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Mardi 20 août 2024 2 20 /08 /Août /2024 22:27


Les Chiens des Brooks par le_marquis_de_Chair 

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Les Chiens des Brooks

Jennifer et Stan Brooks, couple d’anglais Aristocrates de belle lignée avait acheté un Manoir en France où ils recevaient bon nombre de leurs Amis de qualité auxquels nous avions l’honneur d’appartenir.

La Comtesse et le Comte adoraient les chiens et possédaient huit magnifiques Labradors, quatre noirs aux poils luisants et quatre « yellow », des animaux puissants, affectueux, aimant à être câlinés et caressés et, ma foi, si bien montés, qu’ils savaient faire office d’Amants de qualité auprès de quelques Dames venant là visiter nos deux Châtelains et sachant là trouver apaisement à leurs désirs les plus inavouables. C’est que ces chiens n’avaient jamais couverts de chiennes, ignorant la chair animale et ne connaissaient donc que les intimes chairs des femmes qu’ils semblaient apprécier tout particulièrement et c’était là des joutes sans fin laissant apaisées, mais épuisées les belle visiteuses de ce Manoir particulier. Ces bien secrètes pratiques et ces rendez-vous – qui avaient lieu une fois par mois – proposaient des accouplements qu’on eût dit « hors nature » mais qui n’en étaient pas moins appréciés dans leurs révélations charnelles par ces quelques belles Oiselles à la recherche de nouvelles sensations ! Toilettés, entretenus, bien nourris, nos huit beaux « monteurs » ô combien puissants et affectueux, contentaient donc ces Dames qui se faisaient allègrement chevaucher et prendre sans pudeur en un feutré salon par ces endurants et ardents canidés.

Dès l’arrivée des invitées, les chiens leur faisaient fête, ce n’était que léchées, aboiements de bonheur, les chiens sentant bien là de bonnes chairs féminines aux muscs et parfums qui les excitaient au plus haut point. Ainsi, un chien choisissait-il sa « cavalière » et ne la quittait plus, battant de la queue, geignant de plaisir, implorant ou insistant, une patte posée sur quelque genou, affectueux à l’excès, griffant un bas, bandant déjà de belle manière, prêt à tous les ébats. Ces Dames, toutes troublées, les joues roses de plaisir caressaient alors la tête de l’animal, flattaient ses flancs, se laissaient embrasser sur la bouche, dans une ronde d’amour et de séduction des plus révélatrice des envies de chacune… Une main fine et longue pouvait aussi se risquer à quelque caresse appuyée vers le sexe, le saisissant entre les doigts, le pinçant joliment, allant même jusqu’à le décalotter finement, épousant de la paume les belles couilles rondes, chaudes et battantes, une sorte d’appréciation de la virilité… L’on allait même souvent jusqu’à feller avidement quelque sexe rose et long, bien tendu, appréciant ainsi avant les ébats celui qui serait un parfait chevaucheur. Le chien alors commençait à haleter, se faisant plus pressant et c’est alors que l’on passait au Salon pour des choses plus sérieuses que je me propose de vous conter ici…

Les Châtelains eux-mêmes appréciaient et partageaient ces réunions, très actifs dans le déroulement des opérations. Chacune des visiteuses se mettait en place, ne conservant que bas et porte-jarretelles ou encore jarretières, excitantes à souhait, féminines, délicatement parfumées, bref excitantes ; les chiens alors devenaient comme fous et allaient de l’une à l’autre, choisissant celles qu’ils voudraient monter… Car ils avaient leurs habitudes et leurs choix, bien que variés, revenaient souvent à quelque habituée, plus vicieuse qu’une autre, offrant des postures, douée d’initiative perverse dans la recherche du plaisir avec l’animal, se prostituant à lui, tout en ne délaissant point le sexe de quelque bel homme bien fait qui, entre deux saillies des canidés venait prendre à son tour son plaisir… Cela agrémentait de belle manière les échanges et l’on pouvait ainsi rester quelques deux ou trois heures en un salon clos à multiplier les accouplements. A l’issue de ces longs égarements charnels, une belle table était servie et les convives pouvaient se restaurer et reprendre des forces après de telles prolongées joutées.

L’on pouvait retrouver en ce salon, de belles adeptes de ces pratiques : la belle et brune, autant que piquante Nicole d’Engerrey, Chantal de Cyrignac, une Servante même, la « Lieutenante », la Châtelaine elle-même, fervente zoophile, faisant preuve de belles initiatives en de telles occasions, vicieuse, perverse, recherchant le plaisir sous toutes ses formes. Une belle femme un peu sèche, mince, petite poitrine, jolies fesses fermes et nerveuses, mollets aguichants, taille de mannequin en dépit de ses cinquante ans passés… Toujours bien coiffée, la classe et la distinction émanaient d’elle, une vraie noble. Elle portait souvent de hauts bas noirs ceints de jarretières rouges finement brodées. Ses joues creusées, les rides harmonieuses de son visage, ses longs doigts caressants, contribuaient à lui donner l’aspect d’une sorte de « Prêtresse » fiévreuse appréciant autant la femme que l’homme auxquels elle prodiguait les mêmes caresses fébriles avec à la fois un calme ordonné qui en imposait à ses… « Sujets ». Car chacune et chacun de ses adeptes était « son » Sujet… Une Passionnée ! Mince, élancée, « Prêtresse » absolue ». Nue. Femme. Caresseuse. Masculin-féminin unis au vice.

Le Marquis, Stan, son époux, était de bonne lignée, avait une belle prestance, perruque blanche, finement poudrée, habits finement brodés, dentelles, jabot, grande tenue et maintien, cape. De conversation recherchée, il souriait, séduisait…

Son épouse et lui-même parlaient très bien le français, mais avec une petite pointe d’accent qui ne leur donnait que plus de charme et d’allure.

Cet après-midi-là, nous étions arrivés, la Marquise et moi-même, très impatients de goûter à de tels plaisirs que nous avions déjà découverts en compagnie de nos bons Amis, Nicole et Albin d’Engerrey, chez eux dans leur propriété en bord de Loire. Vous souvenez-vous de mon récit «Le Grand Boudoir aux lévriers » et de leur chien « Uranus » ? Il ne manquait là que la belle Valérie de Versanges, zoophile confirmée et d’une grande beauté, hautaine, distinguée, très sensuelle, toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et expériences sensuelles autant que sexuelles…Nous avons d’ailleurs plus tard porté un toast à cette belle Amie et déploré son absence lors de telles agapes et folies partagées. Je dois avouer que j’étais attiré par cette femme (Françoise, ma Mie le savait et aimait à me voir prendre du plaisir à l’aimer et à l’honorer au cours de nos soirées particulières), mais les autres de nos Dames présentes ne manquaient point de charme, ni de talents cachés toujours susceptibles de nous séduire.

Jennifer Brooks nous fit servir des rafraîchissements et en fort gente compagnie, nous gagnâmes le salon. Etaient présents Albin , époux de Nicole, Chantal et Marcus de Cyrignac, Jennifer et Stan et l’une de leurs domestiques mince, discrète, attentive, brûlante, aux sens aiguisés et qui, paraît-il, se révélait être très experte dans les relations femme-chiens… moi-même et bien sûr, nos quatre premiers Labradors intervenants qui montraient déjà de l’impatience… Il y avait donc quatre femmes, quatre hommes et quatre merveilleux « étalons » canins pour la première partie de ces ébats… Nous prîmes place.

