Auteurs divers

Mercredi 12 janvier 2022 3 12 /01 /Jan /2022 16:52

Les contes de notre enfance revus et corrigés
La belle au bois dormant

par Euryanax

cochon

Il était une fois un petit royaume caché au milieu des forêts. Son roi et sa reine étaient de bons bougres, les gens de la cour, dans leur palais, vivaient dans la luxure et le libertinage, mais sans excès.

Pendant longtemps, on crut le roi stérile. Puis, un jour, la reine donna naissance à une fille. L’arrivée de cette enfant, tant attendue, donna lieu à des réjouissances inouïes. Elle fut prénommée Plaisir. Le roi et la reine avaient invité toutes les fées du voisinages, afin qu’elles se penchassent sur le berceau du nourrisson et qu’elles assurassent son avenir.

Alors que la fête battait son plein, les fées se dirigèrent vers le berceau, leur baguette magique à la main.

La première, la fée Troibée s’avança. C’était une accorte rombière à qui l’on aurait donné cinquante ans environ, avec d’énormes seins bien soutenus et un pantalon léger et moulant qui mettait en valeur sa silhouette callipyge. Munie de son sourire enjôleur et d’un verre de vin, elle déclara :

- Cette enfant sera heureuse dans la vie, goûtera avec bonheur aux plaisirs de l’existence et surtout à ceux de l’amour, les hommes seront fous d’elle.

La fée Goussette, qui la suivait avait des airs de petite fille modèle, dans sa robe ample. Les tâches de rousseur sur son visage la faisaient remarquer à une lieue à la ronde et son sourire espiègle charmait autant les filles que les garçons.

- Les filles aussi l’aimeront, ajouta-t-elle et elle sera experte dans les plaisirs saphiques.

Trois autres fées s’exprimèrent à la suite, la mince Pipelette, à la bouche fardée et la jupe courte, la grande Brasilia, la fée transsexuelle vêtue de cuir moulant dont les seins peinaient à rester dans le justaucorps, et Dorette, un petit bout de femme à l’air coquin, affublée d’une robe transparente sans aucun sous-vêtement.

- Elle goûtera à tous les plaisirs buccaux, oraux et y excellera elle se régalera du goût du sperme. Elle adorera aussi les bouches des autres sur tout son corps, dit Pipelette.
- Elle aimera aussi les filles du troisième sexe, qui la combleront, susurra Brasilia.
- Lorsque son plaisir sera atteint, renchérit Dorette, elle laissera échapper sur ses partenaires un filet doux et chaud d’urine. L’homme qui parviendra à lui faire exprimer ce plaisir aura toutes ses faveurs.

Deux autres fées terminèrent les dons accordés à la jeune Plaisir.

La fée Dominette, à l’air un peu sévère portait un short excentrique, percé de trous laissant deviner une magnifique et oh combien excitante culotte. Voici ce qu’elle accorda à Plaisir.

- Elle aimera que les hommes soient à ses pieds et fassent ce qu’elle demande, mais sans excès. En particulier, elle prendra plaisir à les posséder en les pénétrant longuement et doucement avec des olibos.

La fée Rosette arriva essoufflée d’un coin de la salle, rajustant maladroitement ce qui semblait un justaucorps, attaché entre les cuisses et présentement ouvert, laissant voir son sexe et ses fesses.

- Elle sera douée pour le plaisir anal, parvint à murmurer Rosette, son petit trou sera connu dans tout le royaume pour être un Eden.

Juste à ce moment, une arrivée perturba la bonne humeur de la fête. Un huissier annonça :

- La fée Chaudasse !

Tous les regards se tournèrent vers la nouvelle venue car le roi et la reine n’avaient pas voulu l’inviter, ils se tournèrent vers elle, inquiets.

- Alors, tonitrua-t-elle, on ne m’invite pas, sire le roi, pourtant, la dernière fois que je suis venue ici, il me semble que tu m’avais plutôt appréciée.

Il faut dire que Chaudasse était intenable. Lors du dernier banquet où les époux royaux l’avaient invitée, elle avait exigé que tous les hommes présents l’honorassent un après l’autre, elle s’était fait sodomiser sur la table, avait pissé dans le plat. La nuit, elle avait exigé de dormir dans le lit du roi, qu’elle avait comblé mais épuisé ; et, comme la reine maugréait un peu elle lui avait jeté un sort, la condamnant à passer la nuit nue sur la table de la cuisine, en position fœtale avec deux énormes godemichés dans le sexe et l’anus.

- Je vais moi-même accorder un don à cette charmante enfant : Plaisir vivra quelques années d’une existence remplie d’amour physique. Mais, le jour de ses vingt ans, après avoir vécu sa première double pénétration, elle sera défoncée par un mâle pourvu d’une énorme bite qui lui transmettra une blennorragie foudroyante dont elle mourra dans l’heure qui suivra....
- Non, elle ne mourra pas, dit une voix fort gaie et un peu claironnante. Elle s’allongera sur son lit en écartant largement ses cuisses, comme pour se faire prendre et dormira pendant cent ans. Pendant tout ce temps, l’air entrera dans son intimité et à force, tuera la bactérie qui ne le supporte pas. Au bout de cent ans, un prince charmant la possèdera et la réveillera ; ils se marieront et seront très heureux.

C’était la fée Picolette. Elle s’était attardée au bar avec deux charmants garçons et n’avait pas pu accorder ses dons. Appuyée sur l’un d’eux qui fouillait un peu dans sa culotte elle venait de sauver l’enfant. Malheureusement, elle avait interrompu Chaudasse, celle-ci put donc finir.

- Mais, si le prince charmant ne se déverse pas dans sa bouche, elle se rendormira pour l’éternité.

Inutile de dire que la fête était gâchée. Chaudasse s’en retourna avec un énorme rire.

La vie de la princesse se déroula ainsi que les fées l’avaient prévu. Elle s’initia à tous les plaisirs ou presque, mais ne quittait mais le palais. Dans les partouzes, elle brillait, léchant et suçant indifféremment les trois sexes, se faisant enculer jusqu’à plus faim et avalant le sperme jusqu’à plus soif. Les hommes, qui connaissaient la prédiction de Chaudasse, ne la prenaient jamais en sandwich. Les fées, surtout, Troibée, Picolette et Brasilia, veillaient constamment sur elle, elle était complètement heureuse.

Le jour de ses vingt ans, malgré ses protestations, le roi la fit enfermer dans sa chambre. Il avait interdit à quiconque, sous peine de mort, de lui adresser la parole en cette journée. Il la fit garder par deux gardes très fidèles et de surcroît homosexuels, qui avaient ordre de rester toute la journée dans l’antichambre. Malheureusement, sans que nul ne le sache, Plaisir avait dans un tiroir une clé de la porte donnant sur l’antichambre. A la fin de la matinée, les deux gardes firent l’amour. Entendant des râles, Plaisir ouvrit silencieusement la porte. Elle la laissa entrebâillée et regarda le spectacle.

Les deux gardes étaient magnifiques, surtout celui qui se faisait prendre. Lorsqu’il se tourna vers elle, il exhiba un sexe si long, si tentant, qu’elle ne put y résister. Elle bondit sur le garde enculé, lui goba le sexe. L’homme, qui n’avait jamais connu de femme, apprécia au plus haut point. Le plaisir monta chez les trois amants. L’enculeur se retira pour donner aussi son sexe à sucer. Puis il s’assit et fit venir Plaisir sur lui, elle le fit entrer dans son vagin et le serra de ses muscles intimes ; il ferma les yeux et goûta son plaisir. L’autre vint alors par derrière et, glissant un doigt, découvrit que le cul de la belle était occupé par un petit vibromasseur. Il le retira et prit délicatement sa place.

Le plaisir aidant, tous les trois avaient oublié la prédiction. Plaisir goûta particulièrement la double pénétration et poussa des cris à n’en plus finir. Lorsqu’elle eut pris son plaisir, ils se retirèrent et elle laissa tomber sur celui qui était sous elle un ruisselet doré.

Ils finirent comme ils avaient commencé. Plaisir suçait celui qui l’avait sodomisée, tandis que le plus âgé avait repris son camarade et s’activait dans son anus en soufflant comme un bœuf et en donnant force claques sur les fesses qu’il défonçait.

 

bois dormant

Le bel éphèbe jouit le premier dans la bouche de Plaisir ravie. Ensuite il se cassa en deux et recueillit dans ses entrailles la semence de son ami. Plaisir lécha tour à tour le sexe qui avait éjaculé, puis le cul qui s’était rempli. Epuisée, elle s’allongea dans l’antichambre et s’endormit.

 

Revenus à eux, les gardes comprirent ce qu’ils avaient fait. Ils s’enfuirent aussitôt, de peur d’être exécutés.

Lorsque Plaisir se réveilla elle aperçut un homme petit et gros avec un sexe énorme. Dans un demi-sommeil, elle s’avança pour le sucer, puis elle ouvrit les yeux et comprit qu’elle n’était plus avec les gardes. Elle voulut fuir, mais l’autre la saisit et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la pénétra. Son sexe lui faisait mal. Mais l’avorton était un rapide. En trois ou quatre coups, il eut son plaisir et déversa dans le vagin de Plaisir un sperme ultra contaminé, puis se retira, essuya sa bite sur les lèvres de la malheureuse en pleurs et quitta la pièce.

Plaisir réalisait ce qui s’était passé. Elle connaissait la prédiction, et Picolette lui avait dit maintes fois ce qu’elle devait faire si elle se réalisait. Malgré la douleur cuisante, elle parvint jusqu’à son lit et se glissa dessus ; elle écarta au maximum les cuisses et s’endormit.

Quelques minutes après, Troibée, qui savait que l’on n’empêcherait pas la prédiction de se réaliser, était là avec plusieurs de ses compagnes. Les fées discutaient ferme.

- Il y a quand même un problème avec ton histoire de cent ans, Picolette ; même si ça marche, quand elle va se réveiller, tout le monde sera mort ici.
- Et si on les endormait tous ? Proposa Brasilia.
- Bonne idée, mais vont-ils accepter ?
- Tu penses leur demander, dit Rosette, il faut faire autrement, leur demander signifie les informer de ce qui est arrivé à la princesse. Il faut profiter de leur fête pour glisser quelque chose dans les verres.
- Oh ! J’ai bien mieux dit Pipelette d’un air coquin, si nous utilisions notre ami sorcier Bandeur ?
- Excellente idée, dit Troibée, je le fais venir.

Le sorcier Bandeur possédait une réserve intarissable de sperme. Il bandait de nouveau immédiatement après son érection et son sperme était aussi épais au dix-huitième coup qu’au premier. Mais, il allait peu dans les soirées des hommes, car son sperme avait le pouvoir, dès qu’il touchait un corps de mortel de l’endormir dans les cinq minutes. Seules les fées étaient immunisées contre cet épais sédatif.

Lorsque Bandeur fut arrivé, les fées l’introduisirent, si l’on peut dire, dans toutes les pièces du palais. Il fallut user d’artifices pour les gardes, car certains ne voulaient pas se faire sodomiser. Mais les fées se firent toutes prendre avant par Bandeur, sauf Pipelette qui préféra garder son sperme en bouche. Ensuite, de la salle de garde à celle du banquet en passant par les cuisines, les communs et les chambres, ce fut un vrai feu d’artifice et les fées payèrent beaucoup de leur personne.

