Partager l'article ! A poil !: A poil ! par Lisa Je suis Lisa, une jeune femme de vingt-quatre ans, fausse blonde et célibataire. Je travaille comme est ...
Je suis Lisa, une jeune femme de vingt-quatre ans, fausse blonde et célibataire. Je travaille comme esthéticienne dans un salon de beauté et j’habite une région superbe : la côte des Maures. Un agréable paradis qui s’étend de Hyères à Saint-Raphaël. Les plages y sont nombreuses. Ma préférée se trouve près de Saint-Tropez. Ce n’est pas la célèbre plage de Pampelonne mais une petite crique proche des Salins où on peut se baigner et se faire bronzer entièrement nue.
Il est là, mon petit vice. L’été, j’adore vivre nue. Dans mon appartement, lorsque je suis seule, je m’habille uniquement si je dois sortir. J’éprouve une sensation de liberté très agréable de n’avoir rien sur moi, ni culotte ni soutien-gorge, ni jupe ni t-shirt. Cela me plaît mais cela m’excite aussi de faire mon ménage à poil, de prendre mon petit déjeuner, de lire, d’étendre mon linge sur la petite terrasse abritée… L’an dernier, avec mon copain de l’époque, je suis allée passer un long week-end sur l’île naturiste du Levant. Ce fut une expérience qui m’a beaucoup plu et que j’aimerais renouveler plus souvent. Le plus dur, c’est de trouver un garçon qui soit prêt à vivre entièrement nu toute la journée, que ce soit pour aller faire les courses, prendre un verre à la terrasse d’un bar où s’amuser dans une boîte, le soir…
Finalement, je pense que les hommes sont beaucoup plus pudiques et plus coincés avec leur corps que les femmes. Ils sont prêts à montrer leur zizi sur une plage mais cela s’arrête là. C’est bien dommage car vivre nu procure des sensations délicieuses. Moi, par exemple, j’ai envie de faire l’amour beaucoup plus souvent que d’habitude. Tous les jours et parfois, plusieurs fois dans la même journée. L’hiver, je suis une fille plus sage tandis que l’été, je n’arrêterais pas. Il faut dire aussi, même si j’ai du mal à me l’avouer, que je suis une fille assez exhibitionniste. J’aime qu’on me regarde, j’aime provoquer, donner envie de moi. Je fais tout pour plaire et séduire. Lorsque je suis nue sur une plage, ce désir est encore plus violent. Les yeux cachés derrière mes lunettes noires (mon seul vêtement ), je peux épier les regards d’hommes qui se dirigent vers moi, qui s’attardent sur mes seins ou sur ma chatte, qui me détaillent, attendent le moment où ma position leur en montrera un peu plus… Quant à moi, je fais mine de ne me rendre compte de rien mais je joue un jeu trouble et délicieux avec ces hommes que j’aguiche et que j’excite avec une fausse naïveté… J’ai vraiment l’impression d’être caressée par leurs regards et cela me fait mouiller.
Bien entendu, il est souvent arrivé qu’on me fasse des propositions, qu’on me branche, que des types me demandent d’une manière plus ou moins directe de baiser avec eux. Je n’ai pas toujours dit oui, je n’ai pas toujours dit non. Plusieurs fois, j’ai quitté la plage des Salins en bonne compagnie, que ce soit pour aller faire l’amour à quelques mètres, là où la côte offre des recoins plus discrets, ou alors dans une voiture, chez mon nouveau partenaire… Jamais chez moi, par contre. Je n’invite pas un homme dans mon appartement quand je sais que ça ne durera pas avec lui.
Il y a quelques jours, je me suis retrouvée dans un hôtel. C’est cette expérience que j’ai eu envie de vous raconter. Elle m’a énormément excitée pour différentes raisons. Déjà, je me sentais un peu pute dans ma façon d’agir. J’accompagnais un homme dans un hôtel, un inconnu avec qui j’allais baiser dans une chambre complètement anonyme, et sans doute le quitter, tout de suite après. Il s’appelait Jacques et l’autre nouveauté était que cet homme était beaucoup plus âgé que moi, la quarantaine passée et sans doute plus proche de la cinquantaine. Cela faisait longtemps que je rêvais d’une aventure avec un homme mûr. J’avais été déçue plusieurs fois par des garçons de mon âge qui s’étaient montrés trop hésitants, malhabiles, peu sûr d’eux. Un homme comme Jacques, ça devait être bien, ça devait être super, j’en étais convaincue. En plus, il était beau mec, assez musclé, pas de ventre, les cheveux grisonnants avec une légère calvitie. Une belle queue, aussi ! Mais bon, ce n’est pas la première chose que je regarde, chez un homme, même s’il est à poil sur une plage.
