Eros Cosmos

Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:32

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 16 – Retour au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni
StampFFH

 

Le voyage spatial s’est poursuivi sans incident notable. Avant l’atterrissage, j’ai expliqué aux filles que je possédais un cabaret mais que je ne pouvais pas y embaucher onze filles, j’en ai embauché trois, dont Valencia, j’en ai recommandé quatre autres auprès des gérantes de la Maison Parme et du Vagin d’Or; des bordels réputés pour leur bonne tenue, les autres se sont dispersées à droite et à gauche dans des établissements que je leur ai recommandés où elles pourraient exercer soit comme simples serveuses, soit comme entraineuses. Quant à Hofjom, il n’a aucun point de chute, je lui ai conseillé d’essayer de se trouver une activité et lui ai promis de l’aider s’il le fallait.

J’ai donc pas mal de choses à faire, j’accompagne les trois nanas que j’ai embauché à ma boite « le Diable rose » et les présente à Riquita, la belle transsexuelle, maintenant régisseuse des lieux.

– Bonjours Mesdames, bienvenue parmi nous !
– Bon, les filles, comme je vous l’ai dit, les clients ici viennent surtout pour chercher des contacts avec les transsexuelles, donc ne vous attendez pas à gagner le gros lot, mais je pense que vous arriverez à faire votre trou. Sinon en mon absence des choses particulières, Riquita ?
– Non ça roule plutôt bien ! Quelques bricoles mais rien d’important…
– O.K. Là j’ai un truc à faire, je reviendrais plus tard, je te laisse avec ces dames, je compte sur toi pour qu’elles soient bien intégrées à l’équipe.
– Et quand tu reviendras on pourra faire un petit extra.
– T’es une cochonne Riquita !

Et maintenant direction le Carrie’s bar. Petite anxiété, on ne sait jamais ce qui peut arriver pendant une longue absence.

Pas grand monde, un type est attablé et semble attendre quelqu’un. Marcia est derrière son bar.

– Quelle surprise, je vous croyais disparu ! M’apostrophe-t-elle.
– Eh non ! Carrie n’est pas là ?
– Elle est occupée !
– J’ai retrouvé l’assassin de Dernoul, son corps flotte maintenant dans l’espace et il n’est pas près de s’arrêter d’y flotter.
– Ouf ! Voilà qui m’enlève un poids. Je devrais sauter de joie, mais même pas, c’est ma fille qui va être contente, elle avait toujours une petite appréhension …
– Votre fille ?
– Oui, Carrie, c’est ma fille !
– Je l’ignorais…
– Eh bien désormais vous le saurez. En tous cas, je tiens à vous remercier, je suppose que ça n’a pas été facile ?
– Pourquoi dites-vous ça ?
– Tout ce temps.
– C’est une longue histoire.
– Je n’en doute pas.
– Je vais vous montrer le petit film que j’ai fait qui montre l’éjection de l’assassin dans l’espace.
– Laissez-ça capitaine, je vous fait entièrement confiance, je voudrais vous dire… Non laissez tomber, je dois être folle, on va attendre Carrie.
– Je ne pense pas que vous soyez folle, vous m’avez demandé un service, j’ai accepté de vous le rendre, alors soyez gentille, ne me cachez rien.
– Vous referiez l’amour avec moi ?
– Sans hésiter !
– Maintenant ?
– Si vous voulez !
– On attend que Carrie descende et on y va.

Des pas dans l’escalier… C’est Carrie qui descend précédée de son client. Ils se font un bisou d’aurevoir avant que la belle rousse s’aperçoive de ma présence.

– Tiens donc ! Vous ici ! Vue la mine réjouie que nous fait Mamie, je suppose que les nouvelles sont bonnes ?
– Oui…

Je répète un peu ce que j’ai déjà dit à Marcia.

– Et ce gars-là, il était seul, il n’avait pas de complice ?
– Je ne crois pas il aurait eu des complices, les choses ne se seraient pas passées comme ça. Là, il a fait tout le boulot lui-même : envoyer un innocent au casse-pipe pour savoir d’où venait l’appel au restaurant, assassiner Dernoul en faisant croire à un crime rituel, venir cambrioler ici, puis se faire embarquer sur mon vaisseau…
– O.K.
– Je vais monter avec lui, ça me fera du bien ! J’ai envie de me détendre ! Lui indique Marcia.
– Moi aussi je me détendrais bien, après ces bonne nouvelles ! Intervient Carrie.
– Eh bien, viens avec nous quelques minutes ! Lui suggère sa mère.

Aucune objection

Voilà un trio qui s’annonce insolite. La fille et la mère ensemble ! Qui a entraîné l’autre dans l’exercice du plus vieux métier du monde ? Je ne l’ai jamais su et me suis bien gardé de poser la question, ce sont des choses qui ne me regarde pas… même si j’aurais bien voulu savoir.

Nous voilà en chambre, ces dames se déshabillent sans cérémonie, j’en fais donc de même, j’ignore si la séance est gratuite. Je sors ma carte de paiement.

Non, non, c’est la maison qui régale ! Me dit Marcia. Et ce n’est pas une passe, c’est une détente récréative !

J’aime bien le mot.

Marcia se pointe devant moi et m’attrape mes tétons pour ensuite me les tortiller et me les pincer. C’est qu’elle a de la mémoire la mamie ! Mais moi j’en ai aussi et c’est à mon tour de faire souffrir ses bouts de seins. Nos visages finissent par se rapprocher, on se roule un patin ! Elle est délicieuse la Mamie.

– Quand vous aurez fini de batifoler tous les deux, vous viendrez me rejoindre ! Nous dit Carrie en se couchant de tout son long sur le lit, les cuisses écartées.

Un peu compliquée cette situation, car je me demande qui est vraiment maître du jeu. Vous me direz qu’il n’est pas nécessaire qu’il y en ait un, mais parfois ça permet de savoir où l’on va !

– C’est mon copain, j’ai bien le droit de flirter un peu avec lui ! Répond Marcia.

Carrie ne répond pas, nous on se pelote quelques minutes, puis Marcia m’entraine vers le lit.

– T’a envie de te faire caresser ? Demande Marcia à sa fille.
– Ben oui, c’est bien pour ça que je suis montée, occupez-vous un peu de moi et après je vous laisserai tous les deux..
– Occupe-toi de ses seins, me dit Marcia, on va la faire monter au plafond.

Stoffer16
C’est qui « on » ? Et je réalise en voyant la langue de Marcia commencer à butiner la chatte de Carrie. Sur le coup ça fait drôle ! L’inceste reste encore un tabou tenace… Mais je m’en voudrais d’être bornée, la bonne question étant de se demander si en faisant cela Marcia et Carrie font du tort à quelqu’un. La réponse est tout de suite trouvée. Alors je laisse Marcia lécher sa fille et viens m’amuser des jolis tétons bruns de la belle Carrie.

Cette derrière ne reste pas inactive et sa main m’a attrapé la bite qu’elle branle avec une belle vigueur.

– On change ! Me dit Marcia au bout de quelques minutes.

Pourquoi pas ?

C’est donc mon tour de venir laper la chatte de la jolie rousse, je pensais que Marcia allait reprendre le travail sur ses seins, Mais non, celle-ci la chevauche au niveau du visage et lui donne son anus à lécher. Fantastique, ce n’est pas tous les jours que l’on voit une fille lécher le cul de sa mère. Ça fout vraiment la trique de voir ça !

– J’adore lécher le trou du cul de ma mère ! Commente sa fille.

J’avais compris ! Toujours est-il que la belle Carrie geint de plus en plus, et de plus en plus fort, ma langue s’enroule autour de son gros clitoris, le balaie, mes lèvres l’aspirent, et la voilà qui hurle comme une damnée. Elle jouit, je suis assez fière de moi.

– C’était bien, je vous laisse en amoureux ! Dit-elle en se relevant et en se rhabillant prestement.

Amoureux ? Faut peut-être pas exagérer, non plus ! Mais c’est vrai que j’ai énormément d’affection pour cette Mamie pute !

– Quelque chose t’as choqué ? Me demande Marcia, mais elle connait déjà ma réponse !
– Mais non, c’était très décontracté, très naturel, et puis très excitant aussi.
– Ça ne m’étonne pas, il suffit de voir ta bite ! Mets-toi donc en levrette, je vais te faire un petit truc qui va te plaire !

Je m’exécute de bonne grâce et tends mon cul à ses privautés.

C’est d’abord sa langue qui vient me chatouiller le petit trou. Elle fait preuve dans cet exercice d’une agilité phénoménale à ce point que je frétille d’aise. Le doigt, je devrais dire deux doigts, viennent ensuite faire quelques allers et retours bien appréciable. Puis comme je pressentais, la voici qui m’introduit un gode ! Elle ne me l’a pas préalablement montré, je ne sais donc ni comment il est, ni quelle est sa taille, mais ça me fait un bien fou.

Ça va, ça vient, je suis aux anges. J’aime tellement que l’on s’occupe du mon cul ! Elle retire le gode d’un coup sec me provoquant un spasme de plaisir, mais c’est pour le remettre aussitôt.et me le laisser,

– Maintenant retourne-toi, je veux que tu me baises.

La dernière fois je l’avais sodomisé. Aurais-je encore cette fois-ci droit à cette fantaisie que j’aime tant ? Peut-être pas, elle s’est allongée sur le dos. Je la pénètre d’abord doucement avant de m’agiter frénétiquement, n’en pouvant plus de toute cette excitation contenue.

– Dans mon cul ! Finit dans mon cul !

Je me retire tandis que Marcia lance ses jambes au ciel dégageant son anus, son charmant petit anus que sa fille à léché tout à l’heure devant mes yeux ébahis.

Le souvenir de cette scène ne contribue pas à me faire débander, vous vous en doutez bien, et c’est donc un membre tout raide qui vient l’enculer.

J’ai du mal à retarder mon plaisir, en fait j’attends que le sien monte. Et quand je la sens prête à partir je me lâche.

– Donne moi ton sperme ! Arrose-moi m’implore-t-elle

Nous avons joui pratiquement ensemble, mon foutre à giclé sur son visage et sur ses seins et nous nous sommes enlacés comme deux vieux amants.

Je ressors épuisé de cette petite séance, bien sûr toutes deux sont des professionnelles aguerries, mais avec Mamie Marcia, j’ai l’impression qu’il se passe quelque chose… Elle a une de ces façons de me regarder. Il ne faudrait pas qu’elle devienne amoureuse non plus.

La question de Carrie sur d’éventuels complices de Levkovich m’a interpelé. Je reste persuadé qu’il n’en avait pas. Mais le type faisait partie néanmoins d’une organisation, il avait donc un contact, quelqu’un à qui rendre des comptes.

Et ce quelqu’un j’en connais le nom, il se nomme Laburo. Alors essayons de voir comment ça a pu se passer.

Question préalable, Laburo était-il sur Vargala lorsque Levkovich a décidé de partir dans l’espace ? Facile à vérifier, en tant que capitaine j’ai accès à pas mal d’informations sur le trafic de l’astroport, mais je n’ai pas accès à celles ayant trait au trafic passagers. Qu’importe, je demande à Dyane d’aller chercher le renseignement auprès de la capitainerie. Ce ne sera pas gratuit, mais le gars de permanence lui donne tous les renseignements voulu contre une bonne pipe… même si parfois il en demande un peu plus.

Ce genre de chose amuse Dyane, ça ne l’excite pas, non ça l’amuse.

– C’est le mec des alcools, il vient tous les six mois, il est sympa, il m’apporte toujours une super bouteille. Précise, Rudy, le gars de la capitainerie en se reculottant.
– Les livraisons d’alcools ne se font que tous les six mois ?
– Non bien sûr, mais Monsieur Laburo se déplace personnellement tous les six mois environ.
– Mais, là, il est reparti…
– Oui !
– Ça vous ennuierait de me prévenir quand il va revenir ?
– Je ne peux pas vous promettre, je peux oublier et puis je ne suis pas toujours là, d’ailleurs faut que je prenne quelques vacances…

Bon je suppose donc que Levkovich a envoyé un message à ce Laburo pour le prévenir de son embarquement. Il n’y avait rien sur le spacephone qu’il a emporté sur le vaisseau, ce qui ne veut rien dire, un message ça s’efface… ou alors, il a fait ça sur un autre appareil qu’il a sans doute fait disparaître. Peu importe. en toute logique, Laburo après avoir reçu le message devrait rappliquer afin de de prendre connaissance du résultat de la mission du toubib.

