Auteurs divers

Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 18:44

Zaya, récit des âges farouches par De Dontun

n26a

 

 

Oulmar émis un grognement de satisfaction ! Le piège avait très bien fonctionné. Il ne savait pas compter, mais savait qu'il y avait beaucoup de sangliers embrochés dans les épieux du piège. Son travail était fini. Les autres sauraient maintenant transporter les animaux tués jusqu'au village de la horde. Les anciens et les femmes de la horde des Oulms sauraient faire sécher cette viande qui assurerait une partie de leur survie pendant l'hiver.

Oulmar grogna encore, il leva les deux bras au ciel et émis un cri libérateur, il bandait à présent, il se débarrassa de son pagne en peau de bête, il se voulait nu, et grogna de nouveau. Alors Haral l'imita, puis Myar, puis tous les autres, Puis ils se mirent à danser autour du piège. Ils dansèrent longtemps jusqu'à l'épuisement. 

Ils se reposèrent ensuite, mais luttèrent afin de ne pas sombrer dans le sommeil, il fallait que tout soit terminé avant la tombée de la nuit, avant que l'odeur des cadavres attire les grands fauves de la forêt.

Un homme s'était blessé au cours du rabattage. Il avait maintenant du mal à se déplacer. Alors Oulmar et Haral l'aidèrent à marcher, mais cela ralentissait considérablement la progression du groupe. Myar se proposa pour partir en éclaireur. C'est lui qui préviendrait la horde de ce qui s'était passé, c'est lui qui leur dirait ce qu'il restait à faire !

Zaya avait écouté Myar. Oulmar allait revenir auréolé de gloire, cette fois encore il sortait la horde d'une passe difficile, et tandis que Boyol, le vieux chef donnait des ordres elle lui coupa la parole

- Oulmar doit être notre chef

Le chef fit signe à Myar qui était à ce moment-là près d'elle

- Bât-la !

Myar ne se le fit pas dire une deuxième fois, et envoya une volée de baffes à la pauvre fille qui s'écroula en sanglots sous les rires et les quolibets du groupe!

Zaya se vengerait, elle regrettait maintenant d'être revenue…

Elle ne savait pas compter, mais un hiver s'était terminé et encore un autre hiver, elle se remémorait. La horde affaiblie par une maladie qui mettait en défaut le savoir des sorciers. Puis, la venue des Tauvs. Les Tauvs étaient nombreux, ils étaient vêtus de peaux de bêtes inconnues. Le contact fut difficile, certains pensaient qu'ils étaient des dieux, d'autres au contraire pensaient qu'il s'agissait de démons. Alors quelques jeunes mâles de la horde les provoquèrent. Mais les Tauvs furent les plus forts, beaucoup de membres de la horde périrent. D'autres furent emmenés en esclavage.

Parmi les esclaves il y avait, elle, Zaya- et puis aussi Oulmar. Ils craignaient d'être torturés, peut-être même pire. Non, le travail était rude, et si parfois les humiliations et les coups ne leur étaient pas épargnés, la vie était loin d'être insupportable. Et puis surtout, ils avaient appris ! Ils avaient même appris que l'on pouvait apprendre ! 

Les Tauvs effectuaient des raids de représailles parfois très loin de leur territoire. Mais ils ne maltraitaient pas leurs prisonniers esclaves, et surtout ne les mangeaient pas, à la surprise de Zaya et de son compagnon d'infortune.

Oulmar, pendant un temps, les méprisa même pour cela !

En fait, sa condition d'esclave lui convint assez rapidement, lorsqu'il compris que pour le peuple Tauv il s'agissait surtout de faire partager sur davantage d'hommes les tâches de la vie... et pas seulement les plus pénibles.

En ces temps farouches, la reproduction nécessaire des hommes et des femmes devait compenser les morts accidentelles de chasseurs et de cueilleuses dans la forêt.

Oulmar et Zaya le comprenaient d'instinct. Ils apprirent durant leur captivité chez les Tauvs que les choses se passaient autrement. 

Chez les Tauvs, baiser n'avait pas pour seul objectif de rendre grosses les femmes, pour augmenter le nombre de chasseurs !

Chez les Tauvs, le sorcier-chaman était le maître d'étranges cérémonies auxquelles furent tout de suite invités, au plus profond de grottes décorées, Oulmar et Zaya !

Ceci comme récompense de quelques jours de chasse pour l'un, et de menus travaux dans les huttes de branchages et de peaux pour l'autre.

Au fond de la dernière salle, à la lumière de la résine enflammée des torches, les deux esclaves avaient distingué les niches creusées dans la paroi un peu au-dessus du sol en calcite blanche. Lorsque Oulmar et Zaya furent invité à s'asseoir, ils constatèrent que le siège, très étroit; et la forme de la paroi contre laquelle ils s'adossaient, faisait comme jaillir vers l'avant leur bas ventre...

Leurs pieds se disposaient naturellement dans deux petites cuvettes, de part et d'autre du siège, les obligeant à ouvrir leurs cuisses libérées rapidement du pagne en peau par le chaman.

Oulmar banda immédiatement lorsque la femme du chef vint s'asseoir sur lui en présentant ses fesses au niveau de son pubis, il crut que son tour était venu de rendre grosse la Tauv ! 

Et il s'y employa, en remuant du plus fort qu'il pouvait sa verge tendue dans le sexe soyeux de la maîtresse de la horde.

Il ne comprit pas ce jour-là pourquoi, alors que la femme sentait venir le jaillissement de la semence d'Oulmar, elle se libérait, en se relevant, du sceptre enfoncé dans sa chair, et se mettant à genoux face à l'homme l'engloutit dans sa bouche avec un bruit mouillé.

Mais pour Zaya, ce fut différent.

Elle compris cette nuit même que la chaleur qui irradiait son ventre par le bas pouvait être obtenue autrement que par les va-et-vient de la longue pierre polie qu'elle utilisait parfois la nuit au camp des Oulms.

Lorsque les hommes Tauvs se succédèrent à genoux entre ses cuisses écartées jusqu'à la douleur, et la fouillèrent de leurs langues trempées, elle sombra dans un état second de plaisir qui la laissa pantelante jusqu'au matin.

Zaya savait à présent que l'on pouvait baiser en y prenant du plaisir. Zaya savait à présent que l'on pouvait aussi faire durer ce plaisir plus longtemps…

Le temps avait passé, et un jour un des chefs des Tauvs leur tint un drôle de discours, il leur expliqua que désormais ils n'étaient plus esclaves, mais qu'il fallait promettre de ne pas partir ! Ils n'avaient pas bien compris ce que voulait dire le mot "promettre", et ils s'étaient réunis entre eux pour essayer de comprendre.

Ils s'aperçurent alors que plus personne ne les surveillait ! L'un d'entre eux se mit alors à courir et à franchir l'enceinte du village Tauv sans que quiconque ne s'élance à sa poursuite, alors ils le suivirent. Tous !

Ils rejoignirent alors la horde. Elle était décimée, après l'attaque, ceux qui avaient fui s'étaient regroupés autour du chef. Un climat malsain s'était installé dans la tribu, Le chef était contesté, et il avait fait assassiner ceux qui ouvertement convoitaient sa place, se privant de la valeur de beaucoup des jeunes guerriers survivants. Les évadés furent accueillis avec une grande joie. Ceux-ci essayèrent de leur inculquer ce qu'ils avaient appris chez les Tauvs, mais parfois n'y arrivaient pas.

