflexion faite, j'étais parti dans notre bureau pour surfer un peu, ma femme qui préparait le diner pour la famille croyait que je dormais. Lorsque je suis redescendu du bureau, elle me dit :

- Chéri, Karine vient juste d'appeler au téléphone, il n'y a pas 5 minutes, et elle voudrait que je passe ce soir vers 20 h 30 chez elle pour l'aider à préparer sa réunion Tupperware.

Jusque-là pas de problèmes, sauf que 5 minutes avant j'étais sur internet et donc la ligne était occupée, (c'était avant l'ADSL !) alors impossible que Karine ait pu appeler. C'est là que j'ai eu la puce à l'oreille et que je me suis dit qu'Anne allait sans doute autre part que chez Karine et Max. J'ai fait O.K., mine de rien et on est passé à table. Une fois les gosses couchés, elle s'est préparée, et m'a dit de ne pas l'attendre car elle rentrerait surement très tard, peut être vers les 1 ou 2 heures du matin.

Je ne suis pas chiant, je la laisse faire ce qu'elle veut, mais j'aime bien savoir…

La voilà partie, je lui laisse 2 minutes d'avance et je sors à mon tour, la suivant de loin, je m'aperçois, à mon grand étonnement, qu'elle se dirige tout droit vers la maison de sa copine et sonne à la porte.

Je replante un deuxième décor, ses amis habitent à 500 mètres de chez nous, dans une maison de bourg à étage avec une petite cour fermée sur le derrière de la maison. Sur cette cour à l'abri des regards, donne une partie du salon, les fenêtres des WC et de la salle de bain et une fenêtre de chambre qui est la leur.

En escaladant un peu je me retrouve dans leur cour et me dirige vers la seule fenêtre éclairée : la baie du salon. Les rideaux sont tirés, mais pas les doubles rideaux donc je vois tout ce qui se passe à l'intérieur du salon. Il y a Karine assise sur une chaise d'un côté de la table, Anne assise de l'autre côté, et Max est debout entre les deux. Tous trois discutent, je ne peux pas entendre car la fenêtre est fermée, mais cette conversation a l'air d'être normale jusqu'au moment où je vois Max trifouiller dans sa braguette et sortir devant les deux femmes qui le regardent, une pine énorme, noueuse, avec un très gros gland à moitié décalotté, d'où suinte une goutte de liquide blanc. Les couilles en dessous, pendent monstrueusement grosses et lourdes.

Je suis estomaqué, surtout par l'air bizarre qu'a pris ma femme en voyant cet énorme gourdin, elle a la bouche entrouverte, les yeux exorbités et sa langue passe doucement sur ses lèvres sans s'arrêter. Max dit quelque chose que je n'entends pas et Anne approche sa main de la bite du routier, commence à la caresser, elle est vraiment énorme car la main de mon épouse n'en fait pas le tour et quand elle passe son autre main au-dessous des couilles pour les soupeser, les deux roupettes débordent littéralement de sa paume. Karine pour sa part, n'a pas bougé et les regarde avec un sourire vicieux.

Moi je n'en mène pas large et j'ai très mal, mais cette situation me noue l'intérieur des tripes et je sens ma petite bite réagir à ce qui se passe devant mes yeux. Anne se penche doucement vers la grosse bite et commence à lécher le très gros gland, l'enduisant rapidement de salive, passant de plus en plus vite de la tige noueuse au gland et aux couilles, elle la branle en même temps et masse les grosses burnes, qu'elle gobe même à un moment.

Max lui a la tête rejetée en arrière et ferme les yeux sous le plaisir de la caresse de mon épouse surtout lorsque cette salope se met à le pomper goulument. Avec une de ses mains, il soulevé le pull de ma femme et masse ses gros nichons lourds et laiteux. Il les sort du soutien-gorge et les pelote sans ménagement. Ma femme a l'air d'apprécier car elle interrompt sa pipe pour gémir de plaisir.

Karine finit par se lever et entreprend de se dessaper, elle est plus ronde que mon épouse, et ses nibards son énormes (facile 120 cm) sa chatte est très poilue comme celle de ma femme, le genre de cramouille si velue qu'elle déborde de chaque côté de la culotte, elle a également un gros cul blanc.

Une fois déshabillée, elle se positionne à côté d'Anne pour l'aider à pomper la grosse trique de son mari. Lui, entretemps a viré son haut et viré aussi son falzar, bref il est à poil comme sa femme. Anne lâche à regret la bite pour se dévêtir elle aussi et moins d'une minute après la voilà à poil, nichons, chatte et cul a l'air. Elle se remet à bouffer la grosse pine de concert avec sa copine qui lui caresse son gros cul en même temps, je vois même ces deux salopes se rouler un patin tellement baveux que la salive leur coule sur le menton, ces cochonnes se crachent et se bavent littéralement sur la tronche. Max en profite pour passer derrière ma pute de femme et lui carre direct sa grosse bite tendue dans sa chatte ouverte et baveuse. Elle est en levrette et Max l'attrape par sa grosse croupe laiteuse et se met à la bourrer avec frénésie. Ma femme se met direct à couiner comme une truie qu'on égorge, elle crie, la bouche grande ouverte, pendant que Karine au-dessus, lui crache dans la bouche.je suis saisi par cette scène d'une extrême vulgarité car maintenant j'entends mieux vu que tous les trois ont largement haussé le ton.

- Oh putain ma grosse chienne tu es vraiment bonne de la moule salope !!!! Ta grosse chagatte m'aspire le gland !! T'est qu'une salle morue, un garage à bite, comme Karine, oooohh oui c'est trop bon ta cramouille poilue !!! Pérore Max.
- Aah ouiie défonce moi avec ta grosse bite salaud !!! Humm ourhhglups gloups Répond Anne en avalant les crachats de Karine) c'est trop bon ouiiiiiiii !!!!
- Alors salope, trainasse, lopette, t'aime ça te faire bourrer le trou qui pisse par mon mari pendant que je te crache dans le bec ! Allez, grosse truie avale mes crachats, tu préfèrerais peut-être mon urine bien jaune ? Hein ? Répond pétasse ! Intervient Karine
- Oh oui, mais je voudrais que Max me casse mon gros cul, qu'il me prenne dans ma merde, pendant que je boirais ta bonne pisse. Répond ma charmante épouse.

Je peux vous dire que ma petite bite faisait des bonds dans mon slip mais je ne voulais pas me toucher trop car j'aurais juté direct.

