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7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 1 – Les trois premiers rêves
Un premier rêve
Dans une rue déserte de la banlieue de Montréal, une jeune femme marche sans but précis. Elle ne sait pas où elle est mais, ce qui est pire, c’est qu’elle ne sait pas non plus où elle va. Malgré tout, elle continue à marcher, espérant peut-être finir par arriver à un endroit qu’elle connaît. Ses cheveux bruns ondulés bougent au rythme de ses pas, elle est habillée d’un chemisier clair, d’une jupe noire et de chaussures à talons. Son errance l’amène à un carrefour, elle tourne au coin, c’est une voie sans issue mais une barrière permet d’entrer dans un grand parc arboré. Elle marche encore, traverse le parc et se retrouve soudainement à la campagne. C’est surprenant, car plus aucune trace de la ville n’est visible. L’endroit est calme et silencieux, totalement désert. Il n’y a autour d’elle que de grands champs plats et déserts. Elle continue à avancer droit devant elle sans but précis, sur un chemin de terre.
Soudain, quelqu’un l’aborde. D’où est-il venu ? Elle n’a pas le temps de se poser la question car cet inconnu engage immédiatement la conversation.
– Vous cherchez quelque chose, madame ?
– Je ne sais pas, je crois que je me suis perdue.
– Ça ne m’étonne pas, tout le monde se perd par ici… Avancez tout droit jusqu’à la fontaine et vous retrouverez votre chemin.
– Mais je suis où, là ?
– Le nom ne vous dirait rien. Mais je peux vous le situer par rapport à un village que vous connaissez.
– Je ne sais même pas d’où je viens.
– Allez à la fontaine, vous saurez alors où aller.
– Merci.
Marie reprend sa marche à travers champs. Heureusement pour elle, le sol est sec, car ses chaussures à talons ne sont pas très pratiques sur ce genre de chemin. Rapidement, des habitations réapparaissent, elle arrive alors sur une petite place au milieu de laquelle il y a bel et bien une fontaine, ce qui la rassure.
– Ça y est, j’y suis arrivée. Mais je ne sais toujours pas où je voulais aller.
Elle prend une rue au hasard. Et c’est alors qu’elle réalise où elle est.
– Voilà, je reconnais, je vais arriver chez Nicole.
Continuant sa marche dans la rue, elle finit par arriver une centaine de mètres plus loin devant le pavillon de son amie. Elle ouvre le portillon, traverse le jardin et va frapper à la porte d’entrée.
Quelques instants plus tard, une autre jeune femme entrouvre la porte. Ses cheveux bruns en désordre et ses yeux mi-clos donnent l’impression qu’elle vient de se réveiller. C’est bien son amie Nicole, ce qui ne manque pas de la rassurer. Par contre, ce qui la surprend, une fois la porte grande ouverte, c’est que son amie n’est vêtue que d’un pantalon. Celui-ci lui arrive au nombril, le haut de son corps est nu. Marie, bien que surprise, voire même choquée, ne peut s’empêcher de porter son regard sur les seins de son amie. Ceux-ci sont nus, bien fermes et ronds, avec des petits mamelons mais des gros bouts.
Nicole l’accueille ainsi, sans la moindre gêne.
– Bonjour, Marie. J’ai cru que tu avais un empêchement, je me suis même assoupie en t’attendant.
– Je suis venue à pied et me suis perdue.
– Tu ne sais plus venir ici ? Tu n’habites pourtant qu’à deux coins de rue.
– Oui, mais j’ai fait un détour.
Pensive, Nicole regarde son amie.
– Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as l’air troublée.
– Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tu es toute nue.
– Pas du tout, je porte un pantalon.
– Mais tu ne portes rien en haut.
– Toi non plus.
– Quoi ?
Marie ne comprend pas mais, tout en répondant, elle penche la tête vers ses seins et se rend alors compte qu’elle n’a plus ni chemisier, ni soutien-gorge, mais qu’elle a cependant conservé sa jupe et sa culotte et ses bas auto-fixants. Ses seins sont gros, doux, à faire baver tous les hommes.
Sans réellement comprendre ce qui s’est passé, Marie commence à s’inquiéter tout en essayant pudiquement d’abriter ses seins derrière ses mains.
– J’ai dû perdre mes vêtements dans la rue, je vais aller les rechercher.
– Laisse tomber, je vais te prêter quelque chose. Entre donc.
