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7 rêves pour une femme par Cepaderefus – 6- Partie carrée
Le silence se fait tandis que Philippe commence son récit.
– J’étais au lycée, en pleine période de révision des examens de fin d’année. Un copain m’avait proposé de venir étudier les maths chez lui. Comme il était meilleur en maths que moi, j’avais immédiatement accepté. Ses parents possédaient une belle maison, avec une grande cour et une piscine. Ils n’étaient pas souvent à la maison et on était donc seuls dans la maison. On avait étudié pendant deux heures au bord de la piscine quand il m’a proposé de faire une pause. Évidemment, j’ai accepté. Il m’a proposé alors de faire quelques longueurs dans la piscine pour nous détendre. J’étais embêté, je n’avais pas prévu de maillot de bain. Je lui explique ça en espérant qu’il allait me prêter un des siens. Pas du tout.
– Qu’est-ce qu’il a fait ?
– Il a retiré son t-shirt et son short devant moi et s’est donc retrouvé à poil. Il m’a dit alors que je n’avais qu’à en faire autant. En voyant Simon à poil l’histoire m’est revenue à l’esprit.
Marie est impatiente.
– Et la suite ?
– Sans plus attendre, il a plongé dans l’eau. Je ne sais pas s’il l’a fait exprès, mais ça m’a pas mal éclaboussé, mes vêtements étaient tout mouillés. Je me suis retrouvé comme un épais au bord de la piscine, et lui était en train de faire la planche, à me dire de le rejoindre. Alors j’ai retiré moi aussi mes vêtements. En même temps, je fixais des yeux son sexe que l’on ne pouvait pas éviter de voir puisqu’il faisait la planche. Ça commençait à m’obséder, mais aussi à m’inquiéter. J’ai quand même fini par me retrouver nu à mon tour et j’ai vite sauté à l’eau.
– C’est tout ?
– Non. On a niaisé comme ça pendant un bon quart d’heure, peut-être plus. On s’est amusé dans l’eau à jouer à la balle. Mais il ne manquait pas une occasion de me frôler, j’ai eu l’impression de sentir le contact de son sexe à plusieurs reprises, je pense qu’il était en érection. Il s’est aussi amusé à passer sous moi dans l’eau et à me renverser en me soulevant par-dessous.
Philippe raconte son histoire au fur et à mesure qu’il s’en souvient. C’est ainsi qu’il se rend compte qu’il aurait mieux fait de ne pas la commencer. Tant pis, maintenant autant aller jusqu’au bout.
– Quand on est sortis de la piscine, j’ai remarqué que son sexe était encore assez gros, c’est pour ça que je pense qu’il était en érection dans l’eau. Il m’a dit qu’il allait chercher des serviettes, et qu’en attendant je n’avais qu’à m’allonger sur un des chaises longues qui étaient au bord de la piscine. C’est ce que j’ai fait et je me suis mis sur le ventre pour cacher mon sexe. Il est revenu peu de temps après avec les serviettes et m’a essuyé le dos et les jambes. Je n’ai pas osé bouger de peur qu’il m’essuie aussi le ventre. J’ai alors ressenti un truc frais dans le dos et ses mains ont commencé à me masser. Il était en train de m’étaler de la crème solaire sous le prétexte que je risquais un coup de soleil en restant allongé ainsi. En fait, il en profitait pour me tripoter. Il m’a aussi étalé de la crème sur les jambes et pour finir sur les fesses.
Marie commence à trouver de plus en plus d’intérêt au récit de son mari.
– Et ensuite, il t’a mis aussi de la crème de l’autre côté ?
– Non. J’ai préféré rester sur le ventre. Plus il me massait, plus son sexe grossissait. Quelquefois il se retrouvait assez près de moi, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder du coin de l’œil sa queue qui ne cessait de grossir. J’angoissais, j’avais peur qu’il me la foute dans la bouche ou dans le cul, j’ai préféré ne pas bouger.
– Et ça s’est terminé comment ?