Max sort sa grosse matraque du con gluant d'Anne et présente son gros gland mauve à l'entrée du trou à merde de ma femme. Elle avec ses deux mains elle écarte au maximum sa large croupe et Max fait pénétrer sa pine à l'intérieur du trou du cul de mon épouse, ce qui a pour effet à nouveau de la faire couiner. Max entreprend son va-et-vient, d'abord doucement puis plus rapidement, la salope gueule littéralement sans retenue, ses meules laiteuses ballottent lourdement sous elle et Karine approche sa chatte poilue de la bouche de ma femme.

Cette salope ouvre grand sa bouche, sort sa langue et se met à dévorer cet énorme barbu gluant en grognant comme une chienne, très vite la mouille abondante et mousseuse de Karine lui inonde le visage et remplit sa bouche. Karine ondule son énorme derrière pour bien frotter sa chatte sur la bouche d'Anne. Max lui besogne toujours ardemment le conduit merdeux de ma femme, il va tellement profond, il l'encule tellement fort que lorsque parfois son gland ressort, il est couvert de la merde d'Anne. C'est très crade, mais très excitant.

De l'autre côté, Karine commence doucement à pisser et Anne gobe voracement les premières giclées de pisse jaunes et odorantes qui sortent de la chatte poilue de son amie.ma femme boit et avale tout ce qu'elle peut de la pisse qui lui dégouline dans sa bouche grande ouverte, et il y en a bon sang, on dirait que Karine ne va jamais s'arrêter de pisser
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Max finit par jouir et sort sa bite couverte de merde, il la donne à lécher à ma femme qui nettoie tout bien consciencieusement. Je n'en reviens pas. Mais le festival crade n'était pas terminé, Karine revient s'accroupir de nouveau au-dessus de ma femme et se met à pousser. Un gros étron ne tarde pas à sortir de son gros cul pour aller atterrir sur le visage de ma femme. Les deux femmes s'amusent ensuite à s'étaler toute cette merde partout sur le corps en se masturbant la moule.

Après je n'ai plus rien vu puisque ces messieurs dames ont gagné la salle de bain.

Je rentre à la maison, je n'ai pas sommeil et ne sais comment gérer la suite. Je pense à me branler mais je préfère attendre qu'Anne revienne pour que je l'encule ! Ça lui apprendra !

A 1 heure du matin Anne débarque comme une fleur.
- Alors c'était bien cette réunion Tupperware ?
- Quelle réunion Tupperware ? Tu crois qu'on ne t'a pas vu t'exciter derrière la fenêtre !
- Mais quoi ?
- Tu sais ce que tu vas faire ? Karine et Max sont là derrière la porte, tu vas te déshabiller et Max va t'enculer devant moi et ma copine, d'accord ?
- Comme tu voudras ma Chérie !

Post face de l'expéditeur.
Cette histoire a été publié en 2010 sur ce site. Je ne sais d'où ça sort mais elle n'est pas récente puisque datant d'avant l'ADSL. La publication d'origine a été fait sans aucune correction. J'ai donc remanié ce texte, corrigé les fautes de toutes sortes, enlevé les lourdeurs (du moins les plus grosses) et ajouté la conclusion manquante.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 2 juillet 2017 7 02 /07 /Juil /2017 18:53

De sodo à scato
Par Sarahd

 

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Je suis vraiment une femme. Mon histoire n’est pas tout à fait vraie. Je suis une dingue de sodomie et de feuilles de roses, mais pour la scato, je ne suis jamais passée à l’acte. Alors voici un de mes fantasmes.

 

J’ai toujours aimé le sexe anal, et quand j’ai rencontré mon homme, c’est tout naturellement que nous avons commencé à le pratiquer avec énormément de plaisir. J’aime la sodomie, longue et profonde, mais j’aime aussi quand il explore mon anus avec sa langue où qu’il y enfonce ses doigts. (Nous en sommes à trois mais j’espère qu’on ne s’arrêtera pas là !) Il est très rare que nous fassions l’amour sans qu’il pénètre mon anus et finisse par y éjaculer .Je n’ y ai jamais trouvé que du plaisir et il m’arrive de jouir du cul sans autre stimulation.
Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec mon récit, nous ne nous voyons qu’une ou deux fois par semaine. Quand j’attends sa visite, je prends toujours soin de me préparer par un mini lavement afin d’être parfaitement propre.

Un jour pourtant… il est arrivé à l’improviste.

Comme nous sommes très amoureux, il me serre contre lui, m’embrasse et ses mains commencent à caresser mes fesses à travers ma jupe.

- Je vais te bouffer le cul ! Annonce-t-il.
- Impossible, je viens d’aller aux toilettes et je ne me suis pas lavée.
- Je m’en fous, je veux ton cul maintenant !
- D’accord, mais je t’aurai prévenu !

Il me retourne, s’accroupit, remonte ma jupe, descend mon slip. Je me laisse faire, terriblement excitée à l’idée que mon fantasme le plus secret va se réaliser.

- Penche-toi, mon amour, donne-moi ton trou du cul.

J’obéis, m’écarte les fesses à deux mains.

- Je vois ton trou de balle. Ca sent la merde !

Il plonge son visage entre mes fesses ouvertes et je sursaute au moment où sa langue commence à parcourir mon périnée, remontant jusqu’à mon anus qu’elle force fermement pour mieux recueillir les traces de ma défécation.

- Mets-toi à quatre pattes ! Ordonne-t-il.

Cette fois, ce sont ses doigts qui s’enfoncent dans mon trou palpitant, pendant qu’il me murmure des mots cochons et excitants.

- Ah ma belle salope, tu te fais fouiller le cul, ton cul merdeux ! Cochonne ! Chie sur mes doigts, vas-y, donne m’en plus !

Je pousse, mais sans succès. Tout ce que je réussis à produire est un pet odorant.

- Oh, mon amour, tu me rends fou, je vais t’enculer ! Mais d’abord, je veux que tu me regardes lécher mes doigts.

Je tourne la tête en arrière, il me montre sa main. Trois de ses doigts sont maculés de longues traînées brunes. Lentement, il les porte à sa bouche et les lèche en me regardant dans les yeux. Puis il les suce longuement et me les montre tout propres. Je n’en peux plus, je veux jouir. Je reprends ma position et le supplie.

- Encule-moi, maintenant ! Défonce-moi le cul !
- Oui, ma belle salope, tu vas te faire ramoner le fion, jusqu’à ce que je trouve ta merde !