Comme ces femmes étaient belles, dans l’attente de plaisirs inavoués ! Je voyais leur image se refléter en des psychés où tremblaient des chandelles disposées de manière à ce qu’elles éclairassent les participants dans la demi-obscurité, les ouvertures étant déjà bien calfeutrées en cette fin d’après-midi. Jennifer, grande prêtresse de ces réunions secrètes, était assistée de sa « lieutenante » Ninon, la servante, toute dévouée à cette belle femme aux mœurs très coquines et dont elle était la complice en des jeux de Sappho auxquels nous savions qu’elles s’adonnaient toutes deux…

Il faut dire que la Servante était magnifique, des plus désirables, possédant même un port de tête digne de quelque Aristocrate qui aurait « fauté » avec quelque Marquise ! Jennifer et Ninon distribuèrent les « rôles » : Nicole et Françoise se gouineraient, excitant les chiens par leurs poses alanguies, tandis que Chantal se ferait ensuite monter par le premier des canidés, Jennifer et Ninon s’adonnant à leurs vices préférés en vue d’exciter les coquins que nous étions…

Nicole et ma femme, tendrement engouinées, se caressaient fiévreusement et à chaque fois je ne pouvais résister au plaisir de les contempler, cela m’excitait et je commençais à bander ; mais je bandai encore plus, quand j’aperçus Chantal, cuisses ouvertes qui offrait son beau sexe bien fourni à la langue du premier Labrador qui ne se gênait point pour la lutiner d’une langue longue, divinement rosée qui humectait les poils bruns et frisés de sa chatte… Albin et Marcus se branlaient en cadence ne quittant pas des yeux Jennifer et sa belle gouine de servante qui l’enchâssait… Stan se joignit à eux, partageraient-ils à trois les deux femmes ? Chantal caressait le chien qui léchait toujours son sexe, enfouinant sa belle langue au plus profond de la fendine que notre divine pécheresse s’employait à écarter généreusement ; le chien bandait de plus belle et devint exigeant, voulant à présent la monter sans tarder… Chantal ouvrit bien les jambes et là, magnifiquement écartelée, dirigea le long sexe vers le centre de son plaisir, ce corail rose magnifique : le chien la pénétra rageusement, elle poussa un petit cri et fut envitée au plus profond… Le trot se fit, ses hanches s’agitaient, le chien la dominait, museau tendu dans son cou, langue tirée, il pénétrait cette belle femme avec l’ardeur d’un humain, quel Amant ! Chantal se mit à geindre, écartant plus encore les cuisses, jambes en l’air, offerte, impudique, splendide vicieuse ne cachant pas ses penchants… Elle maintenait à bras le corps l’animal contre elle, se tendait, s’offrait, remuait des reins, baisée en bouche par l’animal qui allait jouir, cela se lisait sur son faciès, les babines se dilatant, crocs apparents ; les halètements se faisant plus pressés…IL JOUIT !!

Je me dis que je voudrais prendre Chantal aussitôt après, être dans le bon foutre chaud de l’animal, aller et venir en ce joli con qu’elle avait si bellement abandonné à son canin d’Amant… Le chien dégonfla, les flancs haletants, sa belle bite sortit de sa cache, mouilla un peu plus les poils et retomba, pendante, mais encore raide, laissant couler un trop-plein de foutre sur le parquet…

Je m’approchai de Chantal encore essoufflée, pâle, mais comblée dans son vice ; elle me sourit et me tendit les bras… Je m’agenouillai, pointai mon vitin vers ce sexe baillant, foutré de blanc, excitant, désirable et je pris la place du chien… Je m’enfouinai prestement et glissai délicieusement dans les humeurs canines, pour gagner le fond du con, à la mottine si généreusement tendue… Chantal m’attira étroitement contre elle et murmura : « Baisez-moi à votre tour, mon bon Armand, ce chien m’a épuisée, mais j’en veux encore, ne savez-vous point que je suis gourmande ?! ». Je la besognai sans compter, elle cria, croisa ses jambes sur mes reins, j’étais à fond en elle, ses bas blancs bellement jarretés, crissaient au plus fort en va et vient répétés, je défoutai, quelle belle débauchée j’avais là enfilée !

Une Amante de qualité, très vicieuse et cochonne à souhait…

Nicole était fermement montée par un des Labradors, ne lui laissant aucun répit, il jouit par deux fois en elle et puis, ce fut le tour de Françoise, ma Belle qui fut mise pareillement, mais qui ayant tendu son cul, fut ainsi prise analement aussitôt après et de belle façon par le chien sodomite, se comportant bien en cette position et sachant se montrer vraiment très endurant et persuasif à la façon qu’il avait de maintenir fermement ses hanches entre ses pattes! Jennifer était enculée par Albin, tandis que Marcus étendu sous la Servante la prenait à coups répétés, Stan prenant la « Lieutenante » en cul en même temps… Trois corps au paroxysme de l’excitation… Jennifer, sodomisée, geignait ; l’un des Labradors venait lécher le gros sexe et les couilles d’Albin qui besognait le petit anus dilaté de la « Maîtresse de Cérémonie » au comble de la jouissance…

Stan ayant déculé de la Servante, je pris sa place, l’on me reçut et le cul à nouveau s’agita au long de cette nouvelle pine qui venait le fouiller… Quelle ivresse ! Au-dessous, Marcus reprenait de l’élan et sans doute stimulé par le nouveau baiseur de sa partenaire, donnait de superbes coups de boutoir à son con qui allait et venait sur sa pine gonflée, tandis que je m’enfouignais toujours dans ce cul avec délice… Je ne pus m’empêcher de griffer les bas et jarretelles de cette « gueuse » que je maintenais fermement par les hanches, leur imprimant le trot de mon vit qui s’accordait parfaitement avec celui de Marcus en dessous.

Nicole et Françoise se laissaient encore monter par les chiens, folles de plaisir ; l’un des Labrador poursuivait son office dans le petit cul de ma femme qui geignait comme une folle, maintenant les pattes avant de son monteur pour le bien sentir en elle et qu’il ne s’écartât point… De fait, le chien l’enculait-il bel et bien, comme un humain l’aurait fait ! Je jouis dans le cul de la Servante qui me gratifia d’un immense et ultime coup de séant, ses rondes fesses atteignant mes couilles ; Marcus jouit à son tour… Nous restâmes ainsi tous les trois agglutinés, haletants, comblés…

Après une toilette en bonne et due forme, Jennifer nous convia à prendre une coupe de champagne en un petit salon attenant. Les mines étaient épanouies, bien que présentant des cernes révélateurs et les joues pâles de nos jouteurs attestaient de l’intensité et de la fréquence de leurs jouissances. Ces Dames, en bas et porte-jarretelles, les petits seins conquérants, les croupes rebondies, l’œil brillant (le champagne ?) attendant sans doute encore d’autres plaisirs, riant, s’enlaçant, se donnant de petits baisers prometteurs… Les chiens, vedettes tout de même de la soirée, arpentaient le salon, allant des unes aux autres, la queue battante, la langue lécheuse sur un mollet ou une cuisse à leur portée…

Jennifer annonça une nouvelle « figure » dans nos ébats et nous la décrivit…

« Chères Dames, mes Amours, cette scène nous allons la jouer toutes ensemble, vous mes bons Seigneurs serez spectateurs, mais après, je vous le promets, vous saurez être récompensés… ». Sur une couche large et confortable, confectionnée par deux Servantes (non participantes) et disposée au centre du grand salon où nous avions déjà exercé nos talents, ces Dames allaient nous offrir leurs jeux les plus osés, uniquement entre elles et avec les chiens, seul Eros, Sappho et la gent canine en seraient les exécutants…

Zoo R224L’Orgie canine

Disposées en étoile, jambes écartées, superbement nues et abandonnées, tête contre tête, nos compagnes s’offraient à nos yeux ; leurs superbes ventres offerts à nos regards, nantis de leurs jolis petits touffins bruns, blonds fournis ou moins fournis, leurs fines cuisses gainées de bas noirs, rouges, blancs ou gris-bleus, jarretelles ou jarretières très coquines, les seins hauts dressés, aréoles dilatées par le proximité du plaisir et l’attente des ébats… Comme elles étaient belles nos compagnes, ainsi livrées, sens et chairs aux aguets, l’émoi jusqu’au bout de leurs tétons, le souffle court, aux abois, telles des biches qui attendaient…

C’est à cet instant que deux servantes entrèrent, tenant en laisse quatre autres magnifiques canidés, Labradors également de couleur « yellow », à l’échine nerveuse, bien pourvus, de beaux mâles canins certainement très performants ! Nous applaudîmes à l’entrée de ces merveilleux spécimens. De nouveaux officiants qui allaient prendre la relève des précédents, car il fallait bien que les bêtes prissent un peu de repos après tant d’ardeurs et de performances !

