Auteurs divers

Samedi 1 janvier 2022 6 01 /01 /Jan /2022 16:49

En face d'elle… par Viva_libertad

BiteFlag

Cette histoire me fait toujours le même effet lorsque j'y repense et c'est encore le cas lorsque je vous l'écris…

 

Lorsque ça s'est passé j'avais 18 ans, j'étais fâché avec mes parents et je vivais chez ma sœur. A l'époque elle avait un nouveau compagnon qui venait régulièrement dormir chez elle. Il s'appelait Paul et je le trouvais plutôt sympa.

 

J'étais en terminale, rien de particulier dans ma vie à ce moment précis si ce n'est que je ne passais pas une journée sans de régulières montées de plaisirs… normal à mon âge, et encore plus du fait que je n'avais eu personne depuis un moment, et que surtout je n'avais jamais été jusqu'au mélange des corps avec une fille. Mise à part quelques amies auxquelles je ne me confiais pas, la seule présence féminine régulière était ma sœur. On est d'origine berbère et elle a de bonnes formes qui n'ont rien à envier, et son teint bronzé lui donne l'impression d'être toujours de retour de vacances. On a toujours eu de très bons rapports et elle s'est toujours bien occupée de moi. J'avoue avoir ces derniers temps quelques tendances à m'accrocher sur ces formes et à laisser voguer mon imagination, sans pour autant risquer que ça se sache…

 

C'était la fin de l'année scolaire, les examens étaient finis et enfin les vacances en attendant les résultats du Bac.

 

On est vendredi, et j'ai passé la nuit chez un pote qui habitait prêt de chez elle et je rentre chez ma sœur en fin d'après-midi. Le soleil est au rendez-vous et c'est tenue décontractée pour tout le monde, on sent que c'est l'été… j'habite en plein centre-ville alors sur le retour je croise beaucoup de monde qui se balade et qui profite de cette chaleur, beaucoup de minijupes et de long décolletés sont au rendez-vous et je ne manque pas de reluquer tout ça, après tout c'est aussi fait pour…

 

J'habite un pavillon un peu reculé dans une petite ruelle piétonne, ce qui donne à la fois un sentiment de tranquillité et de proximité au centre-ville, j'aime beaucoup notre maison. Au moment d'arriver au portail je trouve la porte verrouillé et malgré ma clé je n'arrive pas à ouvrir, cependant, j'aperçois qu'il y a la voiture de Paul garée dans le jardin et Paul n'est là que si ma sœur est chez elle. Je vais pour sonner et me rappelle que je n'avais pas prévenu de mon retour. Du coup je me dis que si à cette heure-là c'est fermé c'est qu'il y a une bonne raison. J'avais cru comprendre plusieurs fois qu'ils étaient assez amateur de petits jeux coquins et du coup je deviens assez curieux. Je me dis que c'est une occasion en or pour vérifier ça. Je sais que ce n'est pas vraiment moral mais je dois bien avouez que l'idée me plait et je me sens d'attaque pour tenter le coup. Ce n'est pas tant pour les mater, c'est tout de même ma sœur, que plus de la curiosité de savoir pourquoi ils ont pris le soin de s'enfermer. Ma décision est prise, je passe par-dessus le portail et décide de passer à gauche de la cour, sur l'herbe, et ainsi de faire le tour du pavillon. C'est stratégique parce que je peux arriver direct au jardin sans me faire repérer et ainsi accéder à une bonne partie des pièces de la maison par les grandes baies vitrées. Une fois sur la gauche de la maison je peux voir, caché derrière un arbuste, le salon à travers la grande vitre, je ne vois rien de particulier. J'avance donc vers le jardin et là je vois une bouteille de champagne sur la table de jardin mais aucun verre à côté. J'avance doucement et là je commence à entendre du bruit.

 

La chambre de ma sœur se trouve à l'étage et un escalier partant du jardin amène directement à sa porte, qui là est légèrement entre ouverte. Je m'y avance alors doucement et entend un long gémissement… je ressens alors un sentiment de honte d'être là et de culpabilité… malgré tout je sens bien que la situation m'excite et je n'arrive pas à faire demi-tour, je veux les voir… je ne me reconnais plus parce que je sens que je commence à avoir chaud et moi qui suis en bermuda j'ai du mal à cacher mon sexe qui commence à se raidir. Alors je continue et arrive face à cet escalier et continue à entendre des petits cris, ceux de ma sœur, et l'excitation ne me lâche pas. Je commence à monter très discrètement pour ne pas éveiller de soupçon et trouve une culotte à ma sœur sur une marche, ça commence à être très étrange comme situation mais je continue. Je suis quasiment couché sur l'escalier de façon à entrevoir ce qui se passe dans sa chambre sans pour autant risquer d'être vu mais la porte n'est qu'entre ouverte. Finalement je trouve un bon angle et là je vois une partie du lit et je les vois dessus. Ma sœur est assise sur lui et fait des va-et-vient en poussant de petits gémissements… c'est obscène, je vois le cul de ma sœur là devant moi en train de se faire prendre et ça m'excite terriblement, mon sexe est tendu à l'extrême et me fais mal. C'est magnifique de voir ça malgré l'interdit ou justement à cause de l'interdit, je ne sais plus, et je ne suis plus en condition de réfléchir… c'est trop dur de rester comme ça, je descends ma main dans mon slip et prend à pleine main ma bite qui est gonflé à l'extrême et qui ne demande qu'à sortir. C'est tellement bon et je m'imagine même à la place de Paul en train de prendre ma sœur, son cul bronzé et de profiter de ses gros seins que je ne peux malheureusement pas voir d'où je suis. En plus de ça je commence à percevoir quelques odeurs et j'en deviens fou…

 

J'ai l'impression d'avoir quitté le réel et du coup au point où j'en suis je finis par prendre la culotte de ma sœur restée sur une marche pour sentir sa douce odeur de plus près. Je la prends et la respire et j'en suis dingue, comment n'avoir pas pensé avant à lui en piquer une qu'elle avait déjà portée… J'ai dans ma main gauche la culotte de ma sœur et de ma main droite je me branle en regardant le beau cul de ma sœur se faire empaler par la bite de Paul que j'imagine assez conséquente vu de leur position. Cela dure quelques minutes de pur extase et jusqu'à ce que ma sœur se lève du sexe de Paul pour le prendre à pleine bouche. Il est énorme, tellement gros et long, et encore luisant de la mouille de ma sœur, j'en suis encore plus excité. Je me retrouve à voir ma sœur tailler une bonne pipe à son copain sous mes yeux et c'est incroyable comme situation…

 

- Vas-y branle la bien comme tu sais le faire, bonne salope que tu es… Lui dit Paul

- Une bonne grosse bite comme ça mérite un bon traitement ne t'inquiète pas. lui répond ma sœur

 

C'est surréaliste et pourtant je ne peux pas m'empêcher de faire des va-et-vient sur ma bite sortie, longue et gonflée. J'imagine même que c'est ma bite que ma sœur suce et là l'effet est immédiat : je ne contrôle plus rien et je sens que malgré moi je vais tout sortir et pour ne pas en mettre sur moi ou sur les marches je prends la culotte de ma sœur, que j'avais sous mon nez pour la porter à mon gland rouge d'excitation qui va tout décharger… c'est tellement bon mais je me rend compte de ce que je viens de faire et malgré que je sois en face du plus beau spectacle que j'ai jamais vu je reprends mes esprits, et file aussi discrètement que je suis arrivé pour ne pas être vu en prenant soin d'emmener la culotte de ma sœur…

 

Je repars au centre-ville le temps de me changer les esprits et attend un long moment avant de revenir chez moi et de sonner…

 

Il est maintenant 21 h et lorsque je rentre tout est comme si rien ne s'était passez en apparence sauf que je ne les regarde plus comme avant :

 

- Ça va Titou, ta soirée hier c'est bien passé ? me demande t'elle

- Ça va ouais, plutôt tranquille ! Et je détourne vite le visage n'osant pas la regarder dans les yeux…

 

Paul, lui, est assis dans le salon et je ne peux m'empêcher lorsque je le vois de repenser à son sexe énorme que ma sœur essayé, avec du mal, à mettre dans sa bouche il y a quelques heures….

 

- Je monte dans ma chambre je suis naze, bonne nuit à vous ….