Bon voyons, Laburo étant probablement toujours en vadrouille, le message a dû être envoyé à sa société qui ensuite lui a retransmis, donc six semaines environ pour recevoir le message, ensuite il faut qu’il se prépare et qu’il rapplique, on peut donc ajouter quatre autres semaines. Donc il ne devrait pas tarder, et on ne sera pas forcément prévenu.

Une fois qu’il aura atterri, il va tenter de joindre Levkovich, qui évidement ne lui répondra jamais plus. Il va donc enquêter. Or le toubib lui a probablement donné le nom de mon vaisseau. Il va donc soudoyer l’officier de permanence qui lui dira qu’on est revenu, et le type va essayer de me contacter.

Voilà une perspective qui me fait froid dans le dos. Il faut absolument que je trouve le moyen de prendre ce type de vitesse.

Que faire ? Je peux toujours envoyer mes collègues au cosmodrome guetter l’arrivée d’un éventuel cargo rempli de caisses d’alcool, mais ça ne me dit pas ce que je ferais après. Et puis rien ne dit qu’il viendra forcément en cargo.

Je réfléchis, j’ai une amorce de plan, je renvoie en urgence Dyane sucer la queue du gars de la capitainerie, il s’agit cette fois de récupérer la photo holographique de Laburo.

– Ça sent le louche ! Objecte Rudy.
– C’est possible, mais personne n’en saura rien. Lui répond ma charmante seconde de vaisseau
– Et si je dis non ?
– Pourquoi dire non quand on peut dire oui.
– Alors je veux du fric en plus !
– Pas question, ça laisse des traces, mais une entrée gratuite dans un cabaret très chaud pendant un mois.
– C’est quoi ce cabaret ?
– Le Diable Rose
– C’est pas un truc de travelos ?
– Il y a des femmes aussi, et des canons…
– Alors deux entrées et une pipe.

Bref on a eu la photo. Nerren, Dilos et Nadget ont été d’accord pour se relayer au cosmodrome et surveiller toutes les débarquement de passagers. Tâche on ne peut plus ingrate, puisque le trafic ici est loin d’être intense.

J’ai confié une tout autre tâche à Gundula bien plus retorse.

– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Oui, parce que c’est dans tes cordes, que je n’ai pas d’autres idées, et que si ça ne marche pas, on va tous y passer, et pas forcément en douceur.
– Bon, bon…

Le remplaçant de Levkovich dans sa clinique s’appelle Zolier. Gundula après s’être habillée bien sexy demande à le voir.

– Gundula Miller, je viens me faire réembaucher comme convenu avec le docteur Levkovich.
– Pardon ? Mon confrère ne m’a laissé aucune instruction en ce sens.
– Il aura oublié, il a toujours été distrait, mais j’avais pris quelques semaines sabbatiques et…
– Ne bougez pas, je regarde…
– Aïe, oh la la !
– Qu’est-ce qu’il vous arrive ?
– Un machin dans l’œil.
– Faites voir !

Les deux paires d’yeux se croisent.

– Je ne vois rien !
– Regardez mieux, je sens bien que j’ai quelque chose. Vous allez vous endormir, monsieur Zolier, regagnez votre fauteuil. Voilà, vous allez sur ma fiche dans l’ordinateur et vous remplacerez le mot démission par « congé sabbatique ». Allez-y ! Ça y est c’est fait ? Ce n’est pas tout, quand je claquerais des doigts comme ça, vous me devrez obéissance. Maintenant, réveillez-vous.
– Oh, j’ai eu comme un moment d’absence, ce doit être la fatigue, on n’en était où ?
– Vous vouliez contrôler ma fiche !
– Ah, oui ! Donc… Ah, voilà ! Donc vous étiez en congé sabbatique, vous voulez reprendre le travail quand ?
– De suite !
– Attendez demain…
– Non j’ai besoin de travailler..
– On va être en sureffectif…
– Ce n’est pas mon problème cher monsieur, puis-je avoir une blouse et un vestiaire…

Bref le loup ou plutôt la louve était dans la bergerie, il suffisait maintenant d’attendre le mouton.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:29

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 15 – Sexe et crime à bord du Rosamonda par Nicolas Solovionni
Black11

 

– Quand tu es venue me chercher avec le capitaine Stoffer, je n’étais pas rassurée du tout, je ne l’ai pas montré parce que dans mon métier j’ai appris à me montrer cool devant les dangers potentiels. Mais je craignais une embrouille, je me disais « on va me détecter une maladie imaginaire pour m’isoler et ensuite me revendre à un trafiquant de nanas…, on va me faire une piqure… » alors j’ai utilisé la seule arme que je pratique à fond : le sexe. Mon plan était au minima d’obtenir une réaction du genre : on ne peut pas lui faire ça à elle, elle est trop belle… Oui je sais, je ne suis pas modeste, mais je sais aussi ce que je vaux. Je pouvais aussi aller plus loin et créer une « envie de recommencer ». Ça a parfaitement fonctionné avec toi et je ne regrette pas, t’es trop mignonne ! Explique Tallulah.
– Merci,!
– Quand je suis sortie de l’infirmerie, je ne savais pas trop si j’avais réussi à me sortir d’un traquenard ou si le traquenard n’existait pas. Je n’étais pas sûre à cent pour cent, mais je n’ai rien dit aux autres filles, je me suis dit que si la prochaine ne revenait pas de l’infirmerie, c’est qu’il se serait passé quelque chose de louche, mais elles sont toutes revenues.
– T’es une drôle, toi ! Commente Gundula
– Et encore tu ne me connais pas ! Viens donc me brouter la chatte.
– T’es insatiable !
– Oui, parfois…
– Allonge-toi ! J’arrive !

Les deux femmes se déshabillent de conserve, Tallulah s’allonge sur la bannette… sur le dos…

– Non de l’autre côté, j’ai envie de voir tes fesses !
– Pourquoi ? Tu veux me donner la fessée ?
– Non, je ne pensais pas à ça, mais si tu insistes, ça peut se faire aussi !
– Juste quelques petits coups, j’aime bien !

Gundula n’allait out même pas refuser de faire plaisir à sa partenaire et se met à lui claquer les fesses pendant quelques minutes. Tallulah apprécie la chose en poussant de petits frémissements

– Whah ! Arrête un peu, ça me chauffe !
– O.K, on va passer à autre choses. Je t’ai apporté une petite surprise ! Dit alors Gundula en sortant d’on ne sait où un magnifique gode.
– Oh, qu’il est beau ! Tu sais il y a une éternité que je n’ai pas fréquenté ces machins-là, t’as trouvé ça où ?
– Dans le mess avec les gâteaux à apéro !
– Y’en avait d’autres ?
– J’ai pas cherché.
– Et tu comptes me le mettre où ça ?
– Un peu devant, un peu derrière.
– Il a un vibreur ?
– Oui, on peut faire plein de réglages. Il y a 115 vibrations différentes !

Gundula se penche sur sa nouvelle amie et elles échangent un baiser passionné tout en se pelotant les seins, les fesses, les cuisses et le reste.Stoffer15

– Ah, tu sais j’ai regardé si on avait des trucs à maquillage, on a rien en stock mais je peux te refiler un peu de mon vernis à ongles
– Non t’es gentille, mais les copines vont se figurer que j’ai droit à un traitement de faveur, ça va faire des histoires. C’est bête quand même, moi qui avait de si jolis pieds, Je me les suis complètement déglingués sur cette foutue planète !
– Fais-moi voir ça !

Gundula saisit le pied droit de sa camarade de jeu et dépose un chaste bisou sur le dessus.

– Il n’y a rien de catastrophique, quelques bonnes crèmes là-dessus quand on se sera posées et tout ira bien.
– Tu parles !
– Je te sucerais bien le gros orteil !
– Suce, ma chérie, suce !
– D’habitude c’est moi qui me fait sucer.
– Je m’occuperais de toi après…

L’infirmière lèche le pouce du pied de sa copine avec gourmandise, l’enduisant de sa salive. Puis une fois satisfaite, elle fit subir le même sort à l’orteil gauche. On ne sait jamais, dès fois que le goût en soit différent.

– A moi maintenant ! Propose Tallulah. Passe-moi ton panard !
– Attends, laisse-moi faire un truc rigolo.

Gundula approche son pied de la chatte de la blackette, puis une fois en contact se met à faire bouger ses doigts de pieds.

– On me l’avait jamais faite, celle-là !
– C’est comment ?
– C’est rigolo, mais ça me donne envie de pisser, il va falloir que je fasse, ça m’embête de me rhabiller, tu n’aurais pas un verre ?
– Un verre ? Si ! J’ai ça !

Tallulah place un grand verre entre ses cuisses et urine dedans.

– Tu sais l’autre fois, je jouais avec Dyane, elle avait envie de pisser…
– Et elle t’y a fait goûter, c’est ça ?
– Comment t’a deviné ?
– Qu’est-ce que tu aurais pu me raconter d’autre sinon ?
– Oui, évidemment ! Je suis bête !
– Tu n’es pas bête, tu es adorable ! Et tu as aimé ?
– Ben, c’est le petit côté pervers qui est excitant, et puis le goût n’est pas mauvais.
– Alors, je t’en prie, bois un coup !
– Comme ça dans le verre ?
– Ben oui !
– Bon d’accord !

Gundula en avale une gorgée.

– C’est bon, mais je préfère quand ça sort de la chatte ! commente-t-elle.
– O.K. si j’ai encore envie tout à l’heure je te pisserai directement dans la bouche.
– Et toi, tu n’aimes pas ça ?
– Moi j’aime plein de choses, je te dis, on est fait pour s’entendre. Bon dis- donc ton gode, si on s’en servait.

Et tout en disant cela Tallulah se met en position sur la bannette, les jambes bien écartées et les mains sous les fesses afin de rendre l’accès à son anus plus facile.

Gundula lèche le gode afin de bien l’humecter puis l’approche du vagin de la blackette.

– Non pas comme ça… ou alors si… juste un peu mais après tu me le fous dans le cul et tu me lèches en même temps !

L’infirmière introduit le sex-toy dans la chatte de sa partenaire et actionne le vibrateur intégré. Elle n’en maîtrise pas bien les réglages et le positionne sur l’une des fréquences les plus élevées.

– Whaouh ! C’est diabolique ce truc ! Arrête-moi ça !
– O.K.
– Mais qu’est-ce que tu fais ? Pourquoi tu l’arrêtes ?
– Tu viens de me le demander !
– J’ai changé d’avis ! Remets-le, mais essaie de faire monter la puissance progressivement.
– Je ne sais pas faire.
– Alors vas-y à fond ! Aaaahh ! Oh, lala ! C’est pas vrai…

Et Tallulah, se met à jouir dans un geyser de mouille.

– C’est bien la première fois que je prends mon pied aussi vite !
– Tu le veux dans le cul, maintenant ?
– Je ne sais plus ! Essaie pour voir ! On plutôt non, c’est moi qui vais te le foutre dans ton petit cul. Tourne-toi !
– Super !

Gundula s’étant mise en levrette, Tallulah commence par lui lécher la rondelle.

– Hum, il a un goût délicieux ce petit trou du cul là !
– Tant mieux, régale-toi ! Oh, je sens quelque chose qui entre !
– Tu n’as pas reconnu mon doigt !
– Cochonne, c’est bon ce que tu me fais !
– Bien sûr que c’est bon ! Et maintenant le gode ! Comment ça se règle ce machin-là ? Je vais déjà le rentrer comme ça ! Ça va ?
– Oui ça va, j’aime avoir le cul rempli.
– Bon alors le réglage, ça doit être comme ça !
– Wha Wha !
– C’est à quel sujet ?
– Aaaaaah !
– Eh bien, t’es aussi rapide que moi aujourd’hui ! Commente Tallulah en sortant le gode du cul de l’infirmière.