Zaya aimait faire l'amour, mais elle n'aimait pas que les hommes avec qui elle le faisait se l'approprient, elle n'aimait pas non plus que les hommes avec qui elle le faisait lui imposent sa façon de faire. Résultat : ou bien on l'évitait ou alors, après avoir baisé, les hommes la battaient pour tenter de lui imposer leur domination. Au moins chez les Tauvs, on ne la battait pas….

Seul Oulmar faisait exception, ils avaient fait une fois l'amour, et après, au lieu de dormir, ou de partir faire un tour, il l'avait caressé tendrement, cela lui avait donné d'étranges frissons, qui lui rappelait ceux qu'elle avait connus dans la caverne des Tauvs, et qu'elle aurait bien aimé connaître de nouveau.

Il fallait qu'elle devienne la femme d'Oulmar, sa femme principale, sa favorite et il fallait qu'Oulmar devienne chef. Pour la deuxième partie du plan, on verrait plus tard, mais la première partie, ce serait pour tout de suite.

Zaya expliqua à trois autres filles ce qu'elle attendait d'elles. Elles ne comprirent pas trop où elle voulait en venir. Mais Zaya, à défaut de jouir d'une bonne réputation avait de bons arguments, elles acceptèrent après pas mal de grognements et même quelques baffes.

Sa plus jeune sœur, elle, ne participerait pas, elle devait attendre le retour d'Oulmar et lui dire discrètement que Zaya l'attendait à la rivière…

Quand Oulmar rejoignit le village, la sœur de Zaya fut tellement discrète que Myar l'entendit !

Alors Oulmar rejoignit la rivière, ce n'était pas très loin. 

Les quatre femmes se baignaient nues dans l'eau courante, l'eau rendait les corps brillants, et la lourde poitrine dorée de Zaya renvoyait les rayons du soleil tel un fruit mur que l'on s'apprête à cueillir. 

Oulmar détacha son pagne, libérant sa bite déjà raide et ses couilles bouillonnantes de désir. Il s'approcha, mais perçu un grognement hostile derrière lui

Myar réclamait la priorité. Oulmar grogna ! Myar à son tour détacha son pagne libérant une pine monstrueuse, beaucoup plus longue et beaucoup plus grosse que le sexe d'Oulmar ! Ce dernier avança vers son rival, accentua ses grognements espérant que l'autre laisserait tomber devant sa détermination.

Non ça ne marchait pas ! Myar l'attendait prêt à en découdre. Il avait une tête de plus que lui et était autrement plus musclé, le combat était perdu d'avance ! Sauf peut-être à employer certains techniques apprises subrepticement chez les Tauvs. Et puis, il y avait autre chose, le chef avait interdit les combats internes. Ceux-ci finissaient souvent par la mort de l'un des protagonistes et affaiblissait la horde qui n'avait pas besoin de ça ! La dernière bagarre s'était terminée par l'intervention des proches du chef, qui firent périr le survivant dans d'atroces souffrances. Personne n'avait depuis recommencé. Myar comptait-il avec l'affaiblissement de l'autorité du chef, ou bien se sentait-il tout simplement invincible ?

Alors, Oulmar s'assit, signifiant à son rival qu'il refusait le combat et lui laissait la priorité. Myar s'approcha des quatre filles et son regard se fixa sur Zaya qui était devenue assez décontenancée. Myar grogna intimant l'ordre à la femme de l'accueillir. Il n'avait pas prévu que celle-ci ne l'entendrait pas de cette oreille. Elle grogna à son tour. Myar lui attrapa le bras, mais de celui resté libre Zaya lui retourna une sorte de manchette qui le déséquilibra ! Cela n'avait aucun sens, le combat était trop inégal ! Alors Zaya appela les trois autres filles qui se jetèrent sur lui, le tapant, le griffant, le mordant. Myar était vaincu par le nombre, ne parvenant pas à se dégager. A un moment l'une des femmes saisit une énorme pierre et s'approcha de l'homme à terre, avec la ferme intention de lui écrabouiller le visage !

- Non !

Oulmar cria ! Il était inutile de le tuer. Stupéfaite de cette intervention elles cessèrent, et Myar humilié s'enfuit sans toutefois se presser, se retourna parfois vers le groupe pour grogner sa haine…

Alors les quatre filles firent comme Zaya l'avaient voulu. Elles se positionnèrent l'une à côté de l'autre en se plaçant à quatre pattes, le cul cambré vers Oulmar. Lentement, presque imperceptiblement elles se mirent à onduler des fesses, puis à les caresser, certaines enduisaient auparavant leurs doigts de salive pour s'en imprégner le cul afin de le rendre plus luisant. Pas Zaya, elle n'avait pas besoin d'aller chercher si loin de quoi mouiller ses fesses, ce qui dégoulinait de sa chatte faisant parfaitement l'affaire.

Oulmar avait retrouvé son érection, il bandait superbement, apparemment les filles ne lui en voulaient ni d'avoir refusé de se battre avec Myar, ni d'avoir arrêté son lynchage. Par contre, il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Pourquoi quatre filles ? Voulait-on le récompenser de cette façon pour cette chasse exceptionnelle dont tout le bénéfice lui revenait ? Dans ce cas il devrait honorer les quatre filles, les unes après les autres, mais il garderait la plus belle pour la fin, Zaya serait donc son dessert !

Pour Zaya c'était un test, mieux une épreuve, s'il commençait par elle, c'est que sa passion pour elle l'emportait sur ses simples pulsions sexuelles, et elle pourrait continuer à mettre ses plans à exécution, dans le cas contraire, elle envisageait de retourner chez les Tauvs.

Oulmar s'approcha, hésitant sur la fille qu'il besognerait en premier. Instinctivement il huma l'atmosphère, s'enivrant des odeurs environnantes. Mais bientôt une fragrance bien particulière domina tout le reste, l'odeur de la femelle en chaleur, et celle-ci n'avait qu'une seule source le sexe béant de Zaya d'où s'écoulait ce fort liquide. Oulmar jeta son visage entre les fesses de Zaya et commença à emplir ses narines de cette odeur qui l'enivrait, et qui même le faisait saliver, il ouvrit alors la bouche, et tira sa langue pour lécher le précieux liquide dont tous les poils de la fille étaient à présent imprégné, il léchait et Zaya ondulait du cul, gigotait, incapable de rester en place, elle se releva davantage offrant mieux son sexe à son partenaire. Oulmar continuait à lécher et entrepris de s'occuper à présent de sa chatte ouverte. Il devenait fou. D'un côté, il souhaitait s'enivrer de la chatte de Zaya pendant encore plus de temps, de l'autre il fallait bien qu'il libère ses couilles de l'énorme pression de plaisir qui de ne demandait qu'à s'échapper !

n26

Il résista encore, pour le plus grand plaisir de Zaya qui maintenant poussait des petits cris. Oulmar aimait l'entendre crier, cela changeait de ces femelles qui acceptaient l'homme avec un désintérêt complet ! Zaya eu bientôt envie d'uriner. D'abord elle se lâcha, puis se força à se retenir. Pendant ce court moment, elle aspergea néanmoins son partenaire, qui marqua à peine quelques secondes de surprises, avant de boire y compris çà, la pisse ne faisait que se mélanger à la cyprine et la sueur qui ruisselait de son intimité. Mais bientôt, l'état d'Oulmar devint insoutenable ! Il fallait jouir ! Là ! Maintenant ! Tout de suite. Il regarda sur sa gauche puis sur sa droite laquelle aurait l'honneur de son premier trait ! Peut-être celle-ci… Non celle-là ! Alors, incapable de se décider, il entreprit de rester sur place et pénétra violemment la chatte de Zaya. Le cœur de celle-ci se remplit de bonheur et tout à ses rêves, perçue à peine la jouissance fort rapide d'Oulmar ! 