Dans le corps de garde, allongée sur une table, Goussette demanda aux hommes présents de lui éjaculer sur le corps, quatre vinrent se vider, branlés par Picolette et Rosette. Elle demanda à Branleur de se joindre à eux et lança à l’adresse de Brasilia :

- Viens donc le branler pour qu’il gicle sur mes seins !

La fée transsexuelle eut un sourire coquin et vint se placer derrière le sorcier, elle lui écarta doucement les fesses en entra. Ensuite, elle plaça ses mains devant lui, attrapa son sexe et se mit à le branler délicatement puis plus vite.

- C’est la meilleure position que je connaisse pour masturber un mâle, dit-elle.

Le Sorcier Bandeur était très ouvert, en matière de sexe, à preuve la facilité avec laquelle Brasilia avait pénétré son anus. Il se plaça bien en face de Goussette, suivi comme son ombre, pour ainsi dire par la fée trans. Pipelette s’approcha des autres branlés et les suça à tour de rôle, les enduisant ainsi du sperme soporifique. Brasilia était à l’ouvrage, par trois fois, Bandeur éjacula sur le corps de Goussette et trois fois elle se remit avec entrain à lui secouer le vit. Enfin, elle poussa un cri strident et se plia en deux, tout en poussant le corps du sorcier devant elle ; sa semence, venue tout droit de la colonne vertébrale inonda le rectum de Bandeur.

Lorsqu’elle se retira, il ne restait plus dans la salle des gardes que deux hommes éveillés ; le premier était dans le cul de Rosette et le second dans son sexe, tous deux largement remplis auparavant du sperme de Bandeur. Rosette n’était jamais aussi en verve que dans les doubles pénétrations. Elle y trouvait son inspiration, en profitait parfois pour déclamer des vers. Là, elle était besognée par des hommes un peu primaires, elle recevait des coups au but, en avant, en arrière et se déhanchait, tout en insultant ses partenaires.

- Petit salaud, bouge plus fort, va plus loin, je ne te sens pas assez disait elle à celui qui lui faisait face. Quant à toi, l’enculeur, n’aie pas peur d’aller fort, j’adore ça, c’est ma partie. Dépêchez-vous de me faire jouir !

La fée maîtrisait tellement ses sphincters qu’elle subit assez vite un double remplissage, elle se pâma et les deux hommes, à peine sortis, s’endormirent. Elle s’approcha de celui qui l’avait sodomisé et prit son sexe en bouche.

- Celui-là m’a donné du plaisir, il va dormir cent ans, il est juste que je le nettoie, dit-elle à ses camarades.

Pendant ce temps, Goussette avait quitté la salle de garde et s’était ruée vers la cuisine. Elle s’allongea de nouveau sur une table et appela les jeunes filles.

- Venez toutes sur moi, léchez-moi, sucez-moi, pétrissez-moi.

Beaucoup des filles de cuisine avaient souvent fait l’amour avec Goussette, elles se précipitèrent sur elle, et, de la main, de la langue, du ventre, des fesses, touchèrent au sperme de Bandeur répandu sur le ventre et les cuisses de la fée.

Bientôt, les fées et leur ami magicien eurent raison de la salle des gardes, des cuisines, de tous les valets et servantes du palais. Ils se rendirent dans la grande salle afin de s’occuper du roi et de ses familiers.

Lorsque les fées entrèrent, toute dénudées et respirant la luxure, l’atmosphère feutrée changea du tout au tout, peu à peu, les corps s’agrégèrent et la partouze commença.

Il y avait là le roi, la reine et leurs proches, parmi eux un jeune homme très bien fait de sa personne, le petit cousin du roi. Cet éphèbe avait été prénommé Antinous, comme le célèbre romain, et il avait été un temps promis à la princesse Plaisir, qui le goûtait peu, le trouvant un tantinet efféminé.

Bandeur fut tout de suite attiré par le jeune homme, de même que Troibée. Il n’eut pas vraiment le temps de réaliser ce qui lui arrivait ; en deux temps trois mouvement il se retrouva déshabillé, assis sur Bandeur qui lui prenait les fesses et le sexe dressé pénétrant le vagin de Troibée.

La fée, qui, on l’a déjà dit, était assez rondelette allait et venait sur le sexe du jeune homme comme si elle venait de débuter sa soirée. Elle aperçut à peine Rosette qui s’approchait d’elle avec deux jeunes gars montés comme des armoires à glace.

C’étaient les deux gardes malchanceux qu’elle avait trouvés sur le perron du château en train de pleurer à chaude larmes dans les bras l’un de l’autre, à peine habillés ; mais oui, vous vous souvenez, les déclencheurs de l’action, qui avaient fait connaître à la belle Plaisir pour la première fois les joies de la tranche de jambon au milieu du sandwich. Heureusement pour eux, le roi était à l’autre bout de la salle, occupé par Picolette et Pipelette, qui s’en donnaient à coeur joie.

Rosette toute souriante avait un peu rassuré les jeunes hommes et passait aux choses sérieuses.

- Bon, vous allez arrêter de pleurer et de vous enculer tous seuls. Nous aussi, on a un beau cul accueillant.

Joignant le geste à la parole, elle attrapa le plus jeune des deux par la bite et se la fourra dans l’anus en un clin d’œil. Troibée se dégagea du jeune prince, se pencha pour le prendre en bouche, tandis que son amie Rosette lui ouvrait les fesses afin de faciliter la pénétration anale. Le second garde plongea dans ce cul rempli à ras bord de sperme.

Bandeur sembla apprécier le départ de Troibée. Il put enfin bouger et aller et venir dans le fondement du jeune Antinous. Celui-ci n’avait même pas eu le temps de faire part de ses réticences, lorsque le magicien déploya son savoir dans le domaine de la sodomie, il fut conquis. Il se mit à crier, des choses inintelligibles, vulgaires. Il attrapa sauvagement la tête de Troibée et lui gicla au fond de la gorge des litres de sperme. Enfin il sembla s’effondrer de jouissance ; la fée le retint, afin que Bandeur puisse à son tour se vider dans son cul.

Le dernier acte eut lieu avec le roi et la reine. Tandis que Bandeur prenait sa femme en levrette, le roi était entouré de toutes les autres fées, il avait des mains sur toutes les parties de son corps. A son anus était collée la bouche de Pipelette, tandis que Picolette et Rosette lui exploraient l’intérieur avec deux doigts chacune. Pendant ce temps, Dorette, assise sur sa poitrine, laissait doucement et consciencieusement échapper son liquide favori, tandis qu’il glissait une main entière dans le vagin de Goussette au bord de l’évanouissement.

Lorsque Bandeur eut joui dans le cul de la reine, les fées transportèrent littéralement le roi jusqu’à l’anus élargi de sa femme et l’y firent entrer. Goussette avait pris la place de Picolette dans le cul du roi. Elle voulut lui rendre son plaisir. Elle enduisit sa main de beurre, il y en avait à profusion sur les tables. Prudemment elle glissa deux puis trois doigts. Amusée, Rosine retira les siens pour regarder, les huma puis les lécha avec avidité. Le roi enculait sa femme, tandis que Troibée lui massait les testicules, il gémissait de plaisir et semblait vouloir ouvrir encore ses fesses. Quatre doigts entrèrent, puis cinq, bien serrés. Avec d’infinies précautions, Goussette avançait maintenant dans son rectum, sous le regard des autres fées et de Bandeur. Enfin, sa main entière disparut dans le cul du roi, qui jouit à ce moment là dans le cul de la reine, laquelle s’endormait déjà.

Nul ne sut jamais si le roi connut tout le plaisir de cette main dans ses entrailles ou s’il s’endormit avant d’avoir trop nagé dans le sperme de Bandeur qui emplissait le rectum de sa femme.
Tout le monde dormait dans le château. Troibée prononça une formule magique afin que le sommeil de tous durât cent ans.

Cent ans plus tard, les ronces avaient envahi tous les alentours, la forêt avait envahi les parcs du château, on ne voyait plus ses murailles et personne n’en avait entendu parler.

Le prince Bégueule allait à la chasse. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, c’était un homme au physique banal, ni laid ni beau, juste un peu petit, de ces gens-là que personne ne remarque dans une foule. Pour rehausser ses attraits, il affectait de n’avoir que des serviteurs et des familiers contrefaits qui lui étaient reconnaissants de sa confiance et le servaient aveuglément.

Ce prince avait des goûts sexuels assez particuliers, il s’entourait d’une bande très spéciale, composée de deux transsexuelles, Alpha et Bêta, qui lui servaient, en quelque sorte, de compagnes «more danico», comme disaient les anciens normands et de gardes du corps, ainsi que de quelques hommes jeunes souvent travestis et de deux ou trois nymphettes relativement dépourvues de poitrine. C’est dans un tel équipage ; transsexuelles, travestis, nymphettes, serviteurs bossus et tarés, guerriers lacérés de cicatrices qu’il déboucha, à la poursuite d’un sanglier dont nul ne sut jamais s’il avait vraiment existé, dans le bois ô combien touffu qui entourait le château où la belle Plaisir et tous les siens reposaient.

Les sergents à pieds, taillant dans les ronces, progressaient sans le savoir vers le lieu abandonné et oublié. Une des transsexuelles, qui les suivait à cheval, aperçut, au-dessus d’un taillis bien épais, les restes d’une tour. Elle appela la petite troupe pour lui faire part de sa découverte. Alpha, car c’était elle, dirigea bientôt la manœuvre : elle fit écarter les branches, abattre les ronces et le lierre. Peu à peu, chacun réalisa qu’il s’agissait, non pas des restes d’une tour, mais d’une tour réelle, complètement conservée.

On grimpa alors aux murs, et, par chance, la fenêtre du premier étage était ouverte. Alpha s’y glissa la première, suivie du prince Bégueule, de Bêta et de deux serviteurs. Les autres préférèrent rester en bas, guère tentés par les vieilles pierres.

Ils suivirent un couloir et débouchèrent assez vite sur l’antichambre de Plaisir ; puis ils entrèrent dans la chambre. Depuis cent ans, la princesse dormait, allongée sur le dos, les cuisses écartées de manière outrancière, et, bien sûr, totalement nue.

Le serviteur bossu s’adressa à Bégueule :

- Mon prince, c’est là, j’en suis sûr, la princesse qui vous est promise.
- Oui, répondit Bêta, tout concorde, le château abandonné, la belle aux cuisses écartées...

Bégueule n’avait pas l’air emballé.

- Suis-je vraiment obligé de posséder cette créature ? Il faudrait au moins la retourner pour que je puisse visiter son petit trou. Etes-vous sûr qu’elle n’est pas morte ? Tout son intérieur doit être bien froid.

- Bon j’ai compris, dit le serviteur borgne et boiteux, je vais vous la chauffer, cette princesse.

Ni une, ni deux, le voilà qui sort un sexe, ma foi d’assez bonnes proportions, mais une peu malodorant, pas lavé depuis un bail. Il s’approche de Bêta qui le branle activement, s’avance vers Plaisir et lui enfonce son chibre dans le vagin. Il la besogne et jouit assez vite avec un grognement. Elle ne bouge pas.