Elle arrête le vibrateur et le porte à sa bouche !

– Ben tu fais quoi ?
– Je le rince !
– Mais il n’est peut-être pas bien propre !
– Oh, tu sais j’en ai vu d’autres ! Embrasse-moi !

Mais avant de quitter la cabine de Gundula, la blackette se retourne :

– Ah, il faut que je te demande un truc !
– Oui.
– Débrouille-toi pour trouver le mode d’emploi de ce putain de godemiché !

Si l’action que j’ai entreprise auprès des filles avec Gundula me paraît suffisante, il n’en est pas de même en ce qui concerne Kinsky.

Que va-t-il faire après l’atterrissage sur Vargala, en toute logique, il devrait récupérer sa carte de paiement dans une banque automatique, puis se réinstaller à l’hôtel, jusque-là ça va… Mais ensuite, il va très probablement contacter ses supérieurs… et là ça se complique. Il va leur dire quoi ? Que la piste était mauvaise, qu’il n’y avait aucun vestige des précurseurs, qu’il y a eu une embrouille, un naufrage et que ses compagnons sont tous morts…

Et là, de deux choses l’une, tout dépendra de son interlocuteur, ou ses chefs classeront le dossier et on rapatriera le bonhomme sur une planète moins mafieuse. Ou alors il va tomber sur un type pugnace, qui va le débriefer en employant les grands moyens, à ce stade il est probable qu’on s’apercevra qu’il a été hypnotisé, il aura droit à un feedback et du coup tout le monde se retrouvera en danger.

Est-ce que je suis prêt à prendre ce risque ? Bien sûr que non ?

Je sais je n’aurais jamais dû accepter de l’embarquer, mais on ne peut pas toujours penser à tout, et il tellement facile de dire après ce qu’il fallait faire avant.

J’avais bien une petite idée, mais pour me justifier il me fallait me renseigner auprès des filles. Il s’avéra d’après les dires de ces demoiselles que Kinsky avait participé activement à plusieurs séances punitives, il n’était pas le pire, il n’était pas le meilleur non plus, mais les filles le haïssaient.

Il m’en fallait pas plus, je me concertais avec mon petit état-major et on se mit d’accord. Le plan était simple, et s’il ne fonctionnait pas on en trouverait un autre.

C’est Nadget qui fut chargée d’introduire le ver dans le fruit. Elle ne savait trop comment mais comptait sur ses capacités d’improvisation. Elle croisa Valencia dans la coursive.

– Est-ce que je peux avoir un autre tee-shirt, j’ai fait craquer le mien, je ne sais pas comment ! Lui demanda cette dernière ‘
– Ou bien sûr, viens avec moi, mais comment tu as pu faire ça ?
– Ce doit être à cause de mes gros nichons.
– Ah la ! Tout se détraque dans ce vaisseau, les tee-shirt, les serrures…
– Les serrures ? S’étonna Valencia.
– Ben oui, c’est la première fois que je vois ça, la porte de la cabine de Kinsky ne ferme plus.
– Ah bon, il peut sortir comme il veut alors ?
– Pour aller où ?
– Oui bien sûr ! Bien voilà ton tee-shirt; tu veux l’essayer ?
– Tout ça pour reluquer mes nichons ? Non, c’est ma taille, bisous ma grande.

L’idée c’était bien sûr que la fille répète à ses copines que la cabine de Kinsky était en « entrée libre ».

Toujours est-il que le lendemain on retrouvait le biologiste pendu dans sa cabine à l’aide de sa ceinture. Exactement comme Levkovich. Sauf qu’en ce qui concerne Levkovich c’était réellement un suicide.

J’ai sans tarder réuni les filles dans le mess, nous avons placé nos paralyseurs à la ceinture au cas où ça tournerait mal, mais j’ai l’intention de désamorcer d’emblée la tension.

– Bon, je serais bref, Kinsky a été assassiné cette nuit… Ce meurtre, je devrais plutôt dire cette exécution a été maquillé en suicide, mais ça ne prend pas !

La tronche qu’elles font !

– Je vais être très clair : je n’essaierai pas d’en savoir davantage, je désapprouve cette acte, mais je peux le comprendre. Le journal de bord indiquera qu’il s’est suicidé. Cela dit, faudrait pas non plus nous prendre pour des imbéciles, Il s’est débattu et ses ecchymoses sur le visage ne sont pas dues à la strangulation. C’est tout, mesdames; vous pouvez disposer.

Quelques heures plus tard, je m’arrangeais pour « coincer » Elvira.

– Maintenant que tu n’as plus rien à craindre, tu peux peut-être me dire ce qui s’est passé.
– Non ! Je peux juste te dire que quand nous avons appris incidemment que nous pouvions rentrer dans sa cabine, on s’est toutes concertées, nous n’étions pas toutes d’accord, mais la majorité était pour qu’on lui fasse sa fête ! Après on a décidé que notre responsabilité serait collective. On va donc dire que nous l’avons tué toutes les onze, et je ne te donnerais pas d’autres détails.
– Alors, n »en parlons plus.

Le plan avait donc parfaitement fonctionné. Cela dit je n’étais pas très fier de moi ! J’avais agi comme un salaud en faisant faire le travail par d’autres, et en me donnant le beau rôle ensuite. Personne n’est parfait ! Me direz-vous, n’empêche que je me demande pourquoi je n’ai pas eu les couilles de faire ce travail moi-même.

Hofjom est complètement transformé depuis sa nouvelle hypnose. Il glande et pour s’occuper il s’est mis à draguer. Il partage désormais sa couche avec Dorine l’une des filles que nous avons récupérées sur Dermoula 7. Tout va donc bien de ce côté-là.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:26

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 14 – Hofjom, homme objet par Nicolas Solovionni
Trio2

 

– Vous m’avez épuisée mais ça m’a fait du bien ! Je peux y aller ? Demande Tallulah
– Oui…
– Je dis à une copine de venir ?
– Non, on fera un examen par jour.
– Ah ! Est-ce que je peux formuler une requête ?
– Bien sûr
– On a rien pour se faire belle, vous n’auriez pas un petit peu de maquillage, et aussi du vernis pour les ongles ?
– On y a pas pensé, je vais regarder, mais je crains qu’on n’ait pas grand-chose.

Maintenant que Tallulah a regagné sa cabine, se posent deux questions : La première est de savoir si l’hypnose a fonctionné, pour cela il faut l’interroger mine de rien, mais on ne pourra pas le faire tout de suite, les filles vont parler entre-elles, et il faut éviter que quoi que ce soit leur mette la puce à l’oreille. La seconde c’est la raison de cette soudaine et insolite montée de libido.

Et voilà Hofjom qui se pointe, je l’avais oublié celui-là. C’est vrai que depuis que Levkovich l’a débriefé, il est devenu doux comme un agneau et ne sort de sa cabine que pour partager nos repas sans quasiment piper mot.

– J’aimerais bien me rendre utile ! Me dit-il.
– Oui, je comprends bien mais tu as été malade, je préfère que tu te reposes.
– Non, non, je ne suis plus malade.

Un vrai boulet ce mec. Et je réalise soudain qu’on l’a complètement oublié dans notre plan d’hypnose.

– Bon, je t’envoie Nadjet, elle va t’examiner et regarder si tu es bon pour le service. Si c’est bon on te fera travailler.

Et tout content, il regagne sa cabine en sifflotant.

J’avise Gundula et lui demande de s’occuper de lui.

– Vas-y avec Nadget. Tu en profiteras pour le persuader qu’il a encore besoin de repos pendant plusieurs jours, j’ai pas envie d’avoir ce type dans les pattes.

– Bonjour mon grand, on vient voir si t’es en bonne santé ! Lui dit Nadget en pénétrant dans sa cabine.
– Je me sens en pleine forme ! Répond Hofjom.
– Oui, ça à l’air, mais on va vérifier. Déshabille-toi !
– Entièrement !
– Oui !

Gundula croise le regard de sa collègue, ne comprenant pas la raison cette procédure. Cette dernière répond d’un clin d’œil énigmatique.

L’homme entreprend de se déshabiller, mais semble gêné quand il ne lui reste plus que le slip à retirer.

– Tu enlèves tout !
– C’est vraiment indispensable ?
– Oh ! Que oui !

Il se débarrasse de son slip.

– Oh, mais c’est qu’il bande, le monsieur ! S’exclame Nadget.

En fait sa bite était demi-molle mais ne demandait qu’à durcir…

– Je ne le fais pas exprès ! Balbutie Hofjom.
– C’est nous qui te faisons bander ?
– Ben, vous êtes des belles femmes !
– Ah ! Monsieur est un gentleman ! Tu as vu cette bite Gundula, elle est en train de nous dire bonjour !
– C’est donc un bite bien polie !
– Vous jouez à quoi, toutes les deux ? Demande l’homme.
– Disons qu’on pourrais joindre l’utile à l’agréable, une bite qui bande bien, c’est un signe de bonne santé, non ? Vous permettez que je touche ?
– C’est peut-être gênant ? Répond l’homme sans trop de conviction
– Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Rétorque Nadget en portant sa main sur le sexe érigée, puis en lui imprimant quelques mouvements masturbatoires.

Hofjom s’accommode de la situation, même s’il se demande quelles sont les réelles intentions de ces deux femmes.

– Je la sucerais bien, qu’est-ce que tu en pense, Gundula ?
– C’est tentant !
– Alors, on y va.

Les deux coquines s’accroupissent devant l’objet de leur concupiscence. Nadget embouche la bite et après quelques mouvements de la langue et des lèvres, passe le relais à Gundula.

Elles jouent quelques moments à « passe bite », puis Gundula glisse derrière l’homme, lui flatte les fesses, les écarte, vient lui butiner l’anus de sa langue et afin que le délire soit complet, finit par lui pénétrer son doigt mouillé.

Excité par devant et par derrière, le « pauvre » Hofjom n’en peut plus. Nadget sent dans sa bouche une goutte de liqueur pré-séminale s’extraire du méat de l’homme. Elle stoppe donc sa fellation au grand dam de l’intéressé.

– Vous ne continuez pas ? Ose-t-il demander.
– Si, on peut, mais tu as peut-être envie de nous baiser ? Répond la blackette
– Toutes les deux ?
– On peut s’arranger… Répond la femme en retirant prestement le bas.

Gundula ne voulant pas être en reste en fait de même. Et voilà donc nos deux coquines le cul à l’air (ou la chatte à l’air, question de point de vue !)

– A toi de jouer mon grand, mais essaie de tenir la distance !
– Euh…
– Bin quoi, ça ne t’intéresse pas ?
– Toutes nues, ce serait mieux, non ?
– T’entends ça, Gundula, il veut voir nos nichons.
– C’est un cochon !
– Je demandais juste comme ça.
– Bon, on va te faire plaisir ! Dit finalement Nadget en se débarrassant de son haut et de son soutif,

Gundula l’imite. Hofjom n’en peut plus, ses yeux semblent prêts à sortir de leur orbite

– Vous êtes très belles ! Balbutie-t-il, je peux toucher ?
– Tu ne serais pas un peu trop gourmand ? Viens nous baiser, tu commences par qui ?

Il désigne Gundula, qui se met sur le dos. L’homme s’approche et se met à la pilonner en cadence.

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– Garde-en pour moi ! Lui lance Nadget.
– Je ne sais si je vais pouvoir…
– Tu as tort, je t’offre mon cul !

L’argument a porté, Hofjom change de partenaire et encule la belle blackette. Ça ne dure pas bien longtemps tellement il est excité, il éjacule une bonne dose de sperme dans le conduit anal, puis retire sa bite poisseuse de sperme et légèrement mordeuse. Nadjet s’en empare et entreprend de nettoyer tout ça.de sa langue vicieuse.

– Tu le fais avec moi ? demande-t-elle à Gundula
– Attends, il a des taches de merde…
– Justement c’est encore meilleur.
– T’as des drôles de goûts !
– Essaie donc !

Gundula reprend sa respiration et vient lécher à son tour.

– Hum, t’as raison, c’est excitant de faire ça !

