Auteurs divers

Mercredi 5 novembre 2003 3 05 /11 /Nov /2003 19:37

L’odeur du cul d’Hélène par Caro01

scat

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE  SCATO EXPLICITE

Je suis une véritable salope. Je suis blonde, j’ai des jolis petits seins tout ronds, un visage plein de candeur, une chatte et un anus bien épilés, et un petit sourire mutin.

J’aime tout, je n’ai aucun tabou : sucer (de préférence plusieurs bites en même temps !), avaler, me faire remplir, me faire baiser par plein de mecs au cours d’une même soirée, me faire une bonne petite lesbienne en chaleur, la lécher partout… Je fais aussi dans la zoophilie, j’adore sentir la large langue d’un clébard sur ma chatte ou sur mon trou du cul. J’aime leur sucer la queue dégoulinante de liquide visqueux et bien sûr je me fais sauter par les deux trous, c’est génial.

Mais aujourd’hui j’ai envie de vous parler de scatologie, parce que j’adore ça aussi…

J’aime par-dessus tout qu’on me lèche le cul, qu’on écarte ma petite rondelle et qu’on enfonce sa langue le plus loin possible. Ce que je préfère, c’est quand une femme s’occupe de ce petit travail initiatique, avant qu’un mec avec une bonne grosse bite me remplisse complètement, touche ma crotte bien profondément (j’adore la sentir bouger dans mon petit cul), éjacule dans mon anus avant de me mettre sa queue marron de merde et blanche de sperme dans la bouche. Je la nettoie soigneusement, commençant par le gland, là où il y a le plus de merde, et engouffrant tout le membre au fond de ma gorge. C’est un vrai régal !

Un jour, je discutais de tout cela avec Hélène, une copine que j’avais dragué dans un bar à gouines. Une belle brune un peu forte avec des gros nénés. Elle semblait un peu étonnée à l’idée d’engouffrer une bite pleine de l’odeur de son cul dans sa bouche. En lui caressant sensuellement les cheveux, je lui répondis :

– Tu sais, un cul de femme, ça a une très bonne odeur…

Tout en parlant, je la pelotais, un peu partout, puis me concentrait sur son gros cul, tout en cherchant immédiatement son trou du cul sous sa jupe. Elle ne portait pas de culotte, cette grosse salope…

Tout en l’embrassant de toutes mes forces en remuant ma langue dans sa bouche, j’insérai d’un coup mon majeur dans son anus… Elle était un peu humide, mais pas tellement, et j’eus du mal à aller jusqu’au bout, j’ai beaucoup forcé, elle gémissait, un peu de douleur mais, surtout, de plaisir… Je retirai mon doigt légèrement couleur de merde et lui mis immédiatement sous son joli nez :

– Renifle l’odeur de ton cul, sale chienne…  »

Puis j’enchainais en introduisant mon doigt dans sa jolie bouche en lui disant :

– Nettoie mon doigt, lèche bien toute la merde !

D’abord un peu réticente, elle finit assez vite par apprécier et se délecta, elle passa deux bonnes minutes à nettoyer mon doigt. Je n’en pouvais plus, cette salope était vraiment excitante avec ses gros seins (95C), sa jolie chatte tout épilée, ses yeux innocents alors qu’elle était en train de goûter avec délice l’odeur de son petit trou…

Je la plaçai à quatre pattes sur le canapé, arrachai sa petite jupe et j’écartai ses fesses au maximum. J’eus alors une superbe vision, celle de son anus complètement écarté, avec quelques poils bruns et son odeur de chienne… Je le reniflai d’abord intensément : ça sentait la sueur, la merde et la mouille, car la jolie petite Hélène mouillait beaucoup désormais, sans doute grâce à cette position humiliante. Elle me livrait son intimité sans la moindre retenue, et sentait mon souffle sur son cul. Lentement, je passai ma langue le long de sa raie.

Elle gémissait de bonheur en me suppliant :

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– Bouffe-moi le cul !

J’écartai encore plus son anus, écartelant sa rondelle, et je glissai ma langue le plus profond possible. Plus j’avançais ma langue, plus ma petite Hélène sentait la merde. Je lui humidifiai bien son petit trou, et j’insérai un doigt, puis deux (elle hurlait de plaisir). Elle n’en pouvait plus, elle était au bord de la jouissance. Je remuai mes doigts en elle, je touchai sa petite crotte, elle gémit à ce moment et jouit profondément.

Je ne voulais pas en rester là. Je retirai mes deux doigts et les lui donnai à lécher. A nouveau elle les prit dans sa bouche, les nettoya soigneusement, les sortant de temps en temps pour les sentir.

– Tu y as pris goût, espèce de chienne ! Lui dis-je en l’embrassant.

Sa bouche sentait la merde. Puis je lui enfonçai encore deux doigts dans le cul, qui était tout humide ; sa rondelle était complètement dilatée.

Elle m’encourageait à lui fouiller le cul, alors j’ajoutai encore un doigt, puis un autre, puis ma main entière que j’écartai complètement dans son cul, tandis qu’elle se branlait. Je saisis sa crotte et refermai mes doigts sur elle. Ma main était pleine de merde. Je la sortis du joli cul d’Hélène et étalais sa merde partout, sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche, dans sa chatte. Après quoi je la léchais intégralement, commençant par sa bouche, ses lèvres, ses joues toutes marron puis son nez. Quel plaisir divin de lécher un joli nez plein de merde !

