Auteurs divers

Mercredi 28 août 2024 3 28 /08 /Août /2024 08:26

Au hasard d’une Maîtresse par Yourka

Fetish2

– Arrête de regarder cette femme !

Les paroles de Léa me sortent de ma torpeur.

Une terrasse du café, bondée, tout le monde est sorti se faire lécher par un soleil trop longtemps absent. Les filles sont peu vêtues, leurs épaules retiennent à peine les bretelles de petits hauts légers. Assises et décontractées, leurs escarpins se balancent au bout d’orteils qui ne rêvaient que d’être nus, laissant voir leurs talons rougis par les chaussures d’un hiver pourri. Elles exhibent des jambes encore blanches qu’elles viennent juste d’épiler.

– Je ne regarde personne en particulier.
– Tu te fous particulièrement de moi, là !

Léa me fatigue. Oui, je regarde cette femme brune en face de nous. La seule qui ait osé une robe en maille très ajourée. Les seins nus apparaissent au-dessous, leurs pointes roses tranchent sur le blanc de la poitrine. Les peaux sont contrastées, le bronzage n’est pas encore celui de fin août et des retours de plages.

– Je ne me fous pas de toi mais je ne vais quand même pas regarder les chiens ou les pigeons !

Je ne vais pas refouler ma libido qui se réveille. L’envie de mettre des claques à Léa aussi.

– T’as qu’à me regarder moi, t’es vraiment un mufle de me provoquer comme ça, à mater cette conne.

Léa bouillonne, Léa trépigne, Léa m’horripile.

– C’est une conne ? Tu la connais? Elle est silencieuse, ta conne, tu me la présentes ?

Je n’ai pas vu les gifles arriver. A l’aller, mon nez semble s’envoler et au retour, cinq doigts, bagues comprises, qui cognent mon tympan. Les gens arrêtent leurs conversations et nous regardent, amusés ou étonnés. Voilà, on est au centre du spectacle.

Mon nez saigne, mon oreille siffle et la tentation de taper comme un sourd sur Léa me démange.

Bien sûr, pas de mouchoir, je pisse le sang dans mon jus de tomate. Un bloody Mary nature !

– Quel con, non mais quel con, alors !

Elle aurait pu dire – quelle conne- mais elle fonctionne autrement, Léa.

– T’es pas sortable, Léa. Me cogner le nez comme ça, pour rien.
– Pour rien ? Et là-dedans, tu vas me dire qu’y a rien? Elle me dit ça en m’attrapant entre les cuisses. Folle-dingue, les gens voient et entendent.

Je suis dans état pitoyable, les bourses écrasées dans une main de fer et je sens ma tronche bouffie qui doit certainement m’autoriser une entrée gratuite aux tours de Notre Dame, toute proche.

La douleur au nez provoque une montée de larmes, malgré moi.

– Et y pleure, maintenant, mon macho mateur !

Elle est déchaînée, Léa. Sa voix porte et tout le monde en profite. Elle est furieuse, ne se tient plus et cogne la table. Au deuxième coup de poing, sa main s’écrase sur son verre qui vole en éclats. Justice divine, des morceaux se plantent dans la paume. Chacun sa croix, chacun son sang, c’est à son tour de pisser rouge. Nous voilà comme deux abrutis. Moi abattu; elle, hurlant jusqu’à gêner la sieste de Marseille. Et pas de kleenex.

La brune s’est levée et vient vers nous. Je le vois tendre un mouchoir à Léa.

– Merci, vous êtes gentille.

Je n’en reviens pas. Un sommet d’hypocrisie, cette Léa.

– Faites voir cette main, ce peut être grave, si un tendon est coupé.

Et mon oreille interne alors? Et mon nez aplati ? Je rêve, je n’existe pas.

Léa lui tend sa main, elle ne dit plus rien, s’est calmée d’un coup. A moi de bouillir. La fille scrute cette main, penchée vers Léa. Bon, je vais encore me faire massacrer mais j’ai la vision de son décolleté en plein axe ! Et puis debout, sa robe dans le soleil me laisse un souvenir pour mes vieux jours.

Elle parle lentement, concentrée sur les plaies de mon hystérique notoire.

– Il faudrait aller dans une pharmacie retirer les bouts de verre.
– Ben oui, un dimanche, on va trouver ça sans problème.
– Ecoutez, monsieur, ne vous fâchez pas, je tente de vous aider.

Nous aider… la meilleure nouvelle de la journée.

– Je ne me fâche pas, je suis juste un peu éclaté.
– Tu l’as cherché, la ramène pas, dit Léa presque doucement.

C’est incroyable ! Léa à un vrai talent pour retourner les situations.

– Renversez votre tête en arrière, ça va aller, me dit la brune.

C’est ça, c’est ça. Et pour l’oreille, pas une petite sonatine de Schubert?

– Putain, ça fait mal, lâche Léa avec grâce.
– Bon, j’habite à côté, je peux vous y emmener. Là-bas, j’ai de quoi soigner tout ça.

Nous voilà invités chez elle. Le monde est curieux, parfois. Léa joue les gênées.

– C’est trop gentil, vous êtes sûre?

Gna gna gna, retenez-moi… La matée invite le mateur et sa mijaurée.

– Oui, sans problème, allons-y.

Sans problème, oui. Je vais marcher le nez en l’air. Sans problème.

L’appartement est grand, lumineux et pas meublé en kits à cent balles. L’odeur de l’argent, je le sens à des kilomètres, malgré ma truffe de bouledogue.

– Au fait, comment vous appelez-vous ? Moi, c’est Solen.
– Que c’est joli, moi, Léa. Et ça, c’est Marc.

Ça… Je suis aux anges, moi, présenté comme un machin annexe.

Solen file vers le fond de l’appart, nous laissant livrés à nous même.

– Tu vois, le dimanche, c’est pas toujours monotone, mon amour. Tu as mal… mhh ?

Ma tentative de dégel est un fiasco.

– Me gonfle pas, Marc ! Si tu laissais pas tes yeux n’importe où, aussi !
– Sont là, mes yeux ! Plantés sur toi. T’es chiante mais sensuelle, en colère.

Léa est assise sur un fauteuil trop profond pour elle, obligée de laisser ses jambes tendues pour toucher le sol. Ses mains posées sur les accoudoirs, sa jupe remonte à mi-cuisses. Des cuisses pas rachitiques, des cuisses pleines mais sans graisse superflue. Elle m’épuise, cette fille mais je dois être maso. Ses petits seins ronds, son long cou, ses cheveux noirs en carré sage, ses yeux sombres. Tout me plait, sauf son humeur épouvantable, sa jalousie, son intolérance chronique.

Mais le feu n’est pas que dans son humeur. C’est un coup d’enfer, une partenaire de lit, de table ou d’ascenseurs sans mesure, qui sait se donner entière. C’est en partie ce qui me la rend supportable. Et quand elle dort, j’oublie ses travers. Moi, bien entendu, je suis parfait…

Solen réapparaît équipée d’un tas de trucs premiers soins. Elle est pieds nus, les ongles vernis d’un rouge discret. Les pieds bien faits, soignés, de jolis doigts rangés à la perfection. Ca me parle, ça. Mais mieux vaut regarder le ficus dans son pot.

Mon portable sonne, j’avais rendez-vous, avec tout ça, j’ai oublié. Je devais passer relever auparavant des e-mails, des fichiers, chez moi pour ce rendez-vous de boulot.

– Je vais devoir vous laisser, je file me connecter au web avant mon rendez-vous déjà manqué. Léa, on se retrouve ce soir à la maison ?
– Quoi ? Tu vas me planter là, tu pouvais pas y penser plus tôt ?

Retour agressif de Léa qui oublie les causes de ce retard.

– Vous pouvez vous connecter ici, sur le PC dans ma chambre, me dit Solen.

Je trouve l’idée pratique et j’accepte.

La chambre est grande, le lit au centre n’est pas fait et de la lingerie a été oubliée çà et là. Mieux que les web bars, ça, comme décor! Du carrelage blanc à cabochons noirs, des tapis. Le PC trône sur un grand plan de travail parsemé de photos, de dossiers. De mode, me semble-t-il, ou dossiers de casting. Mais si ce sont des castings, ce n’est pas pour tous les yeux. Plutôt dénudés, les modèles, hommes et femmes. Dénudés et franchement offerts à l’objectif. Si Léa me surprend devant ça, je suis bon pour un deuxième service de taloches.

Le PC est sous tension, juste besoin de cliquer pour le lancer. La page d’accueil est surprenante. Un site carrément bondage, je suis tombé chez une gourmande. Je ne résiste pas à aller dans l’historique et le déroulé est édifiant. Chaque clic m’envoie sur des pages de photos de femmes et d’hommes dans de curieux ébats. Des photos qui marquent un goût pour les bobos SM et un penchant pour les jeux de fontaines. Cuisses ouvertes sur des bouches qui semblent avaler ça comme du petit lait.

Et parmi les membres enjoués de ce club humide, je vois la belle Solen accroupie sur la bouche d’un garçon plein de bonne volonté, qui joue l’urinoir d’un soir. Même pas une grimace, il est visiblement aux anges. Et moi, sur le cul !

– Vous n’êtes pas dans vos e-mails, on dirait !

Solen est dans mon dos, presque contre moi et je suis dans l’état d’un gamin surpris à fouiller dans le placard.

– Heu, je suis tombé là par hasard.
– Attention, c’est un hasard qui peut devenir un plaisir, si vous vous y étalez.

Instant surréaliste, cette femme est en train de tranquillement poser des jalons. Et la furieuse dans le salon ne sait encore rien de cet échange incongru. Heureusement.

Je tourne la tête et encaisse un regard appuyé. Solen a croisé ses bras sur ses épaules, déhanchée, amusée et dangereusement séduisante. Rien de vulgaire, même si je pense à l’image passée de son sexe inondant son amant.

– Qu’est-ce que vous fichez là?

Voilà Léa qui débarque, l’œil inquisiteur qui nous scrute. Sa main est bandée. Moi aussi, mais ailleurs. Et ça, elle le sent comme personne rien qu’à me regarder.

– Putain, c’est quoi, ce bordel, c’est quoi, ces photos?
– Rien, juste des photos de travail de Solen.
– Ah parce que ça, c’est un boulot ?
– Ecoutez, Léa, Marc n’est pas responsable, je n’ai pas pensé à les retirer.
– Mais c’est vous, sur l’écran, là ! Putain, elle pisse sur un mec… et toi, tu mates les pervers, t’es un parfait salaud.

Mai09Je n’ai pas droit à une gifle mais Léa est prête à bondir.

– Ecoute, fais pas une histoire pour ça, de toute façon, on s’en va.
– Ben pas avec moi, en tout cas. Te pointes pas à l’appart, espèce de dégueulasse.

Elle tourne les talons et se tire dans un concert de jurons très innovants et frais.

Je me retrouve seul avec Solen et rien ne me donne envie de partir à mon tour.

– Je suis désolée, me dit Solen, vous allez avoir du mal à la convaincre qu’il ne s’est rien passé.
– Mais non, ça ira, elle sait quand je lui mens. Et là, nous n’avons rien fait.
– Je ne parle pas du passé immédiat, je pense au futur proche.

Je prends ses mots en plein caleçon… et un grand coup de chaleur dans l’échine.