Mais la bite de Hofjom fut vite nettoyée par les deux coquines.

– Il m’en a foutu plein, j’ai le cul qui coule. Fit remarquer Nadjet
– Je parie que tu vas me demander de nettoyer ça aussi !
– C’est comme tu veux, ma chérie !
– Alors j’y vais, tu va voir que je peux être aussi salope que toi.

Ce petit nettoyage accompli, Hofjom regarde Gundula avec des yeux d’amoureux transi. L’occasion est trop belle. Une minute après l’homme était hypnotisé.

– On n’a même pas pris notre pied ! Déplore Nadget.
– On va arranger ça, un petit soixante-neuf dans ma cabine, ça devrait le faire, non ?
– Mais bien sûr ma chérie !
– D’autant que j’ai très envie de gouter à ton cul !
– Salope !
– Je sais !

– On aurait dû commencer par Kinsky, me dit Gundula, lui au moins il ne risque pas de parler à quelqu’un.
– Bonne idée, on va faire ça de suite.
– De suite peut-être pas, attendons une demi-heure…

On a été cherché le bonhomme, mais c’est qu’il ne voulait pas et qu’il s’est mis à rouspéter.

– Ecoute pépère, j’ai un protocole sanitaire à respecter, ça va durer 10 minutes, alors soit tu viens gentiment, soit je te fais emmener de force.

Il finit par obtempérer, et cette fois pas de préliminaires. Directo, le fond de l’œil

– Vous ne bougez pas et vous gardez les yeux ouverts, sinon ça va durer trois semaines !

Il m »énerve ce type.

– Vous êtes sûr que vous êtes habilité à faire ça ? Rouspète-t-il
– Vous voulez voir mon diplôme ! Lui répond sèchement Gundula
– Vous l’avez eu comment votre diplôme ?

Et par pur réflexe, Gundula lui retourne une gifle. Une belle gifle !

– Mais…
– Et maintenant si vous continuez à faire l’andouille je vous administre un sédatif.
– Bon allez-y, faites joujou, mais un jour je vous la ferais ravaler votre gifle !
– C’est ça, bon laissez bien les yeux ouverts

Le type ne lutte plus, Gundula peut alors lui faire son baratin,

– Vous êtes venu ici sans résistance, la bâtisse rouge n’a jamais existé, ce n’est qu’un formation naturelle…

Elle le réveille, il a l’air légèrement surpris.

– Excusez-moi, j’étais parti ailleurs, ce doit être la fatigue…
– Pas grave. On va vous raccompagner à votre cabine, vous avez besoin de reprendre des forces, vous allez faire une cure de vitamines.
– J’en veux pas de vos vitamines.
– C’est vous qui voyez ! Au fait une petite question comme ça : le machin rouge qu’on a aperçu sur la planète, c’est quoi au juste ?
– Une bizarrerie de la nature, qu’est-ce que vous voulez que ce soit d’autre ? Pourquoi cette question ?
– Parce qu’on aime bien poser des questions. Et sinon il y avait des choses à découvrir sur la planète ?
– Oui des crabes !
– Et Calloch, il n’a rien découvert ?
– Qu’est-ce que vous auriez voulu qu’il découvre ? C’est curieux comme un homme peut changer, il était bien au début et puis il a craqué, il est devenu fou à lier.

On raccompagne le bonhomme et dès sa porte refermée, Gundula se jette dans mes bras !

– Ça a marché ! Ça a marché !

Certes, et c’est l’essentiel, n’empêche qu’en ce qui concerne la subite poussée de libido de Tallulah, je n’ai toujours pas compris. Rien de ce genre avec Kinsky, cela aurait été d’ailleurs compliqué à gérer, ni avec les dix autres filles.

Il y a quand même eu une conséquence collatérale, c’est que depuis cet événement, Gundula et Tallulah sont tout le temps ensemble et semblent vivre le parfait amour. Tant mieux pour elles.

Tallulah ne tarda pas à se laisser aller à une étrange confidence auprès de na nouvelle conquête quand elle vint lui faire un petite visite dans sa cabine :

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:24

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 13 – Kinsky, le biologiste, suivi de Tallulah, la coquine par Nicolas Solovionni
Trio2

 

On a donc décidé de tenter de rechercher le dénommé Razoff, mais aussi Kinsky, le biologiste et Hayron l’architecte

Avec Nerren, nous avons endossé nos réacteurs dorsaux et avons longé les berges du lac. Le détecteur s’est mis à sonner indiquant la présence d’or. On est descendu, on a affiné le signal, trouvé la chevalière en or de Razoff, Son cadavre complètement « nettoyé » par les crabes trainait dix mètres plus loin . Mauvaise pioche ! Si le gars avait un abri, je ne vois pas comment on pourrait le trouver, sauf s’il y a laissé du métal quelque part.

On continue à avancer, le détecteur bipe de nouveau, on redescend, on trouve un bracelet vierge de toute indication, je le ramasse, il est joli, mais on ne trouve personne à côté.

Plus rien sur la berge, on a dû faire 20 kilomètres, dix d’un côté, dix de l’autre. Bien sûr ils peuvent être plus loin mais on ne va pas sillonner toute la planète non plus !

– On se fourvoie, me dit Nerren, personne ne peut s’abriter sur ces berges, les mecs ont dû se planquer dans la montagne et faire des aller et retour pour s’approvisionner.

O. K. on va vers les montagnes. Tout de même quel spectacle ! Des roches très noires, probablement du granit, certaines sont recouvertes de ce qui ressemble à du lichen. Le cosmos regorge de beautés insoupçonnées . On est pas là pour faire du tourisme mais on, quand c’est beau, on a le droit d’apprécier, non ?

Et le détecteur se décida à bipper de nouveau. On localise le signal, c’est une grotte à flanc de montagne.

On sort nos flingues et nos torches et on entre à la façon d’un méchant commando d’envahisseurs.

– Salut ! Nous dit le bonhomme, pas plus étonné que ça de voir débouler du monde.
– Euh Bonjour ! Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau et voici Nerren Petrov, mon navigateur.
– Vous êtes réel ou vous êtes dans mon rêve ?
– Non, on est réel…
– On ne peut jamais être sûr.

Je détaille le bonhomme, il est complètement à poil et on lui voit les os, il n’a pas dû se laver depuis un bout de temps, sa barbiche est encombrée de saloperies diverses et variées.

– Vous n’avez pas l’air en forme ! Lui dis-je histoire de lancer la conversation.
– Ça pourrait être pire !
– Vous êtes…
– Je ne suis plus rien du tout.
– Oui mais avant ?
– Avant j’étais le professeur Kinsky.
– Et votre spécialité ?
– La biologie, monsieur, j’étais biologiste, j’ai étudié à l’université de…
– Oui, en parlera tout à l’heure…
– J’ai plein de diplôme, mais vus vous en foutez, c’est ça ?
– Non pas du tout, mais chaque chose en son temps. Et votre compagnon ?
– Il est mort !
– Il est mort comment ?
– Ça ne vous regarde pas !
– Vous voulez qu’on vous rapatrie ?
– Non ! Je suis bien là !
– Vous êtes sûr ? Vous n’avez pas envie de retrouver la civilisation, de bien bouffer, de boire un coup, de rencontrer du monde…
– Je ne sais pas…
– Vous ne nous avez pas entendu atterrir.
– Mes oreilles sont fatiguées et quand le vent souffle on entend pas grand-chose. Vous m’avez trouvé comment ?
– Détecteur de métaux !
– Bien sûr ! Vous auriez pu m’apporter quelque chose à manger.

Ben oui, on y a même pas pensé !

– On est venu en réacteurs dorsaux, on reviendra avec une barge…
– C’est quand même la moindre des choses que d’apporter à manger aux naufragés ! Insiste l’ermite.
– On va vous apporter ça d’ici une heure ou deux…
– Et de l’alcool, vous avez de l’alcool ?
– Vous en aurez, mais juste une question, vous êtes au courant pour les boitiers gris.
– Les boitiers ? Au courant de quoi ?
– Vous savez ce que c’est ?
– Non !
– Vous étiez présent quand Calloch les a découvert ?
– Qu’est-ce qu’il est devenu Calloch ?
– Il est mort ! Mais vous n’avez pas répondu.
– Bien sûr que j’étais là, ce n’est pas Calloch qui les a découvert c’est nous trois, je ne vois pas pourquoi cet illuminé s’attribue cette découverte !
– Il n’y avait que les boitiers ? Rien d’autre ?
– Rien du tout !
– On pensait qu’il pouvait s’agir d’enregistrements mais dans ce cas ils auraient laissé un lecteur…
– N’importe quoi ! C’est peut-être des enregistrements comme vous dites, mais ça peut être aussi plein d’autres choses, un phare de télécommunication interstellaire, un outil de protection, une arme défensive. Que sais-je encore, on ne le saura jamais. Et puis d’abord je m’en tape !
– Vous avez essayé de les ouvrir !
– Ça ne s’ouvre pas, ce ne sont pas des boites de sardines ! Je vais vous dire : on ne sait pas ce que c’est mais je peux vous dire comment ça marche

Qu’est-ce qu’il va nous sortir ?

– Et ça marche comment ?
– Admettons que ce soit des enregistrements, vous allez me dire : il n’y pas de lecteur, donc ce ne sont pas des enregistrements ! Erreur ce n’est pas comme ça qu’il faut raisonner. Il faut assembler les boitiers d’une certaine façon et c’est cet assemblage qui deviendra le lecteur et qui diffusera par exemple un hologramme. Même chose pour les autres hypothèses. Seulement reste à savoir comment faire l’assemblage !.
– En effet ! Confirmais-je
– En se contentant de placer les boitiers bout à bout comme des dominos, vous savez combien ça fait de possibilités différentes ?
– Ma foi non !
– Des milliards de milliards ! Autrement dit on ne trouvera jamais §
– Et à priori, vous pensez que ces boitiers représentent un danger potentiel.
– Comment voulez-vous que je vous réponde, mais on ne peut pas en écarter l’hypothèse.
– Bon on va revenir avec un peu de bouffe…
– Et de l’alcool, hein ! N’oubliez pas l’alcool !

Bon au moins les choses sont claires. Nous sommes rentrés et après une courte pause, on est reparti, en barge cette fois…

On a chargé les boitiers dans des sacs que nous avons lestés avec des pierres, puis nous avons survolé l’eau et y avons jeté tout ça. Une petite appréhension, je me demandais secrètement si nous n’allions pas provoquer une explosion… Mais non, le lac les a engloutis. On n’est pas près de les retrouver !

Puis on est retourné voir Kinsky. Il avait réfléchi et changé d’avis. Il souhaitait maintenant se faire rapatrier. Je l’aurais parié.

– Oui mais avant j’aimerais savoir : vous rapatriez qui au juste ? Demande-t-il.
– Pourquoi cette question ?
– Pour ma sécurité !
– Je ne comprends pas !
– Vous rapatriez les putes, aussi ?
– Nous rapatrions des naufragés. Vous avez peur de quoi au juste ?
– Ces bonnes femmes ont dû vous raconter n’importe quoi…
– Et bien racontez-nous votre version des faits, on vous écoute.

Le récit du professeur Kinsky

Nous étions en attente sur Targon, une planète fréquentée par des capitaines indépendants dont pas mal de forbans. Nos indicateurs avaient réussi à faire remonter une information selon laquelle une planète recélait des ruines percusseuses. Nous avions aussi récupéré ses cordonnées.

Le chef de mission a alors contacté un capitaine marchand et l’a payé pour nous emmener sur place, moi et mes deux collègues ainsi qu’un commando de militaires.

Pour des raisons inconnues le vaisseau a fait une escale technique sur Glusvura.

Sitôt repartis, une violente bagarre a éclaté à bord., en fait le capitaine voulait se débarrasser des militaires, il y a eu des morts et du commando militaire ne sont restés que deux hommes qui se sont ralliés. On s’est aperçu alors que le vaisseau transportait toute une bande de putes, elles étaient douze.