Ensuite je lui léchais ses seins, puis sa minouche dans un soixante-neuf enflammé où elle avala ma jolie chatte épilée (tout en passant sa langue sur mon anus dont elle s’occupera bientôt…) et où je bouffai son vagin tout lisse avec de jolies traces marron.

Nous nous sommes ensuite échangé un long et profond baiser parfumé à la merde !

Depuis ce jour, Hélène et moi nous nettoyons l’anus dès que nous le pouvons, et j’avoue que j’ai du mal à me passer de l’odeur de son cul…

Caro, jeune salope.

 

Ce texte signé Caro a été publié sans mail de l’auteur en février 2001 par Revebebe qui l’a depuis supprimé) Il a été un peu rewrité pour la présente édition tout en en conservant l’esprit.

Par Caro - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 1 août 2003 5 01 /08 /Août /2003 18:17

Feux d'artifice - 2 - Le camping-car par Louise01

 

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES


(suite de " Feu d'artifice ")

Peut-être vous souvenez-vous de moi, Louise, qui ai vécu une soirée mémorable avec mes amis Martine et François accompagnés de leur copine Magali lors du bal du 14 juillet 2001.  

Compte tenu que de mon état de fatigue, mais aussi à cause des nombreuses bières ingurgitées, je me suis résolue à accepter la proposition des mes amis de passer la nuit sur place dans le camping car. Le véhicule est spacieux mais pas vraiment prévu pour quatre personnes ; Martine et François se partagent le grand lit tandis que Magali et moi-même nous nous allongeons sur deux étroites banquettes séparées par la table que nous avons repliée pour la circonstance.

Alors que tout le monde était couché je me rends compte que nous n'avions même pas pris de douche, ce n'est pas très sérieux après ce que nous venions de vivre. J'ai l'impression de dégager une véritable odeur de pissotière, mais apparemment cela ne dérange personne ; Magali est déjà endormie et le couple chuchote en se faisant des bisous, sans doute encore excité par ce qu'ils m'ont fait subir. Alors pourquoi devrais-je me faire du soucis si eux ne s'en font pas, et sur ce je m'enfonce dans les bras de Morphée.

Mon sommeil est de courte durée car je suis réveillée par l'inconfort de ma couchette dont la largeur n'atteint pas celle de mon fessier, il faut dire que côté cul mère nature m'a gâtée plus que de raison, et mon tour de hanches me fait parfois ressembler à ces statues de l'antiquité…

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A défaut de dormir je me mets à repenser à l'aventure que j'ai vécue ce soir ; le résultat ne se fait pas attendre et je me retrouve rapidement avec ma main entre mes cuisses. Je repense à la queue de François, et comme pour mieux me remémorer cette sensation je glisse ma seconde main sous mes grosses fesses en envoyant un doigt à l'assaut de mon petit trou. Pour faciliter son introduction je me couche sur le côté, mon majeur y entre d'ailleurs si facilement que je décide de mettre l'index aussi ; et me voilà en train de me frotter le clito avec en plus deux doigts profondément enfoncés dans le cul tout en me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Je me suis ainsi fait du bien pendant un assez long moment, mais d'un coup j'ai la désagréable impression d'être observée et je réalise alors que, comme je tourne le dos a la copine Magali, je lui offre une vue imprenable sur mon cul nu que je suis en train de fourrer avec mes doigts. Je suis persuadée qu'elle ne dort plus et qu'elle ne doit pas perdre une miette de l'indécent spectacle que je lui offre ; cela devrait sans doute me gêner, mais au contraire je sens mon sexe qui mouille de plus en plus et je suis sure que je vais tacher la couchette.

Mais non je ne rêve pas, j'entends bien ma voisine qui se lève et deux secondes après je sens le souffle de sa bouche tout contre mon oreille :

- Quelle salope tu fais, on dirait que ça ne t'a pas suffi tout à l'heure ?

Visiblement elle n'a pas l'intention d'attendre ma réponse puisqu'elle m'attrape le bras me forçant ainsi à ressortir de mon anus, et immédiatement elle porte ma main à sa bouche pour sucer mes doigts goulûment. La honte m'envahit car je me doute bien dans quel état ils doivent être, n'ayant pas encore été à la selle de toute la journée. Comme pour confirmer mes craintes Magali me force à tourner la tête et me prend la bouche pour un baiser passionné. Ses lèvres sentent fort et je reconnais l'odeur de mon cul ; sa langue cherche la mienne, elle a un goût fort et très amer, sans doute celui de ma merde. Au même moment ma main droite qui n'est pas restée inactive déclenche un violent orgasme et je crois bien que, si cette petite cochonne n'était pas en train de ma bâillonner avec sa bouche, j'aurais réveillé tout le camping avec mes cris de jouissance.

Evidemment notre manège avait réveillé les deux autres qui, assis sur leur lit, se sont manifestés en lançant un hypocrite :

- Ne vous dérangez pas pour nous !