 

Arrivé dans ma chambre je ressors la culotte de ma sœur imprégnée de mon foutre et je la porte à mon nez et l'effet est direct, je bande comme un cheval et descend mon caleçon pour être à l'aise et me fous sur mon lit la queue dressée… l'odeur m'exalte mais j'aperçois un détail que je n'avais pas remarqué à savoir qu'elle était tout de même très odorante et une petite trace marron sentait sa bonne odeur de cul… un régal que je ne pus m'empêcher de lécher délicatement…La nuit fut terrible après une pareil expérience et ce fut difficile de trouver le sommeil…

 

Le matin au réveil j'étais encore tout chamboulé de ça et descend dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, personne n'est encore levé. Cinq minutes plus tard j'entends une porte à l'étage et c'est ma sœur qui descend, en chemise de nuit.

 

- Ça va Titou, bien dormi, t'as pas eu trop chaud ? me demande t'elle

- Nan, ça va, plutôt bien dormi… 

 

Si elle savait que j'avais pensé à son cul toute la nuit et que j'avais rêvé d'avoir sa bouche empalé sur ma bite…

 

Je ne me reconnais plus et lorsqu'elle s'approche me faire la bise habituel je fixe sa bouche et rêve de lui attraper sa langue et lui porter ma bite à sa bouche. Elle se penche pour prendre une tasse dans le lave-vaisselle et elle se retrouve penché de dos avec sa nuisette qui remonte jusqu'au haut de ses fesses et pas de culotte ! Quel spectacle ! J'entrevois sa belle fente et, surprise, de petites traces marrons autour de ses fesses, comme si elle venait d'aller aux toilettes et qu'elle ne s'était pas essuyée ! Et là c'en ai de trop, impossible de calmer mes envies et je rêve d'aller l'enculer là sur place… c'est terrible comme je suis dans un autre état. Je ne contrôle alors plus rien et je sens ma grosse bite gonflée et prendre forme dans mon caleçon et je ne porte que ça sur moi vu la chaleur, pourvu qu'elle ne s'en aperçoive pas… elle pose sa tasse et s'assoit en face de moi. Sa nuisette, mal fermée, laisse ressortir une partie de sa poitrine, et dans l'état où je suis c'est intenable et je me retrouve à fixer ses gros seins. Après un mouvement de sa part c'est carrément un téton que j'ai face à moi et mon caleçon est tendu sans qu'elle s'en rende compte. Bander autant devient presque douloureux et de voir en face de moi la bouche de ma sœur, et son téton pointer après avoir reluqué son gros cul me rend fou. Le pire advient après lorsqu'après avoir fixé son beau téton je relève les yeux et voit qu'elle m'a vu, et elle me sourit en refermant sa nuisette… j'en deviens dingue ! Une minute après elle fait tomber sa cuillère et la ramasse sous la table, j'en suis tétanisé ! Elle s'attarde et en remontant me dis avec un sourire de vicieuse :

 

- Alors tu m'as l'air un peu tendu ce matin… j'espère que ce n'est pas de ma faute… Dit-elle en descendant une main sous la table que j'imagine destinée à sa jolie chatte…

 

Pris de panique je change de sujet et comme je ne peux même pas me lever, j'attends qu'elle se lève et me tourne le dos pour aller filer à l'étage prendre ma douche et me décharger de toute cette excitation. Je rentre dans la salle de bain, le caleçon tendu vers l'avant et vais pour le descendre sauf que je me retrouve en face de Paul, nu, le sexe semi-bandé dans sa main droite…

 

- Excuse moi je ne savais pas que tu étais là… Lui dis-je ne réalisant même pas la situation….

- Nan, nan, rentre au contraire j'allais t'appeler, j'avais besoin d'un conseil. Il me dit.

 

Un conseil ? Il a sa bite dans sa main et il veut un conseil ? C'est quoi cette histoire ?

 

- Qu'est que tu veux me demander ? je lui dis

 

Il s'approche de moi et me montre son sexe qui malgré l'apparence et sa longueur n'étais même pas bandé, juste en semi-érection dans sa main. Il me dit alors :

 

- Tu vois c'est délicat mais je crois que j'ai chopé une petite allergie sur mon sexe et ça m'inquiète, j'ai pensé qu'entre hommes je pouvais te demander si ça t'étais déjà arrivé… 

 

Il me montre alors son sexe et le décalotte pour me laisser entrevoir un magnifique gland et une petite rougeur sous le frein.

 

- Tu vois je ne sais pas si c'est inquiétant ou pas, ça t'es déjà arrivé ? 

- Nan je crois pas. Je lui dis, et je me surprends à me mettre à genoux devant lui pour mieux voir.

- Je peux toucher ? Je lui demande.

- Vas-y oui, sans problème .

 

Je me retrouve à genoux devant lui avec sa belle bite énorme à 10 centimètres de moi en train de regarder sa rougeur. Sa bite sent fort et ça m'excite terriblement et j'en profite pour lui caresser la rougeur en lui demandant si ça lui faisait mal.

 

- Euh, nan, ça ne me fais rien… Me répond-il

 

Je marmonne deux trois mots et sens que sa bite gonfle entre mes doigts et prend une taille incroyable. En même temps dans mon caleçon ma bite a repris de sa vigueur et la situation devient très délicate, très gênante. De l'avoir gonflé entre mes doigts j'ai envie de la prendre à pleine bouche et de le pomper jusqu'à ce qu'il me crache tout en pleine face. Je sens qu'il n'est pas indifférent mais je ne sais pas s'il fera le pas de provoquer la situation. Je prends alors les choses en main, et je positionne ma main droite comme si j'allais le branler et part du bout de son gland énorme jusqu'au bout de sa tige en lui demandant si c'est douloureux. Il me répond alors tout troublé que non et d'un mouvement de bassin rentre son gland dans ma bouche qui n'attendait que ça et je me retrouve à sucer une bite, chose que je n'avais jamais faite. Elle est douce et tellement bonne que je descends mon caleçon pour caresser la mienne en même temps. Situation aussi incroyable qu'hier… je continue mes va-et-vient jusqu'à entendre les pas de ma sœur montant les escaliers et appelant Paul. Aussitôt je me faufile derrière le bac à linge et laisse Paul tout seul avec son sexe bien bandé. Ma sœur arrive alors et lui dit :

 

- Ah bah je vois que tu t'ennuies pas sans moi, ça t'as pas suffi la bonne pipe de ce matin mon gros cochon… t'en veux encore ? 

 

D'où je suis-je vois toute la scène et je suis au première loge, les yeux fixé sur son énorme bite que ma sœur prend d'une main.

 

- Oui j'en veux encore, ta bouche est magique pour ça, prend la tout de suite ! Il lui répond, en commençant déjà à doigter ma sœur qui a l'air d'apprécier…

- Ça rentre tout seul… et c'est encore chaud… Qu'est ce qui t'excite comme ça ma petite cochonne ?

- Mon frère en bas qui bandait comme un taureau tout à l'heure, il a maté mes seins ce petit pervers, et je suis sûre qu'il n'a pas loupé une seconde de mon cul vu que je n'avais pas de culotte, n'empêche que j'aurai bien pris en bouche sa grosse bite à lui aussi… en parlant de mon gros cul je t'ai fait une petite surprise, je ne me suis pas torché tout à l'heure pour que tu me nettoie ça, gros cochon que tu es… 

 

Elle lui tourne alors le dos et se cambre en avant pendant et écarte ses deux globes fessiers pour lui offrir ces délicieuses traces marrons que j'ai vu tout à l'heure…

 

- Hum, cochon va, nettoie bien avec ta langue…

 

Paul s'exécute alors avec un plaisir non dissimulé et semble faire comme s'il je n'étais pas là…

 

- Attends cochonne, vu l'état de ton cul j'imagine que ça doit être pareil à l'intérieur… 

 

Il lui met alors un doigt pendant qu'elle se tortille dans tous les sens et lui ressort sous son nez

 

- T'aime l'odeur de ton cul hein belle salope que tu es… 

 

Ma bite est gonflée et je me branle frénétiquement en sentant d'ici l'odeur du cul de ma sœur, c'est le rêve. Elle qui a dit qu'elle me sucerait bien ma bite. J'en peux plus d'excitation et je suis au paradis pendant qu'elle se fait doigter l'anus par Paul…

 

Paul dit alors :

 

- Sors de là petit salaud, viens nous rejoindre au lieu de te branler tout seul dans ton coin 

 

Mon souffle s'est coupé court et le monde s'est arrêté.