On a compris que plus tard ce qui s’était passé, les putains avaient acheté un bordel en autogestion sur je ne sais quelle planète et souhaitaient s’y faire conduire. Evidemment les intentions du capitaine étaient tout autres, il avait accepté d’embarquer les filles afin de pouvoir les vendre à un bordel pourri sur une planète minière.

Ce qu’ignorait le capitaine, c’est qu’après l’escale la navigation avait été bridée par les militaires, le vaisseau ne pouvait pas se diriger ailleurs que vers sa destination prévue.

On est arrivé ici, on s’est posé sans chercher et sans encombre, les détecteurs ayant très bien fonctionné.

A cette époque, Calloch avait des couilles, avec la complicité de deux membres de l’équipage, les deux rescapés du groupe de militaires, une partie des putes et moi-même bien sûr, on a maîtrisé le capitaine et ses lieutenants.

Nous les avons enfermés, et on est tous descendu, même les putes parce qu’on était subjugué par le spectacle que nous offrait la bâtisse rouge. Il y avait assez de combinaisons pour tout le monde.

Mais, apparemment le capitaine a réussi à se libérer, on a entendu les réacteurs du vaisseau, puis une explosion, et c’est à ce moment-là que nous avons réalisé que nous étions naufragés.

On n’avait descendu pratiquement aucun matériel, on était complètement démuni, nos combinaisons ne nous protégeraient plus, il a vite fallu s’en débarrasser, mais heureusement il n’y avait rien de toxique.

Calloch a réussi à nous organiser, on est allé presque naturellement vers la montagne où il nous avait semblé apercevoir des grottes. On pouvait donc s’y abriter, ensuite on a trouvé une source d’eau potable, pour la bouffe, il fallait aller au bord du lac ramasser des crabes, il y avait aussi quelques poissons, dont un gros dont on pouvait utiliser la peau.

On était donc sept hommes, et douze femmes. La cohabitation se passait assez bien au début jusqu’à ce que suite à une histoire de cul, un des mercenaires poignarde mortellement l’une des putes.

C’est à ce moment-là que Calloch a pris définitivement l’ascendance sur le groupe, il s’est proclamé le guide des survivants et sa première décision a été de condamner le meurtrier et de l’exécuter lui-même à coups de couteau. Couic !

Ça a jeté un froid

Avec la complicité des deux militaires et du mercenaire restant, il a insaturé la vulgivaguibilité des femmes, c’est-à-dire qu’elles devaient être à notre disposition quand nous le souhaitions et que tous les comportements qui ressemblaient à de la vie en couple, générateurs d’après lui de conflits potentiels devaient être bannis !

Parallèlement nous avons exploré la bâtisse rouge, nous avons trouvé les boitiers et les filles nous ont aidés à les transporter dans la grotte où restait Calloch. On a fait attention de les laisser dans le même ordre que lorsque nous les avons trouvés

Calloch au fil des jours devenait de plus en plus fou, il avait réussi à dresser les crabes, qui fonctionnaient un peu à la manière des colonies d’abeilles ou de fourmis avec une espèce de conscience collective. Ça lui a monté à la tête. Il nous réunissait et nous faisait subir des discours interminables, quand ça le prenait il punissait les filles avec la complicité des autres hommes. Donc un jour avec mon collègue, l’architecte Hayron, on en a eu marre, on est parti.

On a eu du mal à s’organiser, il n’était pas facile à vivre et plutôt feignant, on arrêtait pas de s’engueuler, un jour il s’est sauvé, il est mort.

Je me suis débrouillé comme j’ai pu, j’ai fabriqué une outre pour pouvoir garder de l’eau, je faisais des aller-retours tous les jours au bord du lac pour ramasser des crabes, vous croyez que c’est une vie, vous ?

Fin du récit du professeur Kinsky

– Votre version ne diffère pas beaucoup de celle d’Elvira, je dirais plutôt qu’elle la complète. Mais dites-moi vous, personnellement vous vous comportiez comment avec les filles ?
– Je ne suis pas un saint !

Bon, j’ai compris, inutile d’insister, mais maintenant il va falloir gérer.

On embarque le gus. Une fois dans le vaisseau, on est pressé de questions. Elvira et ses copines ne font pas partie du comité d’accueil, elles doivent être dans leurs cabines.

– Non ! me dit Dilos ! Elles n’arrêtent pas de faire la queue devant la douche, elles en avaient besoin.

Je rêve, on leur a filé des tee-shirt avant de les envoyer se doucher ! N’importe quoi !

– .C’est qui lui ?
– C’était le biologiste, on va le consigner dans une cabine
– Y’en a plus de libre !
– Qu’on le conduise à l’infirmerie en attendant… maintenant écoute pépère…
– Appelez-moi professeur si ça ne vous dérange pas.
– Je suis seul maître à bord, et si vous n’êtes pas content, je vous ouvre le sas. Maintenant écoute-moi, on va te trouver une cabine tu y seras enfermé, on t’apportera tes repas et tu auras droit à une douche de temps en temps, tu pues le chacal !

Je trouve Elvira.

– Il faut que je t’informe de deux choses, la première c’est qu’on a retrouvé Kinsky, il nous a demandé de le rapatrier, déontologiquement je peux difficilement refuser.
– Hummm !
– Il était comment avec vous ?
– Ce n’était pas le pire, mais il n’a jamais pris notre défense, et il savait être aussi infect que les autres.
– OK, j’espère que sa présence ne va pas provoquer des problèmes ! De toute façon, il effectuera le voyage enfermé dans sa cabine ! Deuxième chose, il m’a raconté sa version des faits.
– Oui, et alors ?
– J’ignore s’il dit la vérité mais d’après lui, vous n’êtes pas vraiment une troupe de danseuses…
– Attends…
– Laisse-moi finir ! Dans le cas où il ne nous aurait pas menti, sache que ça n’a aucune importance, je n’ai rien contre les prostituées et je n’ai nullement l’intention de vous refiler à un marchand d’esclaves.
– T’es un chou ! Me répondit-elle avec le plus beau de ses sourires.

Après toutes ces péripéties on a enfin pu faire un peu de tourisme en deux groupes. Cette fois on est entré, on est allé dans les étages, on avait quand même pris les armes et on restait groupés, précaution devenue sans doute inutile, mais sait-on jamais !

La chose peut paraître paradoxale parce qu’il n’y a finalement pas grand-chose à voir, que des murs rouges et lisses, mais penser que des créatures en ont foulé le sol il y a peut-être cent mille années a quelque chose de terriblement fascinant. On a tous fait des petits films sur nos spacephones… des films qu’on ne pourra montrer à personne…

« Des films qu’on ne pourra montrer à personne ! »

Cette pensée m’a obsédé pendant des heures. Au retour du second groupe, je réunissais tout l’équipage.

– Bon, je suis désolé, mais les films que nous avons pris dans le bâtiment rouge, il va falloir les détruire.
– Ça va pas non ? Proteste Nadget.
– Imaginez qu’on vous vole votre spacephone ou qu’on vous le pirate. On va bien s’apercevoir qu’il s’agit de ruines pas banales. A partir de là une filière ça se remonte… Et on va se trouver avec deux catégories d’emmerdeurs, l’armée et la secte de l’autre andouille…
– Ecoute, répond Nadget, il n’y a pas le feu, on peut réfléchir et on prendra une décision définitive et collective avant d’atterrir sur Vargala.

Tout le monde semble d’accord avec ça, j’ai failli objecter que si on était obligé de faire une escale forcée quelque part… mais je m’en voudrais de passer pour un emmerdeur.

– De toute façon, intervint Nerren, il est de notre intérêt à tous de ne jamais évoquer ce voyage.
– Garder un secret à plus d’une vingtaine de personne, c’est tout simplement impossible, il faut limiter les risques, c’est tout.
– Et comment on va empêcher les filles d’en parler, cette aventure a dû les traumatiser et c’est bien normal, comment on peut faire pour les empêcher de raconter tout ça à n’importe qui un soir de déprime ?
– On peut leur demander de ne pas le faire, mais comme tu dis, elles sont onze… Et puis il y a le biologiste…
– Et si on les hypnotisait ? Intervient Dyane.
– Hein ?
– Il faut transformer l’image de la bâtisse par celle d’une bombement natif dans leur cerveau. La version sera, « des imbéciles ont cru qu’il s’agissait de ruines percusseuses alors que ce n’était qu’un surélèvement naturel… »
– Je vais creuser ça ! Mais comment obliger Levkovich à faire ça, on n’a plus aucun moyen de pression ?

J’emmène Dyane et Nerren avec moi, on entre chez le toubib.

– Il n’hypnotisera plus personne ! Me dit Dyane me montrant le corps de Levkovich pendu avec sa ceinture.

Très en colère je donne des instructions pour qu’on libère sa cabine.

– On se débarrassera du corps quand on sera dans l’espace.

Les autres nous attendaient dans le mess, je leur annonce la nouvelle.

– Tu sais ce qu’on va faire ? Suggère Dilos, une fois sur Vargala, on consigne les nanas dans leur cabines, on trouve un hypnotiseur sur place qu’on ramène dans le vaisseau.
– Et pour que ça marche, on va être obligé de lui raconter toute l’histoire ! Tu t’égares Dilos.
– J’ai pris des cours d’hypnose ! Nous annonce alors Gundula à la surprise générale.
– Et tu saurais faire ?
– Je peux toujours essayer.
– Mais tu vas t’y prendre comment ?
– Je ne sais pas, on peut toujours leur dire que vu les circonstances, on est un peu obligé de leur faire un check-up médical… enfin quelque chose dans le genre.

Nous avons décidé de faire ça après le décollage. Sitôt dans l’espace on s’est débarrassé du cadavre de Levkovich, j’ai filmé la chose, c’est Marcia qui va être contente ! On a ensuite enfermé le biologiste dans la cabine ainsi libérée.

J’ai fait répéter à Gundula ce qu’elle devrait dire, et on toque dans la première cabine des filles occupée par Tallulah et deux autres. On leur explique qu’on va faire un rapide contrôle médical.

– C’est juste une précaution, qui veut commencer ?

Les trois nanas se regardent, et c’est Tallulah, la jolie blackette qui s’y colle.

On l’accompagne à l’infirmerie, Gundula commence par lui poser des questions bateaux…

– Des troubles du sommeil, des angoisses, des cauchemars… ?
– Non, j’ai du mal à réaliser qu’on s’en est sorties, mais bon ça va…
– Je vais vous faire un fond de l’œil, vous allez me regarder droit dans les yeux !
– Comme ça ?
– Oui, ne quittez pas mon regard, comptez jusqu’à dix avec moi. 1, 2, 3…écoutez moi bien, la bâtisse rouge n’a jamais existé, ce n’était pas une bâtisse, juste une formation géologique, d’accord ?
– Oui.
– Calloch était fou, il voyait des précurseurs partout et collectionnait des carapaces de crabes dans son abri.
– Oui !
– Quand vous aller vous réveiller ces deux souvenirs seront une évidence.
– Oui
– Réveillez-vous.
– Oh, je ne sais pas ce que vous m’avez fait, j’ai cru m’endormir.
– Ah bon ?
– J’ai chaud !
– C’est pas grave, je vais vous libérer, vous êtes en bonne santé, vous allez pouvoir prendre une douche..
– C’est déjà fait ! J’ai une question mademoiselle : Vous aimez les femmes ? Demande Tallulah
– Pardon ?
– Je vous demandais si vous aimiez les femmes, parce que moi j’aime bien, mais j’aime bien les hommes aussi.

Qu’est ce qui se passe ? Un effet secondaire de cette courte séance d’hypnose, dont on ne sait pas encore si elle a fonctionné ? Toujours est-il que Gundula et moi-même nous restons bouche bée.

– Si je vous dis que j’ai envie de sexe, ça vous choque ? Reprend la blackette.
– Non pas du tout ! Répondis-je.
– On pourrait peut-être maintenant, non ?
– Euh…
– Si vous ne voulez pas, c’est pas grave, je me débrouillerais avec les copines, mais c’est quand même dommage, vous ne savez pas ce que vous perdez ! Je suis une pro !.

Et la voilà qui retire son tee-shirt exhibant une paire de seins à damner un saint.

Je ne comprends pas son attitude, mais entrer dans son jeu n’a rien d’une perspective désagréable.