Ces nouveaux arrivants ayant pleines forces, furent donc introduits, jappant, queue battante, prêts à se produire en…l’Arène du Sexe ! Ces quatre nouveaux compagnons quadrupèdes haletaient, langues tirées, impatients, sentant bien ce qu’on attendait d’eux et flairant les belles chairs nues de ces Dames… L’ambiance était excitante et nous, les époux, étions très attentifs à ce qui allait se dérouler, là, sous nos yeux, nous les libertins-Maistres-queues qui voulions toujours jouir ! Les chiens s’approchèrent, firent connaissance avec les officiantes, les flairèrent, leurs halètements s’accélèrent, leurs flancs battirent un peu plus vite et leurs sexes semblaient traduire déjà leurs envies de beaux mâles, se dressant doucement, balançant, roses ou rouges, tantôt violacés, congestionnés par le désir, respirant les muscs intimes de ces femmes ainsi offertes… Nos épouses caressaient à présent ces quatre frémissants Amants, flattant leurs flancs, enserrant leur col, tendant même leurs bouches à ces langues tirées, leur parlant voluptueusement pour leur donner toute confiance et que les saillies à venir se passent de la meilleure façon pour elles et leurs partenaires-chiens… Elles les caressaient plus intimement, comme elles l’avaient fait envers les précédents jouteurs, afin de les mieux mettre en condition – si tant est qu’ils en eussent besoin, certains montrant déjà toutes leurs…possibilités ! Une caresse de la paume sur un gland dressé, une main caresseuse sur les parties rondes et généreuses, un baiser sur le membre tendu, une petite fellation à peine esquissée…les chiens geignaient, léchaient, se tortillaient, impatients…

Impatients, nous l’étions aussi ! Nous connaissions certes les talents amoureux de nos Chères Epouses et leurs ardeurs à satisfaire leurs vices tout autant que les nôtres, mais de telles Amours canines n’étaient pas chose courante et l’humeur autant que le bon contact et la bonne approche avec l’animal n’étaient pas à dédaigner.

Les chiens à présent s’employaient à licher profondément les belles touffines, écartant, lissant, humectant les soies brunes ou blondes offertes à leurs convoitises… Françoise se livrait à une savante masturbation de l’animal, tandis qu’il la léchait au plus profond de son sexe. Elle était belle ainsi, recalottant, décalottant le sexe dur du chien dressé au-dessus d’elle ; Nicole, enfouinée par une langue fureteuse geignait doucement en se pinçant les seins ; Chantal de Cyrignac, se livrait elle à une magnifique fellation du membre de son cavalier canin qui, pattes arrières écartées, se laissait sucer jusqu’aux bourses, la Belle engoulant le vit canin jusqu’au fond de sa gorge. Jennifer prenait des poses fort suggestives, ainsi le chien la léchait-il abondamment, tour à tour en chatte, en cul, sur les seins, la bouche, la belle zoophile murmurant des mots osés à cet ardent canidé, l’encourageant à la bien fouiner de partout… Françoise maintenant, étendue sur Nicole, ondulait lentement sur son ventre, vulve à vulve, unissant sans doute leurs clitoris en une étreinte des plus excitantes ; un chien vint se placer sur les belles fesses de ma femme et commença à les chevaucher, le vit bien dardé cherchant le sillon fessier… Mon épouse passa ses mains sous le chien, saisit son long sexe et, s’étant écarté les fesses, le guida vers l’anneau convoité par l’animal ; celui-ci hésita, poussa et enfigna le derrière qu’il besogna d’une belle ardeur… Je voyais l’animal la couvrir, pattes arrières écartées, couilles dansantes sur le sillon, tenant sa taille entre ses pattes avant, exigeant, possessif, le museau entre ses omoplates, bavant déjà de plaisir… Les deux femmes jouissaient, Nicole de sentir la chatte de mon épouse frétiller contre son petit con et Françoise goûtant là une double jouissance, celle de son Amie sous elle et la chaleur du chien sur elle qui possédait son petit cul à longs et répétés coups de bite… Un autre chien montait ardemment Chantal de Cyrignac qui, cuisses ouvertes, tendue vers l’animal, se donnait entièrement à lui dans un abandon lascif, terriblement sensuel, la truffe entre ses seins, buvant littéralement les halètements de l’animal en train de la posséder profondément ; cris, plaintes, râles montaient de cette couche comme vouée à Satan, des femmes décoiffées, livides, jurantes, aux voix mourantes de jouisseuses qui n’en finissaient plus de se laisser monter, la semence coulant en hiéroglyphes sulfureux et blanchâtres sur les draps blancs, froissés et refroissés par les croupes dansantes et les pattes des animaux au paroxysme de l’excitation… Jennifer et sa Lieutenante partageaient le même chien qui les montait l’une après l’autre, insatiable, le sexe toujours bandé, la bête réclamant sans cesse un peu plus d’amour féminin et de chairs humides qu’il léchait avidement après chaque saillie…

Deux Servantes qui n’officiaient pas habituellement aux dires de Jennifer avaient été cependant désignées pour assouvir nos désirs à nous les maris, contemplatifs, assistant aux accouplements successifs de leurs épouses avec ces beaux « monteurs » canins… Tour à tour, ces deux jeunes femmes, belles, soumises, expertes, filles de la campagne, rudes, mais caressantes au demeurant, s’employèrent à nous bien feller, s’enivrant de nos foutres qu’elles faisaient jaillir sur leurs lèvres licheuses et leurs langues dansantes…

A l’issue de chacune des fellations, elles recueillirent en une coupe, nos foutres qu’elles mêlèrent ensuite à ce beau champagne blond pétillant qu’elles y versèrent ; puis, elles en intervertirent l’ordre et les tendirent à chacune de nos épouses : aucune d’entre elles ne sut à qui appartenait le foutre absorbé…d’où un grand mystère aphrodisiaque… Et ayant ainsi satisfait pleinement nos sens à tous les quatre, essoufflées, elles nettoyèrent nos sexes, nos bourses, léchant nos poils poisseux et nos fossés anaux, véritables fouilleuses ne nous laissant aucun répit… Un peu plus tard, l’une d’entre elles fut prise en même temps par Albin et moi-même, tandis que Stan et Marcus se partageaient aussi les faveurs de l’autre, de devant comme de derrière en alternance… De beaux trots qui arrachaient des plaintes lancinantes qui montaient au milieu de notre aéropage, nos ombres s’agitant, démentes, sur les épaisses tentures qui étouffaient les cris de ces filles en rut.

L’orgie ne prit fin que vers les deux heures du matin. Jennifer et Stan donnèrent des ordres, afin que des bains nous soient accordés en deux grandes salles de bains dignes d’un Versailles, nous y purifiâmes nos chairs dans une apaisante atmosphère parfumée, douce et paisible, puis nous nous vêtîmes et, ayant retrouvé une tenue plus aristocratique, nous rejoignîmes le grand salon où champagne et souper nous furent convivialement offerts. Nos épouses, bien que lasses, étaient si belles, le champagne illuminant leurs yeux cernés où se lisait une plénitude entière après autant d’excès, chacune d’entre elles serrant sur son sein une rose rouge comme un cœur refermé sur la nuit : une attention de notre Hôtesse envers nos épouses…

Les beaux étalons canins rejoignirent leurs quartiers après avoir goûté à une pitance du meilleur choix. Caresses, flatteries et baisers pour honorer leurs exploits.

Nous prîmes congé de nos Hôtes, de nos Chers Amis et complices et partîmes en carrosse juste après le souper. Françoise posa sa tête sur mon épaule, me sourit et soupira : « Comme c’était bon, mon Cher et tendre Ami, c’était si bon…pour vous aussi, n’est-ce pas, à ce que j’ai pu voir… » et elle s’endormit jusqu’à notre arrivée au domaine…

Je la portai jusqu’à notre chambre et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre… Que de rêves, quelle plénitude !

Chères Lectrices et Amis libertins, je vous souhaite la bonne nuit.

Le Marquis de Chair.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 20 juillet 2024 6 20 /07 /Juil /2024 07:04

Orgie chez les Duchavel par Angela
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Je m’appelle Angela, J’ai 35 ans, je suis divorcée sans enfants.

J’aime le sexe et, depuis mon divorce, ne manque pas une occasion d’assouvir ce démon qui se cache dans mon bas-ventre.

Des amis de mes parents, les Duchavel, gens particulièrement fortunés, m’ont appelé un soir pour me demander si cela ne me dérangeait pas de passer le week-end dans leur hôtel particulier parisien car ils devaient partir à l’étranger et ne souhaitaient pas laisser inoccupé leur domicile.

N’ayant rien de particulier à faire, et connaissant le luxe de leur logis, je répondis que ce serait avec plaisir que je leur rendrais ce service.

J’arrivais donc chez eux le vendredi soir vers 19 heures, devant dîner avec eux avant leur départ en avion. Je m’étais habillée d’une veste de tailleur et d’une jupe en cuir, le tout recouvrant des sous-vêtements un peu olé-olé et, bien sur un porte-jarretelles et une paire de bas gris fumé. J’adore me vêtir comme ça, imaginant la tête de mes invités s’ils devinaient la nature des vêtements que je porte.