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Et c’est ce qu’il fait, pilonnant un peu brutalement mon trou bien ouvert.

- Tu me graisses la bite, tu sens comme elle te perfore l’intestin ?

Il entre et sort de mon cul, provoquant des bruits évocateurs. Cette fois, j’ai envie de chier et je ne me retiens pas. Une crotte molle sort d’un coup au moment où il décule.

- Salope, ah salope. Tu es en train de chier. Je t’aime !

Il plonge de nouveau sa queue dans mon anus et jouit dans un cri, m’entraînant dans son plaisir.
Il n’y a plus qu’à nettoyer … en attendant de nouvelles cochonneries.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 5 mars 2017 7 05 /03 /Mars /2017 23:26

Un après-midi avec Isabelle par Lologramme

 

scat

Thémes traités : Exhibition, masturbation, uro, scato

 

Isabelle descendit avec élégance les escaliers, perchée sur des talons hauts et engoncée dans une jupe étroite qui l'obligeait à se mouvoir par de petites enjambées. Elle portait des bas noirs soutenus par des porte-jarretelles sexy qu'elle ne portait qu'en ces occasions et un chemisier blanc sans soutien-gorge. Après avoir franchi le hall, elle attrapa son sac posé sur la commode et se dirigea vers la porte d'entrée. Ses seins volumineux gigotaient à chacun de ses pas. Elle raffolait de cette sensation de pesanteur qui lui provoquait de petits picotements dans le bas-ventre et rendait ses tétons durs comme de l'acier. Elle s'accordait ces sorties exhib' en moyenne une fois par mois. C'était un défouloir, un moment pendant lequel elle oubliait tout et s'abandonnait aux plaisirs les plus extrêmes.

 

Elle marcha jusqu'à l'arrêt de bus et monta dans le premier venu. Peu importe la destination, il fallait qu'elle se montre et qu'elle jouisse en public. Elle repéra un jeune couple en face duquel elle s'assit en faisant en sorte que sa jupe remonte suffisamment pour qu'apparaisse le haut de ses bas, puis elle sortit un livre de son sac, offrant au jeune homme captivé et à sa compagne outrée une vue imprenable sur son opulente poitrine. De plus en plus excitée, elle en rajouta dans la provocation en croisant si haut les jambes qu'une bande de peau nue séparait le haut de ses bas de sa jupe. Elle jeta un regard furtif pour jauger l'effet qu'elle produisait et ce qu'elle vit l'excita plus encore : le jeune homme avait le regard plongé sur ses jambes et bandait visiblement comme un taureau ; la jeune femme avait une main posée sur la cuisse de son compagnon et regardait la bosse énorme qui déformait son pantalon. Elle sentit une liqueur brûlante couler de sa chatte. Elle décroisa les jambes et les desserra légèrement, juste assez pour que le couple profitât de sa belle culotte en mousseline de soie transparente qui voilait à peine sa chatte fraîchement rasée.

 

Le bus s'arrêta. Elle se leva puis descendit, laissant seuls ce pauvre homme prêt à exploser dans son pantalon et sa femme qui visiblement ne restait pas insensible à la charge érotique de la situation. Elle imagina la suite : la femme avait dégagé la queue du pantalon, l'avait engouffré dans sa bouche et avait avalé la semence jusqu'à la dernière goutte.

 

Isabelle était folle d'excitation. Ses tétons dressés lui faisaient mal. Ils semblaient transpercer son chemisier. Elle marcha un moment encore, dégustant les regards lubriques qui l'accompagnaient. Son attention fut attirée par l'enseigne lumineuse d'un grand magasin de vêtements. Pourquoi ne pas y entrer ? Elle avait envie de faire pipi. Peut-être y trouverait-elle des toilettes pour se soulager la vessie et éteindre le feu qu'elle avait allumé dans sa culotte ? Elle décida de franchir la porte d'entrée. Le magasin était immense. Au rez-de-chaussée se trouvaient les caisses et les vêtements pour hommes tandis que l'étage était entièrement consacré aux vêtements et accessoires pour femmes. Elle se dirigea vers l'escalator puis se laissa porter vers le niveau supérieur. Elle arpenta les rayons à la recherche de toilettes mais n'en trouva pas.

 

L'envie se faisait de plus en plus pressante. Consciente de ne plus pouvoir se retenir bien longtemps, Isabelle se dirigea au fond d'un rayon peu fréquenté où se trouvaient deux cabines d'essayage. Elle prit au passage et au hasard un pull, une petite robe d'été et des dessous pour donner le change. Il n'y avait personne dans le rayon quand elle pénétra dans la cabine. Elle tira le rideau, remonta sa jupe puis s'accroupit au-dessus d'une petite poubelle à papier sans prendre le temps de retirer sa culotte. Elle poussa et la pisse jaillit en de multiples jets à travers l'étoffe. Elle urina de longues secondes puis s'arrêta soudainement : si elle continuait à forcer, elle sentait qu'il allait arriver autre chose…

 

Elle se releva et se caressa la chatte en se regardant dans le miroir. La mousseline trempée collait à ses lèvres galbées et était devenue translucide laissant apparaître tous les replis de sa fente jusqu'à son clitoris boursouflé. Quelques frôlements du bout des doigts sur ce minuscule phallus suffirent à la faire jouir.

 

Elle retrouva rapidement et brutalement ses esprits quand elle entendit une voix féminine venue de l'extérieur demander d'un ton inquiet si tout allait bien. Dans un réflexe, elle rajusta sa jupe avant de répondre avec sang-froid qu'elle avait eu un petit malaise mais que tout était rentré dans l'ordre. Isabelle attendit un peu que l'intruse s'éloignât puis elle sortit de la cabine.

L'avait-elle vue ou entendue ? L'avait-elle matée par l'interstice laissé par le rideau ? Elle ne le saurait sans doute jamais, mais cette hypothèse ne la laissa pas insensible. Elle replaça les affaires dans le rayon puis regagna l'extérieur.

 

Elle marcha en direction du centre-ville. Sa chatte trempée collait à sa culotte. Elle avait joui intensément dans le magasin mais elle sentait remonter en elle un trouble plus fort encore. Ce qu'elle venait de faire (elle s'était comportée comme une vraie cochonne), les risques qu'elle avait pris, tout ceci la rendait ivre d'excitation. Elle chercha un lieu plus propice à ses envies de masturbation. Elle ne voulait pas rentrer chez elle, du moins pas encore.