 

- Viens-là, t'as entendu ta sœur dire qu'elle aimera bien sucer ta grosse bite, viens… 

 

Je me lève alors, le sexe dressé jusqu'au nombril et regarde ma sœur qui me dit :

 

- Viens mon Titou, depuis le temps que j'ai envie de connaître son goût… en plus elle a l'air d'être à point, viens me la fourrer dans la bouche… 

 

Elle avait des yeux de cochonne et je n'ai pas hésité un moment à me placer devant elle pour lui offrir ma grosse bite. Elle a tout de suite ouvert sa bouche et j'ai commencé mes mouvements de va-et-vient dans sa grosse bouche pendant que Paul continuait de lui dilater son anus plein de merde afin de pouvoir mieux l'enculer ensuite.

 

J'étais sur une autre planète et ma sœur qui gémissait comme une bonne salope me dit alors :

 

- Qu'elle est bonne ta queue mon frangin, elle m'a manqué depuis l'époque où je te branlais dans ton bain pendant que tu t'amusais avec ma grosse chatte…, tu t'en souviens ?

- Nan ! Je lui réponds. Par contre c'est certain que maintenant je n'oublierai pas le goût de ta bouche et que tu vas souvent avoir ma grosse bite dans ta bouche, belle salope que tu es ! 

- Encule-moi mon Titou, j'ai tellement envie de ta queue dans mon cul, depuis le temps que j'en rêve… encule moi vas-y vite ! me crie-t-elle.

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Paul me laissa gentiment la place et je me retrouvai avec ma bite devant l'anus de ma sœur, bien dilaté et qui sentais une odeur bien excitante et malgré la grosseur de ma bite je n'eu pas de mal à entrer et à l'enculer cette bonne chienne de sœur ! Et je lui dis :

 

- Alors tu aimes la bite de ton Titou ? Grosse salope ! T'avais pas mis de culotte exprès pour voir bander ma grosse bite hein ? Et maintenant tu l'as dans le cul, tu la sens bien là ! Et t'as pas fini de la prendre et de la sentir sale chiennasse ! Maintenant tu me tailleras des pipes dès qu'on aura l'occasion salope !

- Oui mon chéri on a du temps à rattraper… et tu fais ça tellement bien… depuis le temps que j'observais ta bite en espérant la sentir en moi… 

 

Le mouvement était sauvage et elle adorait ça et ne se gênait pas pour crier ! Sa mouille coulait sur moi et tombait par terre, c'était l'extase à l'état pur. Pendant que je l'enculais, elle suçait Paul et son énorme bite qui finit par lui foutre tout son sperme dans sa bouche qu'elle avala jusqu'au bout.

 

Et ça a duré de bonnes minutes jusqu'à ce que je lui foute tout mon sperme dans son cul…

 

- Tu sais mon Titou, j'aimerais bien que Paul t'encule devant moi ! Elle me dit.

- C'est qu'elle est grosse ! Je lui réponds.

- Tourne toi, tu verra comme c'est bon !

 

Je me suis retourné offrant mon cul à la grosse bite de Paul

 

Advienne_que_pourra@hotmail.fr

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 29 novembre 2021 1 29 /11 /Nov /2021 17:10

Le coin de Cathy par Pasteque

 

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Il y avait cette année-là un championnat ou une coupe de quelque chose. Cathy et son mari nous invitèrent le dimanche suivant à profiter dans leur jardin du beau temps revenu autour d’un barbecue en attendant l’heure du saint office footballistique. Jean-Pierre et Kevin ayant entretenu la flamme de leur humeur sportive et du barbecue à grand renfort de canettes, s’effondrèrent à 15 heures devant les types en short.

 

Cathy semblait désireuse de reprendre notre conversation là où elle en était quinze jours auparavant. Elle me fit visiter ce qu’elle nommait  » son  » coin, c’est à dire le grenier du pavillon dont elle avait fait sa  » salle de jeu « .

 

C’était assez puéril : un sofa profond, une chaine hifi, des spots de couleur, on aurait dit le rêve érotique d’une gamine de quinze ans.

 

En minaudant dans son short et son cache cœur de poupée Barbie elle mit en route un programme disco à l’eau de rose et commença à se trémousser sur ses talons au milieu de la pièce. Comment avais-je pu tomber amoureuse de cette bimbo égocentrique deux semaines auparavant ?

 

En cavalier très macho je la pris brutalement dans mes bras pour une salsa endiablée. Je danse très bien et j’adore ça.

 

Pliée dans tous les sens, soumise à une autorité qui m’étonnait moi-même, elle se liquéfia en quelques secondes. A la fin de la danse, elle ne savait plus qui elle était.

 

Je lui enfonçai dix centimètres de langue jusqu’aux amygdales en lui pétrissant les seins et les fesses. Sur le sofa elle nous déshabilla religieusement puis se pencha sur ma toison en brandissant ses fesses à portée de ma main.

 

– Parle-moi mal me dit-elle.

– J’aimerais avoir une pine de cheval pour te l’enfoncer dans le gosier et t’enculer avec, lui murmurai-je à l’oreille tout en fourrant deux doigts dans son anus élastique.

– Mais v’ai egvactement fe qu’il faut pour fa, susurra-t-elle la bouche pleine de mes poils.

 

Vêtue de ses seuls talons aiguille, elle traversa la pièce pour fouiller dans un meuble bas d’où elle sorti un amas de sangles et de bites qui m’intrigua.

 

– Tu vas me baiser avec ça dit-elle avec un air presque timide.

– Je vais te baiser comme une chienne, lui dis-je.

– Oui, dit-elle

 

Après quelques minutes de mise en place d’un harnais compliqué mais efficace, j’avais dans le vagin quinze centimètres de zob en plastique et je brandissais vers elle un braquemard rubicond long comme un fantasme et gros comme mon bras.

cathy pastequeJe me vengeai sur elle de tout ce que le photographe ne m’avait pas fait dans la grange, la violai debout contre un poteau, giflai ses fesses à les rendre écarlates, tordis ses seins à la faire gémir, défonçai son cul avec méthode et enthousiasme et pour finir, pissai sur elle pendant qu’elle me léchait le cul.

 

La douche n’était pas loin et nous nous y refîmes une beauté.

 

– J’ai adoré ça, me dit-elle. On le refera ?

– Oui petite pute, lui dis-je, si tu fais des clients…

– Je ferai ce que tu voudras.

 

Dans le salon, Kevin et Jean-Pierre crièrent ensemble. Pensant à l’instant à la même chose, nous nous précipitâmes en bas pour assister à la scène. Mais non, le PSG venait seulement de prendre un but.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 29 novembre 2021 1 29 /11 /Nov /2021 17:05

Porteuse d'eau par Pasteque

 stamp lesbos douche

 

 

 

Laissant nos mecs transpirer devant la télé, Cathy et moi sommes parties prendre le frais à vélo dans les sous-bois.

 

Elle roulait devant et j'en bavais, mais j'admirais son corps mince et musclé, ses petits seins pointant sous le léger tee-shirt blanc et le balancement de son string que je voyais au travers de son cuissard moulant … Sous ma jupe de tennis, le vent fouettait mes cuisses, et dans mon débardeur, il entrait dans le profond sillon de mes seins, comme le regard des hommes que nous croisions.

 

- Je suis vannée et j'ai soif me dit Cathy au bout d'une heure en descendant de vélo dans un petit bois à l'écart de la route.

 

- Moi aussi, et j'ai mal aux fesses, lui dis-je.

- C'est vrai que la selle, ça chauffe sous une mini-jupe ! répondit-elle en s'adossant à un grand chêne. Viens me montrer ça, j'ai un don pour ce genre de choses dit-elle dans un sourire mi-figue mi-raisin.

Puis, elle but en laissant abondamment couler sur elle l'eau de sa gourde. Les pointes roses de ses mamelons tendant le coton jaune du tee-shirt me fixaient droit dans les yeux.

- Tu en veux ? demanda-t-elle en s'approchant.

- Oui...

 

En riant un peu trop fort, en respirant un peu trop vite, elle tendit sa gourde au dessus de moi. Je renversai la tête en arrière pour boire à la régalade cette eau qui me coulait sur les seins, sur le ventre et rejoignait plus bas la source qui me rendait molle.

 

Cathy releva mon débardeur au dessus de mes seins et vint se coller à son ventre.

 

- Ça fait du bien dit-elle. Suis-moi.

 

Elle s'enfonça dans les fourrés pour gagner une petite clairière ombragée et couverte de mousse.

 

- Toi, tu es déjà venue ici... dis-je en riant.

- Oui, et j'y ai déjà fait des choses agréables dit-elle en soulevant ma jupe. Tu es toute rouge. Retire ta culotte. De toute façon elle est trempée...

