Partager l'article ! C’était le début: C’était le début par Liouba J’étais déjà une bonne salope quand mon ami m’a proposé avant ...
J’étais déjà une bonne salope quand mon ami m’a proposé avant de vendre occasionnellement mes charmes, de m’en servir comme monnaie d’échange.
Il avait l’intention de remplacer son téléviseur et avait fait le choix d’un tout petit magasin, dont, l’unique vendeur était le patron (beau mec la quarantaine sportive)
L’accueil fut d’emblée chaleureux et pendant qu’il argumentait sur les avantages de chaque téléviseur, son regard ne manquait pas de plonger dans mon décolleté que mon ami avait voulu généreux pour l’occasion…
Quand son choix fut fait, le beau mec nous fit asseoir dans des fauteuils profonds en face son bureau. Je demeure convaincu que ces fauteuils avaient été choisis uniquement en pensant que des femmes y prendraient place car, à moins de s’asseoir sur le bord et de serrer les genoux, une femme, assise au fond du fauteuil, ne pouvait, si elle n’y prenait garde , empêcher certains regards indiscrets.
Toujours à la demande de mon ami je n’avais pas de culotte ne faisait rien, bien sur, pour empêcher le regard du maître des lieux de se glisser entre mes cuisses et je commençais à être très excitée A la coloration que pris son visage et à son sourire entendu, mon ami et moi avons tout de suite compris qu’il était sensible aux « arguments »que je lui proposais et qu’une certaine négociation était possible. J’avais laissé ma jupe remonter si haut sur mes cuisses que j’aurais pu tout aussi bien l’enlever.
Afin que la « négociation » soit discrète. Le vendeur ferma le magasin et nous invita à passer derrière dans son autre bureau. Mon ami proposa de payer la moitié en espèces et le reste en trois traites dont la première à encaisser tout de suite, sur le bureau. Mon ami avait dégrafé ma jupe qui était tombé à mes pieds et ouvert mon corsage Le type prit sa calculette et finalement après un coup d’œil sur ma nudité accepta la transaction. Les deux autres traites se réglèrent aussi bien sur par des coups de queues, après avoir sur le bureau encaissé la première.
C’était le premier pas, ensuite j’ai acheté plusieurs paires de chaussures en compagnie de mon ami de la même façon. A chaque fois j’étais tellement excitée, que quand mon ami m’a proposé de faire la pute, j’ai accepté sans aucune hésitation. Même le mot « pute » m’excitait et m’excite encore.