– Il s’était installé sur la chaise longue à côté de moi après s’être enduit de crème solaire sur tout le corps, n’hésitant pas à se caresser le sexe au passage. Il était allongé sur le dos ce qui faisait que je voyais parfaitement sa queue. Je n’arrêtais pas de le regarder, par curiosité. Au bout d’une demi-heure, j’ai voulu me retourner, c’est alors que je me suis rendu compte que j’avais le sexe presque en érection. J’ai préféré me mettre la serviette autour de la taille.
Le récit de Philippe
Puis, comme pour rigoler, on s’est mis à se raconter des histoires de cul. A cet âge-là, on bande avec n’importe quoi, et en un rien de temps, on était bandé tous les deux ! On s’est regardé et il m’a alors demandé.
– Es-tu aussi excité que moi ?
– Oui, je le suis
– Tu es sérieux!!? Aimerais-tu qu’on se masturbe tous les deux!
– Habituellement quand je suis excité, je me retiens pas
– Je suis sérieux, j’aimerais te masturber
– Hein? Tu veux me masturber? Non, je ne veux pas !
Il n’a alors plus posé de question, mais après 5 minutes de silence, je lui ai dit :
– Je suis encore bandé
– Insiste pas je t’ai dit
– Regarde !
Et j’ai enlevé la serviette pour lui montrer ma queue qui était encore toute dure
– Si tu en as envie, que tu es sérieux, je vais faire une chose. Je m’en vais dans le salon juste là, et si tu as vraiment envie que je te branle, tu viens me rejoindre, sinon, tu restes ici, et on se rhabille
Il s’est alors levé et je l’ai vu marcher la queue dure pour rentrer chez lui par la porte-patio donnant sur sa cour. Je suis resté immobile une minute, puis je me suis levé, attiré, excité par l’idée de me faire branler. En entrant dans le salon il m’a dit
– Tu sais ce que tu fais, je suis sérieux!!
– Oui, je le sais, mais je ne veux pas qu’on s’embrasse
– Ok
– Je me suis alors assis à côté de lui, la queue en extension et lui, il s’est mis à genoux sur le plancher devant moi. Il a écarté les jambes et avec une main, il a pris ma queue et il a commencé à me masturber. Avec son autre main, il s’est mis à me caresser les couilles !! Après une ou deux minutes de ce petit manège, où il était bandé bien dure lui aussi juste à me masturber, il s’est assis à côté de moi, et ma dit de croiser ma jambe avec la sienne, et de prendre ma queue avec ma main tandis qu’il prenait ma bite avec sa main ! Et on s’est branlé mutuellement comme ça jusqu’à ce que j’éjacule. Après avoir éjaculé, j’ai augmenté le rythme de mon mouvement sur sa queue et je l’ai fait éjaculer à mon tour ! Il s’est alors levé pour aller à la salle de bain, et est revenu avec une boite de kleenex sans s’être essuyé. Il a pris quelques kleenex et ma tendu la boite et il a commencé à s’essuyer debout devant moi ! J’ai fait de même en restant assis.
Après cela, je suis allé reprendre mes vêtements qui étaient secs. On a continué à faire des maths pendant encore deux heures. Mais disons que notre concentration n’était pas au beau fixe. Je ne voulais surtout pas qu’il en parle à nos amis. Et il se mit à me raconter tout plein d’histoires concernant des aventures semblables entre camarades de classe. J’insistais à chaque fois pour qu’il ne dise rien et à chaque fois, il me racontait une anecdote sexuelle sur untel ou unetelle. De temps en temps, c’était plus fort que moi, je souriais de gêne. Je suis ensuite rentré à la maison, il avait insisté pour que je reste à manger, mais j’avais peur de me faire violer avant la fin de la soirée.
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– Dis plutôt que tu avais peur de craquer et de lui sucer la bite.
– J’ai préféré partir avant d’avoir à me poser la question. L’examen était le lendemain. La question n’arrêtait pas de me hanter l’esprit. Heureusement, je t’ai rencontré par la suite dans une fête qu’on avait organisée avec des copains pour fêter Halloween et je n’ai plus repensé à ce garçon jusqu’à maintenant.