Mais l'état de la queue de François, plaquée contre son nombril tellement il bandait, démontrait bien qu'il était réveillé depuis un moment et n'avait pas du perdre grand chose du spectacle. Et voilà Martine qui met son grain de sel en me disant :

- Pour te faire pardonner de nous avoir réveillé il va falloir nous faire une petite gâterie !

Aussitôt Magali me prend par la main et m'amène devant le lit de mes amis, elle m'ordonne de me mettre à genoux, je m'exécute et me retrouve le visage à quelques centimètres de la verge dressée. Dieu que cette queue est belle, elle sent très fort et son aspect luisant me prouve qu'elle était encore dans le vagin de Martine il y a très peu de temps. Mes lèvres sont attirées comme par un aimant et se referment automatiquement sur ce barreau de chair brûlant ; son odeur puissante et son goût acidulé me font chavirer, j'ai l'impression de sucer François et de lécher Martine en même temps. Alors que je me délecte de cette offrande je sens derrière moi que mon anus va être investi une fois de plus ; ça ne peut être que Magali puisque Martine est devant moi sur le lit, sauf que cette fois ce n'est pas un doigt mais bel et bien sa bouche qui se colle contre mon cul. Quelle sensation délicieuse, il ne faut que quelques minutes à cette cochonne pour dilater mon orifice au point que toute sa langue arrive à pénétrer mon anus. Martine qui est dans un état d'excitation extrême repousse brutalement son mari en arrière, m'arrache littéralement son sexe de la bouche et vient s'empaler sur la magnifique queue. Je me trouve maintenant le nez dans la raie de mon amie qui m'ordonne :

- Lèches moi le cul salope pendant que je me fait baiser par mon homme, si tu t'y prends bien tu auras une récompense !

Ma langue monte et descend dans la raie du cul de Martine au gré de sa chevauchée ; elle non plus n'a pas pris de douche et son odeur de femme en chaleur et d'urine séchée me font chavirer. Je ne me prive pas de glisser jusqu'aux couilles parfaitement rasées de François et j'en profite pour boire ce jus d'amour qui suinte à chacun de leurs va et vient. Sa chatte fait un bruit obscène chaque fois qu'elle se laisse retomber sur le sexe fiché en elle, un peu comme un ballon qui se dégonfle. Entre temps Magali a changé de position, elle est maintenant couchée sous moi, la bouche colée sur ma chatte comme une ventouse ; je me liquéfie carrément lui offrant ma liqueur en abondance. Evidemment elle n'oublie pas mon cul pour autant puisqu'elle y a fourré plusieurs doigts, je ne saurais dire combien mais mon anus est si bien lubrifié que j'ai l'impression qu'elle pourrait y mettre la main entière. Soudain François se dégage du sexe de sa femme et me crie :

- Vite Louise, prends le, ta récompense arrive !

Je me jette sur cette queue gluante et l'engloutis d'un coup, à tel point que son gland me fait mal au fond de la gorge. Quelques secondes après de violents jets de sperme épais et brûlant se répandent dans ma bouche et manquent de m'étouffer, c'est aussi le moment d'avoir un nouvel orgasme dont la bouche Magali, toujours scotchée à ma chatte, est la première bénéficiaire. Dehors le soleil se lève et nous décidons d'aller tous ensemble aux douches du camping pour laver nos corps suintants et odorants avant de prendre un sérieux petit déjeuner. Mais comment donc ai-je pu me contenter de la masturbation pendant trois longues années, j'ai encore tellement de choses à rattraper que lorsque je quitte mes amis (ou plutôt amants) je les invite à venir dîner à la maison le soir même. Mais ceci est une autre histoire…

LOUISE de Strasbourg. 

Par Louise01 - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 17 juin 2003 2 17 /06 /Juin /2003 14:02

Initiation extrême par Dilomf
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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Bonjour, voici comment j’ai découvert les joies et plaisir de la relation scato.

J’avais 19 ans lorsque je la rencontrai. Elle c’est Hélène, pas très belle, pas très intelligente mais 30 ans et lorsque qu’une femme de cette âge s’intéresse à un minot comme moi, je saute sur l’occasion. Elle est entrée dans ma vie pour quelques mois uniquement mais m’a ouvert des horizons que j’avais jusque-là ignorer.

Notre relation était uniquement sexuelle, basée uniquement sur le plaisir. La procédure de nos rencontres était toujours la même, elle m’appelait pour savoir si j’étais libre, me donnait un rendez-vous chez elle ou dans un bar et nous baisions comme des bêtes jusqu’à ce que nos corps soient repus de plaisir.

Un jour elle me laisse un message pour me donner rendez-vous dans un bar, je me présente à l’heure dite et elle est là, habillé très classe dans une jupe et tailleur. Je savais par expérience que cette tenue cachait des dessous extrêmement affriolants. Après avoir pris un verre et discuter de choses et d’autres, nous nous rendons chez elle. Là nous nous embrassons mais elle me repousse fermement.

– Bon j’en ai un peu assez des baises sans but, j’ai décidé d’y mettre un peu de piquant, veux-tu être mon esclave ?
– Ouais, si tu veux.
– Bien alors à partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse et tu m’obéiras, es-tu toujours d’accord ?

Je sentais à sa voix qu’elle attendait ma réponse avec une certaine anxiété, comme si elle craignait que je refuse ce jeu qui ne pouvait aller bien loin, au moins le croyais-je.