Quand il se retira, elle se coucha sur le dos, les yeux plein de larmes de joie, offrant son corps de jeune femme heureuse aux rayons du dieu soleil. Oulmar pouvait maintenant besogner ses trois copines. Elle s'en foutait complètement.

Elle crut ce jour-là que sa capacité à tester et à comprendre les hommes était infaillible. Cela lui causa quelques menus soucis par la suite. Mais malgré tout, elle n'eut pas trop à se plaindre de la décision qu'elle prit ce jour de retour de chasse !

Certains diront sans doute que 20 000 ans plus tard et quelques milliards de femmes en plus, aucune d'entre-elles n'est jamais arrivée à savoir ce qui réellement se passait dans la tête des hommes… 

Oserais-je ajouter alors… "et vice-versa " ?

De Dontun. © 2000

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Vendredi 6 août 2021 5 06 /08 /Août /2021 10:32

Paroles de chieuses

correspondance historique par la Duchesse d’Orléans

 

Duchesse

Cet échange épistolaire entre la duchesse d’Orléans et l’électrice de Hanovre est absolument authentique (voir référence en bas de page)

 

La duchesse d’Orléans à l’électrice de Hanovre

 

Fontainebleau le 9 octobre 1694

 

Vous êtes bien heureuse d’aller chier quand vous voulez ; chiez donc votre chien de soûl. Nous n’en sommes pas de même ici, où je suis obligé de garder mon étron pour le soir ; il n’y a point de frottoir aux maisons du côté de la forêt. J’ai le malheur d’en habiter une, et par conséquent le chagrin d’aller chier dehors, ce qui me fiche, parce que j’aime à chier à mon aise, et je ne chie pas à mon aise quand mon cul ne porte sur rien. Item, tout le monde nous voit chier ; il y passe des hommes, des femmes, des filles, des garçons, des abbés et des suisses ; vous voyez par-là que nul plaisir sans peine, et que si on ne chiait point, je serais à Fontainebleau comme le poisson dans l’eau. Il est très chagrinant que mes plaisirs soient traversés par les étrons ; je voudrais que celui qui a inventé de chier, ne pût chier, lui et toute sa race, qu’à coups de bâton. Comment, mordi ! qu’il faille qu’on ne puisse vivre sans chier ! Soyez à table avec la meilleure compagnie du monde, qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier. Soyez avec une jolie fille, une femme qui vous plaise ; qu’il vous prenne envie de chier, il faut aller chier ou crever. Ah ! maudit chier, je ne sache point de plus vilaine chose que de chier. Voyez passer une jolie personne, bien mignonne, bien propre, vous vous récriez : ah, que cela serait joli si cela ne chiait pas ! Je le pardonne à des crocheteurs, à des soldats, à des porteurs de chaises et à des gens de ce calibre-là. Mais les empereurs chient, les impératrices chient, le pape chie, les cardinaux chient, les princes chient, les archevêques et les évêques chient, les généraux d’ordre chient, les curés et les vicaires chient. Avouez donc que le monde est rempli de vilaines gens, car enfin, on chie en l’air, on chie sur la terre, on chie dans la mer, tout l’univers est rempli de chieurs et les rues de Fontainebleau de merde, car ils font des étrons gros comme vous, Madame, Si vous croyez baiser une belle bouche avec des dents bien blanches, vous baiser un moulin à merde ; tous les mets les plus délicats, les biscuits, les pâtés, les tourtes, les perdrix, les jambons, les faisans, tout n’est que pour faire de la merde mâchée, etc.

 

Réponse de l’électrice

 

Hanovre, 31 octobre 1694

 

electrice

C’est un plaisant raisonnement de merde que celui que vous faites sur le sujet de chier, et il paraît bien que vous ne connaissiez guère les plaisirs, puisque vous ignorez celui qu’il y a à chier ; c’est le plus grand de vos malheurs. Il faut n’avoir chié de sa vie, pour n’avoir senti le plaisir qu’il y a de chier ; car l’on peut dire que de toutes les nécessités à quoi la nature nous a assujettis, celle de chier est la plus agréable. On voit peu de personnes qui chient qui ne trouve que leur étron sent bon ; la plupart des maladies ne nous viennent que par faute de chier, et les médecins ne nous guérissent qu’à force de nous faire chier, et qui mieux chie, plutôt guérit. On peut même dire qu’on ne mange que pour chier, et tout de même qu’on ne chie que pour manger, et si la viande fait la merde, il est vrai de dire que la merde fait la viande, puisque les cochons les plus délicats sont ceux qui mangent le plus de merde. Est-ce que dans les tables les plus délicates, la merde n’est pas servie en ragout, ? Ne fait-on pas des rôties de la merde des bécasses des bécassines, des alouettes et d’autres oiseaux, laquelle merde on sert d’entremet pour réveiller l’appétit ? Les boudins, les andouilles et les saucisses, ne sont-ce pas des ragouts dans des sacs à merde ? La terre ne deviendrait-elle pas stérile si on ne chiait pas, ne produisant les mets les plus nécessaires et les plus délicats qu’à force d’étron et de merde ? Etant encore vrai que quiconque peut chier sur son champ ne va point chier sur celui d’autrui. Les plus belles femmes sont celles qui chient le mieux ; celles qi ne chient pas deviennent sèches et maigres, et par conséquent laides. Les beaux teints ne s’entretiennent que par de fréquents lavements qui font chier ; c’est donc à la merde que nous avons l’obligation de la beauté. Les médecins ne font point de plus savantes dissertations que sur la merde des malades ; n’ont-ils pas fait venir des Indes une infinité de drogues qui ne servent qu’à faire de la merde, il entre de la merde dans les pommades et fards les plus exquis. Sans la merde de fouines, des civettes et des autres animaux, ne serions-nous pas privés des plus fortes et meilleures odeurs ? Les enfants qui chient le plus dans leurs maillots sont les plus blancs et les plus potelés. La merde entre dans quantité de remèdes et particulièrement pour la brûlure. Demeurez donc d’accord que chier et la plus belle, la plus utile et la plus agréable du monde. Quand vous ne chiez pas, vous vous sentez pesante, dégoutée et de mauvaise humeur. Si vous chiez, vous devenez légère, gaie et de bon appétit. Manger et chier, chier et manger, ce sont des actions qui se suivent et se succèdent les uns aux autres, et l’on peut dire qu’on ne mange que pour chier, comme on ne chie que pour manger. Vous étiez de bien mauvaise humeur quand vous avez tant déclamé contre le chier ; je n’en saurais donner la raison, sinon qu’assurément votre aiguillette s’étant noué à deux nœuds, vous aviez chié dans vos chausses. Enfin, vous avez la liberté de chier partout quand l’envie vous en prend, vous n’avez d’égard pour personne ; le plaisir qu’on se procure en chiant vous chatouille si fort que, sans égard au lieu où vous vous trouvez, vous chiez dans les rues, vous chiez dans les allées, vois chiez dans les places publiques, vous chiez devant la porte d’autrui sans vous mettre en peine s’il le trouve bon ou non, et, marque que ce plaisir est pour le chieur moins honteux que pour ceux qui le voient chier, c’est qu’en effet, la commodité et le plaisir ne sont que pour le chieur. J’espère qu’à présent vous vous dédirez d’avoir voulu mettre le chier en si mauvaise odeur, et que vous demeurerez d’accord qu’on aimerait autant ne point vivre que ne point chier.