– En quelque sorte, je t’ai sauvé de l’homosexualité ?
– Peut-être.
– Tu n’as jamais regretté de ne pas avoir poussé plus loin ?
– Je ne sais pas.
Simon a suivi ce récit avec étonnement.
– Après tout, il voulait peut-être juste te sucer.
– Et alors ? Tu te serais fait sucer, toi ?
– Peut-être. Pourquoi pas ?
– Tu t’es déjà fait sucer par un mec ?
– Ben…
Nicole réagit immédiatement.
– Hein quo i!!? C’est intéressant ça. Raconte !!!
– J’étais en camping à Old Orchard avec ma famille et la famille de ma tante, cousins, cousines. On avait sympathisé avec des Américains qui étaient nos voisins. Il y avait deux filles et un garçon. Un soir, je me suis retrouvé sur la plage avec l’une des deux filles. Elle me dit qu’elle voulait me faire un petit plaisir, mais qu’elle préfèrerait me bander les yeux. Évidemment, j’accepte. Elle a ouvert mon zip sortis ma queue déjà bandée de mon pantalon. Elle a commencé à me masturber, puis s’est mise à me sucer. Une magnifique fellation. Au bout de quelques minutes elle me demande si j’aime, je lui dis que j’adore, tellement c’est bon. Elle me retire mon bandeau. Ce n’était pas elle, mais le mec qui était en train de me sucer ! Le choc. En plus, il m’a demandé s’il pouvait continuer.
– Et qu’est-ce que tu as fait ?
– J’ai dit » yes, yes, continue !!! « . Il m’a sucé jusqu’au bout. J’ai prévenu que j’allais jouir en disant, » wait, i will jouisss » mais il est resté en position et je lui ai tout giclé dans la bouche. C’était trop bon. Ces deux pervers se sont alors embrassés devant moi pour partager le sperme, et elle m’a embrassé ensuite, ce qui fait que je me suis retrouvé à goûter à mon propre sperme.
– C’est tout ?
– Oui.
Philippe intervient.
– C’est déjà pas mal. Je ne suis pas allé aussi loin.
Sa femme se fait curieuse.
– Et si tu avais été dans cette situation, tu te serais laissé sucer jusqu’au bout?
– Peut-être. Je ne sais pas.
Nicole reprend la parole.
– Ça m’a bien excité vos histoires, les gars. Maintenant, je voudrais bien qu’on s’occupe un peu de moi.
Marie répond la première.
– Je peux te lécher, si tu veux.
– Pourquoi pas ? Je te rendrai la pareille. Allons dans la chambre.
Les deux femmes quittent la salle de bains, suivies de près par leurs hommes, elles traversent le couloir en se tenant la main et retirent le peu de vêtements qu’elles portent. Elles se placent à genoux l’une en face de l’autre sur le lit. Marie commence doucement par caresser Nicole sur les bras, les épaules et elle descend très lentement, avec une main sur les seins de sa partenaire et les caresses du bout des doigts ! Puis, avec son autre main, elle refait la même chose et lui caresse l’autre sein ! Tout ça dans le but de s’entendre gémir un peu, car tous savent maintenant que Marie fantasme sur les seins d’une femme.
Après quelques minutes de caresse, Nicole rend la pareille à Marie. Toujours dans la douceur, les deux filles augmente la cadence et se caressent le ventre, les hanches, les fesses, le dos, les épaules, le cou et le visage.
Marie s’approche alors de Nicole et remplit sa promesse faîte à son mari en commençant à embrasser dans le cou son amie. Puis, en léchant tranquillement chaque partie du visage de la fille, elle se dirige ainsi sur la bouche de Marie, et elles se frenchent toutes les deux, la langue sortie de leurs bouches. Pendant ce temps, les deux gars regardent leur conjointe et se retrouve en moins quelques secondes avec une de leur plus grosse érection de leur vie.
Les filles s’allonge alors sur le lit de la chambre à coucher. Sans plus attendre, elles se mettent en position de 69 et commencent à se lécher la fente avec application et délectation. Les deux hommes les regardent faire, excités mais ne sachant pas trop quoi faire. Marie s’adresse alors à eux.