– Oui, cela me va.

Elle me demanda alors de me déshabiller entièrement, de croiser les mains derrière la tête ce que je fis. Elle prit ensuite tout son temps pour me détailler, laissant glisser ses mains sur mon corps, soupesant mes couilles, les caressant tendrement, me branlant doucement. Bientôt ma queue se mit à donner des signes de vie, se redressant fièrement. – Bien maintenant que tu es quelque peu échauffé, penche-toi en avant  » . Elle passa alors derrière moi, je sentais ses mains sur mon dos qui suivaient ma colonne, doucement comme si elle comptait le nombre de vertèbre, arrivée au bas de ma colonne, elle glissa un doigt dans ma raie culière, frôla mon anus sans s’y attarder, attrapa mes bourses qu’une fois de plus, elle caressa doucement puis alla s’asseoir dans le canapé ou je la rejoignis.

– Qu’est-ce que tu fais là ? Me lança-t-elle sur un ton n’acceptant pas la réplique.
– Ben je suis venu pour continuer ce que tu as commencé.
– Je vois que tu n’as pas tout compris, reprend la position ! et comme j’hésitais un peu… Plus vite que ça esclave !

Je me relevai pour me repositionner comme précédemment.

– Bon puisque tu ne m’obéis pas, que tu ne m’appelles pas Maîtresse et que tu réponds sans que je t’en ai donné la permission je vais te punir, cela va t’aider à mieux enregistrer ce que je te dis.

Je l’entendis fouiller dans un tiroir puis elle me demanda

– Combien de coups penses-tu que cela mérite ?
– 5 coups ! .

CLAC, une douleur sur les fesses, je ne pouvais pas voir ce qu’elle tenait à la main mais j’avais parfaitement entendu un sifflement avant la douleur, j’en déduisis donc qu’elle se servait d’un instrument.

– Tu dois m’appeler Maîtresse, à chaque fois que tu t’adresses à moi, ça te fera 5 coups en plus, compris ?
– Oui… Maîtresse.
– Bien et que je n’ai pas à te le rappeler, et maintenant compte !

Le premier coup de cette série me surpris par sa douceur

– Un.
– Comment, je n’ai rien entendu, tu ne me remercie pas de la peine que je prends à t’éduquer, on reprend à zéro

CLAC,

– Un, merci
– Merci qui ? on reprend à zéro !

Petit CLAC sur mes fesses

– 1 merci Maîtresse
– Voilà, tu commences à saisir, c’est bien

Petit CLAC,

– 2, merci Maîtresse.

CLAC

– Ouïe, 3 merci Maîtresse !

Au fur et à mesure que je comptais, les coups se faisaient de plus en plus dur. A sept elle s’est arrêtée, mes fesses me brûlaient et je les contractais le plus possible pour moins sentir la douleur. Je croyais qu’elle allait s’arrêter alors je me suis relâché et elle a profité de cet instant pour m’asséner le huitième coup. Enfin arriver à dix, elle m’autorisa à me relever mais pas à retirer mes mains.

– Te souviens-tu de la conversation que nous avons eu à propos des fantasmes, tu m’as avoué que tu nourrissais celui de te faire enculer, c’est toujours d’actualité ?
– Oui –

De nouveau CLAC sur mes fesses déjà endolori,

– Oui qui ?
– Oui Maîtresse !

Bien alors nous allons voir cela tout de suite. De nouveau elle farfouilla dans un tiroir derrière moi.

– Retourne toi !

Sur le meuble était posé un plug que je jugeai de bonne taille, sorte de ballons de rugby en taille plus réduite posée par la pointe sur un socle. *

– Je vais te l’enfoncer dans le cul, et comme je veux qu’il y reste, je vais le fixer par des sangles à la ceinture que je vais te passer à la taille, toujours d’accord ?
– Oui Maîtresse !.

Elle me donna donc une ceinture que je passais à même la peau puis elle me demanda de me mettre à quatre pattes, le dos bien cambré. Elle se mit devant moi et je pus la voir mettre du lubrifiant sur l’objet puis se mit derrière et le présenta devant mon anus. Je ne pus résister à la contraction lorsque je le senti approcher de mon trou, le froid du gel me surpris. Elle tenta une première fois l’intromission mais je résistai

– Détends toi, cela va aller, doucement, ça y est, il entre !

Disant cela elle le poussait toujours plus loin, je sentais mon anus se dilater pour laisser passer l’objet. Un instant j’ai cru qu’il ne pourrait aller plus loin sans me déchirer puis d’un seul coup je l’ai senti bien en place. Maîtresse Hélène a passé les sangles dans le plug et dans la ceinture puis m’a dit de me relever. Je le sentais en moi, corps étranger au plus profond de mon être, violant mon intimité. Un plaisir diffus mais bien réel m’envahissait au fur et à mesure que je le sentais mieux, que je l’appréhendais mieux. Elle est retournée s’asseoir sur le canapé et m’a demandé de me poster devant. Elle me demanda de remettre les mains derrière les mains derrière la tête et commença une fellation toute en jouant avec le peu de jeu que les sangles donnaient au plug. Ah ! Cette langue divine qui jouait avec mon gland, glissant dessus pour provoquer des sensations inoubliables. Et ce plug qu’elle faisait jouer dans mon cul. J’allais jouir quand elle s’arrêta.