– Vous ne dites rien?

Je ne dis rien, non… ce serait un bafouillage total. Elle est là, à me jeter des sorts, m’empêchant d’exprimer le moindre truc cohérent.

Son pied nu se pose contre ma jambe, entame un petit mouvement pour glisser sous le bas de mon pantalon. Lorsqu’il atteint ma peau, je n’ai aucun moyen de taire un énorme soupir.

Mais ce n’est rien par rapport à ses mains qui se posent dans mon cou, ses cheveux qui balaient mon visage. Elle est parfumée discrètement, ses doigts courent dans ma nuque et son souffle chaud annonce un baiser très proche. J’ai déjà oublié Léa, mes futures explications de mec qui se noie dans ses contradictions. Je goûte l’instant sans vouloir me réveiller. Quand ses seins se collent à mon dos, je renverse la tête et reçois sa langue en pleine bouche.

– Hasard ? On en est encore au hasard, monsieur ?
– Oui, enfin maintenant non… mais si, quand même.
– Non, je vais te dire, moi. Tu es là parce que je le veux et si ce n’avait pas été par le biais de ce PC, de ces photos, c’est ta femme que je serais en train d’enlacer. Tu crois que je suis secouriste dans l’âme?
– Non, bien sûr…
– Je vous ai observé, vous transpirez l’amour explosif, l’amour qui pince. Qui fait mal !

C’est mon sexe qui va exploser si elle continue comme ça. Elle susurre plus qu’elle ne parle, ponctuant ses mots de petits coups de langue sur mes lèvres. Sûre d’elle, entreprenante, je ne tente pas de guider ses baisers.

Je sens la chaise se renverser lentement en arrière et me retrouve étendu sur le carrelage. Sa robe quitte ses cuisses pour remonter sur ses hanches et une culotte blanche minimale me saute au visage. Je ne pensais pas un jour être chevauché aussi vite, tout son corps se frotte sur moi, ses mains quittent mes cuisses pour défaire ma chemise et livrer mon torse à ses seins encore prisonniers d’un soutien-gorge juste rempli de ce qu’il faut, loin des énormes trucs des salons de chirurgie plastique. Je fais quoi, moi, là ? Parti d’un bar avec une hystérique, je suis submergé par ce corps chaud.

Je sens des doigts jauger mon pantalon, l’ouvrir et glisser entre le coton et ma peau. Sans empressement, la main saisit mon sexe pour le caresser sous le tissu. Et moi, de tirer sur sa culotte, libérer ces lobes, ces fesses blanches en laissant la culotte barrer le centre et l’accès d’un anus tout rose. Mais mes mains savent aussi trouver leur passage vers son sexe qui promet d’avoir du goût, tant son parfum agace mon nez. Ma langue ira plus tard s’y baigner. Là, je lui caresse les hanches, le bas du dos, en gardant une vue imprenable sur sa croupe.

– C’est pas ces caresses, que je désire. Je suis plus au lycée !
– Mais alors, ce ne sont pas des caresses… tu veux que je te pince, te morde?

J’ai soudain l’air con, j’en suis sûr, son cul dans mon nez, je me demande quel traitement elle attend de moi.

– Ok, je vais te montrer, si tu es d’accord pour te laisser guider !

Je dis oui, elle bondit d’un coup, effleurant mon nez de sa chatte que je n’ai pas eu le temps de manger.

D’un tiroir, elle sort une paire de menottes et les agite devant moi.

– Assieds-toi ! Les mains derrière le dos !

Je suis assez fou pour obéir à cette inconnue, fasciné par son cul, son style et son aplomb. Et puis, je saurai l’arrêter s’il le faut.

Je me retrouve les mains dans le dos, menotté. Poussé en avant, je tombe sur le ventre. Elle engage une séance de frottements de son corps sur le mien, ses ongles se mettent à mordre ma chair, le long des bras, en griffures juste appuyées. Ses dents vives s’attardent à mes épaules, acérées au point que je sens qu’une seule morsure un peu forte m’arracherait un bout de viande. Puis, elle se lève et debout devant moi, relève mon menton de son pied.

– Tu as aimé les regarder, lèche-les, lèche mes orteils !

Le ton a changé, ça ressemble à une injonction mais je ne déteste pas ça, lécher de jolis pieds. Seule ma position est particulière mais je me sens bander. Elle se caresse au-dessus de moi, je tente de la regarder mais son autre pied repousse ma tête.

– Tu lèches, tu ne me regardes pas !

Ses orteils sont trempés et leur légère odeur de cuir chaud imprègne mes narines.

Elle a juste marché le temps qu’il fallait pour qu’ils soient parfumés ainsi.

Maintenant accroupie, elle écarte ses cuisses devant moi, à quelques centimètres. Je la vois mouiller, je la vois s’ouvrir, je voudrais y glisser ma langue.

– Non, ne me touche pas !

La vraie torture ce ne sont pas les menottes ou les ordres. Ne pas la sucer entre les cuisses, si près de ma bouche, ça, c’est un supplice.

Elle étend le bras vers un tiroir et en sort un gode d’ébène. Long et mat, sec comme une trique de flic. Là, devant moi, elle le passe entre ses cuisses, le promène sur ses seins qu’elle pince de l’autre main. Sans s’en pénétrer vraiment, elle le glisse à peine dans son sexe, le tourne sur lui-même très vite, le roulant entre ses deux mains. Cuisses contactées, ses muscles se tendent et moi, je sens mon sexe gonfler, coincé entre ventre et carrelage. Rien à lécher, rien à saisir, rien à branler… là, je peux le dire. Elle joue un solo, une partie d’allumage en règle.

– Donne-moi ce gode, laisse-moi te prendre avec.

Je l’implore presque.

– Attends, autre chose, avant.

Des larges bandes de cuir viennent entraver mes chevilles. Là, je me demande quand je vais m’occuper d’elle à mon tour !

– Alors, tu veux jouer avec le gode? Elle prend un ton doucereux.
– Oui, j’en ai envie, je veux que tu le sentes entrer en toi, de mes mains.

Elle se baisse sur moi et me mordille les hanches, ses cheveux se baladent sur mes reins.

– Tu me ferais quoi, avec ce gode, dis-moi ? Elle me rend fou, avec cette question.
– Je te ferai tout ce que tu veux !
– Ou plutôt ce que toi, tu veux, mec !
– Oui… mais ce sera bon…
– Pour moi ? De me faire mettre par un gode ?
– Mais… il est à toi, tu aimes…
– Tu vas le mettre dans ma chatte, c’est ça ? Et le regarder s’enfoncer ?
– Oui… oui, ça…
– Et tu vas m’enculer aussi… ?

Je meure de l’entendre et de ne pas pouvoir la toucher.

– Oui, je t’enculerai avec, et de mon sexe aussi.
– Ah ! Ça te plairait tant que ça, de m’enculer ? Elle devient étrange, ses mots sont dits de façon monocorde.

Elle glisse sur mon dos, je sens sa chatte sur ma nuque, mouillée et collée à la base de mes cheveux, ses pieds recroquevillés sous ma bouche.

– Tu vois, le jeu que j’aime, c’est pas d’être enculée par un homme qui prend des baffes de sa pétasse ! Les baffes de ta nana, c’est pas les gifles d’une Maîtresse !

Une énorme claque me brûle les fesses. Ses cuisses se resserrent contre ma tête. Une autre claque vient sur mon cul, le bout des doigts atteint mes bourses, comme si on les pinçait. C’est douloureux mais je bande autant que j’ai peur.

– Faut que tu comprennes… c’est moi qui vais t’enculer. Quelque chose à dire?

Là, le jeu s’emballe. Je réfléchis à toute vitesse.

– Ecoute, j’ai jamais fait ça… je ne sais pas, enfin je préfère pas.
– Ah oui ? Et à combien de femmes t’as pas demandé leur avis ?
– Mais non, il ne s’agit pas de ça.

Je ne bande plus… je suis comme un con qui a joué trop loin.

– Moi, je crois que tu vas enfin connaître la sensation que tu penses être si agréable aux pétasses du huitième. C’est moi, qui vais t’enculer et si c’est aussi bon que tu le penses, tu en redemanderas !

Elle me colle le gode dans la bouche, forçant mes lèvres.

– C’est trop gros ? Tu verras, il sera plus à l’aise dans ton cul. Allez, lèche-moi ça ! Plus fort, mouille-le. Plus il sera mouillé, moins tu auras mal !

Je suis dans un cauchemar. Je suis piégé par une disjonctée du cul. Elle pousse l’engin dans ma gorge, à me donner des spasmes.

– Quel effet ça fait, une bite dans les amygdales ? Et encore, celle-là est propre ! Quand elle aura fouillé ton cul, tu la lècheras encore, promis !

Je ne peux pas parler, de toute façon, je ne sais pas quoi dire, rien ne semble pouvoir l’arrêter.

– Dis-moi, tu aimerais plutôt lécher ma mouille sur ce gode ? Tiens, un petit cadeau.

Je la sens au-dessus de moi s’enfoncer le gode, puis elle me tire par les cheveux et force à nouveau ma bouche. Le goût de sa chatte me fait un temps oublier ma position. Je lèche presque avec plaisir ce truc froid et dur.

– Voilà, tu commences à y prendre goût, tu vas voir, tu vas adorer le sentir de remplir les fesses.

Elle me caresse la joue, me gratte le bout du nez, passe un doigt entre mes lèvres et mes dents, un doigt à l’ongle vif qu’elle prend soin de me planter dans une gencive. Elle est folle mais là, elle ne s’occupe pas de mon cul et puis, ça, je me surprends à aimer.

– Bon, tu les as bien préparées, tes bourgeoises, avant de les sodomiser ?
– heu, je ne leur ai pas fait de mal, je crois avoir fait comme il faut.
– Comme il faut ? Tu sais, ça veut rien dire ça. Tu cherches à m’amadouer ? Je vais te dire, moi, comment j’aime ! A sec ! Enfin, pour mes esclaves, bien sûr. Leurs gémissements ne sont pas feints, là, j’en suis sûre. T’as juste le droit de le lécher encore un peu. C’est le moment de vérité.

Le truc sort de ma bouche. Là, je voudrais qu’il y reste. Elle passe une main sous mon ventre.

– Tu bandes mou, monsieur ! Ca va pas, ça.

Elle me tourne un peu, sur le côté, je me demande comment j’en suis arrivé là. Mais surpris, je sens ses lèvres se refermer sur moi et sa bouche me pompe enfin comme j’en rêvais. Un délice de fellation où les dents ne sont pas absentes. Bon, si elle était sérieuse dans ces menaces, elle aurait déjà recraché mon gland à l’autre bout de la pièce.

Mais d’un coup, je sens la brûlure d’un doigt qui plonge entre mes fesses. Je crie… un « non » peu convaincant. Son doigt me fouille en se repliant à l’intérieur, tel un crochet. J’ai mal mais sa bouche sait donner l’antidote. Encore un cri.

– Tais toi ! C’est pas un doigt qui va t’arracher des larmes ! Tu m’emmerdes.

Elle lâche ma queue, mon cul… Elle se lève et attrape un carré de soie rouge. Me voilà bâillonné, comme sur les photos de son bureau. Je suis aux abois, là, j’ai les jetons.