 

Je m'exécutai docilement. Elle dit :

 

- Je sais ce qu'il faut faire. Mets-toi à genoux.

 

Elle ôta son cuissard, et son string, libérant les lèvres charnues de son sexe lisse juste. D'un doigt, elle les sépara comme un fruit juteux puis vint si près que j'en sentis la puissante odeur.

 

- Voilà le médicament ! Tourne-toi, lève ton cul.

 

J'obéis, posai la tête sur mes bras et ouvris mes fesses à son plaisir. Je sentis un jet brûlant m'asperger les reins, les fesses, s'immiscer dans ma vulve, dans mon anus. Je me retournai pour téter à la source les dernières gouttes odorantes en aspirant la chair fondante. Haletante, elle se dégagea puis s'allongea sur le dos écartant ses genoux de ses mains en disant :

 

- À toi ...

 

Piss St128Je l'enjambai et tout debout, pliant juste ce qu'il faut mes jambes, je pissai abondamment sur son ventre, ses seins, en pinçant mon sexe je dirigeai le jet dans sa vulve qui se remplit en glougloutant, puis j'aspergeai tout alentour en me branlant comme une guenon en criant comme une possédée.

Frénétique, je me jetai sur Cathy. Nous léchâmes jusqu'à plus soif nos sueurs sueur et nos urines jusque dans les recoins les plus odorants avant de nous allonger sur la mousse, nymphes puantes comme deux satyres, terrassées pas le plaisir.

 

De retour à la maison, sous la douche où nous sommes montées tout de suite, Cathy m' a demandé :

 

- Tu le connaissais ?

- Qui ça ?

- Le gars qui nous a regardées et qui a pris des photos en se tripotant ?

- Quoi ?

 

Depuis, je sursaute quand le téléphone sonne et je tremble quand j'ouvre ma boite mail. Et si c'était quelqu'un qui me connaissait ?

 

Fin

 

Mis en ligne en août 2012

 

Note du Webmaster : Il y avait une suite que n'avons pas publié, celle-ci ne collait pas vraiment avec notre charte...

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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 18:05

7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 6- Partie carrée

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Le silence se fait tandis que Philippe commence son récit.

 

– J’étais au lycée, en pleine période de révision des examens de fin d’année. Un copain m’avait proposé de venir étudier les maths chez lui. Comme il était meilleur en maths que moi, j’avais immédiatement accepté. Ses parents possédaient une belle maison, avec une grande cour et une piscine. Ils n’étaient pas souvent à la maison et on était donc seuls dans la maison. On avait étudié pendant deux heures au bord de la piscine quand il m’a proposé de faire une pause. Évidemment, j’ai accepté. Il m’a proposé alors de faire quelques longueurs dans la piscine pour nous détendre. J’étais embêté, je n’avais pas prévu de maillot de bain. Je lui explique ça en espérant qu’il allait me prêter un des siens. Pas du tout.

– Qu’est-ce qu’il a fait ?

– Il a retiré son t-shirt et son short devant moi et s’est donc retrouvé à poil. Il m’a dit alors que je n’avais qu’à en faire autant. En voyant Simon à poil l’histoire m’est revenue à l’esprit.

 

Marie est impatiente.

 

– Et la suite ?

– Sans plus attendre, il a plongé dans l’eau. Je ne sais pas s’il l’a fait exprès, mais ça m’a pas mal éclaboussé, mes vêtements étaient tout mouillés. Je me suis retrouvé comme un épais au bord de la piscine, et lui était en train de faire la planche, à me dire de le rejoindre. Alors j’ai retiré moi aussi mes vêtements. En même temps, je fixais des yeux son sexe que l’on ne pouvait pas éviter de voir puisqu’il faisait la planche. Ça commençait à m’obséder, mais aussi à m’inquiéter. J’ai quand même fini par me retrouver nu à mon tour et j’ai vite sauté à l’eau.

– C’est tout ?

– Non. On a niaisé comme ça pendant un bon quart d’heure, peut-être plus. On s’est amusé dans l’eau à jouer à la balle. Mais il ne manquait pas une occasion de me frôler, j’ai eu l’impression de sentir le contact de son sexe à plusieurs reprises, je pense qu’il était en érection. Il s’est aussi amusé à passer sous moi dans l’eau et à me renverser en me soulevant par-dessous.

 

Philippe raconte son histoire au fur et à mesure qu’il s’en souvient. C’est ainsi qu’il se rend compte qu’il aurait mieux fait de ne pas la commencer. Tant pis, maintenant autant aller jusqu’au bout.

 

– Quand on est sortis de la piscine, j’ai remarqué que son sexe était encore assez gros, c’est pour ça que je pense qu’il était en érection dans l’eau. Il m’a dit qu’il allait chercher des serviettes, et qu’en attendant je n’avais qu’à m’allonger sur un des chaises longues qui étaient au bord de la piscine. C’est ce que j’ai fait et je me suis mis sur le ventre pour cacher mon sexe. Il est revenu peu de temps après avec les serviettes et m’a essuyé le dos et les jambes. Je n’ai pas osé bouger de peur qu’il m’essuie aussi le ventre. J’ai alors ressenti un truc frais dans le dos et ses mains ont commencé à me masser. Il était en train de m’étaler de la crème solaire sous le prétexte que je risquais un coup de soleil en restant allongé ainsi. En fait, il en profitait pour me tripoter. Il m’a aussi étalé de la crème sur les jambes et pour finir sur les fesses.

 

Marie commence à trouver de plus en plus d’intérêt au récit de son mari.

 

– Et ensuite, il t’a mis aussi de la crème de l’autre côté ?

– Non. J’ai préféré rester sur le ventre. Plus il me massait, plus son sexe grossissait. Quelquefois il se retrouvait assez près de moi, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder du coin de l’œil sa queue qui ne cessait de grossir. J’angoissais, j’avais peur qu’il me la foute dans la bouche ou dans le cul, j’ai préféré ne pas bouger.

– Et ça s’est terminé comment ?

– Il s’était installé sur la chaise longue à côté de moi après s’être enduit de crème solaire sur tout le corps, n’hésitant pas à se caresser le sexe au passage. Il était allongé sur le dos ce qui faisait que je voyais parfaitement sa queue. Je n’arrêtais pas de le regarder, par curiosité. Au bout d’une demi-heure, j’ai voulu me retourner, c’est alors que je me suis rendu compte que j’avais le sexe presque en érection. J’ai préféré me mettre la serviette autour de la taille.

 

Le récit de Philippe

 

Puis, comme pour rigoler, on s’est mis à se raconter des histoires de cul. A cet âge-là, on bande avec n’importe quoi, et en un rien de temps, on était bandé tous les deux ! On s’est regardé et il m’a alors demandé.

 

– Es-tu aussi excité que moi ?

– Oui, je le suis

– Tu es sérieux!!? Aimerais-tu qu’on se masturbe tous les deux!

– Habituellement quand je suis excité, je me retiens pas

– Je suis sérieux, j’aimerais te masturber

– Hein? Tu veux me masturber? Non, je ne veux pas !

 

Il n’a alors plus posé de question, mais après 5 minutes de silence, je lui ai dit :

 

– Je suis encore bandé

– Insiste pas je t’ai dit

– Regarde !

 

Et j’ai enlevé la serviette pour lui montrer ma queue qui était encore toute dure

 

– Si tu en as envie, que tu es sérieux, je vais faire une chose. Je m’en vais dans le salon juste là, et si tu as vraiment envie que je te branle, tu viens me rejoindre, sinon, tu restes ici, et on se rhabille

 

Il s’est alors levé et je l’ai vu marcher la queue dure pour rentrer chez lui par la porte-patio donnant sur sa cour. Je suis resté immobile une minute, puis je me suis levé, attiré, excité par l’idée de me faire branler. En entrant dans le salon il m’a dit

 

– Tu sais ce que tu fais, je suis sérieux!!

 

– Oui, je le sais, mais je ne veux pas qu’on s’embrasse

 

– Ok

 

– Je me suis alors assis à côté de lui, la queue en extension et lui, il s’est mis à genoux sur le plancher devant moi. Il a écarté les jambes et avec une main, il a pris ma queue et il a commencé à me masturber. Avec son autre main, il s’est mis à me caresser les couilles !! Après une ou deux minutes de ce petit manège, où il était bandé bien dure lui aussi juste à me masturber, il s’est assis à côté de moi, et ma dit de croiser ma jambe avec la sienne, et de prendre ma queue avec ma main tandis qu’il prenait ma bite avec sa main ! Et on s’est branlé mutuellement comme ça jusqu’à ce que j’éjacule. Après avoir éjaculé, j’ai augmenté le rythme de mon mouvement sur sa queue et je l’ai fait éjaculer à mon tour ! Il s’est alors levé pour aller à la salle de bain, et est revenu avec une boite de kleenex sans s’être essuyé. Il a pris quelques kleenex et ma tendu la boite et il a commencé à s’essuyer debout devant moi ! J’ai fait de même en restant assis.