 

La vue d'un cinéma situé un peu plus loin la sortit de ses pensées. Pourquoi pas ? C'était un petit cinéma de quartier spécialisé dans les vieux films. Autant dire qu'elle y serait tranquille. Il n'y aurait sans doute pas grand monde dans la salle. Elle regarda les horaires des séances. Peu importe le film. Elle en repéra un qui commençait quelques minutes plus tard. Sans même regarder l'affiche, elle acheta un ticket puis se laissa guider par l'ouvreuse. Elle s'enfonça dans une rangée située au milieu de la salle et se glissa dans un fauteuil. L'ouvreuse et sa lampe de poche disparurent et l'obscurité se fit complète. Puis l'écran s'illumina. Les bandes-annonces éclairèrent la salle et les visages d'une lumière dansante. Isabelle en profita pour regarder autour d'elle.

 

Le cinéma était quasiment vide. Un couple âgé occupait deux places du premier rang, un autre couple était installé deux rangées derrière et une femme seule se trouvait à quelques fauteuils sur sa gauche. Elle décida de prendre son temps, de profiter de chaque instant. Ses seins réclamaient des caresses. Tout en elle était en érection : de ses tétons jusqu'à son clitoris qu'elle sentait dur comme une bite.

 

Le film débuta. Les yeux mi-clos, Isabelle frôla ses mamelons du bout des doigts. De délicieux fourmillements envahirent sa poitrine et son ventre. Elle s'allongea presque, remonta sa jupe jusqu'aux hanches puis écarta les cuisses. Après un dernier coup d'œil lancé aux alentours pour vérifier que personne ne pouvait la voir, elle s'abandonna aux voluptueux effleurements dispensés par ses doigts experts. Elle fut très rapidement prise de contractions orgasmiques accompagnées de petits jets de pisse courts mais puissants.

poop

Elle perdit alors le contrôle de tous ses muscles et le pire se produisit : de son petit trou fusa une courte crotte qui vint mourir dans le fond de sa culotte. Elle fut pour le moins surprise. C'était bien la première fois qu'une telle chose lui arrivait. Quelques minutes passèrent pendant lesquelles elle hésita entre le dégoût que lui inspirait ce qu'elle venait de faire et le plaisir d'avoir transgressé un ultime tabou.

La scatologie n'avait jamais compté parmi ses fantasmes. Et pourtant, elle ne pouvait pas nier que la situation l'excitait au plus haut point. Le fait de se trouver dans un cinéma, relativement loin de l'intimité rassurante de son appartement, ajoutait au risque d'être confondue et accroissait son plaisir. Elle chassa ses dernières réticences et décida de profiter pleinement des circonstances.

 

Elle s'allongea sur son fauteuil de façon à avoir les fesses dans le vide et, tout en se caressant la chatte, Isabelle poussa de toutes ses forces. Un épais et long serpent glissa hors de son anus et s'enroula lentement dans sa culotte. Quelle sensation inédite ! C'était plutôt agréable de sentir cette masse chaude et pesante remplir sa culotte. Isabelle soupesa le paquet d'une main et ne put résister à la tentation de l'écraser contre ses fesses. Elle eut aussitôt un long et violent orgasme qui la laissa complètement assommée. Elle avait complètement perdu les commandes. Avait-elle crié ? Elle espéra que non.

 

À mesure qu'elle retrouvait progressivement ses esprits, Isabelle fut envahie par une forme de honte mêlée de remords. L'excitation s'était évanouie, volatilisée comme un beau rêve au réveil alors que sa culotte pleine à craquer de merde demeurait comme un témoignage de son abjecte perversité. Elle la fit glisser le long de ses jambes en prenant bien soin de ne pas se salir plus qu'elle ne l'était déjà. Elle entreprit ensuite de s'essuyer les fesses du mieux qu'elle put. Un paquet entier de mouchoirs en papier y passa. Après avoir rajusté sa jupe, elle fourra tout dans un petit sac plastique qu'elle glissa dans son sac à main. Sans attendre la fin du film, elle se leva et se dirigea le plus naturellement possible vers la sortie.

 

Par Lologramme - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 6 juin 2004 7 06 /06 /Juin /2004 10:58

Esclaves pour couple
par Wanda-Lee
d’après une idée d’Isabelle et Cédric

scat

Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, domination hard, fétichisme du pied, feuille de rose, scato, uro. 

L’échangisme est une pratique qui me gonfle ! C’est bien simple je ne veux pas en entendre parler ! Voir mon mari faire l’amour avec une autre est une éventualité que je trouve tout simplement insupportable ! Quant à m’envoyer un autre mec sous les yeux du mien, ben ça me gêne. C’est comme ça ! N’allez pourtant pas croire que je suis coincée ou arriérée ! Non, pas du tout, nous formons un couple très libéré, mais nous ne partouzons pas… du moins pas ensemble.

Mais… parce qu’il y a un mais…

Mais d’abord deux doigts (si je puis dire) de présentation : Je me prénomme Isabelle, j’ai 29 ans (en fait un peu plus) je suis brune, les cheveux mi-long bouclés, ma peau est légèrement mate et mes seins sont lourds, on me dit gentille et souriante, Cédric, mon compagnon est grand, musclé sans exagération, plutôt beau gosse et complètement obsédé. Nous sommes (nous essayons) d’être imaginatif en matière de sexe, et nous amusons souvent à des petits jeux de rôles où chacun à notre tour nous pouvons assouvir nos fantasmes

Mais depuis quelques mois, nous avons découvert, je devrais dire redécouvert, les plaisirs des jeux SM, il faut croire que c’était latent chez nous car nous nous y sommes mis avec une ardeur très volontariste.