Nicole s’absente pour aller chercher un vêtement. Pendant ce temps, Marie se balade à moitié nue dans le hall d’entrée, attendant un peu gênée le retour son amie. Quelques instants plus tard, Nicole redescend du premier étage, toujours les nénés à l’air. Elle rapporte un t-shirt qu’elle donne à Marie.
– Tiens, essaye cela. Ça devrait t’aller.
Marie enfile le t-shirt tout en restant debout. Elle lève les bras en l’air pour l’enfiler et une fois mis, le t-shirt fait ressortir encore plus ses seins. Pendant ce temps, son amie en profite pour observer chacun des mouvements que font ses seins. Marie sent bien où le regard de son amie se porte, elle pourrait se retourner pour se cacher d’elle, mais elle n’ose le faire de peur de la vexer. C’est pour cela qu’elle préfère rester face à Nicole pendant qu’elle se rhabille.
Après quelques ajustements, Marie semble presque satisfaite.
– Ça me va bien. Tu n’aurais pas un soutien-gorge à me passer aussi ?
– Je n’en mets jamais, tu le sais bien.
– Ah bon ? Je ne me souviens pas que tu me l’aies dit.
Tout en discutant, les deux femmes se dirigent vers le salon.
– Ce n’est pas grave. Assieds-toi et raconte-moi ce qui t’amène ici.
Marie s’assied sur le sofa, à côté de son amie. Ce faisant, le t-shirt lui fait montrer la fente de ses seins. La forme de ses seins se retrouve alors largement dévoilé. Marie ne semble pas y prêter attention, peut-être a-t-elle déjà oublié qu’elle n’a plus de soutien-gorge. En fait, elle est surtout concentrée pour tenter de répondre à la question de son amie, mais sans succès.
– Je ne sais pas. Je crois que je suis venue ici par hasard.
Nicole s’avance au bord du divan pour admirer la tenue de son amie. En penchant un peu la tête, cela lui permet d’admirer également le haut des seins de Marie. Elle le fait sans grande discrétion mais Marie ne semble toujours pas s’en rendre compte.
– Tu sais que tu es excitante quand tu t’habilles comme ça ? Où l’as-tu achetée ?
– Quoi donc ?
– Mais ton t-shirt, voyons !
– Enfin, c’est toi qui viens de me le passer.
– Ce n’est pas possible, je n’en porte jamais.
– Pourtant, tu viens de me le donner.
– Ah bon ?
– Et tu t’habilles comment, alors ?
– Comme ça.
– Mais tu es à moitié nue !
– Et alors ?
Marie n’a pas le temps de réfléchir plus longtemps à cette situation absurde. La porte d’entrée vient de s’ouvrir. C’est Simon, le mari de Nicole qui rentre de son travail. Après avoir déposé sa veste dans la garde-robe de l’entrée, il se rend au salon et y découvre les deux femmes assises côte à côte. Simon s’avance et embrasse sa femme sur la bouche, puis fait la bise à Marie.
– Bonjour, chérie. Bonjour, Marie.
Il s’installe alors sur le divan à côté de sa femme.
– Bon sang, je suis crevé.
Machinalement, il place sa main sur l’épaule de sa femme, le bout des doigts arrivant tout juste au niveau de la clavicule de Nicole. Tout en la caressant, il commence à discuter avec Marie.
– C’est sympa de passer nous voir.
– Oui. Enfin, le problème c’est que je ne sais toujours pas pourquoi je suis venue.
– Ce n’est pas grave. Tu as dû avoir un trou de mémoire.
– Peut-être.
– Tu restes avec nous pour manger ?
– Je ne pense pas. Philippe ne va pas tarder à rentrer et il ne sait pas où je suis.
Pendant cette discussion, Nicole a bombé un peu le torse au fur et à mesure que son mari lui caressait l’épaule. Simon se penche alors vers la poitrine de sa femme et se met à lui lécher les seins sous les yeux ébahis de Marie qui se sent monstrueusement gênée. Nicole se rend alors compte que le visage de son amie est devenu rouge.
– Qu’est-ce t’arrive ? Ça ne va pas ?
– Ben…
– J’ai compris. Nous sommes égoïstes. Mon chéri, occupe-toi donc de Marie.