- Ca y est, dit Alpha, elle est chaude à point, allez-y doux seigneur.

Mais le «doux seigneur» n’avait pas l’air bien emballé. Cette chatte béante n’était pas de son goût. Bêta s’approcha alors de lui, elle détacha sa culotte et exhiba son sexe flasque. Elle se baissa, le baisa délicatement puis le prit en bouche. Alpha arriva par derrière et écarta lestement les fesses du prince puis y glissa un doigt. L’ambiance se réchauffait sérieusement.

Il faut préciser, cher lecteur, qu’Alpha et Bêta, comme on l’aura compris était au courant de la prédiction et qu’elles étaient en contact avec Brasilia. La fée leur avait expliqué ce qu’elles devaient obtenir, pour les moyens, il leur fallait improviser.

Elles le firent avec talent. Très vite, le prince se mit à respirer de plus en plus fort, alors Bêta s’arrêta.

- Allez, seigneur Bégueule, si tu veux que je te défonce ton petit cul, tu vas commencer par prendre cette fille. Toi seul peux la réveiller.

- On peut peut-être s’arranger, ajouta Alpha, tu peux la sodomiser, on va te faire le passage.

Elle retira son doigt du cul du prince, le lécha longuement, déplaça le corps inerte de Plaisir et l’introduisit dans son anus. En quelques secondes, un deuxième doigt rejoignit le premier. De l’autre main, elle attrapa le sexe du prince et le tira à elle. Elle continua de masser et élargir le trou, puis, enfin, y glissa le sexe de Bégueule. En même temps elle soulevait les fesses de Plaisir pour faciliter la sodomie. Presque en même temps, Bégueule et Alpha levèrent la tête et s’aperçurent que la main de Bêta était entrée en entier dans le sexe de la princesse, que du liquide en coulait que la respiration de la belle semblait s’accentuer.

Cette fois, le prince était pris au jeu. La vue de cette main et ce cul si douillet eurent un effet conjugué qui balaya ses réticences. Il se mit en branle, tapant à grands coups contre l’orifice anal de Plaisir, s’excitant au plus au point, criant, bavant, tant et si bien que la belle se réveilla.

Elle se réveilla dans l’état d’une fille assoiffée de sexe qui se fait prendre, un merveilleux réveil. Après avoir murmuré, elle cria son plaisir et dit :

- Partout, je veux des bites partout !!!

Au même moment, Alpha retira le prince du cul de la belle.

- Quel imbécile, souffla-t-elle à sa copine, il allait jouir.

Elle entraîna sur le lit le prince qui ne disait mot. Puis elle s’adressa à Plaisir.

- Maintenant suce-le jusqu’à ce qu’il jouisse.
- Mais je veux qu’on me prenne.
- Ne t’en fais pas, ça va se faire.

Bêta qui avait retiré délicatement sa main s’allongea sur le dos et attira Plaisir sur elle, elle s’enfonça d’un coup dans son vagin spacieux. Elle fit signe au serviteur bossu qui sortit un sexe presque plus large que long et s’introduisit avec plus de douceur qu’on n’aurait pu le croire dans le fondement de la princesse.

- Alors, dit Alpha, es-tu bien prise ?
- Oh oui, ça commence a être bon.

Le serviteur se démenait comme un beau diable, s’agrippant aux fesses, les griffant même, les claquant surtout, tandis que Bêta lui pilonnait consciencieusement le sexe.

- Bon alors suce-le avant qu’il ne débande.

Elle l’emboucha enfin.

- Il faut que la prédiction se réalise, dit encore Alpha, on va mettre tous les moyens.

Aussi se glissa-t-elle derrière le prince qui était à quatre pattes et elle l’encula à sec. Il eut un léger cri, mais très vite, les seuls mots qui sortirent de sa bouche furent :

- Encore, encore, plus fort, à fond, défonce-moi !

La bouche de Plaisir accomplit des miracles, sa langue chaude s’enroulait, puis elle pompait, pompait à n’en plus finir.

- Je vais jouir dans la bouche de cette femelle en chaleur, cria Bégueule à l’intention d’Alpha, je veux que tu m’achèves.

Enfin, de longues giclées de foutres s’échappèrent de la bite du prince et remplirent la bouche de Plaisir qui avala presque tout ; presque, car sa propre jouissance coïncidant avec l’éjaculation de Bêta la fit se tordre et elle relâcha quelques instants la bite de Bégueule.

La lâchant définitivement, elle s’effondra sur Bêta, tandis que le bossu explosait dans son rectum. Les trois corps se détachèrent peu à peu tandis qu’Alpha continuait de défoncer le prince. Elle finit par l’aplatir et s’allonger pesamment sur lui. Inlassablement, elle piochait dans ses entrailles, s’éloignait, revenait et piochait encore. Elle jouit enfin dans son cul puis se retira au milieu de son abondante éjaculation et força sa bouche afin d’y finir de se vider.

A la fin, le prince dut lécher tout le monde afin d’aspirer le sperme qui restait, il finit par le vagin de Plaisir.

La prédiction s’accomplit donc, ainsi que l’avait dit Picolette. Bégueule épousa Plaisir, mais ils firent rarement l’amour seuls. Chaudasse, peu rancunière, se réconcilia avec Plaisir et lui offrit même un énorme godemiché ceinture qu’elle harnachait souvent pour défoncer le cul de son mari.

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, mais nul ne sut jamais, pas même Plaisir elle-même, combien étaient de Bégueule...

 

Ce récit à eu l'honneur d'être 1er prix de la meilleure nouvelle pour 2007

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 10 janvier 2022 1 10 /01 /Jan /2022 17:14

Sophie une rousse sauvage 3 – Retour à la pâtisserie par FétichOdeursFlag culote

 

Un soir que nous parlions, je proposais à Sophie d’aller revoir notre pâtissière et sa forêt noire. Sophie appela :

– Allô, bonjour c’est Sophie…. , je ne sais pas si vous vous souvenez, mais nous sommes venus avec mon ami, déguster une forêt noire il y a une dizaine de jour, – oui je m’en souviens très bien, d’ailleurs mon mari a adoré la petite culotte que vous m’avez laissée
– Ah ! monsieur aime les parfums intimes – Oui beaucoup, moi aussi d’ailleurs, par contre je suis désolée vous ne pourrez pas la récupérer, mon mari est en voyage, et la porte sur lui.
– Mais c’était un cadeau, j’appelais pour savoir si nous pouvions passer, dans 20 minutes ne sachant pas l’heure de la fermeture
– La pâtisserie sera close, mais sonnez et je me ferais un plaisir de vous accueillir, en plus nous ne serons pas dérangés.

– Bon habillons-nous, me dis Sophie !

Elle mis un chemisier blanc transparent, retira sa culotte me la tendis. Aussitôt, je humais les parfums subtils de cyprine et de pisse qui s’en dégageait.

– Enfile la chéri, je suis sûre que tu préfèrera porter des sous-vêtements féminins que tes slips en coton.
Elle mis des bas noirs et un porte jarretelle noir, et chercha dans la panière à linge sale une petite culotte noire en dentelle, à travers laquelle elle avait uriné debout dans une file d’attente.

Nous prîmes nos manteaux et après dix minutes de voiture, nous nous garâmes en face de la pâtisserie.

Arrivés devant la porte, il ne fut pas nécessaire de sonner, la porte s’ouvrit.

– Bonsoir, Sophie moi c’est Solange, installez-vous j’arrive, juste le temps de ranger quelques bricoles.

Une table nous attendait avec deux assiettes Solange revins avec deux flûtes à champagne.

-Je pense que vous apprécierez les serviettes. Bertrand, la vôtre est encore chaude

En fait de serviettes il s’agissait de deux petites culottes blanches. Je pris la mienne elle était toute chaude et humide. Je l’ouvris découvrant de larges auréoles et quelques poils noirs frisés. Solange m’observait et je pris un grand plaisir à lécher le fond de sa culotte.

– Ah ! j’ai oublié de vous dire, nous dit Solange, mon mari excité par votre aventure de l’autre jour m’a autorisé à faire visiter ma forêt noire, mais il m’a interdit que vous y pénétriez
– Pas de problème répondit Sophie, je porte garant de la queue de Bertrand.
– Bon je reviens dans 5 minutes.

Sophie ouvrit à son tour la serviette surprise de son verre, et mon montra le fond taché de jaune de la culotte.

– Eh bien, je crois qu’elle ne s’essuie pas la chatte après le pipi la cochonne
– Dis-moi Sophie et si on remplissait les verres
– Tu ne veux quand même pas que je pisse dedans
– Oh ! si je veux voir un liquide jaune d’or dans ces flûtes
– Ok, de toute façon, elle n’est pas obligée de boire

Lorsque Solange revint avec une bouteille de champagne et un plateau bourré de gâteaux au chocolat, nous vîmes qu’elle s’était changée. Notre brune de 45 ans avait mis un tablier de soubrette noir avec son surtablier blanc en dentelle qui partait des hanches. Elle ne portait rien en haut en dessous, et ses deux grosses mamelles bougeaient librement en dessous, ballottées par la marche de Solange. Ses bras légèrement écartés pour tenir le plateau découvraient deux touffes noires abondantes sous ses aisselles. Pour le bas, on découvrait des jambes rondes et gainées de noir.

Solange surprise :

– Vous aviez amené une bouteille ?
– Pas vraiment lui répondit Sophie avec un grand sourire
– C’est une fabrication maison, précisait-je, un grand cru classé Rousse-Sophie Ça ne vous gêne pas, j’espère ?
– Non dit Solange,
– Bertrand, montre comme tu apprécies ma liqueur dorée.
Je fixais Solange, pris mon verre et dégustais une première gorgée. Puis je décidais de boire tout cul-sec et me léchais les lèvres que Sophie venais d’embrasser. Sophie pris son verre et le tendit

– Solange vous voulez peut-être goûter ?
– J’allais vous le demander, c’est la première fois que je goutte un cru de rousse –
– Vous aussi vous aimez la liqueur dorée
– Disons qu’il nous arrive avec mon mari de boire à la source.

Solange était vraiment surprenante, nous qui pensions être les seuls à pratiquer l’Uro, nous découvrions une véritable complice. Solange nous sourit, pris un doigt le trempa dans le verre et le suça. Puis elle le retrempa et déposa une goutte d’urine sur son cou. Nous vîmes la goutte couler jusqu’au sillon vertigineux de ses gros seins. Puis elle porta le verre à ses lèvres et entreprit de boire son contenu gorgée après gorgée. Lorsqu’elle eut la dernière gorgée dans la bouche, elle ouvrit celle-ci et nous montra sa langue et ses dents baignant dans l’urine de Sophie. Et elle avala la dernière Gorgée et nous dit

– Un vrai nectar, mais vous n’avez plus rien à boire ; Que diriez-vous d’un château brune sauvage ?
– Avec plaisir répondis-je
– Mettons plus à l’aise dit Sophie, je crois que nos vêtements sont ridicules –
– Effectivement j’en meurrrrrre d’envie, Bertrand viens défaire le nœud de mon tablier
– Vas-y cochon, me dit Sophie, tu meures d’envie de toucher cette grosse salope.
– Parce que, tu te crois une oie blanche, la grosse rousse, dit Solange
– Je n’ai jamais dit que je n’étais pas une grosse truie

Je me collais derrière Solange et défie le nœud derrière son cou, tandis qu’elle soulevait ses cheveux. J’en profitais pour glisser sur le côté et embrasser son aisselle poilue. Elle était toute humide et sentait fort

– Allez lèche Bertrand, obéi à Solange
– Tout de suite Solange,

Pendant ce temps, j’avais détaché le haut de son tablier, découvrant ainsi de gros seins bien lourds et bronzés, qui pendaient sur son ventre. Je laissais son aisselle et entrepris de détacher le tablier tenu par une ficelle au niveau des hanches. De son côté Sophie était en petite tenue et écartait les cuisses, montrant à Solange sa touffe abondante et rousse qui dépassait de sa petite culotte en dentelle noire. Solange n’avait pas remis de culotte et une forêt sauvage brune nous apparut, lorsque le tablier glissa au sol.