Nous n’étions pas seuls, Il y avait là deux jeunes hommes d’à peine vingt ans que nos hôtes me présentèrent comme étant leurs neveux. Ils se prénommaient Camille et Simon et devaient coucher sur place ce soir, puis repartir le lendemain matin.

Je n’étais pas au bout de mes surprises puisque je vis apparaître dans le salon un énorme dogue allemand qui s’appelait Simba. J’avoue que je fus un peu effrayée par la taille de ce chien mais m’aperçut bien vite qu’il était doux comme un agneau. On ne pouvait toutefois pas ignorer qu’il s’agissait d’un mâle compte tenu de la paire de bourses qui se balançaient entre ses pattes arrière.

Nous nous installâmes dans le salon pour boire l’apéritif. J’étais assise dans un profond canapé en cuir, Camille me faisant face de l’autre côté de la table basse, les Duchavel assis sur les côtés, Simon étant quant à lui parti je ne sais où.

Une conversation mondaine commença, potins, météo, politique, littérature etc… La barbe, quoi !

Au bout de quelques minutes, je m’aperçus que Camille ne parlait pas beaucoup. Levant les yeux, je vis qu’il avait le regard braqué sur mes jambes, essayant certainement de deviner ce qui pouvait se cacher derrière mes genoux serrés. Cette situation un rien perverse me causa un certain émoi. Si ce petit vicieux voulait de rincer l’œil, après tout pourquoi pas, adorant les regards des hommes sur moi.

J’écartais donc discrètement un peu les cuisses tout en continuant à bavarder mollement avec le couple. Je savais ce que Camille devait voir, mes cuisses gainées de soie, les attaches de mon porte-jarretelles et, plus haut, dissimulé par l’ombre de ma jupe, la dentelle du minuscule string recouvrant ma courte toison rousse.

Jetant un œil sur son visage, je vis qu’il était tout rouge d’excitation. Baissant les yeux, je remarquais également qu’il avait posé ses mains en conque sur son entrejambes, sans doute pour dissimuler l’érection qui devait tendre le tissu de son slip. Je me pris à imaginer la taille de sa bite bandée, la couleur de son gland, le velouté de sa peau. Ces pensées m’excitèrent au plus haut point et je sentis ma petite chatte s’humidifier. La mouille se mit à suinter sur mes lèvres chaudes et ouvertes. J’avais très envie de me branler mais cela eut été un peu déplacé en ce lieu..

J’avais aussi envie que Camille me voie encore mieux puisque cela semblait beaucoup lui plaire.

Je me levais et, m’adressant à lui, je lui demandais de m’indiquer l’endroit des toilettes

Il se dressa d’un coup, ce qui me permit de discerner que son pantalon était bosselé au niveau de la braguette ainsi que je l’avais deviné.

Me précédant, il me guida à travers un dédale de couloirs et nous arrivâmes devant la porte des chiottes.

– Attends-moi car sinon je vais me perdre au retour ! Lui indiquais-je

Entrant dans les toilettes, je soulevais ma jupe et enlevait mon string trempé de mon désir. Puis, je posais mes doigts sur mon clito gonflé que je caressais légèrement. Je ne voulais pas me faire jouir mais juste me donner un peu de plaisir, puis je pissais quelques gouttes..

Je mis mon slip dans la poche de ma veste et, tirant la chasse, sortit de la pièce et précisait à l’attention de Camille !

– Laisse-moi un peu d’avance car je voudrais voir si je saurais revenir toute seule jusqu’au salon !
– Ce n’est pas si grand que ça …
– Peut-être mais ça m’amuse !

Et, le plantant là, je m’avançais dans un couloir qui me semblait être le bon. Je savais que Camille me suivait à quelques pas derrière. J’avais ma petite idée derrière la tête. Aussi, profitant d’un angle qui me cachait à ses yeux, je sortis mon slip de ma poche et le laissait tomber à terre. Puis je continuais ma progression et, au bout de quelques minutes, me retrouvais dans le salon où mes hôtes nous attendaient.

Je me réinstallais à ma place, sentant le cuir du canapé sur mes cuisses et sur mes fesses, ayant pris soin, dans un geste discret, de relever ma jupe.

J’attendais avec impatience le retour de Camille. Il arriva rapidement, le visage cramoisi. Sa main droite était dans sa poche. Il s’assit en face de moi et me regarda. Je lui fis un sourire puis baissait les yeux vers mes jambes, l’incitant à fixer son regard sur cet endroit.

Profitant que les Duchavel, accaparés par leur discussion sur leurs projets de week-end, ne fassent pas attention à nous, j’écartais largement les cuisses en avançant le cul au bord du canapé.

Camille avait maintenant une vue imprenable sur mon intimité. Je crus qu’il allait exploser quand il découvrit le spectacle de ma chatte béante, luisante de mouille et d’urine de mes lèvres intimes d’autant plus exposées que j’avais pris soin de couper mes poils.

La mère Duchavel annonça alors que le repas allait être servi et nous nous levâmes, ma jupe retombant en cachant ce que Camille dévorait des yeux.

Une fois à table, Camille en face de moi et Simon installé à ses côtés, le repas se déroula à priori sereinement. Toutefois, j’avais le ventre en feu et ne pensait qu’à me faire enfiler par cet agréable jeune homme. Lui plongeait régulièrement la main dans sa poche puis faisait glisser ses doigts sous ses narines. Je devinais qu’il devait tripoter mon slip dans sa poche afin de recueillir ma bonne odeur de cyprine et de pisse. J’étais complètement ouverte et je coulais avec abondance. Protégée par la longue nappe, j’avais relevé ma jupe le plus haut possible et me touchait régulièrement.

Au milieu du repas, Camille, dans un geste parfaitement conscient, fit tomber quelques petits pois par terre. S’excusant auprès de la mère Duchavel pour sa maladresse, il bredouilla :

– Je vais les ramasser, et, joignant le geste et la parole, il se mit à quatre pattes et se glissa sous la table.

L’esprit d’initiative de ce jeune homme était vraiment surprenant.

Sachant très bien ce qu’il voulait faire, j’écartais mes cuisses au maximum et attendis la suite des évènements.

Je ne fus pas déçue car quelques secondes plus tard, des doigts tremblants se posèrent sur ma jambe et se mirent à progresser rapidement vers ma chatte bouillante. Malhabile, Camille posa sa main sur ma motte, caressant ma toison, tirant mes lèvres et tripotant ma mouille. Il ne faisait pas ça très bien mais j’en tirais quand même un vif plaisir.

Ne pouvant quand même rester sous la table pendant des heures, Camille mit fin à ses caresses, ramassa ses légumes et ressortit de sous la nappe, le visage rouge comme une pivoine. Se rasseyant, il me regarda et me fit un charmant sourire que je lui rendis d’un clin d’œil.

J’avais toujours les jambes écartées lorsque je sentis un souffle chaud sur ma peau. Surprise, je resserrais les jambes quand je sentis la tête du chien entre mes genoux. Il me passa un coup de langue à l’intérieur des cuisses puis, avançant la tête avec puissance, sa truffe vint se poser au beau milieu de ma chatte.

Angela
N’ayant jamais pratiqué ce genre de rapport, bien qu’ayant déjà visionné une vidéo du genre qui m’avait d’ailleurs particulièrement émoustillée, je n’étais pas trop en confiance mais le caractère insolite de la situation ainsi que mon désir de jouir furent les plus forts. J’écartais donc à nouveau les jambes et m’avançait au bord de la chaise le plus possible, les fesses presque dans le vide.

Un frisson me parcourut tout entière lorsque je sentis la large langue râpeuse se posait sur mes muqueuses intimes et commençait à aller et venir. Simba me léchait de l’anus au clito, passant au milieu de mes lèvres écartelées, lapant ma mouille. Le plaisir qu’il me procurait était délicieux. Je m’imaginais à quatre pattes couverte par cet animal. Tachant de rester la plus discrète possible, je me laissais aller à la jouissance en serrant les dents pour ne pas gémir de bonheur.

Je vécus la fin du repas comme dans un rêve, répondant par onomatopées aux différentes réparties des convives.

Enfin, le dîner arriva à son terme, nous débarrassâmes la table et les Duchavel appelèrent un taxi afin de se faire conduire à l’aéroport.

Je n’attendais qu’une chose, leur départ, afin de retrouver Camille et de lui faire l’amour. J’avais envie qu’il me prenne, de sentir ses mains sur ma peau, qu’il me triture les seins, bref qu’il me procure l’orgasme dont j’avais tant besoin après celui procuré par le chien.