Et l’instant d’après mes mains caressaient ses doux seins.

– A trois ce serait aussi bien ! Ajoute-t-elle.

Alors Gundula s’approche à son tour

Tallulah se caresse ses jolis seins couleur de chocolat à croquer et en tiraille les extrémités.

– Caressez-moi, j’adore qu’on me caresse.

J’avais compris mais puisqu’elle se plait à le répéter… La jolie blackette s’abandonne sous nos mains cajoleuses. Nous avons chacun notre sein, le droit pour Gundula, le gauche pour moi et je me complets à faire durcir l’impertinent téton en l’enroulant de ma langue.

– Ça vous excite, hein, de me lécher les nichons ? Nous nargue-t-elle
– Oui, oui ! Répondis-je avec enthousiasme.
– Et toi ? Demande-t-elle à Gundula
– T’as la peau si douce…
– Tu veux que je te suce, beau capitaine ?

Tu parles d’un beau capitaine ! Elle en fait de trop la fifille ! Cela dit la suggestion m’intéresse, et je me débarrasse prestement de mon pantalon et de mon caleçon.

Et hop ! C’est magique ! Flexion des genoux; Tallulah s’accroupit, Ouverture de la bouche, Approche et c’est parti.

Putain, comment elle me suce ! Elle a gagné un championnat de tailleuse de pipe ou quoi ? Elle joue diaboliquement d’une langue qu’on croirait montée sur piles tout en me massant les couilles de ses longues mains.

– Ne vas pas trop vite !
– Hé hien fonfff.

Rien compris, mais c’est vrai que ce n’est pas facile de parler avec une bite dans la bouche ! Mademoiselle n’est donc pas du genre à faire des apartés pendant la turlutte.

Je n’ai plus qu’à me laisser faire, j’essaie de retarder mon plaisir en employant un vieux truc idiot : je pense qu’un vilain serpent est en train de m’avaler la bite.

Gundula s’est approchée de Tallulah et lui fait comprendre que ce serait sympa si elle partageait la bite qu’elle est ne train de sucer., mais cette dernière lui fait comprendre par geste qu’il va lui falloir attendre un peu.

Dépitée, la petite infirmière, passe derrière moi et m’introduit un doigt dans le cul ! Il ne manquait plus que ça ! Non pas que je n’aime pas ça, bien au contraire, mais moi qui voulait retarder le moment de ma jouissance, voilà une pratique qui devrait au contraire précipiter les choses.

Ça monte, ça monte, je ne peux plus me retenir, je lâche tout la bouche de la blackette, qui se redresse, me nargue avec un air de défi, elle ouvre la bouche me montrant le sperme qu’elle n’a pas avalé et se le fait dégouliner sur le menton, puis en recueille un peu qu’elle s’étale vicieusement sur les tétons !

Gundula et moi la regardons subjugué par l’érotisme que dégage cette diablesse..

Elle fait signe à l’infirmière de s’approcher, celle-ci le fait sans comprendre, l’instant d’après les deux femmes de roulaient une galoche parfumé au sperme.

Je crois alors ce coup de folie terminé, mais tandis que je m’essuie le zizi, assis sur mon tabouret, Tallulah a proprement déculotté Gundula, laquelle est maintenant couchée sur la bannette, en train de se faire lécher l’abricot.

Joli spectacle, j’ai toujours apprécié le tableau charmant de deux belles femmes qui font l’amour. Et le fait que la scène se joue en black and white y ajoute un piment tout à fait appréciable.

Du coup je me tripote la zigounette, et je mets tout nu. J’adore être nu ! Et si les conditions le permettent peut-être pourrais-je faire remonter mon étendard d’ici une dizaine de minutes.

Autant Tallulah a été rapide avec moi, autant prend-elle son temps avec Gundula. Après lui voir léché la chatte pour bien affirmer ses intentions, elle lui a fait retirer son haut afin de s’occuper de ses seins. L’autre se pâme. Quand je pense que dans je l’ai connu sur Vargala elle me racontait qu’elle n’avait eu que très peu d’aventures féminines. Mademoiselle s’est bien rattrapée depuis !

Après cette petite mise ne bouche, les deux diablesses se retrouvent quasiment spontanément tête-bêche ou en soixante-neuf comme aiment à le dire les mathématiciens pervers.

Ça se gamahuche, ça se fout les doigts dans le trou du cul et ce n’est guère silencieux. Elle finissent par jouir en gueulant comme des louves en chaleur.

Stoffer0313

Et voilà que l’on frappe à la porte.

– C’est qui ?
– Nerren ? Tout va bien ?
– Tout va très bien ! A tout à l’heure !

Un peu casse-couilles celui-ci !

Gundula parait épuisée, Moi, je rebande pas trop mal. Quant à Tallulah complètement infatigable, la voilà qui se dirige vers moi, et sans crier gare se met à me pincer les tétons, du coup ma bite ne tarde pas à devenir bien dure.

Et que croyez-vous qu’elle fit ensuite, jaugeant ma vigueur à son gout, elle vint s’empaler dessus par son petit trou avant d’entamer une chevauchée à rendre jalouses les Walkyries

Evidemment, ayant joui auparavant, je fus cette fois un peu plus long à venir, mais le plaisir n’en fut que plus intense. Et en ce qui la concerne, l’humidité de ses cuisses démontrait bien qu’elle en simulait pas.

– Mais qu’est-ce que tu fais ? Lui demandais-je soudain en voyant cette humidité se transformer en ruissellement.
– Euh, je pisse, je n’ai pas pu me retenir, excusez-moi, ce sont des choses qui arrivent !
– Ne t’excuse pas, j’adore ce genre de chose ! Répondis-je en approchant ma langue de ces cuisses humides.

Un régal !

Mais l’endurance à ses limites et c’est à moitié groggy qu’elle se rhabilla.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:21

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 12 – Elvira par Nicolas Solovionni
Stamp sodo2

 

Le récit d’Elvira

Quand le vaisseau a quitté sa base, il y avait à son bord, trois scientifiques dont Calloch, et un groupe de militaires, l’équipage était composé de mercenaires. Le vaisseau était programmé pour arriver ici, j’ignore qui leur avait fourni le tuyau mais on s’en fout.

Le vaisseau a fait une escale technique sur Glusvura. Moi et mes camarades, on y présentait un spectacle itinérant, on ignorait la destination de ce vaisseau. Quand j’ai demandé au capitaine s’il connaissait un moyen d’atteindre Pushvar où nous souhaitions poursuivre notre tournée, il nous a répondu que ça tombait bien, puisque son vaisseau y ferait escale et qu’en conséquence, il pouvait nous prendre comme passagers.

Il s’est ensuite passé quelque chose de bizarre, le capitaine nous a raconté un truc du genre qu’il n’était pas habilité à prendre des passagers et que par précaution, il nous ferait pénétrer dans le vaisseau en l’absence des militaires et que nous resterions à fond de cale jusqu’au décollage. Evidemment on a tiqué, le type nous a alors assuré qu’on ne fouillerait pas nos bagages et que si on avait des armes, il s’en fichait. Ça nous a rassuré, on a accepté et nous sommes parties.

Quelques jours après le départ, on nous a fait quitter la cale pour nous installer dans des cabines, on était un peu serrées, deux ou trois par cabines mais quelle importance ? Et là on nous a expliqué qu’il venait d’avoir une bagarre à bord et qu’il y avait eu des morts.

Ce n’est que bien plus tard que nous avons compris ce qui s’était passé, la bagarre était en fait une mutinerie, presque tous les militaires ont été tué dont le chef de mission, l’intention cachée du capitaine était de nous vendre comme esclaves sexuels dans un bordel exotique.

Ce qu’ignorait le capitaine, c’est que la navigation avait été bridée, le vaisseau ne pouvait pas aller ailleurs que vers sa destination initiale.

Ça l’a bien énervé, mais il ne pouvait rien faire. Une fois le vaisseau posé ici, il s’est déroulé une seconde mutinerie, dirigé par Calloch. C’est lui qui nous a averti des intentions du capitaine à notre égard. Quand il nous a fait part de son projet de mutinerie et qu’il nous a proposé d’en être, nous avons accepté. Calloch entraina avec lui ses collègues, deux membres de l’équipage, deux rescapés du groupe de militaires et toutes les filles. Autant dire que les autres n’ont pas fait longtemps le poids.

Il n’y a pas eu de sang, Le capitaine et ses sbires se sont rendus, nous avons mis tous ces braves gens à fond de cale et on est descendu sur la planète. J’ignore comment on a pu arriver directement sur le site des précurseurs. Mais toujours est-il qu’on était tous subjugués par ce machin, maintenant à force de le voir, ça ne me fait plus rien !

Nous sommes restés très longtemps dans la grande salle du rez-de-chaussée, puis nous sommes montés aux étages, bref on a joué les touristes

Et soudain on a entendu du bruit, le vaisseau avait allumé ses moteurs, les types au fond de la cale avaient donc réussi à se libérer. Comment ? On ne le saura jamais. Que pouvions-nous faire ? On est ressorti du bâtiment rouge, on a vu le vaisseau décoller… puis exploser.

Nous étions donc naufragés sur une planète dont nous ne connaissions rien, nous n’avions descendu aucun matériel, on s’est d’abord dit que nous allions tous mourir. Mais c’est Calloch qui a réussi à nous organiser, ce type s’est avéré être le roi des salopards, mais on ne peut pas lui nier son charisme et ses talents d’organisateur.

On s’est dirigé vers les grottes au pied de la montagne là-bas, elles constituant un abri bien plus confortable que la bâtisse rouge où passe tous les courants d’air On a trouvé une source d’eau potable, pour la bouffe, les crabes ne sont pas mauvais, et les algues sont comestibles, il y a aussi des poissons légèrement amphibies dont un gros machin assez placide qu’on peut assommer facilement, la chair est dégueulasse mais sa peau est épaisse et ça nous a servi pour confectionner des couvertures et des capes… Bref on s’est organisé.

Restait le sexe ! Nous étions douze nanas et sept bonhommes et parmi les sept, les deux scientifiques qui accompagnaient Calloch étaient aussi sexy qu’une tranche de mortadelle.

Rapidement des couples se sont formés, il y avait déjà eu des petits flirts sans conséquences à bord du vaisseau, mais là c’était sérieux, on était naufragés pour un bout de temps, peut-être définitivement.

J’avais jeté mon dévolu sur Razoff, l’un des deux militaires, non pas qu’il me plaisait mais son côté protecteur me rassurait. Il s’est formé six couples, pas sept parce que Hayron l’architecte n’aimait pas les femmes. Ça a fonctionné assez bien les premières semaines, puis vint le temps des jalousies des tromperies, des rivalités, une jour l’un des mercenaires a carrément poignardé sa compagne et le militaire avec qui elle avait couché. On a maitrisé le type, on ne savait pas quoi en faire. Calloch nous a alors fait un discours.

– On ne peut pas laisser la violence nous envahir, ce genre de comportement doit être puni sévèrement afin qu’il ne se renouvelle jamais.

Il s’est approché du mec et il l’a carrément égorgé !

On était glacé d’effroi, même si le gars n’avait eu que ce qu’il méritait. Mais l’ascendance latente qu’avait Calloch sur le groupe s’en trouva renforcée.

Le soir à la veillée, il nous faisait des grands discours, et nous comme des connes on gobait ce qu’il racontait, faut dire qu’il avait un charisme fou.

Il nous a expliqué que la jalousie était une tare, et que le sentiment d’appartenance d’une femme envers un homme et vice-versa devait être dépassé, qu’il fallait laisser aller nos pulsions sexuelles sans que cela provoque des jalousies. En fait il prônait l’amour libre. Nous on était pas contre, mais il avait oublié une chose dans sa belle théorie, c’est que l’amour libre c’est aussi la possibilité de dire non !

Et quand Calloch m’a demandé de partager sa couche, je n’ai pas osé refuser, pourtant, je n’en avais nulle envie.

Au fil des jours, l’amour libre s’est quasiment transformé en esclavage sexuel, quand une fille refusait un rapport elle se faisait corriger par Talmar, le seul mercenaire survivant, une espèce de brute gigantesque.