– Non, continue ! Osais-je.

Une fessée magistrale enfonçant le plug encore plus loin accueillit ma demande.

– Tu ne demandes jamais plus rien pour toi, compris ?
– Bien maîtresse !
– Allonge toi par terre dans la salle de bain, mais avant retire le tapis de bain

J’y allais, sentant à chaque pas le plug bouger dans mon cul. La situation devenait de plus en plus délicate, je sentais qu’il était poussé vers l’extérieur par une envie qui devenait de plus en plus pressante mais je fis ce que m’avais demandé ma maîtresse. Elle ne tarda pas à apparaître à la porte, nue également. Je pus alors voir que contrairement à nos précédentes rencontres, elle s’était rasé le sexe ce qui me permit de voir le haut de son sexe. Quel bonheur de voir cet objet de désir, de convoitise. Elle se pencha vers moi, m’embrassa puis me donna ses seins à sucer. Quel régal que de sentir leur douce chaleur contre mes lèvres, le téton qui se dresse affectueusement sous mes coups de langue

– Tire la langue..

Et me voilà la langue tirée au maximum pendant que ma Maîtresse fait glisser son corps dessus. C’est étrange, je vois son corps défiler doucement au-dessus de moi, ses seins, sa poitrine, son ventre son nombril et me voici avec la langue sur son sexe, Il est ouvert par le désir et humide, je lèche avidement le liquide qui en nimbe les lèvres, chatouille le clitoris. Elle commence à s’éloigner alors je lève la tête pour suivre le mouvement mais Maîtresse Hélène m’attrapa par les cheveux et me plaqua la tête au sol. Elle ferma les yeux et je ne tardais pas à sentir un jet chaud sur mon visage. L’odeur qui en provenait ne laissait aucun doute sur son origine. J’ouvrais la bouche pour protester quand un deuxième jet arriva droit devant, sous la surprise j’avalais un peu de liquide qui s’avéra fort bon, presque sucré. Maîtresse Hélène surveillait au-dessus de moi mes réactions et quand le levais les yeux vers elle, je pus lire dans son regard une satisfaction certaine de me voir m’abreuver à sa source.

dom piss09– C’est bien, avale, je vais aller doucement !

Par petits jets elle commença à se vider sur moi, dans ma bouche sur mon visage mais la pression a dû se faire trop forte à un moment car elle se mit à uriner sans discontinuité pendant ce qui me parut une éternité. Elle avait dû boire énormément en attente de ce moment. C’est à ce moment-là que je réalisais que son plan devait avoir été penser et préparé longuement à l’avance J’adorais entendre le bruit que cela faisait, comme une fuite dans un tuyau sous pression.

Malheureusement, je ne pouvais pas regarder. J’aurais aimé voir sa fente ouverte libérant ce flot tumultueux. Une fois que cela fut finit, quand j’eus avalé ce que je pouvais elle m’embrassa à pleine bouche, lécha mes lèvres à la recherche des gouttes d’urine qui y serait encore. Puis elle me donna de nouveau son sexe à lécher. Je ressentais un grand bonheur à nettoyer ces lèvres ou perlaient quelques gouttes, à jouer avec le clitoris, à arracher à ma Maîtresse quelques râles de plaisirs. Mais sans doute ne souhaitant pas que je prenne trop de plaisir dans cette activité, elle se releva et me demanda d’en faire de même.

– Alors ce plug, apparemment, tu le supportes bien ?
– Cela commence à faire mal, ça pousse Maîtresse !
– Bien tu n’as pas oublié, tu es en progrès, tu pourras peut-être jouir avant que l’on se quitte, mais ça pousse, tu veux dire que tu veux… chier ?.

Elle savait que les mots vulgaires me mettaient mal à l’aise, sans doute les restes d’une éducation un peu stricte.

– Oui Maîtresse ! Avouais-je timidement.
– Bien, alors nous allons voir cela tout de suite, attends-moi ici, à quatre pattes au milieu de ma pisse, comme un chien qui attendrait sa maîtresse !

Aussitôt qu’elle me le demanda, je m’exécutai.

– Il m’a semblé que tu as aimé, alors tu vas lécher ce qui est par terre –

Je m’usais donc la langue à lécher le carrelage. Autant l’urine chaude est bonne, surtout quand elle provient de sa Maîtresse, autant l’urine refroidie n’est pas ma tasse de thé mais je m’appliquais à faire ce qu’elle m’avait demandé, ayant trop peur de me faire de nouveau punir, car qui sait ce qu’elle inventerait de nouveau. Elle revint au bout de quelques minutes, harnaché d’un gode de taille plus réduite que le plug, elle défit les lanières qui le retenait encore dans mon cul et le sorti tout doucement..

– Il faut que tu serres les fesses au moment où il va sortir complètement, je ne veux rien voir sortir de ton derrière d’autre que ce plug… bien parfait, maintenant je vais t’enculer, petite chienne ! .

Disant cela elle me rentra le gode d’un seul coup entre mes fesses serrés. Cela me fit mal sur le moment mais elle se mit à aller et venir. Je pouvais sentir le mouvement sur mon anus qui se tendait vers l’avant et l’arrière. Mon intérieur était tout remué. Quelle exquise sensation !