 

Il s’agissait donc d’un extrait de la correspondance complète de la duchesse Elisabeth-Charlotte d’Orléans (1676-1744) avec sa tante l’électrice Sophie de Hanovre (1630-1714), publiée par la Société littéraire de Stuttgart, On peut retrouver le fac-similé de ces correspondances sur Google book

 

Annexe :

 

Excusez ma vilaine écriture, la plume est déjà vieille, mais il y a bientôt 22 ans que je chie par le même trou et il n’est même pas encore déchiré, tous les jours je chie dedans et mord la crotte à belles dents… Qui peut donc avoir écrit ceci ?

 

Eh bien c’est tout simplement Wolfang Amadeus Mozart, l’immortel auteur de la Flute enchantée, de Don Giovanni, de Cosi Fan Tutte, de 41 symphonies, d’un magnifique Requiem et de plus de 600 autres œuvres)

 

Mozart écrivait donc à sa cousine qui pas du tout en reste lui fit cette réponse : « Porte toi bien mon amour et pousse toi le cul dans la bouche. Je te souhaite une bonne nuit mon mari, mais d’abord chie au lit et que ça pète ».

 

Autres temps, autre mœurs, la tabou de la scato en ces temps n’était tout simplement pas aussi « irrationnel » que de nos jours.

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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:47

Mamie Blue par Mamie blue

Mat Stamp

J'ai maintenant 60 ans, ma maison est trop grande et j'ai passé une annonce pour louer le premier étage. J'attends un couple à 18 heures.


Surprise, le couple, ce sont deux mecs. Ça ne me gêne pas, j'ai les idées larges.


Je leur fais visiter les lieux, ça a l'air de leur plaire et ils s'adressent des sourires complices.


Nous redescendons et ils tombent en arrêt devant un portrait.


- C'est votre petite fille ? Me demande l'un des deux gars

- Non c'est moi quand j'avais 20 ans ! J'étais jeune et désirable à l'époque, il ne faudrait pas vieillir.

- Mais vous êtes toujours désirable, chère madame !

- Ne dites pas une chose pareille, je serais capable de vous prendre au mot.

- Mais pourquoi pas ? Qu'en pense-tu Gaétan ?

- La même chose que toi !


J'avais enfin l'occasion de réaliser ce fantasme que j'attendais depuis toujours : je vieillissais, les hommes me regardaient moins, mais je rêvais de me faire baiser comme une vieille chienne par deux jeunes, qui pourraient être mes petits-fils... 


Il m'aidèrent à déboutonner leur pantalon, et je saisis leurs queues déjà dures, je commençais à les branler et à prendre ces belles bites dans ma bouche avide de leur sperme. Ils en profitèrent pour me débarrasser de mes vêtements, je me suis retrouvée nue, en bas de soie devant eux. Ils me donnèrent alors un aperçu de leur talent de jeunes baiseurs. Il me culbutèrent sur la moquette du salon et me prirent ensemble, un dans la chatte, l'autre dans le cul, j'adore me faire enculer. J'ai jouis immédiatement en sentant ces deux grosses et belles queues se frotter l'une contre l'autre en moi. Il y avait fort longtemps que je n'avais joui ainsi. 

Mamieblue

Attirée par le bruit, Josette ma gouvernante fit irruption dans le salon où nous nous enfilions.


- Venez nous rejoindre Josette, quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre.


Et Josette se jette dans la mêlée, nous nous mélangeons dans un ballet infernal. Ma gouvernante en profite quand elle le peut pour me lécher les nichons, la chatte ou l'anus, elle a toujours été un peu goudou.


Mais elle le fait tant et si bien qu'un moment les deux jeunes hommes se retrouvent hors-jeux.


Mais leur frénésie érotique n'est point calmée pour autant, les deux gars se roulent une pelle en se branlant la queue, puis Gaétan prend celle de son camarade dans sa bouche et la suce avec volupté. Cinq minutes après, il se mettait en levrette offrant son trou du cul aux assauts bitiques de son amant.


- C'est touchant, deux hommes qui s'enculent, n'est-ce pas Josette ?

- Très touchant, madame !


Les deux mecs sont revenus à la charge, ils m'ont baisée longtemps, me faisant subir les pires cochonneries, tout ce que j'avais pu imaginer lors de mes rêves. Ils me pénétraient de toutes les façons possibles et imaginables, ils me retournaient comme une crêpe à la Chandeleur, me claquaient mes vieilles fesses jusqu'à ce qu'elles deviennent toutes roses, puis ils ont voulu me pisser dessus.


- Pas ici, je tiens beaucoup à mon beau tapis, mais allons dans la salle de bain vous pourrez m'aspergez tant que vous voudrez, d'ailleurs j'ai comme une petite soif.


J'ai bu leur pisse et quand Gaétan m'a demandé s'il pouvait me chier dessus, j'ai accepté, je ne pouvais quand même pas leur refuser cette petite fantaisie après tous les plaisirs qu'ils m'avaient accordés.


Ah, vous voudriez savoir si les deux gars ont loué le premier étage ? Ils m'ont dit qu'il allaient réfléchir, mais je ne les ai jamais revus. Quel dommage.


 

Mamie Blue

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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 12:55

La bonne de Saigon par Fred

 

asian

POUR LECTEURS AVERTIS : PASSAGE SCATO EXPLICITE

 

Vietnam, Saigon, 112 Thàn Long Street, pas loin de l’aéroport International.

 

Expat comme beaucoup de mes collègues je suis résidant au Vietnam depuis près de cinq années. Nous avions ma femme et moi loué une villa qui me servait à la fois de bureau et de logement. Deux étages plus terrasse pour le logement et un étage pour mes besoins professionnels.

 

Dans les pays asiatiques il est de bon ton de prendre une bonne (ou un boy) J’avais réussi à convaincre ma femme de prendre une bonne mais elle s’est gardé le droit de choisir son âge.

 

Irrationnellement mon choix aurait d’abord favorisé le tour de hanche et de poitrine de la postulante plutôt que ses qualités à dénicher l’ultime trace de poussière ou à concocter le plus succulent des plats avec deux grains de riz et un morceau de blanc de poulet. Mais bon, je me connaissais, et je ne voulais pas de prise de tête avec mon épouse. Je lui laissais donc le choix.

 

Quelle ne fut pas ma surprise de voir un matin une appétissante petite asiatique aux formes suggestives qui était en discussion avec ma femme. Mon regard n’arrivait pas à se détacher de ses poumons. Elle avait au moins deux kilos de chaque côté, accrochés bien haut. Je m’apprêtais à demander à mon épouse qui était cette charmante Viet, quand elle me devança en me présentant miss Ying, la nouvelle bonne, à l’essai pour une semaine.

 

Je fus agréablement surpris du choix tout en souhaitant qu’elle réussisse son examen de passage. Pour moi elle était embauchée, inutile de lui faire passer une semaine d’essai. Mais cessons de rêver. Pas question d’y toucher.

 

Les choses allèrent leur chemin, Ying réussit son test et resta. Et je me concentrais sur mon travail. La direction de mon département me laissait le soin de gérer mon temps à condition de leur faire parvenir régulièrement un état d’avancement de mes travaux.

 

Les vacances de fin d’année approchaient à grands pas. Mon épouse souhaitait passer le mois de décembre en France car elle n’avait pas revu sa famille depuis plus de deux années. Pour des raisons professionnelles je ne pus pas l’accompagner. Je restais à Saigon en lui promettant de rentrer pile poil pour les fêtes de fin d’année.