Jacques aimait les femmes, cela se sentait. Il savait leur parler, les séduire, les faire rire. Il donnait l’impression d’en avoir connu beaucoup, d’avoir collectionner les maîtresses. Un type comme lui devait très bien baiser et savoir faire jouir une fille, c’est ce que j’ai pensé en répondant avec malices à ses premières avances. Puis, j’ai appris qu’il n’était que de passage dans la région. Jacques était V.R.P et s’était offert une petite halte sur cette plage. Voilà ce qui explique la chambre d’hôtel. J’ai passé deux heures délicieuses avec lui, deux heures durant lesquelles je me suis donnée sans retenue. Un homme qui sait y faire, c’est fantastique. Jacques me guidait, me dirigeait, je n’avais qu’à suivre ses conseils pour bien m’occuper de sa queue, un sexe court mais très large. Il me disait des choses comme :
– Oui, suce-la bien. Lèche le gland puis avale-la jusqu’à la garde… Frotte un peu le gland sur le bout de tes nichons… Branle-la entre tes seins;! Caresses mes couilles !
Il avait un petit côté autoritaire qui m’excitait encore plus. Il ne craignait pas de se laisser aller à fond avec moi et de se montrer un peu vulgaire. De me dire, par exemple :
– Ah, oui ! Qu’est-ce que tu suces bien, petite salope ! Bouffe-la ma queue ! Pompe-la à fond.
Ce qu’il m’a fait, par la suite, m’a rendu encore plus folle. Il m’a caressée, léchée, il m’a fait venir tête-bêche sur lui, en 69, et a pu ainsi s’occuper de mes deux orifices. Moi, je devais encore sucer sa queue et d’un coup, alors qu’il écartelait mes fesses, il m’a demandé :
-Tu aimes qu’on t’encule ?
Il s’est montré encore plus vicieux avec moi quand il a su qu’il pourrait aussi me prendre par derrière. Il a longuement fouillé mon anus avec sa langue avant de le pénétrer avec ses doigts pour me préparer à le recevoir. Hors de lui, il s’est écrié, tout en me doigtant :
Je vais bien te défoncer le cul, ma petite pute ! Te mettre ma grosse bite à fond et bien le limer.
Je n’étais plus très loin de jouir, tellement excitée par ses caresses et ses insultes. Je n’en pouvais plus et je lui ai demandé de me prendre. D’abord par devant et je lui ai dit :
– Tu m’enculeras après, baise-moi d’abord. Fais-moi jouir et je te donnerai ensuite mon cul.
Je n’avais jamais parlé comme ça à un homme avec qui je faisais l’amour pour la première fois. Je voulais le sentir sur moi et je me suis étendue sur le lit. Jacques m’a pénétrée et j’ai tout de suite remonté mes jambes dans son dos de manière être toute à lui. Tout en m’embrassant, il s’est mis à pétrir mes seins, à les caresser, à tirer sur les pointes ou à les faire rouler entre ses doigts. Déjà, je retenais mon orgasme. Par moment, il me murmurait d’autres cochonneries dans le creux de l’oreille :
– Tu es vraiment bonne à baiser, ma petite salope. Tu sens comme je bande dans ta chatte? J’ai la bite raide comme jamais…
Je me suis mise à crier en jouissant, incapable de me retenir tandis que mes ongles griffaient et labouraient le dos de mon amant. J’ai eu encore plus de plaisir quand j’ai senti que Jacques explosait et se laissait aller, lui aussi. J’ai eu du mal, par la suite, à retrouver mon souffle. Je n’avais pas le souvenir d’une jouissance aussi forte et aussi intense, avec mes anciens partenaires. Un moment plus tard, je laissais Jacques me sodomiser. Cette fois, il m’a prise en levrette, sans me faire souffrir malgré l’épaisseur de son sexe. Et grâce à son expérience et son savoir-faire, j’ai encore joui avec lui.
On a fumé une cigarette, puis quand j’ai voulu me rhabiller, il m’a interpellé.
– Je recommencerais volontiers !
J’étais partagé, d’un côté revivre ces instants n’était pas pour me déplaire, d’un autre côté, j’avais le sentiment que cet homme risquait de devenir collant. Pour moi c’était une bonne baise mais sans lendemain possible.
Comme je ne répondais pas à sa remarque il insista et là une idée m’est venue.
– Ce qu’on a fait, c’était gratuit, si tu veux continuer c’est 100 euros !
– T’es une pute alors ?
– Oui, ça m’arrive !
Et contre toute attente, je le vois aller vers son blouson et sort de son portefeuille la somme demandée.
– Voilà ! Mais est ce que je pourrais te dominer ! Sans exagération bien sûr…
J’ai crains de tomber sur un pervers sadique, j’ai été a deux doigts de refuser ses billets mais il faut croire que quelque chose me titillait. J’ai mis les choses au point en exigeant que la séance soit limité à une demi-heure maximum et refusait d’être attachée, bâillonnée ou les yeux bandés.
Il m’a fait m’allonger sur ses cuisses et m’a administré une bonne fessée, j’ai adoré cette sensation de sentir mon postérieur s’envahir d’une douce chaleur ponctuée par les frappes de ces mains suivantes.
Il m’a ensuite demandé de me coucher à même le sol et s’est branlé au-dessus de mon visage, me demandant d’avaler son sperme épais. Et alors que je pensais l’affaire terminée, il est resté au-dessus de moi son sexe en main.
– Ouvre la bouche, je vais pisser !
Et après qu’il m’ai arrosé copieusement de son urine, je lui ai demandé l’autorisation de me doucher, puis j’ai quitté l’hôtel. Je n’ai jamais cherché à le revoir, je vous dis, je ne m’attache pas.
Fin
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