Je bandais comme un âne et Sophie vint me déshabiller. En baissant mon pantalon, elle dit

Solange tu m’as donné une idée tout à l’heure, à partir d’aujourd’hui Bertrand ne portera plus que mes petites culottes
– Regarde ma chérie comme il bande dans ta culotte ton mec
– Oh ouiii ça t’excite salaud !
– Oui vos chattes luxuriantes me donnent soif

Solange monta sur la table et me demanda de tendre les verres. Elle s’accroupit et lâcha sa vessie Je remplis un verre, puis le deuxième, mais cela déborda, alors je plaquai ma main sur sa moule et la frottai pendant que les dernières gouttes sortaient. Puis Solange demanda à Sophie de la nettoyer. Sophie fit descendre Solange l’installa dans un fauteuil les cuisses sur les accoudoirs, se mis à quatre pattes et lui lécha la fente.

– MMM ça sent la marée, Solange, tu es une vraie truie
– Oh oui je suis une grosse truie, mon mari m’interdit de m’essuyer aux toilettes quand je fais pipi, et la douche m’est permise que le dimanche soir
– Mmmm tu mouilles comme une fontaine, viens Bertrand goutte-moi cette touffe
FO3
Elle dégageait un parfum différent de Sophie, elle sentait fort comme ma rouquine mais avec d’autres effluves. J’étais très excité et Sophie me caressait les couilles, je lui fit signe d’arrêter ne voulant pas exploser trop tôt. Sophie proposa un 69 à Solange, qui accepta avec empressement. Solange qui avait eu un avant-goût des parfums de la chatte rousse de Sophie à, travers la culotte que nous lui avions laissée se plongea avec ivresse dans la forêt de poils humides de Sophie.

– MMM c’est tout poisseux, salope fit Solange
– Bertrand aime beaucoup mes sécrétions abondantes
– Il a raison et de la chance, mmmmm c’est vraiment bon
– Bertrand Prend moi par derrière pendant que Solange me bouffe ma grosse moule.

Je m’approchais des fesses rebondies de Sophie et Solange les écarta pour me faciliter le passage. Sous les caresses de Sophie, Solange fut la première à jouir.

– Oh oui , ouiii mm vas-y plus fooooort , aaaaaah OOOOUUUUUUIIIIIIIII
-Bertrand je viens aussiiiiii- cria Sophie avant de s’écrouler sur le corps de Solange.

J’étais sur le point de craquer, lorsque Solange me dit

– Donne-moi ta crème

Et joignant le geste à la parole, elle retira ma bite du cul de Sophie et l’avala, il ne me fallut pas 30 seconde pour lécher mon sperme gras dans la bouche de Solange la goulue. Solange ouvrit la bouche pour me montrer le sperme qui la remplissait et avala. Sophie se redressa la touffe au-dessus du visage de Solange et lui dit ouvre la bouche

– Salope, je vais te rincer les dents.

Je vis le visage de Sophie se crisper, signe qu’elle essayait de pisser, puis j’entendit le jet magique sortir et vis Solange qui essayait d’en avaler le maximum, pendant que ses mains caressaient les cuisses velues de Sophie.

– Et moi on m’oublie dis-je
-T’en fait pas dit Solange

Elle s’assit sur une chaise écarta ses grosses cuisses se pencha en arrière. Je me mis à genou entre ses cuisses à 30 cm de sa grosse moule poilue je vis ses grosses lèvres bouger s’écarter lentement et un jet dru sortir et venir éclabousser mon ventre. J’ouvris la bouche et vins me coller à sa chatte pour boire un maximum de pipi chaud.

Nous étions passablement trempés et Solange nous amena à sa salle de bain pour prendre une douche. J’étais le seul à ne pas avoir encore vidé ma vessie. Sophie et Solange se mirent à genoux dans la baignoire et je commençais une douche dorée passant d’une bouche à l’autre. La pisse dégoulinait de leur menton sur leurs gros nibards avant de couler sur leur touffes sauvages. Sophie trempa ses fesses dans la flaque d’urine de la baignoire et me les tendis à lécher. Mon sexe repris de la vigueur je fis mettre Sophie debout jambes écartées, les mains en appuis sur la baignoire.

Solange se mis sur le côté une jambe sur un rebord de la baignoire et tout en se masturbant dirigea la manœuvre :

– Vas-y Bertrand, fourre ta grosse bite dans la moule de cette salope
– Tu aimes ça Sophie t’exhiber en train de te faire mettre, hein ?
– Oui j’aime que tu nous observes
– Vas-y plus fort ramone-lui le conduit à cette grosse vache ! t’aimes ça la rouquine te faire défoncer
– Oui c’est bon un gros sexe qui me laboure la chatte
– Vas-y plus fort Bertrand je veux entendre gueuler ta grosse truie, ce sac à pisse, mmmm oui continue, je jouiiis ohh ouiiiiiiiiii

Son explosion déclencha la nôtre et nous nous retrouvâmes, je ne sais comment tous les trois enchevêtré au fond de la baignoire. J’étais en dessous, un peu écrasé. J’avais le nez entre les fesses de Solange. Un vrai plaisir d’autant qu’elle écrasa son gros cul sur mon visage. Elle se redressa et sans prévenir laissa un filet d’urine couler sur mon visage. Après une bonne douche, nous nous rhabillâmes

Sophie offrit sa culotte à Solange

– Pour ton mari !

Solange nous donna un paquet de pâtisserie et nous nous quittâmes, non sans se promettre de remettre ça mais avec son mari cette fois.

 

FIN

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Lundi 10 janvier 2022 1 10 /01 /Jan /2022 17:08

Sophie une rousse sauvage 2 – Première orgie dans la cuisine par FétichOdeurs

Flag culote

Voici en exclusivité pour ce site la suite de – Sophie une rousse sauvage – Pour les amateurs d’odeurs de femmes rondes rousses et poilues, avec une passion pour les odeurs et le champagne chaud.

A partir de notre première expérience uro dans la baignoire, nous avons décidé avec Sophie qu’à tour de rôle nous devrions obéir au fantasme de l’autre. Je vais donc vous livrer quelques-unes de nos expériences.

1ère orgie dans la cuisine

Un jour que je faisais les courses à CARREFOUR j’ai acheté un tablier de cuisine en plastique transparent. En rentrant à la maison Sophie était dans la cuisine ;

– Sophie ?
– Oui mon amour
– Regarde ce que je t’ai ramené des courses
– Un tablier transparent et je suppose que tu veux que je le mette sans rien en dessous
– Exactement mon petit trésor

Sophie retira son tee-shirt dévoilant ses deux gros nichons prisonniers d’un soutien-gorge à armature Playtex. Elle vint vers moi avec un regard d’allumeuse et me demanda de lui enlever son soutif. Elle se retourna frotta son gros cul sur mon bas ventre et me dit

– Maintenant c’est à moi de décider, tu n’as pas le droit de me toucher sans que je t’y autorise

Je défis son soutien-gorge du bout des doigts libérant sa poitrine 105 d.

– Pour te faire patienter, je t’offre un petit apéritif

Elle mit ses mains derrière sa nuque découvrant ses aisselles fournies de poils roux

– Viens respirer et lécher mes petites touffes mon chéri

Je m’exécutais dégustant ses arômes de la journée

– Mmmm que j’aime ta langue, stop j’ai de l’eau qui bout.

Elle alla vers la cuisine s’arrêta devant la porte, balança son gros cul de gauche à droite puis enleva son pantalon et sa culotte. Et me dit

– Viens dans la cuisine maintenant

Je la rejoignis et elle mit le tablier qui ne cachait rien de ses formes généreuses. Elle mit des spaghettis dans l’eau et enfila des gants de cuisine bleus avant de laver un plat dans l’évier. En frottant, elle faisait vibrer ses fesses et ses cuisses ce qui était très excitant.

– Fous-toi à poil Bertrand
– Tout de suite Sophie
– Ça t’excite de voir mon gros cul se trémousser, hein ?
– Oh oui regarde
– En effet

Elle approcha sa main gantée et pleine de mousse de mon sexe et fit quelques va-et-vient me laissant sur ma faim. Elle égoutta les spaghettis et prépara une sauce crème fraîche sauce tomate.. Je repris l’initiative et lui pris le saladier des mains avant qu’elle ne le remplisse de pattes.

– Monte sur la table et remplie le, il nous faut une boisson pour accompagner les pâtes

Sophie monta sur la table, écarta ses grosses cuisses. Je voyais ses belles mamelles blanches collées au plastique du tablier et avais une vue imprenable sur sa toison rousse abondante et bouclée ainsi que ses deux grosses lèvres roses qui pendaient. Avec ses gants de vaisselle cela donnait un érotisme torride. Je glissais le saladier sous ses fesses et Sophie se soulagea la vessie dans un bruit de jet dru qui m’excita encore plus. Elle avait une grosse envie et le saladier fut rempli à moitié. Je pris une tartine de pain et lui essuya la touffe avec

– Mmm tu fais des mouillettes
– Oui ! Dis-je en dégustant le pain parfumé, tu veux goutter ?

Elle prit un morceau et le trempa carrément dans le saladier avant de l’avaler avec un sourire de vice et cette expression de triomphe qu’on affiche lorsque l’on sait que l’autre est surpris. Sans un mot elle pris un verre dans le placard le remplie à ras bord et me le tendit

– Surtout n’en renverse pas une goutte mon petit cochon

Je lui souris et avalais une première gorgée ;

– Continue dit-elle en riant

Je bus une deuxième gorgée, puis la troisième, mais je dois dire qu’au bout d’une dizaine ça devenait plus dur mais je mis un pont d’honneur à finir.

– Voilà salope j’ai tout bu

Je me léchais les lèvres penchait la tête en arrière et retournait le verre pour récupérer la dernière goutte.