Camille et Simon embrassèrent les Duchavel et gagnèrent les chambres d’amis mises à leur disposition.

Dix longues minutes s’écoulèrent avant que nous entendions le taxi arriver et que mes hôtes s’en aillent.

Immédiatement, je me précipitais vers la chambre de Camille. Arrivée devant la porte entrouverte, je l’entendis parler. Je restais près de la porte et tendis l’oreille :

– Si, si c’est une vraie salope ! Je te dis que je lui ai touché la chatte, c’était tout gluant, c’est pas des conneries !
– T’es vraiment sûr de ce que tu racontes parce que si c’est vrai on pourrait peut-être lui demander qu’elle se mette à poil devant nous, et on pourrait se la sauter. Répondit la voix de Simon.

Un gros problème se posait à moi car je m’étais mis dans la tête de me faire baiser par Camille mais Simon ne branchait pas trop..

Si cela n’était pas possible, il me restait la solution de me branler.

Toutefois, mes seuls doigts me semblaient insuffisants à me remplir la chatte comme je le souhaitais. Cédant à une impulsion, je me dirigeais vers la cuisine et trouvait ce qu’il me fallait dans le frigo, à savoir un superbe concombre dont le diamètre et la longueur me semblaient correspondre tout à fait au but fixé, c’est à dire me remplir le vagin au maximum.

Empoignant le légume, je retournais vers ma chambre quand même un peu déçue par ce revirement de situation. Repassant devant la chambre de Camille et n’entendant plus de bruit, je poussais tout doucement la porte et là je n’en crus pas mes yeux. Allongés à poil sur le lit, les deux gars étaient en position de 69 et ils se suçaient mutuellement la bite avec une application digne d’éloges. Camille, qui était au-dessus, avait la queue de son partenaire presque entière dans la bouche ce qui constituait une sorte d’exploit.

La vue de ce spectacle m’excita au plus haut point.

Je poussais résolument la porte d’un coup et leur dit d’un ton sévère :

– Bande de petits dégueulasses, qu’est-ce que vous faites comme cochonneries !
– Pourquoi, ça te choque ?
– Disons que c’est inattendu, mais ça ne me choque pas, ce serait même plutôt excitant.
– Si ça t’excite, continue de regarder Me répondit Camille, tu ne va pas être déçue. Simon mets toi en levrette qu’Angéla mate bien ton petit cul de pédé.

Simon fit ce qu’on lui demandait, et se mit à tortiller du croupion, je pu alors constater que pour un homme il avait décidemment de très jolies feses.

– Maintenant je vais lui foutre ma pine dans le cul ! Reprit Camille. Mais ce qui serait bien c’est que tu me suce un peu avant… comme ça.. pour lubrifier. Mais dis-moi, c’est quoi ce concombre que tu as dans la main.
– C’est pour si j’ai un petit creux ! Plaisantais-je
– Un petit creux dans ta chatte !
– Tout à fait

Me demander de sucer une belle bite, voilà une chose qu’il n’est pas nécessaire de me répéter deux fois. Et j’avançais mon visage vers sa bite.

– Ce serait plus sympa si tu te foutais à poil ! intervint Simon
– Je croyais que vous étiez pédés !
– Non on aime bien les femmes, mais on aime bien les bites aussi !
– D’accord, je vous montre juste mes seins. Asseyez-vous cinq minutes

Mes doigts commencèrent à défaire les boutons de ma veste un par un. Je la retirais et la laissais tomber par terre. Mon torse apparut, ma poitrine encore voilée par la dentelle diaphane de mon soutien-gorge.

Simon serra sa bite de sa main droite et commença à se branler. Chaque mouvement décalottait le gland turgescent. J’étais tellement ouverte qu’un cheval aurait pu me baiser sans que je ne sente rien.

Lançant mes mains derrière mon dos, je défis les attaches du soutien-gorge et le retirais. Je n’ai pas une très forte poitrine mais, par contre, la taille de mes tétons est toujours assez importante. A cet instant et compte tenu de l’excitation que je ressentais, ils avaient atteint la taille de mon petit doigt et me faisaient presque mal de bander autant.

Les deux jeunes hommes poussèrent un soupir à la vue de ce spectacle, Camille se branlant lui aussi.

Je m’approchais du lit et me penchait vers eux, mes seins à quelques centimètres de leurs visages.

– Allez, avant que je remballe la marchandise, je vous autorise à téter un petit peu !

Immédiatement et du même mouvement, leurs bouches vinrent se poser sur moi. Ils se mirent à sucer mes pointes, les excitant encore plus du bout de leurs langues. C’était vraiment délicieux et je crus atteindre l’orgasme rien qu’avec cette caresse.

Je me relevais, les seins mouillés de leur salive.

‘Bon, voilà, vous avez eu ce que vous vouliez. Le spectacle est fini.
– Oh non, s’il te plait, pas encore. Montre-nous le reste

Je m’apprêtais à céder et à leur dévoiler ma chatte lorsque le chien entra dans la pièce. Peut-être était-ce l’odeur de la cyprine qui dégoulinait de ma chatte en feu, toujours est-il qu’il bandait et je pus constater avec ravissement que sa pine était d’une taille qui me plaisait bien. Certes j’avais envie de baiser, mais l’expérience que je pourrais retirer d’un accouplement bestial était aussi très tentant. Et puis après tout j’avais tout le week-end devant moi !

– Bon, je devais sucer une bite, mais je vais peut-être en sucer deux !

Les deux gars se dressèrent immédiatement, exhibant leurs queues gonflées. La poitrine toujours à l’air, je m’assis sur le lit.

– Venez en face de moi. Plus près !

Ils s’avancèrent et je me retrouvais avec leurs glands à hauteur de mon visage.

Levant les mains, je vins empoigner leurs couilles poilues. Quand mes doigts se posèrent sur leur peau, un profond soupir partit de leur poitrine. Mes doigts remontèrent et vinrent s’enrouler autour de leurs sexes durs comme des bouts de bois. Jetant un coup d’œil sur le côté, je vis le chien qui s’était assis sur le derrière. Entre ses pattes arrière, sa bite tressautait, rouge et gonflée. Je devais m’occuper rapidement des deux gars afin de profiter pleinement de cet état d’excitation animale.

Je commençais à branler mes deux partenaires puis, les rapprochant encore de mon visage, mis leurs deux glands sur mes lèvres. Ma langue léchait leur peau satinée tandis que mes doigts serraient leurs verges.

Je me doutais que cela ne durerait pas très longtemps. En effet, au bout de quelques instants, je sentis la bite de Simon se tendre encore plus, annonçant l’arrivée imminente de son plaisir.

Me reculant un peu, je dirigeais son gland vers ma poitrine et accélérait encore ma masturbation. Poussant un cri, il éjacula arrosant à foison mes seins de son sperme tout chaud.

– Vas-y maintenant, Camille encule-le.

Camille pénétra son comparse d’un coup sec. Qu’est-ce que c’est excitant de regarder deux hommes s’enculer, un spectacle que je n’ai pas eu l’occasion de voir si souvent ! Malheureusement il se termina assez vite, Camille vidant son trop plein d’excitation dans le cul de son camarade.

– Vous faites ça souvent ? Demandais-je (curieuse je suis !)
– Ça nous arrive, hier Francis m’a enculé ! Me précise Simon.
– Qui c’est Francis ?
– Monsieur Duchavel. Et pendant que je me faisais enculer, Camille tringlait Monique !
– Monique ?
– Oui, Madame Duchavel !
– Oh, quelle famille !

Sur ces mots, je ramassais mon soutien-gorge et ma veste et, sortant de la pièce, me baissait pour ramasser le concombre et me dirigeait vers la chambre que je devais occuper ce week-end. Je ne souhaitais qu’une chose, c’est que Simba me suive et ne veuille pas rester avec ses maîtres. Mais je pensais que l’état d’excitation dans lequel il était l’inciterait à venir vers moi.

Je ne m’étais pas trompée car j’entendis distinctement le bruit de ses pattes sur la moquette quelques pas derrière moi. Je m’assis sur le rebord du lit, le chien vint vers moi et se mit à l’envers, alors saisit d’une pulsion incontrôlable de lui attrapait la bite et me la fourrait dans la bouche !

Et le Week -end n’est pas terminé.
fin

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Vendredi 28 juin 2024 5 28 /06 /Juin /2024 18:15

Mes vacances avec Séverine par Via512

 FDR

Séverine et moi sommes un couple de 30 ans tous les deux. Nous sommes ensemble depuis 10 mois. Ayant été pris de cours dans l’organisation de nos vacances d’été nous avons décidé, au dernier moment, de partir dans ma famille qui est dans les landes.