 

Après cela, je suis allé reprendre mes vêtements qui étaient secs. On a continué à faire des maths pendant encore deux heures. Mais disons que notre concentration n’était pas au beau fixe. Je ne voulais surtout pas qu’il en parle à nos amis. Et il se mit à me raconter tout plein d’histoires concernant des aventures semblables entre camarades de classe. J’insistais à chaque fois pour qu’il ne dise rien et à chaque fois, il me racontait une anecdote sexuelle sur untel ou unetelle. De temps en temps, c’était plus fort que moi, je souriais de gêne. Je suis ensuite rentré à la maison, il avait insisté pour que je reste à manger, mais j’avais peur de me faire violer avant la fin de la soirée.

 

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– Dis plutôt que tu avais peur de craquer et de lui sucer la bite.

– J’ai préféré partir avant d’avoir à me poser la question. L’examen était le lendemain. La question n’arrêtait pas de me hanter l’esprit. Heureusement, je t’ai rencontré par la suite dans une fête qu’on avait organisée avec des copains pour fêter Halloween et je n’ai plus repensé à ce garçon jusqu’à maintenant.

 

– En quelque sorte, je t’ai sauvé de l’homosexualité ?

– Peut-être.

– Tu n’as jamais regretté de ne pas avoir poussé plus loin ?

– Je ne sais pas.

 

Simon a suivi ce récit avec étonnement.

 

– Après tout, il voulait peut-être juste te sucer.

– Et alors ? Tu te serais fait sucer, toi ?

– Peut-être. Pourquoi pas ?

– Tu t’es déjà fait sucer par un mec ?

– Ben…

 

Nicole réagit immédiatement.

 

– Hein quo i!!? C’est intéressant ça. Raconte !!!

 

– J’étais en camping à Old Orchard avec ma famille et la famille de ma tante, cousins, cousines. On avait sympathisé avec des Américains qui étaient nos voisins. Il y avait deux filles et un garçon. Un soir, je me suis retrouvé sur la plage avec l’une des deux filles. Elle me dit qu’elle voulait me faire un petit plaisir, mais qu’elle préfèrerait me bander les yeux. Évidemment, j’accepte. Elle a ouvert mon zip sortis ma queue déjà bandée de mon pantalon. Elle a commencé à me masturber, puis s’est mise à me sucer. Une magnifique fellation. Au bout de quelques minutes elle me demande si j’aime, je lui dis que j’adore, tellement c’est bon. Elle me retire mon bandeau. Ce n’était pas elle, mais le mec qui était en train de me sucer ! Le choc. En plus, il m’a demandé s’il pouvait continuer.

– Et qu’est-ce que tu as fait ?

– J’ai dit  » yes, yes, continue !!! « . Il m’a sucé jusqu’au bout. J’ai prévenu que j’allais jouir en disant,  » wait, i will jouisss  » mais il est resté en position et je lui ai tout giclé dans la bouche. C’était trop bon. Ces deux pervers se sont alors embrassés devant moi pour partager le sperme, et elle m’a embrassé ensuite, ce qui fait que je me suis retrouvé à goûter à mon propre sperme.

– C’est tout ?

– Oui.

 

Philippe intervient.

 

– C’est déjà pas mal. Je ne suis pas allé aussi loin.

 

Sa femme se fait curieuse.

 

– Et si tu avais été dans cette situation, tu te serais laissé sucer jusqu’au bout?

– Peut-être. Je ne sais pas.

 

Nicole reprend la parole.

 

– Ça m’a bien excité vos histoires, les gars. Maintenant, je voudrais bien qu’on s’occupe un peu de moi.

 

Marie répond la première.

 

– Je peux te lécher, si tu veux.

– Pourquoi pas ? Je te rendrai la pareille. Allons dans la chambre.

 

Les deux femmes quittent la salle de bains, suivies de près par leurs hommes, elles traversent le couloir en se tenant la main et retirent le peu de vêtements qu’elles portent. Elles se placent à genoux l’une en face de l’autre sur le lit. Marie commence doucement par caresser Nicole sur les bras, les épaules et elle descend très lentement, avec une main sur les seins de sa partenaire et les caresses du bout des doigts ! Puis, avec son autre main, elle refait la même chose et lui caresse l’autre sein ! Tout ça dans le but de s’entendre gémir un peu, car tous savent maintenant que Marie fantasme sur les seins d’une femme.

 

Après quelques minutes de caresse, Nicole rend la pareille à Marie. Toujours dans la douceur, les deux filles augmente la cadence et se caressent le ventre, les hanches, les fesses, le dos, les épaules, le cou et le visage.

 

Marie s’approche alors de Nicole et remplit sa promesse faîte à son mari en commençant à embrasser dans le cou son amie. Puis, en léchant tranquillement chaque partie du visage de la fille, elle se dirige ainsi sur la bouche de Marie, et elles se frenchent toutes les deux, la langue sortie de leurs bouches. Pendant ce temps, les deux gars regardent leur conjointe et se retrouve en moins quelques secondes avec une de leur plus grosse érection de leur vie.

 

Les filles s’allonge alors sur le lit de la chambre à coucher. Sans plus attendre, elles se mettent en position de 69 et commencent à se lécher la fente avec application et délectation. Les deux hommes les regardent faire, excités mais ne sachant pas trop quoi faire. Marie s’adresse alors à eux.

 

– Ne restez pas plantés comme ça, faites comme nous.

 

Son mari se refuse à comprendre.

 

– Comment ça ?

– Faites un 69.

– Entre gars ?

– Ben oui.

 

Les deux hommes se regardent. Que faire ? Les histoires qu’ils ont racontées les ont passablement excités et leurs deux femmes en train de se manger leur font également énormément d’effet. Après tout, cette soirée un peu folle est tellement flyée que ce serait dommage de ne pas s’amuser encore plus. Ils se regardent alors le sexe, ils sont tous les deux en pleine érection, en train de se caresser le sexe. Ils se rapprochent, leurs bras se croisent, chacun caresse alors le sexe de l’autre, découvrant pour l’un, redécouvrant pour l’autre, le plaisir de caresser un sexe masculin, imberbe en plus. Une minute s’est écoulée. Les deux femmes prennent visiblement beaucoup de plaisir à se lécher, elles ne cessent de crier et de gémir. Quant à leurs maris, ils ont maintenant le sexe de l’autre bien raide dans leur main et les caresses se sont muées en masturbations bien franches. Ils se regardent, regardent leurs sexes, s’interrogent du regard. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Philippe et Simon s’approchent du lit et s’allongent l’un à côté de l’autre en position inversé. Philippe reprend alors la masturbation de son ami, dont la bite tendue au max n’est plus qu’à quelques centimètres de sa bouche. Simon a fait de même. Les deux hommes se regardent. Presque simultanément, chacun se rapproche du sexe de l’autre, ouvre la bouche et y laisse glisser le membre de chair.

 

Après les premiers instants de surprise, le plaisir devient le plus fort, et les deux hommes commencent à gémir tout en se suçant. Marie et Nicole s’en rendent compte et cela augmente encore plus leur excitation. Tout en étant par-dessus Nicole, Marie ne peut s’empêcher de regarder les deux hommes se sucer ensemble! Son excitation est à son plus haut point! Quant à Philippe, il commence à s’inquiéter, car lui aussi ressent la même chose que sa blonde!

 

– On va jusqu’où comme ça ? Je ne vais pas tarder à jouir. Et toi, tu n’oserais quand même pas m’éjaculer dans la bouche ?

– C’est ton problème. Pas le mien.

 

Marie leur répond.

 

– Hé, pas si vite. Moi aussi, je voudrais y goûter à vos bites. Nicole, tu me prêtes ton mari ?

– Bien sûr, et je t’emprunterai le tien.

 

Les deux femmes se mettent alors chacune à sucer le mari de l’autre. Au bout de quelques minutes Nicole sent qu’elle veut passer à autre chose.

 

– J’ai comme un manque. Je voudrais bien sentir une queue dans ma chatte. Je sais, je suis vulgaire quand je suis en manque !

 

Elle s’adresse alors à Philippe.

 

– Avez-vous apporté des capotes ?