– Bien mon gros pervers, mais on a oublié de trinquer

Elle sortit un deuxième verre, remplit le deuxième, fixa dans les yeux. Je lui souris pris mon verre ; et lui dis
– Ok on fait la course

Elle commença à toute vitesse, mais par chance ou plutôt par inexpérience se mis à tousser à la moitié du verre ce qui me permis de gagner. (Aujourd’hui, nous sommes tous deux capables de boire plusieurs verres de suite sans problèmes, c’est une question d’entraînement). Sophie abandonna à la moitié du verre

– Ok j’ai gagné, ma chérie
– Oui désolée mais là en toussant j’ai avalé de travers je ne peux plus
– On a pas fini, désolé, tu boiras la fin tout à l’heure. Pour l’instant tu as un gage, je veux que tu me branle avec tes gants de vaisselle
– Ok tu as gagné, monte sur la table et met toi accroupi

Je montais avec une trique d’enfer, et Sophie me caressait les fesses d’une main pendant que l’autre astiquait doucement mon dard.

– Mmm elle est bien raide ta grosse queue
– Ta gentille Sophie va te la soulager
– Oh oui salope continue !
– Mmm je vois ton gros gland rouge qui demande qu’à cracher son yaourt bien gras
– Oh salope, je viens recueille mon sperme !

Sophie accéléra son va-et-vient et me fit jouir dans mon verre vide.

– Mmmm c’est bon ma chérie vas-y nettoie-moi le gland

Elle me suça et me donna le verre. Je pris un couteau et fis une tartine au foutre, que je tendis à Sophie. Elle aimait visiblement cette situation et me pris le couteau des mains pour en couper la moitié qu’elle me tendit. C’était un peu fade alors je mis un peu de sel, et mangea ma part. Avec tout cela Sophie qui n’avait pas joui n’en pouvais plus. Mais je menais toujours le bal

– Bon maintenant je te propose une – pipi – spaghetti partie dans la baignoire
– Oui mais viens me soulager d’abord, j’ai la moule en fusion
– Seulement si tu finis ton verre

FO2


 

Elle prit le verre, et bu son urine cette fois tranquillement gorgée après gorgée.

– C’est bien mon trésor, assied-toi sur la table et écarte les cuisses que je te soulage
– Oh oui viens vite bouffe-moi la chatte, elle est toute fondue !

En effet, sa chatte et ses cuisses étaient poisseuses de mouille, et son bouton était très dur. Je lui introduis deux doigts dans la chatte tout en lui léchant et aspirant le clito. Elle était déjà mure et il me fallut seulement 30 secondes pour qu’elle explose sur ma bouche emprisonnant ma tête entre ses grosses cuisses.

– Bon c’est pas tout mais les pâtes ont refroidi; je les mets au micro-onde
– Moi je vais dans la salle de bain, je prends le saladier de champagne et les verres
– Attend moi et enlève ton tablier
– Oui ce sera plus pratique

Arrivé à la salle de bain, je dis à Sophie que j’avais une envie de pisser énorme.

– Viens faire dans le saladier

Sophie pris ma bite et dirigea le jet qui re-remplit le saladier. Elle égoutta les dernières gouttes sur chacun de ses tétons

– Cadeau pour tout à l’heure

Nous rentrâmes dans la baignoire et nous nous assîmes l’un en face de l’autre, le plat de spaghettis entre nous, je pris un spaghetti et la mangea avec mes mains. Le sexe ça creuse et ce n’est qu’au bout de 5 minutes une fois calé, que j’attaquais. Je pris une grosse poignée de spaghettis et la lança sur les gros nibard pendants de Sophie ; Elle ramassa les pattes tombées au sol et se les étala sur les seins. Sophie renversa le plat complet de spaghetti et en pris deux poignées qu’elle vint frotter sur mon visage très vite nous n’étions plus que deux corps glissant l’un sur l’autre dans la sauce tomate et les nouilles. Nous nous léchions, sucions, caressions avec les pâtes. Je finis par la prendre par derrière, nos deux corps glissant l’un sur l’autre dans uns sensations très agréables.

– Allez prend moi fort, oui je sens ton gros mandrin qui me ramone la cheminée
– Oh Sophie ton gros cul de salope il est bon, tu sens comme je te laboure la chatte
– Oh Bertrand je viens !
– Mmmm ohhhh ouii Sophie c’est bon

Nous nous écroulâmes dans la sauce tomate et les nouilles. Après avoir repris nos esprits, Sophie qui ne voulait pas rester sur une défaite nous servit deux verres de liqueur dorée

– Tchin tchin .

Les verres étaient plus petits et Sophie gagna cette fois.

– Bertrand à genoux, les mains dans le dos ; et tu dois manger les spaghettis

Je m’exécutais et lui mangeais les nouilles entre les doigts de pieds. C’est tout pour aujourd’hui

A suivre
marc.marc15@voila.fr

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Lundi 10 janvier 2022 1 10 /01 /Jan /2022 17:04

Sophie une rousse sauvage 1 – La rencontre par FetichOdeurs

Flag culote

Chapitre 1

C’était au volley que j’ai rencontré Sophie. Ce qui m’a tout de suite marqué c’est la jovialité de son regard et son entrain. On ne peut pas dire qu’elle avait le gabarit d’une volleyeuse : 1,60 m avec un tour de poitrine 100 D. Au cours de la partie je remarquai très vite que c’était une super joueuse avec une touche de balle très propre, et un sens du jeu certain. Etant passeur je repère tout de suite qui est l’âme de l’équipe. Et ce n’était pas les grands costauds qui smatchaient fort, non c’était cette petite rousse toute en rondeur qui se démenait, plongeait dans tous les sens pour offrir des balles d’attaques sur un plateau. Notre premier contact fut un peu brutal puisqu’un de ses coéquipiers en redescendant d’un contre la fit tomber et passant sous le filet elle vint s’écraser sur moi. Elle était trempée de sueur et en l’aidant à se relever, son odeur animale emplit mes narines. Elle me sourit.

– Pardon je ne vous ai pas fait mal ?
– Non rassurez-vous et vous ça va ?
– Ouiii, toujours prête !
– En tout cas vous êtes une sacrée joueuse
– Merci, mais comme passeur on a vu plus mauvais, au fait ton prénom, moi c’est Sophie ?
– Bertrand »

A la fin du match l’entraîneur nous invita à boire un verre, et Sophie était restée. J’étais le nouveau dans le club et l’entraîneur dit :

– Sophie pour les tournois en mixte tu as un sacré concurrent avec Bertrand
– T’en fais pas Maurice, au lieu de jouer à un passeur on va jouer à deux passeurs, et j’aime autant te dire que je suis sûr qu’il est aussi vicieux que moi et qu’en face il n’y a pas une équipe qui va nous résister.

Elle avait dit ça en me fixant dans les yeux, son regard brillait. On me questionna sur ce que je faisais, où j’avais joué avant, où j’habitais. Sophie réagit rapidement lorsqu’elle découvrit que nous habitions le même village

– Mardi prochain tu viens me prendre, Bertrand, ça sera plus sympa
– Pas de problème Sophie.

Nous nous quittâmes, après une dernière bière, et Sophie vint vers moi

– Eh chauffeur on se fait la bise ?
– Avec plaisir mademoiselle !

Au lieu d’une bise classique, elle posa ses lèvres avec une infinie tendresse sur mes joues, je lui rendis la pareille. elle me quitta en disant

– A mardi, je crois qu’on va faire une sacrée équipe tous les deux.

Pendant tout le week-end je repensais à elle, à son parfum animal. Le mardi j’étais 10 minutes en avance devant chez elle, elle accourut tout de suite en survêtement mais cette fois elle avait les cheveux libres ce qui me permit d’admirer sa longue chevelure rousse et bouclée.

– Sophie tu as des magnifiques cheveux
– Oui mais tu sais il y a beaucoup de gens qui n’aime pas les rousses
– Mais c’est idiot, surtout que tu es magnifique
– T’es gentil, mais tu as dû remarquer que je n’ai pas la taille mannequin,
– Arrête tes complexes, les mecs préfèrent une femme avec des seins, des fesses bien rondes que les planches à pain.

Nous arrivons au gymnase, vers la fin de l’entraînement, suite à un faux mouvement Sophie chopa une crampe carabinée au mollet. Je lui enlevai sa chaussure et lui fis faire des mouvements qui décrispèrent un peu la crampe. Pendant que les autres jouaient je commençais à lui masser la cheville, remontais son bas de survêtement jusqu’au genou et découvrit un mollet poilu. Sophie devint rouge et me dit

– Désolée, je ne me suis pas épilée depuis un bail
– Ça ne me gêne pas Sophie, j’adore les femmes natures sans complexe
– C’est gentil mais je suis sûr que ça t’écœure.
– Non, je t’assure, tu vas peut-être me trouver bizarre, mais je t’assure qu’une femme avec des rondeurs, une toison développée, des aisselles poilues est plus excitante qu’une blonde bcbg, à la taille de squelette, et aux sourcils épilés.
– Mince, mais je te fais de l’effet Bertrand
– Oh pardon
– Mais il faut pas, c’est plutôt flatteur mon chou ; mmmm continue ça me fait du bien ton massage du mollet mmm c’est bon ça détend bien, mmm t’as des mains qui valent de l’or.

Maurice siffla la fin de la séance, et Sophie lui dit

– Ça va mieux mais je ne reste pas boire ce soir Bertrand va me raccompagner.

Dans la voiture à peine avais-je démarré qu’elle posa sa tête sur mon épaule

– Bertrand, pardonne-moi si je suis aussi directe, mais tu me plais beaucoup
– Moi aussi Sophie j’ai pensé à toi pendant tout le week-end

Elle vint m’embrasser dans le cou et commença à y passer sa langue. J’avais du mal à conduire. En plus elle sentait fort, une odeur qui m’électrisait, je n’avais jamais connu de rousse avant et je peux vous certifier qu’il n’y a rien de plus aphrodisiaque que les parfums d’une rousse. Heureusement j’arrivais devant chez elle :

– Vite viens chez moi Bertrand

A peine arrivé sur le palier je l’embrassais sauvagement, elle m’avait excité la salope, elle m’attira dans le salon me fit tomber dans le canapé, se mit à quatre pattes au-dessus de moi et vint m’embrasser. Je lui retirai sa veste de survêtement, son tee-shirt, puis je libérai ses énormes seins de l’entrave de son soutif de sport. Elle avait les yeux qui brillaient d’excitation. Elle leva les bras en l’air pour détacher ses cheveux, ce qui releva ses seins et découvrit ses aisselles fournies de poils roux humides. Je me relevai et entrepris de respirer ses dessous de bras puis commençais à lui lécher

– T’es fou Bertrand, je suis sale, j’ai transpiré ce soir
– Mmm non c’est bon ma chérie; Tu ne peux pas savoir comme ça m’excite
– Mmm oh c’est bon ta langue

Puis elle me déshabilla à son tour, le tee-shirt puis le survêtement, elle attrapa mon sexe baissa ma culotte. Ma bite sentait fort aussi et je craignais qu’elle n’ait pas les mêmes attirances que moi pour les odeurs.

– Attend Sophie, je vais me laver
– Ah non tu ne vas pas me faire attendre salaud !