J’aime beaucoup y aller mais pour ce qui est de l’intimité, on fait mieux. Mes parents habitent un appartement qui donne sur la mer mais quand tout le monde est là, on se marche un peu dessus.

Après 6 jours de disette forcée, nous commencions Séverine et moi à être sur les dents et en manque de sexe. La seule possibilité qui m’est apparue pour se retrouver seuls est la cave située, fort logiquement, en sous-sol de l’immeuble.

Quand j’ai proposé ça à Séverine elle m’a rit au nez en me précisant qu’elle n’était pas ce genre de fille, à faire ça n’importe où, à « baiser à la va-vite », et que d’ailleurs elle ne baise pas elle fait l’amour et dans une cave ça s’appelle baiser etc… Face à ce refus, je me la suis remise derrière l’oreille et ai ravalé ma frustration.

Si tout se passe bien dans notre couple, je trouve quand même que Séverine, même si elle a un bon appétit sexuel, est très classique et ne se laisse pas assez aller. J’imagine qu’elle peut être bien plus coquine que ce qu’elle a laissé paraître jusque là. La suite des évènements me donna raison.

Deux jours après m’avoir renvoyé dans mes 22, Séverine est venue se coller à moi alors que nous étions entrain de nous baigner. Elle a saisi ma verge à travers mon short de bain et m’a susurré à l’oreille « toujours prêt à me faire visiter la cave ? »

Ne me faisant pas prier, je suis immédiatement sorti de l’eau en essayant de cacher mon érection naissante et deux minutes après mes affaires étaient rangées et j’étais prêt à partir.

Il a fallut que je la rassure sur le chemin du retour car elle avait peur que je la prenne pour une traînée vu qu’on ne se fréquentait pas depuis très longtemps. J’en ai donc profité pour lui dire que je n’attendais qu’une chose, qu’elle se lâche.

« Ok et bien tu vas voir mon petit père » me répondit-elle en riant nerveusement.

Mes parents habitent une résidence landaise de standing et nous avons la chance que la cave soit très spacieuse et très éclairée. Ca ne rend pas les choses trop glauques.

Nous arrivâmes donc à cette fameuse cave, tous deux en maillots de bains et serviettes. Je ne cherchais plus à dissimuler mon érection qui commençait à me faire mal tellement j’étais excité.

La porte fermée, elle se dirigea tout de suite vers un tabouret, me fit face et posa un pied dessus.

– Tu es déjà bien excité mon cochon ! Avant que je ne m’occupe de ta queue, viens vite m’enlever le sel de mer avec la langue.

En disant ça, elle écartait la culotte de son deux pièces d’une main et de l’autre me faisait signe d’approcher.

Là c’est clair qu’elle se lâche, je ne l’ai jamais vu comme ça. Je ne me fis pas prier 2 secondes de plus et je me suis mis à genoux sous elle en tendant ma langue vers son abricot. Je me suis d’abord attaqué au contour des lèvres, puis aux lèvres elles-mêmes que je me suis appliqué à laper. Je suis remonté sur le bouton que j’ai commencé à sucer et aspirer.

– Oui c’est ça mon chéri c’est bien, lèche-moi bien. Nettoie moi bien la chatte de tout ce sel.
– Elle est bonne ta chatte ma chérie, tu es déjà toute trempée.
– Oui, je suis très en manque et tu m’excites tellement.

Séverine s’est, à ce moment là, dégagée les seins de son haut de maillot et commença d’une main à se pincer les tétons pendant que de l’autre elle m’appuyait sur la tête pour que je sois le plus plaqué possible à son bas-ventre.

– Hum mm c’est bon, vas-y mon petit salaud, bouffe-moi bien. Regarde moi dans les yeux pendant que tu me suces le bonbon. Tu aimes ça me bouffer la chatte hein!!!

2 minutes à ce régime où je l’aspirais, la buvais de toutes mes forces puis elle se dégagea.

– Reste à genoux!

Elle se redressa, enleva son bas, me tourna le dos, se pencha en avant en s’appuyant les mains sur le tabouret, jambes droites et écartées.

– Bouffe moi le cul!

Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle n’a effectivement jamais été contre que je lui fasse une feuille de rose mais de là à la réclamer avec tant de force et de conviction, il y a un monde. Effectivement elle se lâchait…

Le temps de penser à tout ça, je suis resté quelques secondes qui ont dû paraître trop longues pour la demoiselle.

– Faut que je t’envoie une invitation? Ecarte moi les fesses et plonge ton visage dans mon cul pour me lécher la rondelle pendant que je me branle.

Ne voulant pas couper ce merveilleux élan, j’ai pris une fesse dans chaque main, je les ai écarté et me suis jeté tête la première, langue conquérante, vers sa petite étoile. Appliqué à la tâche, je ne me décollais de sa lune que pour cracher un peu sur le cratère pour lubrifier tout ça et repartir à la charge.
Pendant que je lui suçais l’arrière train, mademoiselle commençait à se doigter à toute vitesse. Le bruit de clapotis de sa chatte trempée se mêlant à ses gémissements de plus en plus forts.

– Ouuuhhh c’est bon ça, vas-y, dévore moi bien le cul pendant que je me doigte comme une salope.

On va de surprise en surprise, elle qui me disait il y a quelques jours qu’elle ne baisait pas mais faisait l’amour en arrive à se traiter de salope…
Elle se releva comme une furie, les yeux injectés de désir. S’agenouilla à son tour.

– Mets-toi à poils et branle toi sur mon visage, je veux sentir ta bite collée à ma joue.

Aussitôt demandé, aussitôt fait, le short de bain a valsé et a pu enfin laissé respirer ma bite bien trop à l’étroit vu comme elle était tendue. C’est moi qui, à présent, est debout un pied sur le tabouret et trop heureux de pouvoir enfin me prendre le membre à pleine main.

Séverine me prend les couilles d’une main, de l’autre, continue de se branler tout en se collant le visage sur ma queue que j’astique énergiquement.

La voir ainsi a été un spectacle renversant pour moi, elle était magnifique avec cette soif de sexe dans tout le corps. Cette pulsion bestiale qui la poussait à être, comme elle le disait elle même, si salope.

– Alors petite cochonne, t’aime ça que je me branle sur toi pendant que tu te doigtes ? Quelle belle salope tu fais avec cette bite collée à ton visage qui n’attend que de te baiser !
– Oui, je vais bien l’exciter cette bite pour qu’elle me baise bien à fond. Je vais lui avaler les copines déjà, elle aime bien.

Joignant les gestes à la parole elle se mis à me lécher les couilles pour ensuite les gober l’une après l’autre en les aspirant bien à fond à chaque fois. Elle glissa également sa main libre entre mes fesses et je sentis très vite son index jouer avec mon étoile

– T’aimes ça quand je joue avec ton cul hein mon salaud! Dit-elle entre deux gobages de bourses.
– Vas-y ma salope, éclate toi avec mon cul, doigte moi.

Il ne fallut pas plus pour que cette cochonne enfonce d’un coup sec son majeur en moi et commence à le remuer au rythme de sa propre masturbation. Je bandais de plus belle.

A mon tour je décidais de me lâcher complet. Je me libérai de son emprise. Je me mis sur le dos, passa mes bras derrière mes genoux, pour m’arrondir la croupe au maximum et présenta à Séverine mon derrière poilu.

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– A toi de me bouffer le cul salope.
– Hum mm tu aimerais ça mon gros cochon hein! Tu veux que je te le salive ton petit anneau hein…

Elle se mis au dessus de moi et se mis à me lécher le trou tout en me branlant d’une main. Jamais on ne me l’avait fait et j’ai de suite adoré.

Séverine alternait, quand elle me léchait le cul elle se doigtait et quand elle arrêtait elle M’enculait avec ses doigts trempés de sa cyprine.

– C’est que je peux mettre deux doigts dans ton petit cul mon cochon. C’est toi la petite salope. Fais moi penser à acheter un gode ceinture que je t’encule comme tu le mérites.
– C’est comme ça que je te veux ma Séverine, une vraie salope assoiffée de sexe.
– Mais c’est comme ça que tu m’auras, maintenant que tu as enlevé le couvercle ne crois pas pouvoir refermer la boîte si facilement. En attendant viens me baiser comme une chienne, je n’en peux plus il faut que je jouisses.