On prenait notre mal en patience, en se demandant comment sortir de cette situation, mais paradoxalement certaines filles semblaient s’en accommoder.

Calloch devenait de plus en plus étrange, il se mit en tête de dresser les crabes… et le pire c’est que ça fonctionnait, en fait ils vivaient en troupeaux avec un chef de meute dominant, on pouvait communiquer avec lui avec de simples gestes de la main en indiquant une direction. C’était fascinant.

Il faisait aussi des expériences d’hypnose avec les filles, un jour il a obligé Valencia qui avait soi-disant fait une connerie, à marcher au milieu d’une colonie de crabes. On a vraiment cru qu’elle allait se faire dévorer, mais quand ils ont commencé à lui pincer les mollets, ils les a fait se déplacer. N’empêche qu’à partir de ce jour-là on évitait de croiser son regard de peur qu’il nous envoute et nous demande faire des trucs dangereux.

Son autre lubie c’était les précurseurs, il en avait pratiquement fait une religion dont il était le seul pratiquant. Il s’en allait parfois au Temple de la Paix, c’est ainsi qu’il appelait le machin rouge et il psalmodiait tout seul ou invectivait les étoiles, bref il devenait complètement fou.

Un jour Kinsky le géologue et Hayron l’architecte ont disparu. Personne n’a organisé de recherches.

– Qu’ils aillent au diable ! A simplement commenté Calloch.

On n’a jamais eu de nouvelles d’eux. Le rapport hommes/femmes devenait trois contre onze. On aurait pu en profiter, mais on ne l’a pas fait.

Et un jour un vaisseau s’est posé. Tout de suite ça été l’effervescence dans notre petit groupe.

– On va aller les rencontrer, ils vont nous rapatrier ! Déclara alors Razoff en suscitant l’enthousiasme.
– Pas question ! Répondit alors doctement Calloch, nous sommes là pour veiller à la sécurité du Temple de la Paix et nous ne faillirons pas à notre mission.

Ça a été un tollé, même Talmar s’est opposé à Calloch. J’ai cru, j’ai même espéré qu’il allait se faire lyncher, mais c’était sans compter sur le charisme du bonhomme qui a su rependre (provisoirement) la situation en main.

– D’accord, je m’incline, je vais aller discuter avec le capitaine de ce vaisseau et lui demander de nous faire quitter ce lieu.
– On y va tous ensemble ! Propose Talmar.
– Non, on ne sait jamais, ces gens sont peut-être des pirates, il faudra peut-être que je les manipule, mais ça je saurais faire.

Et puis il nous a fait lanterner, le premier jour, il nous a expliqué qu’il avait pris contact avec le vaisseau pour jauger de la situation, que le capitaine ne lui inspirait pas confiance mais que par contre le second… et qu’avec un peu de manipulation il pourrait régler tout ça.

Il mentait avec une telle assurance que personne ne pensait du moins au début à mettre sa parole en doute, il nous a ensuite raconté que sa manipulation prenait forme mais qu’il fallait attendre, puis la fois suivante il nous a demandé de nous préparer et qu’on embarquerait au dernier moment.

Sauf que le vaisseau est reparti sans nous attendre. Talmar est entré dans une colère folle et cette fois tout le talent de Calloch n’a rien pu faire.

– Ils vont revenir ! Ils m’ont juré qu’ils allaient revenir…
– Menteur !

Les deux hommes se sont empoignés, Calloch n’a pu faire le poids, il s’est retrouvé projeté au sol, il a buté contre une grosse pierre qui lui a fracassé le crâne.

– Et maintenant c’est moi le chef ! A conclu Talmar en levant les bras au ciel comme au théâtre.

Pas pour longtemps, Tallulah qui avait un vieux contentieux avec lui, l’a assommé puis étranglé pendant son sommeil. Personne ne s’y attendait, mais on l’a embrassé chaleureusement. Il ne restait que Razoff comme homme. Il aurait pu en profiter, il était plus con que méchant, mais il a préféré s’enfuir, on ne l’a jamais revu.

Les dernières paroles de Calloch raisonnaient dans nos têtes comme un espoir, personne n’y croyait vraiment mais on s’y raccrochait : « Ils allaient revenir ! »

Et maintenant vous êtes là !

Fin du récit d’Elvira.

Le récit est cohérent, la fille semble savoir ce qu’elle veut, je la trouve de plus en plus jolie, faut dire qu’elle a un sourire désarmant.

– Alors, vous nous emmenez ? Demande-t-elle.
– Vous êtes onze, c’est ça !
– C’est bien, vous avez suivi !
– Je me sens un peu obligé, il existe un code d’honneur qui demande aux capitaines de recueillir les naufragés…
– Je ne vous le fait pas dire…
– Etes-vous conscientes que vous prenez un risque ? Vous ne nous connaissez pas, après tout, nous sommes peut-être des dangereux trafiquants qui n’hésiterons pas à vous vendre à un propriétaire de bordel.
– Vous croyez vraiment qu’on y a pas pensé ? D’une part ce risque nous le prenons en toute connaissance de cause, Et puis confidence pour confidence, il est quand même plus facile de s’évader d’un bordel que d’une planète où personne ne vient.
– Bon c’est d’accord, mais on venait aussi ici pour essayer de faire du commerce…
– Du commerce ? Vous voulez cueillir des crabes ? Ils sont mangeables, mais ils n’ont rien de terrible, aucun restaurateur ne voudra les servir à table ! Rigole-t-elle.

Elle est trop jolie quand elle rit !

– Non, je ne pensais pas à ça ! Je me disais que les précurseurs auraient pu laisser des trucs…
– J’avais compris, alors oui, effectivement il y a des choses, c’était stocké au deuxième étage du machin rouge. Calloch nous les a fait transporter dans sa grotte, j’ignore pourquoi ? Je suppose que vous voudriez voir !
– Bien sûr que l’on veut voir !
– Je vais vous accompagner, mais est-ce que je peux dire à mes collègues de venir s’installer ?
– Oui, mais faut qu’on s’organise un peu, on va être serré. Dilos et Nadget, vous essayez de coordonner tout ça…
– O.K. Reprend Elvira, je propose que Tallulah reste ici pour vous aider à vous organiser, nous ne serons pas exigeantes, c’est promis ! Valencia et moi, on accompagne le capitaine à la grotte. Et on ramènera les autres filles. Euh, on a rien pour transporter ce que vous allez trouver… je veux dire : si vous voulez embarquez tout ça, ça va être encombrant.
– Nerren et Dyane, prenez des sacs et venez avec nous….
– Et moi je fais quoi ? Demande ingénument Gundula.
– Tu gardes le vaisseau. Si Levkovich sonne, surtout tu ne réponds pas…
– Et Hofjom ?
– Dis-lui de patienter, on s’occupera de lui en revenant.

Les abris des naufragés sont situés dans des grottes au pied de la montagne, à environ 1,5 kilomètre de l’endroit où nous nous sommes posés.

Elvira et Valencia nous précède en roulant du popotin. Elles m’excitent ces nanas, elles m’excitent, faut dire que je m’excite facilement, (normal dans un récit érotique, non ?) Elles sont vraiment canons, je me demande quel genre de spectacle elles donnaient, il faudra que je leur demande.

– Arrête de bander, tu vas avoir une irritation ! Me vanne Dyane.

Il y a plusieurs grottes en enfilade, Les filles nous conduisent vers l’une d’elle.

– L’antre de Calloch ! Nous précise Elvira.

On entre là-dedans, la caverne fait un coude et c’est là que dormait le bonhomme sur une paillasse de peau de poisson retournée, nous explique-t-on.

– Voilà, c’est ça !

Oups !

Elvira nous montre des espèces de boitiers empilés couleur gris souris, et de la taille d’une boite de parfum . J’en prends un au hasard, c’est lisse, plutôt léger, sans aucune aspérité, ni indication et c’est apparemment complétement hermétique.

– C’est quoi ? Calloch vous en a parlé ?
– Non, jamais .

Nerren s’amuse à les compter.

– 15 piles de 16 ! La seizième pile n’en compte que 15; ce qui nous fait 255.
– Bizarre, pourquoi les avoir empilés par 16 ?
– Ils étaient comme ça quand Calloch les a découvert.
– Où ça ?
– Au deuxième étage de la bâtisse rouge, dans un coin tout au fond.
– Et ils étaient déjà empilés ?
– Oui Calloch les a découvert dans cet état avec les deux autres savants.
– Comment être sûrs ?
– Pourquoi ? C’est important ? Demande Elvira.
– Peut-être !.
– C’est Kinsky, le biologiste qui m’a raconté les circonstances de la découverte, un soir où je lui avait fait un câlin. Il ne comprenait pas pourquoi ils étaient empilés.

Moi non plus, je ne comprends pas, des siècles se sont écoulés depuis l’abandon de la bâtisse par les précurseurs, pendant tout ce temps tout ce qui était biodégradable s’est désagrégé, les canalisations, les escaliers, mais aussi le mobilier, si les boitiers étaient sur une étagère, c’est au sol et en vrac qu’on aurait dû les retrouver !

Donc deux hypothèses, ou bien les précurseurs ont quitté les lieux en laissant leur machins volontairement par terre bien empilés, ce qui me paraît farfelu, ou alors quelqu’un est passé par là et les a empilés, ce qui me paraît tout aussi étrange !

Ces machins doivent s’ouvrir, reste à savoir comment. Sur Orza nous avons eu un mal de chien à comprendre comment fonctionnait l’une de leur machine et n’avions trouvé comment que par hasard (voir les labyrinthes d’Orza)

– Peut-être que Calloch a percé leur mystère ? Peut-être qu’il a laissé des notes ?

On fouille, et la chose est très rapide puisqu’il n’y a pratiquement rien dans la grotte. Et en soulevant sa paillasse nous avons trouvé le 256ème boitier !

– Il devait dormir avec, il devait s’en servir comme doudou ! Plaisante Dyane.
– Il avait une autre cachette, Calloch ? Demandais-je.
– Pas que je sache, il n’y a que sept grottes, les filles en occupaient trois, les autres étaient pour les mecs… Et puis si Calloch avait une cachette, il y aurait planqué les boitiers…

Logique !

– Quand même 256 boitiers, ça fait 16 fois 16 ! Nous explique Nerren.
– Et alors ?
– Ça veut dire que les précurseurs calculaient en hexadécimal !
– Et ça nous avance à quoi ?
– Je sais pas !
– Après les avoir découvert, il a fait quoi ?
– Il nous a demandé de les transporter dans sa grotte en respectant l’ordre des piles.
– Et à part les boitiers, il n’y avait rien d’autre ?
– Rien du tout, à moins que quelqu’un ait piqué quelque chose en douce, mais ce serait où ? On a visité les grottes des hommes, il n’y a rien. Répond Valencia dont en entend la douce voix pour la première fois
– Sauf si ceux qui ont disparu dans la nature l’ont emporté avec eux ! Intervient Nerren

Une idée à creuser, peut-être…

– Vous savez ce que je crois ? Ce doit être des enregistrements, déclarais-je. Si ça se trouve il y a toute l’histoire des précurseurs là-dedans !
– Mais comme on a rien pour les lire… Se désole Dyane.
– On trouvera peut-être… Bon on va embarquer tout ça…
– Moi je ne ferais pas ça ! Intervient Nerren à la surprise générale.
– Plait-il ?
– On ne sait pas ce que c’est, imagine que ces machins soient des bombes et qu’ils soient programmées pour se déclencher par exemple suite à un léger changement de pression ou de gravité…
– N’importe quoi ?
– Qu’est-ce que tu en sais, tu es prêt à prendre ce risque ?

Mais c’est qu’il me foutrais la trouille, ce con !

J’interroge Dyane du regard…

– Il a peut-être raison, on ne sait pas ce que c’est…Dit-elle
– Ça vaut une fortune, ces trucs…
– S’ils nous pètent dans la gueule ça ne vaudra plus grand-chose… Rétorque-t-elle.