– Ne restez pas plantés comme ça, faites comme nous.
Son mari se refuse à comprendre.
– Comment ça ?
– Faites un 69.
– Entre gars ?
– Ben oui.
Les deux hommes se regardent. Que faire ? Les histoires qu’ils ont racontées les ont passablement excités et leurs deux femmes en train de se manger leur font également énormément d’effet. Après tout, cette soirée un peu folle est tellement flyée que ce serait dommage de ne pas s’amuser encore plus. Ils se regardent alors le sexe, ils sont tous les deux en pleine érection, en train de se caresser le sexe. Ils se rapprochent, leurs bras se croisent, chacun caresse alors le sexe de l’autre, découvrant pour l’un, redécouvrant pour l’autre, le plaisir de caresser un sexe masculin, imberbe en plus. Une minute s’est écoulée. Les deux femmes prennent visiblement beaucoup de plaisir à se lécher, elles ne cessent de crier et de gémir. Quant à leurs maris, ils ont maintenant le sexe de l’autre bien raide dans leur main et les caresses se sont muées en masturbations bien franches. Ils se regardent, regardent leurs sexes, s’interrogent du regard. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Philippe et Simon s’approchent du lit et s’allongent l’un à côté de l’autre en position inversé. Philippe reprend alors la masturbation de son ami, dont la bite tendue au max n’est plus qu’à quelques centimètres de sa bouche. Simon a fait de même. Les deux hommes se regardent. Presque simultanément, chacun se rapproche du sexe de l’autre, ouvre la bouche et y laisse glisser le membre de chair.
Après les premiers instants de surprise, le plaisir devient le plus fort, et les deux hommes commencent à gémir tout en se suçant. Marie et Nicole s’en rendent compte et cela augmente encore plus leur excitation. Tout en étant par-dessus Nicole, Marie ne peut s’empêcher de regarder les deux hommes se sucer ensemble! Son excitation est à son plus haut point! Quant à Philippe, il commence à s’inquiéter, car lui aussi ressent la même chose que sa blonde!
– On va jusqu’où comme ça ? Je ne vais pas tarder à jouir. Et toi, tu n’oserais quand même pas m’éjaculer dans la bouche ?
– C’est ton problème. Pas le mien.
Marie leur répond.
– Hé, pas si vite. Moi aussi, je voudrais y goûter à vos bites. Nicole, tu me prêtes ton mari ?
– Bien sûr, et je t’emprunterai le tien.
Les deux femmes se mettent alors chacune à sucer le mari de l’autre. Au bout de quelques minutes Nicole sent qu’elle veut passer à autre chose.
– J’ai comme un manque. Je voudrais bien sentir une queue dans ma chatte. Je sais, je suis vulgaire quand je suis en manque !
Elle s’adresse alors à Philippe.
– Avez-vous apporté des capotes ?
– Ben non. On n’en a pas besoin.
– C’est embêtant ça. Je me méfie quand même des MST. Tant pis, je me contenterai de Simon cette fois-ci.
– Je peux en acheter pour la prochaine fois.
Simon intervient alors.
– Personnellement, je ne suis pas trop capote. On ne pourrait pas plutôt faire des tests de MTS pour être tranquilles une bonne fois pour toutes ?
Marie acquiesce.
– C’est vrai ça. Il n’y a rien de meilleur que de sentir le sperme chaud gicler au plus profond de soi.
Nicole se contente de confirmer.
– C’est vrai.
En attendant ce moment, les deux couples se reforment pour une pénétration côte à côte. À défaut de pouvoir pénétrer la femme de l’autre, les deux hommes se permettent quand même de prodiguer des caresses à leur voisine. Cela dure quelques minutes, les deux femmes ne cessent de gémir tandis que tout le monde se caresse mutuellement. Philippe est le premier à jouir, après plusieurs cris rauques, il ressort sa bite de la chatte de sa femme et termine de lui éjaculer sur ses magnifiques seins. Épuisé, il va l’embrasser puis redescend le long de son corps, la léchouillant de partout jusqu’à arriver au contact de son propre sperme qui s’est répandu sur les seins de Marie. Il se met alors à lécher avec application sa semence, sous le regard hébété de Simon. Philippe le sait, c’est pour ça qu’il l’a fait, et il en fait part à son ami.