Simon quitte alors la poitrine de sa femme, relève la tête et se déplace à genoux en direction de Marie. Celle-ci n’arrive pas à resserrer ses cuisses, elles sont grandes ouvertes, et elle ne peut placer ses mains sur ses seins. Arrivé à sa hauteur, Simon retire le t-shirt à Marie et avance la tête en direction des deux magnifiques seins de Marie. Marie ne veut pas, mais elle ne peut rien faire pour l’empêcher, elle n’arrive même pas à parler. Il n’est plus qu’à quelques centimètres, sa langue est sortie, prête à jouer avec les deux boules de la jeune femme.
Marie pousse un cri.
Soudain, elle se réveille en sueur. Ouf ! Ce n’était qu’un rêve !
– Qu’est-ce qui m’arrive ?… Quel rêve débile…
Endormie, elle sort de son lit, elle est vêtue d’un pyjama. Elle ouvre la porte de la chambre et va jusqu’à la cuisine où elle se sert un verre d’eau qu’elle boit lentement pour se remettre de ses émotions. De là, elle va aux toilettes satisfaire un petit besoin. Tout en retournant vers sa chambre, à moitié éveillée, elle repense encore à ce rêve troublant.
– Bizarre… C’est peut-être parce que Philippe n’est pas là depuis le début de la semaine.
De retour dans la chambre, elle remet rapidement les draps en ordre, se recouche et éteint la lumière, espérant retrouver un sommeil apaisé.
Sursaut
Marie se retrouve à nouveau au milieu des champs, toujours habillée d’un chemisier et d’une jupe. Elle aperçoit au loin le même inconnu que la fois précédente. Continuant sa marche, elle se rapproche de lui. Elle le distingue mieux et sa tenue lui semble bizarre. Encore quelques dizaines de mètres et elle se rend compte qu’il est complètement nu. Son physique est quelconque, ni sportif, ni gros. L’homme est légèrement poilu sur le torse, son sexe est caché en partie par les poils abondants de son pubis. Il ne semble pas se rendre compte qu’il est nu, à moins que cela ne lui importe pas. En fait, il se comporte exactement comme s’il était habillé.
Lorsque Marie arrive à sa hauteur, l’inconnu lui adresse immédiatement la parole.
– Vous vous êtes encore perdue ?
– Non, ça va mieux. Mais vous par contre…
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– Vous êtes tout nu.
– Ne vous inquiétez pas, je n’ai pas froid.
– Je ne m’inquiète pas, mais vous êtes obscène.
– Dites donc, soyez polie, vous ne vous êtes pas vue.
Une appréhension la gagne alors qu’elle baisse le regard vers ses pieds. A-t-elle encore perdu son chemisier ? Non, c’est pire ! Elle se rend compte avec stupéfaction qu’elle ne porte plus qu’une nuisette blanche transparente en coton et dentelle, ainsi que des bas et un porte-jarretelles assortis.
– Qu’est-ce qui m’arrive ? J’étais habillée il y a un instant.
– Moi, tout ce que je sais, c’est que vous m’excitez, comme ça.
Tout en disant cela, l’inconnu commence à s’approcher d’elle, le sexe en érection et les mains tendues vers ses seins. Marie voudrait fuir, courir loin, mais elle est pétrifiée, incapable du moindre mouvement.
– Ne m’approchez pas !
– Qu’est-ce qui vous arrivez ?
– Ne me touchez pas !
– D’accord. Je ne vais pas vous toucher. Mais tout à l’heure, chez votre copine, vous devrez faire comme elle.
– Comment ça ?
– Si elle fait quelque chose, vous devrez faire la même chose.
Marie repense à l’expérience précédente. Si elle doit rester chez sa copine les nénés à l’air, ce n’est pas bien grave. Si Simon veut lui lécher les seins, après tout pourquoi pas ? Ce sera toujours un moment agréable.
– Bon, d’accord.
– Mais attention ! Si vous ne respectez cet engagement, vous me reverrez bientôt.
Délivrée de l’emprise de cet inconnu, Marie reprend son chemin à travers champs, soulagée mais néanmoins pensive. Ce qu’il vient de dire l’angoisse quand même un peu. Jusqu’où va-t-il falloir aller ? De toute façon, c’était ça ou se faire violer par cet inconnu.
– Après tout, ce sera peut-être agréable.
Quelques minutes plus tard, Marie arrive devant la maison de Nicole. Elle est à nouveau habillée, même qu’elle porte le t-shirt que son amie lui a précédemment prêtée. Arrivée sur le seuil de la porte, elle frappe, attendant qu’on lui ouvre.