 

– Surveille la bonne me lança-t-elle le jour du départ. Tu sais que je ne lui fais pas totalement confiance.

– Ne t’en fais pas, je m’en occupe lui répondis-je tout en étant à cent lieues de m’imaginer la suite.

 

Cette matinée là j’essayais de faire avancer mon projet de simulation vidéo radar. Un programme servant à dépouiller des données enregistrées en temps réel sur un radar militaire type OTAN.

 

Du coup je fus surpris lorsque Ying fit son apparition pour la première fois dans la pièce qui me servait de bureau et de chambre à coucher de secours. Ma femme lui avait interdit de faire le ménage dans cette pièce pendant ma présence. Elle minauda un timide « Xin Chao Mister » en évitant mon regard. J’avais tous mes synapses occupées à résoudre ce putain de « overflow error » que me lançait le compilateur de mon programme que je ne pris pas vraiment garde au fait qu’elle était là dans ma pièce en train de s’affairer comme une petite fourmi. Elle promenait son balai de poils sur le sol en évitant soigneusement mon fauteuil. Le lit se trouvant dans la pièce ne servait pour ainsi dire pas si ce n’est pour entreposer des livres ou des cartons. Mais Ying décida de rendre au lit sa fonction première en le délestant de tout le fatras que j’y avais entreposé. Ce faisant elle se penchait sur le lit pour rassembler les magazines et enlever les deux ou trois cartons qui y traînaient. En s’activant ainsi elle me tournait le dos et chaque mouvement pour aller chercher les dossiers et livres qui étaient éparpillés sur le lit avait pour effet de dévoiler le haut de ses cuisses jusqu’à la lisière de sa petite culotte blanche. C’est à ce moment que mon cerveau englué réussi à sortir totalement de mes problèmes métaphysiques et accorda plus d’attention à mon environnement immédiat : Ying !

 

Tandis qu’elle s’acharnait à redonner un aspect normal aux draps et couvertures, je ne pus m’empêcher de regarder rouler ses fesses sous sa courte jupe tout en espérant qu’un mouvement un peu plus balancé qu’un autre me dévoilerait encore un peu plus de ce charmant spectacle. Inconsciemment je m’étais affaissé dans mon fauteuil afin d’en rater le moins possible. Je me suis toujours demandé comment une fille avec sa charpente pouvait se pencher sans perdre l’équilibre. Sa poitrine était affolante et j’avais dans mes égarements lubriques essayé d’imaginer plus d’une fois qu’elle pouvait bien être la sensation que je pouvais éprouver si j’avais l’occasion de tenir dans la paume de mes mains ces deux seins magnifiques. Elle n’avait pas d’enfant, elle devait donc les avoir bien ronds, durs et fermement accrochés.

 

Elle avait des cuisses longues et brunes. Le contraste de sa culotte blanche n’en faisait que ressortir davantage le galbe et la finesse. Je me voyais remonter ses cuisses avec mes mains jusqu’à la lisière… Je devais penser tout haut car c’est là qu’elle se retourna et me vit en train de la lorgner comme une bête. Son regard croisa le mien une fraction de seconde et je senti le sang affluer à ma tête. Je n’eus que le temps de bredouiller d’inintelligibles et vagues excuses en me replongeant devant mon écran dans un faux air de concentration mental. Mais elle avait déjà franchi le seuil de la pièce pour s’éclipser sans un mot.

 

A peine cinq minutes s’étaient écoulées qu’elle fit de nouveau irruption dans le bureau sans un mot cette fois en tenant un coussin. Son visage était indéchiffrable. Elle se dirigea vers le lit afin d’y placer le coussin sans me jeter un regard. Je voulais me défaire d’un commentaire quelconque mais la vue qui se présentait devant mes yeux me coupa la parole.

 

De la même façon que tout à l’heure, elle s’était penchée et tapotait ce coussin d’une manière visiblement exagérée en faisant traîner en longueur. Mais à la différence de la première fois, elle n’avait plus de culotte !

 

C’était sans aucun doute un appel à aller plus loin. Je me levais en repoussant le fauteuil dans un crissement sonore. Ying fit comme si elle n’avait pas entendu le bruit du fauteuil racler sur le parquet. Ce qui me confirma qu’elle attendait que quelque chose se produise. Arrivé près de son postérieur, je levais mes mains à la hauteur de ses fesses, puis les posaient doucement sur son cul tout en retenant ma respiration. Elle eut un imperceptible soubresaut et s’arrêta de tapoter le coussin. Nos deux souffles s’étaient arrêtes. L’atmosphère était devenue électrique.

 

La sensation était divine. Ses fesses étaient douces, chaudes et agréablement charnues. Finalement j’entendis sa respiration devenir de plus en plus forte, mais elle ne bougeait toujours pas, les bras appuyés sur le coussin et sa croupe me faisant face. Je continuais de caresser ses deux merveilleuses excroissances en les prenant à pleines mains. Je fini par m’agenouiller derrière elle pour jouir un maximum de ce spectacle magnifique qu’était la vue de son cul rebondi et nu, offert à toutes les caresses imaginables. Mes mains descendirent sur la partie externe de ses cuisses alors que je me laissais aller à poser un baiser sur sa fesse droite. Je l’entendis émettre un petit gémissement tandis qu’elle s’arc-boutait davantage.

 

– Lèche mes fesses, fït-elle d’une voix altérée, embrasse mon cul, fais-en ce que tu veux…

 

Je n’avais pas besoin d’invitation supplémentaire pour aller de l’avant. Tout en léchant ses fesses lisses, je fis glisser mes mains vers l’intérieur de ses cuisses en remontant doucement. Ying se cabra un peu plus en écartant légèrement ses jambes afin de me permettre d’atteindre plus facilement son intimité. L’intérieur de ses cuisses était brûlant. Je glissais ma main gauche petit à petit vers son vagin. Elle ne bougeait plus, retenant sa respiration. Lorsque ma main atteignit son intimité elle émit un petit râle en resserrant ses cuisses musclées sur ma main. Je la massais doucement tout en continuant de lécher ses fesses. Ying grognait et se cabrait au maximum pour me permettre d’atteindre toute sa profondeur.

 

Je retroussais sa jupe complètement au-dessus de sa taille pour jouir au maximum du spectacle. Elle avait une croupe fabuleuse qui attirait les caresses. A deux mains je me mis à pétrir ses fesses rondes et fermes lorsqu’elle m’arrêta d’un geste.

 

– Attend, ce sera mieux comme ça souffla-t-elle. Et elle monta ses genoux sur le bord du lit ce qui lui permit de reposer sa tête et sa poitrine sur le coussin tout en me présentant un cul ouvert à toutes les débauches.

– Tu aimes que je te lèche le cul ? Fis-je d’un ton altéré par le désir et surtout par la pensée de ce qui allait suivre.

– Oui, embrasse-le, met ta langue partout, tripote-moi, fait moi mal.

 

Je me remis à l’œuvre en enfouissant mon visage entre ses fesses. Ma langue passa sur ses lèvres intimes qui laissaient déjà s’échapper une humidité révélatrice de l’état dans lequel elle se trouvait. Je m’enhardi à laisser glisser ma langue de son vagin vers son anus en long va et vient. Ying ne fit aucun geste de refus, au contraire je la sentis qui poussait son cul vers mon visage à chaque fois que ma langue passait sur son petit trou.