Et elle avala mon sexe tout en me caressant les fesses. Elle y mettait beaucoup d’ardeur je n’en pouvais plus

– Attention Sophie, je vais jouir
– Oui viens dans ma bouche
– Mmmm ohhhh ouii chérie mmmm ouiiiii

Elle avait tout avalé ! Elle se releva et vint m’embrasser, nos lèvres humides se mêlèrent et quand nos langues se joignirent je sentis une substance un peu âcre m’envahir la bouche. Sophie me roulait une pelle au sperme puis elle me repoussa dans le canapé et commença à se caresser les seins. Elle continua par un strip-tease découvrant son gros cul dans une culotte blanche toute simple. Les poils de sa chatte dépassaient de celui-ci, ce qui était très excitant. Elle s’approcha de moi, se retourna, fit saillir ses grosses fesses à 5 cm de mon visage et choisit ce moment pour baisser son slip. Elle recula et me frotta son cul sur le visage. Je sortis ma langue et elle me dit

– Oui bouffe-moi le cul Bertrand
– Mmm il est bon ton gros cul, slurp mmm

Elle retira complètement sa culotte et me la lança en riant, je lui dis merci et commençai à la respirer, Elle sentait terriblement bon et fort ce parfum subtil de mouille, de sueur et d’urine, mMmmm c’était un délice

– Maintenant que tu as goûté à l’apéritif si tu venais boire à ma fontaine, mon petit cochon.

Chapitre 2

Notre première nuit avait été torride et une odeur de sueur et de sexe emplissait la chambre. A 7 heures, Sophie se réveilla brutalement

– Merde je suis en retard, je dois présenter le projet marketing en conseil d’administration ce matin. Tant pis je ne me douche pas, s’il te plait soit gentil va me préparer un café fort pendant que je me prépare. Elle arriva 5 minutes plus tard en tailleur strict le chignon tiré à quatre épingles. Elle but son café d’une traite et me dit.

– Tiens Bertrand voilà une clef tu fermeras en partant, là c’est ma carte avec mon numéro direct appelle moi cet après -midi.

Puis elle glissa un morceau de tissu dans ma poche de chemise « cadeau, c’est pour que tu penses à moi (En fait de tissu, il s’agissait de sa petite culotte d’hier soir, je l’enlevai de ma poche et la respirai à plein nez) Mon dieu que cette femme sentait fort et bon de la chatte ! Au bureau je n’avais vraiment la tête au travail, je repensais à son corps son regard coquin son sourire gourmand. A 15 heures je l’appelle

– Allo Sophie, c’est Bertrand
– Ah j’ai eu peur que tu n’appelles pas
– Tu sais, tu vas peut-être me trouver con mais il faut absolument que je te parle
– Qu’est-ce qu’il y a tu ne veux plus que nous ayons des relations.
– Non au contraire, au téléphone j’aime pas trop parler, je veux juste te dire que, comment dire, hier c’était super entre nous
– Moi aussi j’ai adoooooré
– Je sais que c’est très tôt mais il faut que je te dise, que tu me plais énormément. Je ne sais pas, je sens comme quelque chose de magique entre nous. Voilà je crois que je t’aime, tu me trouves peut-être ridicule
– Oh non Bertrand, c’est complètement fou dans ma tête, je te jure, j’avais qu’une trouille c’est que tu me quittes en me disant, que sexuellement c’était super mais que ta vie est ailleurs.

On arrivait plus à parler, on entendait juste nos souffles.

– Bertrand
– Oui Sophie
– Tu termines à quelle heure.
– 18 h mais je peux me libérer plus tôt si tu veux
– Oh ouiiii je ne pourrai pas attendre si tard –
– Si on se retrouvait à 16 h 30 au café
– Je te propose un pâtissier salon de thé, c’est un maître chocolatier
– Ok j’adore le chocolat mon trésor !

A 16 h 30 j’arrivais au salon de thé, Sophie m’attendait. nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre et embrassés fougueusement comme deux collégiens

– Oh Bertraaand!
– Mmm Sophie je suis heureux
-Je suis excitée comme une vrai gamine
– Mm moi je plane, mmm.

On s’assoit dans un coin discret, Sophie me dit que toute la journée elle a eu peur que ses collègues remarquent qu’elle n’avait pas eu le temps de se doucher.

– Tu sais que quand je transpire je sens plutôt fort
– Tu sens divinement bon surtout, ma jolie rousse

Elle sourit

– En plus, je ne te dis pas j’avais des remontées d’odeur du sperme avec lequel hier tu avais baptisé mes seins. Je suis même allée me branler aux toilettes à la fin du conseil d’administration.
– Moi j’ai pas arrêté de caresser ta culotte dans ma poche de pantalon. Et j’ai profité de son odeur aphrodisiaque dès que je pouvais

La serveuse, une brune de 50 ans bien en chair, vint prendre la commande. Je demandais

– Votre forêt vierge, elle est comment ?

Sophie éclata de rire devant mon lapsus, mais la serveuse sans se démonter me répondit avec un sourire espiègle

– Ma forêt vierge est luxuriante mais elle appartient à mon mari j’espère que vous ne serez pas déçus, quant à ma forêt noire je vous la conseille elle est fondante.

Sophie en rajouta :

– Nous nous contenterons de la forêt noire et si ça ne lui suffit il pourra goutter de la forêt rousse, elle est crémeuse à souhait
– Monsieur a bien de la chance !

Elle revint avec nos forêts noires,

– Je vous ai mis deux grosses parts vous m’avez l’air de deux gourmands,

Elle se passa la langue sur les lèvres et repartit. Pendant que je dégustais ma forêt noire je sentis la main de Sophie se poser sur la bosse de mon pantalon.

– Doucement Sophie je suis à la limite de l’explosion
– C’est vrai mon pauvre chéri, et bien moi, j’ai la cerise de ma forêt vierge qui baigne dans la crème de chatte

Elle accéléra ses caresses

– Libère ta crème Bertrand, ça te fera du bien !

Elle frotta encore plus fort, et j’explosais dans mon slip tout en roulant une pelle à ma belle Sophie. Puis elle me dit

– Bertrand tu sais, il y a le feu sous ma jupe tu ne pourrais pas glisser discrètement sous la table pour éteindre l’incendie.

– Je me glissais sous la table et me dirigeais entre ses cuisses gainées de bas couleur chair. Le parfum sauvage de sa touffe me sauta à la figure. Ces essences de jus de chatte, de sueur et d’urine étaient enivrantes. Sophie écarta les cuisses, pour mieux m’offrir son intimité, en fait elle n’avait pas remis de culotte ce matin. Je me jetais alors sur sa grosse moule elle était vraiment trempée ; Je buvais son jus et lui suçais la cerise et très vite je la sentis se tendre et trembler. Elle avait joui sans dire un mot. En sortant de dessous la table je fus surpris de me trouver nez à nez avec la serveuse qui me demanda

– Vous préférez la forêt noire ou la forêt rousse ?

Rouge de confusion je lui répondis que cette forêt rousse était un grand millésime. La serveuse nous souris et Sophie récupéra alors sa petite culotte releva sa jupe s’essuya la chatte avec et dit

– Je suis sûre que vous mourrez d’envie de goutter !

Elle lui tendit sa petite culotte souillée et la serveuse la respira et la lécha.

 

FO1

 

Un client entra, elle nous dit

– Merci, les gâteaux je vous les offre n’hésitez à revenir, au revoir !

Une fois dehors en nous dirigeant vers le parking, Sophie me dit

– J’ai envie de pisser,
– Moi aussi je vais trouver un arbre
– T’es gentil, mais t’as pas mieux
– Si entre les deux portières de ma voiture.

Elle s’accroupit, remonta complètement sa jupe et tout en me fixant relâcha sa vessie, le bruit du jet m’a toujours excité

– Bertrand tu n’as pas de papier dans ta voiture ?
– Non désolé, mais je peux te nettoyer si tu le désires.

Ses yeux brillèrent, elle s’assit sur le bord de mon siège écarta les cuisses et m’offrit sa foune sauvage à lécher.

– MMmm mon petit cochon tu aimes ça mes gouttes de pipi ; viens profite mon trésor !

Après cette petite gâterie Sophie reprit sa voiture et me donna rendez-vous chez elle. Moi je pris juste le temps d’aller chez moi prendre quelques affaires…

Chapitre 3

Donc, après l’épisode du salon de thé je rejoignis Sophie chez elle avec mes affaires. En arrivant de l’hôtel avec mes valises, elle m’ouvrit. Sophie avait détaché son chignon strict, libérant sa merveilleuse chevelure rousse qui descend jusqu’au bas du dos. Vous savez, cette limite où commence un sillon sublime partageant deux magnifiques rondeurs. Elle avait remplacé son tailleur par un simple tee-shirt blanc et un panty noir qui moulait admirablement sont gros cul bien rond. Elle me montra les armoires pour ranger mes affaires et me dit :

– Mets-toi à l’aise mon chéri. Après si tu veux on ira prendre un bain ensemble
– Avec plaisir Sophie.

Elle revint 5 minutes plus tard, et pendant que j’accrochais une chemise dans l’armoire elle vint se coller contre mon dos et me caressa le torse, elle fit sauter deux boutons de ma chemise et glissa sa main contre mon poitrail velu

– Mmmm Bertrand, tu rangeras plus tard.

Elle défit mon pantalon me laissa juste mon slip et commença à me lécher sur le ventre. Je la fis relever et lui ôtai son tee-shirt découvrant ses deux gros seins libres qui, malgré leur taille, se tenaient superbement. Nous allâmes dans la salle de bain, où un bain nous attendait. Sophie s’agenouilla et embrassa mon slip déformé par l’excitation. Elle mordillait mon sexe à travers le tissu.

– Tu aimes ça Bertrand que je t’excite
– Oh oui Sophie continue c’est bon
– Mmm ça pue le sperme mon salaud, t’as gardé ton slip après la pâtisserie Bertrand
– Je sais parfaitement que tu adores les odeurs de sexe ma chérie, je suis sûr que ton panty doit être trempé de désir ma grosse cochonne
– Viens le vérifier mon petit porc, je suis sûr que tu vas te régaler
– Mmm c’est tout trempé cochonne, tu aimes ça que je te traite de salope;
– Oh oui je suis ta grosse chienne en chaleur »

Je lui retirai son panty découvrant sa grosse touffe rousse et odorante ; Sophie ne s’épile jamais au-dessus du genou, et sa toison est très développée. Aussitôt je frottais mon visage contre ce gazon humide aux délicieuses senteurs de sueur, de mouille et d’urine.

– Tu aimes ça la touffe de ta grosse Sophie,
– Oh ouiii elle est merveilleuse, ta grosse touffe
– Viens prends-moi en levrette j’en peux plus mon chéri !

Elle se positionna de côté par rapport à l’armoire à glace fit saillir ses grosses fesses dont la raie était ourlée de poils frisés. Je me plaçais derrière elle, et Sophie attrapa ma queue et la guida vers sa grotte humide.

– Fais-moi jouir Bertrand »

Je la pris d’un coup sec, et commençais un va-et-vient rapide. (Dans la glace, je voyais ses nibards ballotter dans tous les sens sous mes coups de rein). Sophie me regardait à travers la glace en criant des « oh oui » et des « mmmmm ». Elle fixait aussi ma queue qui lui pilonnait la chatte.