Elle se plaça à 4 pattes en tendant la croupe vers moi. Je l’ai enfilé d’un coup sec, elle était tellement humide que ça ne posa pas de problème. Il ne fallut pas que je la lime beaucoup avant que Séverine explose.

– Oh putain oui défonce moi vas-y. Mets moi des grands coups de bite. AHHHH j’aime oui, vas-y baise moi.

Elle se faisait d’une gourmandise sexuelle impressionnante et c’est dans un énorme râle qu’elle eu un orgasme violent. Il ne m’en fallait pas d’avantage pour moi-même vouloir libérer toute cette tension.

Juste le temps pour moi d’entendre Séverine me demander de lui éjaculer sur le cul pour pouvoir satisfaire sa demande.

Enfin c’est vite dit car j’ai plus envoyé dans tous les sens que sur son cul, trop d’excitation rend le contrôle difficile…

Nous avons remis nos maillots et sommes remontés à l’appartement, heureux de cette partie de jambes en l’air et également heureux de nous être découverts un peu plus.

Je savais bien que Séverine était plus coquine que ce qu’elle laissait paraître jusque là.

La suite des vacances me le confirma mais ça, ça sera l’occasion d’autres épisodes de nos aventures.

Via512

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Vendredi 21 juin 2024 5 21 /06 /Juin /2024 19:58

Dimanche matin par Ramal45

scat

Dimanche matin. La lumière blafarde d’hiver filtre à travers les rideaux de la chambre. Brigitte ouvre un œil. Il fait bon, on est bien. On va bouger mais pas tout de suite. On savoure ce réveil langoureux. Emmanuel à ses côtés dort encore. Puis Brigitte se décide, se lève doucement, s’étire, puis se dirige vers la salle de bain en se grattant une fesse. Elle s’assoit machinalement sur la cuvette des toilettes pour le pipi du matin. Elle repense à la soirée ratée de la veille, avec un couple échangiste débutant. La dame était plutôt partante mais lui était complétement coincé, sans doute là pour faire plaisir à sa belle. En tous cas, impossible d’aborder les  » sexualités alternatives  » comme on dit chez Vassilia. Et Brigitte n’avait pu rien obtenir d’intéressant du monsieur.

Dimanche matin, ce pourrait être un matin coquin, quand on n’a que ça à faire, pour compenser. Elle décide donc de garder son envie, on ne sait jamais, en attendant le réveil de son chéri. Entamant, en attendant, une masturbation discrète, elle constate une fois de plus que c’est encore plus jouissif avec une envie retenue… C’est alors qu’apparait Emmanuel dans l’encadrement de la porte :

– B’jour… T’en as pour longtemps ?

(On ne saura pas s’il parlait du pipi ou du titillement de clito !). Contrairement à Brigitte qui dort nue, Emmanuel a toujours un pantalon de pyjama, vieille habitude de garçon, et qui, dans le cas présent, fait apparaitre une érection matinale plutôt voyante… Brigitte s’en apercevant lui dit :

– Mon pauvre chéri, je ne vais pas te laisser dans cet état, allez amène-toi !

Il ne fait pas prier, Brigitte alors saisit la culotte de chaque côté et l’abaisse lentement, au passage de l’élastique le pénis bondit au dehors comme un ressort en faisant quelques oscillations. Qu’elle arrête en le gobant de sa belle bouche. Elle entame alors une fellation d’enfer dont elle a le secret. Ses douces lèvres en anneau glissent jusqu’à la base de la hampe puis reviennent, elle le décalotte en s’aidant de ses dents, celles-ci prenant le relais des lèvres pour un léger labour puis revient. Répété plusieurs fois ce traitement fait rapidement effet et la rigidité matinale s’affirme en belle raideur qu’elle saisit ensuite d’une de ses mains pour entamer une branlette progressive, l’autre empoignant vigoureusement les testicules pour les malaxer, les faire rouler l’une avec l’autre. Brigitte a des mains magnifiques, longues et blanches, équipées d’ongles longs et pointus. Tout en continuant de taquiner le gland et le méat avec sa langue et ses lèvres, elle commence alors un jeu diabolique en caressant puis griffant légèrement en alternance la peau de ce membre en attente de jouissance. Elle peaufine, Brijou, elle s’active, elle prend son temps, du grand art, Montant en excitation, elle terminera ce manège en accentuant les griffes et en plantant la pointe de ses ongles à la base des couilles : la douleur occasionnée est absolument délicieuse et fait gémir Manu au bord de l’explosion !

– Alors mon chéri es-tu à même de me donner un acompte sur mon petit déjeuner ?

A son air hébété et dans un état second, elle comprend qu’il faut qu’elle achève le travail. Alors elle accélère le rythme de ses va-et-vient et ouvre ses lèvres carmin devant le méat de la bite tendue vers elle. L’instant d’attente qui précède l’éjaculation provoque une grande excitation, de même que dans les jeux d’uro l’arrivée de l’urine…

Malheureusement (si l’on peut dire !) Manu est tellement excité qu’au moment de la jouissance, empêtré avec sa culotte aux pieds, il perd l’équilibre… Et les jets puissants qui concluent cette séance torride bien que matinale ratent leur destination et arrosent copieusement le visage de Brigitte, trois belles trainées blanches dont une atteint jusqu’à sa blonde chevelure.

– Ah bravo ! s’écrit Brigitte qui n’aimait pas trop l’  » éjac faciale  » qui fait la une des sites pornos. Mais bon, elle n’en veut pas à Manu surtout que c’est la preuve qu’elle avait bien travaillé…
– Bon bah il va falloir me nettoyer tout ça, allez biquet, sors-moi ton karcher !

Manu savait qu’elle saurait tirer parti de l’incident pour continuer sur des jeux érotiques raffinés. Il rectifie donc la position, quitte définitivement le pyjama, et à présent parfaitement réveillé se tient prêt aux caprices de l’épouse…

Son sexe encore tendu il se concentre pour passer le relais à sa vessie. Toujours assise sur la cuvette des WC, elle fixe le méat devant elle déjà excitée dans l’attente de l’arrosage. L’excitation grandit le temps d’attendre un peu de débandage pour que le jet s’annonce, puissant de son envie du matin. Et c’est la fête humide ! Après en avoir bu un peu elle prend ce sexe arroseur, ferme les yeux et le fait balayer sur son visage. C’est chaud et délicieux, l’urine nettoyeuse coule entrainant les giclées de sperme et le mélange dont elle lape quelques gouttes en passant retombe sur ses seins, puis ruisselle entre ses cuisses qu’elle écarte pour s’en mouiller la vulve…

Dimanche

Manu ce coup-ci complétement réveillé voit bien qu’il reste du sperme dans ses cheveux.

– Attend ma chérie, je vais te faire un champoing !

Alors il se retient et monte derrière elle les deux pieds sur la cuvette. Ainsi il peut poser son pénis, un peu ramolli, sur la tête de Brigitte.

– Oui mon chéri, inonde-moi encore, c’est bon et c’est chaud !

Alors il se concentre pour reprendre son arrosage…  » Ah ! Ça revient… ouiii…mmmh…. « . Un jet moins puissant répand la pisse sur la chevelure de la belle et s’écoule le long de ses joues puis sur ses épaules. Mais les traces de sperme sont bien accrochées aux cheveux et elle s’en aperçoit dans le miroir en face, alors que l’envie se tarit de plus en plus !

– Bon si je comprends bien, il faut que je termine le travail moi-même !

Sur ces paroles de reproche ironique, elle se lève, lui roule un patin d’enfer, puis vient se mettre en position de poirier le long du mur de la salle de bain à l’italienne, bien pratique pour les jeux humides ! Elle bascule le bassin en s’aidant de ses jambes écartées, offrant sa chatte à son visage. Manu comprend de suite et vient se placer au-dessus de sa chérie pour ne rien perdre du spectacle. Il se penche, le nez presque sur les lèvres de la fente aux délices, fasciné dans l’attente de la sortie dorée. Brigitte peut enfin se libérer de son envie retenue depuis son réveil, celle-ci arrive, se fait désirer puis c’est une cascade champagnisée qui déferle sur le visage de la belle qui en prend quelques lampée. L’expulsion est tellement forte qu’elle n’a pas besoin d’une longue masturbation simultanée pour exploser en même d’un orgasme fulgurant ! Quant à lui, après avoir mis sa langue pour quelques rasades, il se redresse et place sa bite dans le jet, ce qui a eu pour effet de lui redonner petit à petit de la vigueur. Le spectacle l’a excité et il commence à se masturber, Brigitte s’amuse à regarder juste au-dessus d’elle la valse de ses testicules…

Et puis son visage prend une expression concentré, et elle s’écrit :

– Oh mon chéri, je crois que j’ai une surprise pour toi !