Ça a commencé par des petits trucs, des fessées très pan-pan cucul, puis des fessées plus sérieuses, puis on s’est acheté un martinet. Pareil pour les pinces, au début on faisait joujou à pinces-tétés, puis on a utilisé des pinces à linges, on en est maintenant aux pinces de sex-shop. On s’attache, on fait des petites mises en scène et puis un beau jour Cédric m’a dit :

- Si on essayait de rencontrer un autre couple ?
- Je croyais qu’on était d’accord pour ne pas faire d’échangisme.
- Justement, ce n’est pas de l’échangisme, c’est du mélangisme.
- Ah !
L’idée a mijotée et un jour nous avons passé une annonce sur Vassilia

« Couple aimant la soumission recherche pour première expérience un autre couple qui nous dominerait dans un esprit de respect mutuel Voici les pratiques que nous aimerions mises en œuvre : fessées à la main, au martinet, à la ceinture, pinces aux seins et au sexe, cire de bougie, uro, nettoyage de cul, scato légère, gifles, crachats, insultes, humiliations. Nous fantasmons aussi sur la bisexualité tous les deux  »

Et on nous a répondu…

L’annonce était un jeu. Nous ne savions pas alors si nous irions jusqu’au bout…

Mais nous nous sommes vite décidés…

Et un samedi en fin d’après-midi…

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. On se présente, Dany est une belle femme, la trentaine avec quelques rondeurs, les cheveux sont blonds décolorés mi-long et raides, on sent qu’elle s’est vêtue pour la circonstance, un pantalon en jean super moulant et un pull-over rose très décolleté, mettant bien en valeur une poitrine qui se sait avantageuse. Mario est un grand frisé avec de grandes moustaches, il fait un peu plus vieux qu’elle. Ils ont l’air sympathique mais je les sens un peu anxieux.

- Je vous propose de prendre l’apéro, ça va nous permettre de mieux nous connaître et de voir ensemble comment on peut faire ça, cerner les limites et tout ça… On en a déjà un peu parlé au téléphone, mais autant que les choses soient nettes… nous prévient notre hôte.
- C’est moi tout à l’heure qui donnerait le signal du début de la séance nous prévient Dany, et à ce moment-là vous serez nos esclaves. A ce moment-là seul un mot de sécurité pourra tout arrêter, et de façon définitive. Choisissez un mot !
- Polichinelle ! Proposais-je !

Tout le monde est d’accord. On trinque, on grignote quelques amuse-gueules, on parle de tout et de rien, mais on règle aussi quelques détails pratiques, le temps passe vite et au bout de vingt minutes nos verres sont vides. Mario allait nous resservir…

- Non tu ne les sers pas ! Le prochain verre c’est tout à l’heure, maintenant le jeu commence ! Intervient Dany

Appréhension !

- Commencez par vous mettre complètement à poil tous les deux, vous faites ça sans un mot et quand ce sera fait vous vous agenouillerez ici !

Je le fais, échangeant un regard avec Cédric, cherchant une étincelle de complicité, de réconfort, mais rien ne vient, il est aussi mal à l’aise que moi.

Nous sommes nus, à genoux : Dany n’a pas un regard vers mon mari, elle s’approche de moi, me toise avec mépris et me crache au visage !

- Tiens poufiasse !

Une gifle suit !

- T’es priée d’ouvrir la bouche quand je te crache à la gueule, espèce de pute, et tu dois me remercier.

J’ouvre la bouche, avale le second crachat ! La situation commence à m’exciter.

- Merci Dany !
- De rien ! Lève-toi que je qu’examine la marchandise ! Qu’est-ce que tu en pense toi Mario ?
- Pas mal, jolie poitrine !

Il s’avance vers moi, me pince les bouts des seins, me les tord, je crie, mais c’est bon !

- Arrête de gueuler s’il te plait, la fête ne vient que de commencer ! Me dit-il en me giflant le sein ! Et tourne-toi qu’on voit un peu ton cul ! Penche toi et écarte-moi tout ça, on a envie de voir ton trou à merde !

Je fis ce qu’il me demandait m’excitant de prendre une pose aussi obscène !

- Jolies fesses !

Mario se mit alors à me fesser à main nue, il tapait fort, plus fort que Cédric, mais ça restait supportable.

- Hum… elle me fait bander cette salope !

Il se recule, et ouvre sa braguette, libérant une belle verge bien tendue !

- Alors elle te plait ma bite ? Me nargue-t-il.
- Oui, elle est très belle, vraiment belle !
- T’aimerais bien la sucer, hein ?
- Oui, j’aimerais bien !
- Et bien pas de bol, c’est pas pour toi ! Tiens, toi au lieu de rêver dans ton coin… dit-il en s’adressant à mon mari, vient donc goûter à ma bite !

Cédric ne se fit pas prier, s’avança et engouffra la bite de notre hôte sans aucun problème !

- Allez suce moi bien, pédé !

Depuis le temps que mon mari m’en parlait, mais le voir réaliser son fantasme comme ça devant moi me faisait tout drôle !

- Tu as vu ce qu’il fait ton pédé de mari ? Il suce des bites ! M’invectiva Dany ! Dis-moi ce que ça te fait !
- Ça m’excite !
- Et ça va t’exciter aussi quand tout à l’heure Mario va bien l’enculer ?
- Je crois oui !
- Tu es vraiment une salope ! Ouvre la bouche !

De nouveau elle me cracha dessus !

- Merci !
- Bon, on fait un peu n’importe quoi ! Toi le pédé arrête de sucer et viens au pied du fauteuil avec ta pute !

Dany s’assit, et retira ses mules !

- Maintenant vous aller me lécher les pieds tous les deux ! Et vous léchez bien, je veux que ça bave ! Mario passe derrière eux et fout-leur des claques sur les fesses pendant qu’ils font ça, ça va les stimuler !

Ce qui était évident c’est que ses pieds ne venaient pas d’être lavés, ils sentaient même assez fort, mais le premier mouvement de recul passé, je m’efforçais de lécher ce joli panard bien dessiné, en me concentrant sur les orteils, le gros surtout que je léchais comme s’il s’était agi d’une petite bite ! Quant aux coups que m’assénait le grand frisé, cela m’émoustillait merveilleusement, d’autant qu’il les accompagnait d’insultes diverses :  » tiens prend ça grosse pouffe, tiens gros pédé »… et autres gentillesses. Dany se leva, et alla chercher deux colliers de chiens qu’elle passa autour de mon cou et de celui de mon mari, Mario arriva alors avec une cravache et nous la fit  » goûter  » de deux brefs coups très secs, ensuite Dany tira sur les laisses et nous demanda de la suivre, mais en restant à quatre pattes. On emprunta un petit escalier, pas évident de descendre un escalier à quatre pattes. Heureusement Mario nous frappait modérément et sans nous presser.

- Voilà notre petit donjon ! Déclara fièrement Mario, en ouvrant ce qui avait dû être une ancienne cave, ça ne m’a pas coûté trop cher, j’ai bricolé moi-même les deux croix de St André et j’ai retapé une vielle cage ! Ça vous plait, j’espère ?