Quand Nicole apparaît derrière la porte, Marie est presque surprise qu’elle ne soit pas nue. En effet, son amie porte un pantalon moulant en cuir noir, un bustier noir et elle a attaché ses cheveux en arrière. Tout ce noir et ses cheveux bruns, cela lui donne comme un air sévère.
– Salut, Marie, tu tombes bien, as-tu déjeuné ? Simon allait faire des crêpes. Je crois que tu adores ça ?
– Oui. C’est vrai.
– Alors entre et suis-moi.
Les deux femmes vont à la salle à manger. Simon est en effet derrière la séparation, dans la cuisine, en train de préparer des crêpes. On ne le voit qu’en partie mais, ce qui surprend Marie, c’est qu’il fasse la cuisine torse nu. Mais, après tout, étant donné la température actuelle… pourquoi pas ? Les deux femmes vont s’asseoir côte à côte sur le divan du salon. La table basse face à elles semble idéalement placée pour déguster de bonnes crêpes bien chaudes. Des assiettes sont déjà disposées, ainsi qu’un sucrier et plusieurs pots de confiture.
Lorsque Marie s’assied, sa minijupe remonte le long de ses cuisses. Du coup, son sexe se dévoile, mais ni elle ni personne d’autre ne semble s’en rendre compte. D’ailleurs son amie est occupée à regarder son mari préparer les crêpes. Quant à Marie, si elle n’a pas remarqué l’indécence de sa propre tenue, c’est qu’elle profite du fait que son amie regarde ailleurs pour observer sa tenue de façon plus approfondie. Le bustier noir de Nicole est en dentelle, il est légèrement transparent et l’on parvient à deviner sa poitrine dont les contours se dessinent à travers le tissu. Découvrir les courbes de Nicole derrière ce bustier est encore plus agréable pour Marie que lorsque qu’elle ne portait rien.
Simon vient de terminer les crêpes. Il prend alors la grande assiette sur laquelle elles sont empilées et sort du coin cuisine pour les amener sur la table basse du salon. Marie peut alors le voir en entier, elle se rend compte ainsi qu’il ne porte pour tout vêtement qu’un petit tablier blanc de soubrette. Une fois les crêpes posées sur la table, il reste debout tandis que les deux femmes et lui-même commencent la dégustation de ce déjeuner improvisé.
Nicole ne peut s’empêcher d’admirer la tenue sexy de son mari et de faire partager son point de vue à son amie.
– J’adore quand il s’habille comme ça. Il est excitant, n’est-ce pas ?
Marie est à nouveau gênée, elle essaye alors de changer de conversation.
– Oui. Tout à fait. Dis donc, elles sont drôlement bonnes ces crêpes.
Simon lui répond tandis qu’il termine gloutonnement la sienne.
– C’est normal, j’ai un petit secret de fabrication. Je mets du sperme dans la pâte.
Marie, qui ne s’attendait pas à une telle réponse, manque, sous l’effet de la surprise, de recracher ce qu’elle a dans la bouche. Elle réussit à l’éviter mais il s’en faut de peu qu’elle ne s’étouffe. Après quelques quintes de toux, elle réussit à reprendre son souffle tandis que ses amis s’inquiètent pour elle.
– Ça va mieux ?
– Oui. J’ai juste été un peu surprise.
– Bon.
Tandis que Simon se sert une seconde crêpe au sperme, Nicole ne peut empêcher sa curiosité de s’exprimer.
– Et tu fais comment pour préparer la pâte ?
– De la farine, du lait, des œufs…
Nicole l’interrompt :
– Non, je veux dire : pour le sperme, comment tu fais ?
– Facile : je me masturbe au-dessus du bol de pâte et je fais tout gicler à l’intérieur.
– Et… tu en manges aussi ?
– Pourquoi pas ? Elles sont bonnes !
Et tout en disant cela, Simon termine sa seconde crêpe. Marie se tourne alors vers son amie.
– Ça ne va pas ? Tu ne termines pas ta crêpe ?
Nicole regarde la crêpe au sperme qu’elle a dans la main. Après tout elle en a déjà mangé la moitié et ça n’a pas vraiment le goût de sperme. Elle la reprend donc dans sa bouche, un peu comme une bite, et termine de l’avaler.
Simon s’approche un peu plus de sa femme. Celle-ci pose sa main sur le tablier de son mari et se tourne à nouveau vers son amie.