– Hé ! Il tremble comme un porcin, mon esclave !

Elle me bascule sur les genoux, je tente de résister mais une troisième gifle me barre les fesses. Les mains dans le dos, le cul en l’air, un bâillon et des liens… je ne peux rien faire. Je la sens derrière moi, sa main gauche plaquée à mon cul, paume collée en ventouse, elle semble se régaler de me dominer. A cet instant, malgré la peur, j’avoue une excitation bien malgré moi. Je sens un sein venir au centre de mon cul, une dernière caresse avant l’assaut.

– Tu préfères quoi ? Une bonne poussée au fond ou un petit va et vient de rodage?
– Je… écoute, non, je…

Elle n’a pas attendu ma réponse. Je sens soudain ce truc froid à l’entrée de mes fesses. Elle est silencieuse, comme concentrée. Sans violence, elle pousse doucement, tout doucement le gode. C’est gros mais je n’ai pas mal… juste le passage qui semble s’étirer. Je suis presque rassuré. Pas si terrible, finalement. Elle douce, je préfère ! Je sens de la salive couler entre mes fesses. En plus, elle renonce au « sec ». Ouf, je me sens mieux et je bande gentiment.

Mais soudain, je me sens transpercé, envahit, violé. Et une douleur insupportable me fige, prostré, la croupe tournée vers le ciel, le gode planté en trophée, comme sur un sommet vaincu. Sans le bâillon, tout Paris en profiterait.

– Là… tu es reçu au club, mon gros cochon !

Elle vient s’asseoir devant moi, la chatte tout près de mes lèvres et se masturbe si vite qu’elle jouit en quelques secondes. Affalée sur le sol froid, elle reprend ses esprits. Mais pas son gode qui reste enfoncé dans mes fesses. Elle tourne autour de moi, semble réfléchir à la suite. Moi, je suis au bout de mes limites, rien de pire ne peut m’arriver. J’ai mal, mon cul se contracte malgré moi autour du manche, amplifiant la douleur. Mais je suis raide de la queue, comme un pendu.

– Bon, je vais être princesse, tu as droit au traitement de faveur final.

Elle s’approche de moi, m’arrache le gode dans un bruit de déboucheur de chiottes. C’est imagé mais j’ai que ça pour illustrer ce que je ressens. Puis à nouveau, elle m’ordonne de m’asseoir face à elle. Là, tranquillement, elle vient se caler devant moi, sa chatte devant mon visage.

– Et encore, t’a pas eu droit au foutre qui te gicle dedans ! Plains-toi ! Une petite douche, pour de remettre de tes émotions?

Oh non… elle va pas le faire, je revois le type sous elle en photo. Elle boit de longues gorgées d’eau, je me sens devenir fou, partagé entre mon voyeurisme et la crainte d’être aspergé de pisse. Là… je vois ses cuisses s’écarter, elle se baisse un peu et un filet s’échappe de son sexe, coulant sur ses cuisses. Elle me regarde, sourit narquoisement et arrête de pisser. De sa main, elle caresse son entre jambe et porte ses doigts à ses lèvres. Elle m’a épargné, je n’en reviens pas. Mais sa main replonge et là, revient vers mes lèvres.

– Tu t’en tires bien, je suis indulgente. Lèche mes doigts, un a un !

Je détourne la tête. Ses deux mains viennent me saisir les joues, maculant mon visage d’urine. Je m’exécute. Le goût est salé, l’odeur âcre, en tout cas, je préfère ça à la douche, même si elle prend soin de m’enfoncer ses doigts mouillés dans la bouche. Elle semble satisfaite. Elle me libère de mon bâillon en m’avertissant.

– Si tu gueules, si tu penses un seul instant te venger, tu connaîtras d’autres Maîtres qui sauront te trouver et te punir. Tu entends haut et clair ?
– Oui, je… tu ne me reverras pas.
– Oh mais si, j’en suis sûre ! Mais tu seras volontaire, tu en auras envie, je sens ça !

Mes liens défaits, je reste un instant sur le sol étendu, fourbu, le cul en feu. Et je ne l’ai pas baisée…

– La prochaine fois, tu pourras me prendre, si tu obéis comme il faut. Là, tu t’es fait prier. Allez, habille-toi et file retrouver ta petite pute !

L’air frais du soir me redonne un peu d’énergie. Je suis partagé entre la honte et une espèce de plaisir sournois que je refuse d’admettre.

Arrivé à l’appart, ma clef fonctionne, Léa n’a pas verrouillé de l’intérieur, prête à oublier sans doute notre dispute.

La douche est sublime, même si je n’ose pas me toucher les fesses, tant elles sont douloureuses. Léa dort profondément, je me glisse doucement dans le lit et m’endors, épuisé.

Mais les rêves finissent par me hanter, je tourne et tourne sur moi-même.

Et le rêve tourne au fameux instant de la douche évitée. Je revois Solen devant moi, mais je suis sur le dos, allongé dans un lit. Elle est au-dessus de moi, ouverte, son sexe béant, prêt à m’arroser, en souriant. Je ne fais rien pour lutter. Et là, je sens son urine couler, puissamment sur mon torse, elle se tortille en se vidant sur moi. Mes mains étalent tout sur mon ventre, mes épaules, mon cou. C’est chaud, c’est agréable.

– Alors c’est ça… tu en crevais d’envie, mon salaud !

La voix de Léa retentit et Solen s’efface de mon rêve, disparaissant dans une brume chimérique.

– Réveille-toi, regarde-moi !

Léa… debout sur moi continue de pisser, inondant le lit, aspergeant aussi mon cou. Je ne rêve plus, elle est bien là à me souiller.

– Tu l’as baisée, salaud ! Mais si elle t’a pissé dessus, alors à moi aussi de me lâcher ! Et en plus, j’aime ça !

Je deviens fou, je suis dans un jour hors limites. Mais la voir se soulager comme ça me fait bander et là, je ne resterai pas bredouille. Elle vient me sucer divinement, mélangeant les odeurs et les saveurs, me collant au nez sa touffe brune imprégnée de pisse. Puis, elle se cloue sur moi, mouillée, trempée de tous ses jus et me baise sans ménagement. Mais ça, maintenant, je connais et ses coups de hanches sont autant de caresses. Dans une dernière image, je revois le gode me pénétrer et dans la douceur du sexe de Léa, je peux enfin jouir en osant m’avouer que j’ai aimé ça !

Copyright © Yourka 2001 Première publication sur Vassilia, le 25/07/2001 Le webmaster tient à remercier vivement Yourka d’avoir à sa demande accepté de publier ce récit ici !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 20 août 2024 2 20 /08 /Août /2024 22:27


Les Chiens des Brooks par le_marquis_de_Chair 

 zoo

Les Chiens des Brooks

Jennifer et Stan Brooks, couple d’anglais Aristocrates de belle lignée avait acheté un Manoir en France où ils recevaient bon nombre de leurs Amis de qualité auxquels nous avions l’honneur d’appartenir.

La Comtesse et le Comte adoraient les chiens et possédaient huit magnifiques Labradors, quatre noirs aux poils luisants et quatre « yellow », des animaux puissants, affectueux, aimant à être câlinés et caressés et, ma foi, si bien montés, qu’ils savaient faire office d’Amants de qualité auprès de quelques Dames venant là visiter nos deux Châtelains et sachant là trouver apaisement à leurs désirs les plus inavouables. C’est que ces chiens n’avaient jamais couverts de chiennes, ignorant la chair animale et ne connaissaient donc que les intimes chairs des femmes qu’ils semblaient apprécier tout particulièrement et c’était là des joutes sans fin laissant apaisées, mais épuisées les belle visiteuses de ce Manoir particulier. Ces bien secrètes pratiques et ces rendez-vous – qui avaient lieu une fois par mois – proposaient des accouplements qu’on eût dit « hors nature » mais qui n’en étaient pas moins appréciés dans leurs révélations charnelles par ces quelques belles Oiselles à la recherche de nouvelles sensations ! Toilettés, entretenus, bien nourris, nos huit beaux « monteurs » ô combien puissants et affectueux, contentaient donc ces Dames qui se faisaient allègrement chevaucher et prendre sans pudeur en un feutré salon par ces endurants et ardents canidés.

Dès l’arrivée des invitées, les chiens leur faisaient fête, ce n’était que léchées, aboiements de bonheur, les chiens sentant bien là de bonnes chairs féminines aux muscs et parfums qui les excitaient au plus haut point. Ainsi, un chien choisissait-il sa « cavalière » et ne la quittait plus, battant de la queue, geignant de plaisir, implorant ou insistant, une patte posée sur quelque genou, affectueux à l’excès, griffant un bas, bandant déjà de belle manière, prêt à tous les ébats. Ces Dames, toutes troublées, les joues roses de plaisir caressaient alors la tête de l’animal, flattaient ses flancs, se laissaient embrasser sur la bouche, dans une ronde d’amour et de séduction des plus révélatrice des envies de chacune… Une main fine et longue pouvait aussi se risquer à quelque caresse appuyée vers le sexe, le saisissant entre les doigts, le pinçant joliment, allant même jusqu’à le décalotter finement, épousant de la paume les belles couilles rondes, chaudes et battantes, une sorte d’appréciation de la virilité… L’on allait même souvent jusqu’à feller avidement quelque sexe rose et long, bien tendu, appréciant ainsi avant les ébats celui qui serait un parfait chevaucheur. Le chien alors commençait à haleter, se faisant plus pressant et c’est alors que l’on passait au Salon pour des choses plus sérieuses que je me propose de vous conter ici…

Les Châtelains eux-mêmes appréciaient et partageaient ces réunions, très actifs dans le déroulement des opérations. Chacune des visiteuses se mettait en place, ne conservant que bas et porte-jarretelles ou encore jarretières, excitantes à souhait, féminines, délicatement parfumées, bref excitantes ; les chiens alors devenaient comme fous et allaient de l’une à l’autre, choisissant celles qu’ils voudraient monter… Car ils avaient leurs habitudes et leurs choix, bien que variés, revenaient souvent à quelque habituée, plus vicieuse qu’une autre, offrant des postures, douée d’initiative perverse dans la recherche du plaisir avec l’animal, se prostituant à lui, tout en ne délaissant point le sexe de quelque bel homme bien fait qui, entre deux saillies des canidés venait prendre à son tour son plaisir… Cela agrémentait de belle manière les échanges et l’on pouvait ainsi rester quelques deux ou trois heures en un salon clos à multiplier les accouplements. A l’issue de ces longs égarements charnels, une belle table était servie et les convives pouvaient se restaurer et reprendre des forces après de telles prolongées joutées.

L’on pouvait retrouver en ce salon, de belles adeptes de ces pratiques : la belle et brune, autant que piquante Nicole d’Engerrey, Chantal de Cyrignac, une Servante même, la « Lieutenante », la Châtelaine elle-même, fervente zoophile, faisant preuve de belles initiatives en de telles occasions, vicieuse, perverse, recherchant le plaisir sous toutes ses formes. Une belle femme un peu sèche, mince, petite poitrine, jolies fesses fermes et nerveuses, mollets aguichants, taille de mannequin en dépit de ses cinquante ans passés… Toujours bien coiffée, la classe et la distinction émanaient d’elle, une vraie noble. Elle portait souvent de hauts bas noirs ceints de jarretières rouges finement brodées. Ses joues creusées, les rides harmonieuses de son visage, ses longs doigts caressants, contribuaient à lui donner l’aspect d’une sorte de « Prêtresse » fiévreuse appréciant autant la femme que l’homme auxquels elle prodiguait les mêmes caresses fébriles avec à la fois un calme ordonné qui en imposait à ses… « Sujets ». Car chacune et chacun de ses adeptes était « son » Sujet… Une Passionnée ! Mince, élancée, « Prêtresse » absolue ». Nue. Femme. Caresseuse. Masculin-féminin unis au vice.