– Ben non. On n’en a pas besoin.

– C’est embêtant ça. Je me méfie quand même des MST. Tant pis, je me contenterai de Simon cette fois-ci.

– Je peux en acheter pour la prochaine fois.

 

Simon intervient alors.

 

– Personnellement, je ne suis pas trop capote. On ne pourrait pas plutôt faire des tests de MTS pour être tranquilles une bonne fois pour toutes ?

 

Marie acquiesce.

 

– C’est vrai ça. Il n’y a rien de meilleur que de sentir le sperme chaud gicler au plus profond de soi.

 

Nicole se contente de confirmer.

 

– C’est vrai.

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En attendant ce moment, les deux couples se reforment pour une pénétration côte à côte. À défaut de pouvoir pénétrer la femme de l’autre, les deux hommes se permettent quand même de prodiguer des caresses à leur voisine. Cela dure quelques minutes, les deux femmes ne cessent de gémir tandis que tout le monde se caresse mutuellement. Philippe est le premier à jouir, après plusieurs cris rauques, il ressort sa bite de la chatte de sa femme et termine de lui éjaculer sur ses magnifiques seins. Épuisé, il va l’embrasser puis redescend le long de son corps, la léchouillant de partout jusqu’à arriver au contact de son propre sperme qui s’est répandu sur les seins de Marie. Il se met alors à lécher avec application sa semence, sous le regard hébété de Simon. Philippe le sait, c’est pour ça qu’il l’a fait, et il en fait part à son ami.

 

– Et ça tu le fais ?

 

Simon était sur le point de jouir. Il sort alors son sexe à temps et laisse gicler son sperme en direction du visage de son copain sans le ménager.

 

– Tiens. Voilà une dose supplémentaire.

 

Philippe se redresse, mécontent. Il a du sperme sur la joue.

 

Pour équilibrer le tout, il prend son ami par la nuque et le fait basculer en avant vers le ventre de Marie. Simon atterrit le visage en plein dans le sperme, ce qui satisfait Philippe.

 

– C’est moins drôle, hein ?

– Bah ! T’es dégueulasse ! Et tu goûtes à ton sperme, toi ?

– Comme toi. Tu y as bien goûté quand tu t’es fait sucer par un mec.

 

Simon se relève et dirige son sexe encore couvert de sperme vers son ami.

 

– C’est vrai. Goûte aussi le mien, tu pourras comparer.

 

Philippe s’approche de son ami, puis se ravise en regardant sa bite, elle aussi couverte de sperme.

 

– Alors, toi aussi, il faut que tu essayes.

 

Marie est ravie.

 

– Oh oui. Quelle bonne idée. Sucez-vous donc mutuellement !

 

Les deux hommes se replacent l’un en face de l’autre, comme ils l’ont fait précédemment pour leur 69. Chacun se retrouve à nouveau face à la bite de l’autre, mais cette fois-ci elle est recouverte de sperme. Et de plus, Marie se place pour aider Philippe à sucer Simon, et Nicole aussi aide Simon à sucer Philippe. Les gars s’avancent simultanément, comme ils l’ont déjà fait, chacun observant l’autre. Chacun s’avance encore un peu, ouvre la bouche et lèche la queue devant eux. C’est gluant, légèrement salé mais sans avoir réellement de goût. Sous l’effet de la succion, chacun a repris de l’ardeur dans la bouche de l’autre, leurs sexes sont à nouveau en érection et ils continuent leurs fellations. Ils ne peuvent plus se retenir et se laisse jouir à nouveau et les 4 bouches sont en train de se remplir de sperme. Quelques instants plus tard, les gars s’approchent de leur femme en partageant la semence de leur copain avec leur femme respective.

 

Puis les femmes prennent la position de leur homme et on refait le même manège mais à l’inverse, les hommes léchant la chatte de l’une et l’autre avec leur femme respective.

 

Marie jouit à nouveau, grâce aux langues de son couple d’ami, tout en continuant de partager la chatte de Nicole avec Philippe pour la faire jouir à son tour! Elle est particulièrement excitée à voir son mari manger une chatte devant elle ! Encore étourdis pas des émotions aussi intenses, elle demande alors à Nicole quelque chose de surprenant.

 

– Tu peux me pincer ?

– Encore un nouveau fantasme ?

– Non, je veux juste vérifier que je ne rêve pas.

– Comme tu veux.

 

Nicole pince Marie qui sursaute. Non, elle ne rêve pas. Tout ceci est bien réel. Quelle joie, elle en rigole même, ce qui ne manque pas de surprendre ses amis. Elle se charge de les rassurer.

 

– Tout va bien. Je me sens guérie. Je vais beaucoup mieux. Je vais maintenant pouvoir profiter des plaisirs de la vie.

 

Nicole conclut alors :

 

– C’est vrai. Je te sens beaucoup mieux. En plus, cette petite thérapie aura profité à tout le monde, y compris à nos maris. N’est-ce pas, messieurs ?

 

Les deux hommes acquiescent de la tête, les yeux ébahis, couchés sur le lit sans rien dire, sauf de respirer très fort !!!!

 

Tous sont épuisés, vivement la prochaine fois !

 

Fin

 

Conforme au texte original, nous avons simplement découpé ce long récit en 6 parties, effectués quelques corrections mineures et remplacé, quelques québécismes

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 18:00

 rêves pour une femme par Cepaderefus – 5 – Souvenirs, souvenirs

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Les deux hommes commencent à s’intéresser vivement à la conversation, en particulier Simon.

 

– Et vous vous étiez léchées aussi ?

 

Sa femme lui répond.

 

– Eh que t’es con ! Non !!! T’es déçu ? D’ailleurs on ne s’est pas léchées cet après-midi.

 

Marie complète ce qu’a dit son amie.

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- Mais on s’était quand même senti le doigt par curiosité. D’ailleurs, le lendemain matin au réveil, j’avais la main près de la figure, et je sentais toujours l’odeur sur mon doigt.

– Ça t’a drôlement marquée. Tu t’en souviens encore ?

– Je me souviens bien des odeurs. C’est l’effet  » Madeleine de Proust « .

– Et cet après-midi ? Ça ne t’a rien rappelé ?

– Je n’ai pas pensé à sentir mon doigt.

 

Philippe a alors une idée saugrenue.

 

– Essaye maintenant. Tu nous diras si ça t’évoque des souvenirs.

 

Marie ne peut cacher sa surprise.

 

– Drôle d’idée !

– Mais si ! Vas-y. Essaye.

– Pourquoi pas, après tout ? Tu veux bien, Nicole ?

– Pas de problème.

 

Marie se lève, fait le tour de la table et s’approche de Nicole. Elle se penche, approche sa main de l’entrejambe de son amie, la passe sous la jupe à la recherche de sa fente. Quand elle l’a trouvée, elle y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Nicole ne peut s’empêcher de réagir.

 

– À l’époque, un doigt avait suffi.

– A l’époque, tu étais vierge.

– Plus pour très longtemps

– Et depuis ? Tu ne préfères pas en avoir plus ?

– Ouiiiiii.

 

Marie retire alors la main, la porte à son visage, à la hauteur de son nez et en hume le fumet comme on goûte un bon vin.

 

– Hum… C’est incroyable, tous ces souvenirs qui me remontent à l’esprit. Tu sais qu’après cette expérience j’avais souvent rêvé que nous nous masturbions mutuellement.

– Déjà des rêves érotiques à cette époque…

– Oui, c’est à croire que mes rêves ont commencé depuis longtemps.

 

Philippe ne comprend plus.

 

– Je croyais que c’était nouveau, ces rêves érotiques ?

– C’est la première fois que c’était aussi intense. Et c’est aussi, je pense, la première fois depuis que nous vivons ensemble.

 

Nicole reprend la conversation avec son amie.

 

– Tu te souviens d’autre chose ?

– Pendant nos vacances ?

– Oui.

 

Nicole, qui s’est rassise entre-temps, se flatte la chatte et porte machinalement ses doigts à son nez, comme si cela pouvait l’aider à se remémorer d’autres souvenirs.

 

– On allait à la plage tous les après-midi. Elle n’était qu’à quelques centaines de mètres, on prenait nos vélos ou on y allait à pied.

– C’est vrai. À cette époque, on ne parlait pas encore d’agressions sexuelles à la télé, alors grand-maman nous laissait y aller seules. Elle préférait y aller plus tard dans l’après-midi, quand le soleil commence à taper moins fort.

– C’était cool. On se faisait de grandes marches à pied sur le sable, le long de l’eau. Une fois on a été assez loin et on a remarqué qu’il y avait des gens tout nus sur la plage.