 

– Oh, ooooh vas-y, c’est bon. N’arrête pas surtout lâcha-t-elle d’une voie saccadée.

 

Elle avait une odeur qui rendait fou. Ying était constamment en chaleur et prête à tout comme pratiquement toutes les Asiatiques. Mais j’étais loin de m’attendre à ce qui allait suivre.

 

J’introduisis un doigt de ma main gauche dans son vagin tout en lui pétrissant la fesse droite de l’autre main. Ma langue n’arrêtait pas de passer et repasser sur son anus. J’étais comme fou avec le feu dans le bas ventre.

 

– Ta langue, ta langue gémis-t-elle.

– Quoi ma langue ? demandais-je.

– Mets la dans mon cul s’il te plait, vite.

– Tout ce que tu veux ma petite pute, je te fais tout ce que tu veux.

 

J’écartais ses fesses à deux mains et plongeais ma langue en direction de son anus. Il était déjà tellement lubrifié par ma salive que je n’eus aucun mal à y introduire le bout de ma langue. J’entendis Ying gémir en marmonnant des paroles où il était question de jouir du cul. J’essayais des mouvements de va-et-vient avec ma langue mais son anus était tellement serré que c’en devenait douloureux. Je m’humidifiais un doigt avec lequel je commençais à jouer autour de sa petite fleur flétrie.

 

– Rentre-le, rentre-le donc ! grogna-t-elle d’une voix devenue rauque.

 

Ce que j’entrepris de faire en appuyant doucement pour éviter de la blesser, mais elle n’en eu cure. Elle recula son cul en gigotant pour l’empaler sur mon doigt.

 

– Encore, plus loin demanda-t-elle.

 

Et au fur et à mesure que je voyais mon doigt disparaître dans son cul chaud et étroit je sentis venir le moment où j’allais jouir dans mon froc tellement la situation était devenue explosive. Mon doigt avait complètement disparu dans son anus. Ma main butait contre ses fesses et empêchait mon doigt de pénétrer plus avant. Je sentais l’intérieur de son cul chaud et serré. Alors que je ne bougeais plus son sphincter se décontracta doucement.

 

– Oh que c’est bon fit-elle dans un souffle si seulement je pouvais avoir ta main dans le cul toute la journée. (bin voyons, personnellement j’étais partant)

 

Elle ne bougeait plus jouissant de cette sensation d’avoir un objet étranger dans son cul et sachant qu’au moindre mouvement le plaisir allait la rendre folle. Je retirais doucement mon doigt millimètre par millimètre, pour le replonger rapidement jusqu’au maximum.

 

– Oh que c’est bon, mais doucement, doucement dit-elle, sinon ça me donne envie de faire, heu, tu sais quoi…

 

Ces mots me firent encore plus d’effet, surtout que je sentais bien au fond de son cul une matière chaude et molle à chaque fois que je renfonçais mon doigt. Mon doigt rentrait et sortait de son cul plus rapidement et plus facilement tout en ayant quelque peu changé de couleur. La salope, elle avait le cul plein de merde. Et elle le savait en venant ici.

 

– Aaah ! Je sens que ça vient, si tu continues je ne réponds plus de rien, cria-t-elle. Fais quelque chose.

 

Avant même que l’idée ne me vienne elle me précisa :

 

– Encule-moi vite, sinon ça va sortir…

Asian 14081

Ça me fit l’effet d’une bombe. C’était donc ça qu’elle voulait. Ce n’était qu’une délicieuse petite salope qui adorait se faire remplir le trou du cul lorsque ses intestins étaient pleins de merde. Dieu que c’était excitant. Ni une ni deux je baissais mon pantalon et sans avoir besoin de lubrifiant (la merde de Ying allait s’en charger) je lui posais mon sexe sur son cul en poussant tout en retirant mon doigt avec précaution de peur de laisser s’échapper le contenu.

 

Elle écarta un peu plus ses genoux sur le lit afin de faciliter l’ouverture de son sphincter.

 

– Ooooh fit-elle, lorsqu’elle sentit ma queue rentrer centimètre par centimètre dans son cul, vas-y pousse. Repousse mon caca au fond. Ah que c’est bon. Je vais jouir du cul, je vais jouir du cul ! répéta-t-elle comme une droguée.

 

J’étais arrivé au bout, toute ma bite était rentrée dans son sale petit cul. Les poils de mon pubis étaient colles contre ses fesses.

 

– Vas-y maintenant. Ramone. Ramone ma merde je t’en supplie.

 

Je sentis que j’allais éjaculer d’une seconde à l’autre tellement mon membre était tendu et dur. Son sphincter serrait la base de ma queue comme un anneau d’acier. Le reste de ma queue semblait baigner dans un gouffre rempli de matière spongieuse tiède et douce.

 

– C’est merveilleux là-dedans ! lui dis-je.

 

Elle se mit à se trémousser et à serrer desserrer son sphincter. Je sentais que j’allais lui éjaculer dans le cul là tout de suite.

 

– Arrête, arrête ! criai-je, sinon je vais jouir. Ne bouge plus s’il te plait.

 

Ying arrêta de bouger ne voulant pas non plus que toutes ses sensations divines s’arrêtent soudainement. Pas encore, pas maintenant. J’étais dans les vaps. Entre ciel et terre. Nous ne bougions plus de peur d’interrompre cet instant magique. Après un temps que je suis incapable de définir, mon envie d’éjaculer m’ayant momentanément quitté, je me remis tout doucement à sortir puis à rentrer à fond ma bite chocolaté dans son anus.

 

– Mmmmmh gémi-t-elle, j’adore cette sensation. Je ne me retiens plus chéri.

 

En fait je ne sentais plus la contraction de son sphincter et à chaque retrait de ma queue, de la matière fécale accompagnait mon mouvement. En renfonçant mon membre sa merde s’amassait au pourtour de son orifice, tachant son joli cul d’une auréole brune de plus en plus large.

 

– Aaaah. Je ne peux pas me retenir, à chaque fois que tu sors, mon cul a envie de pousser mon caca dehors. Ne te retire pas trop chéri.

– Je vais jouir, je vais jouir dans ton cul, dans ta merde Ying. Quel bonheur…

 

Je limais son anus comme un fou, ma queue avait totalement changé de couleur. A chaque coup sa merde se frayait un peu plus un chemin vers l’extérieur. Je sentis venir les premiers à-coups de mon sperme, puis l’explosion finale dans son cul rempli de merde. Je plaquais brutalement Ying contre mon bas ventre en la tenant fermement par les hanches pour éviter que ses excréments ne continuent de sortir par à coup. De longues giclées de sperme se déversaient dans le cul de Ying. Je m’affalais sur son dos. La bite plantée dans son cul. Son corps était agité de soubresauts. Elle marmonnait je ne sais quoi en Viet je crois. J’ai juste saisi les mots caca, xin chao, xin chao…

 

Plus personne ne bougeait. Au bout d’un temps indéfinissable elle dit en riant :

 

– Si tu sors maintenant tout va venir, tu veux ça ? Je te nettoierai rassure-toi minauda-t-elle.

– On a pas le choix je crois hein ma petite salope répliquai-je. On y va ?

 

Je n’attendis pas sa réponse et me retirais d’un coup de son cul. Ying à plat ventre sur le lit les jambes écartés grogna en cabrant ses fesses.