Le Marquis, Stan, son époux, était de bonne lignée, avait une belle prestance, perruque blanche, finement poudrée, habits finement brodés, dentelles, jabot, grande tenue et maintien, cape. De conversation recherchée, il souriait, séduisait…

Son épouse et lui-même parlaient très bien le français, mais avec une petite pointe d’accent qui ne leur donnait que plus de charme et d’allure.

Cet après-midi-là, nous étions arrivés, la Marquise et moi-même, très impatients de goûter à de tels plaisirs que nous avions déjà découverts en compagnie de nos bons Amis, Nicole et Albin d’Engerrey, chez eux dans leur propriété en bord de Loire. Vous souvenez-vous de mon récit «Le Grand Boudoir aux lévriers » et de leur chien « Uranus » ? Il ne manquait là que la belle Valérie de Versanges, zoophile confirmée et d’une grande beauté, hautaine, distinguée, très sensuelle, toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et expériences sensuelles autant que sexuelles…Nous avons d’ailleurs plus tard porté un toast à cette belle Amie et déploré son absence lors de telles agapes et folies partagées. Je dois avouer que j’étais attiré par cette femme (Françoise, ma Mie le savait et aimait à me voir prendre du plaisir à l’aimer et à l’honorer au cours de nos soirées particulières), mais les autres de nos Dames présentes ne manquaient point de charme, ni de talents cachés toujours susceptibles de nous séduire.

Jennifer Brooks nous fit servir des rafraîchissements et en fort gente compagnie, nous gagnâmes le salon. Etaient présents Albin , époux de Nicole, Chantal et Marcus de Cyrignac, Jennifer et Stan et l’une de leurs domestiques mince, discrète, attentive, brûlante, aux sens aiguisés et qui, paraît-il, se révélait être très experte dans les relations femme-chiens… moi-même et bien sûr, nos quatre premiers Labradors intervenants qui montraient déjà de l’impatience… Il y avait donc quatre femmes, quatre hommes et quatre merveilleux « étalons » canins pour la première partie de ces ébats… Nous prîmes place.

Comme ces femmes étaient belles, dans l’attente de plaisirs inavoués ! Je voyais leur image se refléter en des psychés où tremblaient des chandelles disposées de manière à ce qu’elles éclairassent les participants dans la demi-obscurité, les ouvertures étant déjà bien calfeutrées en cette fin d’après-midi. Jennifer, grande prêtresse de ces réunions secrètes, était assistée de sa « lieutenante » Ninon, la servante, toute dévouée à cette belle femme aux mœurs très coquines et dont elle était la complice en des jeux de Sappho auxquels nous savions qu’elles s’adonnaient toutes deux…

Il faut dire que la Servante était magnifique, des plus désirables, possédant même un port de tête digne de quelque Aristocrate qui aurait « fauté » avec quelque Marquise ! Jennifer et Ninon distribuèrent les « rôles » : Nicole et Françoise se gouineraient, excitant les chiens par leurs poses alanguies, tandis que Chantal se ferait ensuite monter par le premier des canidés, Jennifer et Ninon s’adonnant à leurs vices préférés en vue d’exciter les coquins que nous étions…

Nicole et ma femme, tendrement engouinées, se caressaient fiévreusement et à chaque fois je ne pouvais résister au plaisir de les contempler, cela m’excitait et je commençais à bander ; mais je bandai encore plus, quand j’aperçus Chantal, cuisses ouvertes qui offrait son beau sexe bien fourni à la langue du premier Labrador qui ne se gênait point pour la lutiner d’une langue longue, divinement rosée qui humectait les poils bruns et frisés de sa chatte… Albin et Marcus se branlaient en cadence ne quittant pas des yeux Jennifer et sa belle gouine de servante qui l’enchâssait… Stan se joignit à eux, partageraient-ils à trois les deux femmes ? Chantal caressait le chien qui léchait toujours son sexe, enfouinant sa belle langue au plus profond de la fendine que notre divine pécheresse s’employait à écarter généreusement ; le chien bandait de plus belle et devint exigeant, voulant à présent la monter sans tarder… Chantal ouvrit bien les jambes et là, magnifiquement écartelée, dirigea le long sexe vers le centre de son plaisir, ce corail rose magnifique : le chien la pénétra rageusement, elle poussa un petit cri et fut envitée au plus profond… Le trot se fit, ses hanches s’agitaient, le chien la dominait, museau tendu dans son cou, langue tirée, il pénétrait cette belle femme avec l’ardeur d’un humain, quel Amant ! Chantal se mit à geindre, écartant plus encore les cuisses, jambes en l’air, offerte, impudique, splendide vicieuse ne cachant pas ses penchants… Elle maintenait à bras le corps l’animal contre elle, se tendait, s’offrait, remuait des reins, baisée en bouche par l’animal qui allait jouir, cela se lisait sur son faciès, les babines se dilatant, crocs apparents ; les halètements se faisant plus pressés…IL JOUIT !!

Je me dis que je voudrais prendre Chantal aussitôt après, être dans le bon foutre chaud de l’animal, aller et venir en ce joli con qu’elle avait si bellement abandonné à son canin d’Amant… Le chien dégonfla, les flancs haletants, sa belle bite sortit de sa cache, mouilla un peu plus les poils et retomba, pendante, mais encore raide, laissant couler un trop-plein de foutre sur le parquet…

Je m’approchai de Chantal encore essoufflée, pâle, mais comblée dans son vice ; elle me sourit et me tendit les bras… Je m’agenouillai, pointai mon vitin vers ce sexe baillant, foutré de blanc, excitant, désirable et je pris la place du chien… Je m’enfouinai prestement et glissai délicieusement dans les humeurs canines, pour gagner le fond du con, à la mottine si généreusement tendue… Chantal m’attira étroitement contre elle et murmura : « Baisez-moi à votre tour, mon bon Armand, ce chien m’a épuisée, mais j’en veux encore, ne savez-vous point que je suis gourmande ?! ». Je la besognai sans compter, elle cria, croisa ses jambes sur mes reins, j’étais à fond en elle, ses bas blancs bellement jarretés, crissaient au plus fort en va et vient répétés, je défoutai, quelle belle débauchée j’avais là enfilée !

Une Amante de qualité, très vicieuse et cochonne à souhait…

Nicole était fermement montée par un des Labradors, ne lui laissant aucun répit, il jouit par deux fois en elle et puis, ce fut le tour de Françoise, ma Belle qui fut mise pareillement, mais qui ayant tendu son cul, fut ainsi prise analement aussitôt après et de belle façon par le chien sodomite, se comportant bien en cette position et sachant se montrer vraiment très endurant et persuasif à la façon qu’il avait de maintenir fermement ses hanches entre ses pattes! Jennifer était enculée par Albin, tandis que Marcus étendu sous la Servante la prenait à coups répétés, Stan prenant la « Lieutenante » en cul en même temps… Trois corps au paroxysme de l’excitation… Jennifer, sodomisée, geignait ; l’un des Labradors venait lécher le gros sexe et les couilles d’Albin qui besognait le petit anus dilaté de la « Maîtresse de Cérémonie » au comble de la jouissance…

Stan ayant déculé de la Servante, je pris sa place, l’on me reçut et le cul à nouveau s’agita au long de cette nouvelle pine qui venait le fouiller… Quelle ivresse ! Au-dessous, Marcus reprenait de l’élan et sans doute stimulé par le nouveau baiseur de sa partenaire, donnait de superbes coups de boutoir à son con qui allait et venait sur sa pine gonflée, tandis que je m’enfouignais toujours dans ce cul avec délice… Je ne pus m’empêcher de griffer les bas et jarretelles de cette « gueuse » que je maintenais fermement par les hanches, leur imprimant le trot de mon vit qui s’accordait parfaitement avec celui de Marcus en dessous.

Nicole et Françoise se laissaient encore monter par les chiens, folles de plaisir ; l’un des Labrador poursuivait son office dans le petit cul de ma femme qui geignait comme une folle, maintenant les pattes avant de son monteur pour le bien sentir en elle et qu’il ne s’écartât point… De fait, le chien l’enculait-il bel et bien, comme un humain l’aurait fait ! Je jouis dans le cul de la Servante qui me gratifia d’un immense et ultime coup de séant, ses rondes fesses atteignant mes couilles ; Marcus jouit à son tour… Nous restâmes ainsi tous les trois agglutinés, haletants, comblés…

Après une toilette en bonne et due forme, Jennifer nous convia à prendre une coupe de champagne en un petit salon attenant. Les mines étaient épanouies, bien que présentant des cernes révélateurs et les joues pâles de nos jouteurs attestaient de l’intensité et de la fréquence de leurs jouissances. Ces Dames, en bas et porte-jarretelles, les petits seins conquérants, les croupes rebondies, l’œil brillant (le champagne ?) attendant sans doute encore d’autres plaisirs, riant, s’enlaçant, se donnant de petits baisers prometteurs… Les chiens, vedettes tout de même de la soirée, arpentaient le salon, allant des unes aux autres, la queue battante, la langue lécheuse sur un mollet ou une cuisse à leur portée…

Jennifer annonça une nouvelle « figure » dans nos ébats et nous la décrivit…

« Chères Dames, mes Amours, cette scène nous allons la jouer toutes ensemble, vous mes bons Seigneurs serez spectateurs, mais après, je vous le promets, vous saurez être récompensés… ». Sur une couche large et confortable, confectionnée par deux Servantes (non participantes) et disposée au centre du grand salon où nous avions déjà exercé nos talents, ces Dames allaient nous offrir leurs jeux les plus osés, uniquement entre elles et avec les chiens, seul Eros, Sappho et la gent canine en seraient les exécutants…

Zoo R224L’Orgie canine

Disposées en étoile, jambes écartées, superbement nues et abandonnées, tête contre tête, nos compagnes s’offraient à nos yeux ; leurs superbes ventres offerts à nos regards, nantis de leurs jolis petits touffins bruns, blonds fournis ou moins fournis, leurs fines cuisses gainées de bas noirs, rouges, blancs ou gris-bleus, jarretelles ou jarretières très coquines, les seins hauts dressés, aréoles dilatées par le proximité du plaisir et l’attente des ébats… Comme elles étaient belles nos compagnes, ainsi livrées, sens et chairs aux aguets, l’émoi jusqu’au bout de leurs tétons, le souffle court, aux abois, telles des biches qui attendaient…

C’est à cet instant que deux servantes entrèrent, tenant en laisse quatre autres magnifiques canidés, Labradors également de couleur « yellow », à l’échine nerveuse, bien pourvus, de beaux mâles canins certainement très performants ! Nous applaudîmes à l’entrée de ces merveilleux spécimens. De nouveaux officiants qui allaient prendre la relève des précédents, car il fallait bien que les bêtes prissent un peu de repos après tant d’ardeurs et de performances !