– Oui. Exact. Il y avait une plage naturiste un peu plus loin. Elle existe toujours d’ailleurs, elle est même indiquée depuis la route maintenant.

– On avait continué à marcher tout en essayant de regarder discrètement les quéquettes des hommes qui étaient allongés, ou celles de ceux qui se baladaient sur la plage.

– C’était la première fois qu’on en voyait. Certains en avaient des toutes petites, d’autres des très longues. C’était rigolo car, quand ils marchaient, elles se balançaient de droite à gauche. Ça m’avait marquée.

– Moi aussi.

– Tout ça nous avait excitées. Alors on était allées se cacher dans les buissons.

 

Philippe est impatient.

 

– Et ensuite ?

– Ben on s’était masturbées en repensant à ce que l’on avait vu sur la plage. C’est à ce moment-là que deux hommes sont arrivés. Ils étaient nus, comme les autres, mais en plus ils avaient le sexe rasé. Je pense qu’ils nous avaient vu nous masturber, mais on ne le saura jamais

 

Nicole se souvient à son tour de tout cela.

 

– Ouais, connaissant les hommes maintenant comme je les connais, ils ont dû nous voir, et ils sont venus se montrer pour qu’on leur voit leur sexe rasé. C’était rare à l’époque.

 

– Ça devait être les seuls de toute la plage. Maintenant c’est beaucoup plus fréquent.

– Comment tu sais ça, toi ? demande Simon

– Je suis retournée voir ma grand-mère de temps en temps.

– Et tu en profites pour aller épier les hommes tout nus sur la plage ?

– Ben, oui.

– C’est du voyeurisme. Tu n’as pas honte ?

– C’est-à-dire que…

 

Marie réalise qu’elle a trop parlé. Elle regarde son mari qui se charge de terminer la phrase.

 

– La dernière fois qu’on y a été, Marie voulait retourner sur la plage naturiste pour voir si elle existait toujours. C’est comme ça qu’on sait qu’il y a une indication sur la route. Une fois qu’on y était, on s’est sentis un peu idiotes de rester habillées. Alors on s’est foutus à poil tous les deux ! On ne l’aurait pas fait si les enfants avaient été avec nous par contre.

 

– Je comprends. Bien que ce n’est pas cela qui risque de les marquer le plus à leur âge

– Bien, si je me fie au psy que j’ai vu, l’attitude et le comportement des parents à une grande influence sur les fantasmes sexuels une fois adultes

– Oui, mais il vaut mieux des parents avec une ouverture d’esprit et une sexualité saine et respectueuse comme exemple pour leur enfant que des parents strictes et inconscients qui bousillent l’épanouissement de leur enfant !!! S’cusez, défaut professionnel…

 

Marie reprend alors son récit.

 

– Donc, les deux gars avaient le sexe rasé. Ça m’a paru bizarre. J’avais l’impression qu’il y avait quelque chose de pas normal. C’est quand ils ont déroulé leur serviette, qu’ils se sont assis dessus et ont commencé à se masturber mutuellement, que je me suis dit qu’en effet, ce que je regardais était inhabituel.

 

Nicole confirme.

 

– Surtout à l’âge qu’on avait. Mais moi j’étais mal placée, je n’arrivais pas à tout voir.

– C’est vrai que j’étais du bon côté, à même pas deux mètres d’eux. Quand ils ont été en érection, ils se sont sucés chacun leur tour en se mettant à genoux devant l’autre. Ça a duré un certain temps. On ne comprenait pas trop ce qui se passait, mais on n’osait pas bouger de peur d’être repérées. Ensuite, ils se sont relevés, ont repris leur serviette et sont repartis comme ils étaient arrivés, sauf qu’ils avaient encore le sexe à moitié en érection. Je suppose qu’ils se sont éjaculés dans la bouche et ont avalé.

– C’est bien possible. Maintenant que j’y pense, je me demande si ceci n’est pas à l’origine d’une bonne partie de tes rêves.

– Tu parles de ceux de cette nuit ?

– Oui.

– C’est bien possible. Déjà, à l’époque, j’en avais rêvé durant les jours qui avaient suivi. Je m’étais masturbée en repensant à ces deux hommes mais sans bien comprendre ce qu’ils avaient fait ensemble.

– En fait, ces quelques jours de vacances expliquent presque tous tes rêves. Pourquoi n’as-tu pas raconté ça à mon patron ce matin ?

– Je n’y ai pas pensé. D’ailleurs, ça m’est revenu tout à l’heure quand j’ai senti ton odeur. Ce matin, le psy m’a dit qu’il avait retiré des blocages dans mon subconscient. Peut-être que, sans cela, je ne m’en serais pas souvenue.

– C’est possible.

– En tout cas, ça m’a fait du bien d’en parler.

 

Simon s’est levé et est parti à la cuisine chercher le dessert tandis que Marie terminait son récit. C’est alors que l’on entend un grand plouf suivi de quelques jurons bien placés. Nicole tourne la tête en direction de la cuisine.

 

– Qu’est-ce qui t’est arrivé, chéri ?

– Rien ! Enfin si. Le pot de moutarde que j’avais posé sur le bord de la fenêtre est tombé dans le bol de salade de fruits. J’en ai plein sur moi. Heureusement, il n’y a rien de cassé.

 

Il fait alors le tour du comptoir pour montrer dans quel état il est. Sa chemise est à moitié trempée et lui colle à la peau, elle en est devenue transparente. Le pantalon est à peine en meilleur état.

 

– Je vais aller me changer.

 

Nicole est consternée.

 

– C’est terrible. On ne peut pas lui laisser faire la cuisine sans qu’il s’en mette partout. Ah, ces hommes !

 

Marie confirme.

 

– Le mien n’est pas mieux. Il faut toujours qu’il se salisse. Dès fois, je me demande s’il ne vaudrait pas mieux qu’il fasse la cuisine tout nu.

– C’est une idée ça. Mon chéri, pas la peine de te changer. Enlève juste ta chemise et ton pantalon.

– Que je garde juste mon string!!?

– En plein ça

– Quand même ! C’est gênant…

 

Marie intervient.

 

– Mais non. J’ai déjà vu des hommes.

– C’est vrai.

– Si ça te gêne d’être le seul à te déshabiller, Philippe va faire pareil. Philippe…

 

Philippe s’inquiète.

 

– Hein ? Pourquoi moi ? Je n’ai rien fait !

– C’est comme ça. Tu ne vas quand même pas contrarier ma psychothérapie.

 

Philippe se lève à contrecœur tandis que Simon a déjà retiré sa chemise.

 

– Elle a le dos large la psychothérapie. Si je me déshabille, Simon enlève aussi son string alors.

– Non, ça lui fait bien un string !! Il a le cul pour en porter !!!

– C’est correct, je vais l’enlever

 

Rapidement, les deux hommes se retrouvent nus. Ce qui surprend le plus quand on les regarde tous les deux, c’est que Philippe s’est rasé le sexe tandis que Simon a conservé tous ses poils pubiens. Ça frappe immédiatement Nicole.

 

– Tiens, ton mari se rase le sexe ? Comme dans tes rêves ? Tu m’avais pourtant dit qu’il ne le faisait pas.

– C’est tout nouveau. Il l’a fait tout à l’heure. Pour me faire plaisir.

– C’est gentil ça. Et qu’est-ce que tu en penses ?

– Très agréable. Tellement que je l’ai même sucé avant de partir.

 

Simon revient à table avec la salade de fruits et la pose au centre de la table. Son sexe se retrouve alors posé sur le bord ; les deux femmes le regardent faire avec un vif intérêt jusqu’à ce qu’il se rasseye.

 

– En tout cas, pour la salade de fruits, j’espère que tu n’as pas une recette secrète comme pour les crêpes ? Nicole et Marie rigole, mais pas les gars, car cette partie des rêves ne leur fut pas conté.

 

Nicole change le sujet de la conversation en s’adressant à Philippe et Simon pour les provoquer un peu.

 

– Et vous, les hommes ? Vous avez eu des expériences comme ça lorsque vous étiez plus jeunes ?

 

Son mari lui répond.

 

– Pas du tout. Tout d’abord, je te fais remarquer que je ne connais Philippe que depuis peu. C’est vous qui êtes des copines d’enfance, pas nous.

– Oui, mais séparément ? Vous avez eu des expériences étant plus jeunes ?

– Non.

 

Réponse également fournie par Philippe. Décidément, les deux hommes ne sont pas loquaces quant à leurs premiers émois. Marie n’en croit rien.