– J’adore lui caresser le sexe à travers le tissu du tablier.
En même temps, elle prend dans sa main le sexe de son mari à travers le tissu et commence à le masturber. Le sexe, qui prend rapidement de l’ampleur, commence à soulever le tablier. Nicole semble épatée par l’effet que cela fait à son mari.
– Tu as vu comme il aime ça ? Moi aussi j’adore. Ça me fait mouiller. Et toi, tu as déjà essayé ?
Marie s’inquiète d’une telle question, elle se dit que les ennuis vont bientôt commencer.
– Non.
– Alors, essaye. Tu vas voir, c’est génial.
Il faut bien qu’elle fasse comme son amie si elle veut éviter de se faire violer par l’inconnu en pleine campagne. Après tout, ce n’est qu’une petite masturbation de rien du tout. Elle prend donc le sexe de Simon entre ses mains. La gêne l’envahit, elle se met à trembler légèrement. Prenant son courage à deux mains, elle commence à le masturber timidement. Elle sent alors que la bite de Simon est en train de grossir encore plus dans sa paume. Marie s’enhardit et se met à le masturber de plus en plus généreusement. Son amie, toujours à côté d’elle, la regarde faire avec un vif intérêt.
– Alors c’est bien ?
Marie essaye de lui répondre le plus naturellement du monde même si elle a du mal à articuler plus de deux mots.
– C’est super.
– Il bande ?
– De plus en plus.
Pour confirmer ce qu’elle vient de dire, Marie lâche la bite du mari de son amie. Le sexe de Simon est tellement redressé que son tablier ne cache plus ses testicules. Marie constate alors avec surprise qu’elles ne semblent pas avoir de poils. Pendant qu’elle est perdue dans ses pensées, Nicole pousse son amie vers l’avant.
– C’est encore mieux de le sucer. Allez, vas-y.
Ce qui ne manque pas de surprendre Marie.
– Quoi ?
– Tu as l’air surprise. Tu n’as jamais sucé un homme ?
– Si, mais…
– Je ne te crois pas, sinon tu n’hésiterais pas à le prendre dans ta bouche. Il a une bite très agréable à sucer.
Nicole soulève le tablier. Marie a alors la confirmation de ce qu’elle pensait. Simon s’épile le sexe, pas un poil sur les testicules ni sur le pénis. Même les alentours sont proprement rasés. Cette belle verge bien lisse ne manque pas de la captiver, mais quand même pas au point de la sucer. Ce n’est pas son mari, elle a la sensation désagréable de commettre un adultère. Cependant, son amie continue à la pousser en avant.
– Vas-y, qu’est-ce que tu attends pour sucer mon mari ? Il a une si belle queue. Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu hésites?
Comme Marie n’esquisse pas le moindre mouvement, Nicole pousse avec force la tête de son amie vers le sexe redressé de son mari.
– Tu le vas sucer, salope ? Elle ne te plaît pas assez, la bite de mon mari ? Elle n’est pas assez bien pour toi ?
Marie se réveille en sursaut.
Sa peau est à nouveau couverte de sueur. Son pyjama lui colle au corps. Les draps sont en vrac au pied du lit, elle a dû énormément bouger durant son rêve.
– Encore ce rêve, mais qu’est-ce qui m’arrive ?
Elle essaye de respirer un peu d’air pour se rafraîchir l’esprit, mais c’est peine perdue, il fait trop chaud dans la chambre. Tant pis, elle tapote son oreiller, tire le drap sur elle et se retourne dans l’espoir de se rendormir plus sereinement.
Glissade
Marie est encore au beau milieu des champs. Mais cette fois-ci complètement nue. L’inconnu est toujours là, quelques dizaines de mètres plus loin. Cette fois-ci, c’est lui qui est habillé. Il se rapproche lentement de Marie tandis qu’elle entame la conversation.
– Vous êtes encore là ?
– Évidemment, vous devriez vous y attendre.
– Cette fois-ci, vous êtes habillé.
– Ne détournez pas la conversation, vous n’avez pas respecté votre engagement.
– Quoi donc ?
– Vous n’avez pas fait tout ce que faisait votre amie.
– Mais si, j’ai masturbé son mari.
– Mais vous n’avez pas voulu le sucer.
– C’est dégueulasse ! Je ne vais quand même pas sucer le mari de mon amie.
– Si ! Il le fallait. Vous allez donc être punie.