Ces nouveaux arrivants ayant pleines forces, furent donc introduits, jappant, queue battante, prêts à se produire en…l’Arène du Sexe ! Ces quatre nouveaux compagnons quadrupèdes haletaient, langues tirées, impatients, sentant bien ce qu’on attendait d’eux et flairant les belles chairs nues de ces Dames… L’ambiance était excitante et nous, les époux, étions très attentifs à ce qui allait se dérouler, là, sous nos yeux, nous les libertins-Maistres-queues qui voulions toujours jouir ! Les chiens s’approchèrent, firent connaissance avec les officiantes, les flairèrent, leurs halètements s’accélèrent, leurs flancs battirent un peu plus vite et leurs sexes semblaient traduire déjà leurs envies de beaux mâles, se dressant doucement, balançant, roses ou rouges, tantôt violacés, congestionnés par le désir, respirant les muscs intimes de ces femmes ainsi offertes… Nos épouses caressaient à présent ces quatre frémissants Amants, flattant leurs flancs, enserrant leur col, tendant même leurs bouches à ces langues tirées, leur parlant voluptueusement pour leur donner toute confiance et que les saillies à venir se passent de la meilleure façon pour elles et leurs partenaires-chiens… Elles les caressaient plus intimement, comme elles l’avaient fait envers les précédents jouteurs, afin de les mieux mettre en condition – si tant est qu’ils en eussent besoin, certains montrant déjà toutes leurs…possibilités ! Une caresse de la paume sur un gland dressé, une main caresseuse sur les parties rondes et généreuses, un baiser sur le membre tendu, une petite fellation à peine esquissée…les chiens geignaient, léchaient, se tortillaient, impatients…

Impatients, nous l’étions aussi ! Nous connaissions certes les talents amoureux de nos Chères Epouses et leurs ardeurs à satisfaire leurs vices tout autant que les nôtres, mais de telles Amours canines n’étaient pas chose courante et l’humeur autant que le bon contact et la bonne approche avec l’animal n’étaient pas à dédaigner.

Les chiens à présent s’employaient à licher profondément les belles touffines, écartant, lissant, humectant les soies brunes ou blondes offertes à leurs convoitises… Françoise se livrait à une savante masturbation de l’animal, tandis qu’il la léchait au plus profond de son sexe. Elle était belle ainsi, recalottant, décalottant le sexe dur du chien dressé au-dessus d’elle ; Nicole, enfouinée par une langue fureteuse geignait doucement en se pinçant les seins ; Chantal de Cyrignac, se livrait elle à une magnifique fellation du membre de son cavalier canin qui, pattes arrières écartées, se laissait sucer jusqu’aux bourses, la Belle engoulant le vit canin jusqu’au fond de sa gorge. Jennifer prenait des poses fort suggestives, ainsi le chien la léchait-il abondamment, tour à tour en chatte, en cul, sur les seins, la bouche, la belle zoophile murmurant des mots osés à cet ardent canidé, l’encourageant à la bien fouiner de partout… Françoise maintenant, étendue sur Nicole, ondulait lentement sur son ventre, vulve à vulve, unissant sans doute leurs clitoris en une étreinte des plus excitantes ; un chien vint se placer sur les belles fesses de ma femme et commença à les chevaucher, le vit bien dardé cherchant le sillon fessier… Mon épouse passa ses mains sous le chien, saisit son long sexe et, s’étant écarté les fesses, le guida vers l’anneau convoité par l’animal ; celui-ci hésita, poussa et enfigna le derrière qu’il besogna d’une belle ardeur… Je voyais l’animal la couvrir, pattes arrières écartées, couilles dansantes sur le sillon, tenant sa taille entre ses pattes avant, exigeant, possessif, le museau entre ses omoplates, bavant déjà de plaisir… Les deux femmes jouissaient, Nicole de sentir la chatte de mon épouse frétiller contre son petit con et Françoise goûtant là une double jouissance, celle de son Amie sous elle et la chaleur du chien sur elle qui possédait son petit cul à longs et répétés coups de bite… Un autre chien montait ardemment Chantal de Cyrignac qui, cuisses ouvertes, tendue vers l’animal, se donnait entièrement à lui dans un abandon lascif, terriblement sensuel, la truffe entre ses seins, buvant littéralement les halètements de l’animal en train de la posséder profondément ; cris, plaintes, râles montaient de cette couche comme vouée à Satan, des femmes décoiffées, livides, jurantes, aux voix mourantes de jouisseuses qui n’en finissaient plus de se laisser monter, la semence coulant en hiéroglyphes sulfureux et blanchâtres sur les draps blancs, froissés et refroissés par les croupes dansantes et les pattes des animaux au paroxysme de l’excitation… Jennifer et sa Lieutenante partageaient le même chien qui les montait l’une après l’autre, insatiable, le sexe toujours bandé, la bête réclamant sans cesse un peu plus d’amour féminin et de chairs humides qu’il léchait avidement après chaque saillie…

Deux Servantes qui n’officiaient pas habituellement aux dires de Jennifer avaient été cependant désignées pour assouvir nos désirs à nous les maris, contemplatifs, assistant aux accouplements successifs de leurs épouses avec ces beaux « monteurs » canins… Tour à tour, ces deux jeunes femmes, belles, soumises, expertes, filles de la campagne, rudes, mais caressantes au demeurant, s’employèrent à nous bien feller, s’enivrant de nos foutres qu’elles faisaient jaillir sur leurs lèvres licheuses et leurs langues dansantes…

A l’issue de chacune des fellations, elles recueillirent en une coupe, nos foutres qu’elles mêlèrent ensuite à ce beau champagne blond pétillant qu’elles y versèrent ; puis, elles en intervertirent l’ordre et les tendirent à chacune de nos épouses : aucune d’entre elles ne sut à qui appartenait le foutre absorbé…d’où un grand mystère aphrodisiaque… Et ayant ainsi satisfait pleinement nos sens à tous les quatre, essoufflées, elles nettoyèrent nos sexes, nos bourses, léchant nos poils poisseux et nos fossés anaux, véritables fouilleuses ne nous laissant aucun répit… Un peu plus tard, l’une d’entre elles fut prise en même temps par Albin et moi-même, tandis que Stan et Marcus se partageaient aussi les faveurs de l’autre, de devant comme de derrière en alternance… De beaux trots qui arrachaient des plaintes lancinantes qui montaient au milieu de notre aéropage, nos ombres s’agitant, démentes, sur les épaisses tentures qui étouffaient les cris de ces filles en rut.

L’orgie ne prit fin que vers les deux heures du matin. Jennifer et Stan donnèrent des ordres, afin que des bains nous soient accordés en deux grandes salles de bains dignes d’un Versailles, nous y purifiâmes nos chairs dans une apaisante atmosphère parfumée, douce et paisible, puis nous nous vêtîmes et, ayant retrouvé une tenue plus aristocratique, nous rejoignîmes le grand salon où champagne et souper nous furent convivialement offerts. Nos épouses, bien que lasses, étaient si belles, le champagne illuminant leurs yeux cernés où se lisait une plénitude entière après autant d’excès, chacune d’entre elles serrant sur son sein une rose rouge comme un cœur refermé sur la nuit : une attention de notre Hôtesse envers nos épouses…

Les beaux étalons canins rejoignirent leurs quartiers après avoir goûté à une pitance du meilleur choix. Caresses, flatteries et baisers pour honorer leurs exploits.

Nous prîmes congé de nos Hôtes, de nos Chers Amis et complices et partîmes en carrosse juste après le souper. Françoise posa sa tête sur mon épaule, me sourit et soupira : « Comme c’était bon, mon Cher et tendre Ami, c’était si bon…pour vous aussi, n’est-ce pas, à ce que j’ai pu voir… » et elle s’endormit jusqu’à notre arrivée au domaine…

Je la portai jusqu’à notre chambre et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre… Que de rêves, quelle plénitude !

Chères Lectrices et Amis libertins, je vous souhaite la bonne nuit.

Le Marquis de Chair.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 20 juillet 2024 6 20 /07 /Juil /2024 07:04

Orgie chez les Duchavel par Angela
zoo

Je m’appelle Angela, J’ai 35 ans, je suis divorcée sans enfants.

J’aime le sexe et, depuis mon divorce, ne manque pas une occasion d’assouvir ce démon qui se cache dans mon bas-ventre.

Des amis de mes parents, les Duchavel, gens particulièrement fortunés, m’ont appelé un soir pour me demander si cela ne me dérangeait pas de passer le week-end dans leur hôtel particulier parisien car ils devaient partir à l’étranger et ne souhaitaient pas laisser inoccupé leur domicile.

N’ayant rien de particulier à faire, et connaissant le luxe de leur logis, je répondis que ce serait avec plaisir que je leur rendrais ce service.

J’arrivais donc chez eux le vendredi soir vers 19 heures, devant dîner avec eux avant leur départ en avion. Je m’étais habillée d’une veste de tailleur et d’une jupe en cuir, le tout recouvrant des sous-vêtements un peu olé-olé et, bien sur un porte-jarretelles et une paire de bas gris fumé. J’adore me vêtir comme ça, imaginant la tête de mes invités s’ils devinaient la nature des vêtements que je porte.

Nous n’étions pas seuls, Il y avait là deux jeunes hommes d’à peine vingt ans que nos hôtes me présentèrent comme étant leurs neveux. Ils se prénommaient Camille et Simon et devaient coucher sur place ce soir, puis repartir le lendemain matin.

Je n’étais pas au bout de mes surprises puisque je vis apparaître dans le salon un énorme dogue allemand qui s’appelait Simba. J’avoue que je fus un peu effrayée par la taille de ce chien mais m’aperçut bien vite qu’il était doux comme un agneau. On ne pouvait toutefois pas ignorer qu’il s’agissait d’un mâle compte tenu de la paire de bourses qui se balançaient entre ses pattes arrière.

Nous nous installâmes dans le salon pour boire l’apéritif. J’étais assise dans un profond canapé en cuir, Camille me faisant face de l’autre côté de la table basse, les Duchavel assis sur les côtés, Simon étant quant à lui parti je ne sais où.

Une conversation mondaine commença, potins, météo, politique, littérature etc… La barbe, quoi !

Au bout de quelques minutes, je m’aperçus que Camille ne parlait pas beaucoup. Levant les yeux, je vis qu’il avait le regard braqué sur mes jambes, essayant certainement de deviner ce qui pouvait se cacher derrière mes genoux serrés. Cette situation un rien perverse me causa un certain émoi. Si ce petit vicieux voulait de rincer l’œil, après tout pourquoi pas, adorant les regards des hommes sur moi.

J’écartais donc discrètement un peu les cuisses tout en continuant à bavarder mollement avec le couple. Je savais ce que Camille devait voir, mes cuisses gainées de soie, les attaches de mon porte-jarretelles et, plus haut, dissimulé par l’ombre de ma jupe, la dentelle du minuscule string recouvrant ma courte toison rousse.