Alors elle rectifie sa position en agrippant les chevilles de Manu placées de chaque côté de ses épaules, bascule d’avantage ses jambes et son bassin de façon à cette fois-ci présenter son anus puis se met à pousser. Lui comprend et ne veut rien perdre de cette nouvelle séquence tout en continuant sa branlette. C’est alors qu’un joli étron pointe son nez, monte progressivement, puis commence à se courber, se brise et roule sur le ventre pour atterrir entre les beaux seins. Puis la suite de la défécation se poursuit, plus mole et se répand jusque dans son cou en laissant les traces de son passage, maculant ce beau corps blanc. Manu les yeux exorbités sent monter son excitation, accélère sa masturbation et envoie une bonne giclée de sperme sur les matières brunâtres qui continuent de glisser et que Brigitte commence à étaler sur son buste et ses seins. Ah les amis cette matinée, c’est vraiment la totale !

Pourtant, Brigitte souhaite en rajouter un peu et demande à son cher et tendre :

– Et moi chéri, tu n’as pas une surprise pour moi ?

Manu comprend qu’il doit s’exécuter à son tour, s’accroupit ce qui permet à Brigitte de lui lécher la zone anale. L’attente du cadeau marital fait monter son excitation alors que lui commence à pousser pour rendre la pareille à sa belle, il lui devait bien ça après ce dimanche matin d’enfer. Le temps passe, et toujours rien ne se pointe, Brigitte ose un doigt, puis deux pour inspecter les lieux et voir si quelque chose s’annonce… Enfin, avec un long râle d’effort, il sent qu’il va délivrer… ça y est !… mais ne sort finalement qu’une petite crotte, que Brigitte reçoit…

…sur le nez !

Un beau dimanche matin, quand même…

– Ramal45 –

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Lundi 19 février 2024 1 19 /02 /Fév /2024 15:29

Séance de bronzage par Julien03

Catland

Salut tout le monde, au fait, je ne me suis pas présentée la dernière fois,
je m’appelle Catherine, j’ai 18 ans, j’ai des cheveux châtains bouclés qui
descendent un peu plus bas que mes épaules. Je mesure 1m 65, je ne me trouve
pas trop moche, je ne suis ni obèse ni mannequin, mais je me plais et c’est
ça qui compte !

Depuis une semaine, je suis toute seule chez moi, ma mère et mon frère sont
partis en vacances chacun de leurs cotés quant à moi, je pars demain pour la
Grèce. Je me réjoui vraiment car je pars dans l’appartement de mon oncle, il
me le prête, sympa non ?

Toujours est-il, qu’il fait aussi chaud qu’en Grèce aujourd’hui, du moins,
j’en ai l’impression ! Après avoir déjeuner, je décide d’aller me relaxer
sur ma terrasse pour peaufiner un peu mon bronzage en espérant ne pas
débarquer en vacances blanche comme une russe ! Je monte dans ma chambre, me
déshabille, ouvre ma garde-robe, et je me rappelle que trois de mes maillots
sont déjà dans ma valise, quant au 4e, je l’ai prêté à une amie, et je ne
pense pas le revoir de sitôt ! Tant pis, on bronzera en petite culotte !

Je descends donc avec sur moi, une culotte bleue ciel et un t-shirt blanc
sur ma terrasse. De là où je suis, seule ma voisine peut me voir et encore,
il faut qu’elle sorte dans son jardin et il y a peu de chance, à mon avis
elle fait sa sieste vu la chaleur ou bien elle m’espiègle encore mais ça je
m’en fou, j’ai l’habitude ! Je dépose mon magazine et ma crème solaire et
décide tout d’abord de faire un petit plongeon dans ma piscine pour me
rafraîchir. Je garde quand même mon t-shirt, car là, tout le pâté de maisons
peut me voir (ce n’est pas que ça me gêne, mais je n’ai pas envie que tout
le monde regarde ma mère bizarrement chez le boulanger) ! Plouf…… Je remonte
à la surface, regarde ma poitrine et me dit qu’avec ou sans t-shirt, c’est
pareil. Je l’enlève donc (désolé maman !!!), fait 2 ou 3 longueurs et puis
je sors. Je m’allonge sur mon transat et en 5 minutes, je suis sèche, le
soleil tape vraiment fort ! Je prend ma crème solaire (je n’ai pas non plus
envie d’arriver comme un homard en Grèce !), je commence à m’en mettre dans
le dos comme je peux, j’en dépose 2 petits trais sur mes seins, et je m’en
étale sur ma poitrine, le ventre, mes cuisses, mes jambes mes pieds, bref
partout… ça me rappelle la crème au chocolat, l’autre fois dans ma cuisine
(voir : tâches ménagères). Toutes ces pensées m’excitent un peu quand même,
et cette excitation me donne envie de pisser.
Après tout, je suis dehors tout de même, je ne vais pas rentrer pour aller
aux toilettes, ce serait absurde ! Je commence alors à me laisser aller dans
ma culotte à peine sèche, c’est un long pipi, il faut dire, avec toute l’eau
qu’on boit par ce temps ! L’urine toute chaude reste dans le transat
légèrement renforcé à certains endroits… quel plaisir de rester couchée
comme ça, le cul dans sa pisse…

amy871Tout cela m’excite encore plus, et je repense à cette histoire de crème au
chocolat l’autre fois, je retire ma culotte et vais dans la cuisine, je
regarde dans le frigo et je vois des yaourts nature, j’en prend 2, et
retourne me coucher sur la terrasse. Je commence à me caresser les tétons,
je joue avec, je les pince légèrement, puis plus fort, ensuite, je prend mes
seins en main, j’ouvre un yaourt, et le vide sur mes seins, je me l’étale
comme la crème solaire tout a l’heure, de mon autre main je joue dans mon
entrecuisses en effleurant mes lèvres, mon petit bouton, ainsi que mon petit
trou. Je prend le 2eme yaourt, et me le verse sur mon bas-ventre, je m’en
mets partout entre mes cuisses, je m’enfonce 2 doigts dans ma chatte bien
trempée d’excitation, avec, je fait des va et vient, tantôt rapide, tantôt
plus lent, je remonte mes doigts jusque ma bouche et je me lèche les doigts,
d’autres doigts titillent et jouent avec mon anus, je me retourne et me mets
à quatre pattes, en me retournant, j’aperçois le sèche-linge, je me lève, je
prends 2 pinces à linge que je fixe au bout de mes tétons, je me remets en
position et continue de me masturber mon anus et ma chatte en me pénétrant
d’abord un et puis deux doigts dans chaque trous. Tout à coups, je sens
quelque chose de doux qui m’effleure les orteils ! Je m’arrête, me retourne
sur le dos et voila que j’aperçois le petit chaton tout blanc de la voisine.
Je le regarde un instant, je l’effraye un peu et il s’en va. 30 secondes
plus tard, je n’y prête plus attention, je reprends mes occupations
!J’écarte bien mes jambes que je mets en l’air et rejoue un peu avec mes
seins, je n’en peu plus, je mouille comme un fontaine, je reprends mes
caresses dans mon entrejambes, je me caresse mon clitoris et m’introduit 2
doigts dans le cul, les mouvements s’accélèrent de plus en plus, je sens que
je vais venir, je retire les pinces à linge et là je jouis, je sens le
liquide qui coule le long de mes doigts je les lèches et reste couchée sur
mon transat quelques minutes, je ferme les yeux et je m’endors en ne pensant
plus à rien.

Dix minutes plus tard, mes yeux s’ouvrent et là, je pense à quelque chose !
Je pense au chaton, celui la même qui est venu m’interrompre tout a l’heure,
celui la même qui a été attiré par je ne sais quel odeur (mouille, pisse ou
yaourt ?) toujours est il, qu’il est en train de me nettoyer la chatte ce
vicieux et moi, petite cochonne que je suis, je me laisse faire ! Il faut
dire que cette sensation est fort bizarre mais très agréable, cette petite
langue rugueuse qui donne l’impression de s’appliquer, me procure un bien
fou, et je ne mets pas longtemps à avoir un second orgasme ! Je referme les
yeux tandis que le chat termine son nettoyage, lorsque je me réveille, ce
n’est pas à cause du chat cette fois ci, mais de sa vieille propriétaire qui
le rappelle, si elle savait…. !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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