 

– Je n’arrive pas à le croire. Vous n’étiez quand même pas vierges quand on vous a connus ?

 

C’est Philippe qui lui répond.

 

– Quand même pas. J’avais eu plusieurs expériences, mais plus classiques. Dans un lit, avec une seule fille à la fois.

 

Ce que confirme Simon.

 

– Pareil pour moi.

 

Marie reprend.

 

– C’est dingue ça, d’être aussi conventionnel. Moi, c’était avec le fils du fermier, pendant les vacances. C’était notre voisin. On avait été faire un tour à vélo et ça s’était terminé en plein champ. Il était un peu maladroit, mais ça reste un bon souvenir pour une première fois.

 

Sa copine la regarde médusée.

 

– C’est comme dans tes rêves… L’inconnu au milieu des champs…

– C’est vrai qu’il y a des points communs. C’est incroyable que je raconte des trucs pareils.

– Je pense que ta séance d’hypnose de ce matin y est pour quelque chose.

– Peut-être… Ça me fait du bien d’en parler.

 

Le repas est terminé. Nicole se tourne vers son amie.

 

– Et maintenant, qu’est-ce que tu voudrais faire ?

– Pourquoi tu me demandes ça ?

– Parce que c’est toi qui choisis, puisque tu dois laisser libre cours à tes désirs. Exprime-toi.

– Ben… Il y a bien un truc, mais je n’ose pas.

– Si. Vas-y. Dis-le.

– Ça me ferait très plaisir que Simon se rase le sexe.

– Je m’y attendais un peu.

 

Simon est stupéfait.

 

– Ah, mais je ne suis pas d’accord !

 

Sa femme lui répond.

 

– Philippe l’a fait et moi aussi, alors pourquoi pas toi ?

– J’y tiens moi, à mes poils. Ils sont drus, ils sont frisés, et ils sont là depuis si longtemps !!!

– Tu ne vas quand même pas refuser les volontés d’une personne malade ?

– Mais…

– Même Philippe s’est rasé le sexe pour faire plaisir à sa femme ! Et elle n’a même pas eu à insister…

– Bon.

 

Simon se lève à contrecœur et quitte la salle à manger. Nicole et Marie le suivent. Philippe, qui se retrouve seul à table, leur emboîte le pas. C’est quand il est arrivé en haut de l’escalier que Simon réalise qu’il est suivi.

 

– Mais où est-ce que vous allez tous ?

– On te suit.

– J’aurais préféré faire ça tranquillement.

– Et si on préfère profiter du spectacle ?

 

Simon, dépité, se rend à la salle de bains, suivi de sa femme et de ses amis. Il s’adresse alors à Philippe.

 

– Toi aussi tu es là ? Ça t’excite de me regarder en train de me raser les couilles ?

– Je ne vais quand même pas rester en bas à attendre tout seul comme un cruche.

 

Une nouvelle idée germe alors dans le cerveau de Marie.

 

– Et si tu participais aussi ?

– Comment ça ?

– En aidant Simon à se raser. Après tout, j’ai bien aidé Nicole à le faire.

– Mais c’est dégueulasse !

– C’est pour mon bien !

– En plus, je n’étais même pas là quand vous l’avez fait. J’aurais bien voulu profiter du spectacle.

– Si tu es gentil, on se lèchera les seins et on s’embrassera devant toi tout à l’heure.

– Évidemment, dans ces conditions-là…

 

Pendant ce temps, Simon a sorti la mousse à raser et un rasoir, puis il s’est assis au bord de la baignoire. Sa femme se permet de le conseiller.

 

– Il vaudrait mieux enlever le plus gros avec ton rasoir électrique.

– C’est ce que tu as fait ?

– Oui. Sinon, ça tire assez fort sur les poils.

 

Philippe confirme.

 

– C’est vrai. Tout à l’heure, je l’ai fait directement au rasoir, j’aurais dû commencer à la tondeuse.

 

Du coup, Simon sort son rasoir électrique, le branche sur le courant et s’assied à nouveau au bord de la baignoire. Il est prêt, pour se faire raser le sexe par son ami. Philippe s’approche, prend le rasoir en main et le met en route. Il est quand même un peu gêné, Marie s’en rend compte.

 

– Qu’est-ce qui t’arrive, chéri ? Tu as un problème ?

– Je ne sais pas comment m’y prendre.

– Ben, c’est facile, tu passes la tondeuse tout autour du sexe de Simon pour retirer les poils les plus longs. L’idéal, c’est de bien tout dégager de façon qu’il ne reste plus que des poils courts.

– Ce n’est pas simple. Vous, les femmes, vous n’avez pas un gugusse qui dépasse au milieu.

– Tu n’as qu’à le tenir en main, le gugusse qui dépasse. Ce sera plus facile.

 

Philippe ne sait pas trop comment s’y prendre pour prendre en main la queue de son copain. Après avoir essayé plusieurs méthodes sous les yeux amusés des deux femmes, il choisit finalement de la saisir du bout des doigts comme s’il s’agissait d’une grosse bestiole repoussante.

 

– Une bé… bite, c’est le cas de le dire, rigolent les deux femmes!

 

De cette façon, il parvient quand même à passer maladroitement la tondeuse presque partout. Reste maintenant l’épreuve du rasoir. Il prend la bombe de mousse, la secoue et en fait couler sur le pubis de Simon sans l’étaler. Il prend alors le rasoir maintenant et commence à le passer sur la peau de son ami qui se plaint immédiatement.

 

– Eh, attention ! Tu fais mal !

 

Marie sait très bien où est le problème.

 

– C’est normal. Il faut étaler la mousse à raser avant de passer le rasoir. Tu le fais bien d’habitude, mon chéri ?

– Oui. Mais là, ce n’est pas pareil.

– Mais si c’est pareil. Allez, étale bien la mousse.

– Simon pourrait peut-être le faire à ma place.

– Non. Ça serait trop facile.

 

Philippe, encore plus gêné, se retrouve contraint d’étaler la mousse à raser sur le pubis de son ami. Il commence alors le rasage qu’il parvient à faire assez facilement. En finale, il n’est pas mécontent de lui.

 

– Ça y est. C’est fait.

 

Sa femme n’est pas d’accord.

 

– Ce n’est pas fini. Il faut encore faire les testicules et le pénis.

– Aussi ?

– Tu as bien rasé les tiens, toi !

– C’est vrai. Bon, d’accord.

 

Philippe reprend la mousse à raser, mais cette fois-ci il la fait couler sur ses doigts. Il s’efforce de l’étaler le mieux possible sur les parties intimes de son ami, même s’il n’ose pas utiliser son autre main pour soulever la bite de Simon et passer dessous. Il prend alors le rasoir et continue son travail. Au début ce n’est pas bien facile, mais Philippe se détend peu à peu et commence enfin à prendre la bite de son ami dans sa main pour la soulever chaque fois que nécessaire. C’est un nouveau défi pour lui, car il lui faut bien tirer sur la peau pour que le rasage soit réussi. Au bout de dix minutes d’efforts intenses, Philippe est enfin parvenu à terminer le rasage du sexe de son ami. Il se relève tandis que Simon s’asperge d’eau avec la pomme de douche pour se débarrasser des restes de mousse à raser.

 

Sans qu’il ne s’en aperçoive, Philippe constate que les deux femmes se sont caressées les seins et l’entrejambe pendant la séance de rasage! Simon, qui voyait bien l’excitation des deux femmes a pu savourer le spectacle tout le temps que Philippe s’occupait de le raser

 

– Je comprends pourquoi tu disais rien, tu as eu tout le show pour toi!

 

Simon sourit à Philippe et une fois bien séché, il peut enfin découvrir cette incroyable sensation, celle que l’on a quand on se caresse le sexe après se l’être rasé.

 

– C’est doux. C’est agréable, très agréable. Je ressens plein de sensations nouvelles.

 

Tandis que les deux hommes se font face et s’observent mutuellement, Philippe le confirme tout en allant plus loin.

 

– C’est vrai. Et ces sensations me rappellent des souvenirs.

 

Ce qui ne manque pas d’intéresser sa femme.

 

– Toi aussi, chéri ? C’est intéressant. Raconte-nous.

– Je ne sais pas. Je n’aurais rien dû dire.

– Si. Raconte. Ce n’est pas grave. Tout le monde a déjà raconté ses petits souvenirs.

– Non. Pas Simon.

– Pas encore, mais il trouvera bien quelque chose. Alors, c’est quoi ton histoire ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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