Jetant un œil sur son visage, je vis qu’il était tout rouge d’excitation. Baissant les yeux, je remarquais également qu’il avait posé ses mains en conque sur son entrejambes, sans doute pour dissimuler l’érection qui devait tendre le tissu de son slip. Je me pris à imaginer la taille de sa bite bandée, la couleur de son gland, le velouté de sa peau. Ces pensées m’excitèrent au plus haut point et je sentis ma petite chatte s’humidifier. La mouille se mit à suinter sur mes lèvres chaudes et ouvertes. J’avais très envie de me branler mais cela eut été un peu déplacé en ce lieu..

J’avais aussi envie que Camille me voie encore mieux puisque cela semblait beaucoup lui plaire.

Je me levais et, m’adressant à lui, je lui demandais de m’indiquer l’endroit des toilettes

Il se dressa d’un coup, ce qui me permit de discerner que son pantalon était bosselé au niveau de la braguette ainsi que je l’avais deviné.

Me précédant, il me guida à travers un dédale de couloirs et nous arrivâmes devant la porte des chiottes.

– Attends-moi car sinon je vais me perdre au retour ! Lui indiquais-je

Entrant dans les toilettes, je soulevais ma jupe et enlevait mon string trempé de mon désir. Puis, je posais mes doigts sur mon clito gonflé que je caressais légèrement. Je ne voulais pas me faire jouir mais juste me donner un peu de plaisir, puis je pissais quelques gouttes..

Je mis mon slip dans la poche de ma veste et, tirant la chasse, sortit de la pièce et précisait à l’attention de Camille !

– Laisse-moi un peu d’avance car je voudrais voir si je saurais revenir toute seule jusqu’au salon !
– Ce n’est pas si grand que ça …
– Peut-être mais ça m’amuse !

Et, le plantant là, je m’avançais dans un couloir qui me semblait être le bon. Je savais que Camille me suivait à quelques pas derrière. J’avais ma petite idée derrière la tête. Aussi, profitant d’un angle qui me cachait à ses yeux, je sortis mon slip de ma poche et le laissait tomber à terre. Puis je continuais ma progression et, au bout de quelques minutes, me retrouvais dans le salon où mes hôtes nous attendaient.

Je me réinstallais à ma place, sentant le cuir du canapé sur mes cuisses et sur mes fesses, ayant pris soin, dans un geste discret, de relever ma jupe.

J’attendais avec impatience le retour de Camille. Il arriva rapidement, le visage cramoisi. Sa main droite était dans sa poche. Il s’assit en face de moi et me regarda. Je lui fis un sourire puis baissait les yeux vers mes jambes, l’incitant à fixer son regard sur cet endroit.

Profitant que les Duchavel, accaparés par leur discussion sur leurs projets de week-end, ne fassent pas attention à nous, j’écartais largement les cuisses en avançant le cul au bord du canapé.

Camille avait maintenant une vue imprenable sur mon intimité. Je crus qu’il allait exploser quand il découvrit le spectacle de ma chatte béante, luisante de mouille et d’urine de mes lèvres intimes d’autant plus exposées que j’avais pris soin de couper mes poils.

La mère Duchavel annonça alors que le repas allait être servi et nous nous levâmes, ma jupe retombant en cachant ce que Camille dévorait des yeux.

Une fois à table, Camille en face de moi et Simon installé à ses côtés, le repas se déroula à priori sereinement. Toutefois, j’avais le ventre en feu et ne pensait qu’à me faire enfiler par cet agréable jeune homme. Lui plongeait régulièrement la main dans sa poche puis faisait glisser ses doigts sous ses narines. Je devinais qu’il devait tripoter mon slip dans sa poche afin de recueillir ma bonne odeur de cyprine et de pisse. J’étais complètement ouverte et je coulais avec abondance. Protégée par la longue nappe, j’avais relevé ma jupe le plus haut possible et me touchait régulièrement.

Au milieu du repas, Camille, dans un geste parfaitement conscient, fit tomber quelques petits pois par terre. S’excusant auprès de la mère Duchavel pour sa maladresse, il bredouilla :

– Je vais les ramasser, et, joignant le geste et la parole, il se mit à quatre pattes et se glissa sous la table.

L’esprit d’initiative de ce jeune homme était vraiment surprenant.

Sachant très bien ce qu’il voulait faire, j’écartais mes cuisses au maximum et attendis la suite des évènements.

Je ne fus pas déçue car quelques secondes plus tard, des doigts tremblants se posèrent sur ma jambe et se mirent à progresser rapidement vers ma chatte bouillante. Malhabile, Camille posa sa main sur ma motte, caressant ma toison, tirant mes lèvres et tripotant ma mouille. Il ne faisait pas ça très bien mais j’en tirais quand même un vif plaisir.

Ne pouvant quand même rester sous la table pendant des heures, Camille mit fin à ses caresses, ramassa ses légumes et ressortit de sous la nappe, le visage rouge comme une pivoine. Se rasseyant, il me regarda et me fit un charmant sourire que je lui rendis d’un clin d’œil.

J’avais toujours les jambes écartées lorsque je sentis un souffle chaud sur ma peau. Surprise, je resserrais les jambes quand je sentis la tête du chien entre mes genoux. Il me passa un coup de langue à l’intérieur des cuisses puis, avançant la tête avec puissance, sa truffe vint se poser au beau milieu de ma chatte.

Angela
N’ayant jamais pratiqué ce genre de rapport, bien qu’ayant déjà visionné une vidéo du genre qui m’avait d’ailleurs particulièrement émoustillée, je n’étais pas trop en confiance mais le caractère insolite de la situation ainsi que mon désir de jouir furent les plus forts. J’écartais donc à nouveau les jambes et m’avançait au bord de la chaise le plus possible, les fesses presque dans le vide.

Un frisson me parcourut tout entière lorsque je sentis la large langue râpeuse se posait sur mes muqueuses intimes et commençait à aller et venir. Simba me léchait de l’anus au clito, passant au milieu de mes lèvres écartelées, lapant ma mouille. Le plaisir qu’il me procurait était délicieux. Je m’imaginais à quatre pattes couverte par cet animal. Tachant de rester la plus discrète possible, je me laissais aller à la jouissance en serrant les dents pour ne pas gémir de bonheur.

Je vécus la fin du repas comme dans un rêve, répondant par onomatopées aux différentes réparties des convives.

Enfin, le dîner arriva à son terme, nous débarrassâmes la table et les Duchavel appelèrent un taxi afin de se faire conduire à l’aéroport.

Je n’attendais qu’une chose, leur départ, afin de retrouver Camille et de lui faire l’amour. J’avais envie qu’il me prenne, de sentir ses mains sur ma peau, qu’il me triture les seins, bref qu’il me procure l’orgasme dont j’avais tant besoin après celui procuré par le chien.

Camille et Simon embrassèrent les Duchavel et gagnèrent les chambres d’amis mises à leur disposition.

Dix longues minutes s’écoulèrent avant que nous entendions le taxi arriver et que mes hôtes s’en aillent.

Immédiatement, je me précipitais vers la chambre de Camille. Arrivée devant la porte entrouverte, je l’entendis parler. Je restais près de la porte et tendis l’oreille :

– Si, si c’est une vraie salope ! Je te dis que je lui ai touché la chatte, c’était tout gluant, c’est pas des conneries !
– T’es vraiment sûr de ce que tu racontes parce que si c’est vrai on pourrait peut-être lui demander qu’elle se mette à poil devant nous, et on pourrait se la sauter. Répondit la voix de Simon.

Un gros problème se posait à moi car je m’étais mis dans la tête de me faire baiser par Camille mais Simon ne branchait pas trop..

Si cela n’était pas possible, il me restait la solution de me branler.

Toutefois, mes seuls doigts me semblaient insuffisants à me remplir la chatte comme je le souhaitais. Cédant à une impulsion, je me dirigeais vers la cuisine et trouvait ce qu’il me fallait dans le frigo, à savoir un superbe concombre dont le diamètre et la longueur me semblaient correspondre tout à fait au but fixé, c’est à dire me remplir le vagin au maximum.

Empoignant le légume, je retournais vers ma chambre quand même un peu déçue par ce revirement de situation. Repassant devant la chambre de Camille et n’entendant plus de bruit, je poussais tout doucement la porte et là je n’en crus pas mes yeux. Allongés à poil sur le lit, les deux gars étaient en position de 69 et ils se suçaient mutuellement la bite avec une application digne d’éloges. Camille, qui était au-dessus, avait la queue de son partenaire presque entière dans la bouche ce qui constituait une sorte d’exploit.

La vue de ce spectacle m’excita au plus haut point.

Je poussais résolument la porte d’un coup et leur dit d’un ton sévère :

– Bande de petits dégueulasses, qu’est-ce que vous faites comme cochonneries !
– Pourquoi, ça te choque ?
– Disons que c’est inattendu, mais ça ne me choque pas, ce serait même plutôt excitant.
– Si ça t’excite, continue de regarder Me répondit Camille, tu ne va pas être déçue. Simon mets toi en levrette qu’Angéla mate bien ton petit cul de pédé.

Simon fit ce qu’on lui demandait, et se mit à tortiller du croupion, je pu alors constater que pour un homme il avait décidemment de très jolies feses.

– Maintenant je vais lui foutre ma pine dans le cul ! Reprit Camille. Mais ce qui serait bien c’est que tu me suce un peu avant… comme ça.. pour lubrifier. Mais dis-moi, c’est quoi ce concombre que tu as dans la main.
– C’est pour si j’ai un petit creux ! Plaisantais-je
– Un petit creux dans ta chatte !
– Tout à fait

Me demander de sucer une belle bite, voilà une chose qu’il n’est pas nécessaire de me répéter deux fois. Et j’avançais mon visage vers sa bite.

– Ce serait plus sympa si tu te foutais à poil ! intervint Simon
– Je croyais que vous étiez pédés !
– Non on aime bien les femmes, mais on aime bien les bites aussi !
– D’accord, je vous montre juste mes seins. Asseyez-vous cinq minutes

Mes doigts commencèrent à défaire les boutons de ma veste un par un. Je la retirais et la laissais tomber par terre. Mon torse apparut, ma poitrine encore voilée par la dentelle diaphane de mon soutien-gorge.

Simon serra sa bite de sa main droite et commença à se branler. Chaque mouvement décalottait le gland turgescent. J’étais tellement ouverte qu’un cheval aurait pu me baiser sans que je ne sente rien.

Lançant mes mains derrière mon dos, je défis les attaches du soutien-gorge et le retirais. Je n’ai pas une très forte poitrine mais, par contre, la taille de mes tétons est toujours assez importante. A cet instant et compte tenu de l’excitation que je ressentais, ils avaient atteint la taille de mon petit doigt et me faisaient presque mal de bander autant.

Les deux jeunes hommes poussèrent un soupir à la vue de ce spectacle, Camille se branlant lui aussi.

Je m’approchais du lit et me penchait vers eux, mes seins à quelques centimètres de leurs visages.

– Allez, avant que je remballe la marchandise, je vous autorise à téter un petit peu !

Immédiatement et du même mouvement, leurs bouches vinrent se poser sur moi. Ils se mirent à sucer mes pointes, les excitant encore plus du bout de leurs langues. C’était vraiment délicieux et je crus atteindre l’orgasme rien qu’avec cette caresse.

Je me relevais, les seins mouillés de leur salive.