Amusant, le type qui un moment abandonne son rôle de dominateur pour adopter le point de vue du propriétaire. La pièce est arrangée avec un certain goût, le mur a été reblanchi à la chaux, il y a sur les planches tout un assortiment de godes, de pinces, de poids et d’autres trucs dont je ne comprends pas toujours la destination. Sur un petit guéridon sont disposés quatre flûtes de champagne, mais je ne vois pas de bouteille…

Ils nous avaient prévenus qu’ils n’étaient pas trop fétichistes, Dany est toujours habillée, Mario aussi, bien qu’il soit toujours la braguette ouverte et le zizi de sorti !

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Ce dernier s’en va chercher deux petites pinces à linge toute roses et sans aucun ménagement me les accroche au bout de mes seins. Elles serrent un peu fort, je serre les dents, m’efforce de ne pas crier.

- Supporte, m’ordonne-t-il ! Ce n’est rien du tout !

Et tout en me parlant il les fait bouger dans tous les sens. Je crie, ça fait mal mais c’est bon ! Je commence à m’habituer mais Mario me les retire, les replace aussitôt ! Oh, là là, ça fait super mal, puis recommence à les faire bouger, des frissons bizarres me parcourent le corps… Instant particulier où la douleur et le plaisir se croisent en de larges frémissements. Il s’amuse à ouvrir et à refermer les pinces, plusieurs fois de suite, des dizaines de fois de suite… Je pousse des ah ! Ah ! Tandis que mon entre jambe devient tout mouillé !

- On va rajouter des poids !

Est-ce que je vais supporter ! Oui, mais ça commence à être dur. Sa femme arrive avec une autre paire de pince à linge et les fixe sur mes grandes lèvres vaginales, elle aussi rajoute des pinces ! C’est trop je n’en peux plus.

- A quatre pattes ! Ordonne Dany

Et, oui dans cette position il n’y a rien qui puisse amortir la masse des poids qui se balancent librement au bout des pinces, mes tétons et mes lèvres sont tiraillées par milles feux… Un coup de cravache vient soudain me cingler le cul !

- Avance, pute !

Je bouge péniblement, avec toute cette quincaillerie ce n’est pas évident, mais les coups de cravache me font avancer. Trois fois ils me font faire le tour de la pièce. Je n’en peux plus. Faut-il que je leur dise où seront-ils assez intelligents pour s’en rendre compte ?

- Relève-toi !
- Elle me fait bander, cette salope, confie mon bourreau à son épouse !

Et en disant cela il entreprend de se déshabiller. Enfin ! Il est plutôt bel homme. Son érection est assez fantastique, j’ai soudain envie de lui sucer sa bite et pour la première fois l’idée d’un mélangisme non SM me traverse alors l’esprit. Il a dû s’apercevoir de mon regard, mais il ne dit rien pour l’instant, m’enlevant plutôt délicatement les pinces. Le retrait est toujours douloureux le temps que le sang se remette à circuler

- Décidément, tu la voudrais bien ma bite, hein salope ?
- Oui ! J’aimerais bien te la sucer ! M’entendis-je répondre.
- On t’a déjà dit que c’était pas pour toi ! Et tu vas nous dire pour qui c’est, ma belle bite ?
- Pour mon mari je suppose ?

Je reçois une baffe !

- Ce n’est pas la bonne réponse !
- Je ne sais pas…
- Tu dois dire, « ta bonne bite, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari »
- D’accord, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari, répétais-je comme un perroquet

Dany s’est enfin déshabillée, elle est belle, ses seins sont assez lourds, pales, laiteux, terminés par des pointes déjà bien excitées, la chatte n’est pas rasée, et est plutôt assez fournie. Elle s’approche de moi.

- Tu n’as pas honte, petite pute, de faire bander mon mari ?
- Non pas vraiment ! Crus-je intelligent de répondre.
- Alors ouvre la bouche ! Ou plutôt non, demande moi de te cracher à la gueule
- Crache moi dessus Dany, je le mérite !

J’ouvre un large bec et en reçois plein les gencives.

- C’est la première fois que tu te fais cracher dessus par une femme !
- Ben oui !
- Tu sais que tu m’excites ?
- Tant mieux, non ?
- T’es vraiment une salope

Et la voici qu’elle se colle à ma bouche, nous échangeons un long baiser baveux, puis elle se dirige vers mon mari, avec l’aide de Mario, ils l’attachent sur une des croix de St André, mais par devant. Il a immédiatement doit à une pince sur chaque téton et deux autres sur chaque testicule, il commence à faire un drôle de grimace. Ils accrochent les poids, ça devient spectaculaire, toute cette chair étirée. Puis Dany interroge son compagnon.

- Je le fais ou tu le fais ?
- Fais-le, c’est plus excitant !
- Oui, mais je suis moins doué que toi !

Qu’est-ce qu’ils projettent donc de lui faire, à mon bonhomme ?

- Justement, c’est ça qui est excitant !
- Bon, on y va, conclue Dany qui revient une cravache à la main.
- Tu devrais prendre le martinet, c’est plus pratique…

Elle change donc d’instrument, revient, ajuste son coup et vise la poitrine de Cédric, la pince s’agite. Il hurle ! Dany se demande un instant si elle n’y est pas allée trop fort, échange un bref regard avec sa victime, non tout va bien. C’est reparti ! Cette fois la pince a légèrement bougé mais sans tomber. Nouveau hurlement, nouvel échange de regard, Troisième coup ! Rien ne se passe.

- Si tu n’y arrives pas tu vas avoir un gage ! Rigole Mario !
- Pourquoi pas ?

Quatrième coup, la pince saute et dégringole. Dany ne laisse pas cette fois-ci Cédric récupérer, ajuste son coup sur la seconde pince et la fait sauter à son tour.

- Quatre coups c’est pas mal ! Se vante Dany ! Tu veux essayer de faire mieux ?
- Je devrais pouvoir !

La tête de Cédric ! Il va donc devoir supporter une nouvelle séance identique. Manifestement il hésite à dire quelque chose. Mais bizarrement on le détache, sans lui enlever ses pinces aux testicules, et c’est moi qui le remplace sur la croix ! Ah les salauds ! Comme si je n’avais pas assez dégusté tout à l’heure ! Et c’est reparti : Une pince à chaque sein avec son poids, une double pince sur chaque lèvre… Pas très rassurée, mais comme l’objectif de Mario est de faire moins de coups que sa femme, je devrais souffrir moins que Cédric… Ça y est, il arme son coup !