– Je ne suis pas d’accord. D’ailleurs, elle ne l’a pas sucé. Je devais faire ce qu’elle faisait.
– Elle vous a dit qu’elle aimait le faire, ça revient au même. Vous n’avez pas respecté ce que j’avais dit. Je vais donc pouvoir profiter de votre corps.
– Quoi ! ? Pas question !
Tout en disant cela, elle se met à courir pour tenter de lui échapper mais l’homme la poursuit.
– Toute fuite est inutile, je vous rattraperai.
Le chemin de terre est irrégulier, dans de telles conditions une paire de chaussures à talons n’est pas l’idéal pour courir. Marie finit par trébucher au bout d’une dizaine de mètres et chute dans une grande flaque de boue. Elle essaye de se relever mais ça glisse. Tout ce qu’elle parvient à faire, c’est se retourner dans la flaque. Elle se retrouve couverte de boue de la tête aux pieds. Angoissée, elle sait que l’inconnu s’approche d’elle tranquillement, inexorablement. Il a la ferme intention de la violer, mais elle ne peut plus rien faire pour lui échapper.
– Qu’est-ce qui se passe ? Je n’arrive plus à bouger.
– C’est normal, je vous avais prévenue, toute fuite est inutile.
Arrivé à sa hauteur, il se penche sans se presser et commence à palper ce corps couvert de boue.
– Vous savez, vous avez de la chance d’être pleine de boue, je ne ferai que vous caresser.
Ce massage de l’ensemble de son corps finit par la décontracter. Les mains de l’inconnu se font alors plus précises et convergent vers le sexe de la jeune femme. Il commence par lui effleurer la fente, puis il introduit un doigt, puis deux. Ses doigts, pleins de boue, s’insinuent entre les lèvres de Marie, viennent lui exciter le clitoris puis s’introduisent dans son sexe. Quand il les ressort, ses doigts sont propres, complètement nettoyés.
– Je vois que vous appréciez. Vous mouillez tellement que cela a enlevé toute la boue que j’avais sur les doigts.
Et, disant cela, il porte les doigts à son nez pour les sentir, puis il les introduit dans sa bouche et les lèche. Le murmure admiratif qu’il laisse échapper permet de deviner qu’il apprécie le goût du sexe de Marie.
Bien décidé à aller plus loin, il retire ses vêtements sans se presser. Une fois nu, il s’allonge au sol à côté de Marie et se roule à son tour dans la boue pour s’en recouvrir le corps tout en se masturbant. Son sexe grossit rapidement jusqu’à l’érection tandis qu’il continue de caresser la jeune femme d’une main et de se masturber de l’autre. Au bout de quelques minutes, il sent qu’il va bientôt jouir. Il se redresse alors sur les genoux en continuant de braquer son sexe en érection vers le corps maculé de la jeune femme. Quelques allers et retours de la main serrée sur sa bite sont encore nécessaires pour qu’il arrive à la jouissance finale. Son éjaculation est abondante, le ventre, les seins, le cou et même le visage de Marie sont recouverts du jus tiède et visqueux qui gicle par saccades au rythme de ses gémissements.
L’inconnu lui caresse encore le corps une dernière fois, ce qui a pour effet de mélanger son sperme et la boue en un mélange marron et gluant. Il se lève alors et s’en va, laissant Marie dans sa flaque de boue. Progressivement, elle peut à nouveau bouger ses membres et finit par se relever et reprendre son chemin.
Une fois revenue en ville, personne ne semble prêter attention à sa tenue. Pourtant, nue et couverte de boue, elle ne devrait pas passer inaperçue. Quand elle arrive enfin chez Nicole, cette dernière remarque immédiatement l’état dans lequel est son amie.
– Mais qu’est-ce qui t’es arrivé ?
– C’est toute une histoire. Mais je peux prendre une douche d’abord ?
– Oui, bien sûr, suis-moi.
Les deux femmes montent au premier étage jusqu’à la salle de bains. Alors qu’elle ouvre un placard pour en sortir une serviette de bain, Nicole se rend compte qu’elle a également de la boue sur elle.
– Je ne sais pas comment j’ai pu m’en mettre.
Tout en disant cela, elle sort une serviette pour elle aussi. Pendant ce temps-là, Marie est déjà passée sous la douche, en train de faire couler l’eau chaude. Elle dirige la pomme de douche sur son corps tout en frottant. Nicole, qui a fini de retirer ses vêtements, rejoint son amie sous la douche. Les quelques taches qu’elle a sur les bras ne semblent pas vouloir se décoller si facilement que cela.