C’est ce qui s’appelle la douche froide ! Après avoir eu le cœur rempli d’enthousiasme face à une découverte extraordinaire, je dois me rendre à l’évidence, mes collègues ont sans doute raison. On ne sait pas ce que sont ces boitiers, et ils peuvent être potentiellement dangereux. Me voici dépité !

– Et si on se contentait de vendre le renseignement à l’armée ! Suggérais-je néanmoins.
– Non, écoute, Ajas ! Me dit alors Dyane ! On a fait fortune après notre balade sur Orza, on est venu avec toi parce que l’aventure était grisante, mais pas pour le fric, on n’en a plus besoin. En plus ça ne me plait pas de négocier avec l’armée, ils sont capables de nous placer sous embargo, et tu sais ce que c’est parfois leurs embargos ?
– Certes ! Concédais-je
– De plus, encore une fois on ne sait pas ce que sont ses trucs. Rien ne dit qu’il ne s’agit pas d’armes de destructions massives. On ne va quand même pas en faire cadeau aux militaires.
– O.K. On va rentrer et en parler aux autres.

On a récupéré les huit filles restantes en on est revenu au vaisseau. Spectacle étrange que ces jolies filles en haillons nous suivant à la queue-leu-leu. J’ai l’impression qu’elles ne réalisent pas trop la chance qui leur tombe dessus.

Gundula nous accueille toute contente de nous expliquer ce qu’elle a fait en compagnie de Dilos et de Nadget.

– On a préparé quatre cabines, elles seront serrées, mais ça le fera, on pourra se réorganiser si la cabine de Levkovich se libère…
– Ah, j’ai failli l’oublier celui-là !
– On a préparé un buffet pour qu’elle puisse bouffer et boire un coup. On va distribuer des tee-shirts et on a découpé du drap pour leur faire des jupettes.
– Super !

Je suis comme on dit seul maître à bord, mais il me semble correct d »informer Dilos et Nadget de ce que nous avons décidé dans la grotte.

– On ne va pas s’éterniser ici, je propose que demain on fasse quelques visites successives au bâtiment rouge, ce serait quand même dommage de rater ça, moi je voudrais bien faire un petit film…

Evidemment tout le monde est d’accord, mais Dilos nous fait une remarque intéressante.

– Si ces machins sont des enregistrements, le lecteur est peut-être quelque part. Peut-être que les trois mecs disparus ont vu quelque chose ?
– Ils doivent être morts, sinon en toute logique, ils auraient dû nous contacter.
– On peut quand même essayer de les localiser, ils ont dû se trouver des abris, c’est là qu’il faut chercher.
– Et on fait comment ?
– Avec le détecteur de métaux, ces mecs ont sans doute gardé sur eux des bijoux, de l’or, du platine ou des métaux rares pour l’électronique de leur montre….
– O. K. on s’occupera de ça demain, et on fera du tourisme après ! Et Levkovich, il en est où ?
– Il est vivant et calme !
– Bon, il va falloir s’en occuper, mais pour l’instant je vais m’entretenir un peu avec cette Elvira,

J’ignore où elle est passée, j’ouvre les cabines qu’on a attribué aux filles, je la trouve et lui demande de venir dans ma cabine.

Je prends prétexte pour ouvrir la conversation de notre projet de retrouver les corps des disparus.

– Pour se planquer, la montagne c’est l’idéal sauf que c’est complètement aride et qu’il n’y a rien à bouffer, si on veut survivre c’est au bord de l’eau qu’il faut aller, là au moins il y a des crabes, par contre pour s’abriter, je ne sais pas trop ce qu’il y a. Nous n’avons pas fait beaucoup de balades depuis que nous sommes ici.
– Et vous occupiez comment vos journées ?
– On était les esclaves de ces messieurs, rien que le fait de décortiquer les crabes, ça prend un temps fou…Sinon on a inventé des jeux, c’est fou ce qu’on peut faire avec des bouts de carapaces de crabes.
– Et le sexe ?
– Je vous en ai déjà parlé, je n’ai pas trop envie d’y revenir.

C’est mal barré !

Je la regarde, elle est attifée d’un tee-shirt jaune, marqué « Cabaret Boum-boum ». C’est débile je ne sais pas où Dyane a dégoté ça, toujours est-il qu’il est un peu serré et que ça lui moule joliment les seins.

– Vous êtes en quelque sorte la leader du groupe ?
– Je n’y suis pour rien, c’est de la dynamique de groupe, mais ça ne marche pas avec tout le monde, un groupe de onze nanas toutes solidaires, ça n’existe que dans les romans pour la jeunesse. J’ai une rivale, quelle peste, celle-ci, mais quand il fallut prendre certaines décisions elle a toujours suivi.

Bon on ne va pas tourner en rond toute la journée, autant y aller carrément

– Elvira, j’ai une proposition à vous faire, si vous me dires non, je ne serais absolument pas fâché…
– J’ai compris, tu veux coucher avec moi !
– Disons que j’aimerais bien, mais…
– Ça tombe bien, je ne suis pas contre. Mais j’y met une condition.
– Oui ?
– C’est moi qui mène la barque !

En voilà une suggestion qu’elle est étrange ! Mais ça ne me dérange pas plus que ça, j’adore que l’on s’occupe de moi !

– Eh bien je suis à ta disposition !
– Alors mets-toi à poil ! Et allonge toi sur la bannette.

Je m’exécute, mais je m’étonne auprès d’Elvira qu’elle n’en fasse pas de même.

– Ah, les hommes, tous les mêmes ! C’est mes nichons que tu veux voir ?
– J’aimerais bien, en effet !
– Et quand tu les auras vu, tu vas faire quoi ?
– Je ferais ce que tu m’autorises, puisque c’est toi qui « mène la barque ».
– C’est bien, mais tu peux me dire ce que tu aimerais faire.
– Les caresser, les embrasser…
– Y compris le tétons ?
– Tant qu’à faire !
– Coquin !
– Sans doute !
– Branle toi un peu, c’est un peu mou, tout ça !
– Ça va grossir quand j’aurais vu tes nénés !
– Branle-toi quand même, j’ai bien voir un homme se branler la bite !

Elle me paraît bien compliquée la dame, mais comme je suis très joueur, je m’astique un petit peu afin de faire durcir le machin.

– T’as des gros tétons, dis donc ? M’apostrophe-t-elle.
– C’est à force de me les faire pincer !
– Parce que t’aimes bien qu’on te les pinces ?
– J’adore !
– Comme ça ?

Mais c’est qu’elle serre fort, la salope ! Je m’en fous j’adore ça ! Elle les tourne, les tire, on voit que madame à de la pratique. Et le résultat est spectaculaire, ma pine est maintenant raide comme un bout de bois.

– Ah, c’est mieux comme ça ! En voilà une jolie bibite, et même que j’ai envie d’y gouter.

Et joignant le geste à la parole, Elvira plonge sa bouche sur mon chibre et le suce avec une avidité gourmande. N’empêche que je n’ai toujours pas vu ses seins. Mais puisqu’elle me fait lanterner exprès, acceptons la chose, d’autant que lanterner en se faisant sucer n’est quand même pas la pire chose qui puisse m’arriver !

– Hum ! Il y a avait si longtemps que je n’avais pas sucé une nouvelle bite ! Dit-elle en se reculant.

Et la voilà qui me tripote les couilles. Pas trop mon truc, mais ça l’amuse. Sa main tente de passer sous mes fesses, je crois comprendre ses intentions et soulève mon bassin afin de lui rendre l’accès plus facile.

Et ce que je pressentais se réalisa, Elvira après avoir humecté son doigt de sa salive, me l’introduit d’un seul coup d’un seul, dans l’anus.

– C’est bon, hein ?
– Oui !
– T’aimes ça qu’on s’occupe de ton cul ?
– Oh, tu sais, j’aime beaucoup de choses.
– Ça ne répond pas à la question !
– Ben si !
– Tu t’es déjà fait mettre un gode dans le cul ?

Elle m’agace avec ses questions ! Du coup je décide de faire dans la provoc.

– Oui, un gode c’est bien, mais une vraie bite, c’est pas mal non plus !
– Sans blague, tu te fais enculer !
– Ça m’arrive !
– Et tu suce des bites aussi !
– J’adore !
– Mais t’es complètement pervers !
– Ça te choque ?
– Pas du tout ! Au moins, toi tu n’as pas honte de tes fantasmes.
– Hé !
– Du coup tu vas avoir droit à une petite récompense !

Enfin !

Putain qu’est-ce qu’il sont beaux ses seins, bien galbés et terminés par de jolis tétons épais et bruns. Par reflexe j’approche mes mains.

– Stop ! On demande à la dame !
– Me permettez-vous, chère dame ?
– Je vous en prie cher monsieur ! Ils sont pas mal, hein, après tout ce temps sur cette planète de merde ! Régime crabe et algues et pas mal de baffes dans la gueule ! Je ne m’en sors pas si mal !
– T’es une belle femme !
– Merci ! Vas-y pelote. Tu peux lécher mais sans t’énerver.

Il y a des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois, je me régale de la douceur de sa peau et de la beauté de sa poitrine.

– Lève-toi, c’est moi qui vais m’allonger et tu vas me lécher l’abricot. Tu aimes lécher, j’espère ,
– J’adore.
– Sur cette putain de planète, les mecs ils ne léchaient pas, heureusement d’ailleurs, ça m’aurait fait chier d’avoir leurs sales langues dans ma chatte. Heureusement qu’on s’arrangeait entre filles. Depuis que je suis là, je suis devenue à moitié goudou.
– Et avant ?
– Avant c’était occasionnel, bon au boulot !

On y va ! Madame est toute trempée, et même que ça lui dégouline sur les cuisses. Tant mieux j’aime bien laper le jus de moule. Inutile de dire que je me régale de ces chairs délicates. Elvira réagit bien et ne tarde pas à pousser des petits cris de plaisirs.

– Le clito, le clito ! Me presse-t-elle.

Ma langue vient dessus, l’entoure, le titille et Madame part au quart de tour et braille comme un baleine. Je suis content de l’avoir fait jouir, on a sa petite fierté, non ?

Et de nouveau, elle me fait changer de position, me revoilà allongée sur la bannette. Elvira vient s’accroupir sur mon visage de telle façon que son anus soit pratiquement en contact avec ma bouche.

– Goûte à mon cul, lèche le bien !

J’adore faire ce genre de choses d’autant que sa rondelle à un petit goût divin.

– Continue, mouille le bien et après tu vas m’enculer.

Ce n’est pas un problème, j’inonde l’endroit tant que je peux.

– Ne bouge pas ! Me dit-elle en se reculant.

Je pense alors que le moment de la sodomie est arrivé. Eh bien non, pas encore.

– Il faut que je fasse une petite pause, j’ai trop envie de pipi. Et si je te pissais dessus ?
– Ce sera un plaisir.
– Sur ta bite ?
– Dans ma bouche ?
– Cochon !
– Oui !
– Alors ouvre bien ta bouche !
– Il faudrait une serviette, on va en mettre partout !
– Mais non !

Stoffer0310 CopieElle doit savoir ce qu’elle fait, elle met sa vulve en contact avec ma bouche ouvert et se lâche, j’avale une première goulée. Sa pisse est délicieuse. J’attends la deuxième giclée, qui ne viendra jamais, Elvira bluffait en me disant qu’elle avait une grosse envie… elle avait juste envie de s’amuser à me pisser dessus. Quelle belle coquine !

Elle s’empale alors doucement sur mon chibre brulant de désir, puis quand ma bite est entrée sans son cul jusqu’à la garde, elle entreprend une série de montées et de descentes relativement tranquilles, avant de s’énerver et d’augmenter considérablement la cadence.

– Je vais venir… La préviens-je
– Retiens toi un peu !

Elle désaccélére, afin de retarder nos orgasmes, mais ça va être dur, et elle en a conscience, alors elle reprend son rythme effréné. Je ne peux plus tenir, je lâche tout !

Elle s’en fout et continue à s’agiter sur ma bite qui devient douloureuse, une minute après , elle jouissait à son tour. Et après qu’elle m’eut nettoyé ma bite gluante de sperme avec sa jolie bouche, nous nous sommes embrassés tendrement.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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