– Attention, je vais sortir, serre les fesses !

Une nouvelle fois je m’exécutai, toujours à quatre pattes, Elle se planta devant moi et m’ordonna de sucer.

– Mais Maîtresse, il est sale !
– Oui et alors, tu as bien bu ma pisse, alors tu vas nettoyer ta merde, exécution !.

Timidement, je léchai le bout tout couvert de la merde sorti tout droit de mon cul. Elle m’attrapa par les cheveux

– Je t’ai dit de sucer, pas de suçoter ! Et elle m’enfonça le gode dans la bouche.

Sur le moment, un haut le corps que j’eus du mal à réprimer m’envahit puis je fis abstraction de ce qui était sur le gode pour me consacrer sur le fait que je le suçais. L’odeur était acre, forte et la matière chaude. Elle se mit bientôt à aller et venir dans ma bouche comme précédemment dans mon cul. Elle sortit de ma bouche et frotta le gode sur mon visage, y étalant la merde que je n’avais pas prise dans la bouche. Tout à ma fellation, j’en oubliai mon derrière qui se détendit pour laisser échapper les matières fécales qu’il retenait depuis si longtemps. Maîtresse Hélène voulu reprendre place derrière moi et découvrit le tas échappé de mes intestins.

– Petit salopard, tu as chié dans ma salle de bain, tu vas me le payer, fais demi-tour !

Toujours à quatre pattes je me retournai pour me retrouver la tête au-dessus de ce bel étron. Elle glissa de nouveau le gode en moi et me demanda de mettre mes mains dans le dos. Dans cette position, elle appuya sur ma tête jusqu’à ce que je sois dans ma merde. Elle allait et venait en moi, m’écrasant que les chairs molles et odorantes que j’avais eu l’indélicatesse de déposer sur son carrelage. Elle m’attrapa la verge et se mit à me branler. Je ne tardai pas à bander comme jamais mais une fois de plus elle s’arrêta avant que j’aie pu jouir. Les coups de boutoir dans mon cul se faisaient de plus en plus rapide et chose surprenant que je ne m’expliquais pas, Maîtresse Hélène semblait sur le point de jouir elle-même. Pour moi le plaisir était toujours aussi fort, je n’aurai jamais imaginé que de se faire sodomiser soit aussi agréable, à ceux qui n’ont jamais essayé, je vous le conseille. A l’instant où elle jouissait, elle me tira la tête en arrière et me la rabattit face contre terre droit dans ma merde étalé. Puis elle se figea tout au fond de moi avant de se retirer.

– Ouahou !!! Tu m’as fait jouir petite merde, c’était vraiment bon ! .

Disant cela elle retira le gode et je vis alors que de son côté il y avait une petit protubérance, qui, je le devinais lui avais provoqué tout ce plaisir.

– Bien maintenant à moi de chier, allonge-toi sur le dos. Elle se positionna au-dessus de mon sexe, face à moi, penchée vers l’arrière. Je vis son anus se détendre, s’ouvrir pour laisser passer un bel étron brun qui vint s’écraser sur mon sexe à moitié dressé. Elle en libéra un deuxième de bonne taille qui suivit le même chemin que le premier.

– Branle toi dans ma merde !.

Je pris mon sexe dans la main et commença à me branler lentement, étalant la merde encore chaude sur mon membre qui reprenait des proportions correctes.

– Attends !-

Et je la vis se pencher et me prendre dans sa bouche. Sans aucune appréhension, sans hésiter, elle engouffra mon sexe plein de sa merde entre ses lèvres. Elle me pompait, m’avalait. Quand elle se redressa, ce fut pour m’embrasser à pleine bouche. Je sentis l’odeur sur sa langue, sur ses lèvres et le contact de la merde sur ses lèvres. Elle me caressa le visage étalant la merde qui s’y était collé pendant qu’elle me sodomisait puis retourna me sucer. Je n’osais pas bouger de peur qu’elle ne s’arrête, elle me pompait toujours plus vite, toujours plus loin, recrachant par moment une salive brune qui allait se mélanger avec ce qui était sur mon sexe. Puis elle descendit sur mes couilles et entreprit de les sucer tour à tour.

– Bien assez joué, branle-toi maintenant et jouis dans ta main !

Je m’exécutai sans attendre, soulageant ainsi la pression qui faisait rage en mon bas ventre. Il ne me fallut pas bien longtemps avant de jouir dans ma main comme elle me l’avait demandé.

– Et maintenant avale ton sperme !-

J’approchais la main de ma bouche, renâclant quelque peu à lécher le sperme en lui-même et surtout la merde sur lequel il reposait, tâche blanche au milieu de toute cette marée brune. Puis d’un seul coup je me jetai dessus et l’avalais avidement comme si c’était la meilleur des nourritures.

– C’est bien, tu vas faire un vraiment bon esclave mais pour le moment nous allons prendre une douche, vient avec moi ! .

Ainsi se termine cette histoire de la découverte du plaisir d’être esclave ainsi que de la scato. Bien sûr j’ai revu Hélène en de nombreuses autres occasions mais cela pourrait faire l’objet d’une autre histoire si vous le souhaitez. Dites-moi ce que vous en pensez à dilomf@yahoo.fr.