– Et ça tu le fais ?
Simon était sur le point de jouir. Il sort alors son sexe à temps et laisse gicler son sperme en direction du visage de son copain sans le ménager.
– Tiens. Voilà une dose supplémentaire.
Philippe se redresse, mécontent. Il a du sperme sur la joue.
Pour équilibrer le tout, il prend son ami par la nuque et le fait basculer en avant vers le ventre de Marie. Simon atterrit le visage en plein dans le sperme, ce qui satisfait Philippe.
– C’est moins drôle, hein ?
– Bah ! T’es dégueulasse ! Et tu goûtes à ton sperme, toi ?
– Comme toi. Tu y as bien goûté quand tu t’es fait sucer par un mec.
Simon se relève et dirige son sexe encore couvert de sperme vers son ami.
– C’est vrai. Goûte aussi le mien, tu pourras comparer.
Philippe s’approche de son ami, puis se ravise en regardant sa bite, elle aussi couverte de sperme.
– Alors, toi aussi, il faut que tu essayes.
Marie est ravie.
– Oh oui. Quelle bonne idée. Sucez-vous donc mutuellement !
Les deux hommes se replacent l’un en face de l’autre, comme ils l’ont fait précédemment pour leur 69. Chacun se retrouve à nouveau face à la bite de l’autre, mais cette fois-ci elle est recouverte de sperme. Et de plus, Marie se place pour aider Philippe à sucer Simon, et Nicole aussi aide Simon à sucer Philippe. Les gars s’avancent simultanément, comme ils l’ont déjà fait, chacun observant l’autre. Chacun s’avance encore un peu, ouvre la bouche et lèche la queue devant eux. C’est gluant, légèrement salé mais sans avoir réellement de goût. Sous l’effet de la succion, chacun a repris de l’ardeur dans la bouche de l’autre, leurs sexes sont à nouveau en érection et ils continuent leurs fellations. Ils ne peuvent plus se retenir et se laisse jouir à nouveau et les 4 bouches sont en train de se remplir de sperme. Quelques instants plus tard, les gars s’approchent de leur femme en partageant la semence de leur copain avec leur femme respective.
Puis les femmes prennent la position de leur homme et on refait le même manège mais à l’inverse, les hommes léchant la chatte de l’une et l’autre avec leur femme respective.
Marie jouit à nouveau, grâce aux langues de son couple d’ami, tout en continuant de partager la chatte de Nicole avec Philippe pour la faire jouir à son tour! Elle est particulièrement excitée à voir son mari manger une chatte devant elle ! Encore étourdis pas des émotions aussi intenses, elle demande alors à Nicole quelque chose de surprenant.
– Tu peux me pincer ?
– Encore un nouveau fantasme ?
– Non, je veux juste vérifier que je ne rêve pas.
– Comme tu veux.
Nicole pince Marie qui sursaute. Non, elle ne rêve pas. Tout ceci est bien réel. Quelle joie, elle en rigole même, ce qui ne manque pas de surprendre ses amis. Elle se charge de les rassurer.
– Tout va bien. Je me sens guérie. Je vais beaucoup mieux. Je vais maintenant pouvoir profiter des plaisirs de la vie.
Nicole conclut alors :
– C’est vrai. Je te sens beaucoup mieux. En plus, cette petite thérapie aura profité à tout le monde, y compris à nos maris. N’est-ce pas, messieurs ?
Les deux hommes acquiescent de la tête, les yeux ébahis, couchés sur le lit sans rien dire, sauf de respirer très fort !!!!
Tous sont épuisés, vivement la prochaine fois !
Fin
Conforme au texte original, nous avons simplement découpé ce long récit en 6 parties, effectués quelques corrections mineures et remplacé, quelques québécismes
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