 

– Mmh, je me vide, je me vide…

 

Je suis sûr qu’elle n’attendait que ça. Elle se laissa aller complètement relâchant son sphincter et sa vessie en même temps. Je n’eus que le temps de placer mes deux mains en coupe sous son cul pour limiter les dégâts, sa merde fumante sortait en saccade de son cul alors que le lit se tachait d’une auréole sombre de son pipi. C’était toujours aussi excitant. Je sentis mon membre retrouver une nouvelle jeunesse. J’ignorais que je pouvais prendre mon pied dans ce genre de déviation sexuelle. Comme quoi on en apprend tous les jours.

 

Oui c’est sûr, nous allions recommencer le plus vite possible. Dans tous les endroits possibles. J’avais déjà une idée pour la prochaine séance. Ying se leva enfin en tenant sa courte jupe loin au-dessus de sa taille afin de ne pas la salir, et me regarda dans les yeux.

 

– Regarde fit-elle en riant.

 

Tout en tenant sa jupe d’une main, elle souleva son tee-shirt par le devant avec son autre main pour me présenter ses deux globes radieux qu’aucun artifice n’avait besoin de sustenter. Pas de sous-tif, je le savais. J’hésitais à pétrir ses seins car mes mains n’étaient pas vraiment propres.

 

– Vas-y prend les qu’attends-tu ? lança-t-elle en se rapprochant de moi.

 

Ces mots me décidèrent. Je pris ses deux seins dans mes paumes et malaxais ces magnifiques excroissances naturelles. Quelle douceur, quelle sensation divine, je me penchais pour donner un suçon rapide sur chaque téton. Le désir me repris immédiatement. Je lui ôtais son tee-shirt, ainsi que sa jupe. Elle était divine dans cet état. A poils, maculée de merde.

 

– On va aller dans la salle de bain vient, lui dis-je. Passe devant ma petite Tonkinoise.

– Pourquoi faire ? je me sens bien comme ça dit-elle en se jetant à mon cou. Pas toi ?

 

Ce faisant ses deux seins se plaquèrent contre moi, je sentais une nouvelle vigueur monter le long de ma queue.

 

– J’adore me faire prendre par derrière avec une envie d’aller aux toilettes. C’est trop cool. Et toi, j’ai bien senti que tu adorais ça aussi hein ? me susurra-t-elle dans l’oreille en me la mordillant.

 

Au moins maintenant c’est confirmé. Elle avait un penchant un peu crade pour faire l’amour. Mais ça me convenait tout à fait. Je sentais ses deux flotteurs collés contre ma poitrine. Son odeur de femelle en chaleur était mélangée aux odeurs diverses venant de mon sperme, de son cul, du lit. Je la serrais dans mes bras en descendant le long de son dos avec mes mains chocolatés. Lorsque j’atteignis son cul elle se tortilla.

 

– OK, on se lave et on recommence là-bas murmura-t-elle.

 

Elle passa devant moi. La salle de bain était à l’étage. J’avais donc la plus délicieuse vue que l’on pouvait rêver. Ma bonne montant les escaliers avec une taille de guêpe, des fesses chocolatés se balançant dans un rythme de rêve.

 

FIN

 

Publié initialement sur le site d’HDS en janvier 2005

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 9 août 2020 7 09 /08 /Août /2020 09:51

Marie, ma collègue belle et sale à la fois par François01

scat

Scato inside

Comme vous le savez déjà si vous avez lu mon premier récit (celui qui raconte les aventures de ma femme avec Georges son amant et aussi mon ami), [non disponible sur ce site] je suis un mari cocu et plutôt heureux de l'être. Ceci dit, je suis toujours ouvert à une escapade sexuelle avec une femme, et même parfois avec un homme.  

 

Il faut que je vous raconte l'aventure que j'ai eue pendant deux mois avec ma collègue de travail Marie. Mais d'abord je dois vous décrire cette très piquante jeune femme.

 

Marie est d'origine Italienne, elle porte de longs cheveux noirs dont elle entretien la teinte minérale avec des recettes dont seules les femmes ont le secret. Elle est âgée de 39 ans mais a su conserver un très beau corps. Elle est de petite taille (un peu moins d'un mètre soixante), elle est fine tout en ayant des formes voluptueuses qu'elle met en valeur en s'habillant de vêtements toujours très collants. On peut pratiquement toujours deviner qu'elle porte des strings tant ses fesses sont moulées dans ses pantalons. Il arrive même souvent que la forme de sa fente apparaisse dans l'entrejambe de son vêtement, ce qui ne manque pas de me provoquer de douloureuses érections. Pour tout arranger, elle fait partie de ces femmes que je qualifie de  " pisseuse " , à savoir qu'elle se rend au moins six fois par jour aux toilettes. Cela fait déjà un certain temps que je la surveille pour la devancer et pour écouter l'écoulement de son urine en faisant silence dans le WC voisin. Je ne compte plus les fois où j'ai tout lâché dans mes doigts en entendant le bruit si caractéristique de l'urine glissant dans son urètre de femme.

 

Pour tout dire, elle a commencé à s'apercevoir de mon manège depuis quelques temps déjà et il faut ajouter que je ne lui suis pas indifférent. Elle n'hésite pas à me confier ses états d'âmes concernant ses copains du moment, ce qui est toujours un très bon signe avec les femmes.

 

Bref, ces suppositions et fantasmes se sont brutalement concrétisés lors d'une fin de journée il y a de cela deux mois. Nous avions dû passer un vendredi particulièrement actif et seuls tous les deux en raison de l'absence de nos collègues pour cause de maladie et visite en clientèle.

 

Il était 18 heures, fin légale de notre journée, lorsque je décidais d'aller dans le bureau de Marie pour lui proposer une petite discussion avant le départ. Je m'arrêtais face à elle, figé comme une statue. Marie avait pris une posture bien peu féminine puisqu'elle était assise les jambes ouvertes (un peu comme un homme en train de siroter une bière au comptoir) la main gauche posée à l'intérieur de sa cuisse et qu'elle me jaugeait d'un regard extrêmement provocateur. Elle me dit alors :

 

- Tu sais mon petit chou que je rêve depuis longtemps de te manger tout cru !.

 

Je n'en revenais pas qu'elle me sorte un truc pareil même si nous étions depuis longtemps très proches tous les deux. Elle m'appelait en effet souvent son chou à la crème comme moi je l'appelais ma beauté fatale. Des petits mots gentils en quelque sorte. J'éclatais donc de rire et lui dis :

 

- Tu m'as bien eu alors. Tu sais que c'est pas bien de jouer avec les garçons ! .

 

J'avais piqué cette réplique dans le film " Nikita" de Besson où JL Anglade répond cela à la miss Parillaud.

 

C'est alors qu'elle se lève sans se départir de son sourire et qu'elle reprend :

 

Marie- Dis donc, tu crois que j'ai pas vu ton cirque depuis quelques temps. Tu m'observes, tu me touches les mains à chaque fois que tu en as l'occasion, tu ne peux pas décrocher ton regard de mon entrejambe lorsque je m'habille collant. Oses me dire que tu n'as pas envie de moi ?.

 

Là j'ai craqué, je n'avais plus rien à dire et mon pénis qui bandait dur dans ma culotte prouvait de façon irrémédiable que j'avais immensément envie de Marie et que peu importait ma femme, ma famille, le monde entier à ce moment là. Je m'approchais donc d'elle et, très doucement, peut-être craignant un ultime refus, j'approchais mes lèvres des siennes. Notre baiser fut fougueux et nos langues ne cessaient de se mélanger ? L'haleine de Marie datait du matin, tout comme la mienne, et sa bouche était pleine de saveurs douces ou fortes qui me faisaient bander à m'en faire mal. Pour tout dire, je craignais de ne pas pouvoir me contrôler. Il se passa alors quelque chose que je n'avais jamais vécu : Marie faisait provision de salive dans le fond de sa gorge et me l'injectait dans la bouche avec force. Pour résumer elle me crachait dans la bouche, littéralement !