- Aieeeee !

Complètement raté, mais les coups de martinets qui m’atterrissent sur les seins, ça n’a rien d’agréable. Deuxième coup ! La pince dégringole ! Il doit donc faire tomber la seconde pince sur le troisième coup !

- Allez cingle lui les nichons à cette pute ! l’encourage, Dany dont les yeux luisent d’excitation.

Mario assure son coup, ça part, ça cingle, ça fait mal, je crie mais la pince est toujours là !

- Donne-moi ça ! Intervient Dany, lui reprenant le martinet.

Elle aussi rate son coup, elle ne tient pas compte de mes hurlements, et dans la foulée m’en assène un second, tout aussi mauvais, puis un troisième, je n’arrête pas de crier, ça y est la pince est tombée. J’ai mal, j’ai horriblement mal, les larmes me viennent aux yeux. Alors Dany s’approche de moi et me console avec un long baiser tout en n’omettant pas de me caresser partout. Quelle soirée. ! On me détache.

- Ça va ? Nous demande-t-elle.

On les rassure !

- Vous devez avoir soif, mes pauvres chéris ! Reprend-elle.
- Oui, ça nous ferait du bien !

Alors Dany, va chercher l’un des verres sur le petit guéridon et se met devant nous à pisser dedans ! Evidemment elle en envoie à côté, mais ça ne fait rien elle remplit encore un second verre.

- Tu en as foutu plein par terre ! Intervient Mario
- Et alors, on a des esclaves pour nettoyer, non ? Répond-elle. Allez tous les deux léchez moi toute cette pisse, et plus vite que ça !

Et tandis que nous sommes vautrés au sol à lécher le pipi de notre hôtesse d’un soir, je peux apercevoir Dany allumer la mèche de deux grosse bougies oranges et en tendre une à son mari. Je sais ce qui nous attends mais fait mine de rien et continue de ramasser de la langue l’urine de notre hôtesse. Moi qui ne connaissais que le goût du pipi de Cédric, j’avoue que celui-ci n’est pas mauvais, mais j’aurais préféré le boire à la source. Une goutte de cire chaude me tombe soudain sur le dos. J’aime cette sensation de douleur très brève qui semble s’évanouir dans le plaisir, D’autres gouttes suivent notamment sur mes petites fesses. Mon compagnon n’est pas épargné et en reçoit aussi sa part.

- Tournez-vous ! Mettez-vous sur le dos ! Vous n’êtes que des lécheurs de pisse ! Vous êtes dégueulasse !

On se retourne dans ce qui reste de la flaque d’urine, les gouttes tombent de plus en plus vite sur nos ventre, nos poitrines, j’en reçois même plein le nombril…En même temps ils nous crachent dessus… Ils ont l’air complètement déchaînés….

On a enfin l’ordre de se relever, on a plein de cire accrochée partout sur la peau. Pas très esthétique. Dany a rééquilibré les doses de son pipi dans quatre verres différents. Elle nous distribue les nôtres. Nous trinquons ! Trinquer à l’urine, quelle drôle d’idée !

- Cul sec ! Ordonne Dany

Je manque de m’étouffer, mais je le fais, ça a un peu du mal à passer, d’habitude j’ingurgite ce curieux breuvage par toutes petites quantités à la fois, là ça fait beaucoup mais ça passe !

- Remet-toi à quatre pattes ! M’ordonne soudain Dany

Que va-t-elle encore inventer, la voilà qui me contourne, elle commence par m’embrasser les fesses, voici qui me convient très bien, puis je sens sa langue fureter vers mon trou du cul.

- Dis donc, petite pute, ça ne sent pas vraiment la rose, ton trou du cul !
- Mais c’est comme ça que tu les aimes, non ? Répondis-je par réflexe.
- Impertinente ! Répond-elle ponctuant sa réponse d’une bonne claque sur la fesse. En fait ça sent la merde ! Tu n’as pas honte de te balader avec un cul qui sent la merde ?
- Non, j’ai pas honte ! Répondis-je en jouant la provocation.

Nouvelle claque sur les fesses !

- Tu vas voir ce qui va t’arriver, petite salope, petite merdeuse ! Tu vois mon doigt, tu vas le lécher, et après je vais te le foutre dans le cul et après quand je vais le ressortir, tu vas le lécher à nouveau… et même s’il est sale ! D’accord ?
- Vas-y !

Je lèche le doigt, elle me l’enfonce dans le troufignon, le fait tourner latéralement puis lui imprime un mouvement de va-et-vient, il ressort… assez pollué.

- Berk, j’ai le doigt plein de merde, maintenant ! Allez suce !

J’ai eu peur qu’il y en ait de trop, mais là ça va, le contact acre de la matière ne me dérange pas plus que ça, je lèche le doigt consciencieusement. Et décide d’être provocante !

- Encore !
- Non, ça te ferait trop plaisir !

Puis elle me laisse et s’empare d’un gode ceinture avec lequel elle s’harnache.

- Allez toi la pédale, amène toi, et viens me sucer cette jolie bite en plastique !

Cédric n’hésite même pas un instant et se met à sucer le gode comme s’il avait fait ça toute sa vie, il va falloir que je lui pose deux ou trois questions à ce zigoto quand nous aurons fini la séance.

- T’aime ça sucer des bites, hein ?
- Hummmm
- Ne parle pas la bouche pleine, je ne demandais pas de réponse. Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois, on a deux couples d’amis dont les maris sont aussi pédés que toi, on va organiser un super truc et on te fera sucer toutes les bites, les unes après les autres.

A cette évocation, Cédric bande comme un mulet.

- Bon, assez sucé, maintenant tu te tournes et tu nous tends ton gros cul d’enculé !

Dany lui fait écarter les fesses et lui badigeonne l’endroit avec du gel, puis elle approche le gode, fait une première tentative, le gode ripe, je me marre, deuxième tentative, ça ripe encore. Mario vient l’aider à écarter les fesses et cette fois ça rentre. Ce n’est pas une brute, elle y va doucement

- Oumpfff ! Ompfff !
- Qu’est-ce qu’il y a, ça te plait pas ?
- Si, si mais faut que je m’habitue répond Cédric
- T’inquiètes pas, ça vient vite !

Dany accélère ses va-et-vient, mon petit mari à l’air aux anges, mais au bout de quelques minutes Dany s’arrête, et fait ressortir le gode !