‘Bon, voilà, vous avez eu ce que vous vouliez. Le spectacle est fini.
– Oh non, s’il te plait, pas encore. Montre-nous le reste

Je m’apprêtais à céder et à leur dévoiler ma chatte lorsque le chien entra dans la pièce. Peut-être était-ce l’odeur de la cyprine qui dégoulinait de ma chatte en feu, toujours est-il qu’il bandait et je pus constater avec ravissement que sa pine était d’une taille qui me plaisait bien. Certes j’avais envie de baiser, mais l’expérience que je pourrais retirer d’un accouplement bestial était aussi très tentant. Et puis après tout j’avais tout le week-end devant moi !

– Bon, je devais sucer une bite, mais je vais peut-être en sucer deux !

Les deux gars se dressèrent immédiatement, exhibant leurs queues gonflées. La poitrine toujours à l’air, je m’assis sur le lit.

– Venez en face de moi. Plus près !

Ils s’avancèrent et je me retrouvais avec leurs glands à hauteur de mon visage.

Levant les mains, je vins empoigner leurs couilles poilues. Quand mes doigts se posèrent sur leur peau, un profond soupir partit de leur poitrine. Mes doigts remontèrent et vinrent s’enrouler autour de leurs sexes durs comme des bouts de bois. Jetant un coup d’œil sur le côté, je vis le chien qui s’était assis sur le derrière. Entre ses pattes arrière, sa bite tressautait, rouge et gonflée. Je devais m’occuper rapidement des deux gars afin de profiter pleinement de cet état d’excitation animale.

Je commençais à branler mes deux partenaires puis, les rapprochant encore de mon visage, mis leurs deux glands sur mes lèvres. Ma langue léchait leur peau satinée tandis que mes doigts serraient leurs verges.

Je me doutais que cela ne durerait pas très longtemps. En effet, au bout de quelques instants, je sentis la bite de Simon se tendre encore plus, annonçant l’arrivée imminente de son plaisir.

Me reculant un peu, je dirigeais son gland vers ma poitrine et accélérait encore ma masturbation. Poussant un cri, il éjacula arrosant à foison mes seins de son sperme tout chaud.

– Vas-y maintenant, Camille encule-le.

Camille pénétra son comparse d’un coup sec. Qu’est-ce que c’est excitant de regarder deux hommes s’enculer, un spectacle que je n’ai pas eu l’occasion de voir si souvent ! Malheureusement il se termina assez vite, Camille vidant son trop plein d’excitation dans le cul de son camarade.

– Vous faites ça souvent ? Demandais-je (curieuse je suis !)
– Ça nous arrive, hier Francis m’a enculé ! Me précise Simon.
– Qui c’est Francis ?
– Monsieur Duchavel. Et pendant que je me faisais enculer, Camille tringlait Monique !
– Monique ?
– Oui, Madame Duchavel !
– Oh, quelle famille !

Sur ces mots, je ramassais mon soutien-gorge et ma veste et, sortant de la pièce, me baissait pour ramasser le concombre et me dirigeait vers la chambre que je devais occuper ce week-end. Je ne souhaitais qu’une chose, c’est que Simba me suive et ne veuille pas rester avec ses maîtres. Mais je pensais que l’état d’excitation dans lequel il était l’inciterait à venir vers moi.

Je ne m’étais pas trompée car j’entendis distinctement le bruit de ses pattes sur la moquette quelques pas derrière moi. Je m’assis sur le rebord du lit, le chien vint vers moi et se mit à l’envers, alors saisit d’une pulsion incontrôlable de lui attrapait la bite et me la fourrait dans la bouche !

Et le Week -end n’est pas terminé.
fin

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Vendredi 28 juin 2024 5 28 /06 /Juin /2024 18:15

Mes vacances avec Séverine par Via512

 FDR

Séverine et moi sommes un couple de 30 ans tous les deux. Nous sommes ensemble depuis 10 mois. Ayant été pris de cours dans l’organisation de nos vacances d’été nous avons décidé, au dernier moment, de partir dans ma famille qui est dans les landes.

J’aime beaucoup y aller mais pour ce qui est de l’intimité, on fait mieux. Mes parents habitent un appartement qui donne sur la mer mais quand tout le monde est là, on se marche un peu dessus.

Après 6 jours de disette forcée, nous commencions Séverine et moi à être sur les dents et en manque de sexe. La seule possibilité qui m’est apparue pour se retrouver seuls est la cave située, fort logiquement, en sous-sol de l’immeuble.

Quand j’ai proposé ça à Séverine elle m’a rit au nez en me précisant qu’elle n’était pas ce genre de fille, à faire ça n’importe où, à « baiser à la va-vite », et que d’ailleurs elle ne baise pas elle fait l’amour et dans une cave ça s’appelle baiser etc… Face à ce refus, je me la suis remise derrière l’oreille et ai ravalé ma frustration.

Si tout se passe bien dans notre couple, je trouve quand même que Séverine, même si elle a un bon appétit sexuel, est très classique et ne se laisse pas assez aller. J’imagine qu’elle peut être bien plus coquine que ce qu’elle a laissé paraître jusque là. La suite des évènements me donna raison.

Deux jours après m’avoir renvoyé dans mes 22, Séverine est venue se coller à moi alors que nous étions entrain de nous baigner. Elle a saisi ma verge à travers mon short de bain et m’a susurré à l’oreille « toujours prêt à me faire visiter la cave ? »

Ne me faisant pas prier, je suis immédiatement sorti de l’eau en essayant de cacher mon érection naissante et deux minutes après mes affaires étaient rangées et j’étais prêt à partir.

Il a fallut que je la rassure sur le chemin du retour car elle avait peur que je la prenne pour une traînée vu qu’on ne se fréquentait pas depuis très longtemps. J’en ai donc profité pour lui dire que je n’attendais qu’une chose, qu’elle se lâche.

« Ok et bien tu vas voir mon petit père » me répondit-elle en riant nerveusement.

Mes parents habitent une résidence landaise de standing et nous avons la chance que la cave soit très spacieuse et très éclairée. Ca ne rend pas les choses trop glauques.

Nous arrivâmes donc à cette fameuse cave, tous deux en maillots de bains et serviettes. Je ne cherchais plus à dissimuler mon érection qui commençait à me faire mal tellement j’étais excité.

La porte fermée, elle se dirigea tout de suite vers un tabouret, me fit face et posa un pied dessus.

– Tu es déjà bien excité mon cochon ! Avant que je ne m’occupe de ta queue, viens vite m’enlever le sel de mer avec la langue.

En disant ça, elle écartait la culotte de son deux pièces d’une main et de l’autre me faisait signe d’approcher.

Là c’est clair qu’elle se lâche, je ne l’ai jamais vu comme ça. Je ne me fis pas prier 2 secondes de plus et je me suis mis à genoux sous elle en tendant ma langue vers son abricot. Je me suis d’abord attaqué au contour des lèvres, puis aux lèvres elles-mêmes que je me suis appliqué à laper. Je suis remonté sur le bouton que j’ai commencé à sucer et aspirer.

– Oui c’est ça mon chéri c’est bien, lèche-moi bien. Nettoie moi bien la chatte de tout ce sel.
– Elle est bonne ta chatte ma chérie, tu es déjà toute trempée.
– Oui, je suis très en manque et tu m’excites tellement.

Séverine s’est, à ce moment là, dégagée les seins de son haut de maillot et commença d’une main à se pincer les tétons pendant que de l’autre elle m’appuyait sur la tête pour que je sois le plus plaqué possible à son bas-ventre.

– Hum mm c’est bon, vas-y mon petit salaud, bouffe-moi bien. Regarde moi dans les yeux pendant que tu me suces le bonbon. Tu aimes ça me bouffer la chatte hein!!!

2 minutes à ce régime où je l’aspirais, la buvais de toutes mes forces puis elle se dégagea.

– Reste à genoux!

Elle se redressa, enleva son bas, me tourna le dos, se pencha en avant en s’appuyant les mains sur le tabouret, jambes droites et écartées.

– Bouffe moi le cul!

Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle n’a effectivement jamais été contre que je lui fasse une feuille de rose mais de là à la réclamer avec tant de force et de conviction, il y a un monde. Effectivement elle se lâchait…

Le temps de penser à tout ça, je suis resté quelques secondes qui ont dû paraître trop longues pour la demoiselle.

– Faut que je t’envoie une invitation? Ecarte moi les fesses et plonge ton visage dans mon cul pour me lécher la rondelle pendant que je me branle.

Ne voulant pas couper ce merveilleux élan, j’ai pris une fesse dans chaque main, je les ai écarté et me suis jeté tête la première, langue conquérante, vers sa petite étoile. Appliqué à la tâche, je ne me décollais de sa lune que pour cracher un peu sur le cratère pour lubrifier tout ça et repartir à la charge.
Pendant que je lui suçais l’arrière train, mademoiselle commençait à se doigter à toute vitesse. Le bruit de clapotis de sa chatte trempée se mêlant à ses gémissements de plus en plus forts.

– Ouuuhhh c’est bon ça, vas-y, dévore moi bien le cul pendant que je me doigte comme une salope.

On va de surprise en surprise, elle qui me disait il y a quelques jours qu’elle ne baisait pas mais faisait l’amour en arrive à se traiter de salope…
Elle se releva comme une furie, les yeux injectés de désir. S’agenouilla à son tour.

– Mets-toi à poils et branle toi sur mon visage, je veux sentir ta bite collée à ma joue.

Aussitôt demandé, aussitôt fait, le short de bain a valsé et a pu enfin laissé respirer ma bite bien trop à l’étroit vu comme elle était tendue. C’est moi qui, à présent, est debout un pied sur le tabouret et trop heureux de pouvoir enfin me prendre le membre à pleine main.

Séverine me prend les couilles d’une main, de l’autre, continue de se branler tout en se collant le visage sur ma queue que j’astique énergiquement.

La voir ainsi a été un spectacle renversant pour moi, elle était magnifique avec cette soif de sexe dans tout le corps. Cette pulsion bestiale qui la poussait à être, comme elle le disait elle même, si salope.

– Alors petite cochonne, t’aime ça que je me branle sur toi pendant que tu te doigtes ? Quelle belle salope tu fais avec cette bite collée à ton visage qui n’attend que de te baiser !
– Oui, je vais bien l’exciter cette bite pour qu’elle me baise bien à fond. Je vais lui avaler les copines déjà, elle aime bien.

Joignant les gestes à la parole elle se mis à me lécher les couilles pour ensuite les gober l’une après l’autre en les aspirant bien à fond à chaque fois. Elle glissa également sa main libre entre mes fesses et je sentis très vite son index jouer avec mon étoile

– T’aimes ça quand je joue avec ton cul hein mon salaud! Dit-elle entre deux gobages de bourses.
– Vas-y ma salope, éclate toi avec mon cul, doigte moi.

Il ne fallut pas plus pour que cette cochonne enfonce d’un coup sec son majeur en moi et commence à le remuer au rythme de sa propre masturbation. Je bandais de plus belle.

A mon tour je décidais de me lâcher complet. Je me libérai de son emprise. Je me mis sur le dos, passa mes bras derrière mes genoux, pour m’arrondir la croupe au maximum et présenta à Séverine mon derrière poilu.