– Oh c’est bon, ouii je viens mmm ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii »

Et elle s’écroula par terre. J’avais réussi à me retenir, mais c’était juste. Elle me regarda et me dit :

– MM je t’aime et en plus tu ne peux pas savoir à quel point tu me fais jouir Bertrand. Je vais te faire un cadeau mon trésor. Je parie que tu as toujours rêvé d’enculer une femme, mais que tu ne l’as jamais fait. J’ai raison ?
– Oui effectivement c’est un fantasme
– Eh bien je te promets de réaliser tous tes fantasmes, sauf la violence. mais tu devras aussi réaliser les miens
– Avec plaisir !

Sophie se mit deux doigts dans la chatte et enduit sa rondelle de mouille

– Viens Bertrand, je suis sûre que mon gros cul t’excite
– Tu parles c’est un pousse au crime un pareil dessert
– Vas-y mon chéri pousse fort !

J’appuyai mon gland sur sa rondelle, fou d’excitation. Je la saisis par les hanches et commençai à la pénétrer. Elle poussait en même temps. Je commençais des va-et-vient dans ce conduit serré. Et étant au bord de l’explosion je dis :

– Oh Sophie je viens c’est trop bon, mmm, ouiii !

A ce moment Sophie contracta ses sphincters ce qui me fit hurler de plaisir

– Mmm c’était bon mon chéri hein
– Sublime mais toi
– Oh j’avais déjà pris mon pied, et je ne jouis jamais du cul, ça augmente mon plaisir quand on s’en occupe, c’est déjà pas mal. Je crois que l’on a besoin d’un bon bain
– Effectivement

Nous rentrâmes dans le bain encore tiède ; après une dizaine de minutes de détente Sophie me dit :

– Je sors, j’ai envie de pisser
– Tu n’as qu’à pisser dans le bain mon trésor
– Oh je sais ce qui va te plaire, j’ai bien vu tout à l’heure dans le parking, espèce de cochon.

Elle monta sur le bord de la baignoire s’accroupit en écartant les cuisses.

– Profite mon petit voyeur regarde ma chatte, il va en sortir du champagne !

Sophie contracta sa vessie et lâcha un jet d’urine qui vint rebondir sur mon ventre.

– Ça t’excite de me voir pisser salaud, allez viens goûter mon champagne, je suis sûr que tu en meurs d’envie.
– Oh oui, je suis ton gros cochon !

J’ouvre ma bouche et commence à sentir le liquide chaud et sous pression rebondir sur ma langue.

– Avale salaud, obéis à ta Sophie
– Oh oui maîtresse je bois votre urine »

Le goût était bizarre mais pas désagréable et j’en bus plusieurs gorgées avant de nettoyer la chatte de Sophie avec ma langue.

– Mmm merci Sophie, mais je suis sûr que tu as soif aussi
– Mmm ouii Bertrand fais-moi goûter ta bière pression !

à suivre

marc.marc15@voila.fr

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Samedi 1 janvier 2022 6 01 /01 /Jan /2022 16:49

En face d'elle… par Viva_libertad

BiteFlag

Cette histoire me fait toujours le même effet lorsque j'y repense et c'est encore le cas lorsque je vous l'écris…

 

Lorsque ça s'est passé j'avais 18 ans, j'étais fâché avec mes parents et je vivais chez ma sœur. A l'époque elle avait un nouveau compagnon qui venait régulièrement dormir chez elle. Il s'appelait Paul et je le trouvais plutôt sympa.

 

J'étais en terminale, rien de particulier dans ma vie à ce moment précis si ce n'est que je ne passais pas une journée sans de régulières montées de plaisirs… normal à mon âge, et encore plus du fait que je n'avais eu personne depuis un moment, et que surtout je n'avais jamais été jusqu'au mélange des corps avec une fille. Mise à part quelques amies auxquelles je ne me confiais pas, la seule présence féminine régulière était ma sœur. On est d'origine berbère et elle a de bonnes formes qui n'ont rien à envier, et son teint bronzé lui donne l'impression d'être toujours de retour de vacances. On a toujours eu de très bons rapports et elle s'est toujours bien occupée de moi. J'avoue avoir ces derniers temps quelques tendances à m'accrocher sur ces formes et à laisser voguer mon imagination, sans pour autant risquer que ça se sache…

 

C'était la fin de l'année scolaire, les examens étaient finis et enfin les vacances en attendant les résultats du Bac.

 

On est vendredi, et j'ai passé la nuit chez un pote qui habitait prêt de chez elle et je rentre chez ma sœur en fin d'après-midi. Le soleil est au rendez-vous et c'est tenue décontractée pour tout le monde, on sent que c'est l'été… j'habite en plein centre-ville alors sur le retour je croise beaucoup de monde qui se balade et qui profite de cette chaleur, beaucoup de minijupes et de long décolletés sont au rendez-vous et je ne manque pas de reluquer tout ça, après tout c'est aussi fait pour…

 

J'habite un pavillon un peu reculé dans une petite ruelle piétonne, ce qui donne à la fois un sentiment de tranquillité et de proximité au centre-ville, j'aime beaucoup notre maison. Au moment d'arriver au portail je trouve la porte verrouillé et malgré ma clé je n'arrive pas à ouvrir, cependant, j'aperçois qu'il y a la voiture de Paul garée dans le jardin et Paul n'est là que si ma sœur est chez elle. Je vais pour sonner et me rappelle que je n'avais pas prévenu de mon retour. Du coup je me dis que si à cette heure-là c'est fermé c'est qu'il y a une bonne raison. J'avais cru comprendre plusieurs fois qu'ils étaient assez amateur de petits jeux coquins et du coup je deviens assez curieux. Je me dis que c'est une occasion en or pour vérifier ça. Je sais que ce n'est pas vraiment moral mais je dois bien avouez que l'idée me plait et je me sens d'attaque pour tenter le coup. Ce n'est pas tant pour les mater, c'est tout de même ma sœur, que plus de la curiosité de savoir pourquoi ils ont pris le soin de s'enfermer. Ma décision est prise, je passe par-dessus le portail et décide de passer à gauche de la cour, sur l'herbe, et ainsi de faire le tour du pavillon. C'est stratégique parce que je peux arriver direct au jardin sans me faire repérer et ainsi accéder à une bonne partie des pièces de la maison par les grandes baies vitrées. Une fois sur la gauche de la maison je peux voir, caché derrière un arbuste, le salon à travers la grande vitre, je ne vois rien de particulier. J'avance donc vers le jardin et là je vois une bouteille de champagne sur la table de jardin mais aucun verre à côté. J'avance doucement et là je commence à entendre du bruit.

 

La chambre de ma sœur se trouve à l'étage et un escalier partant du jardin amène directement à sa porte, qui là est légèrement entre ouverte. Je m'y avance alors doucement et entend un long gémissement… je ressens alors un sentiment de honte d'être là et de culpabilité… malgré tout je sens bien que la situation m'excite et je n'arrive pas à faire demi-tour, je veux les voir… je ne me reconnais plus parce que je sens que je commence à avoir chaud et moi qui suis en bermuda j'ai du mal à cacher mon sexe qui commence à se raidir. Alors je continue et arrive face à cet escalier et continue à entendre des petits cris, ceux de ma sœur, et l'excitation ne me lâche pas. Je commence à monter très discrètement pour ne pas éveiller de soupçon et trouve une culotte à ma sœur sur une marche, ça commence à être très étrange comme situation mais je continue. Je suis quasiment couché sur l'escalier de façon à entrevoir ce qui se passe dans sa chambre sans pour autant risquer d'être vu mais la porte n'est qu'entre ouverte. Finalement je trouve un bon angle et là je vois une partie du lit et je les vois dessus. Ma sœur est assise sur lui et fait des va-et-vient en poussant de petits gémissements… c'est obscène, je vois le cul de ma sœur là devant moi en train de se faire prendre et ça m'excite terriblement, mon sexe est tendu à l'extrême et me fais mal. C'est magnifique de voir ça malgré l'interdit ou justement à cause de l'interdit, je ne sais plus, et je ne suis plus en condition de réfléchir… c'est trop dur de rester comme ça, je descends ma main dans mon slip et prend à pleine main ma bite qui est gonflé à l'extrême et qui ne demande qu'à sortir. C'est tellement bon et je m'imagine même à la place de Paul en train de prendre ma sœur, son cul bronzé et de profiter de ses gros seins que je ne peux malheureusement pas voir d'où je suis. En plus de ça je commence à percevoir quelques odeurs et j'en deviens fou…

 

J'ai l'impression d'avoir quitté le réel et du coup au point où j'en suis je finis par prendre la culotte de ma sœur restée sur une marche pour sentir sa douce odeur de plus près. Je la prends et la respire et j'en suis dingue, comment n'avoir pas pensé avant à lui en piquer une qu'elle avait déjà portée… J'ai dans ma main gauche la culotte de ma sœur et de ma main droite je me branle en regardant le beau cul de ma sœur se faire empaler par la bite de Paul que j'imagine assez conséquente vu de leur position. Cela dure quelques minutes de pur extase et jusqu'à ce que ma sœur se lève du sexe de Paul pour le prendre à pleine bouche. Il est énorme, tellement gros et long, et encore luisant de la mouille de ma sœur, j'en suis encore plus excité. Je me retrouve à voir ma sœur tailler une bonne pipe à son copain sous mes yeux et c'est incroyable comme situation…

 

- Vas-y branle la bien comme tu sais le faire, bonne salope que tu es… Lui dit Paul

- Une bonne grosse bite comme ça mérite un bon traitement ne t'inquiète pas. lui répond ma sœur

 

C'est surréaliste et pourtant je ne peux pas m'empêcher de faire des va-et-vient sur ma bite sortie, longue et gonflée. J'imagine même que c'est ma bite que ma sœur suce et là l'effet est immédiat : je ne contrôle plus rien et je sens que malgré moi je vais tout sortir et pour ne pas en mettre sur moi ou sur les marches je prends la culotte de ma sœur, que j'avais sous mon nez pour la porter à mon gland rouge d'excitation qui va tout décharger… c'est tellement bon mais je me rend compte de ce que je viens de faire et malgré que je sois en face du plus beau spectacle que j'ai jamais vu je reprends mes esprits, et file aussi discrètement que je suis arrivé pour ne pas être vu en prenant soin d'emmener la culotte de ma sœur…

 

Je repars au centre-ville le temps de me changer les esprits et attend un long moment avant de revenir chez moi et de sonner…

 

Il est maintenant 21 h et lorsque je rentre tout est comme si rien ne s'était passez en apparence sauf que je ne les regarde plus comme avant :

 

- Ça va Titou, ta soirée hier c'est bien passé ? me demande t'elle

- Ça va ouais, plutôt tranquille ! Et je détourne vite le visage n'osant pas la regarder dans les yeux…

 

Paul, lui, est assis dans le salon et je ne peux m'empêcher lorsque je le vois de repenser à son sexe énorme que ma sœur essayé, avec du mal, à mettre dans sa bouche il y a quelques heures….

 

- Je monte dans ma chambre je suis naze, bonne nuit à vous ….