– Dis donc, elle colle cette boue, il faut sacrément frotter.
Impression confirmée par Marie qui peine à se nettoyer le dos.
– En effet, ça ne part pas facilement.
– Attends, je vais t’aider, ce sera plus facile.
Nicole se met alors à frotter consciencieusement le cou et le dos de son amie. La boue part progressivement, il ne faut pas être pressé. Elle s’occupe ensuite de la taille et des fesses de son amie, qu’elle se met à frictionner énergiquement. La boue enfin évacuée, ses frottements se muent progressivement en caresses. Elle remonte ses mains le long du corps de son amie. Arrivée aux épaules, elle les fait passer de l’autre côté et redescend lentement, sensuellement. Puis elle lui caresse les seins et le ventre. Agréablement troublée, Marie se laisse faire tandis que Nicole continue de lui caresser la poitrine d’une main et que l’autre main s’approche progressivement de son sexe. N’y tenant plus, gagnée par le désir, Marie se retourne et lui rend ses caresses de face. Elle porte alors sa bouche sur les seins de sa partenaire et lèche, mordille, suce et embrasse chacun des deux seins de Nicole! Nicole finit par parcourir le sexe de son amie de ses doigts, caressant cette fente ruisselant de l’eau de la douche. Portée par son désir, excitée par le ruissellement de l’eau sur leur corps respectifs, Marie se laisse aller et rend la pareille à son amie.
Soudain, Simon entre dans la pièce, juste au moment où Marie vient d’écarter les cuisses pour que son amie puisse s’insinuer plus profondément dans son intimité. Déjà nu et en érection, il pénètre sans un mot dans la cabine de douche et referme la porte derrière lui. Sans plus attendre, il écarte les fesses de sa femme et s’introduit en elle par-derrière sous les yeux ébahis de Marie. À chacun de ses coups de bite, Nicole est projetée contre son amie qui subit donc indirectement les assauts de Simon. Nicole se retourne alors vers son mari qui lui soulève une jambe pour la pénétrer par-devant. Simon maintient un rythme soutenu, sa verge ne cesse d’entrer et de ressortir de la chatte de sa femme qui, à chaque coup de queue, laisse échapper des cris de jouissance. Nicole part alors à la recherche des mains de son amie, les saisit et les porte sur sa poitrine. Marie comprend que son amie souhaite qu’elle lui caresse les seins, ce qu’elle se met à faire, ce qui a pour effet de décupler les cris de Nicole. Simon ne tarde pas à jouir, il ressort sa bite à temps pour que tout son sperme gicle sur le ventre et la poitrine de sa femme, et bien sûr sur les mains de Marie. Ceci fait, Nicole se penche vers sa bite et la suce pour la nettoyer. Simon sort alors de la douche, s’essuie rapidement et repart aussi vite qu’il était arrivé.
Marie est surprise de ce comportement.
– Ben, dis donc, il n’est pas bavard, ton mari.
– Oh, tu sais, c’est un grand timide.
– Ah bon ? Il n’en a pas l’air pourtant.
Nicole se retourne vers son amie et se colle contre elle. Le sperme de Simon s’étale sur les corps des deux femmes tandis qu’elles se caressent mutuellement le dos et les fesses. Marie étend sur le dos de son amie le sperme qu’elle a reçu sur les doigts. Nicole, toujours excitée, s’écarte de son amie et se met à lui lécher le corps pour y collecter tout le sperme qui y est étalé. Pour finir, elle introduit ses doigts pleins de sperme dans le sexe de Marie, qui jouit immédiatement, inondant de mouille la main de son amie. Nicole porte alors sa main à sa bouche pour goûter au jus de son amie. C’est à ce moment-là que Marie se réveille en sursaut.
– J’ai encore rêvé. Et cette fois-ci, je crois même que j’ai joui.
Mue par la curiosité, elle porte une main vers son entrejambe, son pantalon de pyjama est trempé au niveau de son sexe.
– Et il n’y a pas que dans mon rêve que j’ai joui.
Marie retire son pantalon, dévoilant ainsi son sexe intégralement épilé, comme dans ses rêves. Puis elle se retourne, recherchant en vain un sommeil plus calme.
A suivre
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