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– A toi de me bouffer le cul salope.
– Hum mm tu aimerais ça mon gros cochon hein! Tu veux que je te le salive ton petit anneau hein…

Elle se mis au dessus de moi et se mis à me lécher le trou tout en me branlant d’une main. Jamais on ne me l’avait fait et j’ai de suite adoré.

Séverine alternait, quand elle me léchait le cul elle se doigtait et quand elle arrêtait elle M’enculait avec ses doigts trempés de sa cyprine.

– C’est que je peux mettre deux doigts dans ton petit cul mon cochon. C’est toi la petite salope. Fais moi penser à acheter un gode ceinture que je t’encule comme tu le mérites.
– C’est comme ça que je te veux ma Séverine, une vraie salope assoiffée de sexe.
– Mais c’est comme ça que tu m’auras, maintenant que tu as enlevé le couvercle ne crois pas pouvoir refermer la boîte si facilement. En attendant viens me baiser comme une chienne, je n’en peux plus il faut que je jouisses.

Elle se plaça à 4 pattes en tendant la croupe vers moi. Je l’ai enfilé d’un coup sec, elle était tellement humide que ça ne posa pas de problème. Il ne fallut pas que je la lime beaucoup avant que Séverine explose.

– Oh putain oui défonce moi vas-y. Mets moi des grands coups de bite. AHHHH j’aime oui, vas-y baise moi.

Elle se faisait d’une gourmandise sexuelle impressionnante et c’est dans un énorme râle qu’elle eu un orgasme violent. Il ne m’en fallait pas d’avantage pour moi-même vouloir libérer toute cette tension.

Juste le temps pour moi d’entendre Séverine me demander de lui éjaculer sur le cul pour pouvoir satisfaire sa demande.

Enfin c’est vite dit car j’ai plus envoyé dans tous les sens que sur son cul, trop d’excitation rend le contrôle difficile…

Nous avons remis nos maillots et sommes remontés à l’appartement, heureux de cette partie de jambes en l’air et également heureux de nous être découverts un peu plus.

Je savais bien que Séverine était plus coquine que ce qu’elle laissait paraître jusque là.

La suite des vacances me le confirma mais ça, ça sera l’occasion d’autres épisodes de nos aventures.

Via512

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Vendredi 21 juin 2024 5 21 /06 /Juin /2024 19:58

Dimanche matin par Ramal45

scat

Dimanche matin. La lumière blafarde d’hiver filtre à travers les rideaux de la chambre. Brigitte ouvre un œil. Il fait bon, on est bien. On va bouger mais pas tout de suite. On savoure ce réveil langoureux. Emmanuel à ses côtés dort encore. Puis Brigitte se décide, se lève doucement, s’étire, puis se dirige vers la salle de bain en se grattant une fesse. Elle s’assoit machinalement sur la cuvette des toilettes pour le pipi du matin. Elle repense à la soirée ratée de la veille, avec un couple échangiste débutant. La dame était plutôt partante mais lui était complétement coincé, sans doute là pour faire plaisir à sa belle. En tous cas, impossible d’aborder les  » sexualités alternatives  » comme on dit chez Vassilia. Et Brigitte n’avait pu rien obtenir d’intéressant du monsieur.

Dimanche matin, ce pourrait être un matin coquin, quand on n’a que ça à faire, pour compenser. Elle décide donc de garder son envie, on ne sait jamais, en attendant le réveil de son chéri. Entamant, en attendant, une masturbation discrète, elle constate une fois de plus que c’est encore plus jouissif avec une envie retenue… C’est alors qu’apparait Emmanuel dans l’encadrement de la porte :

– B’jour… T’en as pour longtemps ?

(On ne saura pas s’il parlait du pipi ou du titillement de clito !). Contrairement à Brigitte qui dort nue, Emmanuel a toujours un pantalon de pyjama, vieille habitude de garçon, et qui, dans le cas présent, fait apparaitre une érection matinale plutôt voyante… Brigitte s’en apercevant lui dit :

– Mon pauvre chéri, je ne vais pas te laisser dans cet état, allez amène-toi !

Il ne fait pas prier, Brigitte alors saisit la culotte de chaque côté et l’abaisse lentement, au passage de l’élastique le pénis bondit au dehors comme un ressort en faisant quelques oscillations. Qu’elle arrête en le gobant de sa belle bouche. Elle entame alors une fellation d’enfer dont elle a le secret. Ses douces lèvres en anneau glissent jusqu’à la base de la hampe puis reviennent, elle le décalotte en s’aidant de ses dents, celles-ci prenant le relais des lèvres pour un léger labour puis revient. Répété plusieurs fois ce traitement fait rapidement effet et la rigidité matinale s’affirme en belle raideur qu’elle saisit ensuite d’une de ses mains pour entamer une branlette progressive, l’autre empoignant vigoureusement les testicules pour les malaxer, les faire rouler l’une avec l’autre. Brigitte a des mains magnifiques, longues et blanches, équipées d’ongles longs et pointus. Tout en continuant de taquiner le gland et le méat avec sa langue et ses lèvres, elle commence alors un jeu diabolique en caressant puis griffant légèrement en alternance la peau de ce membre en attente de jouissance. Elle peaufine, Brijou, elle s’active, elle prend son temps, du grand art, Montant en excitation, elle terminera ce manège en accentuant les griffes et en plantant la pointe de ses ongles à la base des couilles : la douleur occasionnée est absolument délicieuse et fait gémir Manu au bord de l’explosion !

– Alors mon chéri es-tu à même de me donner un acompte sur mon petit déjeuner ?

A son air hébété et dans un état second, elle comprend qu’il faut qu’elle achève le travail. Alors elle accélère le rythme de ses va-et-vient et ouvre ses lèvres carmin devant le méat de la bite tendue vers elle. L’instant d’attente qui précède l’éjaculation provoque une grande excitation, de même que dans les jeux d’uro l’arrivée de l’urine…

Malheureusement (si l’on peut dire !) Manu est tellement excité qu’au moment de la jouissance, empêtré avec sa culotte aux pieds, il perd l’équilibre… Et les jets puissants qui concluent cette séance torride bien que matinale ratent leur destination et arrosent copieusement le visage de Brigitte, trois belles trainées blanches dont une atteint jusqu’à sa blonde chevelure.

– Ah bravo ! s’écrit Brigitte qui n’aimait pas trop l’  » éjac faciale  » qui fait la une des sites pornos. Mais bon, elle n’en veut pas à Manu surtout que c’est la preuve qu’elle avait bien travaillé…
– Bon bah il va falloir me nettoyer tout ça, allez biquet, sors-moi ton karcher !

Manu savait qu’elle saurait tirer parti de l’incident pour continuer sur des jeux érotiques raffinés. Il rectifie donc la position, quitte définitivement le pyjama, et à présent parfaitement réveillé se tient prêt aux caprices de l’épouse…

Son sexe encore tendu il se concentre pour passer le relais à sa vessie. Toujours assise sur la cuvette des WC, elle fixe le méat devant elle déjà excitée dans l’attente de l’arrosage. L’excitation grandit le temps d’attendre un peu de débandage pour que le jet s’annonce, puissant de son envie du matin. Et c’est la fête humide ! Après en avoir bu un peu elle prend ce sexe arroseur, ferme les yeux et le fait balayer sur son visage. C’est chaud et délicieux, l’urine nettoyeuse coule entrainant les giclées de sperme et le mélange dont elle lape quelques gouttes en passant retombe sur ses seins, puis ruisselle entre ses cuisses qu’elle écarte pour s’en mouiller la vulve…

Dimanche

Manu ce coup-ci complétement réveillé voit bien qu’il reste du sperme dans ses cheveux.

– Attend ma chérie, je vais te faire un champoing !

Alors il se retient et monte derrière elle les deux pieds sur la cuvette. Ainsi il peut poser son pénis, un peu ramolli, sur la tête de Brigitte.

– Oui mon chéri, inonde-moi encore, c’est bon et c’est chaud !

Alors il se concentre pour reprendre son arrosage…  » Ah ! Ça revient… ouiii…mmmh…. « . Un jet moins puissant répand la pisse sur la chevelure de la belle et s’écoule le long de ses joues puis sur ses épaules. Mais les traces de sperme sont bien accrochées aux cheveux et elle s’en aperçoit dans le miroir en face, alors que l’envie se tarit de plus en plus !

– Bon si je comprends bien, il faut que je termine le travail moi-même !

Sur ces paroles de reproche ironique, elle se lève, lui roule un patin d’enfer, puis vient se mettre en position de poirier le long du mur de la salle de bain à l’italienne, bien pratique pour les jeux humides ! Elle bascule le bassin en s’aidant de ses jambes écartées, offrant sa chatte à son visage. Manu comprend de suite et vient se placer au-dessus de sa chérie pour ne rien perdre du spectacle. Il se penche, le nez presque sur les lèvres de la fente aux délices, fasciné dans l’attente de la sortie dorée. Brigitte peut enfin se libérer de son envie retenue depuis son réveil, celle-ci arrive, se fait désirer puis c’est une cascade champagnisée qui déferle sur le visage de la belle qui en prend quelques lampée. L’expulsion est tellement forte qu’elle n’a pas besoin d’une longue masturbation simultanée pour exploser en même d’un orgasme fulgurant ! Quant à lui, après avoir mis sa langue pour quelques rasades, il se redresse et place sa bite dans le jet, ce qui a eu pour effet de lui redonner petit à petit de la vigueur. Le spectacle l’a excité et il commence à se masturber, Brigitte s’amuse à regarder juste au-dessus d’elle la valse de ses testicules…

Et puis son visage prend une expression concentré, et elle s’écrit :

– Oh mon chéri, je crois que j’ai une surprise pour toi !

Alors elle rectifie sa position en agrippant les chevilles de Manu placées de chaque côté de ses épaules, bascule d’avantage ses jambes et son bassin de façon à cette fois-ci présenter son anus puis se met à pousser. Lui comprend et ne veut rien perdre de cette nouvelle séquence tout en continuant sa branlette. C’est alors qu’un joli étron pointe son nez, monte progressivement, puis commence à se courber, se brise et roule sur le ventre pour atterrir entre les beaux seins. Puis la suite de la défécation se poursuit, plus mole et se répand jusque dans son cou en laissant les traces de son passage, maculant ce beau corps blanc. Manu les yeux exorbités sent monter son excitation, accélère sa masturbation et envoie une bonne giclée de sperme sur les matières brunâtres qui continuent de glisser et que Brigitte commence à étaler sur son buste et ses seins. Ah les amis cette matinée, c’est vraiment la totale !

Pourtant, Brigitte souhaite en rajouter un peu et demande à son cher et tendre :

– Et moi chéri, tu n’as pas une surprise pour moi ?

Manu comprend qu’il doit s’exécuter à son tour, s’accroupit ce qui permet à Brigitte de lui lécher la zone anale. L’attente du cadeau marital fait monter son excitation alors que lui commence à pousser pour rendre la pareille à sa belle, il lui devait bien ça après ce dimanche matin d’enfer. Le temps passe, et toujours rien ne se pointe, Brigitte ose un doigt, puis deux pour inspecter les lieux et voir si quelque chose s’annonce… Enfin, avec un long râle d’effort, il sent qu’il va délivrer… ça y est !… mais ne sort finalement qu’une petite crotte, que Brigitte reçoit…

…sur le nez !

Un beau dimanche matin, quand même…

– Ramal45 –

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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