 

J'étais follement excité d'autant plus qu'elle me palpait les bourses avec une maîtrise qui démontrait qu'elle avait déjà fait cela avec de très nombreux garçons. Elle arrêta le baiser et me demanda si j'aimais sa façon d'embrasser. Je lui répondis que j'en étais fou, ce qui la fit sourire et dire  " comme tous les autres " . Elle alla donc plus loin et sa racla bruyamment la gorge, comme le ferait un grognard, pour me cracher son mélange sur la langue et bien me l'enfoncer dans la bouche à coup de palots. Ce qui devait arriver arriva et je me mis à gémir en sentant mon sperme se répandre entre ma culotte et mon pénis surtendu, poissant au passage mes poils et mes testicules encastrés dans mon ventre par la puissance de l'éjaculation. Je la regardais avec le regard d'un chien battu et je l'entendis me dire :

 

-  Tu n'as quand même pas déjà tout lâché mon salaud ? Tu vas pas t'en tirer comme ça, tu dois m'honorer correctement !

 

Elle défit mon pantalon et exposa le massacre : ma queue toujours raide, à la limite du priapisme ; le sperme en quantité impressionnante qui avait giclé partout. Et elle fit le ménage, jusqu'à ce que plus une goutte de mon foutre ne soit visible. Seule ma culotte restait bien empesée. Ce ménage se termina par un long baiser pendant lequel je dus reprendre tout mon sperme. C'était incroyablement bon et je buvais, j'avalais, je pompais tout ce que sa bouche daignait me donner. Elle reprit alors en disant :

 

-  Maintenant je veux aussi du plaisir. Déshabille-moi ! .

 

Je faisais alors glisser ses vêtements, découvrant son corps dont j'avais tant rêvé. Ses seins étaient magnifiques, d'une taille idéale, pendant légèrement vers le bas. Je les suçais avec passion, faisant sortir les tétons qui étaient curieusement retournés à l'intérieur du mamelon. Je la léchais aussi sous les globes, sous les bras ou je dégustais une partie de son odeur de femme, une odeur de transpiration forte, celle d'une peau brune puissante. Je descendais le long de son nombril, caressant son ventre plus très plat, mais si plein de promesses. Enfin, je me mis à frotter mon visage contre son sexe au travers de sa culotte, un string blanc avec des petites dentelles sur les cotés.

 

Il m'apparut alors deux choses. La première était que Marie avait une forte pilosité de la vulve puisque je sentais un bon matelas de poils entre le tissus de la culotte et la peau. La seconde était que son sexe exhalait une puissante odeur d'urine, ce qui semblait logique après une longue journée durant laquelle elle avait dû se rendre aux toilettes au moins six ou sept fois. Je n'osais pas lui dire à quel point ce fumet me ravissait d'autant plus qu'aucun parfum ne venait en altérer la composition. Je devenais dingue en constatant, à la lumière de sa lampe de bureau, que le tissu était visiblement jaune et humide au niveau du bas de sa vulve. Ce fut elle, une fois de plus, qui pris les devants en me disant :

 

 - Est-ce que tu es gêné mon petit chou ? .

 

Je lui répondis :

 

- Oh non, si tu savais comme j'aime  !.

 

Elle reprit :

 

Alors baisse un peu la culotte et regarde bien le fond !.

 

Je ne compris pas bien le sens de sa remarque mais je m'exécutais en découvrant un sexe magnifique, poilu, sans doute jamais taillé comme le font ces anti-femmes au sexe de gamine. On voyait bien la fente rose au milieu des poils. Elle mouillait et le liquide blanc et épais s'accumulait comme une goutte de lubrifiant aux commissures des grandes lèvres. En baissant le culotte, je vis ce qu'elle voulait me montrer : une trace marron sans équivoque empesant tout le fond du string blanc. Voyant que j'avais vu, elle reprit

 

-  Et là, est-ce que tu es gêné mon petit chou ? .

 

Pour toute réponse, je me mis au travail en commençant à parcourir son sexe de ma langue, emplissant ma bouche de ses odeurs et récoltant le produit de son vagin. Elle balaya son bureau de toutes ses affaires, se coucha dessus et releva ses cuisses et exposant totalement ses zones anales et génitales. Son visage était sérieux lorsqu'elle me dit :

 

 - Tu nettoies tout ça et tu auras peut être droit à glisser ta quequette dedans ! .

 

Je finissais donc le nettoyage de son sexe pour descendre progressivement vers l'anus. Il était rose, entouré de poils d'un noir de geais. Bien que son aspect soit propre, il exhalait une puissante odeur de merde. Marie me dit

 

- Allez, suce-le. J'ai pensé à toi en faisant mes besoins tout à l'heure. Je me suis essuyée vite fait à cause du téléphone et le string à fait le reste comme tu peux le voir. Je veux que ta langue fasse la finition ! .

 

Je me mis donc à lui téter l'anus, sans la moindre caresse préliminaire autour, ce qui n'est pourtant pas mon habitude. L'odeur était forte. Ses résidus de merde emplissaient ma bouche pour y laisser une saveur indicible. Au dégoût primaire que l'on pourrait imaginer se substituaient des saveurs lointaines. Celles des aliments dont Marie s'était nourrie et dont les tanins ressortaient fanés par son cul divin. Je voulais m'enfoncer dans ce cul et, écartant les fesses à les faire éclater, je fis pénétrer ma langue jusqu'à la crampe. J'ouvrais le trou et m'y frottais tout le visage pendant qu'elle se branlait en gémissant. J'écartais la rondelle en positionnant mes doigts autour et en priant pour qu'il en sorte ce que j'attendais tant. C'était pendant que ma bouche était ainsi collée comme un O à son trou que Marie, se lâchant sans complexe, libéra un pet qui me remplit comme je le méritais.

 

Je devenais fou. Ne le suis-je pas déjà ? Il fallait de je vide ma prostate du sperme qui s'y accumulait sans quoi je risquais de mourir de plaisir inassouvi.

 

Marie le comprit en me laissant rentrer en pleurant de plaisir. Je ne fis que trois mouvements dans son vagin, je ne l'oublierai jamais, avant de me caler au fond pour gicler-juter-vidanger-défalquer-emplâtrer-chier mon foutre en lui mordant la langue face à ses yeux révulsés. A ce moment, j'ai cru devenir l'un des êtres étranges des tableaux de Dali, un homme aux testicules pendant par les yeux et qui se trouverait aspiré par une femme-vortex dont la bouche ne serait qu'un immense trou du cul peuplé de cascades de folies.

 

Nous sommes restés comme ça pendant une heure en ne comprenant pas ce qui s'était passé. Nous n'avons jamais pu trouver les mots pour analyser notre aventure, mais je me demande aujourd'hui ce qui peut être plus fort que cela. Le regard de Marie était perdu quelque part, presque le regard d'un mort… terrifiant et inoubliable.

 

Vous allez peut-être trouver cela incroyable, mais aujourd'hui, alors que nous n'avons plus de relation intime puisqu'elle a un copain stable, j'aime et je respecte Marie au plus profond de mon être.

 

S'il y a un psycho qui peut m'expliquer tout ça, je suis ouvert à la discussion…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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