Postface du webmaster : Voici la première histoire contenant de la scato explicite qui a été publiée sur Vassilia. Il s’agit d’un choix délibéré. Après avoir pas mal hésité, nous avons décidé que ce fantasme avait droit de cité sur notre site. Nous avons veiller à en éviter les excès et les surenchères provocatrices, (mais sans non plus édulcorer, la scato reste de la scato). Comme pour le SM, notre choix privilégie uniquement le ludique et le consensuel. Nous ne nous sommes jamais laissé envahir et si l’uro est présente dans environ 50 % des contributions de ce site, nous n’entendons pas dépasser les 10 % pour la scato !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 1 mai 2002 3 01 /05 /Mai /2002 18:11

Feu d’artifice par Louise01

bisou1719

 

thémes abordés : bisex féminine, feuille de rose, party, uro

Bonjour, Et félicitation pour votre site que j’adore. Afin d’y contribuer
de modeste manière je vous prie de trouver ci-joint une histoire tirée d’une
expérience vécue, en espérant que vous voudrez bien la publier. Gros bisous
Louise

Feu d’artifices
Je m’appelle Louise, je vis en Alsace, j’ai 42 ans et je ne me trouve pas
trop mal physiquement, quoiqu’un peu enrobée avec 70 kg pour 1 m 68. Ce sont
surtout mes fesses qui sont volumineuses, mais fort heureusement elles sont
restées fermes, avec à peine quelques traces de cellulite à la naissance des
cuisses. Et puis, il y a mes seins, 95 de tour de poitrine, que la loi de la
pesanteur a déjà pas mal tiré vers le bas. On peut donc dire que je ne
manque pas de formes.

Divorcée et seule depuis plus de trois ans, j’ai accepté l’invitation d’un
couple d’amis d’aller assister avec eux au feu d’artifice et au bal
champêtre organisés à l’occasion du 14 juillet dans une petite ville près de
chez moi où ils séjournent en camping-car.

Il fait une chaleur étouffante en cette fin de journée, et je décide donc de
revêtir simplement une robe d’été très légère, ample et longue. L’avantage
c’est qu’elle m’amincit, mais surtout que je peux la porter sans rien
d’autre, pas même de culotte ou de soutien gorge, tant pis pour la marque
laissée par les bouts de mes seins. Après tout, il fera sombre dans pas
longtemps.

Je retrouve François et Martine sur le lieu de la fête au bord d’un étang.
Ils sont train de rire avec une autre jeune femme, une collègue de travail
de François, et je comprends tout de suite qu’ils n’ont pas bu que de l’eau
en m’attendant. En effet, Martine rit beaucoup sans raison apparente alors
que son mari ne se prive pas de peloter gentiment la personne assise à côté
de lui, elle se prénomme Magali et ne semble pas farouche.

Tout le monde me fait la bise, sauf Martine qui m’embrasse carrément sur la
bouche. Je suis tout de même un peu gênée devant les autres mais visiblement
personne n’y attache la moindre importance, il n’y a que moi qui suis
troublée.

Nous bavardons beaucoup et plusieurs bouteilles plus tard il commence à
faire nuit, et le feu d’artifices ne va plus tarder. Je me sens un peu
éméchée mais ce n’est rien à côté de Martine qui est de plus en plus gaie.
De plus elle a un comportement bizarre car à plusieurs reprises elle m’a
touché la cuisse tout en me parlant, un peu comme pour retenir mon
attention. Le problème, c’est qu’à chaque fois elle remonte ma robe un peu
plus, et sa main est maintenant posée à même ma peau. Je suis persuadée que
cela n’est pas dû au hasard et je commence à ressentir une sensation bizarre
dans le ventre.

Apparemment, les autres s’en fichent complètement, d’ailleurs ça fait un bon
moment que François, qui est assis en face de nous à côté de sa collègue,
n’a plus les mains sur la table. Je ne connaissais pas mes amis sous cet
angle et je me demande comment cette soirée va se terminer.

C’est alors que les premières gerbes de lumière explosent dans le ciel, ce
qui me fait sursauter. Et au même moment une main se plaque fermement sur
mon pubis. Martine se rapproche de mon oreille et me chuchote :

- Ecarte tes cuisses, ma cochonne, ou je dis à tout le monde que tu n’as pas
de culotte.

Je manque de défaillir mais je m’exécute. Immédiatement, je sens deux doigts
s’insinuer dans mon intimité trempée et je me mords les lèvres pour ne pas
crier. C’est la première fois depuis mon divorce qu’une main autre que la
mienne touche mon sexe, qui se met à mouiller abondamment.

De plus, ce geste me fait remarquer que j’avais sérieusement envie de faire
pipi, ce qui n’est pas étonnant vu la quantité de bière que j’ai bue. J’en
fais part à ma voisine, et du coup elle retire sa main et lèche ses doigts
gluants de mes sécrétions avec un  » mmmm…  » de satisfaction. Heureusement,
les autres ont tous le regard dirigé vers le ciel et personne ne fait
attention à son manège.

Le bouquet final à peine retombé, l’orchestre se met à jouer une série de
marches et François nous exhorte à aller danser. Sans attendre la réponse,
le voilà déjà parti, entraînant Magali vers l’estrade en bois ou de nombreux
couples ondulent déjà.