- Ben dis donc, mon cochon, tu es aussi dégueulasse que ta pute : Tu as vu dans quel état tu as mis le gode, il est plein de merde !
- Je suis désolé ! Répondit-il histoire de dire quelque chose.
- A genoux et nettoie moi ce truc avec ta langue !

Je me demande s’il va le faire, on avait évoqué cette pratique tout à l’heure, entre nous on ne l’avait jamais fait… mais passer du fantasme à la réalité n’est pas toujours si évident… Il finit par le faire, d’abord assez timidement, puis de façon plus appliquée. Dany a l’intelligence de ne pas lui demander un nettoyage complet qu’il n’aurait peut-être pas assumé. Quoi que…

- Voilà, le passage est fait, Mario, tu vas pouvoir enculer cette pédale.

Et tandis que Mario prend un préservatif, et vient se placer derrière mon mari, Dany s’approche de moi le gode à la main ! La salope, elle ne va pas me faire ça ? Comment expliquer que quelque part ça me répugne et que je suis néanmoins toute excitée !

- Finis de nettoyer !

J’obéis docilement ! Me surprenant moi-même !

- Tu aimes ça, lécher la merde, hein ?
- Je ne sais pas si j’aime ça, mais ça m’excite de trop !
- Tu vas voir, tu ne vas pas être déçue tout à l’heure…

La bite de Mario est entrée du premier coup dans l’anus de Cédric ! Quel curieux spectacle de voir deux hommes nus qui s’enculent, j’en suis toute mouillée de voir ça ! Je ne distingue pas le visage de mon mari qui s’est mis la tête entre les mains, mais les cris qu’il pousse sont très bon signe, tout va bien pour lui, je m’approche ainsi que Dany pour observer de près le mouvement de piston de cette belle queue qui lui rentre et qui lui sort du cul… Mais soudain Mario décule, contourne Cédric, enlève très vite la capote et lui décharge sur le visage.

- Avale !

Cédric avale mollement ! L’autre respire !

- Tu veux jouir ? demande-t-il

 » Qu’il se réserve pour me baiser !  » Pensais-je fortement à ce moment-là, mais non, ce grand couillon lui répond qu’il va se branler ! Et moi alors ?

Un regard échangé avec Dany, on s’est comprise. Déjà elle m’enlace, elle m’embrasse, me suce les tétons, descend sur mon pubis, me lèche le sexe.

- Mets-toi par terre !

Je pose mon cul sur le carrelage ! Un instant après j’y suis allongée, Dany est sur moi, ses mains me parcourent la peau avec infiniment de sensualité, j’en fais de même, nos bouches explorent nos corps… Je ne sais pas par quelle magie nous nous sommes retrouvées en soixante-neuf, mais j’ai maintenant sa chatte dans ma bouche, je lèche, je suce. Ça sent un peu la pisse, mais ce n’est pas gênant, je lui mettrais bien un doigt dans le cul pour lui rendre la politesse…

- Tu feras ça après, ça va me déconcentrer !

Dommage, l’idée de faire ce geste m’obsède, mais je le remets donc à plus tard et m’applique à la sucer, pas évident, car de son côté elle est redoutable et me fait de sa langue monter mon plaisir, je finis par venir dans un fracas impudique. Le temps de reprendre mes esprits ma langue reprend son travail, ses halètements sont bon signe, ça va venir, et ça vient. Elle ne bouge plus, reste comme ça avec sa chatte à dix centimètres de ma bouche et tout d’un coup c’est la pluie, la voilà qui pisse comme une fontaine et moi j’ouvre la bouche pour avaler tout ça !

Je bois tout ce que je peux, le reste dégouline, je vais avoir les cheveux dans un état !

Dany a terminé sa miction, elle s’est légèrement reculée mais ne se relève pas, je comprends qu’elle pousse ! Elle ne va tout de même pas… C’est quoi le mot de sécurité déjà ? Mais les choses vont très vite, je vois un étron sortir du cul de la belle fausse blonde. Je suis incapable d’effectuer le moindre geste, d’emmètre le moindre son, à la fois fascinée et révulsé par ce machin marron qui me nargue. L’étron grandit, c’est maintenant un boudin qui se tortille et qui atterrit sur mes seins.

Je voulais de l’humiliation, me voilà servi. Mais qu’est-ce qu’elle fabrique maintenant, elle prend la merde dans ses mains, en prélève un petit morceau, l’approche de sa bouche et le lèche. Je viens de comprendre qu’elle va me demander de l’imiter.

Te dégonfle pas, ma fille tu en es capable ! Me dis-je.

J’ouvre la bouche je sors ma langue, je lèche le machin. Ouf pas de quoi s’affoler. Mais je suis heureuse d’avoir vaincu ce tabou.

Dany m’offre se lèvres, on se roule un patin. On se relève !

- Je vous propose une petite douche et après on va se faire une petite bouffe ! Propose alors Mario

Pas de problème, je vais à la douche en premier avec Cédric !

- Dis donc mon salaud, tu aurais pu venir me prendre à la fin au lieu de te branler !
- Tu n’as rien perdu au change ça t’a permis de t’envoyer Dany
- Les deux ne m’auraient pas fait peur !
- Alors tu vas te venger ?
- Un peu, oui, tu vas voir à la maison, la petite séance à deux que je vais te faire !
- Chic alors !

FIN

Wanda-Lee
rachel_b2000@hotmail.com

Annexe : l’histoire de l’histoire

Nous avions effectivement posté une annonce sur Vassilia, mais celle-ci demandait qu’on nous utilise dans une histoire de domination inter couple. Nous avons reçu trois réponses, l’une ne convenait pas du tout, les deux autres demandaient quelques modifications que nous avons demandées aux auteurs. L’histoire que vous venez de lire est l’une de ces deux-là, (l’autre n’était pas mal mais l’auteur n’a jamais fait les rectifications que nous lui avions demandés). Cette expérience a été extrêmement stimulante, érotiquement parlant, nous pensons déjà à un petit scénario pour une suite… mais rien n’empêche n’importe quel auteur de s’emparer de cette fiction et de la continuer à sa façon pourvu (et c’est la seule condition) qu’il prenne en compte nos choix, et qu’il considère que tout cela n’est qu’un jeu. Merci donc à Wanda-Lee et au site de Vassilia de nous avoir fait vivre cette expérience virtuelle.

Isabelle et Cédric.

 
Par Wanda Lee - Publié dans : Auteurs divers
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