 

Arrivé dans ma chambre je ressors la culotte de ma sœur imprégnée de mon foutre et je la porte à mon nez et l'effet est direct, je bande comme un cheval et descend mon caleçon pour être à l'aise et me fous sur mon lit la queue dressée… l'odeur m'exalte mais j'aperçois un détail que je n'avais pas remarqué à savoir qu'elle était tout de même très odorante et une petite trace marron sentait sa bonne odeur de cul… un régal que je ne pus m'empêcher de lécher délicatement…La nuit fut terrible après une pareil expérience et ce fut difficile de trouver le sommeil…

 

Le matin au réveil j'étais encore tout chamboulé de ça et descend dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, personne n'est encore levé. Cinq minutes plus tard j'entends une porte à l'étage et c'est ma sœur qui descend, en chemise de nuit.

 

- Ça va Titou, bien dormi, t'as pas eu trop chaud ? me demande t'elle

- Nan, ça va, plutôt bien dormi… 

 

Si elle savait que j'avais pensé à son cul toute la nuit et que j'avais rêvé d'avoir sa bouche empalé sur ma bite…

 

Je ne me reconnais plus et lorsqu'elle s'approche me faire la bise habituel je fixe sa bouche et rêve de lui attraper sa langue et lui porter ma bite à sa bouche. Elle se penche pour prendre une tasse dans le lave-vaisselle et elle se retrouve penché de dos avec sa nuisette qui remonte jusqu'au haut de ses fesses et pas de culotte ! Quel spectacle ! J'entrevois sa belle fente et, surprise, de petites traces marrons autour de ses fesses, comme si elle venait d'aller aux toilettes et qu'elle ne s'était pas essuyée ! Et là c'en ai de trop, impossible de calmer mes envies et je rêve d'aller l'enculer là sur place… c'est terrible comme je suis dans un autre état. Je ne contrôle alors plus rien et je sens ma grosse bite gonflée et prendre forme dans mon caleçon et je ne porte que ça sur moi vu la chaleur, pourvu qu'elle ne s'en aperçoive pas… elle pose sa tasse et s'assoit en face de moi. Sa nuisette, mal fermée, laisse ressortir une partie de sa poitrine, et dans l'état où je suis c'est intenable et je me retrouve à fixer ses gros seins. Après un mouvement de sa part c'est carrément un téton que j'ai face à moi et mon caleçon est tendu sans qu'elle s'en rende compte. Bander autant devient presque douloureux et de voir en face de moi la bouche de ma sœur, et son téton pointer après avoir reluqué son gros cul me rend fou. Le pire advient après lorsqu'après avoir fixé son beau téton je relève les yeux et voit qu'elle m'a vu, et elle me sourit en refermant sa nuisette… j'en deviens dingue ! Une minute après elle fait tomber sa cuillère et la ramasse sous la table, j'en suis tétanisé ! Elle s'attarde et en remontant me dis avec un sourire de vicieuse :

 

- Alors tu m'as l'air un peu tendu ce matin… j'espère que ce n'est pas de ma faute… Dit-elle en descendant une main sous la table que j'imagine destinée à sa jolie chatte…

 

Pris de panique je change de sujet et comme je ne peux même pas me lever, j'attends qu'elle se lève et me tourne le dos pour aller filer à l'étage prendre ma douche et me décharger de toute cette excitation. Je rentre dans la salle de bain, le caleçon tendu vers l'avant et vais pour le descendre sauf que je me retrouve en face de Paul, nu, le sexe semi-bandé dans sa main droite…

 

- Excuse moi je ne savais pas que tu étais là… Lui dis-je ne réalisant même pas la situation….

- Nan, nan, rentre au contraire j'allais t'appeler, j'avais besoin d'un conseil. Il me dit.

 

Un conseil ? Il a sa bite dans sa main et il veut un conseil ? C'est quoi cette histoire ?

 

- Qu'est que tu veux me demander ? je lui dis

 

Il s'approche de moi et me montre son sexe qui malgré l'apparence et sa longueur n'étais même pas bandé, juste en semi-érection dans sa main. Il me dit alors :

 

- Tu vois c'est délicat mais je crois que j'ai chopé une petite allergie sur mon sexe et ça m'inquiète, j'ai pensé qu'entre hommes je pouvais te demander si ça t'étais déjà arrivé… 

 

Il me montre alors son sexe et le décalotte pour me laisser entrevoir un magnifique gland et une petite rougeur sous le frein.

 

- Tu vois je ne sais pas si c'est inquiétant ou pas, ça t'es déjà arrivé ? 

- Nan je crois pas. Je lui dis, et je me surprends à me mettre à genoux devant lui pour mieux voir.

- Je peux toucher ? Je lui demande.

- Vas-y oui, sans problème .

 

Je me retrouve à genoux devant lui avec sa belle bite énorme à 10 centimètres de moi en train de regarder sa rougeur. Sa bite sent fort et ça m'excite terriblement et j'en profite pour lui caresser la rougeur en lui demandant si ça lui faisait mal.

 

- Euh, nan, ça ne me fais rien… Me répond-il

 

Je marmonne deux trois mots et sens que sa bite gonfle entre mes doigts et prend une taille incroyable. En même temps dans mon caleçon ma bite a repris de sa vigueur et la situation devient très délicate, très gênante. De l'avoir gonflé entre mes doigts j'ai envie de la prendre à pleine bouche et de le pomper jusqu'à ce qu'il me crache tout en pleine face. Je sens qu'il n'est pas indifférent mais je ne sais pas s'il fera le pas de provoquer la situation. Je prends alors les choses en main, et je positionne ma main droite comme si j'allais le branler et part du bout de son gland énorme jusqu'au bout de sa tige en lui demandant si c'est douloureux. Il me répond alors tout troublé que non et d'un mouvement de bassin rentre son gland dans ma bouche qui n'attendait que ça et je me retrouve à sucer une bite, chose que je n'avais jamais faite. Elle est douce et tellement bonne que je descends mon caleçon pour caresser la mienne en même temps. Situation aussi incroyable qu'hier… je continue mes va-et-vient jusqu'à entendre les pas de ma sœur montant les escaliers et appelant Paul. Aussitôt je me faufile derrière le bac à linge et laisse Paul tout seul avec son sexe bien bandé. Ma sœur arrive alors et lui dit :

 

- Ah bah je vois que tu t'ennuies pas sans moi, ça t'as pas suffi la bonne pipe de ce matin mon gros cochon… t'en veux encore ? 

 

D'où je suis-je vois toute la scène et je suis au première loge, les yeux fixé sur son énorme bite que ma sœur prend d'une main.

 

- Oui j'en veux encore, ta bouche est magique pour ça, prend la tout de suite ! Il lui répond, en commençant déjà à doigter ma sœur qui a l'air d'apprécier…

- Ça rentre tout seul… et c'est encore chaud… Qu'est ce qui t'excite comme ça ma petite cochonne ?

- Mon frère en bas qui bandait comme un taureau tout à l'heure, il a maté mes seins ce petit pervers, et je suis sûre qu'il n'a pas loupé une seconde de mon cul vu que je n'avais pas de culotte, n'empêche que j'aurai bien pris en bouche sa grosse bite à lui aussi… en parlant de mon gros cul je t'ai fait une petite surprise, je ne me suis pas torché tout à l'heure pour que tu me nettoie ça, gros cochon que tu es… 

 

Elle lui tourne alors le dos et se cambre en avant pendant et écarte ses deux globes fessiers pour lui offrir ces délicieuses traces marrons que j'ai vu tout à l'heure…

 

- Hum, cochon va, nettoie bien avec ta langue…

 

Paul s'exécute alors avec un plaisir non dissimulé et semble faire comme s'il je n'étais pas là…

 

- Attends cochonne, vu l'état de ton cul j'imagine que ça doit être pareil à l'intérieur… 

 

Il lui met alors un doigt pendant qu'elle se tortille dans tous les sens et lui ressort sous son nez

 

- T'aime l'odeur de ton cul hein belle salope que tu es… 

 

Ma bite est gonflée et je me branle frénétiquement en sentant d'ici l'odeur du cul de ma sœur, c'est le rêve. Elle qui a dit qu'elle me sucerait bien ma bite. J'en peux plus d'excitation et je suis au paradis pendant qu'elle se fait doigter l'anus par Paul…

 

Paul dit alors :

 

- Sors de là petit salaud, viens nous rejoindre au lieu de te branler tout seul dans ton coin 

 

Mon souffle s'est coupé court et le monde s'est arrêté.

 

- Viens-là, t'as entendu ta sœur dire qu'elle aimera bien sucer ta grosse bite, viens… 

 

Je me lève alors, le sexe dressé jusqu'au nombril et regarde ma sœur qui me dit :

 

- Viens mon Titou, depuis le temps que j'ai envie de connaître son goût… en plus elle a l'air d'être à point, viens me la fourrer dans la bouche… 

 

Elle avait des yeux de cochonne et je n'ai pas hésité un moment à me placer devant elle pour lui offrir ma grosse bite. Elle a tout de suite ouvert sa bouche et j'ai commencé mes mouvements de va-et-vient dans sa grosse bouche pendant que Paul continuait de lui dilater son anus plein de merde afin de pouvoir mieux l'enculer ensuite.

 

J'étais sur une autre planète et ma sœur qui gémissait comme une bonne salope me dit alors :

 

- Qu'elle est bonne ta queue mon frangin, elle m'a manqué depuis l'époque où je te branlais dans ton bain pendant que tu t'amusais avec ma grosse chatte…, tu t'en souviens ?

- Nan ! Je lui réponds. Par contre c'est certain que maintenant je n'oublierai pas le goût de ta bouche et que tu vas souvent avoir ma grosse bite dans ta bouche, belle salope que tu es ! 

- Encule-moi mon Titou, j'ai tellement envie de ta queue dans mon cul, depuis le temps que j'en rêve… encule moi vas-y vite ! me crie-t-elle.

SodoF1022

Paul me laissa gentiment la place et je me retrouvai avec ma bite devant l'anus de ma sœur, bien dilaté et qui sentais une odeur bien excitante et malgré la grosseur de ma bite je n'eu pas de mal à entrer et à l'enculer cette bonne chienne de sœur ! Et je lui dis :

 

- Alors tu aimes la bite de ton Titou ? Grosse salope ! T'avais pas mis de culotte exprès pour voir bander ma grosse bite hein ? Et maintenant tu l'as dans le cul, tu la sens bien là ! Et t'as pas fini de la prendre et de la sentir sale chiennasse ! Maintenant tu me tailleras des pipes dès qu'on aura l'occasion salope !

- Oui mon chéri on a du temps à rattraper… et tu fais ça tellement bien… depuis le temps que j'observais ta bite en espérant la sentir en moi… 

 

Le mouvement était sauvage et elle adorait ça et ne se gênait pas pour crier ! Sa mouille coulait sur moi et tombait par terre, c'était l'extase à l'état pur. Pendant que je l'enculais, elle suçait Paul et son énorme bite qui finit par lui foutre tout son sperme dans sa bouche qu'elle avala jusqu'au bout.

 

Et ça a duré de bonnes minutes jusqu'à ce que je lui foute tout mon sperme dans son cul…

 

- Tu sais mon Titou, j'aimerais bien que Paul t'encule devant moi ! Elle me dit.

- C'est qu'elle est grosse ! Je lui réponds.

- Tourne toi, tu verra comme c'est bon !

 

Je me suis retourné offrant mon cul à la grosse bite de Paul

 

Advienne_que_pourra@hotmail.fr

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