Moi je n’ai qu’une envie, c’est d’aller aux toilettes ! Je me lève et
Martine se précipite pour m’accompagner et me montrer le chemin. La cabane
qui sert de WC est mal éclairée, et il s’en dégage une odeur épouvantable,
aussi je décide d’aller faire mon pipi plus loin car il y a suffisamment de
buissons et d’arbres pour se mettre à l’abris des regards, mais mon
accompagnatrice ne me lâche pas.

Cette situation et les attouchements que Martine m’a prodigués m’ont mis
dans un état d’excitation tel que je n’ai plus guère de pudeur et c’est tout
naturellement que je relève ma robe jusqu’au nombril. Elle passe dernière
moi et me propose de me tenir le vêtement pour que je ne le salisse pas. Je
fléchis les genoux tout en écartant les jambes, et je soulage enfin ma
vessie.

Alors que le sifflement caractéristique du pipi trop longtemps contenu se
fait entendre, je sens la main de Martine se plaquer sur ma chatte. Bien sûr
je ne peux plus m’arrêter et je l’arrose copieusement. Ses doigts ne restent
pas inactifs, elle me masturbe le clito avec une efficacité telle que je
jouis avant même d’avoir fini de pisser. Evidemment ma robe est trempée et
mes jambes mouillées, mais je m’en fiche ; cette femme a déclenché un
orgasme foudroyant en quelques secondes et je n’ai plus qu’une envie, que
cela continue.

Martine me lèche le lobe de l’oreille tout en s’affairant dans mon dos et
subitement je sens sur mes fesses nues le contact de sa peau. Un délicieux
chatouillement provoqué par les poils de son pubis, qu’elle avait du raser
il y a quelques jours, me confirme qu’elle a baissé son short et qu’elle
frotte sa chatte nue contre mon gros derrière, c’est divin.

Je me penche en avant et je passe ma main entre mes cuisses pour essayer
d’atteindre son sexe. C’est difficile et je me dis que je suis trop grosse.
Mais au même moment un jet brûlant se répand entre mes fesses, arrose ma
main et coule le long de mes cuisses. Martine est en train de me pisser
dessus ! Je ne suis plus en état de me contrôler, tout ce que je veux c’est
jouir ! Je me branle furieusement la chatte en me frottant avec cette urine
dont la source ne semble plus vouloir se tarir. Un nouvel orgasme me fait
tomber en avant, à genoux dans l’herbe trempée par nos abondantes mictions.

J’ai la tête qui tourne et je ne réagis même plus lorsque deux mains me
poussent dans le dos puis écartent vigoureusement mes deux globes charnus.
C’est lorsqu’une bouche chaude vient se plaquer sur mon anus que je reviens
à la réalité, voilà que cette cochonne me lèche le cul maintenant me dis-je.

Je ne tarde pas à réaliser mon erreur puisque Martine est là en face de moi,
elle se caresse la chatte en me souriant. Et me voilà prise de panique, à
qui donc est cette langue qui fouille mon anus ?

Je n’ai pas le temps de le vérifier car la bouche qui s’occupait si bien de
moi s’est retirée et immédiatement je ressens une vive douleur et la voix de
François qui s’écrie  » quel cul !  » 

1603b
En une seule poussée le mari de ma copine s’est enfoncé en moi ;
heureusement que dans mes pratiques solitaires je me suis également occupée
de dilater un peu mon anus, pourtant malgré cela j’ai bien cru qu’il allait
me déchirer. Mais très vite la douleur laisse la place au plaisir et cette
queue qui pilonne mon rectum me fait jouir pour la troisième fois et je
m’écroule pour de bon, à plat ventre dans l’herbe humide.

 

François qui n’a pas joui se retire, c’est dans un état second que je le
vois présenter sa verge à Martine qui ouvre grand sa bouche pour recueillir
les giclées de sperme, ensuite je ne me souviens plus de rien.

Lorsque je reprend conscience je suis allongée dans le camping-car de mes
amis, la musique de la fête est maintenant très éloignée. Martine m’explique
que je suis tombée dans les pommes et qu’ils ont préféré m’amener à leur
camping tout proche plutôt que de me reconduire chez moi dans cet état.

Je comprend aussi que le déroulement de cette soirée était prémédité, que
mes amis pratiquent régulièrement l’échangisme et qu’ils avaient envie de me
faire sortir de l’isolement et de l’abstinence dans lesquels je vivais
depuis mon divorce, c’est le plus beau cadeau qu’ils pouvaient me faire. En
fait tout le monde y a assidûment participé puisque c’est Magali qui, de sa
langue, m’avait détendu et lubrifié l’anus avant la pénétration du sexe de
François, un vrai travail d’équipe.

Leur vacances ne s’achèverons que dans une semaine, inutile de vous dire que
l’expérience de cette nuit ne restera pas isolée car, avec mon accord cette
fois, Martine, François et Magali ont promis d’user et d’abuser de moi tous
les jours jusqu’à leur départ.

Mais cela sera une autre histoire…

LOUISE de Strasbourg. panoz@freesurf.fr

Par louise01 - Publié dans : Auteurs divers
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